« Out » : Le premier héros gay de Pixar sur Disney+

LGBT Dans « Out », un personnage, Greg, tente de cacher son homosexualité à sa mère

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Habituellement, Disney est plutôt frileux sur les questions de genre et la représentation des minorités LGBT, d'autant plus que ce positionnement lui a déjà attiré des problèmes. Le long métrage d’animation En avant qui contient une lesbienne comme personnage secondaire avait été censuré dans plusieurs pays et même parfois interdit.

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20minutes.fr / Europe1.fr

 

Suisse. Votation : Coca-Cola part en campagne politique

C'est une bouteille aux courbes mythiques qui se détache d'un fond arc-en-ciel et déclinant sur elle une série de mots comme diversité, couleur de peau, orientation sexuelle, ou religion. La nouvelle campagne de Coca-Cola qui s'affiche depuis lundi dans les pages de plusieurs journaux romands et alémaniques se veut un plaidoyer pour la tolérance et contre l'homophobie. «Avec ce manifeste, nous voulons donner l’exemple et prenons position pour une société moderne, diverse et sans discrimination, explique Martin Kathriner, porte-parole de Coca-Cola Suisse. Nous allons poursuivre notre campagne toute l'année.»

Le fait que cette campagne soit lancée à quelques semaines de la votations du 9 février n'est pas un hasard, loin de là. Pour rappel, le peuple devra se prononcer sur un élargissement de la norme antiraciste introduite dans le Code pénal en 1995.

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24heures.ch

Berne : Un Irakien tranche la gorge de son fils parce qu’il est gay

Quand le père de Seran M.* a appris que son fils était homosexuel, il est devenu fou et s’en est pris à lui avec un couteau. Six mois après s’être réveillé de son coma artificiel, le jeune homme de 17 ans témoigne.

Seran M.* s'est réveillé un matin avec une lame sur la gorge. Son assaillant n'était autre que son père. «Tu es gay? Tu es gay? Tu es gay?», a-t-il demandé à son fils.

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Seran M. est d’origine irakienne, sa famille est musulmane et il a grandi dans une région rurale du canton de Berne. Il a toujours su que ses proches n’accepteraient pas son orientation sexuelle: «J’ai toujours caché mon homosexualité à ma famille».

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20Min.ch

Nos remerciements à Wilhou

Rappel: Sur les 7 pays qui condamnent les homosexuels à la peine de mort tous sont musulmans. Silence des associations.

Sur les 7 pays qui condamnent toujours les homosexuels à la peine de mort (Mauritanie, Nigeria, Soudan, Somalie, Arabie saoudite, Iran, Yémen) tous sont musulmans. Et même lorsque les gays ne sont pas exécutés, la persécution est endémique. The Economist revient sur le débat sur l'homosexualité dans les sociétés islamiques.

Le journaliste raconte notamment qu'en Iran, les homosexuels de sexe masculin sont généralement poursuivis pour d'autres motifs que leur orientation sexuelle. En septembre 2010, trois hommes y ont pourtant été exécutés pour sodomie. Les pays aux lois les plus sévères ne sont pas forcément ceux qui condamnent le plus fermement l'homosexualité, comme l'Arabie saoudite, ou la Syrie, où la police arrête «rarement» des gays. Et lorsque les lois sont plus douces, les autorités trouvent d'autres moyens de répression.

The Economist explique par exemple qu'à Amman, en Jordanie, de nombreux lieux de sortie gays ont dû fermer leurs portes pour de faux motifs, comme la vente illégale d'alcool. Et même lorsque l'homosexualité n'est pas illégale (Turquie), la censure officielle peut être dure: en 2010, Selma Aliye Kavaf, alors ministre aux Affaires familiales, a parlé de «maladie» en évoquant l'homosexualité.

Des charges pour homosexualité peuvent également être utilisées dans la répression politique. Depuis 1998, le leader de l'opposition malaysienne Anwar Ibrahim a été jugé plusieurs fois pour sodomie.

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Source

 

Rappel: Pour l'Association des étudiant-e-s en études genre, c'est l'homme blanc hétérosexuel le problème.

Nouveau phénomène en Suède: Des viols collectifs homosexuels entre adolescents afghans

Cela est décrit comme étant un phénomène nouveau en Suède: des garçons sont soumis à un viol collectif par d'autres garçons ou d'autres hommes. Et dans presque tous les cas qui ont abouti à des condamnations, les victimes et les auteurs sont des ressortissants d'Afghanistan.

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- J'ai écrit beaucoup de choses sur la criminalité depuis 30 années en tant que journaliste, mais cela a été quelque chose dont je n'avais pas entendu parler avant, explique Kerstin Weigl du site d'information Aftonbladet.

Au cours de ses recherches, elle a trouvé cinq affaires judiciaires dans lesquelles les adolescents ont été violés par d'autres adolescents.

- L'homosexualité est un sujet tabou, mais ces actions ne sont pas considérées comme des actes sexuels explique Mustafa Panshiris, qui est lui-même venu d'Afghanistan alors qu'il était âgé de 11 ans. 

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

LGBT: Un conte pour enfants avec deux princes qui s’aiment afin de banaliser l’homosexualité

Pour banaliser l'homosexualité, le Youtubeur et militant LGBT Olly Pike a crée "Prince Henry", une histoire d'amour gay sous forme de conte pour enfants. "La meilleure manière de tordre le cou aux discriminations chez les générations futures est de commencer par s'adresser aux enfants. Nous avons le devoir de leur apprendre la tolérance, l'amour et le respect", explique-t-il sur son site.

La perception de la sexualité chez les plus jeunes est un vieux débat. Aujourd'hui, l'homosexualité reste un sujet tabou à l'école. Pourtant, les insultes et le rejet peuvent en faire une grande source de mal-être, qui conduit parfois jusqu'au suicide. Alors que le racisme est désormais une problématique discutée sans mal en classe, l'amour entre personnes de même sexe semble être encore un thème délicat à aborder.

Obama opte pour l’homosexualité



Barack Hussein Obama a posé en couverture du mensuel américain « Out 100 », le mensuel de la communauté homosexuelle, le numéro étant consacré aux cent personnes les plus influentes dans le milieu gay. Barack Hussein Obama est ainsi, à la fois, le premier président américain et le premier néo-musulman américain à poser pour la ‘Une’ de ce mensuel LGBT (lesbienne, gay, bisexuel et transgenre). Tout ces faits sont rigoureusement exacts et je ne plaisantes pas.

L’Arabie saoudite a déjà riposté en condamnant - par contumace - Obama à cent coups de fouet sur le cul (non ce n'est pas vrai et oui je plaisante). L’épouse du président, Michelle Obama, demande le divorce et déclare : « j’ignorais qu’il était un trou de balle » (non ce n'est pas vrai et oui je plaisante encore).

Michel Garroté, 11 novembre 2015


Est-il encore possible de dire non à la « famille gay » sans être traité comme un criminel ?

Magdi-Cristiano-Allam-Io-Amo-lItalia-Par Magdi Cristiano Allam

Pour avoir critiqué sur ma page facebook  le parlement européen qui a approuvé le rapport qui rend légitime la "famille gay" et lui reconnait tous les droits, y compris celui d'adopter des enfants, on m'a traité d'homophobe, de raciste, de nazi de rétrograde et on m'a invité, moi, à retourner en Egypte, moi qui suit tellement fier d'être italien depuis 43 ans.

 

Je me pose une question : est-il encore possible de dire non à la "famille gay" sans être criminalisé ?

Je fais une distinction entre l'homosexualité et l'homosexualisme, comme je fais une différence entre la multiculturalité et le multiculturalisme.

L'homosexualité (comme la multiculturalité) est un fait qui existe depuis toujours, fait partie de notre réalité et de l'histoire du genre humain. Et j'affirme que chacun a un droit inaliénable à la vie, à la dignité et à la liberté.

Par contre, l'homosexualisme, comme le multiculturalisme, sont des idéologies qui veulent pouvoir gérer la pluralité en niant la vérité intrinsèque de la Nature et de la société, qui veulent remodeler la société et mettre au même niveau des réalité diverses en accordant à tout le monde les même droits en faisant donc totalement abstraction des conséquences sur la survie de notre société et de notre civilisation.

Je veux sauvegarder la famille naturelle, base de la société, fondée sur l'union d'un homme et d'une femme,  l'unique institution qui puisse garantir la survie de la communauté humaine et garantir à nos enfants de grandir dans un environnement sain, avec un père et une mère.

C'est pour cette raison que je dis non au mariage homosexuel et non à l'adoption d'enfants par des couples homosexuels.

Mais..... puis-je encore le dire sans être assailli de violences verbales ? Ou alors, dois-je prendre acte que nous sommes désormais soumis à la dictature du lobby homosexuel ?

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Source Magdi Cristiano Allam page fb en italien (résumé par D. Borer)

 

 

Vidéo de M.C.Allam pour les italophones
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Bari : Spectacle gay obligatoire à l’école, dans le dos des parents

Ce témoignage nous vient de Bari : comme d'habitude l'idéologie "gender"  avance masquée au travers d'événements culturels tout à fait innocents et cela dans le dos des parents.

Par Daniele Cassano

Il m'est arrivé, en attendant le bus, d'entendre deux jeunes de seize ans se plaindre d'être obligés de participer à un "spectacle de théâtre contre l'homophobie" et de devoir en plus le payer de leur poche (6 euros).

"Si tu n'y vas pas - disait l'un d'eux - la prof te donnera une interro comme punition".

En tant que membre de la section de Bari de La Manif Pour Tous Italie, cette discussion avait immédiatement attiré mon attention, étant au courant que, sous couvert de lutte contre l'homophobie, les objectifs poursuivis étaient tout autres.

Dans la discussion, j'ai appris que l'école que fréquentent ces jeunes garçons est le lycée scientifique G. Salvemini, établissement chef de file d'un projet Erasmus qui jouit d'un financement européen de 220.000 euros. On peut le lire dans la brochure publiée par l'école. Elle illustre le projet "LeGoP – Learning good practices in European countries". Ce projet a sans doute une grande valeur culturelle : elle offre aux étudiants des séjours à l'étranger très constructifs. Mais, dans les dédales de la présentation, bien camouflés au milieu d'objectifs éducatifs irréprochables, comme c'est toujours le cas,  on trouve l'habituelle contribution idéologique pour une "rupture" des stéréotypes sur le "genre". Le  Corriere di Puglia e Lucania (30.09.2014), reprend les termes de la brochure ci-dessus mentionnée : elle définit le projet comme "un travail qui contribuera à éliminer les barrières de toutes sortes, architecturales, linguistiques, physiques, sociales et sexuelles".

En approfondissant les objectifs du programme (toujours en se référant  à l'article du Corriere), on peut lire que, "en partenariat avec le lycée Salvemini ed Elpendù - spécialisé dans l'intégration de personne ayant des exigences spéciales - plusieurs établissement scolaires travailleront ensemble dont Azular Lizeoa en Espagne et que seront étudiées des expériences faites dans le privé (GUREAK en Espagne et GALE en Hollande, pour les activités contre l'homophobie entreprises en particulier dans les écoles). Quand on continue la lecture de l'article, on remarque qu'un des objectifs principaux est de détruire les discriminations basées sur l'orientation sexuelle et de promouvoir l'acceptation et le respect à l'égard des personnes LGBT

En théorie, je n'y voit rien de mal. Mais en pratique, on se rend compte que le GALE est une organisation d'activistes gays qui ont pour but d'inclure du  matériel LGBT dans l’éducation sexuelle à l'école.

Et puis, et puis, il y a eu ce spectacle de théâtre, organisé à l'insu des parents, sans que rien ne soit publié : on n'en trouve trace ni sur le site de l'école, ni sur sa page Facebook. Cette façon d'agir dans l'ombre semble être devenu une constante pour les activistes LGBT.  Le père d'un garçon que je connais et qui fréquente cette école, ne savait rien de ce qui se tramait : il m'a avoué que, s'il avait été au courant, il serait allé le lendemain au lycée pour avoir de plus amples informations et qu'il m'aurait averti. Grâce à ses investigations, on a pu mettre en évidence que l'organisation de ce "spectacle" n'a été communiqué à aucun parent, spectacle qui se déroulait dans l'auditoire pendant les heures de classe et que même la secrétaire de l'école ne possédait aucune information détaillée, puisque l'initiative venait personnellement de la directrice.

Quel était ce "spectacle" ? Si on peut appeler "spectacle" une représentation où on voit des gay s'embrasser, suivie de questions où on demande aux lycéens de parler des sensations, des émotions et des sentiments qu'ils ont éprouvé à la vue de cette scène (une espèce de "chasse à l'homophobe") ?

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A la lumière de tout cela, il est légitime de se demander si on est vraiment en train de lutter contre la discrimination et l'intolérance (et en plus dans une région où il ne semble pas y avoir vraiment de problèmes à ce sujet) ou alors si l'on n'est pas en train de se conformer aux exigences du lobby gay qui voudrait convaincre nos enfants que les rapports homosexuels sont absolument normaux, qu'il n'y a pas de différence entre les sexes féminins et masculins et qu'on peut continuellement changer de genre (donc qu'il faut ignorer son sexe biologique qui doit s'effacer face à la perception que l'individu a de sa propre sexualité). En plus, ce lobby gay pousse au commerce des enfants (sacrifiant leurs droits fondamentaux aux désirs égoïstes de certains adultes) et veut nous convaincre que, pour un enfant, il est égal d'avoir deux pères ou deux mères et que ce qui compte, c'est l'amour.

Indignés face à une telle propagande idéologique, nous déclarons que nous sommes disponibles pour rencontrer les responsables scolaire de ce projet et que nous prendrons soin de démontrer les conséquences négatives qui vont se répercuter inévitablement sur les jeunes gens contraints d'assister à des spectacles de ce type.

Nous continuerons à nous opposer dans chaque ville à ces projets, à cette idéologie qui s'insinue en silence,  [...] sans que les parents puissent ou non l'approuver en toute connaissance de cause, des parents qui ne sont jamais mis au courant de ces thématiques.

Daniele Cassano – La Manif Pour Tous Bari

Source en italien (trad. Danielle Borer)

On ne naît pas homosexuel, on le devient !

La preuve définitive en a été apportée par Judith Butler et la théorie du Gender ! Judith Butler, dans son livre "Gender Trouble", met en question les "confusions des identités", reprenant à son compte la formule de Simone de Beauvoir, "On ne naît pas femme, on le devient". On ne peut accepter la mystification de la propagande LGBT à propos des "enfants homosexuels". La lutte pour la laïcité à l'école, contre l'idéologie des "ABCD de l'égalité",met en valeur la "conscience sociale" des parents d'élèves. La tyrannie idéologique des "ABCD de l'égalité" et de la propagande homosexuelle, bi-, trans-, du lobby LGBT à l'école intéresse les familles et les parents d'élèves qui ont tenté de les soulever, lors d'essais de concertation avec différents ministres de l'Éducation nationale socialiste, sans succès, pour écarter les "ABCD de l'égalité".

Il est politiquement incorrect de considérer comme anormale la propagande LGBT à propos "l'homosexualité pour tous", ce qui correspond à une nouvelle forme de maladie mentale dite "homophobie". Aussi, malgré le prosélytisme des activistes de l'Inter-LGBT à l'école, la propagande LGBT veut nous faire croire qu'aucune "intervention d'association ne mettra en danger un enfant ou ne le fera devenir homosexuel".

Judith Silberfeld cite un communiqué de l'Inter-LGBT : "Non, aucune intervention d’association ne mettra en danger un enfant ou ne le fera devenir homosexuel. Cela peut simplement l’aider à mieux vivre et mieux réussir sa scolarité, en particulier s’il/elle subit des violences en raison de son homosexualité… Oui, ces interventions sont importantes et servent à prévenir les violences et à informer. Parce que les enfants homosexuels ont envie, eux aussi, d’être tranquilles à l’école, et de ne pas se faire insulter, frapper…"Voilà, la messe est dite : "les enfants homosexuels", "Qu'est cela ?" aurait dit Molière. "Les enfants homosexuels" n'existent pas avant l'irruption des pervers à l'école socialiste et les exploits pernicieux de David Dumortier.

"L'observatoire de la théorie du genre" conteste la volonté des activistes idéologues du lobby LGBT d'introduire "l'enseignement à "l'égalité de genre" dès l'école élémentaireLe concept de genre définit les relations entre femmes et hommes en termes de rapports sociaux au-delà des attributs biologiques… L'identité de genre est "construite" par l'environnement social… De là, masculinité et féminité ne seraient pas des notions "naturelles" inhérentes à l’individu, mais des attributs culturels, fruits d'un processus social au cours duquel l'individu acquiert les caractéristiques du masculin ou du féminin." Judith Butler affirme que le genre est une "construction" sociale qu'il faut "déconstruire".

L'enseignement religieux de la "théologie" du Gender à l'école interroge les parents d'élèves. Dans le Nouvel Observateur, Judith Butler déclare : "On croit que "la définition" du sexe biologique est une évidence. En réalité, elle a toujours été "l'objet de controverses"… Le sexe biologique existe… "sa définition" nécessite "un langage et un cadre de pensée"… qui peuvent être contestées et qui le sont… Ce qui intéresse la "théorie du genre"… c'est que nous n'avons jamais une relation simple, transparente, indéniable au sexe biologique… Ainsi Judith Butler nous autorise à penser, sur le fondement de la théorie du Gender, ce qui suit : On croit que "la définition" de l'homosexualité est une évidence. En réalité, elle a toujours été l'objet de controverses…

L'homosexualité existe… "sa définition" nécessite "un langage et un cadre de pensée" qui peuvent être contestées et qui le sont"… de même que la "théologie" du Gender à l'école.

Thierry Ferjeux Michaud -Nérard, 17 novembre 2014

 

Promotion de l’homosexualité dans les écoles italiennes et allemandes

Leçons d'homosexualité dans les écoles italiennes.

La vidéo ci-dessous explique clairement ce qui se passe dans les écoles italiennes et souvent, sans que les parents en soient avertis. Avec l'excuse de lutter contre une soi-disant homophobie, on enseigne aux enfants, pendant une leçon à laquelle participe l'association "arcigay", comment avoir des rapports homosexuels. On leur donne aussi toutes les informations sur les lieux où on peut pratiquer des rapports homosexuels avec le calendrier des évènements gays......

Explication en vidéo par un père révolté (pour les italophones) :

On n'apprend pas aux enfants le respect de celui ou celle qui a une orientation homosexuelle, mais on leur enseigne comment et où pratiquer l'homosexualité.

Le tout avalisé par le président de l'institut (voir les circulaires montrées dans la vidéo par Simone Pillon, conseiller national du Forum des associations de la famille).

En Allemagne, la situation sur ce sujet est en train de se compliquer. Les parents préoccupés sont de plus en plus nombreux à se révolter contre l'enseignement de la théorie du genre en classe et, plusieurs d'entre eux ayant décidé de ne pas envoyer à l'école leurs enfants lors des leçons d'éducation sexuelle, ont été arrêtés et certains ont fait jusqu'à 40 jours de prison. Voir ICI (article en italien)

Des manifestations ont été organisées dans plusieurs villes d'Allemagne pour protester contre cet endoctrinement des enfants. Avec des affiches, des sifflets et des tambours, les manifestants ont cherché à attirer l'attention pour montrer à quel point cette éducation sexuelle est nuisible pour les enfants.

Matthias Ebert, à l'origine de l'initiative "parents préoccupés", déclare qu'il n'est pas contre l'éducation sexuelle, mais que celle-ci doit être en adéquation avec l'âge des enfants et que les parents doivent être informés et inclus dans ces cours.

Il a cité des cas où des enfants de six ou sept ans ont du toucher des pénis en plastique, et auxquels on a ensuite parlé de sexe anal et de positions sexuelles performantes, tout ça en classe...

Voir son intervention (en allemand) ci-dessous :

Source en italien (trad. D. Borer)