La syphilis fait son retour en France

En 2015, on dénombre près de 500 nouveaux cas de cette infection sexuellement transmissible. Pour s’en protéger, une solution : le préservatif.

La syphilis, une maladie que nous pensions disparue. Mais il semblerait que cette pathologie soit en recrudescence en France. Et les chiffres le prouvent.  500 nouveaux cas sont recensés chaque année en France. Autrefois appelée « vérole » ou « mal de Naples », elle était suggérée dans de nombreux classiques de la littérature.

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IMMIGRANTS ILLÉGAUX PAR CENTAINES DE MILLIERS EN ALLEMAGNE : CRI D’ALARME D’UN MÉDECIN !

Une femme médecin allemande envoie ce message d’alerte au monde :

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Hier, à l'hôpital, nous avons eu une réunion sur la façon dont la situation ici et dans les autres hôpitaux de Munich est insoutenable. Les cliniques ne peuvent pas gérer les situations d'urgence, de sorte qu'ils commencent à les envoyer tous vers les hôpitaux.

Beaucoup de musulmans refusent d’être traités par du personnel féminin et, nous, les femmes, refusons de nous occuper de ces spécimens, en particulier d'Afrique. Les relations entre le personnel et les migrants vont de mal en pis. Depuis le dernier week-end, les migrants qui arrivent dans les hôpitaux doivent être accompagnés par la police avec des unités K-9.

Beaucoup de migrants ont le SIDA, la syphilis, la tuberculose et de nombreuses maladies exotiques que nous, en Europe, ne savons pas comment traiter. S’ils reçoivent une prescription à la pharmacie, ils apprennent qu'ils ont à payer comptant. Cela conduit à des réactions violentes incroyables, surtout quand il s’agit de médicaments pour les enfants. Ils abandonnent alors leurs enfants au personnel de la pharmacie avec l’injonction : "Alors, soignez-les vous-mêmes ici!"  La police doit non seulement garder les cliniques et les hôpitaux, mais aussi les grandes pharmacies !

Nous avons déclaré ouvertement : Où sont tous ceux qui avaient accueilli devant les caméras de télévision, avec des signes dans les gares ?! Oui, pour le moment, la frontière a été fermée, mais un million d'entre eux sont déjà ici et nous ne serons certainement pas en mesure de nous débarrasser d'eux.

Jusqu'à présent, le nombre de chômeurs en Allemagne était de 2,2 millions. Désormais, il sera d’au moins 3,5 millions. La plupart de ces gens sont complètement inaptes au travail. Une toute petite minorité d’entre eux ont un minimum d’éducation. Qui plus est, leurs femmes ne travaillent généralement pas du tout. J’estime qu’une sur dix est enceinte. Des centaines de milliers d'entre eux ont apporté les nourrissons et les petits enfants de moins de six ans, beaucoup émaciés et maltraités. Si cela continue, et que l'Allemagne ré-ouvre ses frontières, je retourne en République tchèque. Personne ne peut m'obliger à supporter  cette situation, même avec le double du salaire que j’aurai là-bas. Je suis venue en Allemagne, pas en Afrique ou au Moyen-Orient.

Même le professeur qui dirige notre département nous a dit combien il était triste de voir qu’une femme de ménage nettoie tous les jours pendant des années pour [seulement] 800€, et que des jeunes hommes dans les couloirs viennent attendre main tendue, exigeant  tout gratuitement, et quand ils ne l'obtiennent pas, ils piquent une crise.
Je n’ai vraiment pas besoin de ça ! Mais je crains que si je reviens, bientôt ce sera la même chose en République tchèque. Si les Allemands,  ne peuvent pas gérer cela, en Tchéquie ce sera le chaos total. Personne n'ayant fait l’expérience d’être en contact avec eux n’a la moindre idée de leur comportement sauvage, et en particulier les Musulmans venant d'Afrique. Ils se comportent comme étant supérieurs à notre personnel, en ce qui concerne les accommodements religieux.

Pour l'instant, le personnel de l'hôpital local ne s’est pas effondré par  contamination des maladies qu'ils ont amenées ici, mais, avec autant de centaines de patients chaque jour cela est juste une question de temps.

Dans un hôpital à proximité du Rhin, les migrants ont attaqué le personnel avec des couteaux après avoir amené un bébé de 8 mois proche de la mort, qu’ils avaient traîné à travers la moitié de l'Europe pendant trois mois. L'enfant est mort en deux jours, malgré les meilleurs soins reçus dans l'une des cliniques pédiatriques les plus réputées d’Allemagne. Le médecin a dû subir une intervention chirurgicale et deux infirmières ont été mises dans l'unité de soins intensifs. Personne n'a été puni.

On interdit à la presse locale d'écrire à ce sujet, donc nous avons été informés par courriel. Que serait-il arrivé à un Allemand s’il avait poignardé un médecin et les infirmières avec un couteau? Ou s’il avait répandue sa propre urine infectée par la syphilis au visage d'une infirmière et lui avait ainsi transmis son infection ? Au minimum il irait tout droit en prison et plus tard au tribunal. Avec ces personnes - jusqu'à présent - rien n'a été fait.

Je demande donc : Où sont tous ces gens qui les réceptionnent et les accueillent dans les gares ? Assis tranquilles à la maison, profitant de leurs subventions d’associations « à but non lucratif » ( !) et impatients de voir arriver d’autres trains [plein d’immigrés clandestins] qui leur permettront de jouer à nouveau leur rôle d’« accueillants » et récupérer leur part de fric.

Si cela ne tenait qu'à moi, je rassemblerais tous ces « accueillants » et les amènerais ici au service des urgences de notre hôpital, comme préposés dans un bâtiment dévolus aux seuls immigrés clandestins, de façon à ce qu’ils puissent s’occuper d’eux, eux-mêmes, sans police armée, sans chiens policiers, qui sont aujourd'hui dans tous les hôpitaux en Bavière, et sans aide médicale.

Source non identifiée

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