Suisse : Les hôpitaux manqueront de lits dès jeudi

La Suisse va manquer de lits en soins intensifs jeudi prochain en raison de la progression de la pandémie due au coronavirus, avertit une étude de l'EPFZ relayée par plusieurs journaux. Jusqu'à 1000 lits supplémentaires pourraient être nécessaires dans tout le pays.

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Thomas Van Boeckel, professeur assistant à l'institut pour les décisions environnementales de l'École polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) et coauteur du rapport. Outre au Tessin, la capacité en lits pourrait même être déjà dépassée dans les cantons de Vaud, de Genève, du Valais et des Grisons, remarque-t-il. «Selon nos modélisations, nous arriverons à un manque plus global le 2 avril».

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20min.ch


Rappels :

Coronavirus : Le socialiste Alain Berset est fier d’avoir pris en charge des patients français

Genève. Coronavirus : Pour Mauro Poggia, un patient suisse ne passera pas avant un patient français

Daniel Koch assure que la Suisse est préparée et affirme qu'il faut relativiser

Coronavirus : Genève sera bientôt à court de tests de dépistage

 

Suisse : Les hôpitaux se battent contre les vols de masques

Un peu partout, des masques disparaissaient sans raison. Des mesures ont été prises pour préserver cette denrée devenue rare.

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Dès les premiers signes de pandémie et la crainte d'une pénurie, ce matériel de protection a commencé à disparaître en grandes quantités, tant les masques chirurgicaux que ceux à haut pouvoir filtrant (ffp2). «Au début du mois de mars, les stocks se sont vidés plus rapidement que les semaines précédentes, représentant environ 30% de plus de consommation. Des cartons étaient parfois vidés en quelques minutes», explique Nicolas de Saussure, porte-parole des Hôpitaux universitaires de Genève.

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20min.ch

Hôpitaux suisses : Agressions en hausse, sécurité augmentée

Les hôpitaux ont renforcé leurs mesures de sécurité car les agressions contre le personnel, en particulier dans les services d'urgence, sont en augmentation. C'est ce qui ressort d'une enquête menée par la «NZZ am Sonntag» auprès des cinq hôpitaux universitaires suisses.

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Plusieurs facteurs sont évoqués par les experts. Premièrement, le seuil d'inhibition de la violence verbale et physique a diminué et la plupart des patients agressifs savent qu'ils s'en sortiront indemnes.

20Min.ch

Rappel :

Berlin : un affrontement dégénère entre 30 hommes d’origine arabe dans un hôpital

Berne: Une fillette de 8 ans d’Érythrée a été maltraitée. Elle décède à l’hôpital. Deux personnes de son entourage arrêtées

Augsbourg (All.) : un Syrien jugé pour avoir agressé une infirmière et menacé de faire exploser un hôpital « au nom d’Allah »

 

Berlin. Violences entre clans : les hôpitaux veulent se prémunir contre les agressions

Alors que de plus en plus d'affrontements violents se produisent, certaines institutions sont à la recherche d'une solution.

En l’espace d’une semaine, la police a dû intervenir dans deux grands hôpitaux. Des bandes criminelles ennemies, en partie imputées au milieu clanique, se sont affrontées de manière sanglante dans les couloirs des hôpitaux. Même si la police ne donne pas de chiffres, la violence dans les hôpitaux est un problème croissant.

Dans un communiqué, l'Association fédérale des services de sécurité confirme que de plus en plus d’hôpitaux et de services d’urgence s'équipent de forces de sécurité.

Une vidéo qui vient d'être publiée montre l'un de ces incidents qui s'est déroulé la semaine dernière à l’hôpital St Joseph. Selon la police, une bagarre avait éclaté entre plusieurs hommes pour des raisons inconnues.

 

https://youtu.be/gdcpEvbYiXs

 

Intervention de 60 policiers et 3 blessés

Par la suite, le conflit s'est poursuivi dans la rue, devant la clinique. Jusqu'à 30 personnes se sont affrontées. Les forces de police déjà alertées à ce moment-là ont tenté de désamorcer la situation. Mais la vidéo montre que les bandes rivales ignorent dans une large mesure la police et que le conflit s’intensifie. Ce n’est qu'à l'aide de renforts massifs que les forces d’intervention ont finalement réussi à maîtriser la situation.

Selon la police, 60 agents ont été nécessaires. Trois personnes ont été blessées. Il n'y a eu aucune arrestation.

Dans la nuit de mardi, seulement quelques jours plus tard, un autre incident est survenu : après une attaque à l'arme blanche à Kreuzberg, deux protagonistes se sont rendus à l'hôpital avec des blessures.

Selon la police, "les proches et les connaissances des blessés sont arrivés petit à petit. Certains d'entre eux auraient été très agressifs. Ce n’est qu’avec l’aide d’autres agents que l’on a pu repousser ces personnes et que le fonctionnement du service d'urgence a pu être garanti.

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Situation dans les hôpitaux de plus en plus tendue

Personne n’est plus surpris de voir que "les forces de sécurité privées protègent les manifestations, les transports publics, les détaillants, les universités, les écoles ou les centres d’emploi". La nécessité de protéger les médecins et le personnel soignant est également une triste réalité, affirme Harald Olschok, directeur général et membre du bureau exécutif du BDSW (Association fédérale de l'industrie de la sécurité).

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(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Berliner-zeitung.de

 

Ramadan dans les écoles et les hôpitaux genevois : l’administration s’y accommode en catimini.

Suite à l'article dévoilant l'affaire du Département de la formation face au ramadan, voici d'autres révélations.

A préciser : le titre ne provient pas de l'article originel.

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Par Madame Mireille Vallette

Comment gérer les complications dues aux musulmans? Nos institutions se noient. Dernière tasse en date: une circulaire sur le ramadan envoyée à l’école genevoise. Et en scoop dans ce blog, une première tentative stupéfiante.

A peine sortie de l’éprouvant épisode de l’ex-prof Ramadan, Anne Emery Torracinta, conseillère d’Etat en charge du Département de la formation, tombe dans la polémique d’un autre Ramadan. Le 18 mai, une circulaire intitulée «Recommandations en cas de jeûne sur temps scolaire» a atterri dans les boîtes email des responsables d’écoles. «Le Temps» l’a révélée et moult personnalités s’indignent de cette entorse à la laïcité.

La conseillère d’Etat a «pris connaissance avec effarement de ces recommandations». Non seulement elle n’en savait rien, mais elle avait bloqué en 2016 un document du même tabac, provenant du même service… encore plus gratiné!

Concoctée par le Service de santé de l’enfance et de la jeunesse (SSEJ), la circulaire briefe les enseignants sur la meilleure manière de permettre aux élèves de suivre leur loi divine. Mais elle n’utilise jamais le terme «ramadan» afin de souscrire à la laïcité!

D’emblée, le document annonce: «Le jeûne total peut être bien supporté par l’enfant, mais peut impacter son rythme scolaire. Plus l’âge de l’élève est avancé (…) moins il y a de risque de malaise.» C’est que le ramadan concerne aussi les petits du primaire.

Ce n’est pas sur le rythme des enfants que se penche la suite, mais sur les dangers physiques du jeûne: malaises, hypoglycémie, déshydratation. Comment procéder? En substance: si le jeune se sent mal, on lui propose de se reposer. Si le malaise persiste après 20 minutes et qu’il souffre de fatigue, maux de ventre, maux de tête, nausées, vomissement, vertiges ou perd connaissance… l’enseignant contacte les parents et à défaut d’accord, ils doivent venir le récupérer. S’ils ne sont pas joignables, il appelle un médecin «qui donnera son aval et endossera la responsabilité «médicale» pour une rupture de jeûne».

Mais il existe aussi des cas où l’enseignant prévoyant a convoqué les parents et s’est mis d’accord avec eux sur une éventuelle rupture du jeûne. Vu la multiplication des petits musulmans dans les écoles, on en conclut que les enseignants ont une remarquable disponibilité.

Pour la gym, les enseignants sont invités à tenir compte de la faiblesse de l’élève. Et afin de «favoriser l’intégration de tous», ils veilleront à ce que «les camps ou les voyages d’études d’une semaine se déroulent, dans la mesure du possible, hors période de jeûne».

Pour l’anecdote, lors de la conférence de presse des opposants au référendum sur la laïcité, j’ai donné deux exemples aux journalistes de ce qu’une telle loi n’empêcherait pas. L’un concernait d’aimables aménagements concédés par les Hôpitaux publics genevois, l’autre des «Recommandations pour le jeûne du Ramadan» destinée aux enseignants. J’ai proposé aux journalistes de leur en donner une copie, aucun n’a été intéressé.

Pourtant, cette sœur aînée de la lettre du 18 mai n’est pas piquée des vers. Bien que refusée par la conseillère d’Etat en 2016, elle voyageait dans le Net –où je l’avais trouvée- depuis deux ans. Pourquoi? «Il s’agit d’une erreur», répond son porte-parole Pierre-Antoine Preti. (Encore une!) Et d’ajouter: «Cette page vient d’être enlevée du site web par nos soins.» Les lecteurs de ce blog sont donc les seuls à pouvoir la lire intégralement ici : Circulaire enseignants.docx

Ces erreurs, bourdes ou chausses-trapes inciteront-ils la cheffe du département à ordonner une petite enquête, voir à sanctionner ? Son porte-parole refuse de répondre. On observera que la circulaire du 18 mai provient de deux hautes fonctionnaires du Département de la formation, dont Francine Novel, directrice au service de l’Enseignement secondaires II. Alors qu’elle était directrice de l’école de culture générale Jean Piaget, un élève avait refusé que sa prof de gym le touche, ce que cette dernière avait notifié à la direction. L’élève avait pu tranquillement continuer suivre ses cours de sport sans contact physique ni avec son enseignante, ni avec les élèves de sexe féminin. Cette complaisance a-t-elle un lien avec l’envoi d’une directive tout aussi complaisante, mais non validée? Mystère… Les complaisants sont si nombreux.

Toujours est-il que la circulaire non diffusée montre à quelles démissions la haute administration est prête à se plier. Le texte explique le sens du Ramadan: quatrième pilier, «mois de la purification, du pardon, du recueillement et de la compassion envers les plus pauvres (…) Le Ramadan est aussi un fait culturel et un lien identitaire avec la communauté, en particulier lorsqu’il s’agit de population migrante.» Quel mauvais esprit refuserait donc de faciliter la pratique de ce rite magnifique où que ce soit, et en particulier à l’école?

Cette obligation (souligné dans le texte!) concerne les musulmans «des deux sexes ayant atteint la puberté (…) Mais les enfants peuvent jeûner (incitation) dès l’âge de 7 ans, «âge du début des prières». Ils doivent s’entraîner.

Refuser un enfant qui jeûne? Vous n’y pensez pas! On aménage! Les Canadiens diraient: «on accommode»! Entretien avec les parents avant le jeûne avec interprète si nécessaire, propositions alternatives, par exemple que l’enfant jeûne durant le week-end ou «proposer un rattrapage du jeûne en partie durant les vacances scolaires», etc. Et les habituels conseils si l’enfant ne se sent pas bien.

Et l’on tient compte de la faiblesse de l’élève pour les journées sportives, les cours de gym, etc.

Et en conclusion, les "Références bibliographiques":

  • Le coran: la sourate 2
  • Le Ramadan et les vertus du jeûne; Les secrets du jeûne en islam (Al Ghazali)
  • Traité moderne de théologie islamique (Boubaker Cheikh)
  • Lien sur un atelier des Hôpitaux universitaires sur le Ramadan (de la même eau, dont j’ai dit quelques mots ici)

Dans nos pays, le Ramadan est accompagné d’innombrables mises en scène que relaient avec passion les médias. Comme je le développe dans mon dernier livre, la folie des rites saisit de plus en plus de musulmans. Ainsi les patients de l’hôpital veulent jeuner alors que les malades n’y sont pas tenus dans leur religion. De nombreux sites, par exemple celui de l’Association des musulmans de Fribourg en 2015 (texte disparu depuis) expliquent que le jeûne n’est- pas valable «quand on absorbe par voie orale un médicament». Règle confirmée par un flyer de l’UOIF. De manière générale, les vade-mecum du ramadan précisent qu’est déconseillé ou interdit «de se faire vomir», «de regarder son conjoint avec désir», «de mâcher du chewing-gum de peur d’en laisser glisser une partie dans l’estomac»… etc. Les femmes qui ont leurs règles, impures, sont toujours interdites de jeûne.

Les soignants, les enseignants, etc. se laissent entrainer dans une glu dont ils ne sortiront pas. Car dans l’islam, les rites, les obligations, les interdictions sont infinis. Foulard des femmes, foulard des fillettes à l’école, halal, prières dans les entreprises, refus de vendre ou de servir de l’alcool, contestation des rites chrétiens (sapin, chants), etc.

Pour conclure avec l’école, tous les cantons font face aux problèmes que posent les musulmans pratiquants. Voir par exemple cette brochure fribourgeoise officielle dont les concessions atteignent déjà des sommets. https://www.fr.ch/osso/files/pdf76/fr_diversite_religieus...(notamment chap. 5,7 et 5,8).

La religion musulmane est entrée dans nos institutions. Quand des autorités auront-elles le courage de l’en faire sortir?

Source

 

Nos remerciements à Devoir de précaution

IMMIGRANTS ILLÉGAUX PAR CENTAINES DE MILLIERS EN ALLEMAGNE : CRI D’ALARME D’UN MÉDECIN !

Une femme médecin allemande envoie ce message d’alerte au monde :

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Hier, à l'hôpital, nous avons eu une réunion sur la façon dont la situation ici et dans les autres hôpitaux de Munich est insoutenable. Les cliniques ne peuvent pas gérer les situations d'urgence, de sorte qu'ils commencent à les envoyer tous vers les hôpitaux.

Beaucoup de musulmans refusent d’être traités par du personnel féminin et, nous, les femmes, refusons de nous occuper de ces spécimens, en particulier d'Afrique. Les relations entre le personnel et les migrants vont de mal en pis. Depuis le dernier week-end, les migrants qui arrivent dans les hôpitaux doivent être accompagnés par la police avec des unités K-9.

Beaucoup de migrants ont le SIDA, la syphilis, la tuberculose et de nombreuses maladies exotiques que nous, en Europe, ne savons pas comment traiter. S’ils reçoivent une prescription à la pharmacie, ils apprennent qu'ils ont à payer comptant. Cela conduit à des réactions violentes incroyables, surtout quand il s’agit de médicaments pour les enfants. Ils abandonnent alors leurs enfants au personnel de la pharmacie avec l’injonction : "Alors, soignez-les vous-mêmes ici!"  La police doit non seulement garder les cliniques et les hôpitaux, mais aussi les grandes pharmacies !

Nous avons déclaré ouvertement : Où sont tous ceux qui avaient accueilli devant les caméras de télévision, avec des signes dans les gares ?! Oui, pour le moment, la frontière a été fermée, mais un million d'entre eux sont déjà ici et nous ne serons certainement pas en mesure de nous débarrasser d'eux.

Jusqu'à présent, le nombre de chômeurs en Allemagne était de 2,2 millions. Désormais, il sera d’au moins 3,5 millions. La plupart de ces gens sont complètement inaptes au travail. Une toute petite minorité d’entre eux ont un minimum d’éducation. Qui plus est, leurs femmes ne travaillent généralement pas du tout. J’estime qu’une sur dix est enceinte. Des centaines de milliers d'entre eux ont apporté les nourrissons et les petits enfants de moins de six ans, beaucoup émaciés et maltraités. Si cela continue, et que l'Allemagne ré-ouvre ses frontières, je retourne en République tchèque. Personne ne peut m'obliger à supporter  cette situation, même avec le double du salaire que j’aurai là-bas. Je suis venue en Allemagne, pas en Afrique ou au Moyen-Orient.

Même le professeur qui dirige notre département nous a dit combien il était triste de voir qu’une femme de ménage nettoie tous les jours pendant des années pour [seulement] 800€, et que des jeunes hommes dans les couloirs viennent attendre main tendue, exigeant  tout gratuitement, et quand ils ne l'obtiennent pas, ils piquent une crise.
Je n’ai vraiment pas besoin de ça ! Mais je crains que si je reviens, bientôt ce sera la même chose en République tchèque. Si les Allemands,  ne peuvent pas gérer cela, en Tchéquie ce sera le chaos total. Personne n'ayant fait l’expérience d’être en contact avec eux n’a la moindre idée de leur comportement sauvage, et en particulier les Musulmans venant d'Afrique. Ils se comportent comme étant supérieurs à notre personnel, en ce qui concerne les accommodements religieux.

Pour l'instant, le personnel de l'hôpital local ne s’est pas effondré par  contamination des maladies qu'ils ont amenées ici, mais, avec autant de centaines de patients chaque jour cela est juste une question de temps.

Dans un hôpital à proximité du Rhin, les migrants ont attaqué le personnel avec des couteaux après avoir amené un bébé de 8 mois proche de la mort, qu’ils avaient traîné à travers la moitié de l'Europe pendant trois mois. L'enfant est mort en deux jours, malgré les meilleurs soins reçus dans l'une des cliniques pédiatriques les plus réputées d’Allemagne. Le médecin a dû subir une intervention chirurgicale et deux infirmières ont été mises dans l'unité de soins intensifs. Personne n'a été puni.

On interdit à la presse locale d'écrire à ce sujet, donc nous avons été informés par courriel. Que serait-il arrivé à un Allemand s’il avait poignardé un médecin et les infirmières avec un couteau? Ou s’il avait répandue sa propre urine infectée par la syphilis au visage d'une infirmière et lui avait ainsi transmis son infection ? Au minimum il irait tout droit en prison et plus tard au tribunal. Avec ces personnes - jusqu'à présent - rien n'a été fait.

Je demande donc : Où sont tous ces gens qui les réceptionnent et les accueillent dans les gares ? Assis tranquilles à la maison, profitant de leurs subventions d’associations « à but non lucratif » ( !) et impatients de voir arriver d’autres trains [plein d’immigrés clandestins] qui leur permettront de jouer à nouveau leur rôle d’« accueillants » et récupérer leur part de fric.

Si cela ne tenait qu'à moi, je rassemblerais tous ces « accueillants » et les amènerais ici au service des urgences de notre hôpital, comme préposés dans un bâtiment dévolus aux seuls immigrés clandestins, de façon à ce qu’ils puissent s’occuper d’eux, eux-mêmes, sans police armée, sans chiens policiers, qui sont aujourd'hui dans tous les hôpitaux en Bavière, et sans aide médicale.

Source non identifiée

Via

Vidéo sur l’état désastreux des hôpitaux algériens : bébés entassés, mares de sang…

Le reportage choc de l’ENTV sur la maternité du CHU de Constantine a choqué les Algériens avec des images diffusées par la télévision publique qui montrent de graves manquement des services de santé du pays, un service de maternité à l'hygiène déficiente et d'une saleté repoussante, un véritable dépotoir, avec les risques sur la santé des parturientes et des nourrissons.

On y voit des scènes surréalistes avec trois à quatre femmes par lit, des bébés entassés à plusieurs dans un seul petit lit. On voit également des mares de sang au sol, des sachets qui traînent, des installations délabrées, de la saleté sur les murs.

 

Source

Hôpitaux algériens, bienvenue en enfer !

«Les responsables des hôpitaux disent aux malades que s'ils ne sont pas bien soignés, c'est à cause de la grève des médecins. Or, quand on voit l'état des hôpitaux, on comprend vite où est le problème»,. Les photos sont postées par les membres du groupe de tous les hôpitaux du pays et sont abondamment commentées. Petit aperçu des hôpitaux de Ould Abbès !

 

L’OTAN par la Turquie soigne les monstres de l’Etat Islamique

L'OTAN par la Turquie soigne les monstres de l'Etat Islamique, une infirmière dégoûtée s'explique      

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Elle a noté avoir découvert que la majorité des Syriens admis récemment à l’hôpital étaient des membres d’EIIL. « J’ai été extrêmement dérangée à ce sujet. Je suis véritablement désolée de cette situation. Je suis perturbée par le fait que ces gens sont traités dans nos hôpitaux, alors que notre peuple est retenu en otage par ces même personnes », a-t’elle écrit, selon l’article du Taraf.

(...)

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