Ed Buck, un donateur important d’Obama et d’Hillary Clinton, accusé d’avoir abusé sexuellement et drogué des sans-abri

Edward Buck, un important donateur du Parti démocratique de Californie, a été accusé d'avoir exploité une planque de drogués après avoir injecté de la méthamphétamine à un homme dans sa maison de West Hollywood, où deux autres hommes seraient déjà morts d'overdoses, ont déclaré les procureurs.

M. Buck, qui a fait un don à l'ancien président Barack Obama et à Hillary Clinton, candidate démocrate à la présidence en 2016, est un militant bien connu en Californie.

L'avocat de Buck, Seymour Amster, a refusé de commenter l'affaire. Edward Buck, 65 ans, a été arrêté mardi par les adjoints du shérif du comté de Los Angeles [...].

Au début de cette année, Edward Buck a fait la Une des journaux après qu'un homme a été retrouvé mort dans son appartement de West Hollywood le 7 janvier, moins de deux ans après la mort d'un autre homme.

Ils seraient apparemment morts d'overdoses de méthamphétamine, a déclaré le bureau du procureur du comté de Los Angeles. Les deux hommes étaient afro-américains. Buck est blanc.

Après le second décès, son avocat a déclaré au Los Angeles Times que son client avait un "cœur d'or" et qu'il avait amené des personnes en difficulté chez lui pour leur offrir son aide.

"Malgré deux morts dans son appartement, Buck a persisté dans son comportement malveillant", ont déclaré les procureurs. Ils ont demandé que le montant de sa caution reste fixé à 4 millions de dollars.

Les procureurs ont déclaré que le 11 septembre, Edward Buck a injecté de la méthamphétamine à un homme de 37 ans, Joe Doe, qui a fait une overdose. Celui-ci a survécu après avoir fui l'appartement. À un moment donné, Edward Buck a tenté d'empêcher l'homme d'obtenir de l'aide.

Les procureurs ont déclaré que Buck "s'en prend aux hommes vulnérables à la toxicomanie et qui sont sans domicile fixe". Il "manipule ses victimes pour qu'elles participent à ses fétichismes sexuels".

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Reuters.com / Washingtonexaminer.com / Huffpost.com

Hillary Clinton a fermé les yeux sur du harcèlement sexuel

Cette femme que toute notre presse soutenait, comme elle a soutenu le magouilleur Obama...

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Sa directrice de campagne avait recommandé le congédiement du conseiller accusé d'avoir harcelé sexuellement à plusieurs reprises une employée subalterne. La candidate avait choisi de ménager le conseiller en le privant de quelques semaines de salaire et en l'envoyant suivre une thérapie. Quant à l'employée subalterne, elle avait été mutée à un autre poste.

Voilà comment Hillary Clinton a réglé un cas d'inconduite sexuelle au sein de sa campagne présidentielle de 2008, selon le New York Times.

Burns Strider, l'accusé, était le conseiller de la candidate pour les questions religieuses. Cofondateur de l'American Values Network, il envoyait chaque matin un extrait des Écritures à la rivale de Barack Obama durant la course à l'investiture démocrate pour la présidence.

Source

Rappels:

Etats-Unis: une amie d’Hillary Clinton avait payé 500.000$ pendant la campagne pour les accusatrices de Trump

Donald Trump avait encore raison! La taupe du FBI qui a protégé Clinton et enquête sur Trump et la Russie démasquée

Susan Sarandon: «On serait en guerre si Clinton était présidente»

Une photo d’Obama avec le raciste anti-blanc Farrakhan, datant de 2005, a été dissimulée par un journaliste car sa divulgation aurait nui à la carrière de celui qui allait devenir président

L’Administration Obama aurait protégé le trafic de drogue et d’armes du Hezbollah

G-W. Goldnadel : « Barack Obama est un mensonge savamment construit par les médias bien-pensants » [vidéo]

Lorsque nos médias critiquent le bilan de Donald Trump tout en cachant le désastre Obama

Susan Sarandon: «On serait en guerre si Clinton était présidente»

Susan Sarandon a récemment révélé les raisons pour lesquelles elle n’a pas soutenu Hillary Clinton face à Donald Trump, qui est finalement sorti victorieux de la présidentielle américaine.

La vedette de «Thelma & Louise» a expliqué au journal britannique «The Guardian» qu'elle croyait que les États-Unis seraient « en guerre » si elle avait gagné.

Revenant sur une de ses déclarations dans laquelle elle avait affirmé qu'Hillary Clinton serait plus dangereuse que Donald Trump en tant que présidente, elle a expliqué : « Pas exactement, mais cette déclaration ne me dérange pas, je pensais qu'elle était très, très dangereuse. Nous serions encore en guerre (si elle était présidente). Tout n’irait pas beaucoup mieux. Regardez ce qu'il s'est passé sous Obama et que nous n'avons pas remarqué... Elle l'aurait fait comme Obama l'a fait, sournoisement. »

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Source

L’équipe Trump – Retour à la culture judéo-chrétienne

   
Michel Garroté - Les castes politico-médiatiques occidentales vont encore s'étrangler de rage. Elles vont nous raconter que Trump, c'est le retour à "l'obscurantisme". Car en  effet, Donald Trump s'entoure de chrétiens convaincus. Le Site "Aleteia" a fait la liste des personnalités de culture judéo-chrétienne, qui entoureront Trump, dès son entrée à la Maison Blanche le 20 janvier 2017. Ce n'est donc pas le retour à "l'obscurantisme". C'est au contraire le retour à la Lumière, après huit années de présidence ténébreuse avec Barack Hussein et Michelle Obama (extraits adaptés du Site "Aleteia" ; voir lien vers source en bas de page) :
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Mike Pence, Vice-président, numéro 2 du pouvoir exécutif américain : Homme de confiance de Donald Trump, Mike Pence est un chrétien croyant et pratiquant. Né dans une famille irlandaise catholique à Colombus, dans l’Indiana, ancien élève de l’école paroissiale et enfant de chœur dans sa jeunesse, il se convertit au protestantisme évangélique au lycée. La gauche américaine le déteste depuis que, gouverneur de son État natal, il a fait adopter des restrictions à l’accès à l’avortement et une clause de consciences pour les officiers municipaux ne souhaitant pas célébrer de mariages gays. Les chrétiens qui n’y sont pas favorables ne pourront plus être menacés de prison ni accusés de nier les « droits de l’homme ». « I’m a Christian, a conservative and a Republican, in that order » : Je suis chrétien, conservateur et républicain, dans cet ordre, affirmait-il en octobre dernier.
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Steve Bannon, conseiller spécial du Président, l’éminence grise : Le principal stratège de la campagne électorale de Donald Trump est désormais son conseiller politique principal à la Maison Blanche. Steve Bannon, catholique pratiquant, croit fermement que les États-Unis ont une responsabilité dans la défense de la civilisation occidentale. Étant entendu que la civilisation occidentale s’appuie sur l’héritage judéo-chrétien qui lui a offert la primauté du droit et l’égalité devant la loi, le concept de droits de l’homme et les limites au pouvoir du gouvernement. Bannon considère que les démocrates ont bafoué ces règles civilisationnelles essentielles en tentant de dépouiller la sphère publique et politique de toute influence chrétienne. Steve Bannon avait donné une conférence au Vatican en 2014 via Skype, décrivant devant un public de responsables du Saint-Siège la « crise, tant du capitalisme que des fondements de l’Occident judéo-chrétien que nous traversons » appelant à un sursaut « dans nos croyances ».
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Reince Priebus, White House Chief of staff, numéro 1 de l’administration présidentielle : Directeur de cabinet du Président et premier fonctionnaire de la Maison Blanche. Ancien chef du Parti républicain, il est grec-orthodoxe pratiquant. Il anime toujours un cercle d’étude biblique et un groupe de prière pour les jeunes couples mariés.
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Jeff Sessions, Procureur général, 5e homme du gouvernement : United States Attorney General, Jeff Sessions est le ministre de la Justice de Donald Trump. Historiquement le seul membre du cabinet à ne pas porter le nom de Secretary. L’homme de loi, d’origine anglaise, est protestant méthodiste et très actif dans sa paroisse où il donne des cours d’éducation religieuse chaque dimanche. Tel les Castors Juniors Riri, Fifi et Loulou, célèbres neuveux de Balthasar Picsou, Jeff Sessions est Eagle Scout, le rang le plus haut qui soit chez les Boy Scouts américains.
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Mike Pompeo, le directeur de la CIA, les grandes oreilles de Trump : Le profil qui contraste le plus avec les fonctionnaires sortants de l’administration Obama. Plusieurs universitaires et observateurs politiques américains soutiennent que le prédécesseur et ancien patron du principal service d’espionnage américain d’Obama, John Brennan, se serait converti à l’islam pendant son service en Arabie Saoudite dans les années 90. Nombre d’experts ont dénoncé ces dernières années la naïveté d’un personnage clef du dispositif antiterroriste de l’administration sortante, pointant tour à tour la perméabilité de son entourage aux idées des Frères musulmans, son soutien aux rebelles syriens ou son bellicisme forcené, visant à engager l’armée US en Syrie. Le nouveau directeur de la CIA, Mike Pompeo, est pour sa part un protestant presbytérien, qui enseigne à l’école du dimanche de sa paroisse du Kansas (lui aussi !), il est membre du conseil diaconal de son église.
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Nikki Haley, ambassadrice auprès de l’Organisation des Nations unies, la bonne-parole de Trump : Gouverneure d’origine indienne de la Caroline du Sud, Sikh convertie au christianisme, son site internet annonce la couleur : « Ma foi au Christ a un impact profond sur ma vie quotidienne et je me tourne vers Lui pour obtenir les conseils nécessaires à chaque décision que je dois prendre ».
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Tom Price, ministre de la santé, numéro 10 de l’exécutif : Secretary of Health and Human Services, Tom Price est un protestant évangélique, réputé gros bosseur, fervent partisan au Congrès d’une politique chrétienne en matière d’avortement et de mariage.
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Le Docteur Ben Carson, ministre du logement, l’expert ès pauvreté : Le futur Secretary of Housing and Urban Development, chrétien protestant évangélique fervent, a grandi dans la ville économiquement sinistrée de Detroit (ancienne capitale d’une industrie automobile en lambeaux). Il est aujourd’hui l’un des neurochirurgiens les plus célèbres du monde. Carson place sa foi au centre de sa vie et lui prête sa capacité à s’élever au-dessus des circonstances douloureuses qu’il a traversées au long de son existence. Il sera en charge de la réduction de la pauvreté, particulièrement de la communauté noire-américaine et, par dessus tout, de redonner une vie économique et culturelle aux villes sinistrées américaines.
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Le général Michael Flynn, conseiller en sécurité nationale, le bras armé : Spécialiste du renseignement militaire, impétueux, viré par l’administration démocrate pour avoir dénoncé les lacunes de l’appareil sécuritaire américain face au terrorisme islamiste. D’ordinaire critique envers Moscou, il a rencontré Vladimir Poutine et déclaré vouloir travailler avec les Russes pour gagner la guerre contre le terrorisme. Il est catholique pratiquant.
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Betsy DeVos, ministre de l’éducation, l’atout social de Trump : La Secretary of Education Betsy DeVos, protestante calviniste, bénéficiera d’un pouvoir étendu pour remanier le système d’enseignement public américain. Sa foi chrétienne est au cœur de sa compréhension de l’identité nationale américaine. Elle soutient tout d’abord Marco Rubio, candidat catholique malheureux à la primaire républicaine avant de rejoindre le clan Trump. Soulevant régulièrement la question du monopole sur l’éducation des enfants américains des écoles gouvernementales (« les écoles publiques » en France), Betsy DeVos défend aussi l’idée d’un crédit d’impôt offert aux familles pauvres, en particulier aux minorités ethniques dans les centres-villes, où les écoles publiques sont délabrées, en sous-performance et fournissent de mauvaises conditions d’éducation, afin que les parents pauvres puissent envoyer leurs enfants dans de meilleures écoles en dehors de leur quartier (fin des extraits adaptés du Site "Aleteia" ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://fr.aleteia.org/2016/12/21/diaporama-le-gouvernement-tres-chretien-de-donald-trump/
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USA – La foutaise du recomptage des voix

   
Michel Garroté - Les gauchistes américains demandent le recomptage des voix. L’objectif est moins de contester un résultat - l’avance de Trump est trop importante - que de dépasser la date-limite de transmission des résultats fixée pour l’élection formelle, par les grands électeurs, en ce mois de décembre. Il s’agit de rendre la désignation de Trump plus difficile et donc d’en saper la légitimité.
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En réalité, l’équipe de campagne de Hillary Clinton sait parfaitement qu’elle n’a aucune chance de renverser le verdict. Elle a même fait savoir qu’elle ne voyait aucun signe évident de fraude. Mais ces manœuvres de recomptage ont un coût (plusieurs millions de dollars). Pour financer les manœuvres, la fortune du milliardaire (et roi Ubu de la planète) Georges Soros est là, comme d'habitude...
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Michel Garroté
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Financement de Clinton par les contribuables allemands: Berlin va devoir s’expliquer

En Allemagne, le scandale lié au financement de la Fondation Clinton prend de l'ampleur. On a appris que l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ) n’était pas l’unique donateur de la campagne de la candidate démocrate à la Maison-Blanche.

La GIZ a viré à la Fondation Clinton 2,4 millions d'euros des contribuables allemands. Un autre donateur, le ministère fédéral de l'Environnement, a participé à son financement à hauteur de 4,5 millions d'euros. Les médias et la classe politique ont longtemps gardé le silence sur ce « scandale maison », mais il est maintenant devenu impossible de le passer sous silence.

« Je me demande pourquoi ce thème n'a pas été soulevé avant. Le journaliste Tilo Jung en a parlé sur son blog en mai 2016, mais à l'époque aucune réaction n'a suivi. Le fait a été médiatisé après les élections. Le rôle de la Fondation Clinton pose nombre de questions », signale Niema Movassat, député Die Linke du Bundestag allemand.

Selon lui, on pourrait croire que les journalistes ne voulaient pas évoquer ce sujet en raison d'une grande sympathie pour Clinton en Allemagne.

Entre-temps, l'Agence allemande de coopération internationale et le ministère fédéral de l'Environnement ont tenté de se justifier. Selon eux, l'argent versé à la Fondation Clinton était destiné à des projets concrets et non pas au financement de la campagne électorale d'Hillary Clinton.

Le ministère de l'Environnement a expliqué dans sa réponse à une requête de Tilo Jung concernant le versement des fonds à la Fondation Clinton, qu'il s'agissait du financement de deux projets écologiques en Afrique de l'Est réalisés par la Fondation dans le cadre de l'Initiative internationale pour le climat (IKI). Niema Movassat trouve cette explication peu convaincante.

« Ce qui me surprend, c'est que l'argent a été donné précisément lors de la phase clé de la campagne électorale et non pas il y a dix ans. Il est clair pour toute personne possédant une consciente politique qu'on ne donne pas de l'argent à un tel moment et à une telle fondation », a dit le parlementaire dans un entretien à Sputnik.

Source et article complet

Vous avez dit « liaisons dangereuses » ?

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Michel Garroté - Non, il ne s'agit pas de l'explosion en plein vol de DSK ou du casque à scooter de François Hollande. Après la polémique sur le recrutement de José Manuel Barroso par Goldman Sachs ou celle sur les conférences rémunérées d'Hillary Clinton, les appels se multiplient pour mieux encadrer les relations entre la politique et la finance (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : en France, on parle de "pantouflage". Aux États-Unis, la presse préfère l'expression plus imagée des "revolving doors", ces portes tambour qui permettent à des banquiers et des politiques d'entrer et de sortir des services de l'État pour rejoindre le secteur privé.
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Pour le prix Nobel d'Économie, Joseph Stiglitz, peu importe le nom de ces pratiques, le résultat est le même : "une perte de confiance en notre système politique et des doutes sur si les lois sont adoptées dans l'intérêt de tous ou uniquement dans celui d'une société financière". "Il y a de quoi se demander si une personne fera preuve de fermeté avec la finance si son avenir professionnel se trouve justement dans ce secteur", s'est-il interrogé lors de son passage à Paris cet automne, estimant que le recrutement de Manuel Barroso n'est finalement qu'une "continuation" de ses pratiques.
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Il est vrai que les exemples sont nombreux : l'ex-chancelier allemand Gerhard Schroeder recruté par le russe Gazprom juste après sa défaite électorale de 2005, l'ex-secrétaire au Trésor américain Henry Paulson, un ancien de Goldman Sachs, qui s'est retrouvé à gérer la faillite de son concurrent Lehman Brothers en 2008. Dans la foulée de l'affaire Barroso, l'ancien ministre de l'Énergie, Ed Davey, qui a attribué à EDF le projet controversé de centrale nucléaire Hinkley Point, travaille désormais pour MHP Communications, qui s'occupe des relations publiques de l'énergéticien français. "Des soupçons de proximité avec la finance" qui ont coûté cher à la candidate démocrate Hillary Clinton lors des récentes élections américaines, a affirmé l'économiste Thomas Piketty, en allusion à ses conférences rémunérées plusieurs centaines de milliers de dollars.
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Au point que son rival aux primaires démocrates, Bernie Sanders, avait douté de ses capacités à réguler les sociétés qui en même temps la rétribuaient. Une brèche dans laquelle s'est engouffré son rival républicain Donald Trump pendant la campagne. De plus en plus de voix s'élèvent contre ces pratiques, même si elles sont conformes à la loi, comme l'a reconnu récemment le comité d'éthique de l'UE en validant le recrutement de Manuel Barroso, ancien président de la Commission européenne, par le géant de la finance Goldman Sachs. "Il y a un vrai problème de collusion entre élites politiques et financières. Ce n'est pas sain pour l'économie et ce n'est pas justifiable", a estimé l'économiste français Christophe Ramaux, professeur à la Sorbonne et signataire de l'appel des 138 économistes pour "sortir l'Europe de l'impasse".
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Le secrétaire d'État en charge du Commerce extérieur, Matthias Fekl, s'est joint à ces appels à titre personnel. "Je fais partie de ceux qui pensent qu'il faut durcir considérablement les règles déontologiques et de prévention des conflits d'intérêt au niveau communautaire", a-t-il affirmé. Le commissaire européen Pierre Moscovici s'est indigné du recrutement de Manuel Barroso par la "banque qui a participé à la falsification des comptes de la Grèce", exigeant des "règles appropriés", sans s'engager pour autant pour l'interdiction du "pantouflage".
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"Que dans une vie, après avoir exercé des fonctions publiques on soit amené à exercer des responsabilités privées, comme de la même façon qu'après avoir exercé des responsabilités privées on soit amené à exercer des responsabilités publiques, ce n'est pas en soit condamnable", a-t-il affirmé. Joseph Stiglitz appelle, lui aussi, à mieux encadrer ces relations pour éviter que la politique ne soit sous influence de la finance.
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"Le secteur financier est plus attaché aux idées austéritaires, en raison notamment de leur préoccupation sur le marché obligataire", a affirmé cet économiste qui a fait de la lutte contre les ajustements budgétaires son cheval de bataille. "Donc si vous passez beaucoup de temps à parler avec des banquiers, vous allez finir par penser comme eux. Un danger qui peut contribuer à un excès d'attention à l'austérité", a-t-il prévenu (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.boursorama.com/actualites/finance-et-politique-critiques-sur-des-liaisons-dangereuses-b42887ca8ef3473b91dda4e02320ca26
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La Fondation Clinton a été abandamment arrosée par des pays soutenant le terrorisme: Aucun mot dans nos médias.

La provenance des fonds de la "Fondation Clinton" dont l'origine a été soigneusement tue par nos médias durant la campagne. Et on comprend mieux pourquoi:

- Le Qatar, pays finançant le terrorisme

- L'Arabie Saoudite (connue comme l'un des pires pays sur le plan des droits de l'homme si chers à la gauche), pays finançant le terrorisme

- Le Koweit, le plus grand financier des djihadistes anti-Occidentaux

- Les Émirats arabes unis, sont connus pour avoir une justice ignoble à l'égard des femmes violées (ce qui ne gêne aucunement nos journalistes bien-pensants).

Avec de tels pedigrees, la logique voudrait que nos journalistes dénoncent avec véhémence la corruption des Clinton, qu'ils critiquent le risque énorme qu'une telle nomination aurait représenté pour les Chrétiens au Moyen-Orient et pour la sécurité des Européens. Visiblement ils s'en fichent éperdument.

Au lieu de cela, nos médias européens ont soutenu inconditionnellement Hillay Clinton, faisant preuve d'une haine maladive à l'égard de Trump, agitant le fantôme de "l'extrémisme" alors que leur protégée allait perpétuer la guerre aux quatre coin de la planète pour plaire à ses mécènes.

Il est vrai que nos médias très à gauche et ces pays extrémistes partagent un même rejet viscéral du christianisme.

 

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Rappels:

Par le biais de Calmy-Rey, Berne a versé 500’000 francs à Clinton

Vaud: La gauche finance des groupes anti-chrétiens avec l’argent de nos impôts

Hillary serait entrée dans une colère noire la nuit des élections, s’en prenant physiquement à Podesta et Mook autour de minuit (Northcrane)

Mon ami est un reporter digne de confiance qui voit souvent des histoires anti-Clinton prendre de l'ampleur. Tout le monde à CNN n'est pas mauvais. Toutefois le management l'est. C'est quelqu'un de neutre et respecté qui est en train d'être réduit au silence - un bon ami à moi, malade de voir CNN supprimer les histoires gênantes qui enquiquinent la gauche.

La nuit d'élection, Hillary s'est comporté comme « Hitler-dans-le-bunker »

Les quelques journalistes honnêtes de MSM en ont été réduits à fuiter des informations aux nouveaux médias parce que leurs patrons ne les laisse pas les rapporter. Un ami à CNN rapporte que l'entourage de Clinton à fait savoir qu'Hillary était entrée dans une « rage noir et psychotique » la nuit de l'élection, et a eu besoin de médicaments extrêmement puissants pour pouvoir parler le mercredi. Le journaliste de CNN m'a dit qu'Hillary était devenue physiquement violente envers Robby Mook et John Podesta vers minuit. Elle a dû être brièvement maîtrisée.

La nuit des élections, Hillary était dressée comme « Hitler-dans-le-bunker ». Cela incluait même des cris psychotiques sur « les Russes ». Un docteur a aidé à contenir Hillary quand elle a violemment attaqué Mook et Podesta vers minuit. Il lui a donné des sédatifs, puis des amphétamines le lendemain matin. Le journaliste de CNN rapporte qu'Hillary avait besoin de tant d'amphétamines mercredi matin qu'elle a eu des saignements de nez inattendus toute la journée. La crainte était qu'elle saigne pendant la concession.

Et il semble que nous ayons plusieurs sources corroborant son ébriété :

CNN reporter tells me Hillary became physically violent towards Robby Mook and John Podesta around midnight; had to be briefly restrained.

@kincannon_show
0100hrs
podesta told her she had to address her followers
she (drunk as a skunk) (allegedly) said: "fuck them - you do it"

Source Source en anglais

Les liens entre UBS et les Clinton dans le viseur de la presse américaine à cause de Calmy-Rey

Le Wall Street Journal a mis en lien jeudi l'accord signé entre Micheline Calmy-Rey et Hillary Clinton en 2009, dans l'affaire UBS, et la multiplication par dix des dons de la banque suisse à la Fondation Clinton.

Cet accord permettait à UBS d’éviter le spectre de la faillite en cas de procédure aux Etats-Unis. La banque avait livré quelque 4500 comptes au fisc américain au lieu des 52'000 réclamés.

Le Wall Street Journal met cette affaire en relation avec les centaines de milliers de dollars qu’UBS a ensuite versés à la Fondation Clinton. Selon le quotidien, les dons cumulés d'UBS, versés à la fondation entre 2009 et 2014, s'élèvent à 600'000 dollars, soit dix fois plus qu'à la fin 2008.

1,5 million de dollars versés à Bill Clinton

En outre, 1,5 million de dollars ont été versés à l'ancien président démocrate pour une série de discours aux Etats-Unis, et 32 millions de prêts accordés à des entrepreneurs soutenus par la fondation. Aucune preuve, cependant, n'est avancée par le journal pour lier ces événements.

A noter que d'autres cas de conflits d'intérêt liés à la Fondation Clinton ont été mis en lumière par la presse américaine.

Source

La colère monte à l’encontre de Calmy-Rey après un don aux Clinton

Nous parlions de cette affaire déjà ici et ici.

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Si l’affaire est potentiellement explosive, c’est que la somme a été versée en 2011. Berne est alors en plein différend politique et judiciaire avec Washington à propos des comptes de clients américains dans les banques suisses. A la tête de la diplomatie helvé­tique, et donc aussi responsable de la DDC, Micheline Calmy-Rey. A la tête de la diplomatie amé­ricaine, Hillary Clinton. Cette somme a-t-elle joué un rôle dans la résolution du conflit? Cette question est en filigrane de la polémique. D’autant plus que, à l’époque, la secrétaire d’Etat américaine était en contact étroit avec la conseillère fédérale.

Très problématique

Etant à l’étranger, et n’ayant pas lu l’article, Micheline Calmy-Rey n’a pas souhaité réagir. Mais sous la Coupole, la stupéfaction l’emporte. «C’est très problématique, commente Luzi Stamm (UDC/AG). Si cette affaire est avérée, ce n’est pas la DDC qui doit être pointée du doigt, mais Micheline Calmy-Rey.» Même du côté des fidèles lieutenants de la Genevoise, on est emprunté. «Je suis très surpris par ces révélations, commente Carlo Sommaruga (PS/GE). Il n’est pas fréquent que la DDC passe par une fondation dont le but premier n’est pas l’aide au développement. C’est une erreur politique.»

Source et article complet

Par le biais de Calmy-Rey, Berne a versé 500’000 francs à Clinton

Christian Hofer: On rappelle que Calmy-Rey soutenait Hillary Clinton. Cette ex-Conseillère fédérale a donc arrosé avec notre argent une personne dont elle partage l'idéologie.

Et devinez ce qui lie ces deux femmes ? Georges Soros, parrain d'Hillary Clinton et patron actuel de Micheline Calmy-Rey! Le scandale est énorme!

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Suisse-USA

Selon la presse dominicale, la DDC aurait versé un demi-million à la fondation Clinton dans le cadre du différend fiscal avec les USA.

C'est le journal Schweiz am Sonntag qui le révèle ce dimanche: La Direction du développement et de la coopération (DDC), soit l’organe du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) en charge de la coopération internationale, a versé en 2011 près de 500'000 francs à la fondation Clinton, l'organisation caritative de Hillary Clinton,du temps où elle était alors secrétaire d'Etat.

Selon le journal, la candidate malheureuse à la Maison Blanche était une partenaire de négociations importante pour Berne dans son différend fiscal avec les Etats-Unis.

Le journal dominical rappelle aussi que l'ancienne conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey avait indiqué durant l'été 2011, lors d'un spectacle à Soleure, qu'elle était en lien direct avec Hillary Clinton: «Croyez-moi, cela aide quand par exemple, les banques suisses aux USA sont sous pression.»

Source et article complet

Barack Obama réfléchirait à gracier Hillary Clinton avant de partir

La Maison blanche a refusé d’exclure la possibilité que Barack Obama accorde une grâce présidentielle à Hillary Clinton avant l’expiration de son mandat le 20 janvier prochain.

Josh Earnest, porte-parole de la présidence des États-Unis, a botté en touche sur une question au sujet de l’intention de Donald Trump, président-élu des États-Unis, de nommer un procureur spécial pour enquêter sur l’affaire des emails d’Hillary Clinton, disant que la Maison blanche ne communique pas sur les grâces présidentielles avant qu’elles ne soient signées. [...]

Si Hillary Clinton n’a pas été mise en examen dans ses nombreuses affaires, et que le FBI a décidé à l’issue de son enquête de ne pas demander de mise en examen, Donald Trump a évoqué plusieurs fois la possibilité de nommer un procureur pour poursuivre l’ancienne secrétaire d’État pour ses diverses affaires. [...]

Comme dans de nombreux pays, le président des États-Unis a un important pouvoir de grâce. Une « tradition » de la présidence est le fait pour le président d’attribuer de nombreuses grâces à la fin de son mandat, après l’élection de son successeur. [...]

Atlantico via Fdesouche.com

Trump – La défaite des journalistes

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Michel Garroté - La victoire de Donald Trump, ce n'est pas seulement la défaite de Hillary Clinton. La victoire de Donald Trump, c'est aussi la défaite, la déroute, le Trafalgar, la Bérézina des journalistes, cette "sale race" de coqs morveux. Entre hier mercredi et aujourd'hui jeudi, je suis pris d'un fou rire à chaque fois que je les vois nous annoncer, à la télévision, la fin du monde, ni plus, ni moins. Arrogants et mauvais perdants, les journaleux nous prédisent maintenant l'Apocalypse. Sur le petit écran, ils se livrent à des grimaces, des tics nerveux, des contorsions faciales, des crispations du front jusqu'au menton, bref, c'est le cirque, le zoo, le sketch. Cela dit, j'ai tout de même trouvé quelques journalistes - en marge de la caste médiatique - dont je publie ci-dessous les analyses.
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Ainsi, dans le 'Wall Street Journal', Gerald Seib écrit notamment : “Pitoyables”. C’est par ce terme méprisant qu’Hillary Clinton a un jour brocardé les partisans de Donald Trump (“en gros, vous pouvez placer la moitié des partisans de Trump dans ce que j’appelle le panier des pitoyables”, a-t-elle déclaré en septembre). Une insulte dont ils se sont emparés avec fierté pour en faire un véritable symbole. Le 8 novembre, se parant de ce dédain de la classe politique comme d’un titre de gloire, la horde de Trump a réalisé une formidable percée dans le système électoral américain et offert au candidat républicain une victoire stupéfiante (voir lien vers source en bas de page).
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Dans 'La Stampa', Marco Tosatti, de son côté, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La défaite la plus retentissante, ce n'est pas Hillary Clinton qui l'a subie. Ce qui l'a subie, c'est une façon de faire du journalisme qui ne pourrait pas être plus éloignée de ce que devraient être les règles du jeu. Aux États-Unis - et chez nous - les médias ont sans vergogne pris parti en faveur des lobbies de pouvoir et d'intérêts conduits par Clinton.
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Pas seulement dans les commentaires : en dissimulant des informations qui auraient pu faire du tort à la candidate démocrate, en exaltant au maximum de tous les aspects négatifs possibles et imaginables de son rival, en insultant - comme racistes, semi-analphabètes, bigots et ainsi de suite - tous ceux qui ne soutenaient pas la responsable du désastre libyen et syrien, grande alliée des Saoudiens et du Qatar, et financée par eux.
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Et pourtant, beaucoup d'informations qui jetaient une lumière inquiétante sur Hillary, ses relations, ses cadavres dans le placard, circulaient librement sur les réseaux sociaux et plus généralement sur Internet. Elles n'étaient pas reprises par les journaux liés à elle et aux gens qui dans l'ombre manœuvraient les financements, les sondages et l'opinion publique.
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Mais, évidemment, les électeurs, eux, ont vu, lu et entendu. Et le bon sens, la théologie du moindre mal, a prévalu. Il serait intéressant, d'un point de vue sociologique, de pouvoir éclaircir quel rôle les réseaux sociaux ont joué dans la formation de l'opinion des électeurs. En dépit de la grosse caisse que les médias, aux États-Unis ont battue sans relâche pour Hillary.
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Deux observations : tout d'abord, cette campagne a marqué - au cas où il en était besoin - la fin du mythe du journalisme anglo-saxon par rapport au reste du monde ; comme pour la couverture de la guerre en Syrie, les médias ont montré leur incapacité à mener à bien un travail impartial.
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Mais aussi l'incapacité à faire leur métier, c'est-à-dire à saisir des éléments de doute et d'incertitude. Quelle crédibilité aura perdu, aux États-Unis et chez nous, une information aussi clairement peu fiable ?, conclut Marco Tosatti (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).

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De son côté, dans 'Causeur', Elisabeth Lévy écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Voilà des années que les journalistes observent le plouc occidental avec mépris et suffisance, qu’ils dénoncent ses manières « déplorables », l’engueulent pour ses votes lamentables et lui prodiguent des leçons de maintien pour élargir son esprit étroit. Peut-être avez-vous raté cette breaking news : au lendemain de l’élection de Donald Trump, Marine Le Pen et l’éditorialiste du Monde ont eu exactement la même analyse. « Ce n’est pas la fin du monde, c’est la fin d’un monde », a déclaré la première (qui peut remercier sa plume pour cette belle formule). « L’élection de Donald Trump est un bouleversement majeur, une date pour les démocraties occidentales.
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"Comme la chute du Mur de Berlin, comme le 11-Septembre 2001, cet événement ouvre sur un nouveau monde", écrivait pour sa part Jérôme Fenoglio, le directeur du Monde qui, pour l’occasion, avait sorti les grands mots. Bien sûr, la convergence s’arrête là, car le rêve de la patronne du FN est le cauchemar du journaliste (et de 95% de ses confrères). Or, avec l’élection du « très controversé Donald Trump », comme on l’appelle désormais sur France Inter, ce rêve et ce cauchemar ont effectivement acquis une nouvelle consistance. Dans le nouveau monde dont on nous annonce l’avènement, Marine Le Pen aura probablement beaucoup plus de pouvoir que Jérôme Fenoglio.
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Et quoi qu’on pense de l’ascension annoncée de la première, on peut trouver quelques vertus à la déconfiture du second et de sa corporation. Voilà des années que Fenoglio et ses congénères observent le plouc occidental avec mépris et suffisance, qu’ils dénoncent ses manières « déplorables » comme dit Hillary Clinton, l’engueulent pour ses votes lamentables et  lui prodiguent en toute occasion des leçons de maintien destinées à élargir son esprit étroit, à désodoriser ses idées nauséabondes et à aérer ses peurs rances. Et voilà des années que le populo affirme avec constance qu’il ne veut pas du monde mondialisé et ouvert à tous les vents qu’on lui présente comme son avenir inéluctable.
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Le plouc qu’on appelle également petit blanc bien qu’il ne le soit pas toujours, veut des frontières à l’intérieur desquelles il pourra faire peuple en conservant ses traditions et ses petites manies. Certes, comme on le répète sur France Inter, Trump n’a pas été élu par les seuls ouvriers de l’Amérique périphérique, mais aussi par une Amérique blanche, aisée et conservatrice, bref  c’est un vote réactionnaire a conclu une journaliste soulagée. Il y a sans doute plus de gagnants de la mondialisation parmi les électeurs de Trump que parmi ceux de Marine Le Pen ou du Brexit, peut-être parce que la place dans le processus de production ne dit pas tout d’un homme. Et que, si la demande de réassurance nationale s’accroît à mesure que le revenu baisse, elle n’est pas réductible à un facteur économique.
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Le populo est populiste, se lamentent cependant les bonnes âmes qui ont renoncé à sauver le prolétariat ou plutôt en ont élu un nouveau. Alors, pour taper sur la tête des bonnes âmes ou au moins se la payer, le populo utilise, comme le disait Muray, le gourdin qu’il a sous la main, ici Trump, là Brexit et demain, peut-être Marine. Et tant qu’il ne trouvera pas de gourdins plus convenables, il se contentera de ceux-là qui ont au moins l’avantage de faire peur aux bien-pensants, qu’ils soient lecteurs du Monde ou du New York Times où une internaute confessait hier ne rien comprendre au pays où elle vit. Ça c’est sûr et c’est bien le problème. Quelqu’un qui a suivi la campagne à travers ces estimables journaux n’avait aucune chance de comprendre son issue.
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Je ne sais pas si on a raison d’avoir peur de Donald Trump dont certains de mes amis ne retiennent que le programme keynésien à la Roosevelt, comme si la colère anti-establishment dont il est le porte-parole devait nous faire oublier ses farces et attrapes en tout genre. En tout cas, à l’inverse de Barack Obama qui, accueilli tel le messie, ne pouvait que décevoir, Trump ne pourra nous décevoir qu’en bien. Je sais en revanche que, populiste, au-dessus de 50%, ça devient populaire. Ah oui, Hitler en 1933 aussi. Mais c’est un curieux syllogisme de déduire de la victoire relative du futur Führer dans une élection formellement démocratique que tout vainqueur qui nous déplairait est un héritier d’Hitler. Il y a quelques jours, Le Monde se désolait de ce qu’une partie des Français (suivez mon regard) n’adhérât plus au système démocratique et demandât de l’autorité, comme si les deux étaient antagonistes.
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Et les commentateurs qui, de Londres à New York, de Paris à Berlin, dénoncent avec constance les résultats des urnes, ne sont-ils pas  en rupture de démocratie ? Est-il bien démocratique d’afficher son mépris pour le cochon de votant ? « Trump se vautre dans le triomphe », titre aujourd’hui le New York Times sans le moindre égard pour les millions d’Américains qui l’ont choisi. Des populistes vous dit-on. Seulement, dans cette démocratie que les journalistes chérissent tant, un mauvais électeur pèse autant qu’un bon (aux Etats-Unis, un petit correctif fait remonter les ploucs). On l’a répété en boucle, sans en tirer la moindre conséquence : médias, analystes, sondeurs, se sont plantés en beauté.
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Ils n’ont rien vu venir, parce qu’au lieu de chercher à comprendre, ils s’efforcent de nier ce qui leur déplaît et de rééduquer ceux qui leur désobéissent. Le vote Trump est un bras d’honneur à  ceux qui prétendent savoir, à commencer par les journalistes. Ce qui signifie qu’eux et les autres prêchi-prêcheurs sont au moins en partie responsables du désastre qui les désole. Or, depuis hier, au lieu de se livrer à une salutaire autocritique et de se demander pourquoi ils ne comprennent rien aux sociétés dans lesquelles ils vivent, ils trépignent et redoublent de remontrances à l’égard des électeurs trumpistes. Désolée chers confrères et autres guides d’opinion, mais vous ne guidez plus grand-chose. Et le vent de panique qui souffle sur le quartier général est un spectacle plus réjouissant que celui de votre ancienne superbe, quand vous vous plaisiez à brûler quelques dissidents pour l’exemple.
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Aujourd’hui, vos bûchers ne brûlent plus et vos piloris n’intéressent plus personne, tant mieux. L’ennui, c’est que nous allons tous payer le prix de l’incroyable suffisance avec laquelle depuis des années, vous ignorez les aspirations de ceux qu’Orwell appelait les gens ordinaires, conclut Elisabeth Lévy (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-les-pitoyables-se-sont-bien-venges
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http://benoit-et-moi.fr/2016/actualite/trump-les-medias-en-accusation.html
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http://www.causeur.fr/trump-lepen-populisme-medias-brexit-40999.html
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Diplomatie française : Lorsque Hollande et Anne Hidalgo insultent Donald Trump

Le 15 octobre, le chef de l'État assurait qu'"aux États-Unis, une présidente serait élue". Encore un couac et une "pensée magique" sans lendemain !

Parfois, mieux vaut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d'émettre un pronostic. Surtout quand on est président de la République et que l'on s'exprime devant des caméras. « Il y a des élections qui vont se produire aux États-Unis, une présidente va être élue », prédisait François Hollande le 15 octobre dernier, lors d'un discours sur l'Europe prononcé à Paris dans le cadre d'une conférence. À peine a-t-il prononcé cette phrase qu'il est interrompu par une salve d'applaudissements. Visiblement content de son effet, le chef de l'État prend quelques secondes avant d'enchaîner...

Source

 

https://youtu.be/2T34wXRGXfM

 

De telles âneries, souvent énoncées avec une arrogance inouïe, sont visiblement la marque de fabrique des socialistes puisque Anne Hidalgo avait affirmé que Donald Trump est "très stupide" lors de sa visite à Londres le 10 mai 2016. Le tout dans un anglais qui ferait honte à un écolier, spécifiquement pour la maire d'une ville internationale comme Paris.

“He is stupid. He is very stupid. And I think the example… are all the people Muslims, Catholics, Athée (sic) , and I am athee (re-sic) . We are in the life, we are in our mission. Mister Trump is so stupid, my God, my God.”

Cela démontre à loisir le niveau de compétence des politiciens français actuels: des gens qui ne se privent pas pour critiquer Donald Trump alors qu'ils ne sont pas en position de le faire.

https://youtu.be/d1EpJt8FmZY

Sur 200 médias américains, 194 avaient soutenu Hillary Clinton

Une surprise. Donald Trump a conquis la Maison-Blanche, assurément. Plus étonnant encore, la victoire du camp républicain s'annonce nette et sans bavure. La veille du scrutin encore, tous les spécialistes, analystes donnaient une légère avance pour Hillary Clinton.

Lorsque la RTS se ridiculise: « L’EPFL donne Clinton gagnante grâce à son outil d’analyse »

Hillary Clinton est la candidate la mieux placée pour remporter la présidentielle américaine mercredi, selon un outil d'analyse des opinions publiques sur les réseaux sociaux développé par l'EPFL.

La plateforme Deeption récolte les opinions des internautes sur le web et les réseaux sociaux: "Sur les élections américaines, des dizaines de millions de messages ont été analysés, notamment sur Twitter", explique à la RTS Jean-Luc Jaquier, l'un des concepteurs de l'outil.

Selon les derniers chiffres, c'est la candidate démocrate qui est dans la meilleure position pour remporter l'élection mercredi, avec 46,7% d’opinions favorables contre 44,5% pour son rival républicain, en amont du calcul de la majorité des grands électeurs.

Source

Les conseillers de Hollande avaient préparé hier une seule lettre de félicitations adressée à …. Clinton

CONFIDENTIELS RTL - Les conseillers de François Hollande et les diplomates français avaient plutôt confiance dans la victoire de la candidate démocrate dans la courses à la Maison Blanche.

france_clinton

 Source

La tradition est simple : le président français félicite le nouveau président américain élu, quel qu'il soit, non pas par un simple communiqué de presse mais par une lettre qui est rendue publique. Le coup de téléphone dans la matinée est un petit peu un mythe. D'abord matériellement, c'est compliqué, à cause du décalage horaire. Mais aussi tout simplement parce que, de l'avis même des conseillers de l'Élysée, le président élu outre-Atlantique a autre chose à faire dans les heures qui suivent son élection.

C'est la cellule diplomatique de l'Élysée qui se charge naturellement de la lettre de félicitations. Mardi 8 novembre en fin d'après-midi, une lettre avait déjà été préparée : celle qui s'adressait à Hillary Clinton. Les conseillers du président Hollande étaient plutôt confiants. Aucune lettre n'avait encore été rédigée à l'intention de Donald Trump. Bien sûr pour le milliardaire, les mots choisis ne seront pas tout à fait les mêmes. La lettre sera sans doute plus succincte, plus sobre.

L'arrivée d'un nouveau président américain se prépare sur la scène internationale mais aussi sur le terrain. Enfin, dans la mesure du possible. Manifestement, les diplomates de l'Élysée avaient plutôt confiance dans la victoire d'Hillary Clinton. La démocrate était déjà bien connue de la diplomatie française. Avec elle, les contacts sont déjà pris.

D'ailleurs le conseiller diplomatique en chef de François Hollande était à Washington en fin de semaine dernière. Il a notamment rencontré Susan Rice, la conseillère à la sécurité nationale des États-Unis qui a un rôle important dans la diplomatie américaine. Il n'a pas rencontré le camp Trump. Avec l'éventuelle élection du républicain, les choses seraient beaucoup plus compliquées que prévu. Son équipe est très peu structurée. "On ne connait aucun des interlocuteurs", nous explique en toute transparence un conseiller du président français.

Source et article complet

Julian Assange: « La fondation Clinton est soutenue par l’Arabie Saoudite, financier de l’Etat islamique » (Vidéo)

Christian Hofer: Toute la gauche bien-pensante et nos médias qui font mine de s'offusquer lorsque la Suisse vend un peu de matériel militaire, ne se privent pas pour soutenir une femme qui arme massivement des pays source d'extrémisme, avec à la clé le sang d'innombrables victimes!

Et plus encore, l'Arabie Saoudite et le Qatar, soutiens de groupes islamistes, ont financé la "fondation Clinton", ce dont nos médias évitent scrupuleusement de parler.

Une hypocrisie qui dévoile à quel point nos donneurs de leçons sont répugnants.

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Le fondateur de WikiLeaks a accordé un entretien exclusif au journaliste australien John Pilger. RT publie cette conversation franche, revenant sur les fuites des emails d’Hillary Clinton, les accusations liant WikiLeaks à la Russie, la guerre en Libye et l’afflux de migrants de ce «bouchon de la bouteille de l’Afrique», sa vie recluse et la capacité de l’être humain à s’adapter à tout.

 

Même perdant, Donald Trump a déjà gagné

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Michel Garroté - Les Clinton incarnent tout ce que je déteste : l'arrogance, l'hypocrisie, le mensonge, la manipulation, la corruption, la gauche-caviar, la caste politico-médiatique gauchiste, le mépris du peuple, l'islamophilie, l'israélophobie, bref, tout ce qui pue la gauche faux-cul. Et Trump ? Je le trouve atypique, audacieux, assez marrant dans son genre, et, surtout, je le crois apte à redresser les Etats-Unis, apte à trouver des compromis avec Poutine, apte à débarrasser la planète de l'Etat islamique (EI), en somme, je le trouve à la hauteur, tout simplement.
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A ce propos, Ivan Rioufol, dans un article intitulé "Même perdant, Donald Trump a déjà gagné", écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Je serais Américain, je voterais demain pour Donald Trump. Je le préfère à Hillary Clinton, corrompue et arrogante. Les Etats-Unis auraient mérité mieux que ces deux candidats, c’est entendu. La campagne fut d’une bassesse jamais atteinte, c’est exact. Mais Trump a su mettre au jour, dans une intuition remarquable, les travers d’une démocratie à bout de souffle. Observer la gauche américaine, représentée par la démocrate Hillary Clinton, se boucher le nez devant le peuple "déplorable" et être soutenue par Wall Street et l’ensemble des grands médias, fait mesurer les bouleversements politiques dont le candidat républicain est le symptôme.
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Au-delà des défauts incommodants de Trump, je le crois porteur d’une nécessaire révolution, en réaction aux excès d’un Système élitiste, claquemuré, éloigné des gens. Même si ses chances de gagner restent minces, sa seule performance actuelle, avec des moyens bien moindres que ceux de son adversaire, est déjà une première victoire. Son refus de "jouer le jeu selon les règles fixées par les médias" devrait interroger ces médias sur leur illégitime influence. Il va de soi qu’une victoire de Trump - dans une sorte de Brexit-bis révélant la révolte des peuples – serait dès lors leur très lourde défaite. La péroraison des anti-Trump est celle d’une oligarchie qui ne veut pas comprendre les ressorts de la révolte des Américains déclassés, oubliés par la gauche prolophobe.
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La pauvreté a gagné du terrain sous Barack Obama : les 38 millions de pauvres de 2008 sont devenus 46 millions, 7 ans plus tard. D’autre part, les concessions faites par l’administration américaine à l’islam politique sont une autre source de légitimes inquiétudes pour les électeurs soucieux de préserver leur identité culturelle. Or ces craintes sont balayées par la candidate démocrate pour qui le principal danger est "le réchauffement global". Il est vrai qu’Hillary Clinton a pour principale confidente Huma Abedin, qui a participé pendant dix ans à une revue islamiste publiant des textes incitant au djihad, à la haine anti-américaine et antisémite. Clinton au pouvoir serait un mauvais coup porté à l'avenir de la civilisation occidentale, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/11/meme-perdant-donald-trump-a-de.html
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