Bâle: Brutalement virés de chez eux par des extrémistes de gauche

Une famille russe a été violentée par les membres d'un collectif de gauche, propriétaire du logement où elle résidait.

Les images ont de quoi choquer. Dans un immeuble résidentiel de Bâle, une dizaine d'individus encagoulés pénètrent de force dans un appartement avant de jeter dehors ses occupants, une famille de cinq personnes avec des enfants en bas âge.

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Allemagne: la violence va crescendo dans les centres d’accueil de réfugiés

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La violence - meurtre, viol, agression physique – est endémique dans les centres d'accueil pour refugiés en Allemagne, indique un rapport des services de renseignement qui a fuité dans la presse. Les autorités allemandes, apparemment impuissantes à endiguer ce crescendo de violences, ont invoqué le droit à la vie privée des criminels pour justifier le silence qu'ils observent sur un phénomène de grande ampleur.

[suite]

France: Mustapha bat à mort sa femme car elle a été violée par plusieurs individus. Puis il la viole.

L’horreur au tribunal. Ce mardi s’est ouvert, devant la cour d’assises des Yvelines, à Versailles, le procès de Mustapha B. pour le meurtre de sa compagne, accompagné de viol, d’actes de torture et de barbarie. Une épreuve difficilement soutenable pour la famille et les proches de la victime, tuée dans la nuit du samedi au dimanche 22 juillet 2012 à Mantes-la-Jolie, et qui ont dû entendre une fois de plus le récit et revoir les images d’un meurtre d’une violence extrême. « J’ai trente-quatre ans de police, dont treize de brigade criminelle, mais je n’avais jamais vu ça », a indiqué en début d’après-midi l’ancien chef du district de Mantes-la-Jolie qui est revenu sur la scène de crime qu’il a découvert le 24 juillet 2012.

« La victime était quelqu’un de petit et chenu mais là c’était juste une plaie. C’est un crime d’une violence inouïe ». Ce soir-là, l’accusé dit être « devenu enragé » quand, après être rentré chez lui, sa femme lui aurait dit avoir été victime de viols par plusieurs individus. Il se saisit alors d’un câble Ethernet pour fouetter la victime à de nombreuses reprises, alors que les quatre enfants, âgés de 1 à 6 ans, se trouvaient au domicile.

Il la transporte ensuite dans une autre pièce et continue de la frapper avec une ceinture en cuir cette fois-ci. Pour l’accusation, Mustapha B. aurait également procédé à une relation sexuelle non consentie avec la victime après lui avoir infligé tous ces coups.

Sur son corps, le médecin légiste relèvera 81 hématomes et ecchymoses ainsi que sept côtes cassées. « Les lésions sont impressionnantes mais n’ont pas entraîné la mort », indique l’expert médico-légal à la barre. Selon le rapport d’autopsie, la victime est décédée à la suite d’une asphyxie sans que son origine exacte ait pu être déterminée.

Source Via Contre-info

Les policiers suisses, racistes et violents ?

"En Suisse, la formation de policier reste axée sur la violence". "Selon David Pichonnaz, le soupçon à l'égard de l'étranger est exacerbé au sein de la police". Voici les grands enseignements qu'on peut tirer à lecture du dernier numéro de Migros Magazine. Ce journal ouvre en effet ses colonnes à un sociologue spécialisé dans l'étude des métiers relationnels, un homme qui s'est longuement penché sur la formation des policiers et leur rapport à leur métier. Ses conclusions sont sans appel, qui figurent ci-dessus. Violence, soupçon envers les étrangers, voici comment notre homme voit le policier suisse. En bon sociologue, M. Pichonnaz envisage une approche radicalement différente, basée sur le dialogue, proposant le policier en tant que médiateur social appelé à traiter les maux de notre société par la parole et non le geste. A l'appui de sa démonstration, le sociologue précise que sur le long terme, tout indique que la violence a énormément diminué. Pour le reste, le policier est essentiellement vu comme un être frustré, peu sûr de lui, se rassurant par son métier et l'image qu'il confère, celui du "gentil" contre les "méchants".

En bref, M. Pichonnaz nous livre la classique vision gauchiste de la police, une arme aveugle aux mains des puissants, présentant un fort penchant pour la répression, surtout à l'encontre des étrangers. Rien d'étonnant de la part d'un sociologue enseignant à l'Université de Lausanne. N'en déplaise au spécialiste, la réalité sur le terrain est très différente. La violence n'est de loin pas en baisse mais en dramatique augmentation, tout spécialement en intensité. L'exemple des banlieues françaises commence à inspirer les ghettos qu'on trouve de plus en plus fréquemment dans nos villes pour l'essentiel gouvernées à gauche, comme tout récemment à Lausanne où un policier municipal a dû fuir face à une nuée d'énergumènes fiers d'avoir défendu leur écosystème. En réalité, le policier est devenu l'exutoire de toutes les frustrations sociales, celui sur qui on peut taper pour exprimer son ras-le-bol, sa rancœur, son mal de vivre. Cette évolution sociétale appelle naturellement une réponse adaptée, ce que l'Académie de Police de Savatan propose. Conduite par le très efficace colonel Alain Bergonzoli, cette école dispense une formation adaptée aux réalités du terrain, certes assez éloignée de la vision barbe à papa de M. Pichonnaz mais conforme à l'environnement au sein duquel les policiers auront à travailler leur carrière durant.

Pour ce qui est de la fixation que les policiers feraient au sujet des étrangers, il faut relever que ce n'est sans doute pas la faute de la police si nos prisons sont essentiellement peuplées de gens venus de loin, surtout en ce qui concerne les cas de violences graves. Les faits sont têtus et il suffit de se promener aux abords de la gare d'Yverdon pour constater que les dealers attendant le client ne sont pas du coin. S'il arrive de plus en plus souvent aux policiers de devoir exercer la force, c'est bien parce que la clientèle a compris que la peur du gendarme n'est plus le début de la sagesse mais un sujet de rigolade.

M. Pichonnaz a néanmoins raison sur un point lorsqu'il parle de grande désillusion au niveau des jeunes policiers. La pratique actuelle a en effet un fort effet démobilisateur sur les recrues qui découvrent qu'exercer leur métier leur vaut plus de tracas que de soutien, parfois de la part de leur hiérarchie, toujours de la part du monde politique. Le courage dont les agents font preuve dans leur activité au quotidien est hélas fort rare chez ceux qui fixent leurs missions, rarement en première ligne lorsque la police a besoin de soutien. Dans ces conditions, exercer le métier de policier relève de plus en plus du sacerdoce. Respect à ces femmes et hommes qui ont fait d'une devise une mission, protéger et servir.

Concluons avec les propos du colonel Bergonzoli, confiés au Matin du 06 mars 2012 déjà : "Nous devons revenir aux fondements de notre métier, à ses valeurs: la protection des citoyens. Les gens ont de plus en plus peur. Nous sommes dans une Europe qui s’ouvre, nous devons accepter que les risques vont augmenter, et nous devons y répondre".

Yvan Perrin

USA : un groupe Antifa offre un manuel de formation sur le terrorisme et la guérilla

Une organisation appelée Antifa Révolte Redneck plaide pour la « révolution » contre la montée du « fascisme » aux États-Unis et la fin du capitalisme. Pour faciliter ces objectifs, le groupe offre une variété de ressources, y compris un manuel de formation pour mener une guerre de guérilla avec des sections pour les « exécutions » et le « terrorisme ».

À la suite de la fusillade qui ciblait des membres républicains du Congrès au début de cette année, rien n'est plus préoccupant que les organisations extrémistes appelant à des révoltes armées contre la société civile.

Redneck Révolte est l'une des diverses organisations qui ont émergé durant le printemps à la suite de la victoire de Trump aux élections de 2016, et qui se présente comme étant l'une des plus importantes organisations Antifa opérant actuellement aux États-Unis avec plus de 30 sections réparties dans 20 états.

Cette organisation se décrit comme un groupe composé de « la classe ouvrière et de pauvres » déclarant prendre « des mesures concrètes » contre « notre ennemi commun: les riches. » Elle inscrit « la résistance militante » comme étant l'un des principes directeurs du groupe.

 Les membres antifa  ont été classés comme étant des « extrémistes anarchistes » et listés en tant que groupes de « terrorisme intérieur » par le Bureau de la sécurité intérieure dans le New Jersey. 

Une grande partie du site officiel du groupe comprend la rhétorique tirée directement des publications marxistes, faisant écho à divers points de discussion souvent émis par les gauchistes sur les maux du capitalisme, la propriété, les « frontières artificielles » et les systèmes de base de l'ordre social, y compris la police, les prisons, et les tribunaux.

Redneck Révolte fait référence à ces institutions publiques comme des « systèmes de contrôle social [qui] n'existent que pour servir les riches » et appelle à la fin du projet « État-nation ». Il classifie les forces armées américaines aux côtés du Ku Klux Klan comme ayant « sapé la lutte pour la liberté entre tous les peuples. »

extrême gauche

La page de « Resources » du site Web du groupe offre un certain nombre de publications qui encouragent la violence, y compris un manuel de 36 pages intitulé « Mini-Manuel du guérillero urbain » , qui conseille les lecteurs sur la façon de mener la guerre urbaine, avec des sections sur « le sabotage « , « l'enlèvement », « les exécutions, » et même le « terrorisme ».

D'autres publications contiennent "une introduction anarchiste aux armes à feu" - un guide pratique pour la manipulation des armes - et divers essais féministes et anarchistes.

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Belgique: Violences à répétition par des gangs de jeunes migrants. (Vidéos)

VIDEO Un groupe de jeunes s'est affronté à coups de poing à la gare d'Aalst. La rixe a eu lieu le matin. Une vingtaine de jeunes ont participé à la rixe après que quelqu'un ait volé un chapeau de marque Polo Sport.

 

 

Le couvre-chef est la propriété d'un garçon de 15 ans habitant Aalst. La mère de la victime a posté une vidéo de la confrontation sur Facebook dans le but d'avertir les parents. L'auteur du film est inconnu.

« Informez vos enfants qu'ils ne doivent pas s'y attarder, car Aalst n'est plus sûr (...) en tant que parent, je suis furieuse, » a déclaré Deborah De Kock sur sa page Facebook.

Selon Deborah De Kock, la mère en question, un gang aurait provoqué la bagarre.

Le maire d'Aalst Christoph D'Haese (N-VA) appelle ses citoyens à fournir des informations:

« De tels actes n'ont pas leur place à Aalst. Je comprends les réponses des parents. (...) C'est probablement un gang errant. Toutes les informations pour l'identification sont plus que bienvenues ".

 

 

Un incident similaire très brutal est survenu début janvier à Ninove. Deux groupes d'adolescents se sont affrontés violemment entre eux avec pour conséquence de graves blessures. Sur les images GSM, on peut voir comment des jeunes Noirs frappent violemment des jeunes d'origine arabe. (...)

Les deux groupes responsables des incidents à Ninove étaient des gangs rivaux, à savoir. « Squad 94 » et « 95 joueurs" . Les chiffres se réfèrent aux codes postaux de Ninove (9400) et Geraardsbergen (9500).

De plus, en janvier, des bagarres ont été signalées aux stations de Halle et Lembeek. Une centaine de jeunes migrants de Bruxelles se sont retrouvés pour se battre avec différentes armes tels que des barres de fer et des blocs de béton.

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Source Source2 Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Allemagne: Quatre adolescents réfugiés tabassent jusqu’au sang un élève sans raison.

Leipzig - Sans raison, ils sont allés à quatre contre un! Mercredi midi, quatre adolescents, âgés entre 13 et 16 ans, ont battu un élève de 13 ans. L'étudiant blessé et en sang a dû être amené à l'hôpital.

Il s'agit de quatre jeunes de Syrie, d'Irak et de Palestine.

La police a indiqué qu'après l'attaque brutale, l'étudiant blessé a pu s'enfuir auprès d'un enseignant qui se trouvait dans le gymnase. Là-bas, il a appelé son père qui a immédiatement alerté la police. (...)

Les voyous ont d'abord tout nié, prétendant n'avoir rien fait.

Source Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Suisse: 1145 “incidents” sont survenus dans les structures d’asile en 2016. La police a dû intervenir 315 fois, presque une fois par jour!

Christian Hofer: A noter que le véritable chiffre important, loin du titre rassurant du 20 Minutes, est le fait que ces incidents ont plus que doublé en comparaison avec 2015!

En outre, on ne parle que des centres d'asile et non des agressions de ces individus à l'encontre de la population autochtone. Une telle agressivité se répercute sur la population suisse, totalement démunie face à cette violence qu'elle ne connait pas.

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Mille cent quarante-cinq incidents qui menaçaient de dégénérer se sont produits en 2016 dans les centres d'asile de la Confédération selon un décompte de la «NZZ am Sonntag».

Dans environ 70% des cas, les agents de sécurité privés, qui travaillent dans les centres, ont pu pacifier la situation.

La police a toutefois dû intervenir dans les cas restants, soit 315 fois ou presque une fois par jour, écrit «la NZZ am Sonntag», citant les chiffres publiés par le Secrétariat d'Etat aux migrations. En 2015, on dénombrait un total de 531 incidents dont 226 interventions policières.

 

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Police agressée par l’extrême gauche: Les sanctions ne seront pas plus sévères malgré l’appel de l’UDC

Christian Hofer: On notera que le président de l'association cantonale des fonctionnaires de police à Berne est... socialiste et fait semblant d'être surpris alors que la gauche a systématiquement protégé cette racaille.

Si la police bernoise est assez stupide pour avoir un président émanant de ceux-là même qui protègent ses agresseurs, c'est qu'elle se satisfait de la situation.

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Le Conseil des Etats se penche lundi sur une motion UDC demandant que les personnes qui s'en prennent aux forces de l'ordre soient punies plus sévèrement.

La police a dû se déployer massivement samedi soir à Berne pour empêcher un nouveau rassemblement non autorisé à la Schützenmatte pour protester contre l'évacuation d'un squat mercredi. Des heurts ont éclaté entre les forces de l'ordre et les manifestants. Onze personnes ont été blessées, dont huit policiers et deux employés de la police des transports.

Si tous les sénateurs s’inquiètent de la hausse des violences, la majorité s’est opposée au texte notamment pour des raisons juridiques.

Le conseiller aux Etats Beat Rieder explique: «Il est clair que nous devons agir, mais une peine minimale de 1 an de prison ne laisse pas suffisamment de marge de manœuvre aux juges.» Il craint que des délits mineurs soient punis aussi sévèrement que des attaques armées, par exemple.

A Berne, le bilan montre que la situation a très nettement dégénéré, comme l'explique Adrian Wüthrich (PS), président de l'association cantonale des fonctionnaires de police.

«Il existe actuellement une guerre contre la police, et c'est nouveau à Berne», a-t-il déclaré au «Blick».

Les manifestants n'étaient pas là pour casser ou protester mais bel et bien pour blesser, a-t-il ajouté. «Les policiers étaient délibérément visés, avec pour intention de les blesser, ce qui m'inquiète.»

Source1 Source2

Fribourg: Un Africain, hyperviolent et au casier judiciaire très chargé, brise le tibia d’un policier d’élite

La troupe d'élite de la police fribourgeoise était à Bellechasse à cause d'un Ivoirien violent en août 2016. Un caporal a quitté les lieux avec un tibia cassé.

Un détenu ivoirien a donné bien du fil à retordre aux autorités pénitentiaires à Bellechasse, l'été passé. Selon le quotidien «La Liberté», l'homme dont le casier judiciaire comporte une douzaine de condamnations est devenu furax à cause d'une sanction disciplinaire en prison. L'Africain âgé de 34 ans a agressé trois collaborateurs de l'établissement pénitentiaire.

«Le récalcitrant s'est débattu, bousculant les agents, leur crachant dessus, les injuriant, menaçant le directeur et le personnel de la prison», énumère le quotidien fribourgeois.

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France. Rennes. Elle refuse de se convertir à l’islam, il la frappe

Un homme a été condamné ce jeudi à Rennes à 17 mois de prison ferme pour avoir frappé sa compagne qui refusait de se convertir à sa religion. Il estimait notamment qu'il « fallait se marier religieusement pour ne pas être dans le péché. »

Un homme de 34 ans, a été condamné, hier soir, pour des violences conjugales sur fond de radicalisation islamiste.Le 30 janvier, des musulmans pratiquants alertent la police suite à des propos entendus à la mosquée. Les fidèles nourrissent, après la prière, des inquiétudes de radicalisation pour un homme.

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Nombreuses bagarres en gare de Zurich à cause de “jeunes hommes de pays africains ou du Proche-Orient”

L'ambiance de Nouvel An n'a pas toujours été festive dans la gare principale de Zurich. Selon la police cantonale, une atmosphère agressive régnait, marquée par des bagarres. Onze hommes ont été arrêtés durant la nuit de samedi à dimanche.

De nombreuses personnes, principalement des jeunes hommes en provenance de pays africains ou du Proche-Orient, ont passé la nuit de la Saint-Sylvestre dans la gare de Zurich, a indiqué dimanche la police. L'ambiance a été agressive et la police a dû intervenir continuellement en raison de bagarres.

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Algérie: Une adolescente sur deux trouve normal qu’un homme frappe sa femme. «Un homme qui ne frappe pas sa femme n’est pas un homme»

Des brimades, des gifles, des coups : un homme qui frappe son épouse, cela peut s’expliquer et même se justifier.

Elles sont près de 800 000 jeunes filles algériennes à le penser. «Un homme qui ne frappe pas sa femme n’est pas un homme» ou «un homme frappe sa femme parce qu’il l’aime», ou encore «si un homme frappe sa femme, c’est qu’elle l’a mérité !»

Ce genre de justifications des actes de violence conjugale est courant dans la société. Sur le million et demi d’adolescentes âgées de 15 à 19 ans que compte l’Algérie, 55% croient qu’il est justifié qu’un homme batte sa femme.

C’est ce que révèle un récent rapport de le Fonds des Nations unies pour la population) qui a traité des données nationales (chiffres de l’ONS et du ministère de la Santé) pour appeler l’Algérie à «investir dans la jeune fille adolescente».

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Mes remerciements à @islamicide

Scène de vie à Birmingham, ville multiculturelle par excellence (Vidéo)

Vidéo de fdesouche.com

https://youtu.be/HSlJhQQtuO8

 

 

Précisions sur cette ville:

À Birmingham, un an après la publication d'une lettre dénonçant l'influence de groupes islamistes sur des écoles, la deuxième ville du pays peine à trouver un "nouveau modèle" multiculturel. Dernier reportage sur le côté sombre du Royaume-Uni.

C'est une lettre anonyme qui avait ébranlé Birmingham, au printemps 2014. Intitulée "Cheval de Troie", elle alertait les autorités publiques sur la présence de musulmans intégristes au sein de la direction de six écoles publiques de la ville. Le corbeau – jamais identifié – dénonçait la séparation des garçons et des filles dans les classes, l'interdiction de l'apprentissage de la musique, l'organisation de pèlerinages à la Mecque financés sur des deniers publics et l'intimidation à l'encontre des professeurs non musulmans – ou musulmans modérés.

"Il y a trop de musulmans ici, explique par exemple Ahmed, lui-même de confession musulmane, venu du Soudan il y a six ans. Tout est fait pour nous. Les gens vont penser que la seule chose qui nous intéresse, c'est notre religion."

Certains habitants des quartiers alentours ont en effet une vision plutôt péjorative de Small Heath et se disent méfiants à l'égard de ces "rues remplies de voiles" – et de niqabs. "Je ne suis pas raciste mais les établissements scolaires sont bizarres ici", confie John au volant de sa voiture en s'assurant que personne n’entende ses propos. "On a surtout un problème avec les Somaliens et les Pakistanais. Ils ne se mêlent jamais aux autres", ajoute-t-il avant de redémarrer en trombe.

Source

Après avoir offert notre pays à des milliers de musulmans, Simonetta Sommaruga prétend combattre la radicalisation: “Les terroristes instrumentalisent l’islam.”

La version "de paix et d'amour" d'une pécore qui passe sous silence le sort des minorités dans les pays musulmans et se profile en experte via un ramassis de fadaises archi-usé.

Évidemment, cela veut surtout dire que la Suisse doit continuer à accueillir massivement des musulmans sur le dos du contribuable suisse alors que celui-ci n'en peut plus.

Aujourd'hui, loin de se remettre en question, S. Sommaruga ouvre à tour de bras des centres pour requérants avec notre argent, en méprisant les oppositions populaires et la démocratie alors que cette immigration massive est principalement composée de musulmans, qu'elle est déjà responsable de nombreux délits et qu'elle porte atteinte à notre sécurité.

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Les ministres de la justice de langue allemande de Suisse, d'Allemagne, d'Autriche, du Liechtenstein et du Luxembourg se sont réunis à Berne. Les débats ont porté sur la lutte contre la radicalisation et le terrorisme. L'échange d'expériences a été jugé précieux.

"Sur ces thèmes, nous ne pouvons que nous mettre en réseau et apprendre les uns des autres" (sic!), a dit samedi devant les médias à Berne la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga. Elle a accueilli ses homologues durant deux jours. Vendredi, les ministres ont discuté de questions de politique sociale, comme la gestion du fondamentalisme religieux et de la radicalisation.

Selon un communiqué diffusé samedi, Mme Sommaruga a souligné, lors de cette traditionnelle rencontre annuelle, qu'il ne faut pas confondre fondamentalisme religieux et extrémisme violent. Les terroristes instrumentalisent une interprétation fondamentaliste de la religion pour justifier leurs actes.

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Rappel: L’imam de la grande mosquée de La Mecque appelle à l’extermination des chrétiens

Nos médias n’en parleront pas: Youness Boussaid et Fatah Bouzid ont frappé un couple pour avoir commandé une pizza au jambon

Christian Hofer: situation typiquement raciste dont le Matin se fiche éperdument: d'un côté une affaire montée en boucle où le restaurateur est traîné dans la boue, contraint de quitter son domicile, et de l'autre une agression violente, typiquement anti-Blancs avec de graves séquelles pour les victimes, où les musulmans imposent leur dictat sans que les associations anti-racistes et autres officines musulmanes ne s'en offusquent.

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Cambrai, dimanche 18 octobre 2015. Une jeune fille et un jeune homme sortent de la discothèque Le Mix Bar où ils viennent de passer la soirée. Alors qu’ils commandent une pizza auprès d’un commerçant installé à proximité, ils sont abordés par des individus qui leur proposent de la cocaïne, avant de leur reprocher d’avoir choisi une pizza au jambon, car, en consommant ce type de nourriture, ils risquent «d’aller en enfer ».

Les agresseurs veulent humilier la fille, caressent ses cheveux blonds, introduisent de force son propre doigt dans son nez, la font chuter. Elle perd connaissance. Son compagnon tente de la protéger, mais les coups pleuvent. Le personnel de sécurité de la discothèque intervient. Les trublions prennent la fuite à bord d’une berline allemande de grosse cylindrée louée en Belgique, dont l’immatriculation conduira, au terme d’une longue enquête, à l’identification des auteurs. Ils seront reconnus par un témoin et le pizzaiolo, puis formellement par les victimes lors de la confrontation. Des photos attestent en outre de la présence de Youness Boussaid et de Fatah Bouzid dans la boîte avant des faits qu’ils nient en bloc. Plus inquiétant, ils ne viennent pas s’expliquer à l’audience du tribunal.

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Suisse. Asile: La violence explose dans les centres d’accueil fédéraux

Depuis le début de l’année, les centres d’enregistrement et de procédure sont de plus en plus confrontés à d’importantes scènes de violence.

240 interventions cette année

Le nombre de procès-verbaux relatant de tels événements n’a jamais été aussi important que depuis le début de cette année. Au cours du premier trimestre 2016, les services de sécurité ont dû intervenir 240 fois dans des centres fédéraux. Le nombre d’intervention s‘est ainsi révélé deux fois plus élevé que durant les trimestres précédents.

La cause de cette recrudescence est inhabituellement écrite noir sur blanc dans un audit interne: «On s’aperçoit clairement que le nombre de demandeurs d’asile d’Afrique du Nord logés dans nos centres est à nouveau plus important. Cette clientèle (…) se révèle souvent très récalcitrante sous l’influence de l’alcool.»

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