Barcelone : des musulmans rompent le jeûne dans une église

À Barcelone, des musulmans dans la précarité ou sans domicile fixe se sont rassemblés vendredi dernier pour prendre gratuitement l’iftar [repas de rupture du jeûne] dans l’enceinte de l’Église catholique de Santa Anna pendant le ramadan qui a lieu une nouvelle fois dans un contexte particulier lié à la pandémie de Covid-19.

« Nous sommes ici à Santa Anna depuis longtemps, de nombreuses années, mais la salle de repas social a commencé l’année dernière avec la pandémie », a déclaré Faouzia Chati, présidente de l’Association des femmes marocaines. « C’était une initiative de la communauté musulmane », a fait savoir Peio Sánchez, clerc de la paroisse de Santa Anna. Selon lui, la réaction des gens qui vivent dans la rue est très positive.

Faouzia Chati a expliqué que le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner sont gracieusement offerts aux musulmans dans la précarité ou aux personnes vivant dans la rue. « Et maintenant, les musulmans, quand le mois de ramadan arrive, ne peuvent pas venir manger. Donc la nourriture qu’ils ont l’après-midi, ils ont maintenant le soir », a-t-elle ajouté, avant de dévoiler le repas préparé, la harira, la soupe traditionnelle marocaine.

bladi

Via Fdesouche

Barcelone : un promeneur agressé dans le centre en plein jour par cinq Marocains qui voulaient lui voler sa montre

Les forces de l’ordre ont arrêté cinq individus dimanche suite à l’agression d’un homme qui se promenait sur la Rambla del Raval dans le centre de Barcelone, les agresseurs tentaient de lui voler sa montre, a déclaré la police catalane.

Il a été attaqué et jeté au sol alors que la personne qui l’accompagnait appelait à l’aide. Ser Catalunya a diffusé une vidéo de l’événement qui s’est déroulé en plein jour montrant la brutalité des coups sur cet homme.

 

 

La victime est légèrement blessée, les détenus sont accusés de tentative de vol avec violence, les policiers ont pu récupérer la montre au moment de l’arrestation.

abc.es

(merci à florentino) Via Fdesouche

Barcelone : un Marocain en lien avec l’Etat Islamique prévoyait de commettre un attentat

La police espagnole a annoncé ce vendredi avoir arrêté à Barcelone un Marocain, décrit comme très radicalisé, soupçonné de liens avec l'Etat islamique et qui prévoyait de commettre un attentat, à l'issue d'une enquête menée conjointement avec le Maroc et les Etats-Unis.

 

"Le suspect prévoyait de commettre une action terroriste, dont les détails ne sont pas connus" à ce stade, indique la Guardia civil dans un communiqué. Ses liens avec l'Etat islamique remontent à plus de quatre ans mais il n'a montré des signes extérieurs de radicalisation que récemment, a précisé la police.

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Lindependant.fr

Barcelone : Deux Albanais pénètrent en voiture dans l’aéroport vide aux cris d’Allah Akbar

Stupeur ce vendredi matin lorsqu'une voiture a pénétré dans le terminal T1 de l'aéroport de Barcelone. Les deux occupants du véhicule ont été interpellés alors que l'un d'entre eux avait crié "Allah Akbar".

Il était 6h45, ce vendredi 20 mars, lorsque deux hommes de nationalité albanaise ont pénétré avec leur véhicule dans le terminal T1 de l'aéroport de Barcelone.

 

 

Alors que la population catalane est confinée, le trafic aérien est réduit au strict minimum sur le tarmac barcelonais. Par ailleurs, le terminal T1 avait été désinfecté en profondeur la veille au soir. Il n'y avait donc personne dans le terminal lorsque le véhicule a surgi dans le hall en enfonçant les tourniquets de l'entrée.

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L'independant.fr

Via Fdesouche

Barcelone : un Marocain condamné à 12 ans de prison pour avoir tenté de lapider un gay

Un jeune homme Marocain a écopé de 12 ans de prison, une peine qui lui a été infligée par le tribunal de Barcelone, et qui vient d’être confirmée par la Cour supérieure de justice de Catalogne (TSJC). Le mis en cause avait brutalement agressé un homosexuel avec une pierre à Sitges (Barcelone).

Les faits remontent au 1er octobre 2016, où le prévenu ainsi qu’un mineur condamné, ont vu la victime, donnant un baiser à un homme devant un bar gay et se sont moqués de lui. Les assaillants ont poursuivi le jeune homme à la gare, peu de temps après. Quelques heures plus tard, la victime a de nouveau rencontré les mêmes garçons sur la plage, qui se moquaient de lui.

Alors que le jeune homme s’est endormi sur un banc de la gare, l’accusé et un mineur sont entrés pour le frapper avec un bâton, le menaçant de le tuer par lapidation pour son orientation sexuelle. C’est alors que le mis en cause a ramassé une grosse pierre et a frappé à la tête la victime qui est tombée au sol. Il a ensuite continué à la frapper avec des pierres recueillies sur les rails. Dans la foulée, il lui a donné un coup de pied sur la tête en déclarant qu’il le tuerait avec des pierres, comme on le faisait dans son pays, le Maroc, avec les « tapettes ».

Les deux assaillants en ont profité pour voler un téléphone portable, un chargeur et divers documents, en plus de 60 euros en espèces appartenant à la victime.

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Bladi.net

Nos remerciements à Josée-Christine Lavanchy-Trépey

Barcelone : un migrant marocain tabasse un jeune homme pour lui voler son téléphone portable

Barcelone – La police a confirmé aujourd’hui avoir arrêté un Marocain de 21 ans sur les lieux de l’agression, la victime est dans un état grave à l’hôpital.

 

 

«Nous avons ouvert une enquête mais, en principe, tout indique que la victime de l’agression s’est disputée avec le Marocain lorsque ce dernier a tenté de voler son téléphone portable. Quand il a vu qu’il n’allait pas pouvoir le prendre, il serait parti, puis est revenu sur la plage et a tabassé la victime », déclare le porte-parole de la police.

Daily Mail

Via Fdesouche

Quand les islamistes de Barcelone préparaient leur attaque le sourire aux lèvres

L'un sourit avec un gilet d'explosifs autour des reins, d'autres assis sur le sol confectionnent des explosifs: des clichés des djihadistes en pleins préparatifs avant les attentats meurtriers d'août 2017 en Catalogne ont été publiés lundi par la presse espagnole.

Sur ces images, on peut également apercevoir certains d'entre eux remplir des cylindres paraissant être des enveloppes pour explosifs avant de les fixer sur des gilets. Sur une autre, on peut voir l'un d'entre eux sous la Tour Eiffel.

Tout sourire
Un cliché représente Younes Abouyaaqoub, le sourire aux lèvres avec un gilet d'explosifs sur le corps. Il conduisait la camionnette qui a fauché les passants le 17 août sur les Ramblas à Barcelone, la ville la plus touristique du pays.

Images retrouvées
Selon le quotidien La Razón, ces images étaient dans une pièce où se trouvaient également des images vidéo. Elles ont été récupérées par les enquêteurs dans les décombres d'une maison située à Alcanar, à 200 km au sud-est de Barcelone, où le groupe confectionnait des explosifs.

Changement de plan
Une explosion est survenue le 16 août dans cette maison, tuant deux djihadistes et privant leur groupe d'explosifs, les contraignant à changer leur plan. Un jour plus tard, une fourgonnette conduite par Abouyaaqoub fonçait sur les Ramblas de Barcelone et, quelques heures plus tard, le scénario se répétait à Cambrils, une autre localité de la côte catalane.

Seize personnes au total ont péri et 120 ont été blessées. Ces attentats ont été revendiqués par les djihadistes du groupe Etat islamique (EI).

Dialogues retranscrits
La Razón publie également la transcription de dialogues entre les djihadistes où ils se moquent de leurs futures victimes ou se vantent de leurs actes à venir. "Allah nous a choisis parmi des millions d'hommes pour vous faire pleurer du sang", s'exclame l'un d'entre eux, identifié comme Omar Hichamy.

Huit membres tués
Huit membres de la cellule djihadiste sont morts, six abattus par la police et deux, dont l'imam marocain Abdelbaki Es Satty, considéré comme leur chef de file, dans l'explosion d'Alcanar. Deux autres sont en détention provisoire dans l'attente de leur procès à Madrid et deux suspects sont en liberté surveillée.

7sur7.be

Barcelone : des vendeurs africains attaquent et blessent grièvement un touriste américain à coups de ceinturon. « La zone s’est dégradée. » (Vidéo)

Un vendeur de babioles a gravement blessé un touriste ​​à coups de ceinture au niveau de la tête. La violente attaque a eu lieu à 21h15 au café emblématique Le Zurich, dans la ville de Barcelone.

Apparemment, un groupe de vendeurs occupaient le trottoir avec leurs sièges amovibles, quand une dispute a éclaté avec un couple. La femme était avec une poussette et se plaignait de ne pas pouvoir passer. Les tensions se sont aggravées.

C'est à ce moment-là qu'un touriste muni d'un passeport des États-Unis a tenté de négocier et de séparer les parties. Sa bonne volonté lui a coûté cher. Un autre colporteur s'est approché de lui en l'attaquant à coups de boucle de ceinture.

L'agression a provoqué des coupures considérables.

Interrogé, le système médical d’urgence (SEM) a confirmé une intervention mercredi à 21h25 pour soigner et transférer une personne à l’Hôpital Clínic de Barcelone. L'agence d'urgence a refusé de fournir plus d'informations.

 

 

 

 

 

 

Les employés du Café Zurich ont confirmé l'attaque et ont souligné que "ce sont eux qui se sont occupés du touriste sur la terrasse, qu'il saignait abondamment" (...) "La zone se dégrade. La chaussée et les stations du métro se remplissent de vendeurs. Et la police semble impuissante. (...)

Après avoir pris connaissance de la nouvelle, le président du groupe populaire de la mairie de Barcelone, Alberto Fernández Díaz, a déploré qu'Ada Colau (évidemment de gauche), maire de Barcelone, "fasse taire ces événements".

 

Elespanol.comElconfidencial.com / Cronicaglobal.elespanol.com

Traduction libre Les Observateurs.ch

Barcelone: deux Marocains tabassent un homosexuel. «On va te tuer avec des pierres comme on fait aux pédés dans notre pays»

Un des deux deux individus qui avaient tabassé un homme gay dans la gare de la ville catalane, le laissant pour mort sur les voies de chemin de fer, est jugé à Barcelone.

L’affaire, survenue à l’aube du 1er octobre 2016, avait horrifié l’Espagne, même si les faits n’avaient été relatés dans les médias que quelques mois plus tard. Elle a pour cadre la célèbre station balnéaire gay-friendly de Sitges, près de Barcelone. Au cours de la soirée, plusieurs jeunes d’origine marocaines s’étaient mis à importuner un groupe d’amis gay dans un bar. Un peu plus tard, l’un de ces derniers, Andrès (prénom d’emprunt) avait recroisé la petite bande, qui l’avaient suivi jusqu’à la gare, où il allait attendre le premier train du matin.

Alors qu’il pensait être en sécurité, Andrès avait été attaqué par deux des jeunes. Il avait été frappé derrière la tête et roué de coups de pieds et de pierres, avant d’être dévalisé. «J’ai vu mon sang couler, et j’ai pensé que j’allais mourir», a-t-il raconté. Ses agresseurs l’ont ensuite jeté sur les rails une minute avant l’arrivée d’un train. Des témoins, ainsi qu’un ami des agresseurs (qui n’a pas été mis en cause) ont remonté la victime sur le quai et averti la police.

Les deux auteurs du crime, rapidement identifiés, ont comparu devant la justice. Le premier, mineur au moment des faits, a été jugé l’an dernier et condamné à 4 ans d’internement pour tentative d’homicide avec pour circonstance aggravante le caractère homophobe de l’attaque, rappelle le site LGBT espagnol DosManzanas. «On va te tuer avec des pierres comme on fait aux pédés dans notre pays», avait entendu la victime.

«Comme si c’était une blague»
Le second assaillant était en procès cette semaine devant un tribunal de Barcelone. Abdelhakim E. H. conteste la qualification de tentative d’homicide à motivation homophobe. La défense soutient la thèse d’une banale dispute et désigne Andrès comme celui qui a le premier eu un geste agressif. Une version contredite par la vidéosurveillance et par les témoins. «[Les agresseurs] riaient comme si c’était une blague, c’est ce qui m’a le plus choqué», a raconté l’un d’eux.

Les parties civiles ont demandé 14 ans de prison, le Ministère public 13 et demi contre le prévenu. Andrès avait subi une hémorragie cérébrale qui aurait pu être fatale, a rappelé le Ministère public. Il souffre encore physiquement et psychologiquement des suites de l’agression.

Source

Barcelone: «Je ne sais pas ce qu’il s’est passé» : le terroriste filmé lors de sa fuite (Vidéo)

Younès Abouyaaqoub, le terroriste ayant tué 16 personnes sur l'avenue des Ramblas à Barcelone le 17 août au nom de Daesh, a été filmé par hasard par une passante lors de sa fuite. Interrogé, celui-ci a feint ne pas savoir ce qu'il s'était passé.

Une vidéo diffusée par la chaîne de télévision espagnole A3 Noticias montre une passante paniquée filmant des personnes en train de fuir de l'avenue des Ramblas. L'attentat ayant coûté la vie à 17 personnes venait d'avoir lieu.

 

 

Cherchant à savoir ce qu'il s'était passé, la femme se met à questionner les passants, jusqu'à ce qu'elle tombe par hasard sur Younès Abouyaaqoub. Celui-ci marchait tranquillement après avoir commis son attentat meurtrier à l'aide d'une camionnette, et a même pris le temps de répondre à la question de la femme.

«Je ne sais pas ce qu'il s'est passé», a-t-il alors prétendu.

Quelques instants après avoir été filmé, Younès Abouyaaqoub a pris en otage un automobiliste avant de le tuer et de s'emparer de son véhicule pour prendre la fuite.

Source

Barcelone: des migrants essaient de monter dans les trains sans ticket. La police intervient en force. (Vidéo)

La police anti-émeutes a été envoyée à une station de métro de Barcelone parce qu'un migrant n'avait pas acheté de billet.

L'homme, considéré comme un vendeur de rue, a été interdit d'entrer dans un train parce qu'il n'avait pas payé, ce qui l'a incité à appeler ses amis pour les avertir.

Mais alors qu'ils s'enfuyaient, la police est arrivée et la vidéo montre le moment où les policiers interviennent, les chassant à coups de matraques.

 

Source Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

BARCELONE ? Non : Molenbeek, parfum paella

Par Xavier Raufer

Interro de contrôle au cours d'antiterrorisme : qu'évoquent pour vous les faits suivants ?

• Un pays déchiré par une querelle linguistico-tribalo-nationale, dans lequel diverses polices se regardent de travers et coopèrent d'aussi mauvaise grâce que possible,

• Une agglomération où l'arrivée massive de Maghrébins (Marocains pour la plupart) suscite peu à peu une omerta subtile et un pesant communautarisme,

• Ce, dans le silence apeuré ou vaguement complice d'autorités municipales, entre anesthésique béatitude du "vivre ensemble" et syndrome de Stockholm,

• Arrivée d'un évanescent prêcheur salafiste (lui-même ancien voyou) ; qui séduit ou convainc, des mois durant sans que nul ne s'en avise, des fratries dont certains éléments ont "des antécédents judiciaires pour faits de droit commun",

• Commission d'attentats sanglants (préparés depuis des mois) lors desquels les terroristes délaissent leurs passeports dans des camionnettes louées avec leurs cartes de paiement personnelles,

• Puis une enquête au long de laquelle le nombre de terroristes impliqués enfle sans arrêt, dix-douze au début - le triple au bout du compte,

• Dans le fief salafiste, des habitants en larmes... L'inexplicable cauchemar ! Nul n'imaginait les sanglants projets des copains, frères ou cousins.

• Des autorités locales sous le choc. Des jeunes élevés sur place, si bien intégrés...parlant si bien la langue du cru. Comment est-ce possible dans une ville si ouverte...

Là, le dernier de la classe d'antiterrorisme, depuis sa place près du radiateur, lève la main et s'écrie " Molenbeek ! Les Abdeslam, les attentats de Paris et Bruxelles en 2015-2016".

Eh bien non. Tout faux. Car il s'agit bien du contexte et des circonstances entourant les récents attentats de Barcelone, qui forment un parfait copier-coller des épisodes terroristes franco-belges de la fin 2015, début 2016.

Or cela, une fois de plus, ni les autorités nationales espagnoles, ni la police régionale catalane, ni les instances antiterroristes de l'Union européenne ne l'ont décelé ni vu venir.

On aurait espéré qu'après le Bataclan et Zaventem, un "retour d'expérience" européen isolerait les facteurs de grand risque, analogies terroristes à la mortelle poche de grisou des mines de charbon. Car si cette exigence antiterroriste minimale avait été satisfaite, si la zone catalane de risque majeur Ripoll-Alcanar-Barcelone avait été décelée, voilà ce que le renseignement et la police antiterroriste, dûment avertis, auraient vu s'opérer sous leurs yeux, sans grande discrétion d'ailleurs :

- Des maghrébins occupant une villa-laboratoire d'explosifs. Ni femmes ni enfants. Villa aux volets toujours clos, sans musique, d'où entrent et sortent constamment des barbus "parlant tous français" chargés de lourds sacs à dos, saluant les voisins "sans jamais regarder les femmes de face". Certains vont et viennent ; d'autres, de la terrasse, "scrutent la route en contrebas". Comment dit-on caricature en Catalan ? Au point qu'un voisin ancien policier, dit à sa fille "C'est des terroristes, note les plaques d'immatriculation".

- Les mêmes achètent sans encombre cent vingt bonbonnes de gaz et les composants chimiques du péroxyde d'azote, explosif utilisé à Paris en novembre 2015.

Pendant ce temps-là, les meilleurs experts espagnols du terrorisme, dont notre collègue Fernando Reinares, du Elcano Royal Institute, alertent en vain médias et autorités sur le fief salafiste catalan et les risques toujours plus graves qui en émanent.

Rien n'y fait. l'aveuglement prévaut. Résultat : 14 morts, plus de cent blessés - et bien sûr, toutes les cérémonies, messes, autels improvisés et touchantes offrandes que nécessaire. Même pas peur. L'effusion sans la prévision : combien de temps encore ?

Xavier Raufer

NB - Bien entendu, mes critiques de l'irénisme antiterroriste de l'Union européenne sont tout, sauf une lubie personnelle. Le lecteur consultera avec profit le rapport d'information N°397 du Sénat, sur "Le financement européen de la lutte contre le terrorisme" (février 2016), écrit par une sénatrice européenne fervente. On y lit que "Les réponses apportées au défi du terrorisme ne sont pas passées, au niveau européen, par un engagement financier substantiel". Et que les projets antiterroristes de l'U. E. verront le jour "si se développe une véritable culture de la coopération". Sans commentaire.

Barcelone : les terroristes auraient voulu prendre pour cible la Basilique Sagrada Familia

L'attaque à la voiture-bélier de Barcelone n'était pas le plan initial des terroristes. Selon un média espagnol, ils avaient l'intention de faire exploser leurs camionnettes dans plusieurs lieux fréquentés et symboliques, dont la Sagrada Familia.

Selon la version en ligne du journal El Espanol du 19 août, les terroristes qui ont mené une attaque à Barcelone le 17 août ont été contraint de revoir leur plans après l'explosion de leur planque à Alcanar dans la soirée du 16 août. Les policiers y avaient découvert plus de 30 bonbonnes de gaz, qui auraient pu servir à la fabrication d'engins explosifs.

Le groupe de djihadistes, qui avait loué trois camionnettes, aurait initialement prévu de les faire exploser dans des lieux très fréquentés.

Citant des sources policières, El Espanol rapporte que l'emblématique basilique de la Sagrada Familia était en tête de liste. L'allée centrale des Ramblas, où une camionnette blanche a fauché des dizaines de personnes, était en seconde position et une troisième cible potentielle se situait dans le port de Barcelone.

La double attaque a du coup été commise de «manière plus rudimentaire», sans être «de l'amplitude espérée» par les djihadistes, a expliqué Josep Lluis Trapero, le porte-parole de la police catalane.

L'Etat islamique a revendiqué les attaques meurtrières des Ramblas de Barcelone et de Cambrils, en Catalogne, du 17 août, qui ont fait au total 14 morts et une centaine de blessés.

Source

Rappels:

Espagne: Une mosquée sur trois serait salafiste en Catalogne déclare la police (Vidéo)

Le salafisme a largement contaminé la Catalogne : « des quartiers majoritairement musulmans » près de Barcelone

Agacé qu’on ne nomme pas l’ennemi islamiste, le spécialiste du terrorisme Alain Marsaud quitte BFMTV en direct (Vidéos)

Il y a quelques minutes seulement, Alain Marsaud, député "Les Républicains" a quitté en plein direct le plateau de BFMTV qui consacrait sa tranche d'information à l'attentat de Barcelone.

L'homme politique était en fait agacé que l'on ne "nomme pas l'ennemi islamiste".

 

 

 

 

Source

Rappel: 160’000 manifestants à Barcelone pour l’accueil des réfugiés en Espagne: « Chez nous c’est chez vous »

Quelque 160.000 personnes ont participé samedi à une manifestation à Barcelone pour réclamer que l'Espagne accueille "dès maintenant" des milliers de réfugiés comme elle s'y était engagée en 2015, selon une estimation de la police municipale.

La maire de gauche de la deuxième ville d'Espagne, Ada Colau, avait appelé les manifestants à "emplir les rues" pour cette marche intitulée "nous voulons accueillir" ("volem acollir", en catalan).

Ils étaient nombreux à porter sur eux la pancarte "plus d'excuses, accueillons maintenant". Le défilé était organisé par la plateforme "Chez nous c'est chez vous" ("Casa nostra casa vostra", en catalan).

Source et article complet

Espagne: Nouveau bilan de 12 morts et 15 blessés graves! L’État islamique revendique l’attentat de Barcelone

Une fourgonnette a percuté jeudi des dizaines de personnes qui se trouvaient dans le centre-ville de Barcelone, sur les Ramblas, faisant au moins 13 mort et 80 blessés, dont 15 dans un état grave, selon le gouvernement catalan. Deux hommes ont été interpellés.

Une fourgonnette a percuté jeudi des dizaines de personnes qui se trouvaient dans le centre-ville de Barcelone, sur les Ramblas, faisant au moins 13 mort et 80 blessés, dont 15 dans un état grave, selon le gouvernement catalan. Deux hommes ont été interpellés.

 

 

à 21:33
Poutine appelle à une lutte mondiale contre le terrorisme

Vladimir Poutine a appelé à une lutte mondiale "contre les forces du terrorisme" après l'attaque de Barcelone.

à 21:32
L'État islamique revendique l'attentat de Barcelone

Le gourpe djihadiste Etat islamique a revendiqué, via son agence de propagande Amaq, l'attentat de Barcelone qui a fait une douzaine de morts et 80 blessés.

à 21:25
Une victime de nationalité belge a été identifiée

Le ministre Didier Reynders a confirmé qu'une personne de nationalité belge figurait parmi les victimes de l'attentat.

à 21:21
Un suspect identifié

Un suspect arrêté après l'attaque à la camionnette qui a fait au moins 13 morts et 80 blessés à Barcelone a été identifié, selon le principal syndicat de police espagnol. Il s'agit de Driss Oukabir, a affirmé à l'AFP un porte-parole du Syndicat unifié de policiers (SUP).

Un homme portant ce nom avait posté sur sa page Facebook, consultée par l'AFP avant qu'elle ne devienne inaccessible vers 21 heures, des photos le montrant sur la plage, d'autres devant un miroir, et une image du drapeau berbère, peuple présent notamment au Maroc et en Algérie.

à 21:17
Deux personnes interpellées et un suspect abattu par la police

Carles Puigdemont a également précisé que deux personnes ont été arrêtées. Un suspect a aussi été abattu par la police alors qu'il a forcé un barrage routier. L'homme a renversé un policier avant de s'enfuir sous les tirs des agents. Il aurait été retrouvé 3 kilomètres plus loin, le corps sans vie.

à 21:13
Nouveau bilan : une douzaine de morts et 80 blessés, dont 15 gravement

Carles Puigdemont, le président de la Generalitat - le gouvernement catalan -, a annoncé un nouveau bilan lors d'une intervention télévisée. À l'heure actuelle, il y aurait "une douzaine de morts et 80 blessés, dont 15 dans un état grave".

Source

Barcelone: Une fourgonnette percute la foule, au moins deux personnes auraient été tuées. La police évoque une attaque terroriste.

Un attentat à la voiture-bélier a été mené sur l'artère principale de Barcelone, très fréquentée par les touristes, près de la place de Catalogne. Au moins deux personnes auraient été tuées et plusieurs ont été blessées.

  • La police catalane confirme le fait que des victimes ont succombé à leurs blessures sans préciser le nombre de celle-ci.

  • Deux personnes seraient retranchées dans un bar de la ville selon El Periodico.

    Le journal fait aussi état d'une fusillade dans le quartier du marché de la Boqueria.

  • Deux personnes ont été tuées au cours de l'attaque, d'après un bilan cité par l'agence Reuters.

    Le journal El Periodico fait état d'un bilan situé entre 20 et 25 blessés, citant des sources policières.

  • La police rechercherait un homme d'1m70 avec une chemise blanche avec des rayures bleues, d'après El Pais.

 

 

 Selon El Pais, une fourgonnette blanche a foncé dans la foule sur la Rambla, l'artère principale de Barcelone, en plein centre-ville. Selon des témoins, plusieurs personnes auraient été touchées.

 

 

Il s'agirait, selon des sources policières, d'une fourgonnette blanche. Le chauffeur aurait abandonné le véhicule et aurait pris la fuite à pied. La police a lancé une opération d'envergure pour tenter d'arrêter le conducteur.   La police recommande aux habitants d'éviter la zone. Les stations de métro aux abords du lieu de l'incident sont fermées.

La police espagnole a confirmé des informations diffusées par des médias locaux faisant état d'un attentat perpétré par un homme au volant d'une camionnette ayant renversé des passants dans le centre-ville de Barcelone en empruntant les trottoirs de la touristique avenue Les Ramblas.

Le véhicule a poursuivi sa course jusqu'à ce qu'il percute un kiosque.

D'après le journal El Pais citant une source policière, le chauffeur de la camionnette a pris la fuite à pied et est activement recherché par les forces de l'ordre.

Source Source2

160’000 manifestants à Barcelone pour l’accueil des réfugiés en Espagne: « Chez nous c’est chez vous »

Quelque 160.000 personnes ont participé samedi à une manifestation à Barcelone pour réclamer que l'Espagne accueille "dès maintenant" des milliers de réfugiés comme elle s'y était engagée en 2015, selon une estimation de la police municipale.

La maire de gauche de la deuxième ville d'Espagne, Ada Colau, avait appelé les manifestants à "emplir les rues" pour cette marche intitulée "nous voulons accueillir" ("volem acollir", en catalan).

Ils étaient nombreux à porter sur eux la pancarte "plus d'excuses, accueillons maintenant". Le défilé était organisé par la plateforme "Chez nous c'est chez vous" ("Casa nostra casa vostra", en catalan).

Source et article complet