Le fondateur de Facebook a comparu devant une commission d’enquête du Sénat des États-Unis le 10 avril dernier et a reconnu une « erreur » de son entreprise sur l’affaire de la publicité de l’Université franciscaine de Steubenville, dont nous avons traité (n° 162 daté du 9 avril). Mais les sénateurs l’ont aussi interpellé sur le blocage de nombreuses pages chrétiennes, mésaventure qui est aussi advenu au blog de L’Observatoire de la Christianophobie…
Mark Zuckerberg, P.-D.G. et fondateur de Facebook, a comparu devant [une commission] du Sénat des États-Unis […] Lors de son audition de plus de cinq heures, Mark Zuckerberg a présenté ses excuses et déclaré que Facebook « avait commis une erreur » en bloquant une publicité d’une université franciscaine qui montrait la croix de San Damiano […]
En outre, le sénateur Ted Cruz a interrogé Zuckerberg sur un préjugé possible envers certains contenus religieux [ …] et a précisé que Facebook « avait bloqué plus d’une vingtaine de pages catholiques […] après avoir estimé que leurs contenus étaient “dangereux” pour la communauté” ». En juillet 2017, 25 pages d’inspiration catholique furent bloquées par Facebook : 21 brésiliennes et 4 en langue anglaise, administrées par des personnes aux États-Unis et en Afrique, et possédant des millions d’abonnés.
En clair, de nombreux cas d'islamisme sont couverts par Facebook. Preuve que la situation en Suisse est déjà grave.
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Facebook ne se montre pas très coopératif lorsqu'il s'agit de requêtes de la justice.
De 2013 à mi-2017, les autorités suisses ont envoyé 361 demandes de données à la société américaine. Cette dernière a refusé son aide dans 253 cas, soit les deux tiers, souligne la "SonntagsZeitung".
Le journal alémanique s'appuie sur les conclusions du dernier rapport de transparence publié par la firme de Mark Zuckerberg. Dans la plupart des cas, les autorités exigeaient de Facebook des informations telles que des adresses e-mail ou des adresses IP.
Une majorité des requêtes émanait de l'Office fédéral de la police et concernait des soupçons de terrorisme.
Un mouvement d'extrême-droite qui agit en milice a soutenu des menaces de mort en «likant» un commentaire sur Facebook. L'élu lausannois visé a déposé plainte contre l'auteur ainsi que le groupe.
«Quel fils de p***!! C’est des gens comme lui qu’on devrait liquider car ils sont justement la base du problème. Gauchos de m***»
Le Monde, « dans le cadre d’un partenariat avec Facebook, a été mandaté par le réseau social […] pour épousseter ses pages », écrit le Canard enchaîné. « Julien Codorniou, le vice-président de Facebook chargé des partenariats, qui vit à Londres, est membre du… conseil de surveillance du « Monde » ! », précise le palmipède. Ce dernier est aussi un « grand ami de Xavier Niel – le coproprio du quotidien ». « La romance entre Facebook et « Le Monde », elle, a réellement démarré en février 2017 », rappelle le Canard. À l’époque, le géant du Net demande aux journalistes de l’aider à traquer les « fausses nouvelles » sur ses pages.
Un temps « pris d’un doute » éthique, Le Monde « a soulagé illico sa conscience », écrit l’hebdomadaire, qui parle de « pragmatisme financier ». « Car Facebook paie désormais les journaux traqueurs de contenus sales », affirme le palmipède, qui a demandé sans succès au quotidien le prix du service rendu. « Mais c’est bien toute une équipe Web du journal (celle des « décodeurs ») qui a été mise au turbin pour le compte du réseau social ». Le Décodex du Monde a ainsi repéré 2 865 infos bidon sur Facebook et 147 pages sur les 1 198 épinglées ont été fermées, le plus souvent, en réalité, du fait de leurs contenus haineux ou racistes.
Si vous croyez que les animaux ne savent communiquer entre eux que lors de leur rencontre, détrompez-vous! Ils sont bien capables de laisser des messages et même de créer leurs propres «bases de données», permettant de transmettre des informations importantes sur l’environnement.
Les sites d’actualités et les réseaux sociaux sont les grands vainqueurs du bouleversement du paysage médiatique, tandis que la télévision traditionnelle est boudée, notamment par le jeune public.
Suite au viol horrible et à l'attaque qui ont été commis par des Maghrébins à l'encontre d'un couple polonais dont nous parlions déjà ici.
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"C'est mauvais seulement au début, puis la femme se calme et c'est un rapport normal."
L'auteur de ces paroles, Abid Jee, a été suspendu. L'individu âgé de 24 ans travaille depuis 2016 dans une coopérative sociale de Bologne qui s'occupe de la gestion des migrants et il fait des études de droit.
Le conseiller de la sécurité sociale de Bologne déclare: «Des paroles incompatibles avec son rôle. Je connais la coopérative Lai-Momo pour le sérieux du travail qu'elle accomplit.
A présent, je m'attends à ce que des mesures immédiates soient prises "
"Le viol? C'est mauvais seulement au début, une fois que la bite est entrée, la femme devient plus calme et elle apprécie comme un rapport sexuel normal". Ce sont les mots de Abid Jee, médiateur culturel de Crotone âgé de 24 ans, des termes utilisés pour commenter hier sur Facebookla violence d'un groupe sur une plage de Rimini à l'encontre d'une femme polonaise.
L'information a été signalée par le Quotidiano Nazionale. Le jeune homme, un employé de la coopérative sociale bolognaise Lai-Momo travaille à l'accueil des migrants.
(...)
Source Via CivilWarInEurope
Traduction de la deuxième source Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Facebook a, selon ses propres dires, supprimé des dizaines de milliers de comptes à la veille des élections au Bundestag [24 septembre]. Ils sont soupçonnés, selon l’entreprise, d’avoir répandu de fausses informations ou des contenus trompeurs. Comme la société l’a annoncé mardi à Berlin, Facebook peut maintenant reconnaître, en se basant sur une analyse des modèles d’activité, s’il s’agit ou non de vrais comptes.
Les systèmes seraient capables de déceler les envois répétés de contenus identiques ou une augmentation des messages envoyés. Cela permet en outre à l’entreprise «de réduire la diffusion de contenus non authentiques – comme les spams, les fausses informations ou autres contenus trompeurs » […]
Il y avait eu des actions semblables dans la période précédant les élections législatives au Royaume-Uni et l’élection présidentielle en France. La base est une directive rendue publique en avril. Elle prévoit une coopération plus étroite de Facebook avec l’Office fédéral pour la sécurité en technologie de l’information.
(Traduction Fdesouche)
Source 1
Facebook va bientôt considérablement accroître le nombre de ses employés en Allemagne qui suppriment les contenus injurieux ou tombant sous le coup de la loi.
À l’automne sera installé à Essen un second « centre d’effacement » qui emploiera 500 personnes […] À Berlin, sur le premier site, le nombre des employés travaillant pour Facebook chez Arvato, société de services faisant partie du groupe Bertelsmann, a augmenté pour atteindre 700.[…]
Enfin, on notera que le journaliste du 20 Minutes.ch sous-titre "L'hommage de la socialiste à la Suisse n'était pas du goût de tous." Il est vrai que prétendre que notre pays ne repose sur rien, que nos références sont des mensonges et que notre traité de 1291 ne représente pas grand-chose est un "hommage".
C'est ainsi que nos médias inversent la situation et victimisent une socialiste provocatrice.
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Ada Marra:
"Je savais que certains ne seraient pas d'accord, mais pas qu'ils l'exprimeraient ainsi, avec des propos racistes et sexistes. Pour moi, ce message était un hymne à la liberté d'expression."
Mais certains ont été bloqués par Ada Marra, comme l'UDC yverdonnois Ruben Ramchurn qui affirme avoir commenté «de manière strictement courtoise». «Je n'ai pas à justifier qui je bloque ou non, se défend la socialiste. S'il l'a été, c'est qu'il le méritait.»
Facebook, qui revendiquait un total de 33 millions d’utilisateurs actifs en France en janvier 2017, vient d’avouer à l’agence Reuters avoir fermé 70.000 comptes français durant la dernière campagne présidentielle. Déjà épinglé par une enquête publiée sur le journal du net en 2015, le cas de la censure sur le réseau social Facebook en France franchit donc un nouveau cap alarmant.
Dévoilant l’information sur son blog, exemples à l’appui, Boris Le Lay a souligné le profil des comptes concernés, qui ont pour point commun de critiquer Emmanuel Macron, et/ou d’être hostiles à l’islam.
Rappelons que Boris Le Lay est ce blogueur saoudien breton exilé au Japon et condamné à des peines cumulées de 6 ans de prison ferme pour ses seuls propos, sans que cela n’émeuve le moins du monde la presse traditionnelle, dont la liberté relative n’a d’égal que la propension à se soumettre au pouvoir oligarchique, en particulier lorsqu’il la détient.
Ainsi, le journal l’Express, qui pour mémoire appartient au très macroniste Patrick Drahi, a publié un article pour le moins incendiaire et caricatural relevant de la plus élémentaire propagande contre Boris Le Lay, présenté comme un « troll breton qui répand la haine » (sic). Staline et Goebbels réunis n’auraient pas fait mieux…
Rappelons au pseudo journaliste aux ordres de l’Express que l’anglicisme de « troll » est employé dans le jargon des internautes pour désigner une personne qui publie de manière intempestive des messages sans intérêts dans le seul but de perturber le déroulement d’un fil de discussion. Ce terme est donc parfaitement inapproprié s’agissant de désigner un blogueur, fusse-t-il dissident, identitaire, et donc politiquent « incorrect »…
Ensuite, il convient de ne pas confondre entre ceux qui relaient la colère légitime et grandissante des Français, que l’on soit d’accord ou non avec elle, avec le fait de « répandre la haine », ce que n’importe qui peut vérifier par lui-même en consultant le blog de Boris le Lay.
Cette presse servile, qui sert la soupe à l’oligarchie et trompe l’opinion, est parfaitement représentative et nécessairement complice de la dictature qui s’instaure progressivement dans notre pays, et dont l’un des symptômes les plus flagrants consiste à museler des courants d’opinion qui ne vont pas dans le sens de la doxa dominante.
Le fait est que notre liberté d’expression, valeur occidentale par excellence, et pilier de toute démocratie, est plus que jamais menacée. Au lieu de la défendre et de faire leur métier, les journalistes s’en accommodent, avec une lâcheté déconcertante. Ils feraient mieux de se demander à qui cela profite, et de se projeter dans l’avenir afin d’appréhender la gravité de ce qu’il se passe en France, à commencer par la censure des voix dissidentes sur les réseaux sociaux. Mais après tout, être le premier pays au monde en terme de censure sur Facebook n’est peut-être pas une actualité…
N’allons pas jusqu’à espérer que ces mêmes journalistes couvrent le contentieux alarmant des procès à caractère politique, ni même de ces Français contraints à l’exil : on ne peut pas à la fois être soumis et résistant…
A l'occasion du "Mois des fiertés LGBT" (Lesbienne, Gay, Bi, Trans) durant tout le mois de juin, les utilisateurs de Facebook vont pouvoir réagir aux différentes publications grâce à un nouveau bouton "arc en ciel" nommé "Pride" ("Fierté", en français).
Facebook étoffe la liste de ses émojis à l'occasion du mois des fiertés LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transgenres) pendant tout le mois de juin. Le premier réseau social a ajouté un nouvel émoji dans ses "réactions". Il s'agit d'un nouveau dessin en forme de drapeau arc-en-ciel, symbole de la communauté LGBT. Le dessin se trouve à côté des six autres émojis (le like, le cœur, le smiley qui rigole, le bonhomme choqué, la tête qui pleure et le smiley qui est en colère).
"Alors que les célébrations des fiertés LGBT commencent aux quatre coins du monde, Facebook est fier de soutenir la diversité de notre communauté", a déclaré Facebook dans un communiqué.
Le "Mois des fiertés", est connu dans le monde entier sous le nom de "Pride Month". Ce mois est destiné à donner de la visibilité aux lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres. C'est généralement courant juin que se déroulent la plupart des "Gay Pride". La firme américaine a donc décidé de créer pour l'occasion un bouton "réaction".
A noter que le "Mois des fiertés" a été crée à la suite des émeutes de Stonewall aux Etats-Unis en 1969, considéré comme l'un des événements majeurs dans la lutte pour l'égalité des droits.
Cependant le bouton "arc-en-ciel" ne se met pas automatiquement sur Facebook. Beaucoup d'internautes se sont d'ailleurs demandé comment obtenir ce bouton "Pride". C'est très simple: les utilisateurs du célèbre réseau social vont devoir se connecter à la page Facebook LGBTQ et cliquer sur "J'aime". Ils pourront alors utiliser le bouton "Pride" jusqu'à fin juin.
Certains internautes américains, se servent de ce nouvel émoji pour "troller" ("embêter", en français) Roy Moore, un juge ouvertement opposé à l'égalité des droits: ils cliquent sur le bouton "Pride" en réaction a chacune de ses publications.
Une femme allemande âgée de 62 ans a été condamnée à une amende 1.350 euros par la justice après avoir partagé et aimé l’image d’une blague anti-migrants sur sa page Facebook.
Depuis son arrestation, Facebook a supprimé le compte de Jutta. Au tribunal, elle a affirmé qu’elle avait aimé et partagé l’image en question sans lire entièrement le contenu. « J’aime bien partager des choses amusantes » a-t-elle déclaré au tribunal.
Le tribunal a qualifié son action d' »expression haineuse et dénigrante, une incitation à la haine. »
Remarquez à quel point ce musulman sait parfaitement maitriser les outils rhétoriques de la bien-pensance:
Premièrement, il se présente en victime, ce qui lui donne toute impunité. Ainsi, il peut paisiblement manifester sa joie du remplacement de la population, l'éradication de la souche chrétienne allemande alors que c'est une attaque frontale à l'encontre de la population autochtone et un exemple flagrant de provocation, de haine.
Pourquoi jubile-t-il? Car nos gouvernements nous ont interdit de nous défendre. Car ils ont décidé que les migrants étaient plus importants que la sécurité de nos enfants et de notre propre patrie. Parce qu'au moindre faux pas, l'autochtone sera sanctionné très durement pour faire exemple.
Et tout cela, il l'a compris.
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Abdulkadir Cem: En tant que musulman, je suis très reconnaissant envers Margot Käßmann, car elle nous défend contre le populisme de droite et l'hostilité dans la vie quotidienne. Nous pouvons vivre notre religion et répandre notre foi. L'Allemagne ne restera pas un pays majoritairement chrétien.
Cela offre des chances immenses pour une coexistence multiculturelle des religions. De nombreux millions de musulmans viendront en Allemagne ou seront nés ici. L'Allemagne changera, et même très rapidement. Et je me réjouis de cela!
Abdulkadir Cem: Merci pour votre commentaire. L'Allemagne va changer et ce ne sera plus un pays majoritairement chrétien. Regardez simplement autour de vous. Nous vivons notre culture et notre religion, et c'est très intense. L'Europe et donc l'Allemagne deviennent islamiques, les chrétiens seront minoritaires et cela dans quelques décennies. (Nd Christian Hofer: On voit très bien que ce n'est plus le multiculturalisme qu'il vise contrairement au premier commentaire hypocrite mais bien la domination sur les non musulmans.)
Nous sommes reconnaissants aux Allemands de nous avoir permis de construire un grand nombre de mosquées et de construire encore. N'ayez aucune crainte et confiance en Dieu ; il y aura encore de nombreux millions de frères et sœurs (musulman). Et s'il vous plait, voyez-le comme une chance car le nombre d'autochtones se réduit rapidement, (à contrario) la communauté musulmane progresse d'environ 7% par an. C'est merveilleux. Vous ne trouvez pas ?
Un Zurichois doit répondre de ses actes devant la justice cantonale, pour avoir aimé plusieurs «Posts» (commentaires) sur Facebook, ce qui en fait le premier procès de ce genre en Suisse, raconte le Tages-Anzeiger dans son édition du 4 avril. Son procès, initialement prévu la veille, a été reporté.
(...)
Le Zurichois, lui-même un végane, a aimé huit commentaires de divers groupes de la cause animale sur Facebook. Il s'est retrouvé poursuivi par Erwin Kessler et son association pour diffamation.
Selon le ministère public, l'accusé a propagé le contenu d'un post en le «likant» et l'a ainsi rendu visible à un plus grand nombre de personnes. Avec l'objectif unique de nuire sans volonté de défendre des intérêts privés ou publics, a ajouté l'acte d'accusation.
Alors que de plus en plus de Suisses peinent à trouver du travail même s'ils sont diplômés avec de l'expérience, sur cette page Facebook nommée Réussite Emploi on donne des tuyaux pour venir travailler en Suisse.
Il y a une rubrique "En savoir plus" qui permet de recevoir gratuitement par email la liste des entreprises qui recrutent le plus de frontaliers !
Bizarrement, si on clique sur le lien proposé pour en savoir plus ( http://www.preparation-entretien.com/ ) on est bloqué.... Serait-ce parce qu'on a une adresse IP en Suisse ?
Un nouveau cas de viol collectif diffusé sur Facebook en Suède, après celui de Uppsala. Et ce sont encore une fois les migrants qui l'ont commis.
Un gang de migrants en Suède aurait diffusé en direct l'agression sexuelle d'une femme sur Facebook.
La police a lancé une enquête complète après qu'un groupe d'hommes, décrits comme étant des Tunisiens, soient soupçonnés d'avoir violé collectivement une femme à Stockholm.
L'enregistrement a été remis aux agents après qu'un homme d'origine arabe ait repéré la vidéo en direct sur Facebook dans un groupe dédié aux Tunisiens.
Il a enregistré les images sur son téléphone portable le 26 janvier et a alerté la police
L'attaque aurait été diffusée en direct sur Facebook. Mais depuis lors, il a déclaré qu'il avait reçu des menaces de mort.
Il a déclaré à Sweden’s Free Times: "De nombreux Tunisiens défendent ces hommes (...) Je le vois comme un crime grave, mais eux le perçoivent comme quelque chose de normal."
La police de Stockholm affirme ne pas encore avoir reçu d'information au sujet de l'incident.
Express.co.uk a choisi de ne pas divulguer la vidéo.
Source1Source2Source3 Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Selon la présidente de la Chambre, les médias sociaux sont susceptibles de "modifier la structure démocratique» et lance une proposition choquante: "Surveiller les groupes fermés sur Facebook."
Mi ricorda il Ministero della Verità in "1984" di George Orwell. Non ci avrete, non ci comprerete, non ci imbavaglierete. pic.twitter.com/BOe9RM9kdn
"Le temps est venu pour nous tous à la responsabilité des institutions mais aussi le temps de la responsabilité pour ceux qui travaillent dans le domaine numérique, qui sera de plus en plus une partie de nos vies. Une utilisation déformée est de modifier la structure démocratique. Pour cela, on ajoute des fake news et on comprend bien que c'est un fait explosif au niveau du maintient de la démocratie, nous devons donner la priorité à ce problème en exigeant des engagements concrets". C'est ce qu'a déclaré la présidente de la Chambre Laura Boldrini au cours de la réunion du comité Cox demandant à la Chambre de « surveiller également les groupes fermés sur Facebook " (...).
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Le système socialiste occidental est aux abois et ce que les médias d’état qualifient de « populisme » constitue, à leurs yeux, un danger majeur : les peuples blancs se réveillent et le risque d’une révolution générale se précise chaque jour un peu plus. Conséquence : des mesures policières de type totalitaires sont progressivement mises en place.
Nos lecteurs se demanderont si par le terme « totalitaires », nous n’exagérons pas. Qu’ils en jugent par ce clip vidéo réalisé à destination des enfants par la police finlandaise. En substance, les forces de sécurité du pays demandent aux enfants de surveiller leurs parents et, si ces derniers critiquent le gouvernement, de les dénoncer immédiatement à l’État.
Ce que vous venez de voir était une procédure standard dans les régimes communistes d’Europe de l’Est ou de Russie soviétique.
Dans le clip, on peut notamment entendre mis en chanson le slogan suivant :
« Quand vous mettez une insulte abominable sur internet, vous devrez bientôt payer une énorme amende… Attention, attention, attention ! Ne mettez rien de stupide sur les réseaux sociaux, s’il vous plaît !
La petite fille, habillée en policière, invite les enfants visés par le clip à devenir des auxiliaires de police contre leurs propres parents, dans leur intimité.
L’exemple de Pavlik Morozov
Selon » l’histoire » officielle de l’U.R.S.S., en 1932 Pavlik Morozov, un jeune garçon d’un village de l’Oural, dénonce son père au NKVD, la police politique, pour des menées contre révolutionnaires. Le père fût condamné à 10 ans de camp. Sans doute disparût-il dans un camp de travail du Goulag ou dans une prison désolée de l’enfer stalinien.
Quelques mois plus tard, en septembre 1932, Pavlik et son frère Fyodor âgé de 9 ans sont retrouvés assassinés dans les bois. Le meurtre fût attribué à ses grands-parents, oncles et cousins, qualifiés de » nid de Koulaks « , et à leur tour ils furent condamnés et exécutés.
Le mythe du héros Pavlik Mozorov pouvait prendre son essor. Pourvu du titre officiel de « Héros des pionniers de l’Union soviétique, informateur 001 », il fût des années durant promu exemple pour la jeunesse soviétique.
Le culte de Pavlik Morozov se développa par la suite pour éduquer les enfants à la haine et à l’idée que « tous les frères ne sont pas des frères », inculquant une morale impitoyable. La personnalité de Pavlik Morozov fût bien sûr trafiquée à des fins de propagande.
Une statue dédiée à l’Informateur 001 Pavlik Morozov, était érigée à Moscou jusqu’en 1991, non loin de l’ambassade américaine. Une nuit d’août 1991, elle a été renversée par la foule.
« Les Espions » dans 1984
Dans son roman « 1984 », George Orwell évoque un système totalitaire où les enfants sont très tôt recrutés par l’État et le Parti comme espions. Extraits (source) :
Cette pauvre femme, pensa Winston, doit vivre dans la terreur de ses enfants. Dans un an ou deux, ils surveilleront nuit et jour chez elle les symptômes de non-orthodoxie. Presque tous les enfants étaient maintenant horribles. Le pire c’est qu’avec des organisations telles que celle des Espions, ils étaient systématiquement transformés en ingouvernables petits sauvages. Pourtant cela ne produisait chez eux aucune tendance à se révolter contre la discipline du Parti. Au contraire, ils adoraient le parti et tout ce qui s’y rapportait : les chansons, les processions, les bannières, les randonnées en bandes, les exercices avec des fusils factices, l’aboiement des slogans, le culte de Big Brother. C’était pour eux comme un jeu magnifique. Toute leur férocité était extériorisée contre les ennemis de l’État, contre les étrangers, les traîtres, les saboteurs, les criminels par la pensée. Il était presque normal que des gens de plus de trente ans aient peur de leurs propres enfants. Et ils avaient raison. Il se passait en effet rarement une semaine sans qu’un paragraphe du Times ne relatât comment un petit mouchard quelconque – « enfant héros », disait-on – avait, en écoutant aux portes, entendu une remarque compromettante et dénoncé ses parents à la Police de la Pensée.
Cet effort vise à faire de l’État et de l’idéologie officielle qu’il porte le détenteur exclusif de l’autorité et du lien social. Les cellules naturelles comme la famille, capables de résister à la loyauté exigée par le gouvernement, sont progressivement détruites par un embrigadement actif de la jeunesse.
Ce qu’entreprend la Finlande s’élargira bientôt à d’autres pays. Le système globaliste n’entend pas laisser les nations blanches et chrétiennes se révolter contre leur plan d’asservissement dont la destruction raciale et identitaire est un élément central. Cet appel à la dénonciation vise tous ceux qui, sur Facebook, s’opposent au remplacement de population et au gouvernement qui le met en place.
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