Christian Hofer: On relèvera toute la naïveté de cette directrice qui pense encore qu'il y a une interaction possible alors que l'islam déteste tout ce qui est étranger à son mode de pensée.
Ce ne sont pas ces communautés qui changeront mais les Européens qui devront s'acclimater, face au nombre et par la force de leurs us et coutumes puisque la gauche a tout fait pour détruire les nôtres.
Quant à parler d'un "enrichissement mutuel", qu'elle nous explique où il se trouve lorsqu'une fillette de 8 ans porte le voile ou lorsque ces mêmes enfants sont interdits de cours de musique. On nous demande donc de nous ouvrir à des cultures complètement hermétiques qui ne sont ici que pour profiter. Je vous laisse deviner qui sera le perdant.
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La directrice de l'école polyvalente "Julius Caesar" dans la ville de Mestre a décidé d'introduire dans son école un quota maximum de 40% d'étudiants étrangers dans chaque classe.
Trop d’enfants étrangers dans les salles de classe, il est impossible d’étudier. A l'école polyvalente « Julius Caesar » à Mestre, près de Venise, 7 élèves sur 10 sont des étrangers.
Une classe est composée de 24 enfants bengalais et d'un italien et les leçons, comme on peut le lire sur Libero, progressent lentement parce que les étudiants étrangers n'arrivent pas à communiquer avec l'enseignante et les médiateurs culturels sont trop peu nombreux.
Les jeunes filles musulmanes, pour des raisons religieuses, ne peuvent pas jouer de la flûte, et donc ne participent pas au cours de musique,et celles de 8-9 ans se présentent à l'école avec le voile.
La directrice, Rachel Scandella, a déterminé que dès l'année prochaine dans les nouvelles classes, le pourcentage des élèves étrangers ne pourra pas dépasser 40%, tirant ainsi parti des possibilités offertes par une circulaire datant de 2010 du ministère de l' Education qui permet d'abaisser la limite jusqu'à un seuil de 30%.
"Les raisons de cette décision - dit -elle - sont loin d'être des questions politiques. La mienne est un choix de gestion. La direction que prend cet établissement n'est pas bonne. Avec de tels chiffres, nous ne sommes pas en mesure de garantir la qualité de l'éducation , ni aux enfants italiens ni aux étrangers ». La présidente parle de sections «ghetto» et explique: «Les classes monoethniques sont un problème encore plus important, il n'y a pas d'enrichissement, la question de l'inclusion est contournée. Je veux que cette petite fille qui ne peut pas jouer de la flûte sache qu'il est tout à fait permis de le faire", je veux que l'école, qui doit offrir un service éducatif, donne l'occasion d'en apprendre davantage sur les différentes cultures afin de lui permettre un jour, en tant qu'adulte, de choisir librement. «Si toutes les familles d'une classe sont bengalaises - continue Rachel Scandella - la confrontation et la contamination croisées avec la culture italienne deviennent presque impossibles." Les mères qui attendent leurs enfants à la sortie de l'école ne parlent pas italien et cela complique encore davantage l'apprentissage de notre langue.
A l’école maternelle de « Jules César », dans laquelle on atteint un pic de 96 % d'enfants extra-communautaires, avec tous les problèmes qui en découlent.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Appels à la fin des «activités politiquement correctes» après qu'on ait donné l'ordre à des enfants de l'école primaire à apprendre à prier dans une mosquée avec des prédicateurs radicaux.
Une vidéo, prise l'année dernière, est apparue montrant des enfants néerlandais dans une mosquée
Harm Beertema du Parti pour la Liberté a exhorté les parents: «Refusez de permettre à votre enfant de participer '
Des parents en colère ont exigé qu'une école primaire en Hollande modifie son programme après l'apparition d'une vidéo montrant des enfants qui apprennent à prier dans une mosquée.
Les médias locaux ont déclaré que la mosquée en question était le Ghulzar e Madina, située dans la ville de Zwolle, qui a déjà été visitée par des prédicateurs radicaux du Pakistan.
Parmi eux se trouvait Anas Noorani Siddiqui, qui a promu la peine de mort pour ceux qui insultent le prophète Mahomet et qui a déclaré une fois que "les Néerlandais non musulmans se comportent comme des chiens et des b*****s."
La vidéo montre un imam expliquant aux enfants comment les musulmans prient, tous les garçons forcés de se tenir sur un côté de la pièce tandis que les filles sont de l'autre côté.
On dit aux enfants, dont la plupart sont censés être des chrétiens, de mettre leurs « coudes sur le sol » et leurs « mains près des oreilles ».
(...)
Sur les médias sociaux des centaines de parents ont réagi, certains partageant leurs propres histoires de « programmes scolaires politiquement corrects ».
Un parent a déclaré: 'J'ai récemment découvert que mon fils a été forcé de chanter "bienvenue, bienvenue réfugiés" au lieu des chants de Noël.'
Un enseignant a déclaré que son école avait été visitée par les inspecteurs de l'éducation qui ont demandé pourquoi 4 classes 'n'avaient pas encore visité une mosquée cette année'.
Le programme national néerlandais stipule que les enfants doivent « apprendre les principaux éléments sur les religions qui jouent un grand rôle dans la société néerlandaise multiculturelle ».
(...)
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Mon petit-fils a reçu de ses parents un cadeau pour sa confirmation : une chaînette avec une croix qu’il a laissée à son cou pour aller à l’école, le lendemain, dans un village au nord de Lausanne.
Son prof, voyant son collier avec la croix, lui demande de l’enlever, ce qu’il a refusé de faire.
Il le menace alors d’une heure d’arrêt, mais mon petit-fils, soutenu par ses camarades, tient tête durant toute la période. En rentrant à la maison, il raconte cette histoire à ses parents. Ma fille prend rendez-vous avec le doyen qui convoque le prof et l’élève pour la première heure de cours le lendemain matin. Etant donné que le jeune de 14 ans est resté calme et poli, il n’est plus question d’heure d’arrêt et il ne voit rien de contraire à la loi en portant une croix alors que des filles vont à l’école voilées.
Ce fait étonne simplement dans le contexte que l’on connaît et où l’Occident perd son âme à force de tolérance envers les autres religions.
Traduction de l’émission radio « Echo der Zeit » sur SRF1 abordant le thème des classes de Bienvenue en Allemagne :
Presque 900’000 migrants et réfugiés sont venue en 2015 en Allemagne. Cette année, d’après les estimations, ils seront encore une fois 300'000. Le premier pas logistique est réussi : tous ont un toit au-dessus de la tête. Cependant le processus de l’Intégration est actuellement bien plus difficile : pour ceux qui peuvent rester en Allemagne, mais aussi temporairement pour ceux qui doivent repartir à un moment donné ou tôt ou tard.
Correspondant de l’Allemagne Peter Vögeli a visité une classe de Bienvenue à Berlin Moabit au Gymnase « Tiergarten ».
Interview avec un professeur de l’école à Berlin, M. Axel Barmer, 62 ans. « L’école dans laquelle je travaille possède un taux très élevé d’élèves non natifs d’Allemagne (ne provenant pas d’Allemagne). J’estime ce taux à environ 80% ». Barmer n’est pas un enseignant quelconque. Durant de longues années, il a enseigné l’allemand comme langue étrangère. En France, en Ethiopie, en Roumanie et en Turquie. Depuis l’année passée, il travaille dans une classe dite « classe de Bienvenue ». Dans celle-ci sont accueillis des réfugiés, mais aussi des enfants des personnes migrantes ou immigrées avec des connaissances de langues insuffisantes qui apprennent intensivement l’allemand.
Dans la crise migratoire, Barmer s’est porté volontaire.
12 élèves sont dans la classe, ils ont entre 13 et 14 ans, venant de pays différents comme l’Afghanistan, la Croatie, la Russie. Concrètement parmi d’autres branches, les élèves ont 18 heures d’allemand intensif par semaine. Le but étant qu’après une année d’allemand, qu’ils arrivent à passer dans une classe nommée « Regelklasse », une classe ordinaire.
Il y a un vrai problème que même le professeur reconnait. Le bilan personnel est amer.Il est surpris de voir à quel point le Land de Berlin investit du temps, de l’argent et de l’énergie pour les classes de Bienvenue et au bout, il y a peu de résultat.
En vertu de son expérience surtout en Ethiopie, le professeur estime que ceci est faisable. Barmer est fasciné des résultats d’apprentissage de ses élèves en Afrique. Mais ici cela ne fonctionne pas.
M. Barmer poursuit : « Je ne peux que parler de mes élèves et donner une estimation : des 12 élèves qui sont dans ma classe, il y en a 2 élèves qui vont réussir pour l’été prochain ».
Le journaliste demande ce qui va se passer avec le reste des élèves. Barmer répond : « Les autres, oui, je ne sais pas ce qui va se passer avec ceux-ci. Un à moment donné, ils n’auront plus l’âge pour la scolarité obligatoire. Ils ne recevront pas de place de formation puisqu’ils n’auront pas achevé le parcours scolaire. S’ils ne peuvent ni écrire, ni lire correctement, ni parler l’allemand de manière correcte, ils n’auront aucune chance dans notre société ».
Le maître essaie aussi de leur enseigner ceci. « Beaucoup de langues, beaucoup de jobs, pas de langue, pas de job ». Cependant pour beaucoup, l’école est une place de jeu d’aventure. Nombre d’entre eux ont cru plus tard pouvoir garder la tête hors de l’eau en devenant vendeur de Kebab. Le père (qui détient un rôle d’éducation important auprès des garçons) manque souvent et la mère n’a aucune autorité. Mais si le père était en Allemagne, celui-ci conseillerait aux professeurs de frapper les élèves, ce qui n’est ni habituel ni autorisé ici.
À la place de cela, il y a des procédés compliqués. Axel Barmer fait allusion à l’exemple d’une conférence de classe, suite à une bagarre entre deux élèves.
Il explique : « Les parents doivent être présents, les représentants des élèves sont invités, les traducteurs (dans ce cas, c’était perse et arabe) doivent être sollicités, la direction de l’école doit être présente ainsi que l’ensemble de tous les collègues professeurs qui enseignent cette classe. Le temps d’entrée pour l’invitation est de 10 jours, c’est-à-dire que je dois annoncer cette conférence 10 jours avant et inviter toutes les parties concernées. Nous avons encore invité en plus un travailleur social et un psychologue de l’école.
Ainsi ils étaient tous présents : l’élève ainsi que les parents n’étaient pas là".
La sanction possible de ce procédé fastidieux aurait été un renvoi. Barmer continue : « Et que fait un élève arabe qui s’est battu et qui reçoit un renvoi, il ne comprend pas du tout ce que c’est. À la prochaine occasion, il jette le papier dans une poubelle.
« Il y aurait plusieurs raisons à ce manque de succès » déclare le professeur. (…) Mais les classes sont composées d’un mélange farouche de différents élèves : Des élèves surdoués ou des élèves avec un trouble d’apprentissage voire des élèves présentant un handicap d’apprentissage, des élèves avec de bonnes connaissance préalables et des analphabètes. Et non seulement l’histoire de guerre et de fuite, mais également les conditions des réfugiés à Berlin sont parfois très difficiles. Barmer joint un exemple : « Un de mes élève qui se fait remarquer m’a montré des photos de son hébergement. Le jeune a 15 ans et cohabite avec 7 hommes parlant l’arabe dans une pièce. Ils n’ont aucun endroit pour se retirer, il n’y a pas de parois de séparations entre les lits. Ce jeune de 15 ans m’a raconté que la nuit, il ne pouvait pas dormir parce qu’ils sont bruyants et qu’ils n’ont pas de rythme journalier réglé (ils viennent et partent quand ils le veulent) ».
Parfois les élèves ne viennent plus et cela dure des jours jusqu’à ce que l’administration de Berlin fasse des enquêtes. La direction de l’école est motivée, l’administration est plutôt dépassée. Par exemple, même après 3 mois, ils n’ont pu attribuer aucune place dans une classe ordinaire à un élève brillant.
Tous ces problèmes ne sont pas nouveaux et il y a une accumulation. Axel Barmer craint la création de sociétés parallèles, la formation de ghettos, lesquels existent jusqu’à maintenant en France mais pas en Allemagne. En Allemagne on parle encore d’Intégration, en France uniquement de sécurité.
Il y a aussi des exemples positifs d’une classe de Bienvenue. L'exemple d’une classe qui se trouve deux étages plus haut dans le même bâtiment de l’école Berlin Moabit. Les élèves provenant d’Europe de l’Est, du Portugal, d’Afghanistan et de Syrie parlent bien l’allemand ce qui est positif. Ce qui est touchant c’est leur grand engagement pour apprendre la langue afin d'atteindre leur but ; comme par exemple cette jeune fille originaire de Syrie qui veut devenir journaliste.
Deux étages plus bas, le professeur Barmer doit en même temps tirer un bilan dégrisant au sujet de l'un de ses élèves également originaire de Syrie. « Il est là depuis le mois de février et malgré un enseignement intensif (nous avons 18 heures d’allemand par semaine), en principe il ne sait rien ». Le professeur - expérimenté - suppose que cet élève a une difficulté d’apprentissage. Mais la psychologue de l’école, n’a rien pu constater et a délégué le problème en retour.
Après le grand état d’urgence de la crise migratoire en 2015 le quotidien en 2016 est difficile.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Délicieuse trouvaille, l’intégration des réfugiés africains passe aussi par la suppression des chants de Noël, aussi étrange que cela puisse paraître.
A Rimini, les enfants de deux écoles ne chanteront plus : «Tu descends des étoiles oh Roi du ciel pour venir dans une grotte glaciale…» jugé trop chrétien, mais sera remplacé par un chant africain, et ce, pour favoriser l’intégration.
Mais l’intégration de qui, sommes-nous en droit de nous demander. Des enfants italiens aux migrants africains évidemment ! Quelle question.
Ce phénomène étrange est devenu la norme dans notre Europe toute dévouée au multiculturalisme.
Aucune note, aucune parole de ce chant de Noël tant aimé ne résonnera bientôt plus. Telle est la décision prise par la direction de deux écoles primaires de Rimini. Décision qui efface sans état d’âme nos racines chrétiennes devenues une tare pour les tarés de l’UE et leurs serviteurs zélés.
Les cultures étrangères trouvent grâce auprès de nos disciples du multiculturalisme, à l’exception de la nôtre, obsolète, indésirable, minable et terne— et ils pensent : suprémaciste, raciste et colonialiste.
Ce choix de remplacer un chant chrétien par un africain fait partie d’un projet sur la fraternité entre les peuples visant à l’intégration de toutes les cultures. Je dirais plutôt, visant à l’intégration de la culture européenne aux cultures arabo-musulmane et africaines, afin de la diluer et la faire disparaître dans le néant.
Perplexité, incompréhension et protestations de la part des parents à propos de ce choix qui représente une attaque directe aux racines chrétiennes de Noël. «Pourquoi ne pas faire chanter aux enfants les deux chants ?» demandèrent les parents.
Et les responsables de répondre : «le chant chrétien a été interdit, car il pourrait heurter la sensibilité des enfants et des parents qui appartiennent à une autre religion.»
Hypocrites, ils n’osent même pas désigner cette «autre religion».
En raisonnant de la sorte, nous faisons perdre à nos enfants nos valeurs et nos traditions.
Outre les traditions, Noël perd aussi un peu de sa magie, celle de l’émotion des parents, qui les yeux humides et attendris écoutent leurs enfants entonner les chants de Noël qui émerveillèrent notre enfance.
En supprimant les chants de Noël, on efface nos racines et notre culture.
Il ne peut y avoir d’intégration par la désintégration de nos traditions, seulement un abus du pouvoir qui tôt ou tard incitera à la révolte.
D’autres écoles primaires, voire même des maternelles, dans un même souci de respect de la si délicate sensibilité musulmane, ont décidé de supprimer le doux nom de «Jésus» des chants de Noël.
«Jésus» serait-il désormais devenu le nom le plus dangereux, le plus effrayant, le plus sacrilège de la terre, au point d’interdire aux petits enfants de le prononcer ?
Si l’on veut demeurer dans l’absurde le plus abyssal, à quand les chants de Noël halal à la gloire de Mahomet ?
Les enfants immigrés en Suisse devraient suivre des cours dans leur langue maternelle au lieu d'apprendre deux langues étrangères à l'école. C'est ce qu'avance un spécialiste du syndicat des enseignants alémaniques (LCH).
Les capacités en lecture dépendent de la première langue, dite maternelle, explique Jürg Brühlmann à l'ats, revenant sur un article de la NZZ am Sonntag. Si des problèmes surgissent déjà dans l'apprentissage de celle-ci, l'apprentissage d'une langue supplémentaire sera d'autant plus difficile.
Si les enfants immigrés ne devaient pas apprendre une 2e langue étrangère à l'école, ils pourraient libérer davantage de capacités pour l'apprentissage de l'allemand, poursuit Jürg Brühlmann.
L'albanais plutôt que le français ou l'anglais
Le spécialiste plaide pour que la langue d'origine soit davantage valorisée. Les compétences dans celle-ci doivent être reconnues et mentionnées dans le bulletin scolaire. Ainsi, on y trouverait par exemple - en Suisse alémanique - l'albanais à côté de l'allemand et des deux langues étrangères que sont l'anglais ou le français.
Jürg Brühlmann estime que l'albanais justement peut être d'une grande utilité plus tard pour des métiers comme ceux du personnel soignant ou de la vente.
Saint Nicolas est un personnage bien connu notamment des petits enfants alsaciens. Sa fête, le 6 décembre, annonce en quelque sorte que Noël est proche et, dans les écoles, les petits attendent avec impatience autant sa visite que la distribution de friandises qui l’accompagne. Cette très antique tradition n’est pas du goût de certains tant elle offense, à leurs yeux, la “sainte” laïcité. Ce fut le cas cette année dans les écoles maternelles Les Coccinelles et Les Pâquerettes de la commune d’Huningue dans le Haut-Rhin. Les directrices de ces deux maternelles ont fait savoir aux parents d’élèves que saint Nicolas ne passerait pas cette année au nom du principe de respect de la laïcité… Elles ont oublié, sans doute, que la coccinelle est plus connue des tout-petits comme « la bête à Bon Dieu » et que la pâquerette renvoie à la fête de Pâques… En matière de laïcité, elles repasseront ! Elles ont surtout oublié que la loi de 1905 ne s’applique pas en Alsace concordataire ! Les tout-petits sont déçus, les parents furieux et le maire fort mécontent de l’initiative déplorable des deux directrices sectaires…
Non, saint Nicolas ne passera pas, cette année, dans les écoles maternelles les Coccinelles et les Pâquerettes à Huningue. La décision vient des deux chefs d’établissement et contrarie fortement Jean-Marc Deichtmann, maire de Huningue, et Clarisse Guerné, adjointe au maire chargée affaires scolaires et périscolaires. Aussi, les deux élus ont-ils adressé un courrier aux deux directrices d’école, dans lequel ils expriment leur incompréhension. « Nous venons d’apprendre par des parents d’élèves très en colère que vous aviez décidé, sans les avertir, de ne pas faire venir saint Nicolas, patron des écoliers, “par respect de la laïcité”. Nous sommes pour le moins surpris et déçus par cette décision qui ne concerne que les deux écoles maternelles de Huningue ! En effet, toutes les écoles des villes et villages des alentours continuent de fêter cette tradition qu’est la Saint-Nicolas. Votre hiérarchie nous a confirmé que la demande ne venait nullement d’elle ». Et les deux élus d’argumenter que « comme toutes les fêtes traditionnelles, la Saint-Nicolas crée un lien social précieux, particulièrement en ce moment où celui-ci est très difficile à tisser. En la supprimant, vous stigmatisez une partie de la population qui n’a, pour la grande majorité, rien demandé. Votre rôle, plutôt que de donner raison à des expressions sectaires de la laïcité, n’est-il pas d’accompagner par des explications les très rares personnes choquées par cette tradition afin de faciliter leur intégration ? ». Sollicitées par nos soins, les deux enseignantes n’ont pas souhaité s’exprimer.
Source : L’Alsace, 8 décembre via Christianophobie.fr
Le monde arabe va jouer un rôle bien plus important dans les écoles de Berlin. Récemment quatre écoles élémentaires berlinoises proposent en projet la "langue maternelle en arabe". Avec cela les élèves d'origine arabes reçoivent deux heures de cours en arabe par semaine dans des petits groupes éducatifs en plus de la leçon usuelle.
"A la fin de la quatrième année, ces élèves doivent maîtriser l'arabe écrit et parlé", déclare Birgit Habermann, Directrice de l'école primaire Erika-Mann à Wedding. L'offre rencontre un grand intérêt.
L'énorme demande n'est pas surprenante car à Berlin l'arabe n'était auparavant enseigné que dans deux petites écoles privées, seulement en tant que langue étrangère, et pas du tout dans les écoles publiques. Celles-ci proposent de préférence le japonais ou le chinois. A Berlin, le nombre de personnes de langue arabe est très important et a encore augmenté avec l'exode massif de Syrie.
Le Sénat est en train de préparer la prochaine grande étape. Selon les informations du Berliner Zeitung, à Berlin au moins une école arabo-allemande est prévue, calquée sur le modèle des écoles publiques européennes. Cela devrait aider à l'intégration et les gens d'origine arabe devraient être appréciés à Berlin a-t-on déclaré dans l'entourage de la sénatrice du SPD Sandra Scheeres (parti de gauche).
En effet, les Rouge-Rouges-Verts ont prévu, via un accord de coalition, que l’éducation et la formation bilingue soient élargies. Le turc, l'arabe et le kurde, tout comme les langues d'Europe de l'Est en général ont été expressément mentionnés.
(...)
Plus particulièrement, les Verts ont fait une forte campagne lors des pourparlers de la coalition pour l'expansion des cours de langue arabe ou turc. « Il est important que l'on puisse aussi apprendre constamment une telle langue », a déclaré la politicienne du parti des Verts Stefanie Remlinger. Dans le futur, l'arabe deviendrait également une matière de baccalauréat
(...)
Cependant, de nombreux responsables d'établissement nourrissent la crainte qu'une école qui propose l'arabe soit bientôt dominée par la population arabophone. Ce serait contre-productif si les élèves ont trop peu de modèles de langue allemande pour bien apprendre l'allemand, déclare une directrice qui a refusé d'être nommée.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Tout cela se fait évidemment sans que les parents puissent s'y opposer...
Bien entendu, cela tournera autour de témoignages d'enfants afin de faire larmoyer les élèves en passant sous silence que la grande majorité des migrants sont des hommes qui viennent en Europe pour des raisons économiques ou des femmes enceintes qui seront à notre charge, leur enfant leur permettant de ne pas se faire expulser tout en faisant passer à la caisse l'autochtone pour les besoins de leurs progénitures. Un mensonge qui sera ainsi propagé directement dans les établissements publics sous couvert de l'étiquette valorisante d'ONG.
"D'ici quinze jours, les trois animateurs de Terre des hommes qui organisent ces ateliers auront visité soixante établissements scolaires dans tout le pays."
Une classe de troisième a été interdit de visiter une église catholique dans le cadre d'une excursion. Dans le même temps, les parents d'un élève qui refusaient que leur enfant visite une mosquée ont reçu une amende. La liberté de religion en 2016.
Pendant des années, l'excursion pour la Communion à l'Eglise catholique locale des élèves de troisième année de l'école élémentaire de Ebersberg a été une tradition chère à la municipalité. Cependant, au printemps prochain, cette excursion sera annulée. Le directeur interdit la visite de l'église durant les heures de cours et justifie son interdiction en déclarant qu'il n'est pas admissible d'amener des élèves et des parents, qui ne font pas partie de la foi catholique, à subir, à cause de cette visite, un dilemme de conscience personnel et de détresse.
Toutefois, toute la thématique devient absurde, avec la décision simultanée d'une école dans le nord de l'Allemagne à Rendsburg. Il y avait là, dans le cadre de l'enseignement de la géographie (!) une visite d'une mosquée. Un écolier de 13 ans a refusé de participer à la visite pour des «raisons idéologiques». Même ses parents ont refusé de se soumettre à la pression de la direction scolaire. Ils craignent un «endoctrinement religieux» de leur enfant. Ils refusent le paiement de l'amende qui s'élève à 300 euros.
Cette mosquée gérée par une association, laquelle est surveillée par les services secrets allemands, n'est pas inquiétante pour le Département. De plus; même la participation de l'étudiant à un cours de remplacement dans une autre classe ne doit pas être acceptée selon le Département.
Dès lors, pendant que les visites dans les églises catholiques conduisent les personnes à "des dilemmes de consciences et de détresse", les visites des mosquées sont par contre forcées et sous la contrainte.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
(la photo utilisée n'est qu'une illustration et provient de l'article source)
[ Devant l'émotion suscitée par l'affaire de Rensburg - voir ci-dessous - le ministère de l'Éducation du Schleswig- Holstein, dirigé par Britta Ernst (SPD), a répondu aux questions de la presse régionale.]
- L’avocat [des parents] affirme que le père a demandé qu’on propose à son fils un cours alternatif, éventuellement dans une classe parallèle; cela aurait été refusé. Est-ce exact ?
- Réponse [du ministère] : Oui, le père avait proposé comme alternative que son fils assiste aux cours d’une classe parallèle. L’établissement scolaire a refusé, car dans le cadre des programmes de géographie on doit donner aux élèves un aperçu sur la culture des sociétés musulmanes. En faisant visiter la mosquée dans le cadre des cours de géographie, l’établissement scolaire répond à l’objectif pédagogique fondamental de la loi sur l’école du Schleswig-Holstein [...] : « L’école doit favoriser l’ouverture des jeunes vis-à-vis de la diversité culturelle et religieuse, leur volonté d’entente entre les peuples et leur aptitude à promouvoir la paix. »
Ouvrir son cœur et son esprit
Ouvrir les portes du paradis
A tous ceux
Qui ont l’enfer au fond des yeux
Ouvrir son cœur et son esprit
Ouvrir les frontières de son pays
A ceux qu’on a
Privé du droit de vivre heureux
Je ne peux plus voir tous ces gens
Mourir sous les roues d’un train
Partant pour le pays
Qui ne veut pas les recevoir
Je ne veux plus
Voir ces troupeaux d’humains
Dériver sur ces bateaux
Sous le regard de ceux qui ne veulent rien voir
Refrain :
Je veux chanter des mots d’enfants
A vous messieurs que l’on nomme grands
Quand on est grand
On ne peut pas ne pas savoir
Savoir ces femmes et ces bébés
Qui n’ont même plus d’eau pour pleurer
Le savoir et faire comme si
Les aider n’était pas un devoir
Car il y assez d’argent
Assez de terre pour tous les gens
Et pour qu’aucun ne soit jamais chassé
Du monde où il est né
Car il y a assez de temps
Pour que demain soit maintenant
L’univers dont tous les hommes
Ont toujours rêvé
Je fais ce rêve et je le dis
A tous ceux
Qui m’entendent et qui rient
Parce qu’ils croient
Que seul à raison le pouvoir
Et je sais que le jour viendra
Où ce rêve enfin deviendra la
Réalité que nous méritons tous d’avoir
Lucerne: Le canton ferme ses écoles pour économiser 4 millions
Cette semaine supplémentaire de vacances permet au canton d'économiser 4 millions de francs. Pendant cette période, les enseignants ne sont pas payés.
«Vacances forcées»
Les opposants parlent de «vacances forcées». L'association des élèves du secondaire vlm et le syndicat des services publics SSP/VPOD protestent contre cette mesure pendant toute la semaine sur la Place du théâtre à Lucerne.
Le canton économise le salaire des enseignants sur le dos des élèves, peut-on lire sur un tract distribué lundi par vlm et le SSP. Cette mesure est considérée comme la plus indigne d'une longue liste d'économies imposées aux écoles lucernoises.
Il ne s’agit pas de leur donner un véritable choix sur l’accueil des migrants dans le pays, puisque sur ce sujet, les élèves français n’ont pas leur mot à dire, ils sont censés être pour! Le livre scolaire leur propose par contre de choisir entre trois rôles bien précis dans le but d’en faire une rédaction. Alors, quel rôle va-t-il choisir? Un(e) réfugié(e) afghan(e), un Maire prêts à accueillir des réfugiés dans sa commune? Ou le président de l’Association Terre d’asile?
Ne cherchez pas, il n’y a pas de quatrième choix. Est-ce comme cela qu’un débat se lance ou que l’on pousse nos enfants à la réflexion?
Le pape François a accusé dimanche les manuels scolaires français de propager un "sournois endoctrinement de la théorie du genre", tout en rappelant la nécessité d'accueillir avec miséricorde les personnes homosexuelles et transsexuelles.
S'exprimant devant les journalistes dans l'avion qui le ramenait à Rome après trois jours dans le Caucase, le pontife argentin a raconté une anecdote rapportée par un père de famille français, effaré que son fils de 10 ans envisage de devenir une fille.
Pour le chef de l'Eglise catholique, "avoir des tendances homosexuelles ou changer de sexe est une chose", mais "faire un enseignement dans les écoles sur cette ligne" en est une autre.
Christian Hofer: On rappelle que les Frères musulmans conseillent d'utiliser tous nos outils démocratiques et toutes nos lois pour faire pression sur les sociétés non musulmanes et ainsi grignoter nos... libertés. En clair, utiliser nos libertés qu'ils haïssent pour mieux nous détruire.
L'exemple le plus parlant étant celui du recours à la Cour européenne des droits de l'homme alors que l'islam ne reconnaît pas ces droits.
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La semaine dernière, le conseil scolaire de Bâle-Campagne a refusé de lever la mesure disciplinaire décidée par l'école, qui permet aux enseignants d'exiger qu'on leur serre la main au début et à la fin des cours.
Vendredi, on apprend que la famille a fait appel de cette décision. C'est donc le Conseil d'Etat qui devra trancher.
Christian Hofer: A noter que Halua Pinto de Magalhães a pu bénéficier de nos écoles pour obtenir son diplôme, prenant ainsi la place d'un Suisse alors que ces écoles sont le produit de notre pays.
Bien entendu, le même individu milite pour les siens en retour: il est coprésident Second@s Plus Suisse, une officine qui visait la suppression de notre drapeau national, et il est Conseiller municipal, commission des finances, sécurité et environnement, commission pour l’énergie. Il se gave donc de notre pays, de notre niveau de vie tout en méprisant la population autochtone et en s'acharnant contre elle.
On ne sait pas trop ce qu'il serait devenu dans son pays d'origine mais sa seule préoccupation est de dissoudre le pays qui l'a accueilli, de détruire la spécificité suisse qui lui a donné sa chance.
Enfin, il est clair qu'il y a aussi un risque de favoritisme de la part de ces professeurs étrangers, aidant les élèves qui partagent la même origine, la même religion et délaissant les autres. Que se passera-t-il pour les Suisses? Alors que notre pays est neutre, les leurs sont orientés politiquement et religieusement, comme on a pu le voir avec Hani Ramadan. Mais bien entendu, ces socialistes se fichent lorsque cela se fait au détriment des autochtones.
Nous avons là une variante du mensonge socialiste qui pointe du doigt les "méchants blancs racistes" alors que les autres seraient exempts de reproches. C'est évidemment aussi un excellent tremplin pour le remplacement de la population locale, les migrants ayant plus de chances que les autochtones eux-mêmes dans les filières de formation, défigurant de manière irréversible notre système, les Suisses se faisant éduquer par ceux qui les remplacent.
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Un postulat des conseillers socialiste SP Fuat Kocer et Halua Pinto de Magalhães demande de privilégier les enseignants issus de l'immigration lors de la candidature.
Selon le "Bund", ils demandent "qu'à qualifications égales, lorsque deux enseignants postulent pour une même place, la personne issue de l'immigration doit être engagée". Köçer déclare que cela devrait améliorer la communication entre les élèves, les parents et les professeurs. "Les professeurs pourraient servir de modèle aux élèves."
Ces enseignants pourraient générer un lien de confiance entre les parents étrangers et devraient faciliter la coopération entre les familles et l'école. «Si un enfant issu de l'immigration a de mauvaises notes, les parents peuvent penser que les enseignants le traitent de manière injuste en raison de son origine (Nd Christian Hofer: Bien entendu à contrario, un enseignant étranger serait *tout à fait neutre* avec un Suisse). Si de nombreux professeurs sont d'origine étrangère, cette excuse deviendrait obsolète déclare Köçer au 20 Minutes.
Tamara Funiciello, Présidente des Jeunes Socialistes Suisses (Celle qui appelle à violer la loi en faveur des clandestins), salue la demande. "Pour le Suisse, beaucoup de choses considérées comme normales dans le système scolaire sont totalement étrangères pour le migrant. (...) Les enfants ne peuvent pas pleinement exploiter leur potentiel."
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
"On les tue. Si l'un d'eux rejette l'islam, on doit le tuer», répète la femme voilée. "Vous devez tuer les apostats, fouetter les adultères, jeter du haut des bâtiments les plus élevés les homosexuels"
https://youtu.be/bF_Lb6WRz7U
Dans le film, tourné en secret , en août dernier et diffusé par Live Leak, l'enseignante explique aux filles en burqas dans une école salafiste du Royaume-Uni comment se comporter selon les préceptes du Coran. "Nous devons haïr celui qui hait Allah" déclare l'enseignante "et aimer celui qui aime Allah: surtout dans un pays comme celui-ci où il y a des non musulmans."
"Ceux-ci sont des musulmans qui ont décidé d'abandonner l'islam. Que ferons-nous? Est-ce que nous allons les tuer? demande la femme, qui répète encore une fois: "Tuer". Un étudiant demande: "Ceux qui rejettent l'islam?". "Oui, les tuer. Vous devez les tuer, vous avez compris? Nous sommes en train de parler de l'islam."
"La sentence pour l'adultère? La lapidation. Jusqu'à la mort. Et pour celui qui n'est pas marié? On le fouette. Oui 100 coups de fouet."
"Nous n'agirons et ne vivrons pas comme des animaux ou ressembler comme le peuple de Lot (homosexuels). Nous devons appliquer le jugement. Le jugement est de les tuer."
"Le jugement pour les homosexuels est de les jeter du point le plus élevé puis de les lapider."
"Vénérer Allah n'est pas suffisant. Nous devons haïr dans nos coeurs ce qui déplaît à Allah et aimer ce qu'il aime."
"Nous devons haïr ce qui déplaît à Allah, spécifiquement lorsque nous vivons dans ce pays avec les non musulmans."
"En vérité nous sommes libérés de vous et de ce que vous adorez à côté de l'Allah.
"Nous vous avons rejetés et entre nous et vous sont apparues l'hostilité et la haine pour toujours. Jusqu'à ce que vous croyez à Allah seul."
"Vous comprenez mes soeurs? L'islam nous protège de la mécréance et des mécréants."
"Vous ne devez pas être ami avec eux. Cela n'est pas permis. Car la loyauté est réservée aux musulmans, pas aux kouffars."
"Nous ne ressentons rien en allant devant une église. Nous ne les regardons pas avec mépris et pensons "Que font ces gens là-dedans. Ce qu'ils disent avec leur langue est tellement immonde et dégoûtant. C'est une abomination."
Nd: la vidéo a été coupée et plusieurs femmes musulmanes donnent par la suite leur point de vue.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Le lycée Langkaer à Tilst, en banlieue d'Aarhus, a expliqué avoir fixé à 50% la proportion maximale d'élèves d'origine étrangère dans trois classes de première année. De fait, les quatre classes restantes n'accueillent que des adolescents issus de l'immigration.
Le proviseur, Yago Bundgaard, a rejeté toute accusation de discrimination et affirmé que l'objectif était de maintenir une mixité ethnique dans l'établissement en évitant la fuite des élèves blancs. «Pour qu'une vraie intégration ait lieu dans une classe, il faut des effectifs suffisants de chaque groupe», a-t-il déclaré à l'organisme public de télévision DR, estimant qu'il avait opté pour «la moins mauvaise solution».
Le lycée, qui accueillait 25% d'élèves d'origine étrangère en 2007, a vu cette proportion grimper à 80% parmi les nouveaux de première année à la rentrée 2016.
Christian Hofer: Vous avez ici toute l'hypocrisie de la gauche, la Suède étant connue pour être un fer de lance de la propagande du gender. Mais cette même fange de gauche tremblote lorsqu'elle est face aux musulmans parce qu'elle connait très bien leur violence. Et tout cela après avoir fait l'éloge du multiculturalisme, avoir détruit l'homme suédois et avoir ouvert les frontières à des immigrations musulmanes durant des années...
C'est ce futur qui se profile dans toute l'Europe, avec une gauche toujours plus craintive face à l'islam tout en tapant encore et toujours sur les dernières personnes qui défendent notre continent...
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L'école musulmane Al-Azhar à Stockholm a le droit de mener un enseignement spécifique selon le genre de l'enfant.
L'Inspection scolaire a donné à l'école le droit de séparer les filles et les garçons dans le domaine du sport et de l'enseignement des mathématiques.
L'une des raisons est que la plupart des filles ne voulaient pas porter le voile lorsqu'elles pratiquaient du sport, quelque chose qui est obligatoire dans l'Islam aussi longtemps qu'il y a des hommes ou des garçons à proximité.
L’école a été dénoncée à l’inspection scolaire par un notificateur qui pense que la ségrégation entre les sexes est susceptible de perpétuer la subordination des femmes et que cela viole la mission éducative qui devrait contrer « les rôles sexospécifiques traditionnels ».
L'Autorité considère cependant que la répartition entre les sexes doit être autorisée "dans ce cas." En partie parce que beaucoup de filles en raison de leur religion ne seraient pas autorisées à participer à tout l'enseignement sportif si elles devaient le partager avec des garçons.
Håkan Larsson, professeur à l'École suédoise du sport et de sciences de la santé, est, cependant critique avec la décision de l’inspection de l’école. Il croit que l'autorité se replie car elle n'ose pas s'opposer à l'Islam.
- "Si cela avait été une autre école, la décision aurait été que l'établissement travaille ses problèmes de genre et les résolve" déclare-t-il.
La plus grande d'Europe du Nord
L'école Al-Azhar fait état de 700 étudiants et est décrite comme « la plus grande école indépendante d'Europe avec un profil musulman.". Elle est basée dans les vieux locaux du gymnase de St. Jacobi, une école qui a été fermée en 2002.
À l’école, l'islam imprègne la vie quotidienne. « L'école sert une cuisine maison sans porc et halal. Les élèves disposent d’une salle où ils peuvent prier à la pause de l’après-midi, est-il écrit sur le site de l'école.
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