Intérêt médiatique d’une photo : 2 poids 2 mesures !

Je n'ai pas pour habitude de parler à la place d'un auteur y compris lorsqu'il a lui-même son propre site et qu'il est l'objet d'une interdiction sur Facebook pour avoir montré une photo d'une enfant recouvert d'un drap mais dont on voyait la peluche. Inutile de polémiquer sur l'idée qu'il faut, ou pas, montrer une image même symbolique de la mort d'un enfant assassiné par la barbarie islamiste.

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On se souviendra tout de même que la photo recadrée du petit Aylan fut édité par tous les journaux de la bien pensance et dans toute l'Europe en évitant de montrer son grand frère mort à ses côtés et surtout les pêcheurs Turcs sur la plage, que ces deux enfants morts ne souciaient pas plus que ça. Dont acte, lorsqu'il s'agit de faire de l'émotionnel, de susciter la compassion dans un but clairement politicien, pas d'hésitation ! On fonce pour faire accepter l'invasion de l'Europe par les déserteurs. Mais montrer une peluche sans que l'on puisse voir à qui elle appartenait, c'est interdit par Facebook. L'infos/intox d'une caste de modérateurs qui ont la morale à géométrie variable. Les morts français des attentats n'ont pas droit à la politique émotionnelle des médias et de Facebook.

Voici ce que nous dit le rédacteur de Minurne Marc le Stahler) à ce sujet:

J’ai été interdit de Facebook jusqu’au 15 août pour avoir « osé » publier la photo de la poupée de Nice (sa petite maîtresse sous un linceul près d’elle). Cette photo me rappelait tellement l’affaire bizarre et non élucidée du petit Aylan… et cette fois ci on ne pouvait pas soupçonner un quelconque truquage. Mais c’était politiquement incorrect, parce que ça frappait une enfant de France… Donc on m’a censuré pour un mois…
Comme vous pouvez le constater, la presse de ré-information n'a pas bonne presse chez les bien-pensants. On est aussi en droit de se demander où se trouvent les "modérateurs" et dans quels pays ils décident ce qui est bon à montrer sur Facebook en France.

Au sujet de ce réseau social, Marc le Stahler me signale qu'il a édité une liste des fichiers S à partir d'un rapport émis le 2 juin 2015, de la Commission d'enquête sur la surveillance des filières et des individus djihadistes par Monsieur Éric CIOTTI Président et de Monsieur Patrick MENNUCCI Rapporteur Députés. Ce rapport de 298 pages contient des éléments sur les islamistes et le djihadisme qui chacun le sait, n'est pas l'islam, puisque l'islam est amour, tolérance et paix. Il contient donc une liste que nos journalistes n'ont pas lu. En aparté, et à ce propos, j'en profite pour signaler les dégâts de la bien-pensance sur les esprits. Un auditeur de RMC fit part de sa douleur d'avoir perdu sa soeur à Nice, mais comme celle-ci était convertie à l'islam, ce brave et gentil frère, se fit le chantre du vivre ensemble et lança le couplet sur le "pasdamalgame" et autres balivernes sur "cépalislam". Trés franchement, je reste toujours stupéfait que des représentants de victimes éprouvent aux micros des radios-télévisions, une espèce de masochisme, et pratiquent un discours bêlant plutôt que de la colère qui est, rappelons-le une saine réaction. Au fond, j'ai préféré la violente colère sur les antennes d'un père marocain en larmes, ayant perdu son fils de deux ans, que ce discours lénifiant du "vivre ensemble" mortifère.

Mais revenons au rapport, et à la page 201 très intéressante puisqu'elle comporte la liste des signalements, des personnes  fichés S par département ! Elle a rencontré un réel succès auprès des internautes puisque c'est  plus de 1,7 millions de visiteurs et plus de 1000 commentaires qui vont de ceux classiques des bobos de type Colibri, et autres piliers des nuits debout. Ils ricanent et se gaussent de ce tableau en prétendant que c’est un faux, que ça n’existe pas, que le montage est bien fait, que les lecteurs sont bien crédules,etc. Tous réfutent la réalité du rapport, annoncent que c'est encore un coup de l'extrême droite. Il y a aussi des internautes plus à même de comprendre et qui se posent des questions, soumettent des réponses. Puis, il y a ceux qui ont lu le rapport et confirment la réalité des informations. Il n'en reste pas moins, qu'un fichier édité sur Facebook puisse faire plus d'un million sept cent mille visiteurs, est plutôt bon signe, car cela prouve au minimum, que les Français dans leur ensemble, vont chercher l'information ailleurs que sur les réseaux d'information radio-télévisions d'état. Rappelons qu'il date de juin 2015 et que depuis, la liste c'est allongée.

Voici donc le lien pour télécharger le rapport et faisons tout pour que les "gentils Colibri" puissent développer leur cervelle et tentent de rejoindre la grande communauté humaine des pensants et ayant à cœur de connaître la vérité.

http://www.assemblee-nationale.fr/14/pdf/rap-enq/r2828.pdf

Voir page 201

Gérard Brazon (Liberté d'expression)

Syrie: Des “gentils” rebelles décapitent un enfant

Christian Hofer:

Pour information, ce groupe de "rebelles" est soutenu jusqu'en septembre 2015 par les États-Unis et bénéficie également de missiles antichar BGM-71 TOW livrés par la CIA.

Le mouvement est islamiste sunnite, proche des Frères musulmans. Il est considéré comme modéré par Charles Lister, chercheur américain au Brookings Doha Center

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L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une ONG basée en Grande-Bretagne, a confirmé que la vidéo montrait des combattants rebelles.

Dans une vidéo antérieure, l’enfant était assis à l’arrière d’un camion avec des combattants qui l’accusaient d’être un membre des brigades Al-Qods, un groupe palestinien se battant au côté du régime du président syrien Bachar al-Assad.

Amnesty International a déclaré dans un rapport publié en juillet que des rebelles islamistes et djihadistes actifs en Syrie étaient coupables de crimes de guerre, les accusant d’être responsables «d’une effrayante vague d’enlèvements, de tortures et d’exécutions sommaires».

Selon l’OSDH, les rebelles que l’on voit sur la vidéo montrant la décapitation d’un enfant sont des combattants de Noureddine Zinki.

Source et article complet ici

 

France: “si vous donnez du porc à mon fils” à la cantine, “je vais vous fumer”

En décembre dernier, un homme de 40 ans avait débarqué, fou furieux, dans la cour d'une école de la Chapelle-Basse-Mer, en Loire Atlantique, raconte RCA la radio. Handicapé, il avait brandi ses béquilles devant deux employés et les avait menacés violemment : "Si vous recommencez à donner du porc à mon fils, je vais vous fumer". Il repartait ensuite en trombe, au volant de son 4X4, manquant de peu de renverser une mère de famille.

Le petit garçon de ce musulman, scolarisé en CE1, avait en effet mangé de la "joue de porc à la normande" lors du repas de Noël. Volontairement, selon le chef cuisinier de l'école primaire : "Son fils, qui avait très faim ce jour-là, s'est précipité avec ses copains sur le plat principal, sans attendre celui de substitution qu'on propose d'habitude aux enfants qui ont des allergies, des intolérances ou qui ne peuvent manger de porc pour raisons religieuses", racontait-il alors aux gendarmes.

Source et suite de l'article

Avenir suisse veut donner le droit de vote aux enfants pour lutter contre la “gérontocratie”

Christian Hofer: Jolie manipulation: ce serait une prise de pouvoir par des personnes d'origine étrangère puisque les enfants étrangers sont déjà majoritaires dans certaines classes et que certaines communes laissent les étrangers voter. En clair, la Suisse changerait "démocratiquement" par l'immigration de masse au bout de quelques années.
Avenir suisse n'en est pas à son coup d'essai pour saper notre démocratie et la volonté des Suisses comme on peut le constater dans cet autre article.
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Avenir Suisse propose d'accorder un droit de vote aux enfants dans un document diffusé dimanche par la Zentralschweiz am Sonntag. Les mineurs ne pourraient toutefois pas se rendre directement aux urnes.

Avec cette proposition du laboratoire d'idées de l'économie suisse, ce sont les parents qui auraient un droit de vote supplémentaire.

Dans le viseur d'Avenir Suisse: les électeurs de plus de 60 ans qui pourraient être majoritaires à partir de 2035 et pourraient ainsi imposer leurs vues à la population active, rapporte le média alémanique.

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LGBT: Un conte pour enfants avec deux princes qui s’aiment afin de banaliser l’homosexualité

Pour banaliser l'homosexualité, le Youtubeur et militant LGBT Olly Pike a crée "Prince Henry", une histoire d'amour gay sous forme de conte pour enfants. "La meilleure manière de tordre le cou aux discriminations chez les générations futures est de commencer par s'adresser aux enfants. Nous avons le devoir de leur apprendre la tolérance, l'amour et le respect", explique-t-il sur son site.

La perception de la sexualité chez les plus jeunes est un vieux débat. Aujourd'hui, l'homosexualité reste un sujet tabou à l'école. Pourtant, les insultes et le rejet peuvent en faire une grande source de mal-être, qui conduit parfois jusqu'au suicide. Alors que le racisme est désormais une problématique discutée sans mal en classe, l'amour entre personnes de même sexe semble être encore un thème délicat à aborder.

L’enfant musulman qui exécutait les kouffars aurait fui en Suède… pour se faire soigner

Christian Hofer: Ils viennent donc se faire soigner chez les sales kouffars qu'ils aiment tuer...

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Isa Dare, 4 ans, apparaissait en début d'année dans des vidéos où il exécutait lui-même des otages. Aujourd'hui, l'état de santé de l'enfant aurait forcé sa mère à quitter la Syrie.

Visage poupin, cheveux crépus, regard noir. Isa Dare, 4 ans, s'est fait connaître du monde entier en début d'année après son apparition dans deux vidéos de propagande de l'EI. «Jihadi Junior» y faisait notamment exploser une voiture dans laquelle se trouvaient trois prisonniers qui avaient «avoué» être des «espions britanniques». Le petit Britannique serait malade depuis plusieurs mois, si l'on en croit les informations du «Sun».

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Le djihadiste de quatre ans opéré en Suède

Le militant de quatre ans du groupe terroriste Etat islamique aurait été opéré en Suède. Il est à noter que pour atteindre la Suède, la famille a dû franchir les frontières de neuf pays.

Selon le Daily Mail citant une source anonyme, le garçon nommé Isa Dare, également connu sous le nom de Jihadi Junior, est tombé malade et les médecins islamistes de Raqqa ne pouvaient pas l'aider.

Ainsi, lui et sa mère sont arrivés en Suède où il a subi l'opération requise. Maintenant, l'emplacement d'Isa et de sa mère, citoyenne britannique, Grace Dare surnommée Khadidja est inconnu. Il convient de noter que pour atteindre la Suède, la famille a dû franchir les frontières de neuf pays et leur personnalité n'a suscité nulle part de soupçons des gardes-frontières.

Jihadi Junior est devenu largement connu après que les combattants de Daech ont publié sur Internet une vidéo montrant le garçon en train de faire exploser une voiture avec quatre espions présumés à l'intérieur.

[…]

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Suède : des livres pour enfants populaires pourraient être interdits car jugés «racistes»

Deux livres du célèbre auteur pour enfants Jan Lööf pourraient être retirés des ventes après qu'une analyse de leurs contenus a révélé qu'ils faisaient un «portrait stéréotypé d'autres cultures». Edités depuis 1966, ces livres sont adorés en Suède.

«Ils m'ont donné un ultimatum, soit je retirais les illustrations des livres, soit ils ne seraient plus édités» a confié l'auteur au quotidien suédois Dagens Nyheter.

Les deux livres incriminés, Morfar är sjörövare, en français Grand père est un pirate et Ta fast Fabian,Attrapez Fabien ont affolé les éditions Bonnier Carlsen, qui estiment que le choix des personnages nourrit les stéréotypes et fait un lien entre populations du Moyen-Orient et banditisme.

Publié en 1966, Grand père est un pirate a été traduit en plusieurs langues et raconte l'histoire d'un personnage qui rencontre un vendeur de rue appelé Abdullah, ainsi qu'un méchant pirate répondant au nom de Omar. Le tweet ci-dessous montre ces personnages.

 

L’autre livre publié en 1997 contient des images d’un joueur de bongo portant des bracelets, une jupe et des lunettes de soleil alors que le reste du groupe porte des vêtements normaux.

 

Sur les réseaux sociaux suédois, Jan Lööf a reçu un soutien général de la plupart des internautes qui se demandent si la censure n’est pas allée trop loin.

Une porte-parole de Bonnier Carlse, libraire-éditeur suédois, a déclaré à ce sujet : «Cela concerne des représentations stéréotypées d’autres cultures, ce qui n’est pas si bizarre, considérant que toutes les images ont été créé dans un contexte, en son temps, qui évolue. Si vous avez des racines moyen-orientales, par exemple, vous pouvez vous agacer d’être rarement présenté comme quelqu’un de bien dans la littérature.»

Dépité par ces accusations, Jan Lööf refuse de changer ses illustrations. «J'ai 76 ans, je n'ai aucunement l'intention de m'enquiquiner à changer mes livres», plaide-t-il.

Très populaires en Suède, les ouvrages de jan Lööf étaient appréciés au point d’être, à une époque pas si lointaine, distribués dans les restaurants McDonald's.

Mais ce n’est pas la première polémique du genre en Suède qui a déjà connu d’autres précédents de ce style. En 2012, des affiches d’un film pour enfants avaient été retirées, au motif que l'un des personnages noir était présenté de façon caricaturale, avec de grosses lèvres et des cheveux crépus. La même année, plusieurs voix avaient demandé la démission de l'ancienne ministre de la culture pour racisme, après qu'elle ait dessiné une femme noire nue sur un gâteau.

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Russie: la nounou musulmane dit avoir décapité l’enfant sur ordre d’Allah

La nounou arrêtée à Moscou alors qu'elle brandissait en pleine rue la tête décapitée d'un enfant a affirmé avoir agi "sur ordre d'Allah", avant sa présentation mercredi devant une juge qui l'a placée en détention provisoire.

Goultchekhra Bobokoulova, une Ouzbèke de 38 ans, a été arrêtée lundi par la police près d'une station de métro dans le nord-est de la capitale alors qu'elle déambulait avec la tête d'une fillette, en se proclamant "terroriste".

"C'est ce qu'Allah m'a ordonné" de faire, a déclaré, à son arrivée à l'audience, cette femme aux cheveux noirs coupés courts aux journalistes.

Une fois les caméras sorties de la salle du tribunal, la nounou a subitement changé de comportement, répondant aux questions de la juge de manière polie et rapide, en apportant toutes les précisions demandées.

Originaire de Samarkand, une ville du sud-est de l'Ouzbékistan, ex-république soviétique d'Asie centrale, Goultchekhra Bobokoulova a demandé à être assistée par un interprète lors de l'audience, en affirmant ne pas bien connaître le russe.

Elle a cependant répondu elle-même à toutes les questions, s'exprimant couramment dans cette langue étudiée à l'époque soviétique dans toutes les écoles de l'URSS.

"J'ai trois fils, l'aîné a 20 ans, un autre a 19 ans et le cadet a 16 ans", a déclaré Goultchekhra Bobokoulova, en précisant qu'elle était divorcée depuis plus de 10 ans.

La juge Tatiana Vassioutchenko a rapidement satisfait la demande des enquêteurs, en plaçant la nounou en détention provisoire jusqu'au 29 avril.

"Elle représente un danger réel pour la vie et la santé des gens", notamment des enfants, a souligné l'enquêtrice Olga Lapteva, les larmes aux yeux, rappelant que cette femme était accusée d'un "crime grave (...) qui prévoit des peines dépassant largement trois ans de prison".

La justice a ouvert une enquête pour "meurtre d'enfant en bas-âge" tandis que les médias russes s'interrogeaient sur les motivations de celle qu'ils surnomment la "nounou sanguinaire", la qualifiant tour à tour de "démente" ou de "terroriste".

Le jour du meurtre, les chaînes nationales russes avaient décidé de ne pas évoquer l'arrestation de la nounou dans leurs bulletins d'information, soutenues par le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, estimant que c'était "trop monstrueux pour être montré à la télévision".

Mercredi, la chaîne publique Rossia 24 a évoqué l'audience, tout en omettant les détails du drame.

La nounou de la petite fille née en 2011 a attendu que les parents quittent l'appartement puis, "pour un motif inconnu", a "blessé l'enfant au cou, a séparé la tête du corps" avant d'aller dans le métro avec la tête, selon le rapport des enquêteurs présenté à la cour.

"A ce jour, il n'a pas été établi l'existence de complices présumés ou de personnes l'ayant poussé à commettre ce crime", ont-ils déclaré.

Les enquêteurs ont soumis Goultchekhra Bobokoulova à des examens psychiatriques. Il n'est pas exclu qu'elle ait agi "sous l'empire de psychotropes ou drogues", ont-ils expliqué sans plus de précisions.

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« Je regrette d’avoir inculqué à mes enfants d’être accueillants avec les réfugiés »

Christian Hofer: Nous parlions de cette affaire déjà ici. Cette femme vient de découvrir l'imposture de l'idéologie de gauche mais il a fallu que son enfant se fasse violer pour cela: triste constat qui peut s'appliquer à tous les bien-pensants. Quant à nos médias, ils n'en ont bien entendu pas parlé.

La mère de l’enfant de 10 ans violé à la piscine par un réfugié irakien en Autriche a affirmé regretter d’avoir inculqué à ses enfants d’être accueillants avec les réfugiés, qualifiant la défense de l’homme de «monstrueuse».

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L’enfant, dont les blessures ont dû être soignées à l’hôpital est traumatisé par l’agression sexuelle qu’il a subie dans la piscine de Theresienbad. Sa mère aussi. Bien qu’elle ait elle-même émigré en Autriche dans les années 1990 et toujours enseigné à ses cinq enfants d’être bienveillants envers les nouveaux arrivants, le viol que son fils a subi lui a fait changer d’avis.

«Je n’ai pas pu y croire lorsque j’ai entendu [le fait qu’il prétextait avoir été victime d’une ‘urgence sexuelle’]» a-t-elle confié à un média local. «Vous allez certainement dire que je suis raciste, mais le défendre ainsi est juste monstrueux», a-t-elle affirmé.

«Je sais que les blessures physiques guériront mais les blessures de son âme pourraient ne jamais se résorber. Je ne veux pas que l’homme qui l’a attaqué soit renvoyé tout de suite, je veux d’abord qu’il soit emprisonné car j’ai entendu ce que les autres détenus faisaient aux violeurs d’enfants en prison et je veux qu’il expérimente cela. Après, j’aimerai qu’il soit expulsé», a-t-elle déclaré.

(…) Dailymail

Rappel: Allemagne. Un parent « raciste » ne pourra plus voir son enfant

Celui qui poste des slogans xénophobes sur Facebook met en danger le contact avec son propre enfant.

Il n'y a pas besoin que cela soit un délit pour qu'un tribunal considère que le bien-être de l'enfant est en danger.

"Le facteur décisif est le bon sens», déclare Eva Becker, présidente du Groupe de travail sur le droit de la famille de l'Association du Barreau allemand (DAV).

Celui qui dit qu'il préférerait qu'il n'y ait pas de réfugiés syriens dans son voisinage ne nuirait pas au bien-être de l'enfant. Si un père ou une mère exprime ouvertement devant l'enfant une menace contre les réfugiés, il dépasse clairement la limite critique.

Si le parent concerné se montre déraisonnable ou qu'il ne change pas son comportement, le contact avec l'enfant peut lui être totalement refusé.

Source Traduction Schwarze Rose pour les Observateurs.ch

Allemagne : Un enfant « de souche » tabassé par un « réfugié »

Allemagne : Un enfant « de souche » tabassé par un « réfugié »

L'enfant allemand: "Pardon", puis "Arrête s'il te plait".

On appréciera en particulier les ricanements du copain du réfugié qui filme: la violence semble être un plaisir.

 

 

https://youtu.be/MNM-UG0yGfw

Lien Youtube de la vidéo.

Via Fdesouche.com

Elle est titrée « آزار و اذیت یک بچه آلمانی توسط یکه بچه خارجی در آلمان » sur youtube, ce qui signifie « Abus sur un enfant allemand seul par des enfants étrangers en Allemagne ».

A noter l'incitation à la haine d'un certain samir sur la vidéo d'origine à l'encontre des Chrétiens:

A relire: Allemagne : des élèves cuisinent et font les lits des réfugiés

Allemagne: Un parent “raciste” ne pourra plus voir son enfant

Celui qui poste des slogans xénophobes sur Facebook met en danger le contact avec son propre enfant.

Il n'y a pas besoin que cela soit un délit pour qu'un tribunal considère que le bien-être de l'enfant est en danger.

"Le facteur décisif est le bon sens», déclare Eva Becker, présidente du Groupe de travail sur le droit de la famille de l'Association du Barreau allemand (DAV).

Celui qui dit qu'il préférerait qu'il n'y ait pas de réfugiés syriens dans son voisinage ne nuirait pas au bien-être de l'enfant. Si un père ou une mère exprime ouvertement devant l'enfant une menace contre les réfugiés, il dépasse clairement la limite critique.

Si le parent concerné se montre déraisonnable ou qu'il ne change pas son comportement, le contact avec l'enfant peut lui être totalement refusé.

Source Traduction Schwarze Rose pour les Observateurs.ch

La CEDH valide la vente d’enfant

A propos de l’arrêt CEDH du 27 janvier 2015 dans l’affaire Paradiso et Campanelli contre l’Italie La Cour européenne des droits de l’homme a condamné cette semaine l’Italie pour avoir retiré à un couple l’enfant qu’il a acheté 49.000 euros, et à lui verser 30.000 euros de dommages.

En mars 2011 à Moscou, un couple a acheté un enfant auprès d’une société spécialisée dans la GPA. L’acte de naissance de l’enfant indiquait qu’il était le fils du couple italien. De retour en Italie, la transcription de l’acte de naissance russe dans l’état civil italien fut refusée. Une enquête fut ouverte et un test ADN prouva que l’enfant n’avait aucun lien génétique avec le couple.

L’enfant a été purement et simplement produit sur commande et vendu.

La société explique avoir acheté des gamètes humains puis loué une mère porteuse, ce qui ne serait pas illégal en Russie. Les juges italiens, constatant la violation des normes sur l’adoption internationale et de l’ordre public italien, décidèrent – dans l’intérêt de l’enfant – de le retirer de ses acquéreurs pour le confier à l’adoption. Saisie par le couple, la Cour de Strasbourg a jugé – par cinq voix contre deux – que l’Italie pouvait refuser de reconnaître la filiation établie en Russie, mais que le retrait de l’enfant a porté atteinte à la vie privée et familiale du couple. Les autorités italiennes auraient dû le leur laisser, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant. La Cour n’indique pas quel aurait alors dû être son état civil.

lire la suite de l’article via Fdesouche