Suisse : Le travail du Conseil fédéral ne convainc pas le peuple. Aucun Conseiller fédéral n’obtient la moyenne.

Selon un sondage Tamedia, aucun Sage n'obtient la moyenne de 4. Par ailleurs, plus de la moitié des Suisses (53%) sont insatisfaits du travail réalisé par le Conseil fédéral.

Ainsi, 60% des électeurs du PLR et 68% des électeurs du PDC sont satisfaits des performances de nos Sages. A l'inverse, ce taux ne s'élève qu'à 20% pour les sympathisants de l'UDC. Ce résultat est d'autant plus étonnant que le parti agrarien dispose de deux représentants au sein du Conseil fédéral alors que le PDC n'en a qu'un seul.
Via le Facebook du PNS

Des organisations demandent au Conseil fédéral que la Suisse accueille 10’000 migrants par année. “Il faut éviter des situations comme l’Aquarius.” (Mise à jour : Transcription de Cenator)

Dans le cadre de la journée nationale du réfugié, plusieurs organisations appellent la Suisse à en faire plus pour aider les migrants.

Une pétition lancée début mai demande au Conseil fédéral que le contingent de réfugiés particulièrement vulnérables passe de quelque 1000 personnes à 10'000 par année.

 

 

"La Suisse a les moyens d'accueillir plus de monde et peut ouvrir des couloirs humanitaires" selon Magaly Hanselmann, directrice de l'Eper.

"La Suisse peut permettre à ces personnes les plus vulnérables, des femmes avec des enfants, des personnes malades, des personnes âgées (Nd Christian Hofer : en clair, celles qui sont les plus coûteuses pour la Suisse, qui ne seront jamais productives. Notre aide sociale étant dévolue dorénavant aux étrangers qui n'ont jamais cotisé.), elle peut permettre à ces personnes de ne pas risquer leur vie pour traverser, de ne pas engraisser les réseaux de passeurs."

Mise à jour. Transcription de Cenator qui complète très bien l'article :

 

Karine Vasarino : Dans le cadre de la journée nationale du réfugié, plusieurs organisations appellent la Suisse à en faire plus pour aider les migrants. Une pétition demande au Conseil fédéral que le contingent de réfugiés particulièrement vulnérables passe de quelque 1000 personnes à 10'000 par année.

La situation est critique. Selon Magaly Hanselmann, directrice de l’EPER, l’Entraide protestante en Suisse romande, la Suisse a les moyens d’accueillir plus de monde, et d’ouvrir des couloirs humanitaires.

Magaly Hanselmann : La situation en matière de réfugiés n’est pas du tout résolue. Les personnes sont amassées dans des camps aux frontières des zones de crise et vivent dans des conditions indignes. On demande donc à la Suisse d’augmenter les contingents pour les programmes de réinstallation du HCR. Ce sont des programmes qui existent déjà, des bases légales qui existent déjà, et on demande à la Suisse de les utiliser pour vraiment sauver des personnes, aller chercher les personnes les plus vulnérables depuis les camps où elles sont réfugiées, mais où elles n’ont aucun avenir, pour les faire venir en Suisse.

Tania Baril : Selon vous, ce serait un moyen pour éviter des situations comme celle de l’Aquarius ?

Magaly Hanselmann : Absolument. L’Aquarius est à la fois le symbole de la détresse des migrants, prêts à tout pour chercher refuge, et le symptôme des limites, voire de la faillite d’un système, parce qu’on ne peut pas rester indifférents face à ces refus successifs de différents Etats d’accueillir ces 629 migrants qui ont déjà été sauvés par ce bateau affrété par des ONG. C’est vraiment un symbole très fort d’un dysfonctionnement au niveau européen. Les Etats ont des moyens, notamment d’ouvrir des couloirs humanitaires ou des voies sûres. La Suisse peut déjà le faire dans le cadre légal existant, elle peut permettre aux personnes les plus vulnérables – des femmes avec enfants, des personnes malades, âgées – de ne pas risquer leur vie pour traverser, de ne pas engraisser des réseaux de passeurs et de ne pas venir renforcer des réseaux de traite des êtres humains, comme il en existe malheureusement beaucoup.

Karine Vasarino : Précisons que la pétition a récolté pour l’instant plus de 26'000 signatures. Les organisateurs en espèrent 30'000. L’EPER organise par ailleurs aujourd’hui des actions dans plusieurs villes suisses, dans le cadre de cette journée nationale du réfugié.

 

A noter encore que l'EPER bénéficie du soutien financier du canton et de la Confédération:

Le lien du compte d'exploitation 2017 est visible ici (Nos remerciements à Erin Beuret)

En clair, nous payons cette officine pour qu'elle milite contre notre propre peuple et en priorité pour les musulmans.

 

Source RTS, journal de 12h30 du 16 juin 2018

Nos remerciements à Maurice

 

Rappels:

L’Entraide Protestante Suisse fait de la propagande en faveur de l’immigration en instrumentalisant nos traditions (Vidéo)

Suisse. Loi sur les armes: Les socialistes, les policiers, les psychiatres et les femmes protestantes militent pour un durcissement de la loi

Magaly Hanselmann était à la tête du Bureau vaudois de l’égalité entre les femmes et les hommes (en clair une féministe qui militait exclusivement pour les droits des femmes)

Suisse: L’Entraide Protestante Suisse récolte des signatures pour les « réfugiés » musulmans

Les paroisses catholique et protestante de Genève fêtent la mosquée

Suisse: La distribution de corans ne sera pas interdite pour l’instant. Le Conseil fédéral s’y oppose.

Le recrutement via la distribution de corans dans la rue ou sur Internet devrait être prohibé. Ces plateformes visent à attirer des jeunes vers le djihadisme, selon le motionnaire Walter Wobmann (UDC/SO).

Le Conseil des Etats a suspendu l'examen du dossier pendant plus d'un an. Il veut attendre le projet de mesures policières contre le terrorisme actuellement en consultation et que le Conseil fédéral devrait remettre au Parlement au plus tôt au printemps 2019.

Le Conseil fédéral est opposé à la motion. Prises isolément, les actions de distribution du coran ne constituent pas en soi une menace pour la sécurité intérieure ou extérieure de la Suisse. La liberté d'opinion et de croyance ainsi la liberté de réunion et d'association prévalent.

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Rappel:

Le Conseil National affirme que la Charia n’est pas incompatible avec l’ordre public suisse

Pour le Conseil fédéral, on peut être sexuellement consentant dès 12 ans

Dans sa révision du Code pénal, le gouvernement protège davantage les mineurs contre les actes d’ordre sexuel. Mais les sanctions diminuent après l’âge de 12 ans.

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La question est disputée. Et la frontière proposée par le Conseil fédéral ne convainc guère les psychologues que nous avons contactés. Philip Jaffé, membre du conseil de fondation de Pro Juventute, la juge «particulièrement bizarre». «On évoque souvent l’âge de 12 ans comme celui où les enfants acquièrent une capacité cognitive proche de l’adulte dans plusieurs domaines. Mais ce n’est pas le cas pour la sexualité.» Le professeur fait une distinction entre «participer» et «consentir»: «Qu’il ait 11 ou 14 ans, un enfant peut participer à un acte sexuel sans en comprendre l’illicéité. La finalité lui échappe et il reste un objet.»

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Union Européenne: Roberto Balzaretti veut convaincre les Suisses de l’intérêt de l’accord-cadre porté par Ignazio Cassis.

Alors que l’ancien conseiller fédéral Burkhalter faisait de la discrétion une condition sine qua non des négociations avec l’UE, le nouveau secrétaire d’État aux affaires européennes prend le pari inverse.

L’objectif du nouveau négociateur en chef avec l’UE est clair: rétablir la confiance et convaincre. Il parle ainsi d’un changement de paradigme. «Dans le passé, il y avait d'abord des consultations et des négociations secrètes, puis les résultats étaient publiés.

Et de prendre l’exemple de l’accord institutionnel, désormais porté par Ignazio Cassis. «Nous avons commencé à expliquer ce que nous voulons atteindre et nous continuerons à le faire.»

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Avilissement

Financer son autodestruction et le faire avec le sourire. Aussi loin qu’il est possible de remonter dans l’histoire de l’humanité, c’est une situation sans précédent. Le Conseil fédéral a repoussé une nouvelle fois les limites de l’absurdité, de l’avilissement et de l’indignité.

Le 28 mars dernier, le Conseil fédéral a décidé de faire cadeau de 1.1 milliard de francs à l’UE pour soutenir le développement des pays de l’Europe de l’est. A ce montant, il a ajouté 200 millions de francs pour soutenir la politique migratoire européenne. Ainsi, nous offrons 1'300'000'000 francs à l’étranger alors que nos retraités meurent de faim, que les contribuables étouffent sous les impôts et que les ménages sont asphyxiés par les primes maladies. En plus, notre argent sert à développer l’économie de pays concurrents qui nous appauvrit et à encourager une politique migratoire qui fait sombrer notre continent dans l’islamisation.

Face à la bêtise, un seul espoir : le vote du peuple. L’ASIN soutient la motion 18.3247 (https://www.parlament.ch/de/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20183247) afin que le peuple puisse se déterminer et ainsi offrir une chance aux Suissesses et aux Suisses de sauver leur porte-monnaie en refusant de verser ce « milliard de cohésion » à l’UE.

La Suisse, working poor de l’Europe

Les Suissesses et les Suisses envisagent de plus en plus l’avenir avec pessimisme. C’est un triste constat, mais les faits sont évidents. Les jeunes Suisses – après avoir survécu à une instruction publique de moins en moins efficace – sont confrontés à un marché de l’emploi impitoyable. Au pire, ils tombent rapidement à l’assistanat social, au mieux ils acceptent de devenir des working poors, soit des salariés dont le revenu ne suffit pas à payer les factures courantes car les entreprises délocalisent leur production dans les pays que nous aidons justement en versant 1.1 milliard de francs. Comment demander à la génération montante de se montrer entreprenant et optimiste dans de telles conditions ?

Le Suisse de demain sera Africain

Le sort des 30-50 ans n’est guère plus enviable. Qu’ils soient seuls ou mariés, parents ou sans enfant, les 30-50 ans sont dépouillés par le fisc. Ils sont les vaches sur lesquelles le Conseil fédéral vient prélever l’argent qu’il verse à l’étranger pour soutenir des pays qui nous piquent notre production de la main gauche pour nous refiler leurs denrées alimentaires douteuses de la main droite.

Incapables de pouvoir subvenir à leur propre besoin, les Suisses entre 30 et 50 ans ne font plus d’enfants. Pour compenser un taux de natalité en chute libre, le Conseil fédéral favorise l’immigration de masse. Les Suisses ne font plus de Suisses, les Européens ne font plus assez d’Européens et les Africains font bien trop d’Africains. La Suisse de demain sera-t-elle africaine ?

EXIT à 50 ans

Les plus de 50 ans sont une génération menacée en Suisse. Top chers, cher vieux, trop ringards. Fatalement poussés au chômage, ils sont socialement et professionnellement assassinés au nom d’une mondialisation qui broie l’être humain jusqu’à lui extraire sa derrière goûte de sueur avant de l’abandonner à son sort en le jetant au bord de la route sans pitié, sans égard, sans dignité.

Le destin des plus de 50 ans préfigure celui de nos retraités, pour qui vivre dans notre pays devient trop cher. Pour beaucoup, la retraite ne peut s’envisager qu’à l’étranger. En Europe du sud, en Afrique du nord ou en Asie du sud-est. Devenu inutiles dans un pays livré à la mondialisation par ses propres autorités, les retraités suisses sont déracinés pour être remplacés par des travailleurs étrangers convaincus qu’ils trouveraient l’eldorado dans la riche Suisse et qu’ils deviendraient riche en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

Indignons-nous et luttons, maintenant ou jamais

Chaque jour, celui qui s’interroge sur notre société ne peut que voir notre pays nous échapper. La Suisse fout le camp. La Suisse sombre, mais de  nombreux Suisse veulent se battre pour remettre notre pays en ordre. La Suisse n’est pas morte. Indignons-nous ! Ce pays est notre pays, pas celui d’un Conseil fédéral asservi.

Les temps sont devenus durs pour les Suisses, mais nous sommes forts et travailleurs. Il ne reste plus qu’à être également courageux ! Refusons de céder face à l’UE, refusons de payer 1.3 milliard de francs pour finir asservi. Cet argent est celui des Suisses et il restera en Suisse.

Source : ASIN

Caisses maladie: Le Conseil fédéral veut augmenter les franchises de 50 francs

Le Conseil fédéral veut augmenter toutes les franchises de l'assurance maladie pour les adultes de 50 francs. Celle de base devrait donc passer à 350 francs.

Le Conseil fédéral a transmis mercredi au Parlement le projet que ce dernier lui avait réclamé.

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Rappels:

Les primes d'assurance-maladie de chaque requérant sont entièrement prises en charge par la Confédération

Combien d'argent par mois est dévolu en général à un requérant d'asile en Suisse ?

Le Conseil fédéral veut plus d’argent pour l’asile

Canton de Berne: Crédit de 42 millions accepté pour l’encadrement des requérants d’asile mineurs

 

 

Accord-cadre avec l’UE: le Conseil fédéral accepte que l’UE légifère en Suisse

Communiqué de presse UDC du 5 mars 2018

L'extension du mandat de négociation sur un accord-cadre institutionnel avec l'UE annoncée aujourd'hui confirme que le Conseil fédéral entend franchir dans la précipitation une nouvelle étape dans la mauvaise direction. La majorité du gouvernement veut toujours accepter que l'UE légifère désormais en Suisse. Ces ministres renoncent ainsi à une caractéristique essentielle de la Suisse, c'est-à-dire au droit inaliénable des citoyennes et des citoyens de décider définitivement des règles et des lois dans le cadre de la démocratie directe.

S'il en va selon le Conseil fédéral, la Suisse devrait accepter automatiquement du droit UE dans un plus grand nombre de domaines que prévu initialement sans que le peuple et les cantons n'aient un mot à dire. Concernant le marché de l'électricité, par exemple, le gouvernement est prêt à reprendre les règles UE et à créer de nouvelles instances de surveillance. Là encore, le Conseil fédéral sacrifie les structures fédéralistes qui ont fait la force de la Suisse. Il délègue de fait le droit de vote des Suissesses et des Suisses à Bruxelles. A quoi sert-il de pouvoir voter si on est sous la menace de sanctions ou de résiliations d'accords? En votant avec le couteau sur la gorge, le citoyen n'est évidemment plus libre de décider (voir aussi l'accord de Schengen et le droit suisse des armes).

L'interprétation des lois reprises automatiquement par la Suisse et leur application seraient surveillées par des tribunaux arbitraux. Là encore un exercice alibi, puisque ces tribunaux arbitraux seraient finalement tout de même liés aux jugements de la Cour de justice UE et que l'UE se réserve le droit de prendre des sanctions contre la Suisse en cas de désaccord. La Suisse abandonnerait ainsi les nombreux avantages que lui offre sa position en dehors de l'UE. Le traité de soumission qu'envisage de conclure le Conseil fédéral sonnerait le glas d'une Suisse indépendante et autodéterminée. Et le pire, c'est que cet accord-cadre ne répond à aucune nécessité économique et ne justifie donc absolument pas le sacrifie de la souveraineté nationale.

Les seuls profiteurs de cet accord seraient les politiciens et les fonctionnaires qui pourraient s'adonner aux joies du tourisme conférencier, se profiler comme interlocuteurs de l'UE et appliquer leurs décisions sans avoir à rendre des comptes aux citoyennes et citoyens concernés. Les citoyens, les cantons et les communes supporteraient les conséquences de ces agissements. Est-il possible que certains conseillers fédéraux et leurs fonctionnaires dirigeants aient fait des promesses précipitées et irréfléchies à Bruxelles? Voilà qui expliquerait la hâte aussi soudaine qu'injustifiée manifestée par le Conseil fédéral.

L'UDC invite une fois de plus le Conseil fédéral à stopper enfin les négociations sur un accord-cadre avec l'UE. Parallèlement, l'initiative UDC pour la limitation de l'immigration vise à redonner à la Suisse les moyens de gérer à nouveau de manière autonome l'immigration sur son territoire.

Nouvel acte d’obéissance anticipée du Conseil fédéral devant l’UE

Communiqué de presse UDC Suisse, le 3 mars 2018

 

L'application de la directive UE sur les armes, que la majorité du Conseil fédéral a approuvée, constitue une fois de plus un alignement servile et inutile sur la volonté de Bruxelles.

 

Non seulement la conseillère fédérale socialiste Simonetta Sommaruga ignore superbement les prises de position aussi nombreuses que fondées de divers milieux suisses, mais en plus elle s'apprête à durcir en de nombreux points le droit suisse sur les armes, fort sévère au demeurant, alors que l'application de la directive UE ne l'exige nullement.Le but est comme de coutume de se faire bien voir par les fonctionnaires bruxellois.Le fait que cette réforme met sous pression des citoyennes et des citoyens honnêtes sans apporter le moindre surcroît de sécurité ne semble pas intéresser la majorité du Conseil fédéral.L'UDC adoptera une position très critique face à ce projet et elle combattra avec détermination tous les durcissements inutiles de notre droit sur les armes.

Si elle ne parvient pas à corriger ce projet au niveau parlementaire, l'UDC envisagera de soutenir un référendum.

(Lien vers la réponse à la procédure de consultation)

Le Conseil fédéral veut permettre aux réfugiés de voyager dans leur pays

Une fois de plus la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga étend le droit d'asile par la petite porte. Elle ne cesse de rendre la Suisse de plus en plus attractive pour les faux réfugiés. Dernier exemple: l'extension du groupe cible bénéficiant d'une aide au retour et la levée de fait de l'interdiction de voyager.

Avez-vous déjà reçu de l'argent pour quitter enfin l'hôtel dans lequel vous avez séjourné gratuitement? C'est exactement ce que fait le Conseil fédéral. Il veut que des étrangères et des étrangers admis provisoirement (donc des personnes étrangères ou du secteur de l'asile qui ne remplissent même pas les conditions pour être reconnus comme réfugiés) touchent désormais également une aide financière au retour. Même si ces personnes doivent de toute manière quitter la Suisse lorsque leur admission provisoire est levée, ils recevront de l'argent.De l'avis de l'UDC, cette aide au retour n'est certainement pas le bon moyen de réduire le nombre d'étrangers séjournant en Suisse ou pour régler le chaos qui règne dans le domaine de l'asile. Les personnes admises provisoirement savent forcément qu'elles doivent un jour quitter la Suisse. En étendant cette aide au retour à de nouveaux groupes d'étrangers, des sommes énormes d'argent des contribuables suisses sont inutilement versés à l'étranger – en plus des milliards de francs pour d'aide au développement dont l'efficacité est manifestement douteuse. Cette politique est irresponsable et doit être refusée..Simonetta Sommaruga élude l'interdiction faite aux requérants d'asile de voyager dans leur pays d'origine
Les requérants qui sont impliqués dans une procédure d'asile en Suisse ne doivent en aucun cas voyager dans leur pays d'origine. S'ils le font tout de même, ils donnent la preuve qu'ils n'y sont nullement menacés. Un départ de Suisse vers le pays d'origine (même par des voies détournées) doit entraîner automatiquement la cessation de la procédure d'asile sans chance de reprise. Les voyages de réfugiés reconnus dans leur pays d'origine doivent être totalement interdits. Or, le Conseil fédéral vient certes de décider que même une suspicion peut conduire à la révocation de la qualité de réfugié, mais il assouplit cette disposition par une règlementation vague qui permet toutes les interprétations.

Ainsi la qualité de réfugié ne sera pas révoquée si la personne concernée peut infirmer la suspicion. La suspicion est considérée comme infirmée si la personne concernée peut établir de manière crédible que le voyage dans le pays d'origine n'a pas été volontaire, qu'elle n'a pas l'intention de se placer à nouveau sous la protection de cet Etat ou que cet Etat ne lui accorde pas sa protection. Il suffit donc que le requérant d'asile affirme qu'il ne veut pas se placer sous la protection de son pays d'origine et le voyage sera autorisé. C'est aussi simple que cela.Il s'agit là d'une inversion complète de la décision prise par le Conseil national (chambre prioritaire dans ce dossier) en application des motions de l'UDC et du PLR. Madame Sommaruga s'en moque manifestement. Elle ne cesse de renforcer les droits des migrants économiques. Quant à la volonté du Parlement, elle n'en a rien à faire.

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On peut se demander comment le Conseil fédéral a pu prendre ces décisions irréalistes et totalement contraires à la volonté du Parlement. Rappelons que les deux interventions parlementaires mentionnées sortent des rangs de l'UDC et du PLR qui comptent quatre conseillers fédéraux sur sept, donc forment la majorité du gouvernement.

Communiqué de presse de l'UDC suisse du 22 février 2018

Informations supplémentaires:
Andreas Glarner, conseiller national, membre de la direction du parti comme responsable de la politique de migration et d'asile
Natel 079 416 41 41

Berne offre encore 33 millions pour l’éducation… dans les autres pays.

La Suisse va augmenter sa contribution au fond de financement du Partenariat mondial pour l'éducation (PME). Elle versera 33,2 millions de francs entre 2018 et 2020, a indiqué à l'ats le vice-directeur de la DDC Thomas Gass en marge d'une conférence à Dakar.

L'an dernier, le Conseil fédéral avait annoncé le versement de 36 millions de francs pour la période de 2017 à 2020. Ce montant s'ajoutait aux 4 millions déjà engagés pour la même période.

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Source et article complet

Rappel:

Pendant que Neuchâtel doit faire des économies dans l’éducation, la Suisse offre 32 millions pour l’intégration des migrants

Il y a 10 ans, Yvan Perrin était témoin du coup d’Etat contre Blocher. Interview

Ci-dessus, Widmer-Schlumpf embrassée par un socialiste lors de l'éjection de Blocher

Il y a 10 ans, Yvan Perrin se sentait bien seul, orphelin de ce conseiller fédéral qui lui avait tant appris. Alors vice-président de l’UDC, il nous livre son analyse après la non-réélection de Christoph Blocher en décembre 2007.

Vidéo de l'interview d'Yvan Perrin ICI

Equivalence des bourses: Berne se réserve le droit de réagir.

Nos 7 politiciens ridiculisés aux yeux du monde entier après avoir donné plus d'un milliard à l'Union Européenne sans contrepartie menacent de régir: Bruxelles en tremble d'avance!

Ils viennent de découvrir avec quel mépris cette Union Européenne, tant adulée par la gauche, traite les faibles.

Cela démontre quelle immaturité et quel amateurisme règnent à la tête de notre pays.

Spécifiquement l'Union Européenne sait parfaitement que ce Conseil fédéral se couche à la moindre menace et que ce même gouvernement est prêt à trahir sa population, la démocratie sans aucun problème.

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Le Conseil fédéral se réserve le droit de réagir si la Bourse suisse n'obtient pas la reconnaissance de son équivalence ou seulement pour un an.

Une non-reconnaissance ou une reconnaissance limitée à un an serait une discrimination. Si celle-ci se confirme, le gouvernement étudiera des mesures de réaction. Interrogé sur leur nature, le porte-parole s'est toutefois refusé à donner plus de précisions.

 

Source

 

Suisse. Caisses maladie: Le Conseil fédéral veut réduire les rabais liés aux franchises hautes

Le taux de 70% serait maintenu pour la franchise de 1000 francs, et il baisserait à 60, 55 et 50% pour les franchises de 1500, 2000 et 2500 francs.

Le Conseil fédéral tient à revoir les rabais liés au choix d'une franchise dans l'assurance maladie. Face à la bronca soulevée par son projet, il est toutefois disposé à examiner avec le Parlement comme les échelonner afin de promouvoir au mieux la responsabilité individuelle.

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Source

 

Le conseil fédéral veut revoir les contingents de travailleurs étrangers à la hausse.

Le Conseil fédéral a répondu à la demande de Genève, Zurich et Bâle-Ville, qui souhaitaient pouvoir engager davantage de main d'oeuvre hors de l'UE.

La Suisse pourra accueillir 500 ressortissants extra-européens de plus l'an prochain, soit 8000 au lieu de 7500. Il s'agit de 3500 permis B (+500) et 4500 permis L de courte durée. Le Conseil fédéral a adopté mercredi la révision d'ordonnance nécessaire.

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Un scandale: le Conseil fédéral fait à l’UE un cadeau de 1,302 milliard de francs d’argent des contribuables

Communiqué de presse UDC Suisse, le 23 novembre 2017Le Conseil fédéral a accordé une fois de plus aujourd'hui à l'UE un dit "versement pour la cohésion", soit 1302 millions de francs, sans obtenir une contrepartie notable de Bruxelles.  Comme de coutume, la majorité du gouvernement continue ainsi de placer les intérêts de l'UE au-dessus de ceux de son propre pays. 

 

Comment expliquer autrement la décision du Conseil fédéral de verser une fois de plus 1,302 milliard de francs d'argent des contribuables à l'UE sans obtenir une contrepartie d'une valeur au moins approchante? Juste pour se faire valoir auprès de Jean-Claude Juncker, président de la Commission UE en visite à Berne, la présidente PDC de la Confédération lui a fait ce cadeau de Noël anticipé aux frais des contribuables suisses. Dans son habituelle attitude de soumission face à l'UE, le gouvernement helvétique joue ses atouts alors que le jeu n'a même pas encore véritablement commencé. Un diplomate agissant de manière aussi maladroite et non professionnelle en ignorant les intérêts de son pays serait immédiatement remplacé. Et comme si cela ne suffisait pas, la présidente de la Confédération Doris Leuthard a confirmé la volonté du Conseil fédéral de conclure un accord-cadre sur la reprise automatique de droit et la reconnaissance de juges UE, traité qui fera de la Suisse une colonie du moloch bureaucratique et antidémocratique bruxellois.

Il va de soi que l'UDC se battra de toutes ses forces dans le cadre de la procédure de consultation et des débats parlementaires contre ce scandaleux gaspillage d'argent appartenant au peuple. Elle invite aussi avec insistance le Conseil fédéral à ne pas faire de promesses à l'UE avant la décision du Parlement, même si cela est sans doute trop tard aujourd'hui. Quant au nouveau ministre PLR des affaires étrangères, il est appelé à assumer ses responsabilités, se séparer des diplomates du DFAE trop proches de l’UE et à défendre avec force les intérêts de la Suisse conformément à la volonté du souverain et à la Constitution fédérale.