Ils ont finalement fait marche arrière. Les organisatrices d'un festival prévu début août à Detroit, aux Etats-Unis, qui voulaient faire payer les billets plus cher aux Blancs qu’aux Noirs par mesure « d’équité », ont renoncé après avoir reçu des menaces et provoqué une controverse. Les organisatrices de l'AfroFuture Fest avaient mis en vente des places à 20 dollars pour les « personnes de couleur » et à 40 dollars pour les autres.
Cette différence de prix était censée « fournir aux communautés les plus marginalisées (les personnes de couleur) une chance équitable d’assister aux événements dans leur propre communauté (le Détroit noir) », expliquaient les organisatrices dans leur foire aux questions. « A Détroit et dans d’autres villes où habitent de nombreuses personnes de couleurs il arrive constamment que des gens hors de la communauté profitent le plus des billets pas chers à cause de leurs facilités financières », ajoutaient-elles.
Après avoir soigneusement caché le pedigree gauchiste du tireur de l'Ohio et les exactions des migrants partout en Europe, la presse a trouvé un énergumène pour aller dans le sens de sa propagande anti-Trump. Le journaliste utilise d'ailleurs le terme d'extrême gauche "sans-papiers" alors qu'il s'agit de clandestins qui enfreignent effectivement des lois américaines. Il ne faut surtout pas que le lecteur puisse se poser les bonnes questions ni ne se renseigne sur la criminalité importée d'Amérique du Sud au travers de gangs hyper violents.
Manque de chance pour ce journaliste, le fameux ex-néonazi Arno Michaelis a eu l’imbécillité d'intervenir à Bobigny, commune connue pour être le terrain du racisme antiblanc, de la violence ethnique et de la discrimination envers les non musulmans. Toutefois, ne comptez pas sur le 24 Heures pour publier des articles sur le racisme de ces migrants à l'égard des Européens. Tout doit être orienté pour que le lecteur associe Trump au nazisme.
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[...]
«Mon plus grand souci pour les États-Unis est que le président parle le langage du génocide, glisse-t-il. Avant l’Holocauste, Hitler comparait les Juifs à des rats. Au Rwanda, les Hutus décrivaient les Tutsis comme des blattes et des serpents. Aujourd’hui, le président des États-Unis compare les êtres humains à des animaux et à de la vermine.»
Génocide. Le mot claque. «Bien sûr il n’y a pas de camps de concentration aux États-Unis, précise Arno Michaelis. Et même si cette rhétorique ne mène pas au génocide, il se passe des choses inquiétantes dans ce pays. Organiser un raid pour renvoyer plus de 600 personnes hispaniques qui n’ont commis aucun crime (ndlr: mercredi, 680 sans-papiers ont été arrêtés dans le Mississippi), quelques jours après une fusillade à El Paso qui visait des Hispaniques, c’est inacceptable.»
Samedi nous a complètement bouleversés, il y avait 242 000 personnes dans la rue, beaucoup plus que prévu. Je crois que nous avons donné un témoignage important contre le racisme et l’exclusion, ainsi que contre les réductions progressives de l'aide sociale.
Selon vous, quelle est la raison pour laquelle tant de gens sont venus? Y a-t-il un grand désir de solidarité?
De nombreux habitants de Hambourg et de Munich sont également descendus dans la rue, ce qui a été le point culminant: les gens commencent à se rendre compte qu'ils doivent faire quelque chose pour que quelque chose change, car le statu quo est insoutenable.
Qu'est-ce qui est insupportable?
Le droit à la santé, au logement, à la migration et au droit d'asile, aux soins, toutes les questions sociales sont traitées dans le prolongement de la question migratoire.
Il y a eu des critiques parce qu'aucun drapeau allemand ni européen n'était autorisé.
Il n'y a eu aucune interdiction de drapeaux lors de notre manifestation. Ceci nous l'avons dit. Mais nous avons également dit que le drapeau allemand ne devrait pas être le symbole de notre manifestation. Autant que ce soit le drapeau arc-en-ciel du Queer Block, les drapeaux syndicaux, ou "Refugees Welcome". Nous ne voulions pas du drapeau allemand.
Est-ce que ce n'est pas intolérant?
Je ne pense pas que ce soit intolérant. Cela a simplement quelque chose à voir avec le fait que ce drapeau est incroyablement connoté par la droite et que nous ne voulions pas défendre la fierté nationale, mais d'autres sujets, les problèmes sociaux. Le drapeau n'était pas interdit, mais il n'était pas non plus désiré.
Est-il légitime de s’interroger sur les positions de la CFR? C’est le cas de nombreux citoyens dont je fais partie. La première interrogation concerne la mission centrale de la CFR: lutter contre les discriminations. Ce n’est dit nulle part, mais les auteurs de discriminations sont toujours les hôtes, jamais les populations accueillies.Pourtant, nombre de réfugiés, notamment musulmans, viennent de pays où l’intolérance entre religions est grande et le patriarcat (inscrit dans les législations) écrasant.
(...)
Cette approche des revendications communautaires conduit la CFR à alimenter les ressentiments à l’égard de la Suisse. En 2017, lors d’un colloque intitulé «L’hostilité envers les musulmans», les intervenants ont défendu la même vision: «Vivre dans la suspicion généralisée», «Les musulmans dans le collimateur», «L’hostilité envers les musulmans sur internet», etc. L’ignorance de l’influence des intégristes et l’axiome de la CFR – l’absence de lien entre islam et terrorisme ou radicalisme – interdisaient de voir ailleurs que dans les discriminateurs suisses une explication à cette hostilité.
L’Association suisse vigilance islam a envoyé à la présidente une pétition de près de 800 signatures lui demandant d’organiser des manifestations contradictoires. Sans succès.
Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, Écartelez-les pour passer le temps. Divertir les enfants noirs, de tous ages, petits et grands,
Fouettez les fort, faites le franchement
Que ça pue la mort que ça pisse le sang
Pendus aux arbres dans le vide sidéral
Que ces fruits immondes procurent un spectacle fascinant
Blafards et marrants
Ôtez leur toute vie, qu’ils soient des objets sans vie dès à présent
Possédez les, mettez vos noms sur leurs testaments
Refrain: « Pendez les, Pendez-les tous, pendez les blancs ».
Pas de sentiments, qu’ils meurent tous en même temps
Donnez l’exemple, torturez devant le groupe
Ceux qui sont trop récalcitrants
Etc.
Une interview de Nick Conrad datée de 2016 :
BONJOUR NICK. SI TU DEVAIS TE PRÉSENTER EN QUELQUES MOTS QUE DIRAIS-TU ?
Bonjour Vania. Je dirai que je suis un artiste noir, parisien, fier et raffiné
COMMENT ES-TU TOMBE DANS LE RAP ?
C’est la maladie qui m’a fait tomber dans le rap. J’ai la drépanocytose. J’ai écrit mon premier texte le 4 janvier 1994 sur mon lit d’hôpital. J’avais besoin d’exprimer ce que j’avais sur le cœur, ce que je vivais sur le moment.
COMMENT DÉFINIRAIS-TU TON STYLE VESTIMENTAIRE ? Mon style est celui de la rue avec une pointe de raffinement.
J’ai opté pour le bandana sur la tête après un shoot photo. Je le portais habituellement dans ma poche de jean. Le photographe m’a dit : « pourquoi ne pas le nouer sur ta tête ? » Je me suis regardé dans le miroir et j’ai aimé l’image que je dégageai .Pas 2 Pac comme beaucoup peuvent penser, mais l’africain portant fièrement son étoffe ; son tissu traditionnel d’Afrique.
REVENONS À LA MUSIQUE. Ton prochain album SAPHIR NOIR, POURQUOI CE NOM ?
Saphir est une pierre précieuse.
Noir pour ce que je le suis.
L’ensemble des deux mots reflète ma musique et ce que je suis intérieurement. Dans cet album j’envoie un message d’unité et d’identité noire. L’homme noir à des capacités intellectuelles et physiques comme n’importe quel être humain. Nous sommes tous des êtres extraordinaires.
« J’ai inversé les rôles ». Le but de la vidéo, était de « choquer les idées reçues ».
Le rappeur parisien estime qu’il a « osé personnifier le racisme ».
« Je ne cherchais pas le buzz, ce clip est supposé amener à réfléchir et pas rester en surface. Je ne comprends pas les gens qui ne vont pas chercher en profondeur. Ce n’est pas un appel à la haine, c’est une fiction qui montre des choses qui, du début à la fin, sont vraiment arrivées au peuple noir, tous les éléments qui sont cités dans le morceau, un à un, ont vraiment touché et marqué le peuple noir dans sa chair, de manière à ce que blancs comme noirs puissent se rendre compte de la situation ». Et même s’il « comprend le souci qu’il peut y avoir », il ne regrette rien.
« Ce morceau est plus profond qu’il n’y paraît (…) Je ne peux pas renier ce que j’ai écrit, ça touche le racisme, c’est la beauté de ce morceau, ça reste de l’art », lance-t-il en insistant sur le fait qu’il joue le personnage du raciste.
Nick Conrad se défend d’être raciste et met en avant le fait que « 80% des gens de l’équipe du clip sont des blancs« , comme le réalisateur et l’acteur principal. « Mes amis blancs me soutiennent », poursuit-il. Pour sa défense, il ajoute qu’en 2016, il a sorti une chanson intitulée 130 cercueils, en hommage aux victimes du 13 novembre.
« Un raciste un vrai pour de vrai ne peut pas se vanter de prendre le micro et dire des choses abominables, ajoute-t-il. C’est dit pour que les gens se réveillent réellement (…) C’est un message d’amour en profondeur, plus qu’un message de haine ».
Face au torrent de réactions, le rappeur est un peu surpris, il ne s’attendait « pas à autant de virulence ».
« Moi aussi dans ma vie il m’a été donné de voir des scènes choquantes », poursuit-il en prenant en exemple les peintures d’Eugène Delacroix au Louvre. Et invoque l’essence de l’art, plus particulièrement du rap.
« Le rap est né dans le ghetto, il a pour mission de dénoncer les choses. Un artiste a pour but de s’inspirer du monde pour dénoncer, que ça plaise ou non, justifie-t-il. C’est l’essence même du rap. En France plus qu’ailleurs, on a du mal avec la vérité ».
Dans le quartier de Barriera di Milano à Turin, mardi matin, une quarantaine d’individus ont attaqué la police qui interpellait un migrant gabonais après avoir trouvé de la drogue chez lui. Deux policiers ont été blessés.
Quelqu’un a lancé une bicyclette sur les forces de l’ordre, des résidents ont agressé les policiers, d’autres les ont insultés depuis leur balcon, provoquant le soulèvement du quartier.
Le secrétaire d’un syndicat de police, Eugenio Bravo, a déclaré : « L’ONU veut envoyer une commission en Italie pour vérifier l’existence d’un vent de racisme : ce qu’ont vécu les policiers de Turin entourés, agressés et malmenés par une quarantaine de Nord-Africains alors qu’ils arrêtaient légitimement l’un de leurs concitoyens est la énième preuve qu’il existe un ‘racisme’ dans ce pays, mais envers les forces de l’ordre. Une sorte d’intolérance de la part de groupes d’étrangers envers la légalité et les forces de police ».
Une femme noire a déclaré son mépris des "Blancs" avant de frapper deux passagers blancs à bord d’un bus Ride On, a déclaré la police de Gaithersburg.
Kimberly Jordan, 24 ans, de Silver Spring, est accusée de harcèlement racial, d’obstruction et de voies de fait au deuxième degré en raison de son comportement offensant et agressif.
Il était 21 heures un lundi. Le bus Ride On opérait un itinéraire près de l'intersection de l'avenue Frederick et de l'avenue Travis, juste au nord du centre commercial Lakeforest.
Jordan aurait commencé à regarder deux passagers blancs et aurait murmuré: "Je déteste les Blancs." Peu après, Jordan, qui pèse 250 livres (Nd Schwarze Rose : environ 113 kilos), se serait levée et aurait donné un coup au visage de la passagère blanche. Le second passager blanc a tenté de défendre son amie, mais a également été frappé au visage, selon la police.
NEW: Gaithersburg woman declares "I hate white people" before attacking two white passengers on a Ride On bus, cops say.
24yo Kimberly Jordan allegedly socked both victims in the face, causing cuts.
Jordan blamed her actions on failing to take meds. She's charged w/ hate crime. pic.twitter.com/D2ojR5TjJc
La victime masculine souffre d'une coupure "longue" au niveau du nez tandis que la femme blanche a subi un certain nombre d'égratignures sur les paumes de ses mains, probablement des blessures défensives.
Jordan a d'abord déclaré à la police que la victime féminine avait donné le premier coup, mais la vidéo de surveillance du bus montre le contraire.
Finalement, Jordan a commencé à donner une autre version. D'abord en déclarant qu'elle éprouvait des remords pour ses actes, puis en ajoutant qu'elle n'avait pas pris les médicaments qui lui avaient été prescrits. Un agent lui a répondu que le fait de ne pas prendre de médicaments ne justifiait pas une conduite raciste. Jordan a répondu : "Je sais."
Le chauffeur de l'autobus a déclaré aux enquêteurs qu'il avait été témoin de toute la bagarre et qu'il avait entendu Jordan dire : "Je hais les Blancs". L'ami de Jordan, qui était aussi dans l'autobus, a également corroboré le récit.
Selon des documents judiciaires, Jordan était au chômage et vivait avec sa grand-mère au moment de son arrestation. Elle possède un casier judiciaire chargé impliquant vols, cambriolage, destruction de biens, agression et violence familiale.
Il parait qu’incarner une personne noire dans un déguisement quand on est blanc est profondément raciste.
Le footballeur Antoine Griezmann en a fait les frais.
En voulant rendre hommage à ses idoles des Harlem Globetrotters de Chicago, le milieu offensif de l’équipe de France a reçu les foudres des associations antiracistes et twittos, toujours à l’affût de n’importe quoi pour faire parler d’eux.
Sa perruque afro et sa peau peinte en noire, une technique appelée le black face, ont ainsi été considérés comme racistes.
Pourtant, les mêmes ne se sont pas montrés quand Jamel Debbouze s’est grimé en blanc, en utilisant le white face, pour incarner un noble versaillais de la Cour de Louis XIV.
Un café qui servait des petits déjeuners anglais complets avec un drapeau du Royaume-Uni a été contraint de fermer suite à un tollé pour racisme.
Carol Brown et sa fille Candy Merrett servaient le repas avec des cure-dents patriotiques depuis leur ouverture il y a deux ans.
Mais elles ont été prises pour cible par un flot de plaintes sur Internet.
Et certains clients ont même commandé le repas juste pour pouvoir jeter les drapeaux par terre.
A présent, les deux femmes sont en colère. Elles en ont eu tellement marre qu'elles ont décidé de fermer définitivement leur café Station 164 à Hornchurch, dans l'est de Londres.
«Après deux ans d’exploitation de notre petit café, nous avons rencontré la première protestation de la part de quelques clients.
"Tous nos clients, passés et présents, sauront que nous servons tous nos aliments avec un drapeau de l’Angleterre ou de l’Union Jack, ce n’est pas pour insulter ou susciter un sentiment autre que la fierté britannique.
"Nous sommes un petit café londonien, nous sommes britanniques, anglaises et Londoniennes. Nous sommes patriotes, et non «pathétiques» comme quelqu'un nous a appelées la semaine dernière. Nous célébrons notre pays. "
Le café a été évalué comme étant "excellent" par 34 avis sur 38 sur TripAdvisor.
Mais les problèmes ont débuté après la Coupe du monde, quand il y a eu une augmentation soudaine du nombre de plaintes sur leur page Facebook.
Pour le sociologue David Jamar, les divisions entre Flamands et Wallons, comme le jeu défensif «à la belge», ont laissé place à un flou sur les origines des joueurs, qui permet à chacun de se sentir plus proche des Diables rouges.
David Jamar est sociologue à l’université de Mons, en Belgique. Il a participé au livre le Football des nations (1) et revient sur le parcours d’une équipe belge très «internationale».
L’engouement de la Belgique pour son équipe nationale est-il récent ?
[…] Tout d’abord, et c’est nouveau, ces footballeurs sont issus des migrations marocaines et congolaises. […] Ce flou participe d’un premier engouement général pour une équipe dont on se sent proche, davantage que pour une équipe représentant la «nation».
Les Diables rouges 2018 représentent-ils un phénomène comparable à celui de l’équipe de France 1998, dans laquelle on voulait voir le symbole d’une «France black-blanc-beur» ?
C’est difficile à dire. Il s’agit d’abord d’une équipe de football. Bien entendu, «Matonge», un quartier congolais historique de Bruxelles, a exulté, lui qui venait de fêter l’inauguration de la première place Patrice-Lumumba [une grande figure de l’indépendance de la république démocratique du Congo, ndlr] en Belgique. C’est aussi le cas de Molenbeek, qui vit cette Coupe du monde sous les hélicoptères de la police fédérale. […]
En France, on cherche souvent dans l’équipe nationale le reflet des enjeux d’immigration et de rapports post-coloniaux. Est-ce le cas en Belgique aussi ?
De fait, l’équipe nationale belge comprend des joueurs d’origine marocaine et congolaise. Et leur réussite pendant ce Mondial permet aux antiracistes issus de ces migrations de retourner le stigmate. Notre secrétaire d’Etat à l’Asile, Theo Francken, doutait précisément, sur Facebook en 2011, de l’apport des «diasporas marocaine, congolaise ou algérienne».Dans une vidéo tournée dans les vestiaires, Michy Batshuayi, d’origine congolaise, se demandait avec humour, après la victoire contre le Japon grâce à Nacer Chadli et Marouane Fellaini, deux Belgo-Marocains : «Qui a dit que le Maroc est éliminé ?» «Aujourd’hui, la Belgique s’est qualifiée grâce à deux kholotos, des mundibu», poursuivait-il dans un langage des quartiers, «arafricain», mi-arabe mi-lingala. Et si le bon symbole pour les mouvements antiracistes et décoloniaux n’était pas finalement celui de ces convergences-là ?
Une section de l’Association américaine des bibliothécaires a décidé de débaptiser son prix littéraire « Laura Ingalls Wilder » en raison du racisme qui imprègne l’œuvre de l’auteur de « La Petite Maison dans la prairie ».
« Les œuvres de Mme Wilder restent l’objet d’études et d’analyses littéraires qui mettent souvent en lumière des sentiments anti-Amérindiens et anti-Noirs », a expliqué l’Association des bibliothèques pour enfants (ALSC). « L’ALSC reconnaît que l’héritage de l’auteur est complexe et que l’oeuvre de Mme Wilder n’est pas universellement acceptée », a-t-elle ajouté.
(…)
Basée sur la vie de Laura Ingalls Wilder, cette série a connu un immense succès de librairie avant d’être adaptée à la télévision.
(…)
Haine. Elles ont reçu des jets de cailloux et des injures : « Retourne-toi, regarde-nous sale pute, sale blanche ».
Une jeune fille et sa mère ont été victimes d’une violente agression, le 20 mai dernier, alors qu’elles se dirigeaient vers la gare pour rentrer chez elles, à Pierrefitte-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis, signale l’Organisation de lutte contre le racisme anti-Blancs (OLRA).
Les deux femmes (la mère est malvoyante et se déplace avec une canne) ont notamment reçu des jets de cailloux, une barre en métal et un morceau de béton de la part d’un groupe de « jeunes », qui ont multiplié les insultes racistes : « Dégagez, on n’aime pas les Blancs ici ! », « Retourne-toi, regarde-nous sale pute, sale blanche ».
Une plainte a été déposée
L’OLRA, qui accompagne les victimes dans leurs démarches juridiques, précise que la jeune femme, blessée à la tête et toujours en état de choc, a été transportée par les pompiers à l’hôpital, et qu’un arrêt de travail ainsi qu’un suivi psychologique ont dû être mis en place. Une plainte a été déposée.
« Nous ne pouvons tolérer plus longtemps le silence auquel sont condamnées les victimes », déplore l’association apolitique dans un communiqué. Contactée par Valeurs actuelles, la police municipale nous a renvoyés vers la mairie, qui n’a pas répondu, pour l’instant, à notre sollicitation.
«Je veux tuer une personne blanche» : à Londres, des policiers lourdement armés sont vite intervenus pour arrêter un individu armé d’un couteau qui criait « Je veux tuer les Blancs, je veux leur couper la gorge, je vais tuer quelqu’un ce soir ».
Il s’est mis au milieu de la route bloquant des voitures et menaçant des passants avant d’être neutralisé par les forces d’intervention de la police.
La police de Manchester est à la recherche de 4 ou 5 hommes « indo-pakistanais » suspectés d’avoir sauvagement attaqué un garçon de 17 ans, le laissant avec une fracture du crâne. Cette agression a été qualifiée de « raciste » par les autorités.
Matthew Hayden, un joueur de rugby amateur, a été tabassé à la tête avec un club de golf après une collision mineure en voiture à Littleborough samedi matin, à Rochdale.
Son ami a également été blessé dans l’attaque, que la police traite comme un « crime de haine raciale ».
La police a déclaré: « Il s’agit d’une attaque non provoquée qui a laissé la victime avec des blessures qui changeront sa vie, il est donc essentiel que nous trouvions les personnes responsables de cette agression horrible »
La police a déclaré que le groupe de quatre ou cinq hommes « indo-pakistanais » ont proféré des insultes racistes contre Matthew et ses amis.
- Michel Garroté -- Or donc, la suprématie blanche, le mâle blanc, sont sur le déclin. Soit. La suprématie blanche, ça n'a jamais été mon truc. Le mâle blanc, ça me fait penser à Polanski, DSK, Weinstein & CO. Ce n'est donc pas non plus mon truc. Cela dit, je prends acte du fait que le racisme anti-blanc, lui, non seulement n'est pas sur le déclin, mais bien au contraire, il est très tendance, à la mode, politiquement correct. - On n'a plus le droit de dire "nègre" et pour ce qui me concerne c'est très bien qu'on n'ait plus le droit de dire "nègre" (il faut dire "black", même en français ; terminée la "négritude" défendue jadis par un black, membre de l'Académie française, terminée et personnellement cela ne m'empêche pas de dormir qu'elle soit terminée). - Mais on a le droit d'alléguer que telle ou telle personnalité de droite serait "néo-nazie". Je signale, tout de même, que la (fausse) accusation de "néo-nazi" peut avoir de terribles conséquences pour la personnalité injustement incriminée, pour son emploi, pour sa carrière politique et pour sa famille. - Je signale également qu'à force de voir des "néo-nazis" partout et de jouer avec le feu, on va finir par provoquer un retour au nazisme chez certains blancs (Uwe Mundlos, Uwe Böhnhardt et Ralf Wohlleben) et certaines blanches (Beate Zschäpe) extrémistes et sans cervelle. - Et si cette personnalité traitée de soi-disant "néo-nazie" a recourt à la justice, il n'est pas impossible qu'elle soit déboutée. A ce propos, je publie, ci-dessous, des extraits (adaptés) de deux analyses, l'une de Gilles-William Goldnadel ; et l'autre de lagrif.fr (l'Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l'Identité Française et Chrétienne). - Gilles-William Goldnadel écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Beaucoup d'encre, beaucoup de salive auront été dépensées pour commenter le commentaire présidentiel présidant à sa philosophie sur les banlieues françaises : « deux mâles blancs ne vivant pas dans les banlieues se remettent un rapport sur les banlieues : ça ne marche plus comme ça ». Mais l'essentiel est ailleurs. Il est, d'abord, dans l'évocation expresse de la différence chromatique. - J'évoque souvent ce paradoxe pervers qui fait qu'il n'y a pas plus obsédé par la différence raciale qu'un antiraciste dévot qui interdit par ailleurs d'évoquer la race tout en en parlant sans cesse de manière compulsive. Mais il y a une condition expresse à cette évocation sans complexe du blanc : en parler négativement. Il ne serait pas arrivé au cerveau du président d'évoquer la couleur d'un Français blanc pour le complimenter, par exemple, pour un exploit sportif. - Mais pour dénier à deux hommes blancs la compétence à statuer sur les banlieues, la chose était possible sans commettre une transgression médiatiquement, intellectuellement et politiquement insupportable. le mâle blanc, quand on en parle, on en parle toujours en mal. Toujours coupable, jamais victime. Quand on le voit, quand on l'imagine en blanc, quand on le montre, c'est ce flic qui enfonce une matraque dans le séant d'un noir (ce que le flic n'a d'ailleurs pas fait), ce ne sont pas deux policiers qui se font lyncher à la Saint-Sylvestre à Champigny-sur-Marne par des racailles qu'on montre. - Le mâle blanc, c'est aussi, dans l'inconscient (ou conscient) médiatique, le macho. C'est lui la bête noire des nouvelles féministes. Et tant pis pour les femmes de Cologne ou les petites anglaises violées de Telford par des mâles pakistanais. Sous la formule "mâle blanc", on entend le racisme inconscient (ou conscient) anti-blanc ou anti-occidental, Gilles-William Goldnadel (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). - Lagrif.fr écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Emmanuel Macron a rejeté le « plan banlieue » proposé par Jean-Louis Borloo. On l’en féliciterait s’il n’avait assorti son refus de l’exécrable allégation révélatrice de ce que son cerveau est idéologiquement lavé par l’antiracisme, ce racisme en sens contraire selon notre expression. Rappelons qu’il a eu en effet usé de l’argument selon lequel un rapport sur les banlieues qui serait le sien et celui de Borloo serait voué à l’échec du fait de leur appartenance sexuelle et raciale. Lisons, et pesons bien ces mots : « Deux mâles blancs qui ne vivent pas dans les banlieues se remettent un rapport sur les banlieues : ça ne marche plus comme ça ». Passons sur la construction un peu chaotique du propos. - Ce qui est d’abord consternant, c’est que Macron ne parle pas sur le fond autrement que madame Anne Lauvergeon, alors présidente d’Areva, émettant lors d’un colloque à Deauville en 2009 réservé aux femmes dirigeantes, les mots que voici exactement retransmis : « À compétence égale, eh bien, désolée, on choisira euh ! la femme, ou on choisira la personne venant euh ! de… ben autre chose que le mâle blanc pour être claire ». Dans cette brillante profession de foi féministe et anti-blanche, Dame Lauvergeon ne s’aperçut même pas de son humour involontaire dans l’insistance de son propos : « pour être claire ». - Certains émirent qu’elle se sentait peut-être un peu noire après avoir trop bu, et qu’il y avait quelque contradiction à vouloir être claire juste après avoir prôné la discrimination contre les « mâles blancs ». On a vu depuis que la compétence de madame Lauvergeon à la tête d’Areva pouvait être très discutable. Mais ce qui ne l’était pas pour elle, c’était son principe de "féminocratie" et son étrange aversion pour le recrutement de « mâles blancs », nonobstant sa vie familiale. - Houria Bouteldja a dû frémir d’aise en entendant cette réflexion du président de la République en totale conformité avec le concept de « racisation » qu’elle introduit toujours plus dans le débat politico-social ne dissimulant même plus son racisme anti-blanc islamo-gauchiste. Et c’est « en même temps », comme il dirait, que monsieur Macron prétend combattre le communautarisme. Si intelligent soit-il sur d’autres plans, notre chef de l’État est hélas lui aussi gangréné par l’idéologie totalitaire de l’antiracisme, ce racisme en sens contraire, lagrif.fr (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). - Sources : - http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/05/28/31003-20180528ARTFIG00106-goldnadel-en-parlant-du-male-blanc-macron-acte-inconsciemment-le-scenario-de-la-partition.php - http://www.lagrif.fr/index.php?option=com_k2&view=item&id=97:de-lauvergeon-a-macron-la-constante-et-significative-phobie-du-male-blanc&Itemid=385 - Michel Garroté pour LesObservateurs.ch -
Du vendredi 4 au dimanche 6 mai, la conférence internationale "Bandung du Nord" pour une "internationale décoloniale" se tiendra à la Bourse du travail de Saint-Denis: la «première conférence internationale de personnes de couleur prenant à bras le corps les questions concernant les non-blancs vivant dans le nord global».
Le postulat de départ des organisateurs: environ 160 millions de «non-blancs» vivent dans les pays du «Nord global». Selon eux, ces personnes «font l’expérience du racisme dans toutes les sphères de la vie, tel un rappel constant de la continuité de l’héritage colonial». Ce racisme se manifesterait «dans le système politique qui prive les non-blancs de parole et impose un récit dominant sur le terrorisme qui facilite la montée d’un État policier et cible les personnes non blanches». Ainsi, l'objectif affiché de cette conférence est de défendre une «Internationale Décoloniale qui scellerait une alliance politique entre les mouvements décoloniaux d'Occident».
Au programme de ces journées, des conférences et des débats aux intitulés douteux. Florilège : «Combattre l’Etat policier et le racisme d’Etat à l’échelle des pays du Nord», «Quelles alliances avec la gauche blanche», ou encore «Racismes intra-communautaires ou comment les combattre et construire une alliance stratégique entre les communautés ?» Cette idéologie mortifère est toujours la même : sous couvert d'antiracisme, on inculque une vision racialiste de la société en prônant une solidarité entre les communautés non-blanches afin de lutter contre les oppresseurs blancs.
Parmi la longue liste des intervenants, on retrouve toute la clique française habituelle. Le Collectif contre l'islamophobie en France ; Rokhaya Diallo, une militante antiraciste connue pour avoir défendu les camps d’été interdits aux blancs ; Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des indigènes de la République qui accuse régulièrement la France de racisme d’Etat envers les descendants des populations colonisés. Autre invité de marque : Nordine Saidi, un membre du parti Islam en Belgique (mouvement dont l’objectif est d’instaurer la charia dans son pays), qui avait refusé en 2009 de condamner les attentats terroristes.
Le clou de cette conférence est probablement le «jet de chaussures anti-impérialistes» qui sera organisé contre Manuel Valls. Ces quelques jours du premier week-end de mai promettent d'être enrichissants.
Dans un nouvel épisode diffusé le 8 avril dernier, la série animée Les Simpson a tenté de répondre à une polémique autour du personnage indo-américain Apu, accusé de véhiculer des stéréotypes raciaux. Une initiative qui n’a convaincu ni la presse ni les spectateurs, qui se sont vivement indignés sur les réseaux sociaux.
Créée il y a presque trente ans, la série Les Simpson est un monument télévisé de la culture populaire américaine. Aussi quand en novembre 2017 a été diffusé sur la chaîne du câble TruTV The Problem with Apu (“Le Problème avec Apu”), les débats autour du racisme supposé de la série animée ont fait grand bruit. Comme le rappelle The Hindu, ce documentaire écrit et réalisé par l’acteur indo-américain Hari Kondabolu avance la thèse que le célèbre personnage de l’épicier Apu dans la série a grandement contribué à véhiculer des stéréotypes raciaux. Doublé par l’acteur (blanc) Hank Azaria, Apu est le propriétaire de la supérette de Springfield. “Sa peau est orange, contrairement aux autres habitants de la ville, et il a ce qui est sûrement perçu comme un accent indien charmant par la majorité des Blancs américains”, décrit le quotidien indien. Dans son documentaire :
Kondabolu explore la manière dont le personnage d’Apu a eu une influence sur les acteurs sud-asiatiques américains, enfants d’immigrés qui ont souffert d’être réduits à ces stéréotypes.”
Une réponse qui relance la polémique
Dans un nouvel épisode de la série diffusé ce 8 avril, Les Simpson “ont brièvement répondu aux critiques sur l’épicier indien”, explique The New Indian Express. Dans une scène entre Marge Simpson et sa fille Lisa, il est question des stéréotypes raciaux contre les Américains d’origine irlandaise. La mère, gênée par ces clichés, essaie d’adapter une histoire qu’elle conte à sa fille, qui lui répond laconiquement : “Quelque chose qui a été créé il y a des décennies, et qui a été acclamé, est aujourd’hui devenu politiquement incorrect, qu’est-ce qu’on y peut ?”, tandis qu’elle regarde le portrait d’Apu, bien en évidence sur sa table de chevet (voir l’extrait ci-dessous).
La réponse des ‘Simpson’ de ce soir n’est pas une insulte envers moi. C’est une insulte pour tous ceux d’entre nous qui espèrent que les choses évoluent.”
Un avis partagé par de nombreux médias américains. Pour TheNew York Times,cette scène est un “clin d’œil dédaigneux”, qui ne vaut que plus de critiques justifiées envers la série. Pour le New York Magazine, c’est carrément une preuve de plus que la série Les Simpson a trop vieilli et doit s’arrêter :
Même si ‘Les Simpson’ se font toujours un plaisir de critiquer notre culture, lorsqu’on est diffusé depuis presque trente ans il est difficile d’avoir l’air encore rebelle, surtout lorsqu’il s’agit d’une série majoritairement écrite pas des hommes blancs, dont beaucoup sont diplômés de Harvard.”
Une décision de justice vient de le confirmer, après le saccage de 215 tombes en 2015.
Pour Bernard Antony, c’est une victoire. Président de l’Agrif (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne), il s’était constituée partie civile dans l’affaire de la profanation du cimetière Saint-Roch.
Le 15 avril 2015, 215 tombes avaient été saccagées par un Graulhétois de confession musulmane. Les faits s’étaient déroulés pendant la pause déjeuner des gardiens du cimetière et avaient provoqué une vague d’indignation.
La chaîne de cafés Starbucks a annoncé mardi la fermeture de l'ensemble de ses établissements aux Etats-Unis lors de l'après-midi du 29 mai pour une formation consacrée au racisme, après une vague d'indignation causée par l'arrestation de deux Noirs dans un de ses cafés.
Alors qu'une vidéo de cette arrestation a été largement relayée sur les réseaux sociaux, cette formation aura vocation à "empêcher les actes de discrimination dans nos enseignes", a indiqué le groupe dans un communiqué.
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