Saint-Gall veut expulser les étrangers qui refusent de s’intégrer

Le législatif saint-gallois veut pouvoir expulser les étrangers qui refusent de s’intégrer. Il a voté une initiative parlementaire, poussé par le cas d'un Bosnien particulièrement récalcitrant.

Le texte demande l’introduction dans toute la Suisse du principe des conventions d’intégration: si l’étranger ne s’y tient pas, son permis de séjour ne sera pas renouvelé. Et si Saint-Gall opte pour cette solution, c’est avant tout en raison d’un cas particulier.

Un individu médiatisé par ses combats judiciaires

Ce ressortissant de Bosnie se dit salafiste non violent. Il dépend de l’aide sociale, sa longue barbe et sa religion l’empêchant de travailler. Emir Tahirovic est célèbre depuis qu’il a obtenu du Tribunal fédéral le droit pour ses deux filles de porter le voile islamique à l’école. Il vient encore d’écoper de quatre mois de prison ferme pour refuser leurs cours de natation.

Le maire de Sankt-Margrethen Reto Fridauer, sans parti, juge cela inacceptable: "Il place la charia au-dessus de notre ordre juridique. Il refuse de collaborer avec le corps enseignant féminin. Il pratique sa religion de telle manière qu’il ne trouve pas de travail. C’est une attitude qu’on ne peut pas défendre", a-t-il expliqué à la télévision alémanique SRF. Reto Fridauer ne cache pas qu'il souhaite son expulsion.

Le danger de la généralisation

Mais ce citoyen rebelle risque de jeter le discrédit sur l’ensemble de la communauté musulmane. "C'est cela qui est regrettable, parce que dans la plupart des cas justement on arrive tout à fait à compromis" souligne Etienne Piguet, vice-président de la Commission fédérale des migrations.

Le risque est de mettre sur pied des mesures coercitives, voire discriminatoires à l'encontre d'un groupe en raison du comportement d'une seule personne. "C'est là le danger des mesures qu'on cherche à faire appliquer partout sur le même modèle, comme ça peut être le cas avec les conventions d'intégration", poursuit Etienne Piguet.

Ces conventions sont précisément actuellement en discussion à Berne, et c'est donc en leur faveur que Saint-Gall entend ainsi plaider.

Alain Arnaud/oang

Le PS invite les étrangers à voter dans leurs langues: “Surtout élisez des socialistes”

Christian Hofer: Nous parlions de cette affaire déjà ici. On découvre maintenant que le Président de ce parti pavoise et se sent très fier de la provocation. Quel Suisse peut encore voter pour ce parti après cela?

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Les socialistes du Nord vaudois ont produit des clip vidéos destinés aux électeurs non-francophones pour les convier à élire leurs candidats. Des voix s'élèvent pour critiquer un encouragement à ne pas s'intégrer.

Le Parti socialiste yverdonnois a lancé mercredi sur des réseaux sociaux ainsi que sur son propre site internet des clips qui invitent notamment en arabe, en tamoul, en kurde, en somali, en grec, les électeurs étrangers à user de leurs droits civiques: participer aux votations du 28 février prochain, et surtout élisez les candidats socialistes! Car depuis 2003, le canton de Vaud les autorise à voter sur le plan communal s'ils bénéficient d’un permis de séjour depuis dix ans et s'ils résident dans le canton depuis trois ans au moins.

topelement

Avec le Président du PS d'Yverdon et candidat la Municipalité, Pierre Dessemontet, les Suisses savent en tout cas pour qui ne pas voter: Ce dernier se prête à cette mascarade en vidéo. 

Dans le journal «24heures», vendredi, une candidate du PS à la Municipalité déclare que ces clips en albanais et en bosniaque seront bientôt édités.

Quant à Pierre Dessemontet, président du PS d'Yverdon et également candidat à la Municipalité, il dit se réjouir de cette démarche et l'assume totalement.

Dans le quotidien «Le Matin», il balaie les critiques en usant de la stigmatisation: il s'attendait à ce que «l'extrême droite» réagisse négativement.

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somali

L'électrice type du PS aujourd'hui. Cela se passe de commentaire.

Cesla Amarelle (PS): “Le texte de l’UDC instaurerait un climat de peur… pour les étrangers”

Christian Hofer: Effectivement, pour une fois la situation serait peut-être inversée, ce qui est naturellement inadmissible pour une socialiste.
On relèvera toute l'hypocrisie de cette personne qui invente des cas où "le pauvre étranger serait coupable malgré lui", tout en passant sous silence les très nombreuses situations où ce sont les Suisses qui paient le prix du laxisme des juges très à gauche et qui ont peur!
On a très bien vu sur quoi débouchait "l'appréciation du juge" dans de nombreux faits divers, jusqu'au sursis pour du viol! C'est exactement ce que fait la Cour européenne des droits de l'homme en donnant la priorité aux étrangers criminels car "ils ont des enfants" tout en méprisant totalement nos victimes alors qu'ils viennent de briser la vie de l'une des nôtres! On ne compte plus les récidives scandaleuses dont la propagande socialiste est pleinement responsable. On notera encore que pour ce genre de personne, il n'y a eu que "Cologne" alors que de tels actes se sont déroulés dans de nombreux autres endroits. C'est dire par quoi nous sommes dirigés: des incompétents et des ignares!
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Pour la conseillère nationale Cesla Amarelle (PS/VD), l'initiative de mise en oeuvre de l'UDC instaurerait un climat de peur au sein de la population étrangère du pays. Elle estime que le texte est disproportionné et n'apporte aucune solution.

Cinq ans après l'adoption de l'initiative "Pour le renvoi des étrangers criminels", l'UDC revient à la charge avec un second texte strict et détaillé, lancé en 2012 et soumis à votation le 28 février prochain.

Le Parlement a adopté en mars dernier une loi d'application de la première initiative, laissant une marge de manoeuvre aux juges prononçant les renvois. Si le peuple refuse le second texte de l'UDC, la loi élaborée par les élus s'appliquera.

RTSinfo: L’UDC affirme que l’initiative sur laquelle le peuple se prononcera en février constitue une réponse proportionnelle au problème des criminels étrangers, car elle prend en considération la gravité des actes et la présence d’antécédents. Que répondez-vous à cela?

Cesla Amarelle: L’initiative ne respecte pas le principe de proportionnalité en ce sens qu'elle décrète que certaines infractions, dont des infractions mineures, conduisent à un renvoi automatique. L'UDC fait une confusion entre la sanction et l’expulsion. Il y a des personnes qui doivent être sanctionnées. Mais quand l’infraction est de faible gravité, cela ne devrait pas conduire à une expulsion parce que c’est disproportionné. Par exemple, une insulte à fonctionnaire suivie dans une séquence de dix ans d’un tag sur un mur ou du vol d’une bouteille de schnaps dans la caravane du voisin, cela suffit pour provoquer l’expulsion automatique.

Des infractions graves sont également mentionnées dans le texte de l'UDC...

Dans le catalogue des infractions graves, il y a notamment l’abus à l’aide sociale. Dans ce domaine, un simple oubli suffit à provoquer l'expulsion automatique. Prenons l'exemple de quelqu'un qui perçoit des allocations familiales et qui oublie de déclarer un changement de situation, disons son enfant n’est plus en apprentissage car il a pris une année sabbatique. Cet oubli sur plusieurs mois est constitutif d’un abus à l’aide sociale et conduit à une expulsion automatique. Ce texte instaurerait un climat de peur permanent au sein de la population étrangère de Suisse !

Selon l'UDC, le Parlement a refusé de respecter la volonté du peuple en laissant une marge de manoeuvre aux juges dans la loi d'application de la première initiative. Qu'en pensez-vous?

C’est totalement faux ! Le Parlement avait le mandat du peuple de faire une loi et c'est ce qu'il a fait. C'était lui qui était tenu de proposer quelles infractions étaient concernées, puisque la première initiative était très vague à ce sujet. Le Parlement a choisi la manière forte, c'est-à-dire un catalogue d'infractions extrêmement fourni.  Par ailleurs, il a comme mandat de respecter la Constitution. Et c'est ce qu'il a fait en intégrant la clause de rigueur. Il nous paraissait essentiel de donner une marge de manoeuvre aux juges dans les cas exceptionnels, et seulement les cas exceptionnels, en particulier pour les personnes qui sont nées en Suisse ou qui ont toujours vécu en Suisse. Le juge pourra ainsi mettre en balance l'intérêt public de renvoyer une personne avec son intérêt individuel à pouvoir rester, parce que par exemple cette personne a ses enfants en Suisse ou parce qu'elle ne connaît même pas la langue du pays dans lequel elle va être renvoyée.

N'est-ce au fond pas un débat de juristes face à des préoccupations concrètes et pleines d'émotion de la population (sécurité, immigration…) ?

Mais ce que j'explique est plein d'émotion ! Nombreux sont ceux qui connaissent une mère de famille étrangère qui pourrait être concernée. Près de la moitié des Suisses ont une personne étrangère dans leur propre famille. Veut-on vraiment que les gens de notre propre famille vivent à long terme dans une peur permanente de se faire expulser ?

Il y a également l'argument économique. La détention des criminels étrangers dans les prisons suisses a un coût. Que répondez-vous à cela ?

L'UDC n’apporte aucune réponse. Si cette initiative est acceptée, le 29 février, il n'y aura pas de résolution des problèmes majeurs qui existent dans le pays concernant l'expulsion des vrais criminels. Le problème aujourd'hui, c’est l'exécution des renvois. Avec ce texte, nous allons créer un désordre social majeur en Suisse avec une augmentation du nombre de décisions de renvoi qui est évalué à plus de 10'000 par an. Ces personnes ne seront pas toutes expulsées de fait, parce que si elles proviennent de certains pays comme l'Algérie ou le Maroc, l'Etat d’origine refuse le retour au pays. La Suisse ne peut pas faire de vols spéciaux avec des ressortissants algériens parce qu'elle n'obtient pas les laissez-passer pour poser l'avion sur la piste. C’est la même chose au Maroc, car le pays n'a pas d'intérêt majeur à collaborer avec nous sur cette question.

La campagne a débuté dans un contexte particulier après les agressions du Nouvel An à Cologne. Craignez-vous que cela porte préjudice au camp du « non » ?

C'est évident. Je suis encore sous le choc de toute cette affaire. C'est absolument affreux ce qui s’est passé à Cologne. C'est un enjeu majeur de faire en sorte que cela ne se reproduise plus.

Comprenez-vous que les Suisses se sentent concernés et fassent le lien avec cette initiative ?

Oui, mais le rôle du politique est de trouver des solutions et dans le domaine des migrations, les choses sont très différentes les unes des autres. Il semblerait (sic!!!) qu'à Cologne les principaux suspects soient d’origine maghrébine selon les éléments connus, sans vouloir les stigmatiser. Et de nouveau, le problème c'est que nous n'arrivons pas à renvoyer ces personnes. L'UDC peut continuer à taper sur la chaise contre laquelle nous nous cognons tous, mais le parti n'apporte aucune solution.

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Petit rappel pour cette socialiste: La violence des Balkaniques dans notre pays. Violence importée par le PS!

https://www.youtube.com/watch?v=mhanYbXgAcs

Les menaces de mort à l'encontre de nos inspecteurs de l'AI:

En 2009, le Conseil fédéral avait décidé de ne plus reconduire l'accord de sécurité sociale avec le Kosovo, qui expirait en avril 2010. Des enquêteurs chargés sur place de débusquer des abus avaient été menacés de mort.

Elire des étrangers? L’idée séduit le Grand conseil neuchâtelois !

Ndlr : Un grand merci à certains PLR !

L'éligibilité au niveau cantonal des détenteurs d'un permis C vient de franchir une étape. Le peuple devra probablement trancher.

«Le droit d'éligibilité est un facteur d'intégration important.» Cet argument, c'est celui du conseiller d'Etat neuchâtelois Alain Ribaux (PLR). Les députés de son canton aimeraient pouvoir accorder ce droit aux titulaires d'un permis C installés à Neuchâtel depuis au moins cinq ans. Ils ont renvoyé en commission mardi un rapport allant dans ce sens par 64 voix contre 49, rapportent mercredi «L'Express» et «L'Impartial». La gauche a su trouver des alliés auprès de certains libéraux-radicaux pour faire passer son projet. «Un détenteur de permis C n'est pas juste de passage, reprend l'élu. Le droit d'être élu est seulement le corollaire d'un droit qu'il a déjà, celui d'élire.» (ndlr: le canton de Neuchâtel a été pionnier en accordant le droit de vote au niveau cantonal aux étrangers).

Le parti radical est déchiré sur cet objet, entre son aile conservatrice et son aile libérale. Pour la majorité, la naturalisation doit rester de mise. Mais la frange la plus libérale du parti n'est pas de cet avis: «Les idées libérales tendent à donner aux Etats un gouvernement où la souveraineté est donnée par le peuple, a lancé Hugues Scheurer. Le peuple, ce sont bien évidemment les Suisses, mais aussi les étrangers établis. Ils n'en sont pas plus écartés que les femmes autrefois.»

Seule l'UDC s'oppose fermement à ce projet. «L'intégration demande un effort et un engagement qui doit passer par la naturalisation», a insisté Walter Willener, chef de groupe. Au vu de la teneur émotionnelle du débat, le Grand conseil proposera certainement que la population puisse se prononcer lors d'un scrutin, concluent les quotidiens neuchâtelois.

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Les étrangers nés en Suisse seront-ils concernés par l’initiative sur les renvois?

Les étrangers nés en Suisse sont-ils une catégorie à part? Et dans le contexte du renvoi des criminels étrangers, initiative sur laquelle les Suisses voteront le 28 février, sont-ils concernés par le texte? Débat entre Céline Amaudruz, conseillère nationale (UDC/GE) et Ada Marra, conseillère nationale (PS/VD).

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Suisse: La population d’origine étrangère croît plus rapidement

Selon des chiffres de l'Office fédéral de la statistique, un tiers des plus de 15 ans sont issus de la migration, en Suisse.

La population d'origine étrangère croît plus rapidement que le reste de la population. De 2013 à 2014, le nombre d'adultes issus de la migration a augmenté de 3%, tandis que celui des personnes qui n'ont pas de racines à l'étranger progressait de 0,4%.

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Lausanne: Laxisme à l’égard des dealers étrangers pendant que les commerçants sont harcelés par la police

Les commerçants du Bourg et de Saint-François tirent la sonnette d’alarme. Ils sont exécédés par les dealers qui leur pourrissent la vie et se disent victimes de tracasseries policières. Municipal en charge de la police, Grégoire Junod, avoue que certains problèmes subsistent, mais réfutent les formules à «l’emporte-pièce».

Marc (*) est excédé. Plus même, en colère. A l’instar du reste de nombreux de ses collègues commerçants du quartier de Saint-François. L’objet de celle-ci: la situation qui prévaut dans le quartier dès la fin de journée et, surtout, dès la nuit tombée. «C’est le bal incessant des dealers. Que ce soit sur les hauts de la rue de Bourg ou, plus bas, à l’angle de la rue Pépinet et de la Place Saint-Francois, c’est devenu intenable», explique-t-il. «Tu sors pour fumer une cigarette et tu en as cinq qui surgissent de nulle part pour te vendre du hasch ou de la coke.»

Tout aussi remonté, Roger (*), qui a également pignon sur rue dans le quartier, confirme. «Nos clients ont peur. Ils n’hésitent pas à les aborder pour leur proposer des doses. Sans vergogne et aux yeux de tous. La police intervient de temps en temps, mais les types connaissent la musique. Ils s’enfuient à toutes jambes et sont de retour 10 minutes après. C’est juste infernal!»

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L’enfer au quotidien

Tous dénoncent une forme de laxisme et fustigent dans le même temps la politique sécuritaire mise en place par la Municipalité. «C’est du pipeau», n’hésitent-ils pas à dire, «des efforts ont peut-être été faits dans d’autres quartiers, mais pas ici où on vit l’enfer au quotidien.» Ceci d’autant plus qu’ils dénoncent dans un même temps ce qu’ils appellent le «deux poids, deux mesures» de la police qui serait beaucoup plus prompte à intervenir quand un établissement a encore 2 ou 3 clients qui tardent à sortir quelques petites minutes après minuit ou un bout de terrasse qui dépasse de 3 centimètres du trottoir, plutôt que de «s’occuper des vrais problèmes». «A croire qu’ils n’attendent que ça pour faire du fric», tonne Marc. Avant d’ajouter: «Ici, on fait vraiment tout pour décourager les commerçants.»

Trop complaisants?

Président de l’Association des commerçants de la rue de Bourg et de Saint-François, Claude Jutzi ne dément pas ces propos. «Dans le quartier, le problème est récurrent. Tout particulièrement dès la nuit tombée», note-t-il. «Même si le phénomène du deal est complexe à régler, on peut dire qu’ici la Ville a une attitude laxiste. Quelques opérations coup de poing pour la façade, mais le reste ne suit pas.» La faute à qui? «A des politiques trop complaisants et trop naïfs qui veulent accueillir la terre entière. Ils voient le dessus de la plaie, mais pas les causes de la gangrène.» Avant de tempérer son propos: «C’est vrai qu’ils se heurtent aussi à des normes pénales insuffisantes.»

Quand on évoque les commerçants qui se plaignent d’être pris dans le filet d’une police tâtillonne, Claude Jutzi sourit: «C’est le sport national. Chercher le détail qui tue le commerçant, c’est bien propre à Lausanne. Mais attention! Il ne faut pas confondre les polices: celle qui chasse les dealers n’est pas celle qui est à l’affût au quotidien d’un manquement au règlement! Reste que cet aspect des choses ajouté à une confrontation quotidienne au monde du deal de la drogue n’aide pas beaucoup à la sérénité. Il faut le vivre, pour le comprendre.»

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Les étrangères sont les plus exposées à la violence domestique

Selon l'Office fédéral de la statistique, les actes de violence sexuelle grave ont atteint leur plus haut niveau depuis 2009: elles ont augmenté de 11% (40 cas).

Les femmes lésées étrangères sont surreprésentées au niveau des infractions de violence domestique grave. Et cela surtout dans le couple: leur taux est ici cinq fois plus élevé que celui des femmes suisses. De manière générale, les femmes sont le plus exposées entre 25 et 29 ans. La violence domestique exercée par les parents est le plus souvent dirigée contre les filles mineures.

 

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Simonetta Sommaruga défend le regroupement familial des étrangers

Reportage sur les étrangers qui votent à Genève: à gauche toute ?

Yael Miller, israélienne, chanteuse, Genève

Je me suis dit que si Genève allait trop à droite, ça attirerait plus de riches que de gens de la classe moyenne et que ça ne me donnerait pas envie de rester.

J’ai choisi la liste d’Ensemble à Gauche, et Sami Kanaan à la Mairie, parce que je le connais et qu’il est actif dans la culture.

Matthias Erhardt, allemand, juriste, Genève

Je suis membre des Verts...

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La gauche neuchâteloise propose l’égilibilité des étrangers au niveau cantonal

Les groupes socialiste POP et les Verts neuchâtelois ont présenté ce vendredi un projet visant à octroyer le droit d'éligibilité aux étrangers au plan cantonal. Interview de Baptiste Hurni (photo), député socialiste au Grand Conseil neuchâtelois.
RTS, le 12h30 du 20.02.15
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« Dans les livres scolaires, on ne s’appelle plus Hans ou Fritz, mais Mustafa »

«Shkodran doit parcourir tous les matins 2144 mètres pour se rendre à l’école. Quelle distance doit-il parcourir s’il se rend à l’école à pied et si, au retour, il s’arrête chez sa camarade de classe Besarta avant de rentrer à la maison?»

Il s’agit ici d’un extrait du livre «Schweizer Zahlenbuch 4», un manuel scolaire pour élèves d’école primaire. Ce qui semble être un banal exercice de maths irrite les Jeunes UDC Suisse.

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