[...] L’entreprise chercherait à recruter des vendeurs ou vendeuses pour son point de vente chaux-de-fonnier, ainsi que des responsables de magasin. Les offres d’emploi ne seraient parues qu’en France, plus précisément à Pontarlier.[...]
[...] L’entreprise chercherait à recruter des vendeurs ou vendeuses pour son point de vente chaux-de-fonnier, ainsi que des responsables de magasin. Les offres d’emploi ne seraient parues qu’en France, plus précisément à Pontarlier.[...]
Un lecteur nous prie de vous informer :
Alors que de plus en plus de Suisses peinent à trouver du travail même s'ils sont diplômés avec de l'expérience, sur cette page Facebook nommée Réussite Emploi on donne des tuyaux pour venir travailler en Suisse.
Il y a une rubrique "En savoir plus" qui permet de recevoir gratuitement par email la liste des entreprises qui recrutent le plus de frontaliers !
Bizarrement, si on clique sur le lien proposé pour en savoir plus ( http://www.preparation-
Nos Suisses et résidents apprécieront
Le conseiller d'Etat Mauro Poggia réagit vivement au recrutement, par la Fondation Clairbois, de deux frontaliers à la place de candidats genevois.
Simonetta Sommaruga veut mieux intégrer les réfugiés au marché du travail suisse. La taxe spéciale de 10% prélevée sur leur salaire va disparaître et les procédures pour les employeurs seront simplifiées.
Le Conseil fédéral va soumettre prochainement au Parlement des propositions visant à faciliter l'embauche des réfugiés, a rappelé jeudi la ministre de la justice Simonetta Sommaruga lors d'un colloque sur l'asile à Berne.
Le but est de faire tomber les obstacles qui restreignent l'accès au marché du travail. Actuellement, les réfugiés ayant obtenu le droit de résider en Suisse et de travailler (admissions provisoires et permis N) doivent verser durant 10 ans une taxe spéciale de 10% de leur salaire à la Confédération, et ce jusqu'à concurrence de 15'000 francs.
Cette retenue doit couvrir les frais induits par la procédure de demande d'asile. La Confédération va donc s'en passer. Avec pour but affiché d'inciter les réfugiés à travailler.
L'intégration est une tâche essentielle, a encore plaidé la ministre de la justice. "Si nous échouons à intégrer, nous payerons tous un lourd tribut. Si nous réussissons, cela servira tout le monde." La responsabilité première incombe aux réfugiés eux-mêmes, a-t-elle souligné.
Ces mesures avaient été annoncées en décembre par le Conseil fédéral lors de la présentation de son projet de clause de sauvegarde pour mettre en oeuvre l'initiative de l'UDC sur l'immigration de masse. Le dossier devrait passer aux mains du Parlement en mars.
ats/mre