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Des organisations demandent au Conseil fédéral que la Suisse accueille 10’000 migrants par année. “Il faut éviter des situations comme l’Aquarius.” (Mise à jour : Transcription de Cenator)
Dans le cadre de la journée nationale du réfugié, plusieurs organisations appellent la Suisse à en faire plus pour aider les migrants.
Une pétition lancée début mai demande au Conseil fédéral que le contingent de réfugiés particulièrement vulnérables passe de quelque 1000 personnes à 10'000 par année.
"La Suisse a les moyens d'accueillir plus de monde et peut ouvrir des couloirs humanitaires" selon Magaly Hanselmann, directrice de l'Eper.
"La Suisse peut permettre à ces personnes les plus vulnérables, des femmes avec des enfants, des personnes malades, des personnes âgées (Nd Christian Hofer : en clair, celles qui sont les plus coûteuses pour la Suisse, qui ne seront jamais productives. Notre aide sociale étant dévolue dorénavant aux étrangers qui n'ont jamais cotisé.), elle peut permettre à ces personnes de ne pas risquer leur vie pour traverser, de ne pas engraisser les réseaux de passeurs."
Mise à jour. Transcription de Cenator qui complète très bien l'article :
Karine Vasarino : Dans le cadre de la journée nationale du réfugié, plusieurs organisations appellent la Suisse à en faire plus pour aider les migrants. Une pétition demande au Conseil fédéral que le contingent de réfugiés particulièrement vulnérables passe de quelque 1000 personnes à 10'000 par année.
La situation est critique. Selon Magaly Hanselmann, directrice de l’EPER, l’Entraide protestante en Suisse romande, la Suisse a les moyens d’accueillir plus de monde, et d’ouvrir des couloirs humanitaires.
Magaly Hanselmann : La situation en matière de réfugiés n’est pas du tout résolue. Les personnes sont amassées dans des camps aux frontières des zones de crise et vivent dans des conditions indignes. On demande donc à la Suisse d’augmenter les contingents pour les programmes de réinstallation du HCR. Ce sont des programmes qui existent déjà, des bases légales qui existent déjà, et on demande à la Suisse de les utiliser pour vraiment sauver des personnes, aller chercher les personnes les plus vulnérables depuis les camps où elles sont réfugiées, mais où elles n’ont aucun avenir, pour les faire venir en Suisse.
Tania Baril : Selon vous, ce serait un moyen pour éviter des situations comme celle de l’Aquarius ?
Magaly Hanselmann : Absolument. L’Aquarius est à la fois le symbole de la détresse des migrants, prêts à tout pour chercher refuge, et le symptôme des limites, voire de la faillite d’un système, parce qu’on ne peut pas rester indifférents face à ces refus successifs de différents Etats d’accueillir ces 629 migrants qui ont déjà été sauvés par ce bateau affrété par des ONG. C’est vraiment un symbole très fort d’un dysfonctionnement au niveau européen. Les Etats ont des moyens, notamment d’ouvrir des couloirs humanitaires ou des voies sûres. La Suisse peut déjà le faire dans le cadre légal existant, elle peut permettre aux personnes les plus vulnérables – des femmes avec enfants, des personnes malades, âgées – de ne pas risquer leur vie pour traverser, de ne pas engraisser des réseaux de passeurs et de ne pas venir renforcer des réseaux de traite des êtres humains, comme il en existe malheureusement beaucoup.
Karine Vasarino : Précisons que la pétition a récolté pour l’instant plus de 26'000 signatures. Les organisateurs en espèrent 30'000. L’EPER organise par ailleurs aujourd’hui des actions dans plusieurs villes suisses, dans le cadre de cette journée nationale du réfugié.
A noter encore que l'EPER bénéficie du soutien financier du canton et de la Confédération:
Le lien du compte d'exploitation 2017 est visible ici (Nos remerciements à Erin Beuret)
En clair, nous payons cette officine pour qu'elle milite contre notre propre peuple et en priorité pour les musulmans.
Source RTS, journal de 12h30 du 16 juin 2018
Nos remerciements à Maurice
Rappels:
Suisse: L’Entraide Protestante Suisse récolte des signatures pour les « réfugiés » musulmans
Les paroisses catholique et protestante de Genève fêtent la mosquée
Suisse: La distribution de corans ne sera pas interdite pour l’instant. Le Conseil fédéral s’y oppose.
Le recrutement via la distribution de corans dans la rue ou sur Internet devrait être prohibé. Ces plateformes visent à attirer des jeunes vers le djihadisme, selon le motionnaire Walter Wobmann (UDC/SO).
Le Conseil des Etats a suspendu l'examen du dossier pendant plus d'un an. Il veut attendre le projet de mesures policières contre le terrorisme actuellement en consultation et que le Conseil fédéral devrait remettre au Parlement au plus tôt au printemps 2019.
Le Conseil fédéral est opposé à la motion. Prises isolément, les actions de distribution du coran ne constituent pas en soi une menace pour la sécurité intérieure ou extérieure de la Suisse. La liberté d'opinion et de croyance ainsi la liberté de réunion et d'association prévalent.
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Source et article complet
Rappel:
Le Conseil National affirme que la Charia n’est pas incompatible avec l’ordre public suisse
Pour le Conseil fédéral, on peut être sexuellement consentant dès 12 ans
Dans sa révision du Code pénal, le gouvernement protège davantage les mineurs contre les actes d’ordre sexuel. Mais les sanctions diminuent après l’âge de 12 ans.
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La question est disputée. Et la frontière proposée par le Conseil fédéral ne convainc guère les psychologues que nous avons contactés. Philip Jaffé, membre du conseil de fondation de Pro Juventute, la juge «particulièrement bizarre». «On évoque souvent l’âge de 12 ans comme celui où les enfants acquièrent une capacité cognitive proche de l’adulte dans plusieurs domaines. Mais ce n’est pas le cas pour la sexualité.» Le professeur fait une distinction entre «participer» et «consentir»: «Qu’il ait 11 ou 14 ans, un enfant peut participer à un acte sexuel sans en comprendre l’illicéité. La finalité lui échappe et il reste un objet.»
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Union Européenne: Roberto Balzaretti veut convaincre les Suisses de l’intérêt de l’accord-cadre porté par Ignazio Cassis.
Alors que l’ancien conseiller fédéral Burkhalter faisait de la discrétion une condition sine qua non des négociations avec l’UE, le nouveau secrétaire d’État aux affaires européennes prend le pari inverse.
L’objectif du nouveau négociateur en chef avec l’UE est clair: rétablir la confiance et convaincre. Il parle ainsi d’un changement de paradigme. «Dans le passé, il y avait d'abord des consultations et des négociations secrètes, puis les résultats étaient publiés.
Et de prendre l’exemple de l’accord institutionnel, désormais porté par Ignazio Cassis. «Nous avons commencé à expliquer ce que nous voulons atteindre et nous continuerons à le faire.»
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Avilissement
Financer son autodestruction et le faire avec le sourire. Aussi loin qu’il est possible de remonter dans l’histoire de l’humanité, c’est une situation sans précédent. Le Conseil fédéral a repoussé une nouvelle fois les limites de l’absurdité, de l’avilissement et de l’indignité.
Le 28 mars dernier, le Conseil fédéral a décidé de faire cadeau de 1.1 milliard de francs à l’UE pour soutenir le développement des pays de l’Europe de l’est. A ce montant, il a ajouté 200 millions de francs pour soutenir la politique migratoire européenne. Ainsi, nous offrons 1'300'000'000 francs à l’étranger alors que nos retraités meurent de faim, que les contribuables étouffent sous les impôts et que les ménages sont asphyxiés par les primes maladies. En plus, notre argent sert à développer l’économie de pays concurrents qui nous appauvrit et à encourager une politique migratoire qui fait sombrer notre continent dans l’islamisation.
Face à la bêtise, un seul espoir : le vote du peuple. L’ASIN soutient la motion 18.3247 (https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20183247) afin que le peuple puisse se déterminer et ainsi offrir une chance aux Suissesses et aux Suisses de sauver leur porte-monnaie en refusant de verser ce « milliard de cohésion » à l’UE.
La Suisse, working poor de l’Europe
Les Suissesses et les Suisses envisagent de plus en plus l’avenir avec pessimisme. C’est un triste constat, mais les faits sont évidents. Les jeunes Suisses – après avoir survécu à une instruction publique de moins en moins efficace – sont confrontés à un marché de l’emploi impitoyable. Au pire, ils tombent rapidement à l’assistanat social, au mieux ils acceptent de devenir des working poors, soit des salariés dont le revenu ne suffit pas à payer les factures courantes car les entreprises délocalisent leur production dans les pays que nous aidons justement en versant 1.1 milliard de francs. Comment demander à la génération montante de se montrer entreprenant et optimiste dans de telles conditions ?
Le Suisse de demain sera Africain
Le sort des 30-50 ans n’est guère plus enviable. Qu’ils soient seuls ou mariés, parents ou sans enfant, les 30-50 ans sont dépouillés par le fisc. Ils sont les vaches sur lesquelles le Conseil fédéral vient prélever l’argent qu’il verse à l’étranger pour soutenir des pays qui nous piquent notre production de la main gauche pour nous refiler leurs denrées alimentaires douteuses de la main droite.
Incapables de pouvoir subvenir à leur propre besoin, les Suisses entre 30 et 50 ans ne font plus d’enfants. Pour compenser un taux de natalité en chute libre, le Conseil fédéral favorise l’immigration de masse. Les Suisses ne font plus de Suisses, les Européens ne font plus assez d’Européens et les Africains font bien trop d’Africains. La Suisse de demain sera-t-elle africaine ?
EXIT à 50 ans
Les plus de 50 ans sont une génération menacée en Suisse. Top chers, cher vieux, trop ringards. Fatalement poussés au chômage, ils sont socialement et professionnellement assassinés au nom d’une mondialisation qui broie l’être humain jusqu’à lui extraire sa derrière goûte de sueur avant de l’abandonner à son sort en le jetant au bord de la route sans pitié, sans égard, sans dignité.
Le destin des plus de 50 ans préfigure celui de nos retraités, pour qui vivre dans notre pays devient trop cher. Pour beaucoup, la retraite ne peut s’envisager qu’à l’étranger. En Europe du sud, en Afrique du nord ou en Asie du sud-est. Devenu inutiles dans un pays livré à la mondialisation par ses propres autorités, les retraités suisses sont déracinés pour être remplacés par des travailleurs étrangers convaincus qu’ils trouveraient l’eldorado dans la riche Suisse et qu’ils deviendraient riche en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.
Indignons-nous et luttons, maintenant ou jamais
Chaque jour, celui qui s’interroge sur notre société ne peut que voir notre pays nous échapper. La Suisse fout le camp. La Suisse sombre, mais de nombreux Suisse veulent se battre pour remettre notre pays en ordre. La Suisse n’est pas morte. Indignons-nous ! Ce pays est notre pays, pas celui d’un Conseil fédéral asservi.
Les temps sont devenus durs pour les Suisses, mais nous sommes forts et travailleurs. Il ne reste plus qu’à être également courageux ! Refusons de céder face à l’UE, refusons de payer 1.3 milliard de francs pour finir asservi. Cet argent est celui des Suisses et il restera en Suisse.
Caisses maladie: Le Conseil fédéral veut augmenter les franchises de 50 francs
Le Conseil fédéral veut augmenter toutes les franchises de l'assurance maladie pour les adultes de 50 francs. Celle de base devrait donc passer à 350 francs.
Le Conseil fédéral a transmis mercredi au Parlement le projet que ce dernier lui avait réclamé.
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Rappels:
Combien d'argent par mois est dévolu en général à un requérant d'asile en Suisse ?
Le Conseil fédéral veut plus d’argent pour l’asile
Canton de Berne: Crédit de 42 millions accepté pour l’encadrement des requérants d’asile mineurs
Le Conseil fédéral veut plus d’argent pour l’asile
Le gouvernement a demandé une rallonge de 39,8 millions de francs destinée à certains centres fédéraux pour demandeurs d'asile.
Suite
Accord-cadre avec l’UE: le Conseil fédéral accepte que l’UE légifère en Suisse
Communiqué de presse UDC du 5 mars 2018
L'extension du mandat de négociation sur un accord-cadre institutionnel avec l'UE annoncée aujourd'hui confirme que le Conseil fédéral entend franchir dans la précipitation une nouvelle étape dans la mauvaise direction. La majorité du gouvernement veut toujours accepter que l'UE légifère désormais en Suisse. Ces ministres renoncent ainsi à une caractéristique essentielle de la Suisse, c'est-à-dire au droit inaliénable des citoyennes et des citoyens de décider définitivement des règles et des lois dans le cadre de la démocratie directe.
S'il en va selon le Conseil fédéral, la Suisse devrait accepter automatiquement du droit UE dans un plus grand nombre de domaines que prévu initialement sans que le peuple et les cantons n'aient un mot à dire. Concernant le marché de l'électricité, par exemple, le gouvernement est prêt à reprendre les règles UE et à créer de nouvelles instances de surveillance. Là encore, le Conseil fédéral sacrifie les structures fédéralistes qui ont fait la force de la Suisse. Il délègue de fait le droit de vote des Suissesses et des Suisses à Bruxelles. A quoi sert-il de pouvoir voter si on est sous la menace de sanctions ou de résiliations d'accords? En votant avec le couteau sur la gorge, le citoyen n'est évidemment plus libre de décider (voir aussi l'accord de Schengen et le droit suisse des armes).
L'interprétation des lois reprises automatiquement par la Suisse et leur application seraient surveillées par des tribunaux arbitraux. Là encore un exercice alibi, puisque ces tribunaux arbitraux seraient finalement tout de même liés aux jugements de la Cour de justice UE et que l'UE se réserve le droit de prendre des sanctions contre la Suisse en cas de désaccord. La Suisse abandonnerait ainsi les nombreux avantages que lui offre sa position en dehors de l'UE. Le traité de soumission qu'envisage de conclure le Conseil fédéral sonnerait le glas d'une Suisse indépendante et autodéterminée. Et le pire, c'est que cet accord-cadre ne répond à aucune nécessité économique et ne justifie donc absolument pas le sacrifie de la souveraineté nationale.
Les seuls profiteurs de cet accord seraient les politiciens et les fonctionnaires qui pourraient s'adonner aux joies du tourisme conférencier, se profiler comme interlocuteurs de l'UE et appliquer leurs décisions sans avoir à rendre des comptes aux citoyennes et citoyens concernés. Les citoyens, les cantons et les communes supporteraient les conséquences de ces agissements. Est-il possible que certains conseillers fédéraux et leurs fonctionnaires dirigeants aient fait des promesses précipitées et irréfléchies à Bruxelles? Voilà qui expliquerait la hâte aussi soudaine qu'injustifiée manifestée par le Conseil fédéral.
L'UDC invite une fois de plus le Conseil fédéral à stopper enfin les négociations sur un accord-cadre avec l'UE. Parallèlement, l'initiative UDC pour la limitation de l'immigration vise à redonner à la Suisse les moyens de gérer à nouveau de manière autonome l'immigration sur son territoire.
Nouvel acte d’obéissance anticipée du Conseil fédéral devant l’UE
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Le Conseil fédéral veut permettre aux réfugiés de voyager dans leur pays
Une fois de plus la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga étend le droit d'asile par la petite porte. Elle ne cesse de rendre la Suisse de plus en plus attractive pour les faux réfugiés. Dernier exemple: l'extension du groupe cible bénéficiant d'une aide au retour et la levée de fait de l'interdiction de voyager.
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Berne offre encore 33 millions pour l’éducation… dans les autres pays.
La Suisse va augmenter sa contribution au fond de financement du Partenariat mondial pour l'éducation (PME). Elle versera 33,2 millions de francs entre 2018 et 2020, a indiqué à l'ats le vice-directeur de la DDC Thomas Gass en marge d'une conférence à Dakar.
L'an dernier, le Conseil fédéral avait annoncé le versement de 36 millions de francs pour la période de 2017 à 2020. Ce montant s'ajoutait aux 4 millions déjà engagés pour la même période.
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Rappel:
Il y a 10 ans, Yvan Perrin était témoin du coup d’Etat contre Blocher. Interview
Ci-dessus, Widmer-Schlumpf embrassée par un socialiste lors de l'éjection de Blocher
Il y a 10 ans, Yvan Perrin se sentait bien seul, orphelin de ce conseiller fédéral qui lui avait tant appris. Alors vice-président de l’UDC, il nous livre son analyse après la non-réélection de Christoph Blocher en décembre 2007.
Vidéo de l'interview d'Yvan Perrin ICI
La photo du jour
Equivalence des bourses: Berne se réserve le droit de réagir.
Nos 7 politiciens ridiculisés aux yeux du monde entier après avoir donné plus d'un milliard à l'Union Européenne sans contrepartie menacent de régir: Bruxelles en tremble d'avance!
Ils viennent de découvrir avec quel mépris cette Union Européenne, tant adulée par la gauche, traite les faibles.
Cela démontre quelle immaturité et quel amateurisme règnent à la tête de notre pays.
Spécifiquement l'Union Européenne sait parfaitement que ce Conseil fédéral se couche à la moindre menace et que ce même gouvernement est prêt à trahir sa population, la démocratie sans aucun problème.
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Le Conseil fédéral se réserve le droit de réagir si la Bourse suisse n'obtient pas la reconnaissance de son équivalence ou seulement pour un an.
Une non-reconnaissance ou une reconnaissance limitée à un an serait une discrimination. Si celle-ci se confirme, le gouvernement étudiera des mesures de réaction. Interrogé sur leur nature, le porte-parole s'est toutefois refusé à donner plus de précisions.
Suisse. Caisses maladie: Le Conseil fédéral veut réduire les rabais liés aux franchises hautes
Le taux de 70% serait maintenu pour la franchise de 1000 francs, et il baisserait à 60, 55 et 50% pour les franchises de 1500, 2000 et 2500 francs.
Le Conseil fédéral tient à revoir les rabais liés au choix d'une franchise dans l'assurance maladie. Face à la bronca soulevée par son projet, il est toutefois disposé à examiner avec le Parlement comme les échelonner afin de promouvoir au mieux la responsabilité individuelle.
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Le conseil fédéral veut revoir les contingents de travailleurs étrangers à la hausse.
Le Conseil fédéral a répondu à la demande de Genève, Zurich et Bâle-Ville, qui souhaitaient pouvoir engager davantage de main d'oeuvre hors de l'UE.
La Suisse pourra accueillir 500 ressortissants extra-européens de plus l'an prochain, soit 8000 au lieu de 7500. Il s'agit de 3500 permis B (+500) et 4500 permis L de courte durée. Le Conseil fédéral a adopté mercredi la révision d'ordonnance nécessaire.
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Un scandale: le Conseil fédéral fait à l’UE un cadeau de 1,302 milliard de francs d’argent des contribuables
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Double nationalité: le CF contre les restrictions
Le gouvernement est opposé à la limitation à un seul passeport des élus fédéraux, comme le demande une motion d'un député de la Lega.
Le Conseil fédéral reste muet sur le milliard de cohésion à l’UE
Merci à INFO
Berne pourrait verser un nouveau "milliard de cohésion" à l'UE afin d'y réduire les inégalités. Le Conseil fédéral a toutefois refusé de dévoiler sa position sur le sujet avant la visite en Suisse du président de la commission européenne Jean-Claude Juncker.