Mercredi 8 août, une marche blanche pour Adrien Perez est prévue à 16 heures, organisée par ses amis place de Verdun, pour dénoncer son meurtre et l’insécurité de plus en plus présente dans l’agglomération grenobloise et en France.
Marche Blanche pour #AdrienPerez le Mercredi 8 août à Grenoble.
Départ 16 heure place de Verdun.#JusticepourAdrien https://t.co/RQlcT2R0Ho— Lucie Desfleurs (@LDespls) 7 août 2018
Pourquoi pas, plutôt, une manifestation de colère devant la mairie ? Car Grenoble, aujourd’hui, c’est le Chicago des années 30 : dans la nuit de samedi à dimanche, un adolescent âgé de 16 ans s’est involontairement brûlé en tentant d’incendier une voiture. France Bleu ajoutait naïvement dans son article : « La faute sans doute au liquide inflammable qui s’est répandu sur lui. » Non, messieurs de la radio d’État : la faute à lui-même. Cette radio indiquait que, la même nuit, un jeune homme de 27 ans avait été retrouvé gravement blessé à l’arme blanche dans le parc Mistral. Son pronostic vital était engagé. Un suspect s’est rendu à la police, il est actuellement en garde à vue, cela, juste une semaine après la mort d’Adrien.
Disons-le, la dégradation progressive de la qualité de vie à Grenoble est patente. Comme l’expliquaient des Grenoblois sur un site de collectif citoyen :
« La place Condorcet est devenue, depuis quelque temps déjà, le lieu de réunion favori d’un groupe de jeunes peu sympathiques qui, sous prétexte de ne rien avoir à faire et de s’ennuyer, empêchent tout le monde de dormir : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on voit où vous habitez et que vous allez le payer. Les habitants terrorisés se plaignent à la police mais rien ne change. »
« De même les façades et garages sont tagués, les vitrines des commerces ont été cassées, le quartier est jonché de détritus et, dans certains coins, les déchets et encombrants abandonnés s’entassent pendant des semaines. »
Toujours sur le même site, on peut lire :
« Place des Géants, excédé par le bruit la nuit, un habitant a répandu de l’huile partout où on pouvait s’asseoir, y compris sur les jeux d’enfants. Piscine Jean-Bron, les familles ont dû abandonner les bassins parce qu’une rixe avait éclaté entre une vingtaine de personnes. Quartier Hoche, un restaurateur a été dans l’obligation de fermer, ne pouvant plus faire face aux menaces. Rue de Strasbourg, un commerçant a donné sa caisse à un homme armé. Rue Dr-Mazet, pendant des semaines, une bande pénétrait dans les magasins pour voler de la marchandise. Grenoble bat des records de délinquance. Déjà, en 2014, le niveau était supérieur de 63 % à la moyenne nationale. »
Le père d’Adrien Perez ne disait pas autre chose :
« Le niveau de violence dans l’agglomération grenobloise est inadmissible. »
Mais que fait alors la mairie ?
Elle s’oppose… à la pose de caméras de vidéoprotection et refuse d’augmenter les effectifs policiers (103 agents pour 160.000 habitants) et de les armer. Même Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République, a publiquement déclaré qu’il n’avait « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée ». Par contre, « Piolle Pot », comme on appelle le maire ici, est prêt à accueillir tous les migrants et les « étrangers » du monde. Entre 2006 et 2014, il y a eu 2.243 Français de plus à Grenoble, contre 2.429 étrangers (aujourd’hui, c’est certainement plus d’étrangers).
Le plus monstrueux est que notre Khmer vert, deux mois avant l’assassinat d’Adrien (qu’il n’a à notre connaissance, d’ailleurs, officiellement pas condamné, comme le montre son compte twitter qui ne parle que de pic de pollution et d’éco-mobilité…), remettait, contre l’avis du préfet, la médaille de la ville à Cédric Herrou, jugé pour passage illégal de migrants dans la vallée de la Roya : Tout un symbole !
Rappels :
Grenoble: Les dealers et les immigrés violents hébergés par le maire écologiste. Un restaurant attaqué, les gens forcés à se taire…
Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble revendique publiquement la violation de la loi française pour accueillir les clandestins et provoque le procureur « Condamnez-moi. »
France: Eric Piolle, maire écologiste de Grenoble « Aucun mur ne sera assez haut pour arrêter un Homme qui veut vivre en Europe »
France. Grenoble: Les politiques de gauche détruisent la ville « Plus de 52 ans pour rembourser la dette. »
En tant que grenobloise je n’ai pas choisi ce maire. J’ai été très surprise, comme beaucoup d’autres grenoblois à l’annonce des résultats du scrutin. Mais qui a voté Piolle, me direz-vous?
Et bien tout comme Macron, c’est l’abstentionnisme, presque 41%. Et aujourd’hui on pleure.
On pleure parce que la ville se dégrade de jour en jour, une ville où les vélos ne respectent aucune loi, car le maire (écolo) a déclaré que « le vélo était roi », où les détritus ne trouvent plus de poubelles aux coins des rues, car trop chères à entretenir, où les quartiers sensibles (où j’habite) sont délaissés au détriment des quartiers plus « bobos »…
Aujourd’hui j’ai très envie de partir de l’agglomération grenobloise, alors qu’il n’y a à peine 5 ans, je disais que je ne quitterai Grenoble sous aucun prétexte. Merci Mr Piolle !
Je pense que les Grenoblois ont le maire qu’ils ont choisi, à leur image. C’est malheureux pour les autres, mais l’opposition est faible. Il faut croire que les « administrés » sont contents. Ils sont fiers d’eux-mêmes, ils ont une grande âme, ils ne sont pas des salauds, ils sont à l’abri des vitupérations, y compris posthumes, de Sartre, qui a bien des héritiers. Mais se garer des projectiles des sartriens et autres bolcho-socialo-trotsko-anti-fachos-etc activistes… ça ne protège pas de la s.onnerie…. dont les conséquences peuvent être mortelles…..
La marche blanche ,c’est inutile, la réponse a cette violence doit être du même acabit, je précise que je ne suis pas de droite, ni un mou du bulbe comme aiment le dire ces bobos. Et je suis plus écolo que bien d’entre eux. Il va falloir reprendre le pouvoir.
» : scooter, musique, cris… jusque très tard dans la nuit. Les menaces sont courantes, on vous demande de descendre vous battre, on vous dit qu’on v »
le panorama habituel des sauvageons communistes avec tout le panorama habituel: n… ta mère, ne pas les regarder, ne pas les regarder dans les yeux, etc. Et, par ailleurs, ce sont les cathos de gauche qui leur permettent quoi que ce soit
En regardant la photo de près, celle du Maire de Grenoble, on ne peut savoir si la volonté l’habite de dégangréner la ville. Mais on voit qu’il n’en a absolument pas l’étoffe!
Pourtant, il combat toute forme de pollution, la gangrène de la violence en est une! Mais celle là ne le gêne pas.
Le concept même des marches blanches est totalement dérisoire, c’est du reste pour cela qu’il est soutenu par la presse et que c’est la seule manifestation autorisée. Contre de meurtre il faut des réactions appropriées proportionnellement, afin que ces responsables politiques subissent les conséquences de l’aveuglement orchestré par les censures médiatiques.
Les habitants, qui ont élu ce maire, croyant bien faire, devraient maintenant le clouer au pilori afin de montrer au monde entier que l’on peut se débarrasser de ceux qui vous nuisent et vous détruisent, ou le lyncher, ou en faire ce qu’ils veulent ; de toutes façons, il faudrait qu’ils commencent à montrer les dents, sinon ils seront définitivement les otages des immigrants auxquels se mêle la jeunesse fainéante grenobloise.
Pol Pot a mal fini, ça devrait faire percuter ce genre d’énergumènes qui ont réussi à se faire passer pour des élites……
Aucun mur n’est trop haut pour les en faire sortir.
C’est surtout cette gauche nuisible qu’il faut sortir tout d’abord.