Propagande anti-russe et anti-hongroise de l’UE, qui politise même le vaccin

FRANCE 24, vidéo du 12 février 2021

La #Hongrie a commencé à vacciner sa population en utilisant le vaccin russe #SpoutnikV.
Le Premier ministre, Viktor Orbán, espère ainsi permettre la relance de l'économie et du tourisme.
L'opposition dénonce une mise en scène de la défiance envers l'UE qui pourrait mettre en danger les Hongrois.

*******

Cenator: Alors qu’au Royaume-Uni, 15 % de la population a déjà reçu le vaccin, ce chiffre oscille dans l’UE entre 6,5 % à Malte et moins de 1 % en Bulgarie, tandis la plupart des États membres se situent aux environs de 3 %. La Hongrie se classe au onzième rang parmi les vingt-sept pays de l'UE.

source: https://pestisracok.hu/ezert-kerult-ossztuz-ala-brusszelben-a-lassu-vakcinabeszerzes/

Noter que les politiciens hongrois de gauche, tout en prenant ouvertement position contre le vaccin russe, se sont inscrits discrètement sur la liste d’attente... du vaccin Spoutnik V. Ceci en dit long sur la mentalité de gauche.

Le 10 février, face aux piètres taux de vaccination dans l’UE, la RTS s’est empressée d’inviter à l'émission Forum Bernard Guetta, député européen, pour disculper Ursula Von der Leyen de toute accusation de mauvaise gestion du vaccin.
Absolument édifiant, notre Radio Télévision Soviétique ose TOUT!

Lien vers l’audio: La présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen critiquée pour sa gestion des vaccins contre le Covid-19 (6:32)

Bernard Guetta. [Thomas Coex - AFP]

*******

20min.ch/fr12 février 2021:

Vaccin russe: l’OFSP aurait snobé deux fois Moscou

L’ambassadeur russe en Suisse a affirmé que la Russie aurait engagé par deux fois des pourparlers pour mettre son vaccin Spoutnik, à disposition de la Suisse. Mais l’OFSP aurait fait la sourde oreille.

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) est sur la sellette. Selon l’ambassadeur russe en Suisse, l’OFSP aurait ignoré deux fois de suite la proposition de Moscou de mettre à disposition de la Suisse son vaccin Spoutnik, révèle 20 Minuten vendredi. Sergei Garmonin affirme ainsi dans une interview avoir approché une première fois l’OFSP le 17 août dernier pour annoncer qu’un vaccin efficace avait été développé en Russie et qu’il était possible de le précommander, de le produire voire de le tester cliniquement en Suisse. L’OFSP n’a jamais répondu.

La Russie est revenue à la charge le 22 décembre dernier. «Nous avons à nouveau informé l’OFSP que la 3e phase de tests était terminée, que l’efficacité du vaccin était supérieure à 90%, que son prix était d’environ dix dollars par boîte et qu’il pouvait être stocké entre 2 et 8 degrés Celsius», précise-t-il. «Nous avons de nouveau indiqué que nous étions prêts à envisager la possibilité d’une précommande pour la Suisse et avons réitéré nos offres», ajoute-t-il. Là encore, Berne a fait la sourde oreille et n’a pas répondu.

Sergei Garmonin explique ce manque d’intérêt de la Suisse par le scepticisme général qui régnait au début des annonces de Moscou sur son vaccin. Mais l’attitude a changé avec la publication du prestigieux magazine scientifique «The Lancet» au début février. Des scientifiques britanniques y confirmaient que le Spoutnik V offrait une protection stable et efficace contre le coronavirus, sans effets secondaires.

Swissmedic contredit

Les propos de l’ambassadeur russe contredisent du coup ceux de Swissmedic. En début de semaine, l’autorité d’autorisation et de surveillance des produits thérapeutiques en Suisse affirmait dans la presse alémanique que la Russie n’avait jamais approché la Suisse et que Berne n’avait reçu aucune demande d’autorisation de mise sur le marché d’un vaccin de la part des fabricants russes.
«Comme je l’ai dit, nous avons signalé à deux reprises notre volonté d’engager des pourparlers», persiste Sergei Garmonin. «Mais avant de soumettre quelque chose, vous devez d’abord en discuter les bases. La Russie a informé la Suisse à temps et de manière précoce. La balle est maintenant dans le camp helvète».

Une chose est sûre: l’attitude de l’OFSP à l’égard de la Russie est critiquée de toute part. «Ne pas répondre est un non-sens pour une organisation telle que l’OFSP en période de crise. Elle a le devoir d’examiner toutes les offres de vaccin et d’aider les fabricants afin qu’ils puissent déposer une demande dans les plus brefs délais», estime Andreas Faller, avocat spécialisé dans le droit de la santé et ancien vice-directeur de l’OFSP. «Il serait impardonnable de ne pas examiner toutes les possibilités lors de l’achat de vaccins».

Des parlementaires choqués

Du côté des parlementaires, on ne comprend pas non plus. «L’approche de l’OFSP me choque carrément», déclare la conseillère nationale de l’UDC, Therese Schläpfer toujours dans 20 Minuten . «La course aux vaccins est énorme. Ne pas répondre à une offre est irrespectueux envers la Russie et la population suisse».

Le conseiller national vert’libéral Martin Bäumle se montre lui aussi très critique: «si les informations de l’ambassadeur russe sont correctes et que la Suisse a déjà reçu une offre pour le vaccin Spoutnik V en août et n’y a jamais répondu, il s’agirait d’un autre faux pas grossier de l’OFSP dans le dossier de la vaccination, un faux pas qui n’est guère excusable».

Du côté du PLR, on ne veut pas juger l’OFSP. Ce qui est certain pour le parti, c’est que le Spoutnik-V aurait dû être examiné. «Si vous excluez les vaccins dès le début, vous n’êtes pas bien servis par la suite», souligne le conseiller national bernois, Christian Wasserfallen.

Travail «surhumain» à l’OFSP

À gauche, on se montre plus tolérant. «Certes, ne pas répondre, cela ne se fait pas. Mais il ne faut pas oublier la charge de travail élevée des collaborateurs de l’OFSP. Ce que les employés font depuis près d’un an est surhumain», tient à souligner la conseillère nationale verte Katharina Prelicz-Huber.

Enfin, pour la coprésidente du Parti socialiste, Mattea Meyer, le débat sur le vaccin russe n’est pas la question centrale. «En Suisse comme dans le monde entier, il faut vacciner le plus grand nombre possible de personnes», rappelle-t-elle. Cet objectif ne sera atteint que si les brevets sur les vaccins sont temporairement levés. «On pourrait alors en produire davantage et vacciner plus rapidement partout».

(cht)

Source: https://www.20min.ch/fr/story/vaccin-russe-lofsp-aurait-snobe-deux-fois-moscou-173013145330

**************

Jean-Frédéric Poisson/ Vendredi 12 février/ Valeurs Actuelles

Comment l'Europe se sert de la politique vaccinale pour faire avancer son projet fédéraliste

Pour Jean-Frédéric Poisson, président du mouvement politique VIA | la voie du peuple et candidat déclaré à la Présidentielle 2022, la stratégie vaccinale de l'Europe est motivée par des finalités bien plus politiques que sanitaires.

En s'accaparant la logistique en matière de vaccins contre la Covid-19, la Commission européenne s'est arrogé une prérogative traditionnellement réservée aux États-nations, prétendant vouloir mettre en place une « approche européenne centralisée », avec la bénédiction officielle d'Emmanuel Macron et d'Angela Merkel, tous deux très prompts à vouloir imposer la vaccination aux populations en un temps record.

Cependant, cette stratégie n'a pas été payante comparée à celle de certains États comme Israël ou le Royaume-Uni qui ont négocié leurs vaccins de leur côté.

En effet, l'Union européenne a allié retards et incompétences dans sa manière de gérer la logistique vaccinale : la Commission explique cet atermoiement par sa prudence, prétendant vouloir épargner aux Européens les déboires d'un vaccin défectueux.

En réalité, le retard serait dû à une renégociation des clauses commerciales avec les laboratoires pharmaceutiques.

[...] Concrètement, en cas d'effets secondaires, les laboratoires étaient dédouanés financièrement, voir juridiquement, de la responsabilité de la mise en circulation du vaccin.

Devant la levée de boucliers provoquée par la promulgation de cette clause, l'Union européenne s'est vue contrainte de renégocier le contrat. Elle se grime désormais du masque de la vertu et critique volontiers les pays qui auraient, eux, signé cette clause, et de ce fait obtenu le vaccin plus rapidement.

Empêtrée dans la logique centralisatrice de Bruxelles, la France s'est fait damer le pion pour produire des vaccins sur son sol

La présidente de la Commission, Ursula Von der Leyen, explique également ce retard par la volonté de renégocier les vaccins au prix le plus bas afin d'assurer aux pays les plus faibles de l'Union européenne une équité dans l'accès à ce « Bien commun ».

En réalité, la stratégie de l'Union européenne a retardé l'ensemble des pays membres, du moins ceux qui ont attendu sagement qu'elle négocie avec les laboratoires pharmaceutiques.

De leur côté en effet, la Hongrie et l'Autriche ont acheté des vaccins russes Spoutnik V, prouvant par ce fait même que leurs intérêts divergeaient avec ceux de la Commission.

[...]

Les Britanniques ont ainsi eu le privilège d’acquérir 60 millions de doses pour l’automne 2021 et pourront dès ce moment-là goûter les fruits de ce vaccin utilisant une technologie éprouvée depuis Pasteur.

La France, elle, devra passer son tour et attendre 2022 pour obtenir la même commande.

Ainsi, le Royaume-Uni a été en mesure d'agir rapidement, de manière souple et pragmatique, d'autant plus rapide qu'il s'est affranchi, par le Brexit, des lenteurs de la bureaucratie bruxelloise.
L'Union européenne, de son côté, s'est perdue dans une stratégie vaccinale globale, ignorant de réelles opportunités et condamnant l'ensemble des États membres à attendre sous des prétextes fallacieux.

Elle brandit désormais l'argument de la prudence vis-à-vis du vaccin, mais oublie qu'un vaccin n'est véritablement efficace que si toute la population reçoit les deux doses dans un laps de temps assez court.

[...]

Un objectif avant tout politique

In fine, l’incompétence de la Commission sur le dossier sanitaire ne doit pas faire oublier que l’Union européenne n'a jamais cessé de poursuivre un but politique : elle se nourrit des crises pour acquérir plus de souveraineté et faire avancer l'idée d'une Europe fédérale.

On ne s'étonnera donc pas de l'absence d'une stratégie de bon sens qui mènerait par exemple l'Europe à miser davantage sur la prévention du Covid (vitamines D, zinc, dexaméthasone, corticoides, …), puisqu'une telle prévention n'irait pas dans son sens idéologique. Sa stratégie vaccinale paraît donc beaucoup plus motivée par des finalités politiques que sanitaires ; Jean Monnet l'expliquait déjà au siècle dernier : « L'Europe se fera dans les crises et elle sera la somme des solutions apportées à ces crises ».

article complet: https://www.valeursactuelles.com/politique/comment-leurope-se-sert-de-la-politique-vaccinale-pour-faire-avancer-son-projet-federaliste-128477

*******

https://www.dreuz.info/2020/08/12/coronavirus-la-russie-premier-pays-a-approuver-un-vaccin/

*******

https://www.aubedigitale.com/je-ne-le-prendrais-pas-lancien-commissaire-de-la-fda-scott-gottlieb-denigre-le-premier-vaccin-contre-le-covid-russe-au-monde/

*******

Rappel:

The Lancet: Le vaccin Spoutnik V COVID-19 semble sûr et efficace (2 février 2021): https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)00191-4/fulltext

Selon l’Unia, des associations patronales allemandes tentent de démanteler la protection des salaires en Suisse

La présidente d’Unia, Vania Alleva, a remis aujourd’hui une lettre en mains propres à l’ambassadeur de l’Union européenne à Berne, Petros Mavromichalis et s’est entretenue avec lui. Cette démarche fait suite aux propos inexacts qu’il a tenus dans une interview à propos des mesures d’accompagnement.

Dans les colonnes du SonntagsBlick du 7 février dernier, l’ambassadeur de l’Union européenne à Berne, Petros Mavromichalis, a qualifié les mesures d’accompagnement de «disproportionnées» et d’«incompatibles» avec les accords bilatéraux.

Mêmes devoirs pour les entreprises suisses

Ce faisant, il remet en question l'expérience positive que la Suisse et l'UE ont eue avec ce traité depuis 2002. Il a également prétendu que seules les entreprises de l’Union européenne doivent fournir un dépôt de garanties financières pour travailler en Suisse, ce qui n’est pas conforme à la réalité puisque les entreprises suisses sont soumises exactement aux mêmes obligations découlant des conventions collectives de travail (CCT) obligatoires.

Lettre à l’ambassadeur de l’UE

En réaction à ces propos, la présidente d’Unia Vania Alleva a remis une lettre en mains propres à l’ambassadeur et s’est entretenue avec lui. Plutôt que de critiquer les mesures de protection des salaires qui profitent à tou-te-s, elle l’a enjoint à ouvrir les yeux sur l’intense lobbying mené depuis des années par des associations patronales du Bade-Wurtemberg auprès de la Commission européenne pour le démantèlement de la protection des salaires en Suisse. Ce sont ces mêmes entreprises qui n’admettent pas les règles en vigueur en Suisse et qui reçoivent pour certaines des amendes en raison du non-respect des salaires minimums prévus par les CCT.

(...)

Unia.ch

Nos remerciements à Info


Rappels :

Le syndicat Unia opposée à l’initiative de l’UDC contre la libre circulation

Unia. Arnaque au chômage: Lorsque la RTS reconnait que les escrocs sont des Albanais.

Unia dépose une plainte pénale contre le MCG pour racisme

Accord-cadre avec l’UE : pour l’Union syndicale suisse, la protection des salaires n’est pas garantie

Le chef économiste de l’Union syndicale suisse (USS), Daniel Lampart, lance en effet une alerte cinglante: «Ce qui se négocie actuellement ne garantira pas la protection des salaires. Or nous ne pouvons pas accepter un traité sans protection des salaires, fixés de manière indépendante.»

(...)

Un accord institutionnel avec Bruxelles contraindrait la Suisse à intégrer le droit européen de façon quasi automatique, dans les domaines déterminant les possibilités d’accès au marché unique.

(...)

24Heures.ch


Rappels :

Simonetta Sommaruga : La trahison de la démocratie suisse ?

Ambassadeur de l’UE: pas question de faire des exceptions pour la Suisse

Suisse : Une force hors UDC veut couler l’accord-cadre avec l’UE

Suisse : L’accord-cadre est nécessaire, rappelle l’UE

Suisse : Economiesuisse veut l’accord-cadre !

« L’accord-cadre avec l’Union européenne est une trahison, car il signifierait la fin de la démocratie directe en Suisse »

Un scandale: le Conseil fédéral fait à l’UE un cadeau de 1,302 milliard de francs d’argent des contribuables

Etude: L’Union Européenne nuit à l’économie suisse par le biais de mesures illégales. 200 mesures nocives recensées contre… 37 favorables.

Bruxelles fait du chantage à la Suisse et lie la reconnaissance de la bourse à l’accord-cadre.

Ambassadeur de l’UE: pas question de faire des exceptions pour la Suisse

Les discussions sur l'accord-cadre entre la Suisse et l'Union européenne pourraient aboutir dans les prochaines semaines, selon l'ambassadeur de l'UE en Suisse. Mais pas question de rouvrir les dossiers controversés, explique-t-il dans une interview au SonntagsBlick.

Une solution pourrait être trouvée dans les prochaines semaines si les deux parties font preuve d'un peu de bonne volonté, a indiqué Petros Mavromichalis. L'UE est prête à clarifier les points qui prêtent à interprétation. Mais pas question de rouvrir les dossiers controversés. "Les négociations sont terminées", ajoute le Grec de 56 ans.

Il n'existe aucune marge de manoeuvre concernant le rôle de la Cour de justice de l'UE, très critiqué en Suisse.

(...)

Swissinfo.ch

Nos remerciements à Info

Suisse : Une force hors UDC veut couler l’accord-cadre avec l’UE

Un groupe d’entrepreneurs fortunés sortent du bois pour dénoncer un «mauvais» contrat et proposent une solution de rechange.

(...)

Que reproche-t-il concrètement au texte en négociation? «Il met la Suisse dans un état de dépendance par rapport à l’UE et à la Cour européenne de justice. Notre pays doit payer des compensations s’il s’oppose à l’évolution du droit. Une superguillotine menace aussi constamment tous les accords si nous disons non à l’un d’eux. C’est totalement inacceptable.»

(...)

24heures.ch

Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne : l’Europe a de nouveau «un ami à la Maison Blanche après quatre longues années».

Pour ceux qui doutaient encore que l'Union Européenne mène une politique de gauche.


L'Europe a « de nouveau un ami » à la Maison-Blanche et invite le président américain Joe Biden à une réunion avec les dirigeants de l'UE afin de « construire ensemble un pacte fondateur nouveau » pour les relations transatlantiques, ont déclaré mercredi 20 janvier 2021 les présidents des institutions européennes.

L'Europe « a de nouveau un ami à la Maison-Blanche après quatre longues années » de présidence Trump, a lancé la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, devant le Parlement européen, quelques heures avant l'investiture de Joe Biden. « Ce jour apporte de bonnes nouvelles : les États-Unis sont de retour et l'Europe est prête à renouer avec un ancien partenaire de confiance pour donner une nouvelle vie à notre précieuse alliance », a-t-elle ajouté.

(...)

Lepoint.fr

Après avoir soutenu le massacre des chrétiens arméniens, Erdogan veut «remettre sur les rails» les relations avec l’Europe avec “ses amis européens”

Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est dit mardi prêt à « remettre sur les rails » les relations entre la Turquie et l’Union européenne, traversées par de fortes tensions sur de nombreux dossiers, notamment l’exploration d’hydrocarbures en Méditerranée orientale.

[...]

Des insultes à l’apaisement

« Nous sommes prêts à remettre nos relations sur les rails », a déclaré M. Erdogan, ajoutant : « nos amis européens montreront la même volonté ».

[...]

Lapresse.ca


Rappels :

Erdogan fait monter d’un cran son discours et déclare que « Les musulmans européens sont systématiquement victimes de discrimination, leurs droits et libertés leur sont enlevés »

Après Vienne et Décines, les Turcs font une descente à Dijon aux cris de “Allah Akbar”, traquant les Arméniens et affrontant la police.

Le président Erdogan caricaturé par Charlie Hebdo : la Turquie annonce des mesures «judiciaires et diplomatiques»

Turquie : Erdogan condamne une perquisition « islamophobe » et « raciste » dans une mosquée allemande après des soupçons de fraude aux subventions Covid-19

Arménie : Cet été, Erdogan avait déclaré « ‘Nous finirons ce qui a été commencé en 1915’ (le génocide) »

aut-Karabakh. Le président azerbaïdjanais déclare : « On a chassé les Arméniens comme des chiens »

Selon Macron, des djihadistes ont été envoyés par le biais de la Turquie pour attaquer les Arméniens

Covid-19 : la vaccination débutera le 27 décembre dans l’UE, annonce Ursula Von der Leyen

Ursula von der Leyen avait exhorté, mercredi 16 décembre, les pays membres de l’Union européenne à faire preuve d’unité en matière de vaccination contre la Covid-19. Au lendemain de son intervention à Bruxelles, la présidente de la Commission européenne a définitivement acté cette cohésion en annonçant que les premières campagnes de vaccination débuteront « les 27, 28 et 29 décembre à travers l’Union européenne ».

 

 

« C’est l’heure de l’Europe. Nous protégeons nos citoyens. Nous sommes plus forts ensemble », a écrit la cheffe de l’exécutif européen sur Twitter.

[...]

Lopinion.fr

Erdogan veut «sauver» les relations entre la Turquie et l’UE

Même s’il semble appeler au dialogue, le discours d’Ankara est tout de même teinté de reproches. « Alors que la Turquie souhaite ouvrir une nouvelle page avec l’UE, certains font sans cesse des efforts pour provoquer des crises », a en effet affirmé Recep Tayyip Erdogan, selon un communiqué de la présidence turque. Appelant à « sauver » les relations entre la Turquie et l’Europe de « ce cercle vicieux », le chef d’Etat turc a aussi exprimé son souhait de « recommencer » à parler avec l’UE en « regardant la situation dans son ensemble » et « sur la base des intérêts mutuels ».

Selon Erdogan, le pacte migratoire signé en 2016 entre la Turquie et l’UE pourrait être un point de départ pour créer un climat plus « positif ».

[...]

20minutes.fr


Rappels :

Arménie : Cet été, Erdogan avait déclaré « ‘Nous finirons ce qui a été commencé en 1915’ (le génocide) »

Erdogan s’offre une prière à Sainte-Sophie reconvertie en mosquée. Comble de la provocation, il invite le Pape à la prière musulmane.

Offensive en Syrie: Erdogan menace l’Europe d’un flux de 3,6 millions migrants en réponse aux critiques

Erdogan avertit Emmanuel Macron de ne pas « chercher querelle à la Turquie »

Erdogan: La conquête turque n’est pas de l’occupation ni du pillage, elle instaure la justice d’Allah

Erdogan fait monter d’un cran son discours et déclare que « Les musulmans européens sont systématiquement victimes de discrimination, leurs droits et libertés leur sont enlevés »

Après Vienne et Décines, les Turcs font une descente à Dijon aux cris de “Allah Akbar”, traquant les Arméniens et affrontant la police. “Rentrez chez Erdogan”, leur crie un passant

Turquie : Erdogan condamne une perquisition « islamophobe » et « raciste » dans une mosquée allemande après des soupçons de fraude aux subventions Covid-19

Sociétés de mercenaires et “ONG d’Allah” : les milices privées turques au service de l’impérialisme d’Erdogan

Les demandeurs d’asile algériens posent de graves problèmes, mais la Suisse ne peut pas les expulser

Le nombre de demandes provenant d'Algériens a augmenté, bien qu'ils n'aient pratiquement aucune chance de se voir accorder l'asile. Beaucoup deviennent des délinquants. La Confédération espère à présent que l’UE y parviendra.

Neuchâtel a été confrontée cette année à une vague de criminalité sans précédent. La police a enregistré dix fois plus de vols, de cambriolages et de braquages pendant les mois d'été que les années précédentes. La grande majorité des délinquants ou des suspects étaient des Algériens, explique Alain Ribaux (PLR), le directeur cantonal de la justice et de la sécurité. Certains étaient des demandeurs d'asile, d'autres des personnes ayant fait l'objet d'une décision négative, mais aussi des personnes originaires de France. Tout le monde n'avait pas de papiers.

Ailleurs, les demandeurs d'asile originaires de ce pays d'Afrique du Nord tiennent la police en haleine. Rien que dans le canton de Zurich, 60 Algériens déboutés vivent du système d'aide d'urgence et devraient quitter la Suisse. Selon les chiffres de la Direction de la sécurité, dont dispose la NZZ, 54 d'entre eux ont commis des infractions pénales et 22 sont en prison. La plupart d'entre eux dépendent de l'aide d'urgence depuis longtemps - certains depuis plus de vingt ans. L'Algérie est en tête de la liste nationale des expulsions en cours avec 550 cas.

Les demandeurs d'asile algériens n'ont pratiquement aucune chance de rester légalement en Suisse. Ils sont généralement considérés comme des réfugiés économiques. Le taux de protection, c'est-à-dire la proportion de personnes qui se voient accorder l'asile ou qui sont admises temporairement, est très faible. Néanmoins, le nombre de demandes d'asile des Algériens a fortement augmenté au cours du troisième trimestre, alors qu'il a légèrement diminué en octobre. L'Algérie est l’un des cinq principaux pays d’origine.

A huis clos, les responsables de l'asile parlent d'un problème majeur. La plupart sont de jeunes hommes célibataires, dont certains voyagent depuis longtemps en Europe. Beaucoup d'entre eux font tout pour retarder la procédure, sont agressifs et ont des problèmes de drogue. En outre, les fermetures d'usines en Italie, en Espagne et en France ont aggravé la situation des migrants clandestins. Un jeune Algérien a ostensiblement défié les autorités locales dans l'émission "Mise au Point" de la RTS en Suisse romande. Si la Suisse régularise son statut, il a déclaré qu'il cesserait de voler. Sinon, il continuerait.

Un potentiel de violence accru

"De nouveau, il y a de plus en plus de cas problématiques en provenance d'Algérie, comme ce fut le cas après le printemps arabe", déclare Marcel Suter, président de l'Association des autorités cantonales des migrations. À l'époque, les demandeurs d'asile des pays du Maghreb ont causé des problèmes à plusieurs reprises. Le Secrétariat d'État aux migrations (SEM) est plus diplomatique. Des personnes de différentes origines vivaient dans les centres d'asile, explique le porte-parole Lukas Rieder. La perspective d'une décision d'asile négative pourrait entraîner une frustration supplémentaire et accroître le potentiel de violence.

La Suisse n'est actuellement pas en mesure de renvoyer en Algérie les demandeurs d'asile déboutés. Le pays a fermé ses frontières terrestres en mars en raison de la pandémie du Covid et a suspendu le trafic aérien international. Les frontières et l'espace aérien sont toujours fermés, explique M. Rieder. Cela ne concerne pas seulement la Suisse, mais tous les pays européens.

Les rapatriements en Algérie étaient déjà difficiles avant la crise du Covid. Il est vrai que la Suisse a un accord de réadmission avec l'Algérie qui réglemente l'identification et la délivrance des documents. Toutefois, Alger n'accepte pas les vols spéciaux et ne ramène ses citoyens que sur des vols réguliers.

[...]

Critique de l'aide d'urgence

Pour la gauche, une partie du problème est générée par la Suisse. "Le concept d'aide d'urgence est une impasse", déclare la conseillère nationale Samira Marti (parti socialiste, Bâle-Campagne), membre de la commission d'Etat. Bien qu'elle ne veuille pas faire de commentaires spécifiques sur les demandeurs d'asile algériens, elle souhaite faire une déclaration. [...] "Nous savons que le manque de perspectives et surtout l'interdiction du travail peuvent conduire à la criminalité." Samira Marti demande que les autorités examinent les cas graves de manière plus cohérente.

La Suisse n'est pas le seul pays à être gêné par les demandeurs d'asile en provenance d'Algérie. Le gouvernement suisse a donc procédé à des échanges avec la présidence allemande du Conseil de l'UE et la Commission européenne, comme le confirme le SEM. Tous les pays européens sont intéressés par la reprise du retour volontaire, a déclaré le porte-parole Rieder. Si l'Algérie rend cela possible, il y aura probablement un vol commun. La Suisse a fait savoir à l'UE qu'elle souhaitait y participer.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Nzz.ch


Rappels :

La criminalité étrangère et la gauche. Neuchâtel, quand les pyromanes appellent les pompiers

Neuchâtel : 80% des vols du canton sont dus à des délinquants de rue maghrébins. Que fait le Conseil fédéral?

Neuchâtel : « La majorité des délinquants ont cherché systématiquement à faire dégénérer la situation. »

Neuchâtel: des individus promettent de faire justice face à des délinquants d’Afrique du Nord « souvent liés à l’asile »

Union européenne: Bruxelles veut ramener l’ordre dans le «Far West» numérique

24.11.2020

Les géants comme Google, Facebook ou Amazon sont accusés de tuer la concurrence, de menacer les libertés et la démocratie. La commission européenne veut légiférer.
Haine en ligne et désinformation, pratiques anticoncurrentielles et loi du plus fort... La Commission européenne doit présenter le 9 décembre un projet de législation pour mieux encadrer le monde numérique.
Le texte sera étudié et négocié pendant plus de deux ans avec le Parlement et les Etats membres, rendant le résultat final très incertain.

Sont visés les géants comme Google, Facebook ou Amazon, accusés de tuer la concurrence, de menacer les libertés et la démocratie. «L’internet ne peut rester un Far west», affirme le commissaire au Marché intérieur, Thierry Breton, qui porte le dossier avec la vice-présidente de la Commission, Margrethe Vestager.

Haine en ligne et désinformation
L’assassinat en France du professeur Samuel Paty, ciblé sur les réseaux sociaux, a souligné les dangers de l’anarchie numérique. La désinformation via les plateformes avait été dénoncée après l’élection américaine de 2016 ou le référendum sur le Brexit au Royaume-Uni.
Sous l’étiquette «Digital Services Act (DSA)», la nouvelle législation imposera «à tous les services numériques le devoir de coopérer avec les régulateurs" pour retirer des contenus dangereux, a expliqué Mme Vestager. Elle imposera des obligations dans la modération des contenus.

[...]

Transparence des algorithmes
Les grandes plateformes devront «fournir plus d’informations sur le fonctionnement de leurs algorithmes», a expliqué Mme Vestager.
Elles «devront nous dire comment elles décident des informations et produits qu’elles nous recommandent, et de ceux qu’elles cachent, et nous donner la possibilité d’influencer ces décisions. Elles devront nous dire qui paye pour les publicités que nous voyons et pourquoi nous avons été ciblés».
Google est accusé de paramétrer son moteur de recherche pour rendre ses offres plus visibles que celles des concurrents. La nouvelle loi «visera l’interdiction de l’auto-préférence», affirme Mme Vestager.
Partage des données
Certaines contraintes «concerneront les données et le partage de données», a expliqué la vice-présidente de la Commission.
«Les personnes qui contrôlent les données, contrôlent les algorithmes et donc la nouvelle économie», a expliqué à l’AFP Alexandre de Streel, professeur de droit à l’Université de Namur, spécialiste du numérique. «Si on veut instaurer une concurrence à armes égales, le remède, c’est le partage des données», estime cet expert.
[...]
(AFP/NXP)

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/bruxelles-veut-ramener-lordre-dans-le-far-west-numerique-982975740966

Deux membres suédois du Parlement européen veulent expulser la Hongrie et la Pologne de l’UE

Pour Helene Fritzon, chef de la délégation des sociaux-démocrates suédois au Parlement européen, la Hongrie et la Pologne jouent à un «sale jeu». Par leur veto, ils plongent l’UE dans une position très difficile.

Tomas Tobé, un député européen des soi-disant modérés de centre-droit, a abondé dans le même sens, en déclarant à la Sveriges radio :

« Nous sommes actuellement bloqués. Si nous cédons maintenant, nous leur laissons entendre qu’il est correct de procéder de la sorte. »

« La question est de savoir si la Pologne et la Hongrie appartiennent oui ou non à l’UE. » a-t-il poursuivi.

Dreuz a besoin de vous : Le journalisme indépendant ne reçoit aucune aide d’Etat. Dreuz.info ne peut pas exister sans votre soutien financier. Pour contribuer en utilisant votre carte de crédit (sans vous inscrire à Paypal), cliquez sur ce lien Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution. Nous vous remercions.

Le 16 novembre dernier, la Hongrie et la Pologne opposèrent leur veto à l’adoption du budget européen 2021-2027, ainsi qu’au plan de relance de 750 milliards d’euros de subventions et de prêts défini pour apporter une aide économique aux pays les plus durement touchés par les effets du virus de Wuhan.

A cette aide étaient , toutefois, ajoutées des dispositions relatives au respect de l’Etat de droit et de ses valeurs.

Les Hongrois et les Polonais y virent un mécanisme permettant de priver les pays conservateurs de leur part des fonds de l’UE, s’ils ne se soumettaient pas aux programmes politiques des États dominants de l’UE, principalement l’Allemagne et la France, agacés par le refus persistant de la Hongrie et de la Pologne d’accepter l’imposition de quotas obligatoires de redistribution des migrants.

Le critère de l’Etat de droit n’est « absolument pas clair et constituera une ingérence politique discrétionnaire dans les affaires intérieures des pays », a déclaré le 16 novembre le vice-ministre polonais des Infrastructures Marcin Horala à la télévision publique TVP.

Le PM hongrois Viktor Orbán publia quant à lui la déclaration suivante :

« A Bruxelles aujourd’hui, ils ne voient d’un bon oeil que les pays dociles, gouvernés par l’Etat de droit, car ouverts aux flux migratoires sans fin. Par contre, les pays qui protègent leurs frontières ne peuvent être considérés comme des pays où règnent l’Etat de droit.Une fois cette proposition adoptée, il n’y aurait eu plus aucun obstacle à lier l’octroi des fonds aux Etats membres favorables à l’immigration et à utiliser des moyens financiers pour faire chanter les pays opposés à l’immigration massive. »

« Selon notre point de vue, lier les questions économiques et financières aux débats politiques serait une grave erreur, qui porterait atteinte à l’unité de l’Europe. Toute nouvelle procédure visant à pénaliser les États membres ne devrait être introduite qu’après un amendement unanime des traités. »ajouta V. Orbán.

Ce n’est pas la première fois que des hommes politiques suédois critiquent la Hongrie.

En 2019, le PM suédois, Stefan Löfen, avait suggéré que des sanctions soient appliquées à la Hongrie pour avoir refusé d’accueillir des migrants.

Plus tôt dans l’année, la ministre suédoise de la sécurité sociale, Annika Strandhäll, avait critiqué la politique familiale hongroise visant à favoriser la natalité, affirmant qu’elle « puait les années 1930 » en référence à la politique nazie allemande. Analogie des plus perfides !

Le gouvernement socialiste suédois est le bon petit soldat de l’UE, voire l’un des meilleurs. Peu importe les conséquences dévastatrices pour le pays et ses concitoyens suédois, l’important n’est-il pas d’obtenir le «label» de la nation la plus « humaniste » de la planète ? Dans cet Occident décadent, l’immigré, de préférence musulman, n’apporte-t-il pas la fraîcheur, la pureté, la morale, la vertu, avec sa « religion », ses mœurs, et ses traditions enchanteresses ?

Si la ministre suédoise privilégie l’immigration africano-arabo-musulmane pour lutter contre la dénatalité, c’est son choix irresponsable. Par contre, elle n’a pas le droit de l’imposer au gouvernement d’un autre pays, encore moins de comparer sa politique favorable aux familles au nazisme. C’est d’une bassesse digne d’une personne qui hait son propre pays.

En démocratie, on impose pas, on laisse chacun décider et on ostracise pas celui qui refuse de se plier à la doxa de la majorité servile.

L’UE semble en fait être dirigée par le milliardaire G. Soros, récemment qualifié par V. Orban comme l’une des personnes les plus corrompues, au monde, après avoir appelé l’UE à soumettre la Hongrie et la Pologne aux valeurs de « l’Open Society. »

« G. Soros menace la Pologne et la Hongrie » a déclaré le PM hongrois à Radio Kossuth vendredi dernier.

« G. Soros est l’une des personnes les plus corrompues au monde ; il a plein de politiciens dans sa poche, qui veulent maintenant faire chanter la Hongrie et la Pologne, s’ils souhaitent avoir accès aux fonds de l’UE. »

Le PM hongrois a également accusé le financier milliardaire américain de propager des rumeurs absurdes à son sujet au-delà de la ligne rouge.

En 2015, G. Soros suggéra l’application de sanctions fiscales aux pays réfractaires à l’accueil des migrants invités par Frau Merkel.

L’UE s’oppose également aux efforts de la Pologne pour réformer ses tribunaux.

L’UE qualifie ces réformes d’attaques contre l’indépendance de la justice, mais pour les Polonais, il s’agit tout simplement d’une tentative de se débarrasser d’un héritage népotique de l’ancien régime communiste (et une affaire intérieure à laquelle les fonctionnaires étrangers ne devraient pas s’immiscer).

« En 1989, lors d’une table ronde entre les communistes polonais et l’opposition démocratique, le général Wojciech Jaruzelski, alors président de la Pologne, qui dirigeait un gouvernement de loi martiale pour le compte des Soviétiques, fut autorisé à nommer un tout nouveau groupe de juges de l’ère communiste pour les tribunaux postcommunistes. Ces juges dominèrent notre système judiciaire pendant le quart de siècle qui suivit. Certains sont encore en place. » expliqua le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki en 2017.

La Pologne et la Hongrie ont de bonnes raisos de croire que les dispositions relatives à l’État de droit seraient utilisées comme un moyen pour imposer la soumission aux récalcitrants. En effet, la vice-Présidente du parlement européen , l’Allemande Katarina Berley avait suggéré, qu’ils auraient dû être affamés financièrement avant le vote, au cours duquel ils exercèrent leur droit de veto. Démocratie, dites-vous ?

« L’Etat de droit » est devenu une arme à l’encontre des pays qui s’opposent à l’immigration.» a déclaré V. Orbán.

« Ne vous y trompez pas, le débat sur l’Etat de droit de l’UE n’a jamais vraiment porté sur l’Etat de droit à proprement parler. Si nous revenions sur ces cinq dernières années, nous pourrions clairement observer comment le thème de l’Etat de droit monta en puissance à chaque fois que les forces libérales de l’UE, favorables à l’immigration, ne réussirent pas à imposer leur volonté aux Etats-membres opposés à l’immigration musulmane, comme la Hongrie et la Pologne. » a expliqué V. Orbán sur son blog officiel, détaillant la chronologie des évènements, dont voici quelques extraits.

26 septembre 2015 – Le financier milliardaire George Soros publia son plan en six points pour « reconstruire le système d’asile. » Entre autres suggestions, ce diable proposa que « l’UE «accepte au moins un million dedemandeurs d’asile par an dans un avenir prévisible », qu’elle souscrive à des prêts communs, qu’elle renonce au droit des États-nations à la protection de leurs frontières et qu’elle établisse des « couloirs sûrs » pour les migrants.

Mai 2018 – Lors d’une session plénière du Parlement européen à Strasbourg, le président de la Commission Juncker annonça que dans le budget 2021-2027 de l’UE, la Commission européenne allait proposer de lier l’accès aux paiements à un ensemble de critères d’État de droit. Cette mesure visait clairement à faire pression sur les États membres, qui partagent un point de vue différent sur la migration, afin qu’ils se plient à ces critères.

12 septembre 2018 – Recourant à une astuce de vote sournoise, la majorité du Parlement européen favorable à l’immigration adopta le tristement célèbre rapport Sargentini (rédigé par la députée européenne écologiste Judith Sargentini). Ce dernier préconisait l’activation de l’article 7 du Traité sur l’Union européenne, pouvant aboutir à la suspension du droit de vote de la Hongrie au sein des institutions communautaires, en raison de «préoccupations liées à l’Etat de droit». Par exemple … son refus d’accueillir des migrants musulmans !

Septembre 2020 – Le PM Orbán et les autres dirigeants du V4 rejetèrent la stratégie de migration actualisée de la Commission von der Leyen. « Même si vous la reformatez «un quota restera toujours un quota » déclarèrent les dirigeants.

16 novembre 2020 – Comme la dernière version du budget et du fonds de relance de l’UE pour 2021-2027 comprend une conditionnalité arbitraire « d’Etat de droit », les gouvernements de Hongrie et de Pologne ont exercé leur veto sur l’adoption du paquet budgétaire.

18 novembre 2020 – Dans un article intitulé « L’Europe doit tenir tête à la Hongrie et à la Pologne », G. Soros propose un moyen pour permettre à la majorité de gauche de l’UE de « contourner le veto Orbán-Kaczyński. »

En s’ingérant une nouvelle fois dans le débat, le milliardaire Soros, qui n’est porteur d’aucun mandat démocratique de la parts des électeurs européens, prouve sans aucune ambiguïté qu’il exerce avec la collaboration des idéologues de son «Open Society» une forte pression sur ce débat relatif à l’Etat de droit.

A se demander qui dirige réellement l’UE ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source: https://www.dreuz.info/2020/11/25/deux-membres-suedois-du-parlement-europeen-veulent-expulser-la-hongrie-et-la-pologne-de-lue/

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

***********

ZDF-"heute-show" s'acharne à nouveau sur la Hongrie (humour allemand)

https://www.youtube.com/watch?v=mYuDtTIRIcY

La ministre hongroise de la justice, Judit Varga, répond aux accusations de la BBC concernant la “démocratie malade” de son pays

La ministre hongroise explique que le terme « état de droit » recouvre un chantage idéologique.

Ci-dessous, l’intégralité de son interview sur la BBC dans l’émission HARDTalk (2e vidéo, version longue).

-  Je regrette que dans l’émission politique peut-être la plus connue et la plus regardée d’Europe, en 24 minutes, il n’y ait eu que des accusations basées sur des clichés biaisés et bien connus : l’Université d’Europe Centrale, la loi sur les ONG, index.hu, la liberté de la presse prétendument en déclin, etc.

En même temps, je suis heureuse que, grâce à cette interview, il soit devenu clair pour beaucoup de nos amis européens que le récit de Bruxelles sur le démantèlement de l’état de droit est hypocrite et faux.

- Comme il a été brièvement révélé dans cette interview, la campagne de désinformation coordonnée contre la Hongrie dans la presse occidentale, construite avec l’aide puissante de l’opposition hongroise, vole facilement en éclats si l’on répond à l’accusation par des arguments juridiques et des faits solides.

- Peu importe avec quelle force ils crient, peu importe combien de fois l’on répète que la Hongrie et la Pologne ont bloqué cet accord historique, la réalité, c’est que la responsabilité morale incombe à ceux qui, pour des raisons idéologiques, veulent réécrire l’accord conclu en juillet à l’unanimité par les 27 chefs d’État et de gouvernement de l’UE.

- Il faut qu’il soit clair pour tout le monde que la Hongrie n’acceptera aucun chantage.

- Sitôt que nous serons revenus à l’accord précédemment unanime ou qu’un texte exempt de chantage idéologique et conforme aux traités de l’UE aura été remis sur la table, la Hongrie sera la première à l’accepter.

- En attendant, nous mettrons tout en œuvre pour faire entendre la voix de la Hongrie et du peuple hongrois de plus en plus fort dans l’Europe, car nous croyons que le Vieux Continent a besoin de cette voix claire et sincère aujourd’hui plus que jamais.

La patrie avant tout !

Traduction Cenator

Vidéos en anglais, sous-titres automatiques en français disponibles.

Version courte (2:43):

https://www.youtube.com/watch?v=ver-crU9lzg

Interview complète (23:30):

Viktor Orbán: L’homme le plus corrompu de la politique mondiale est Soros

György Soros menace la Hongrie et la Pologne - a déclaré Viktor Orbán à la radio Kossuth le 20.11.2020 dans son interview hebdomadaire. Pour reprendre ses termes: Soros a publié ces jours-ci un texte plein de menaces.

Orbán a souligné qu'aujourd'hui, l'homme le plus corrompu de la politique mondiale est György Soros, qui paie de très nombreux politiciens, y compris ceux qui veulent maintenant faire chanter la Hongrie et la Pologne avec de l'argent de l'UE.

Il a ajouté: il n'est pas rare qu'un mensonge sans scrupules soit répandu sur la Hongrie, mais les dernières accusations de Soros vont vraiment au-delà de tout – comme quand il écrit, par exemple, qu’il n’y a pas de vote à bulletin secret dans certaines localités rurales de Hongrie. (Orban dit qu’il y en a qui y croient. Ces gens ne savent rien de la Hongrie, ils disent aussi qu’au Bangladesh les votations se passent ainsi et ils n’en savent pas plus sur la Hongrie que sur le Bangladesh.)

Viktor Orbán a déclaré que plusieurs solutions sont possibles en ce qui concerne les négociations de fond avec l'UE, mais l'essentiel, c'est que c'est l'aspect juridique qui doit décider et non la politique.

Par exemple, on cherche régulièrement à imposer à la Hongrie d'abattre la clôture, d'accueillir des migrants, et si les migrants arrivent à entrer en Hongrie illégalement, à interdire leur arrestation et à les laisser circuler librement.

Bruxelles ne dispose actuellement d'aucun outil pour faire appliquer cela, mais les bureaucrates de l’UE salariés de Soros veulent mettre en place un cadre juridique qui permette de l'imposer, c’est pourquoi ils ne veulent plus que les pays membres puissent décider.

Soros demande explicitement de mettre en place légalement un groupe politique qui décide de questions qui relevaient jusqu’alors des politiques internes des pays membres.

Orban est décidé à résister à cela, mais ignore comment faire si la loi passe.

En ce qui concerne l’argent, qui est l’objet du chantage des bureaucrates de Bruxelles contre la Hongrie et la Pologne, en échange de ce qu’ils appellent l’état de droit, cela n’a rien à voir avec l’état de droit, c'est simplement le droit du plus fort.

Tout le blabla de Bruxelles n’a rien à voir avec l’argent : il s’agit en réalité d’imposer la politique migratoire du camp de Soros.

Les exigences de Bruxelles au sujet de l’« état de droit » font croire que l’argent en question est un cadeau. Or il ne s’agit pas d’une volonté de l’Union de donner ces sommes aux États membres les plus pauvres, mais bien, si l’on trouve un terrain d’entente, d’un prêt commun sur 30 ans pour tous les pays européens, dont les dettes seraient réparties entre eux.

Si un pays fait faillite, les autres devront payer sa dette. Si nous pouvons rester en dehors de cela, c’est mieux, mais nous ne voulons pas laisser couler par cela les pays en difficulté (Grèce, Italie).

La Hongrie peut lever des fonds même sans l’aide de l’UE: elle a une économie solide, qui lui a déjà permis d’obtenir des crédits dans des conditions identiques et elle n’a pas encore fait appel à l’Asie, ni à la Russie ! La Hongrie n’a pas besoin de la solvabilité de Bruxelles pour cela.

Ni la Hongrie, ni la Pologne ne seront privées de ces fonds par leur veto. La Hongrie ne perdra pas par rapport aux emprunts pris en commun, le pays a les moyens de mettre en œuvre tous les projets de développements. Au printemps 2021, tous les programmes de développement seront lancés indépendamment de Bruxelles.

Viktor Orbán a déclaré qu'il n'était pas satisfait du récent prêt que la Hongrie a reçu de l’UE, mais qu'il avait besoin d'une réserve financière pour le débat politique de l'UE. Cela a également nécessité l’expiration de l’un des prêts antérieurs du pays.

*

Passant au sujet du Covid, la journaliste a demandé pourquoi des tests de masse étaient nécessaires dans les institutions sociales et éducatives.

"Parce qu'elles les ont demandés", a répondu le Premier ministre. Comme il l'a dit: si le test rapide est positif, il est fiable à 90%, tandis que si le résultat est négatif, il n'est fiable qu’à 50, 60%.

Il a noté que l'expérience montre que les gens se sentent toujours plus calmes et plus confiants lorsqu'ils sont testés, donc cela vaut la peine de le faire en masse. Il a ajouté: 2 000 étudiants prendront part à ce test de masse.

Un échantillon du vaccin russe se trouve actuellement dans les laboratoires hongrois, même si la Commission européenne met en garde contre cela.
Selon Viktor Orbán, cette mise en garde est encore l'œuvre de Soros, et c'est contre la Hongrie.

Nous avons réservé 12 millions de doses de vaccin de fabricants d'Europe occidentale. Nous avons payé une avance qui nous donne un droit de préemption, et cette quantité peut suffire. Nous ne savons pas quand ces vaccins seront disponibles en masse, mais les fabricants les promettent d'ici la fin du printemps.

Selon la Hongrie, le vaccin n'est pas une question politique. Nous devons sauver des vies. Si quelqu'un d'autre fabrique un bon vaccin, nous devons également le fournir. Ensuite, le peuple hongrois et les laboratoires décideront quand et avec quel vaccin ils seront vaccinés, a déclaré le Premier ministre.

Des scientifiques hongrois participent également aux vaccins occidentaux, et nous sommes très confiants à ce sujet, mais selon les enquêtes, s'ils pouvaient choisir, 30 pour cent des citoyens hongrois choisiraient un vaccin produits en Hongrie.

Tous les vaccins reçus passent une inspection en Hongrie, et la responsabilité en est assumée par nos laboratoires pharmaceutiques de contrôle de qualité de renommée mondiale, a expliqué Viktor Orbán.

*

Sources:

https://magyarnemzet.hu/belfold/orban-viktor-a-vilagpolitika-legkorruptabb-embere-soros-gyorgy-8979269/

 Orbán Viktor a Kossuth rádióban (2020.11.20.)

Traduction libre: Cenator

Un autre résumé français de l’interview sur Radio Kossuth est disponible ici.

La Pologne et la Hongrie défendent l’identité européenne… contre l’UE !

Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Le soleil décidément se lève à l’Est. Les gouvernements, élus démocratiquement, de deux pays membres de l’Union tentent de résister à la normalisation idéologique de Bruxelles. On s’efforce de les faire plier par un chantage économique, ils répondent par un blocus économique légal.

Pour certains vrais Européens, la défense d’une identité historique l’emporte encore sur la normalisation mondialiste. C’est tellement étonnant que nombre de pays de l’UE n’y croyaient pas. Mais la Hongrie et la Pologne ont maintenu leur état de droit national et ont refusé l’état de droit vu par Bruxelles. Le 16 novembre, Budapest et Varsovie ont ainsi bloqué le plan de relance européen de 750 milliards d’euros, ainsi que le budget pluriannuel (2021-2027) de 1 074 milliards d’euros. Techniquement, les représentants hongrois et polonais empêchent la décision « Ressources propres , qui permettent à la Commission de financer le plan de relance comme le budget de long terme.

Budget bloqué

Les deux démocraties dites « illibérales » refusent que les aides pour sortir de la crise sanitaire soit dépendantes d’une soumission à l’idéologie européiste. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, et dans une moindre mesure Mateusz Morawiecki, son homologue polonais, avaient prévenu dès le printemps, quand les négociations entre les Vingt-Sept ont commencé, qu’ils ne soutiendraient pas un tel mécanisme de conditionnalité. Il faut bien voir la nature du mécanisme que Varsovie et Budapest auraient dû accepter. C’est un ensemble de 8 articles obligeant les signataires à renoncer à toute particularité nationale sur la justice ou l’immigration. La Commission européenne évaluait ensuite la conformité des pays au dogme et pouvait sanctionner les « rebelles » à la majorité qualifiée. Or, pour le moment, ce qui sauve les pays plus nationaux qu’européistes, c’est la règle de l’unanimité.

La Hongrie rappelle qu’elle était d’accord, en juillet, au Conseil européen, pour une clause budgétaire a minima qui conditionne le versement des fonds européens à leur bon usage effectif, sans interférence politique. Elle estime que l’ajout d’une clause « État de droit » est contraire au droit européen dans la mesure où elle contourne l’article 7 qui prévoit déjà un mécanisme de sanction. Il faudrait donc récrire les traités — ce qui exige l’unanimité. Pour Budapest comme pour Varsovie, il s’agit d’un « chantage politique » contre deux régimes qui, au nom de leur conception des valeurs chrétiennes et historiques de leur pays, affrontent la doctrine des valeurs « droits de l’hommesque » issue de l’article 2 du traité de l’UE.

Rien n’est définitivement joué, comme toujours en Europe. Les vertueux de la démocratie progressiste n’ont pas dit leur dernier mot. La France et l’Allemagne sont embarrassées. « Une solution sera trouvée dans les toutes prochaines semaines, la France y est pleinement engagée », réagit Clément Beaune, secrétaire d’État aux Affaires européennes. Mais concrètement, il ne faut rien espérer avant le printemps, voire l’été prochain, de toute façon… En attendant, chaque État membre s’endettera à son propre compte. La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, pourrait penser que finalement la relance économique post-Covid , le plan dit « Next Generation UE » vaut bien une messe. Ce qui n’est pas le cas de ceux qui veulent imposer une « next generation UE » métissée et garante des droits de toutes les minorités, notamment sexuelles. Ce qui se passe en Pologne et en Hongrie les rend fous.

Défense des traditions

La ville hongroise de Nagykáta a adopté une résolution interdisant “la diffusion et la promotion de la propagande LGBTQ” par les institutions gérées par la municipalité. En cause ? Un conte de fées inclusif qui suscite un tollé dans tout le pays. Intitulé Un conte de fées pour tous, le livre met en scène des minorités : des héros en situation de handicap ou rom, des fées et des sorcières lesbiennes et transgenres… « Je veux que nos enfants grandissent avec des contes traditionnels où la Belle au bois dormant est amoureuse d’un prince, pas d’une princesse », écrit le conseiller Ákos Szabó avant de publier une copie de la résolution votée par le conseil municipal. Selon le texte, cette interdiction “est nécessaire pour le développement spirituel et naturel des enfants“. ”

Pour les mêmes propos, en France, ce serait sans doute la prison ou la mort civile… Il y a bien deux Europe. L’Europe pour tous du mariage pour tous, et plus si affinités, et celle des traditions qui ont fait notre civilisation et que défendent aujourd’hui la Pologne et la Hongrie.

Pierre Boisguilbert
18/11/2020

Source : Correspondance Polémia

Source: https://www.polemia.com/la-pologne-et-la-hongrie-defendent-lidentite-europeenne-contre-lue/

Accord cadre : la prise de position du Conseil fédéral auprès de l’UE reste confidentielle

Autonomiesuisse lance une campagne en faveur d’un meilleur accord-cadre avec l’Union européenne (UE). Ce nouveau mouvement, initié par plusieurs entrepreneurs et représentants de l’économie, estime que l’actuel projet d’accord-cadre ferait perdre à la Suisse ses avantages concurrentiels.

 

 

«L’accord-cadre actuel met en péril le modèle de réussite suisse», écrit dans un communiqué de presse le mouvement qui dit militer pour une Suisse «ouverte au monde, performante, libre». Il s’exprime un jour après que la présidente de la Confédération a informé son homologue de la Commission européenne de la position de la Suisse sur cet accord-cadre. Une position décidée mercredi par le Conseil fédéral, mais gardée confidentielle.

[...]

20Min.ch

L’UDC invite le Conseil fédéral à la transparence

Il semble que le Conseil fédéral ait décidé de poursuivre les négociations sur l’accord-cadre institutionnel avec l’UE et qu’il ait donné à la secrétaire d’Etat Livia Leu un mandat de négociation comportant quelques précisions. L’UDC juge inacceptable que le Conseil fédéral refuse d’informer le peuple suisse sur le contenu de ce mandat. Elle exige que le gouvernement fasse preuve de transparence et qu’il refuse explicitement que la Suisse soit contrainte de reprendre du droit UE et de se subordonner à la juridiction UE.

Le projet d’accord-cadre institutionnel Suisse-UE connu à ce jour ferait perdre à la Suisse sa souveraineté, car elle serait contrainte de reprendre automatiquement du droit UE et de se soumettre à la juridiction UE. Portant atteinte à l’indépendance de la Suisse, ce traité viole la Constitution fédérale et les valeurs et principes essentiels du peuple suisse et de son économie. Pour toutes ces raisons, l’UDC s’oppose catégoriquement à cet accord. Elle invite le Conseil fédéral à bien faire comprendre à l’UE que la Suisse est certes intéressée à de bonnes relations sur un pied d’égalité avec l’UE, mais qu’elle ne peut pas signer un accord qui viole l’article définissant le but de la Constitution fédérale, donc qui garantit l’indépendance du pays et les droits du peuple.

Des cachotteries qui semblent servir à tromper le peuple

Depuis quelque temps les critiques fondamentales lancées contre cet accord se font de plus en plus insistantes: l’ancien conseiller fédéral Johann Schneider Ammann, le président du PDC Gerhard Pfister, mais aussi des dirigeants notables de l’économie mettent en garde contre une perte de l’indépendance nationale. L’attitude du Conseil fédéral est d’autant plus incompréhensible face à ces prises de position. Il semble que le gouvernement ait donné aujourd’hui un mandat de négociation à Livia Leu, négociatrice en chef avec l’UE, mais il refuse d’informer sur son contenu. On ne sait donc pas si le Conseil fédéral s’engage pour la sauvegarde de l’indépendance de la Suisse ou s’il cherche simplement à obtenir quelques améliorations concernant des points secondaires comme la directive sur la citoyenneté UE, la protection des salaires ou les aides publiques.

Ces cachotteries, dont on a du mal à imaginer qu’elles visent autre chose qu’à tromper le peuple, sont intolérables aux yeux de l’UDC. Cette dernière invite donc le Conseil fédéral à la transparence et à prendre un engagement clair et net en faveur de la souveraineté de notre pays.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ludc-invite-le-conseil-federal-a-la-transparence/

Le comité de l’UDC Suisse invite le Conseil fédéral à refuser l’accord institutionnel avec l’UE

Lors de sa séance numérisée d’aujourd’hui, le comité de l’UDC Suisse a approuvé unanimement à l’intention de l’assemblée des délégués une résolution concernant l’accord-cadre institutionnel avec l’UE. En vue de la votation populaire du 29 novembre prochain, le comité recommande à l’assemblée des délégués de refuser les deux initiatives populaires « Entreprises responsables – pour protéger l’être humain et l’environnement » et « Pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre ».

Le comité de l’UDC Suisse s’est prononcé à l’unanimité pour une résolution contre l’accord-cadre institutionnel entre l’UE et la Suisse. Cette résolution en douze points résume l’évaluation de l’accord et les exigences de l’UDC. Le point central est l’invitation adressée au Conseil fédéral de refuser cet accord. Il faut que le gouvernement explique clairement à l’UE que la Suisse est certes intéressée à entretenir de bonnes relations bilatérales sur un pied d’égalité, mais qu’elle ne signera pas un traité qui viole l’article définissant le but de la Constitution fédérale, à savoir la sauvegarde de l’indépendance du pays et des droits du peuple.

L’accord-cadre institutionnel entraîne un rattachement de la Suisse à l’UE qui équivaudrait à une adhésion insidieuse à cette organisation. La Suisse perdrait sa souveraineté, car elle serait contrainte de reprendre automatiquement du droit UE et de se soumettre à la juridiction UE. Cet accord viole l’indépendance nationale, la Constitution fédérale et des valeurs fondamentales de la Suisse. Il contrevient de surcroît aux intérêts de l’économie et de la population suisse. Demain les délégués de l’UDC Suisse décideront de la résolution adoptée par le comité du parti.

Deux fois non à des initiatives nuisibles de l’extrême gauche

Les délégués de l’UDC Suisse adopteront demain les mots d’ordre du parti en vue des votations populaires du 29 novembre. Le comité s’oppose clairement aux initiatives populaires « Entreprises responsables – pour protéger l’être humain et l’environnement » et « Pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre ». Lancées par des organisations comme Amnesty International ou encore le Groupe pour une Suisse sans armée (GSSA), ces deux initiatives extrémistes nuisent aux populations les plus pauvres du monde et n’apportent strictement rien à la paix mondiale. En revanche, elles nuiraient gravement aux PME suisses et à nos institutions de prévoyance, donc à la population de notre pays.

Peter Keller sera le nouveau secrétaire général de l’UDC Suisse

Le comité a en outre élu à l’unanimité le conseiller national nidwaldien Peter Keller comme nouveau secrétaire général de l’UDC Suisse. Agé de 49 ans, Peter Keller siège depuis 2011 au Conseil national et bénéficie d’une longue expérience politique au niveau communal, cantonal et national. Grâce à son activité de rédacteur et de journaliste libre travaillant pour l’hebdomadaire « Weltwoche », il connaît aussi parfaitement le domaine des médias. Il entrera en fonction le 1er janvier 2021 et prendra la relève de l’actuel secrétaire général Emanuel Waeber qui souhaite réduire pour raison d’âge sa charge de travail au secrétariat général de l’UDC Suisse et, partant, céder sa fonction. Emanuel Waeber restera à disposition du secrétariat général et du nouveau secrétaire général sur la base d’un horaire de travail à temps partiel. La continuité à la direction du secrétariat général est ainsi assurée assez tôt avant les élections fédérales de 2023.

En raison de la pandémie Covid-19, le comité de l’UDC a tenu sa séance d’aujourd’hui par la voie électronique.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-comite-de-ludc-suisse-invite-le-conseil-federal-a-refuser-laccord-institutionnel-avec-lue/

Le coup d’État du siècle : la mutualisation de la dette en zone euro ! #CharlesGave

On nous le répète depuis déjà fort longtemps, la zone euro est instable, l’euro est fragile et les élites européennes sont déconnectées de la démocratie et des peuples. Mais les occasions de constater les dérives de nos dirigeants « éclairés » se sont clairement multipliées depuis l’avènement de la crise du #COVID19.
Pourtant, le sujet de la mutualisation de la dette européenne - les corona bonds pour les intimes - a été complètement évacuée, tant par les médias que par les partis politiques de l’opposition.
#CharlesGave et #RichardDétente vous alertent, dans ce nouvel entretien, sur les risques que la zone euro fait peser sur nous tous.
Cet été, les dirigeants européens sont passés outre les textes de lois. Un coup d’état qui prouve que la démocratie s’efface de tous les esprits… inéluctablement.
L’
#Europe n’est plus un rêve, elle continue inexorablement de mener à la ruine des Etats-Nations, à l’abolition progressive des libertés et de la #démocratie. Prenons le temps de remercier Emmanuel Macron et Angela Merkel pour leur faits d'armes européens !