Christian Hofer: Agression sexuelle qui démontre ce que nous avons désormais dans notre pays par la faute de la gauche: une culture machiste, inégalitaire et arriérée qui considère nos filles comme des dévergondées parce qu'elles acceptent simplement de discuter avec ces barbares. C'est cela le progressisme socialiste.
Les juges sont totalement ignares de la situation: nos élites prônent le multiculturalisme en ne sachant absolument rien des us et coutumes de ceux qui viennent ici: Une fille qui monte dans le véhicule d'un inconnu est estampillée comme étant une pute. Chez eux, une épouse doit restée vierge pour le mariage. Par extension, nos filles ne sont que des jouets sexuels entre leurs mains qu'ils pourront jeter comme bon leur semble! Et ces juges attendent des "regrets" de leur part... quelle naïveté! Bien évidemment, aucune expulsion n'a été exigée malgré les casiers judiciaires fournis et bien évidemment encore, leurs avocats et les frais sont à notre charge.
Nos filles se font violer et nous payons leurs avocats ainsi que leurs frais: tout va bien en Suisse!
Pendant ce temps, la gauche féministe n'y trouve rien à redire. Admettre cette réalité signifierait écorner la propagande des cultures "qui se valent" et reconnaître un grave problème avec certaines ethnies. C'est une preuve supplémentaire de la superficialité de la propagande, juste bonne à accuser les Suisses de "populisme".
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"Que peut-on attendre de gens qui se considèrent comme des chiens? Les chiens, chez nous, on les tient en laisse!"
Le Tribunal pénal jugeait trois ressortissants kosovars établis à Porrenttruy prévenus de contrainte sexuelle pour l'un, de la même prévention avec en plus un viol de leur victime pour les deux autres.
Le premier a écopé d'un an d'emprisonnement et les deux autres de trois ans de prison chacun. Sans sursis, bien sûr, le président Pascal Chappuis rappelant que les antécédents des prévenus sont très mauvais.
L'histoire du chien se rapporte aux déclarations d'un des prévenus qui se comparait à un chien, pris par le feu, par un instinct primaire et animal.
Un viol durant la nuit de Noël
Durant la nuit de Noël de 2013, les trois hommes avaient fraternisé avec deux jeunes filles qui faisaient des courses en ville.
Les trois hommes ont ensuite ramené chez elle l'une des deux filles, puis ont profité du retour pour s'attaquer à la seconde. Là, "les masques sont tombés" a témoigné la jeune femme hors de la présence de ses bourreaux. Ce procès s'est tenu à huis clos mercredi et jeudi à Porrentruy.
Durant ce trajet, le premier homme l'a forcée à une relation sexuelle orale, a tenté d'aller plus loin alors qu'elle résistait.
Par moments, la victime était tétanisée. Frustré dans son désir, l'homme a abandonné ses deux comparses à Porrentruy.
"Il est passé directement de la séduction à l'action, sans autre forme de procès", constate le président Chappuis. Il y a bien contrainte sexuelle.
Les deux autres prévenus vont alors prendre le relai, s'acharnant en duo su leur victime, ajoutant viol à la contrainte sexuelle.
La fille crie, se débat, hurle sa douleur. Cela se passe devant les cabanes du Banné à Porrentruy, vers minuit, à l'heure où l'Ajoie fête la naissance d'un divin enfant.
L'un des deux auteurs dira plus tard de son complice "qu'il se comportait comme une bête".
Pas de regrets et pas de mots pour décrire la violence infligée.
Comme souvent, il y a deux versions.
Celle de la victime est précise, constante, observe le tribunal.
L'homme prévenu de contrainte niera tout jusqu'au bout. Il avait déjà utilisé cette ligne de défense en janvier 2015 lors d'un procès pour brigandage où il avait écopé de 2 ans de prison.
Les deux autres prévenus, dont un des frères du premier, nieront tout. Puis ils admettront leurs actes sexuels, mais en précisant que la victime était consentante.
"Une fille facile", dira l'un des prévenus. Cette appréciation fait bondir le président Chappuis. Ils n'ont pas hésité à commettre ces actes à l'insu de leurs épouses ou compagnes, l'un d'eux étant marié depuis 15 jours.
Difficile d'admettre qu'ils veuillent juger des mœurs de leur victime.
Composé encore d'Emilienne Trouillat et de Michel Rion, le Tribunal pénal est convaincu de la culpabilité des trois hommes. Ceux-ci ont agi égoïstement, sans empathie, pour leur victime, qui n'a jamais consenti à ce qui s'est passé.
"Mais je crois que l'élément central est l'absence totale de regrets. Ils n'en ont jamais manifesté à l'égard de leur victime, ils n'ont jamais voulu entendre sa détresse. Face à cette violence, les mots viennent à manquer", continue Pascal Chappuis. La responsabilité des violeurs est particulièrement grave, puisqu'il y a contrainte sexuelle et viol et qu'ils ont agit ensemble.
Les deux frères, déjà condamnés à deux ans de prison chacun (dont un an de sursis pour l'un d'eux), ont déjà retrouvé la liberté.
Cette affaire de viol et de contrainte sexuelle s'étant produite avant leur procès pour brigandage, les peines infligées hier s'additionnent donc simplement. Le troisième homme avait déjà été condamné dans une affaire de stupéfiants. Le juge renonce à lui faire sauter le sursis, les deux délits étant très différents.
Et contrairement à sa décision de janvier 2015, le juge Chappuis n'a pas ordonné l'arrestation immédiate des prévenus, estimant notamment le risque de fuite peu élevé. Et il y aura sans doute recours.
Une jeune fille en partie détruite
Âgée de 17 ans au moment de son viol, la jeune fille a aujourd'hui de lourdes séquelles psychiques consécutives à cette affaire, est prise en charge par l'AI.
Le Tribunal pénal reconnaît l'existence de prétentions financières de sa part, mais préfère laisser aux juges civils le soin de les chiffrer. Les frais judiciaires dont devront s'acquitter les prévenus s'élèvent à 55'000 fr., que le tribunal a réparti en trois parts presque égales.
Leur victime recevra une indemnité de 14'000 fr. pour ses frais d'avocat. Il y a cependant une probabilité assez forte pour que l'essentiel soit assumé par l'État, par le biais de l'assistance judiciaire.
Source: Le Quotidien Jurassien du vendredi 18.11.2016 page 7
Nos remerciements à
Rappels:
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