États-Unis : Facebook et Twitter censurent des révélations du New York Post sur Hunter et Joe Biden

Twitter et Facebook ont tous deux pris des mesures de censure extraordinaires contre The New York Post mercredi, suite à ses révélations sur des e-mails de Hunter Biden – et ont lancé des accusations infondées selon lesquelles l’article utilisait du “matériel piraté”.

Cette mesure a été prise bien que la campagne du candidat à la présidence Joe Biden eut nié avoir quoi que ce soit dans son “agenda officiel” concernant la rencontre avec un responsable ukrainien de l’énergie en 2015 – et sans la moindre déclaration que l’ordinateur de son fils avait été piraté.

Le compte Twitter principal du New York Post a été verrouillé à partir de 14h20 mercredi parce que ses articles sur les messages obtenus à partir de l’ordinateur portable de Joe Biden enfreignaient les règles du réseau social contre la “distribution de matériel piraté”, selon un courriel que le Post a reçu de Twitter.

Twitter a également empêché les utilisateurs de partager le lien vers l’article du New York Post indiquant que Hunter Biden avait présenté Joe Biden à l’homme d’affaires ukrainien, qualifiant le lien de “potentiellement nuisible”.

“Conformément à notre politique en matière de matériel piraté, ainsi qu’à notre méthode de blocage des URL, nous prenons des mesures pour bloquer tout lien ou image du matériel en question sur Twitter”, a déclaré un porte-parole de Twitter du New York Post dans une déclaration.

L’entreprise a déclaré qu’elle avait pris cette mesure en raison de l’absence d’article faisant autorité sur l’origine du matériel inclus dans l’article du Post.

Les utilisateurs qui cliquaient sur le lien sur Twitter recevaient une alerte les avertissant que la page web pouvait être “dangereuse” et qu’elle pouvait contenir du contenu qui enfreindrait les règles de Twitter s’il était partagé directement sur la plateforme.

Cette mesure extraordinaire a été prise après que Facebook déclara qu’elle limitera la diffusion de l’histoire du New York Post sur sa propre plateforme. Le réseau social a ajouté que l’histoire pourra être examinée par des vérificateurs de faits indépendants.

Le sénateur américain Josh Hawley (R-Mo.) a envoyé une lettre au PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, mercredi, demandant des réponses sur les raisons pour lesquelles la plateforme a “censuré” les reportages du Post.

“La nature apparemment sélective de cette intervention publique suggère une partialité de la part de Facebook”, a écrit M. Hawley. “Et vos efforts pour supprimer la distribution de contenu révélant une activité potentiellement contraire à l’éthique par un candidat à la présidence soulève un certain nombre de questions supplémentaires, auxquelles j’attends des réponses immédiates”.

Hawley a ensuite envoyé une lettre similaire au PDG de Twitter, Jack Dorsey, fustigeant la société pour ce qu’il a qualifié d'”intervention inhabituelle qui n’est pas universellement appliquée à tous les contenus“.

Le sénateur a demandé à savoir comment Twitter avait déterminé que l’histoire du Post violait sa politique sur les contenus piratés et pourquoi la société avait pris “l’action sans précédent” de verrouiller le compte de l’organisation de presse.

“Je vous demande de répondre immédiatement à ces questions et de fournir les justifications nécessaires afin que vos utilisateurs puissent avoir la certitude que vous ne cherchez pas à influencer le résultat de l’élection présidentielle avec vos décisions de retrait de contenu”, a écrit M. Hawley.

New York Post

 

Via Fdesouche


Rappels :

Urgent! LesObservateurs.ch, censurés par Facebook pour une semaine, poursuivis en justice, dénoncés par la gauche, les islamo-gauchistes, etc., ont absolument et impérativement  besoin d’un soutien financier plus important.

États-Unis : une candidate républicaine au Sénat bloquée par twitter pour avoir critiqué l’immigration de masse et dénoncé ses conséquences en Europe

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Racisme : Facebook interdit les photos et vidéos du Père Fouettard

Un modérateur de Facebook évoque la censure et la modération sur le réseau social

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États-Unis : une candidate républicaine au Sénat bloquée par twitter pour avoir critiqué l’immigration de masse et dénoncé ses conséquences en Europe

[…] “Soyons clairs, l’immigration de masse a absolument détruit l’Europe”, a déclaré Lauren Witzke dans son tweet. “L’Italie, la France, la Suède et l’Allemagne ont accueilli des tonnes de migrants qui ne se sont jamais assimilés. Les viols, les meurtres et autres crimes odieux abondent. Je vais mettre fin à TOUTE l’immigration aux États-Unis pendant dix ans”.

Selon Twitter, le tweet viole ses règles contre les “comportements haineux”, avertissant la candidate au Sénat que des violations répétées entraîneraient la suppression de son accès à la plateforme. […]

 

Breitbart

Via Fdesouche

Faut-il que Twitter ferme le compte de l’Ayatollah Khamenei pour incitation au génocide ?

Jean-Patrick Grumberg le 3 août 2020

La Maison-Blanche a critiqué Twitter pour avoir étiqueté les tweets de Trump avec des avertissements d’incitation à la violence lorsqu’il annonçait l’intervention de la police pour calmer les Antifas, et décidé que les appels iraniens au génocide contre Israël ne violaient pas sa politique.

La formidable Kayleigh McEnany, secrétaire de presse de la Maison-Blanche a explosé Twitter en déclarant que le géant des médias sociaux faisait preuve d’un parti pris flagrant en ciblant les conservateurs, en particulier le président Trump.

Sa prise de position fait suite aux déclarations d’une responsable de Twitter, Ylwa Pettersson, qui a déclaré à la Knesset (1) allez-vous faire cuire un œuf que les appels iraniens à éliminer Israël n’étaient que « des propos de politique étrangère sur des questions militaires et économiques qui ne sont généralement pas en violation de nos règles ».

La responsable de Twitter a déclaré que les tweets dans lesquels le Guide suprême iranien, l’Ayatollah Khamenei, appelle à la destruction d’Israël ne violent pas les règles de Twitter contre les discours de haine, et qu’ils sont considérés comme de simples « attaques de politique étrangère ».

« Nous avons une approche envers les dirigeants, selon laquelle les interactions directes avec d’autres personnalités publiques, les commentaires sur les questions politiques du jour, ou le sabotage de la politique étrangère sur les questions militaro-économiques ne sont généralement pas en violation de nos règles », a déclaré Ylwa Pettersson, responsable de la politique de Twitter pour les pays nordiques et Israël, au Comité de la Knesset pour l’immigration, l’absorption et les affaires de la diaspora, par vidéoconférence.

Pettersson répondait à une question d’Arsen Ostrovsky, qui avait demandé pourquoi Twitter avait attaché une étiquette d’avertissement à un récent tweet du président américain Donald Trump, notant qu’il violait les règles de l’entreprise, alors que les nombreux tweets des dirigeants iraniens sur son souhait de voir Israël détruit sont restés sans réponse.

« J’ai trouvé [sa réponse] très révélatrice, et cela vous dit où se situent ces sociétés de médias sociaux : elles ne sont pas prêtes à évaluer les tweets de l’Ayatollah Khomeini mais elles sont prêtes à évaluer ceux du président Trump », a déclaré McEnany lors d’un point presse à la Maison-Blanche.

Depuis le mois de mai, un post-adolescent salarié de Twitter a commencé à ajouter des avertissements à certains des tweets du président américain – l’homme le plus puissant au monde – qualifiant certains d’entre eux de « non fondés » et avertissant les utilisateurs de vérifier les faits.

Et cela fait des années que Twitter est dénoncé pour son double standard, et peu importe qu’ils s’en rendent compte ou pas, puisque les dirigeants de Twitter ne font rien, soit par mauvaise foi, soit parce qu’ils ne voient que le mal qui les atteint dans leurs convictions. Ils laissent ainsi les dirigeants iraniens tweeter leur promesse de détruire Israël.

 Israël est une tumeur cancéreuse maligne dans la région de l’Asie occidentale qui doit être enlevée et éradiquée », a déclaré le Guide suprême iranien, l’Ayatollah Ali Khamenei, entre autres déclarations d’amour et de paix.

Malgré les demandes répétées des responsables israéliens, Twitter a ignoré les appels au retrait des tweets, les qualifiant de « commentaires sur l’actualité ».

« C’est vraiment épouvantable, et cela ne fait que souligner leur parti pris écrasant et aveuglant contre les conservateurs et contre ce président », a déclaré McEnany.

Pourquoi le compte du « guide suprême » ne doit pas être fermé

Suite à cela, de nombreux commentateurs ont demandé que le compte de Khamenei soit fermé. Ils font une grande erreur !

  1. Ce n’est pas la fermeture du compte de Khamenei qui va faire que du jour au lendemain, Twitter deviendra une entreprise honnête ! Ne leur servons pas sur un plateau ce prétexte dont ils se serviront ensuite pour clamer leur neutralité.
  2. Si le compte Twitter de Khamenei est fermé, comment saurons-nous quelles sont les intentions des fous de Dieu iraniens ? L’information n’est-elle pas cruciale, en période de conflit ? Ne faut-il pas à tout prix connaître les intentions de ceux qui veulent votre mort ? Les armées n’investissent-elles pas énormément de ressources pour espionner et connaître les pensées des ennemis du monde libre ?
  3. Si le compte de Khamenei était fermé, cela ne rendrait pas celui du président Trump plus ouvert : il ne pourrait toujours pas exprimer librement ce qu’il a à dire.
  4. La solution, donc, n’est pas de fermer le compte des uns, mais de laisser libre le compte des autres.Le compte Twitter du président Trump, je le vois grossir à vu d’œil, au fur et à mesure que nous nous approchons de l’élection de novembre. Il croît d’environ 100 000 nouveaux abonnés tous les 3-4 jours.

La censure dont le président américain est victime alors que Khamenei ne l’est pas a une explication toute simple que vous devez garder en mémoire en permanence : tous les événements politiques qui se produisent lors d’une année électorale sont en rapport avec cette année électorale et les résultats que les acteurs des événements en attendent.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.

(1) https://www.timesofisrael.com/twitter-tells-mks-khameneis-eliminate-israel-posts-dont-violate-its-rules/

source : https://www.dreuz.info/2020/08/03/faut-il-que-twitter-ferme-le-compte-de-layatollah-khomeini-pour-incitation-au-genocide/

Twitter s’attaque à Génération identitaire

Twitter fait le ménage. Le grand tri entrepris par le géant du net chez ses abonnés se poursuit, et vise désormais les comptes de Génération Identitaire. Le but pour la firme américaine : prouver qu'elle a grandi et ne tergiverse plus avec la haine en ligne.

Régulièrement accusé d’être bien trop accomodant avec les messages de haine en ligne, qui prolifèrent sur certains comptes de ses utilisateurs, Twitter s’attaque à Génération Identitaire. Selon Europe 1, « le réseau social ferme, un à un, tous les comptes du groupuscule d’extrême-droite ».

[...]

Nouvelobs.com

Nos remerciements à Pierre 1er

L’UE apporte son soutien à Twitter dans sa bataille contre Trump et appelle les géants du net à lutter contre la désinformation

Un rapport mensuel sur les mesures prises contre les fausses informations sera désormais demandé à Facebook, Twitter et Google, a annoncé ce mercredi la vice-présidente de la Commission chargée des valeurs et de la transparence.

L'Union européenne a appelé les géants du net à en faire davantage pour lutter contre l’«énorme vague de désinformation» suscitée par la pandémie du coronavirus. Bruxelles a aussi apporté son soutien à Twitter dans sa bataille contre Donald Trump.

[...]

20min.ch

Nos remerciements à Panterina

 

Trump attaque de front la censure des réseaux sociaux

Publié par Jean-Patrick Grumberg le 30 mai 2020

L’affaire couvait depuis des années. Les réseaux sociaux de la Silicon Valley ont « une forte culture de gauche » selon l’aveu même du patron de Facebook Mark Zuckerberg, et ils censurent les conservateurs à tout va – avec le soutien jovial des médias fourbes qui feignent de ne rien voir et disent que ça n’existe pas.

 

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En 2020 plus que jamais, aucun homme politique ne peut remporter une élection sans avoir recours aux réseaux sociaux. S’il est censuré, il perd, c’est aussi simple que ça.

Le président Trump, qui utilise frénétiquement son compte Twitter – bien trop à mon goût et quelques fois à tort et à travers – a déclaré qu’il se passerait volontiers de Twitter – et de ses 80 millions d’abonnés – s’il le pouvait.

Il a déclaré jeudi qu’il se débarrasserait de son compte Twitter s’il n’avait pas à affronter les Fake News des médias.

« Si nous avions une presse honnête dans ce pays, je me débarrasserais de mon compte en un clin d’œil », a déclaré M. Trump aux journalistes dans le Bureau ovale lorsqu’on lui a demandé s’il avait envisagé de supprimer son compte Twitter compte tenu de ses récentes critiques à l’encontre du géant des médias sociaux.

Un pouvoir immense, total, hors contrôle

On ne peut pas ignorer l’influence des réseaux sociaux. Ils sont tout-puissants, et d’une ascendance immense sur la vie réelle.

  • Ils sont indispensables à la vie politique et aux échanges d’idées qui ont de l’influence sur l’évolution de la société.
  • Ils construisent des carrières et détruisent des vies, déclenchent des émeutes et des révolutions, envoient des gens en prison et d’autres à la mort.
  • Ils aident à élire des présidents et à exposer des politiciens corrompus.
  • Ils servent à recruter des terroristes, à organiser des attentats, et permettent aussi de les éviter.
  • Ils servent à créer – et démasquer – des réseaux pédophiles.
  • Ils peuvent totalement confisquer la liberté d’expression d’une personne ou d’un groupe.

Une poignée de quatre ou cinq multimilliardaires gauchistes, sans personne au-dessus d’eux, sans contrôle, décide ce qu’on a le droit de dire, qui a le droit de parler, et qui sera censuré.

Ce pouvoir immense leur est naturellement monté à la tête, il est monté à la tête de Jack Dorsey, le patron de Twitter, de Mark Zuckerberg le patron de Facebook, et de ceux de Google, donc YouTube. Et il est difficile de le leur reprocher : c’est toute l’histoire de l’homme, le pouvoir enivre, et fait désirer plus de pouvoir encore.

Le pouvoir de censurer l’homme le plus puissant au monde par exemple : le président des Etats-Unis.

Twitter franchit la ligne rouge en censurant le compte du président américain

Il y a deux jours, le « directeur de l’intégrité » chez Twitter, un jeune militant d’extrême gauche nommé Yoel Roth, s’est cru plus puissant que l’homme le plus puissant du monde. Et d’une certaine façon, il l’est : sa position lui a permis de fact-checker les tweets du président, et décider de les autoriser ou les interdire.

Ce qu’il a fait.

Pour la première fois de l’histoire du réseau social, Twitter a fact-checké un tweet et fait une mise en garde sur le tweet du président.

Faute majeure. Rendue possible parce que les dirigeants et les cadres de la Silicon Valley sont très à gauche, très riches, très puissants, et qu’ils censurent depuis des années les voix conservatrices sans avoir aucun compte à rendre, sans que personne ne puisse rien faire (Dreuz en est aussi victime).

Roth, aveuglé par sa haine et son dégoût pour Trump, Roth qui a plusieurs fois écrit qu’il y a un nazi à la Maison-Blanche, n’a pas vu à qui il avait affaire.

Le petit Roth s’est cru plus puissant que le président des Etats-Unis, plus puissant que Donald Trump. Et il l’était. Grâce à « l’article 230 » de la loi américaine.

« Article 230 »

Les acteurs des réseaux sociaux et de l’internet bénéficient d’une protection juridique totale par les vertus d’une loi « l’article 230 ». En bref : on ne peut pas les attaquer en justice. Vous imaginez ! Aucun risque de procès quoi qu’ils fassent.

Cette loi d’exception les établit non pas comme éditeurs, comme publications responsables du contenu qu’elles diffusent, mais comme simples transporteurs d’informations, un peu comme une compagnie téléphonique n’est pas responsable de ce que les gens se disent lorsqu’ils communiquent entre-eux, parce qu’elles n’ont aucun contrôle sur le contenu : elles se contentent de transporter les informations de leurs clients.

C’est le statut d’exception dont jouissent les réseaux sociaux.

Ainsi, on ne peut pas les poursuivre en diffamation, ou pour calomnie, ou pour insultes et menaces de mort, et ils ne peuvent pas être poursuivis pour violation de la liberté d’expression protégée par le 1er amendement de la Constitution : ils échappent à tout contrôle.

Jusqu’au moment où ils se conduisent non plus en distributeur mais en publication, en fact-checkant les messages, qui est le travail d’un éditeur.

Ce qui a été censuré

  • Il y a deux jours, le président a tweeté son opposition au vote par correspondance que réclament les Démocrates à cause du coronavirus, disant qu’il ouvre la voie à une fraude massive.
  • Roth a décidé que Trump n’avait pas le droit de dire ça.
  • Alors il a « fact-checké » le tweet du président en disant qu’il était trompeur.

« Il n’y a AUCUNE FAÇON (ZÉRO !) que les bulletins de vote par correspondance ne soient pas substantiellement frauduleux.

Des boîtes aux lettres seront cambriolées, des bulletins seront falsifiés et même imprimés illégalement et signés frauduleusement.

Le gouverneur de Californie envoie des bulletins de vote à des millions de personnes, toute personne vivant dans l’État, peu importe qui elle est ou comment elle y est arrivée, elle recevra un bulletin de vote », a tweeté Trump.

« Cela sera suivi par des professionnels qui diront à toutes ces personnes, dont beaucoup n’ont jamais pensé à voter avant, comment et pour qui voter. Ce sera une élection truquée. Pas question ! »

Censurer or not censurer, that is the question

Si Twitter censure, il est éditeur et non plus distributeur. S’il est éditeur, il doit rendre des comptes. S’il rend des comptes, il ne peut plus censurer de manière arbitraire

Evidemment, le président disait vrai, le vote par correspondance permet la fraude, mais là n’est pas la question.

  • Le vote par correspondance est vulnérable à la fraude et les cas sont nombreux et connus, même si les Démocrates et les médias le nient, parce qu’ils comptent sur le vote par correspondance pour remporter l’élection en novembre en organisant une fraude massive.
  • Mais la vraie question est de savoir si Twitter a le droit de décider ce qu’on peut dire et ce qu’on n’a pas le droit de dire, simplement parce que ça ne lui plaît pas ; s’il a le droit de censurer les uns et pas les autres.
  • Si oui, alors Twitter n’est plus un simple distributeur d’information mais un éditeur, et il ne peut pas bénéficier de la protection juridique de l’article 230.

Et là, l’édifice s’écroule : si Twitter censure, il est éditeur. S’il est éditeur, il doit rendre des comptes. S’il rend des comptes, il ne peut plus censurer de manière arbitraire.

Dans un tweet, Trump a déclaré :

« .@Twitter s’immisce maintenant dans l’élection présidentielle de 2020.

Ils disent que ma déclaration sur les bulletins de vote par correspondance, qui entraînera une corruption et une fraude massives, est incorrecte, sur la base d’une vérification des faits par le Fake News CNN et le Washington Post d’Amazon », a-t-il écrit dans un tweet.

« Twitter étouffe complètement la liberté d’expression et, en tant que président, je ne le permettrai pas », a-t-il déclaré dans un autre tweet.

C’est le levier que le président Trump vient d’actionner dans un ordre exécutif.

Twitter tire sur la corde et censure encore le président

Yoel Roth se sent plus fort que Donald Trump, et malgré les menaces du président, il a censuré un autre de ses tweets.

En réponse aux émeutes de Minneapolis et aux destructions par les Antifas et les émeutiers professionnels – y compris le bâtiment du 3e commissariat de police de Minneapolis – le président Trump a publié deux tweets ce vendredi matin en évoquant George Floyd, qui est mort lundi, apparemment après avoir été plaqué au sol par la police de Minneapolis.

  • Le premier tweet disait :

« Je ne peux pas rester là à rien faire et regarder ce qui arrive à une grande ville américaine, Minneapolis », a écrit Trump dans le premier des tweets censurés.

« [C’est] un manque total de leadership. Soit le très faible maire de la gauche radicale, Jacob Frey, se ressaisit et met la ville sous contrôle, soit j’envoie la Garde nationale [et] je fais le travail moi-même. »

  • Le second était pour dénoncer les « voyous qui déshonorent la mémoire de George Floyd et je ne laisserai pas ça arriver… Quand les pillages commencent, les coups de feu suivent » ajoutait le président.

Twitter a censuré les deux tweets de Trump, en les remplaçant par l’explication suivante :

« Ce Tweet a violé les règles de Twitter concernant la glorification de la violence. Cependant, Twitter a déterminé qu’il pourrait être dans l’intérêt du public que le Tweet reste accessible ».

Selon Roth, Trump « violait les règles de Twitter concernant la glorification de la violence » parce qu’il dénonçait la violence et disait qu’il allait envoyer l’armée pour rétablir l’ordre… mais Twitter n’a pas censuré les tweets des Antifas qui appelaient directement à commettre des violences à Minneapolis.

En réponse, le président a dénoncé le double standard de Twitter, et a promis d’agir.

« Twitter ne fait rien contre tous les mensonges et la propagande de la Chine ou du Parti de gauche radicale Démocrate. Ils ont ciblé les Républicains, les conservateurs et le président des États-Unis.

L’article 230 devrait être révoqué par le Congrès.

D’ici là, ce sera réglementé ! »

A force de tirer sur la corde, elle s’est cassée, Trump va réglementer les réseaux sociaux

Jeudi, le président Trump a signé un décret (1) destiné à empêcher la censure sur les réseaux sociaux.

Il a demandé à la Commission fédérale des communications (FCC) qu’elle réexaminer l’article 230 qui protège les entreprises de médias sociaux de toute responsabilité.

Le président a déclaré :

Les grandes entreprises qui traitent injustement des millions de citoyens américains ne devraient pas s’attendre à des privilèges et des protections spéciales en vertu de la loi.

Avec ce décret, notre pays fait un pas de plus vers un débat public honnête et équitable.

Dans le détail, le décret explique :

  • La politique américaine veut que les plateformes qui éditent, censurent ou n’agissent pas de « bonne foi » en ce qui concerne le contenu, ne bénéficient pas de la protection en matière de responsabilité prévue à l’article 230 de la loi sur la décence en matière de communications (Communications Decency Act).
  • Je charge le ministère du Commerce de demander à la FCC de clarifier les règles de la section 230 en accord avec la politique américaine.
  • J’interdis que des millions de dollars du contribuable ne soient gaspillés par les agences fédérales pour faire de la publicité sur des plateformes de médias sociaux biaisées.
  • Le ministère de la Justice examinera plus de 16 000 plaintes relatives à la censure pour motifs politiques, recueillies par la Maison Blanche avant le sommet sur les médias sociaux qui s’est tenu l’année dernière.
  • Je mobilise les procureurs généraux des États qui disposent d’un nombre considérable d’assignations à comparaître et d’autorités de protection des consommateurs, pour s’assurer que les plateformes de médias sociaux ne se livrent pas à des actes ou des pratiques déloyales ou trompeuses.
  • Ce décret agit comme une loi fédérale, et énumère les nombreuses façons dont les plateformes technologiques agissent avec des préjugés contre les points de vue qu’elles désapprouvent.

Finalement, la fraude au vote par correspondance, mythe ou réalité ?

Si vous lisez les journaux, vous serez enclin à croire que non seulement il n’existe pas de fraude électorale, mais que le sujet est clos et que nous ne sommes même pas autorisés à en parler.

Alors parlons-en.

Voici 16 exemples récents de fraude électorale (qui n’existe pas).

  1. Caroline du Nord, 2018. L’une des affaires de fraude les plus médiatisées par les mêmes médias qui disent qu’il n’y a pas d’affaire de fraude.Le comité électoral de Caroline du Nord a annulé le résultat de l’élection dans le 9e district du Congrès et a ordonné la tenue d’une nouvelle élection.Des preuves de fraude sur les bulletins de vote par correspondance sont apparues sur environ 61% de tous les votes par correspondance.
  2. Texas 2018. Dennis Jones a battu Tracy Gray d’une voix lors des primaires républicaines au Texas pour un siège au tribunal des commissaires du comté de Kaufman.Gray a contesté le résultat, alléguant qu’un voteur avait soumis des bulletins de vote par correspondance illégaux.Après une audience, un juge de l’État a invalidé les résultats et a ordonné une nouvelle élection, que Gray a remportée par 404 voix.
  3. Texas, 2018. Autre affaire de fraude au Texas. Armando O’Cana a apparemment remporté la mairie de Mission, au Texas, en battant le maire sortant Norberto « Beto » Salinas.Mais après l’apparition de preuves solides que la campagne de M. O’Cana avait soudoyé les électeurs, falsifié les bulletins de vote par correspondance et « aidé » indûment les électeurs lors du scrutin, le juge d’État J. Bonner Dorsey a invalidé le résultat.
  4. Floride, 2017. Le maire d’Eatonville, en Floride, Anthony Grant, a été reconnu coupable d’un délit de fraude électorale et de délit de violation du droit de vote par correspondance.
  5. Floride, 1998. Une enquête sur l’élection du maire de Miami révéla une vaste affaire de fraude qui concernait plus de 5 000 bulletins de vote par correspondance.
  6. Alabama 2017. Un juge de l’État d’Alabama a annulé le résultat d’une course pour le conseil municipal de Wetumpka dans laquelle le président sortant Percy Gill semblait avoir gagné par trois voix.Un procès a montré que huit bulletins de vote par correspondance déposés pour Gill avaient soit une fausse signature, soit n’étaient pas notariés ou signés devant le nombre requis de témoins.
  7. Alabama 2016. Course à la mairie de Gordon. Elbert Melton l’a emporté par 16 voix. Melton a ensuite été condamné pour deux chefs d’accusation de fraude au vote par correspondance et a été démis de ses fonctions.
  8. Missouri 2016. La représentante de l’État du Missouri, Penny Hubbard, a remporté les primaires démocrates de 2016 dans le 78e district de la Chambre de l’État par seulement 90 voix.Son adversaire, Bruce Franks Jr, a contesté le résultat. Le juge Rex Burlison a estimé qu’il y avait eu tellement de votes par correspondance irréguliers, qu’il a ordonné une nouvelle élection. Franks a gagné par 1 533 voix.
  9. Texas 2016. L’ancien commissaire de la ville de Weslaco, Guadalupe Rivera, a plaidé coupable d’avoir falsifié 30 bulletins de vote par correspondance pour remporter l’élection.
  10. New Jersey 2015. Fernando Gonzalez a remporté une victoire avec 10 voix sur Sergio Dias pour un siège au conseil municipal de Perth Amboy, dans le New Jersey.Après avoir déterminé qu’au moins 13 bulletins de vote par correspondance avaient été déposés illégalement, une cour supérieure de l’État a annulé les résultats et ordonné une nouvelle élection.
  11. New York 2014. Le candidat à l’Assemblée de l’État de New York, Hector Ramirez, a plaidé coupable d’un chef d’accusation pour possession d’un faux instrument pendant sa campagne de 2014.Les procureurs ont accusé Ramirez d’avoir trompé les électeurs pour qu’ils donnent leurs bulletins de vote par correspondance à sa campagne en partant du principe erroné qu’il les soumettrait. Au lieu de cela, il a inséré son nom sur au moins 35 bulletins.
  12. Pennsylvanie, 2009. Richard Allen Toney, l’ancien chef de la police du canton de Harmar, a plaidé coupable d’avoir illégalement sollicité des bulletins de vote par correspondance au profit de sa femme et de son colistier lors des primaires démocrates. Le décompte des votes par correspondance a fait basculer les résultats des primaires, assurant ainsi la victoire du colistier de sa femme.Au cours d’une enquête du FBI, les procureurs ont déclaré que Toney avait tenté d’empêcher deux témoins du grand jury et d’autres personnes de témoigner. Il a été condamné à trois ans de mise à l’épreuve.
  13. Virginie 2012. Après une enquête fédérale sur une fraude électorale en Virginie occidentale, le shérif du comté de Lincoln, Jerry Bowman, et le greffier du comté, Donald Whitten, ont plaidé coupable d’avoir rempli des urnes et falsifié des bulletins de vote par correspondance pour tenter de voler une élection primaire démocrate en 2010. Un juge a annulé l’élection, en rejetant 300 bulletins frauduleux.
  14. Mississipi 2007. L’une des affaires les plus complexes est survenue dans une juridiction rurale pour une opération de fraude massive d’électeurs absents, gérée par la machine locale du Parti démocrate. Les procureurs ont déclaré que les notaires payés par la machine prenaient les bulletins de vote dans les boîtes aux lettres et les votaient à la place des électeurs visés.
  15. Alabama 2004. La Cour suprême de l’Alabama a annulé les résultats d’une course à la mairie de Guntersville après avoir constaté que des bulletins de vote par correspondance avaient été déposés sans identification appropriée et auraient dû être rejetés.
  16. Indiana 2003. Lors de la course à la mairie de East Chicago, dans l’Indiana, le challenger George Pabey a battu le jour du scrutin le candidat sortant, Robert Patrick, qui avait été réélu pour huit mandats, mais il a perdu par 278 voix après avoir reçu environ 2 000 bulletins de vote par correspondance contrefaits.

Les journalistes ont donc raison : si l’on exclut ces cas, la fraude électorale par correspondance n’existe pas.

Par ailleurs, les informations sur environ 24 millions d’électeurs, soit 1 électeur sur 8, ne sont plus valides ou sont inexactes, et 1,8 million sont décédés, mais toujours sur les listes (2).

Enfin, dans mon comté de Los Angeles, 112 % des habitants du comté sont inscrits sur les listes électorales.

Conclusion

Sommes-nous vraiment à l’aise qu’une poignée de petits jeunes milliardaires de la technologie contrôlent le flux d’informations ?

Existe-t-il d’autres exemples dans l’histoire de l’humanité, où les propos de l’ensemble des conservateurs de la planète entière sont sous contrôle d’une poignée de quatre ou cinq personnes, obligeant les auteurs à des gymnastiques intellectuelles constantes et une auto-censure des propos qu’ils savent être interdits, pour éviter la fermeture de leurs moyens d’expression ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

source: https://www.dreuz.info/2020/05/30/trump-attaque-de-front-la-censure-des-reseau-sociaux/

Twitter : le hashtag antisémite #Sijetaitunjuif en tête des thèmes

Les réseaux sociaux connaissent régulièrement des poussées de fièvre antisémite. Dernière en date, le 18 mai, avec le hashtag #Sijetaitunjuif [sic] sur Twitter qui a suscité un flot de messages haineux, si nombreux que le sujet s'est retrouvé pendant plusieurs heures en tête des thèmes les plus discutés sur ce réseau social en France.

 

 

Lepoint.fr

Marine Le Pen soumise à une expertise psychiatrique pour avoir tweeté des images de Daesh

La présidente du Rassemblement national a été mise en examen en mars dernier pour avoir diffusé des images d'exactions de Daesh sur Twitter.

 

Tweets racistes : deux poids deux mesures ? Une activiste américaine conservatrice a fait le test

Pour dénoncer les tweets racistes anti-blancs postés par la journaliste américaine Sarah Jeong, l'activiste politique Candace Owens a décidé d'en poster en remplaçant le mot «blanc» par «noir» ou «juif» : Twitter n'a pas tardé à réagir.

Candace Owens, commentatrice politique américaine aux plus de 600 000 abonnés sur Twitter et directrice de l'association conservatrice pour étudiants Turning Point USA, a réagi à la polémique provoquée outre-Atlantique par la mise en lumière d'anciens tweets racistes de la journaliste Sarah Jeong. Ces tweets, ciblant les Blancs, ont refait surface après l'annonce du recrutement de cette dernière par le New York Times.

Le 4 août, Candace Owens a ainsi décidé de poster sur Twitter des messages identiques à ceux de Sarah Jeong, en prenant soin de changer la catégorie des personnes visées par les propos insultants.

 

 

Ainsi, reprenant à l'identique un tweet posté en 2014 par la journaliste américaine, dans lequel celle-ci évoquait la «logique» qui voudrait que les Blancs puissent «uniquement vivre sous terre, rampant comme des gobelins» puisqu'«ils brûlent plus vite au soleil», Candace Owens a remplacé le mot «Blanc» par «Noir».

 

 

De la même façon, l'activiste conservatrice a changé le mot «Blanc» par «juif» dans un tweet regroupant différents propos rédigés par Sarah Jeong à l'encontre des Blancs. La journaliste avait notamment comparé «les putains d'idiots de Blancs qui marquent internet avec leurs opinions» à «des chiens qui pissent sur les bouches d'incendie» dans un tweet, et lancé le hashtag #cancelwhitepeople (faire disparaître les Blancs) dans un autre.

 

 

Après avoir posté ces tweets, Candace Owens a vu son compte Twitter suspendu temporairement, dû à des signalements.

 

Il semble que nous ayons fait une erreur

 

Douze heures plus tard, le réseau social réactivait le compte de la commentatrice politique, expliquant avoir commis une erreur : «Nous avons restauré votre compte et nous excusons pour la gêne occasionnée. Twitter prend très au sérieux les signalements de violations de ses règles. Après avoir examiné votre compte, il semble que nous ayons fait une erreur», peut-on lire sur une capture d'écran d'un mail envoyé par [email protected], publiée par Candace Owens.

 

 

La suspension temporaire du compte de Candace Owens a, en tout état de cause, suscité l'indignation d'une frange conservatrice des internautes anglophones, qui, réagissant avec le hashtag «#freecandace», ont vivement dénoncé le «deux poids deux mesures» adopté selon eux par le réseau social en termes de modération. Ils ont fait valoir que le compte Twitter de la journaliste n'avait, selon eux, pas eu à subir de suspension. Certains des tweets de Sarah Jeong, offensants à l'encontre des Blancs, sont en outre toujours en ligne.

 

 

 

Des internautes de droite accusent Twitter de partialité, malgré sa mise au point

David Knight, présentateur d'une émission sur le controversé site de droite alternative Infowars, a pour sa part évoqué un deux poids deux mesures dans l'application du premier amendement de la Constitution américaine (qui garantit, entre autres, la liberté d'expression aux citoyens américains), s'interrogeant en ces termes sur Twitter : «Allons-nous défendre la liberté d'expression même si nous n'aimons pas la personne ou le discours ? Allons nous bénéficier du premier amendement [de la Constitution américaine] ou d'un double standard ?»

 

 

Entre autres exemples d'internautes outrés, celle-ci a fustigé l'hypocrisie de Twitter...

 

 

... tandis que, qualifiant Twitter de «gauchiste», cet autre commentateur a encouragé le camp conservateur à «trouver une [autre] plateforme libre de censure».

 

 

De retour sur Twitter après la levée de suspension de son compte, Candace Owens s'est dite épatée par le nombre de «patriotes» qui l'ont soutenue dans sa démarche.

Après cet épisode, la commentatrice politique s'est exprimée sur sa vision du racisme aux Etats-Unis, à travers une vidéo diffusée en direct sur le réseau social. Dans cette séquence, elle a tenu à exprimer son indignation concernant le recrutement de la journaliste américaine Sarah Jeong par le New York Times, et a invité le journal à prendre ses distances avec elle.

 

 

RT France

 

Rappels :

Tollé après l’embauche par le New York Times d’une journaliste accusée de racisme anti-Blancs

États-Unis : une journaliste souhaitant « voir disparaître ces chiens de Blancs » rejoint le comité de rédaction du New York Times

 

Facebook: La Licra fête la censure des identitaires: “120000 fans évaporés en quelques secondes. C’est Noël avant la date !”

La Licra est donc officiellement favorable à l'invasion de l'Europe par des clandestins africains et musulmans:

"Les pages de Génération Identitaire ont disparu depuis ce matin. Visiblement, ils ont été rattrapés par la patrouille ! 120000 fans évaporés en quelques secondes. C’est Noël avant la date !"

 

 

licra

 

 

Des employés de Twitter surveilleraient même les photos privées des utilisateurs

Interrogés en caméra cachée par Project Veritas, des ingénieurs de Twitter ont confié que toute activité sur le site était enregistrée, messages (très) privés compris, pour dresser le profil des utilisateurs et revendre leurs données personnelles.

Après avoir révélé une méthode de censure discrète appliquée par Twitter, le shadowban, qui cible les utilisateurs jugés politiquement incorrects, c'est une autre facette orwellienne de la firme que l'organisation américaine Project Veritas, qui se donne pour mission de révéler des scandales à l'aide d'une caméra cachée, a mis à jour le 15 janvier : la collecte de données personnelles.

Tout vos messages à caractère sexuels, photos de b..., toutes les filles avec lesquelles vous vous êtes amusé, sont sur mon serveur

Interrogé en caméra cachée, Pranay Singh, ingénieur dans l'entreprise, confie ainsi que toutes les données qui ont un jour été publiées sur le site sont scrupuleusement conservées afin de pouvoir dresser le profil le plus complet possible de l'utilisateur, et vendre ces informations à des tiers. «Tout ce que vous envoyez est stocké sur mon serveur. Vous ne pouvez pas l'effacer, c'est déjà sur mon serveur», assure-t-il, martelant que toutes les actions faites par un utilisateur (écrire un message, aimer un contenu,...) «ne disparaissent jamais».

Et l'ingénieur de préciser dans un sourire qu'il en est de même pour les messages privés qu'il est possible de s'envoyer d'un utilisateur à l'autre : «Tout vos messages à caractère sexuels, photos de b*tes, toutes les filles avec lesquelles vous vous êtes amusé, sont sur mon serveur.» Selon lui, un algorithme se charge d'analyser les messages privés dès leur publication, affinant ainsi le profil utilisateur qui sera notamment revendu à des annonceurs.

«C'est le terrifiant big brother»

Clay Haynes, un autre ingénieur de Twitter piégé par le journaliste, n'y va pas par quatre chemin pour qualifier les pratiques de l'entreprise : «C'est le terrifiant Big brother.»

«J'ai vu plus de pénis que j'aurais voulu en voir dans ma vie», confie-t-il avant d'ajouter laconiquement : «Plein de b*tes.»

Pour Mihai Florea, un ingénieur software de l'entreprise également interrogé en caméra cachée, cette collecte intensive de données n'est ni plus ni moins que le modèle économique de Twitter : «Vous payez avec vos données le droit d'utiliser notre site.» Mais l'ingénieur se veut rassurant : «Nous ne sommes pas aussi terrifiant que Google ou Facebook, mais nous savons des choses...»

Une pratique qui ne se limite d'ailleurs pas aux utilisateurs inscrits sur le site, mais à tous ceux qui le visitent, selon Conrado Miranda, un ancien ingénieur de l'entreprise lui aussi piégé par Project Veritas. Et selon lui, personne n'est jamais vraiment un inconnu pour Twitter même lors de sa première visite sur le site. «Vous laissez bien plus d'informations que vous ne pensez», assure-t-il, expliquant que Twitter fournit des publicités pour d'autres sites et récupère les informations qu'y laissent les utilisateurs.

Dans un communiqué cité par Buzzfeed, un porte-parole de Twitter a nié examiner de façon proactive les messages privés. «Un nombre limité d'employés ont accès à ces informations, à des fins de travail légitime, et nous appliquons des protocoles d'accès stricts pour ces employés», a-t-il assuré.

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Allemagne: «Musulmans violeurs»: le tweet d’une élue de l’AFD est censuré. La police de Cologne dépose plainte contre elle.

A noter que les "médias" romands n'ont pas publié les agressions sexuelles de cette année.

A contrario, ils ne vont bien entendu pas louper un article pareil (articles visibles ici et ici), tout en cachant soigneusement ce qui se passe dans les rues allemandes avec l'immigration et les "pauvres réfugiés". Ainsi, le parti de l'AFD peut aisément être présenté comme "xénophobe" tout en protégeant les délits et les crapuleries des migrants. Le système est parfait.

Pour ces journalistes, un tweet est donc plus ignoble que le meurtre d'une adolescente allemande par un "réfugié", crime qui a été passé sous silence par nos médias. Et l'on comprend très bien pourquoi.

Quant à la nouvelle loi, digne d'un régime totalitaire (notre article ici), elle émane bien évidemment du gouvernement allemand qui a imposé une immigration de masse au détriment des autochtones. Ainsi, loin de se remettre en cause, ils imposent à leurs propres concitoyens d'accepter l'inacceptable et de se taire. Oui, c'est ainsi que le progressisme se considère comme porteur de paix et de bien-être.

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La responsable du parti Alternative pour l'Allemagne a vu son tweet retiré des réseaux sociaux après avoir comparé les réfugiés à des «hordes de barbares».

«Que diable se passe-t-il dans ce pays? pourquoi la police publie-t-elle désormais ses messages officiels en arabe?», s'est emportée Beatrix von Storch. «S'adresse-t-elle par ce biais aux hordes d'hommes barbares, musulmans et violeurs pour chercher à les amadouer?», a-t-elle ajouté. Une référence explicite aux agressions sexuelles dont avaient été victimes de nombreuses femmes à Cologne lors du Réveillon de la Saint-Sylvestre 2016 de la part de jeunes migrants, une affaire qui avait scandalisé le pays.

La réplique de la députée Alternative für Deutschland (AfD), Beatrix von Storch, aux messages sur Twitter de la police de Cologne appelant pour la Saint-Sylvestre à la prudence dans différentes langues, faisait référence aux nombreuses agressions sexuelles commises il y a deux ans, le 31 décembre, par des migrants.

Mais l’élue d'extrême droite, très active sur les réseaux sociaux et connue pour ses commentaires robustes, fait partie des premières personnes frappées par la nouvelle loi sur les réseaux sociaux entrée en vigueur ce 1er janvier.

« Fin de l'état de droit »

Le texte prévoit des amendes très lourdes pour Facebook et Twitter notamment si ces plateformes n’effacent pas rapidement des publications incitant à la haine.

Beatrix von Storch parle de « censure » et dénonce « la fin de l’Etat de droit ». La députée estime qu’avant que ses publications soient effacées, son immunité parlementaire devrait être levée et qu’un jugement devrait la condamner au terme d’un procès.

Twitter et Facebook ont effacé le message de l’élue dont le compte a été bloqué pendant quelques heures. La police de Cologne a elle déposé plainte contre Beatrix von Storch pour « incitation à la haine ».

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Censure ? Twitter lance une purge des comptes identitaires

Avec le durcissement de ses conditions d’utilisation, le réseau social a banni certains comptes dont ceux de Génération identitaire et des membres du mouvement nationaliste Britain First, dont Jayda Fransen. Des internautes dénoncent une censure.

Après les nombreuses critiques essuyées par le réseau social Twitter, accusé de diffuser des fake news, de censurer la moindre nudité mais de laisser prospérer des contenus de propagande, d’incitation au djihad ou à la haine, Twitter a progressivement durci ses contrôles et ses conditions d’utilisation. De nouvelles dispositions sont entrées en vigueur le 18 décembre, bannissant les «conduites haineuses».

Les comptes identitaires tels que ceux des membres du mouvement politique Britain First, ceux du groupe anti-immigration et anti-islam Génération identitaire ou encore de la page Pont d’Arcole (28 000 abonnés) sont alors passés à la trappe. Le compte de Yann Merkado, le fondateur du site suavelos, a lui aussi été supprimé, tandis que le compte du site n’a pas été banni.

La mesure a donc frappé les comptes du mouvement anglais anti-immigration et anti-islam Britain First, dont les chefs de file, Paul Goulding et Jayda Fransen, ont été expulsés du réseau. Cette dernière était sortie d’un relatif anonymat grâce au retweet par le président américain Donald Trump de trois vidéos virales ciblant des musulmans, qu'elle avait postées sur son compte. D’autres comptes contrevenant aux nouvelles règles ont été suspendus, comme celui de la Ligue de défense juive.

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Twitter: Des utilisateurs bloqués par Donald Trump attaquent le président américain en justice

Donald Trump est un utilisateur assidu de Twitter. Et même sur le réseau social, il ne se lasse pas de faire taire ses détracteurs. Des utilisateurs de Twitter ont annoncé mardi avoir intenté une action en justice contre le président américain.

La raison ? L’accès à son compte leur a été interdit, a annoncé Knight First Amendment Institute, une organisation basée à l’université Columbia de New-York.

« Un canal de communication clé »

Les internautes bloqués ne peuvent ni lire les tweets du président ni interagir avec lui. Pour l’organisation, ce blocage viole aussi les droits des autres utilisateurs du réseau social car l’espace de discussion a été purgé de voix discordantes.

S’il possède un compte officiel (@Potus), le président américain utilise surtout son compte personnel, « un canal de communication clé entre le président et le public », poursuit Knight First Amendment Institute dans un communiqué.

Ils « enfreignent le premier amendement »

Elle estime que Donald Trump et son service de communication « enfreignent le premier amendement » de la Constitution américaine « en bloquant l’accès d’utilisateurs au compte Twitter parce qu’ils ont critiqué le président ou sa politique ».

La Maison Blanche utilise ce compte personnel « pour faire des annonces officielles, défendre les décisions et les actions officielles du président, rendre compte des rencontres avec des dirigeants étrangers et promouvoir les positions du gouvernement ».

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Attentat de Paris. Policier tué. La priorité pour Thomas Monnier, journaliste: “Le pire, c’est que Marine Le Pen en profite.”

Florilège des "personnalités" françaises à la suite de l'attentat en France: un niveau d'une bassesse inouïe. 

Thomas Monnier, journaliste à Télé Star, Closer Magazine. Ce dernier semble avoir effacé son compte twitter lorsqu'il s'est rendu compte que les internautes ne laisseraient pas passer une pareille provocation. 

 

Thomas Guénolé, "politologue", anti-FN primaire et défenseur de l'islam exige de ne pas procéder à des commentaires à la suite de l'attentat. 

 

Christophe Girard, maire PS du 4ème arrondissement de Paris

 

Bruno Masure, journaliste, "très au courant de ce qui se passe":

Twitter a suspendu 377’000 comptes faisant l’apologie du terrorisme

Le réseau social Twitter a annoncé mardi avoir suspendu 376'890 comptes sur les six derniers mois dans sa lutte contre les publications faisant l'apologie du terrorisme, soit 60% de plus que sur le précédent semestre.

Twitter avait commencé à donner ces chiffres il y a un an. En cumulé, le réseau social a supprimé quelque 636'248 comptes avec de tels contenus, sur la période allant du 1er août 2015 au 31 décembre 2016.

Le réseau social américain a également indiqué avoir engagé depuis 2010 un partenariat avec l'organisme de recherche américain Lumen. Ce dernier agit comme "tierce partie indépendante".

Requêtes du FBI

Twitter précise que les demandes d'information de la part d'autorités gouvernementales ont augmenté de 7% par rapport à la période précédente, mais ont porté sur 13% de comptes en moins. Concernant les demandes de suppressions de compte, elles ont augmenté de 13%, mais là encore portant sur un nombre de comptes en baisse de 37%.

Aux Etats-Unis, le FBI a autorisé Twitter à faire état de demandes de surveillance spécifiques portant sur deux comptes, levant le secret qui pesait sur ces requêtes adressées à Twitter.

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Donald Trump veut continuer à utiliser Twitter à cause de la malhonnêteté des médias

Christian Hofer: Voilà qui répond à la réaction stupide de Doris Leuthard. Trump avait dénoncé depuis belle lurette le mépris des médias à son égard, notamment lors de l'élection présidentielle. Cette conseillère fédérale n'avait rien compris de la situation et s'était permis de donner des leçons. Parler de choses que l'on ne comprend pas tout en étant grassement payé: voilà qui en dit long sur le potentiel réel de nos conseillers fédéraux.

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Le président-élu des États-Unis entend bien continuer à écrire ses tweets dont il a le secret, même lorsqu'il sera investi officiellement le 20 janvier. Et cela, parce qu'il estime que les médias ne font pas un travail honnête à son égard.

Même lorsqu’il sera officiellement installé dans le Bureau ovale, Donald Trump n’a pas l’intention de mettre Twitter en veilleuse. Bien au contraire, le président-élu prévoit de continuer à envoyer des messages en 140 caractères sur le réseau social après le 20 janvier, date à laquelle aura lieu son investiture.

Interrogé dimanche 15 janvier par The Times sur une variété de sujets, du Brexit à la reine en passant par les relations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne, Trump a aussi abordé son rapport aux médias, qu’il juge dégradé à cause de la manière dont la presse le traite.

Pour le 45ème président des États-Unis, l’usage de son compte Twitter lui permettra de « rectifier » ce que les journaux et les chaînes de télévision disent de lui, ces derniers étant accusés de faire un travail « malhonnête ». Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le futur chef de l’État ne s’en prive pas.

Quand ils accèdent à la Maison Blanche, les présidents américains ont accès à un compte Twitter officiel : @POTUS (President of the United States). Actuellement, il est aux couleurs de Barack Obama, puisque le Démocrate est en fonction jusqu’au 20 janvier. Mais dès l’investiture achevée, il sera transformé pour correspondre à Donald Trump.

Le profil @POTUS compte 13,5 millions d’abonnés. C’est beaucoup, mais moins que celui de Donald Trump (@realDonaldTrump), qui atteint 20 millions d’inscrits. Toutefois, cela reste très inférieur au compte personnel de Barack Obama : celui-ci (@BarackObama) est suivi par 80,5 millions d’internautes.

Avec l’intention de Donald Trump d’utiliser son compte personnel, il reste à savoir quel sera le destin du compte officiel pour les présidents américains. Sera-t-il délaissé pendant les 4 prochaines années de la présidence Trump ? Cela risque de poser quelques soucis lorsqu’il s’agira de procéder à l’archivage de sa parole publique.

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Le Matin s’attaque aux réseaux sociaux: “Twitter la fabrique à intox!”

Christian Hofer: Voilà donc le contre-feu minable de ce journal: amalgamer, généraliser sur la base d'un seul élément (et secondaire) pour discréditer totalement ce réseau social. On rappelle à ce journal que ce même réseau social est utilisé par les journalistes lorsque cela les arrange car il est réactif et bien mieux informé que les journalistes romands eux-mêmes. Une hypocrisie qui en dit long sur la peur du Matin. Il faut dire que c'est la suite logique de la haine de la gauche face à une information libre.

On comprend bien que le Matin, dont les manipulations sont si fréquentes, déteste ce réseau social. Ce dernier permet aux gens de s'informer et de s'apercevoir à quel point nos médias tronquent la vérité en nous offrant une pluralité en temps réel. Bien entendu, un tel système n'est pas exempt de lacunes puisqu'il n'est pas professionnel et que les internautes exécutent des recherches sur une base volontaire, ce que ces journalistes surpayés oublient hypocritement.

En outre, diverses attaques ont été minimisées par la police et les médias afin de faire passer certains actes terroristes comme étant le fait de "déséquilibrés". C'est cette rétention d'informations et cette désinformation qui sont criminelles et non le doute. Se plaindre par la suite d'une certaine suspicion est une mascarade.

Enfin, le Matin récupère un élément secondaire pour en faire un article artificiel, à charge, car il constate que ses propres dérives sont très facilement éventées. Il est vrai qu'après un tel "article", on va courir acheter le Matin "afin de s'informer". Rires assurés.

On ne saurait trop conseiller à ce journal de se remettre en question, spécifiquement après l'omerta imposée par les médias bien-pensants au sujet des viols des migrants en Allemagne et autres propagandes dont les journaux mainstreams "si sérieux" sont les auteurs.

 

Via le Facebook du PNS

Les médias sociaux menaceraient “la qualité de l’information”

Christian Hofer: Analyse hypocrite au possible puisque les médias mainstreams ont démontré leur total manque d'objectivité et d'impartialité dans de nombreuses affaires (censure de l'origine ethnique des délinquants, censure des commentaires, modération des lecteurs traitée au Maghreb, déni et manipulation). L'exemple le plus parlant étant peut-être celui des agressions sexuelles en Allemagne par les "réfugiés", délits immondes que Les Observateurs.ch avaient dénoncés alors que nos médias avaient décidé de les censurer. Faire confiance à de tels manipulateurs tiendrait de la folie pure et simple, spécifiquement en sachant que les journalistes sont orientés à gauche.

Qui plus est, ce rapport ose pointer du doigt les réseaux sociaux après les mensonges véhiculés par certains grands médias à l'égard de Donald Trump et autres partis pris révoltants. Les auteurs de ce rapport sont incapables de comprendre la réaction du peuple qui n'a plus confiance dans de tels médias politisés. Au lieu de remettre en question le travail journalistique biaisé depuis de nombreuses années, ils pointent du doigt la seule alternative qui décèle les magouilles du système médiatique.

Dans ce cadre, les internautes qui y participent sont autant de chercheurs de vérité. Enfin, les journaux tels le 20 Minutes et le Matin utilisent aussi les réseaux sociaux pour débusquer des informations lorsque cela les arrange. Ce rapport écrit par des "experts" ne semble pas être au courant de telles pratiques.

Dès lors, soit les auteurs de ce rapport n'ont rien compris au phénomène, soit leur unique but est de discréditer les réseaux sociaux afin de rabattre la population sur un contenu payant et politiquement correct en prétextant une qualité d'information qui tient du fantasme. Il est bien clair que pour nos institutions et certains politiciens de gauche, la réinformation qui se construit via tous ces réseaux sociaux pose un énorme problème à leurs mensonges. Par conséquent, le premier élément à connaître porte sur l'idéologie politique qui anime les auteurs d'un tel document ainsi que sur leur financement.

En réalité, c'est bien une plus-value de l'information et un outil alternatif inespéré qui s'offre désormais à la population: La liberté de choix.

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Les médias sociaux, Facebook et Google en tête, contribuent avec les gratuits à un appauvrissement de l'information, selon les auteurs des Annales 2016 sur la qualité des médias.

Les médias sociaux prennent toujours plus d'importance dans les sources d'information de la population. Près d'un quart des jeunes adultes (22%) s'en servent comme source d'information principale.

Au vu de cette offre en ligne souvent gratuite, la qualité et la diversité des nouvelles sont faibles, note l'étude.

Vers une perte de confiance

Vu la proportion de gens peu ou mal informés, "il faut s'attendre à voir la confiance dans le système médiatique diminuer aussi en Suisse à l'avenir".

Selon le rapport, la part de ces "indigents médiatiques" est passée de 21% en 2009 à 31% en 2016. "Leur regard sur le monde (...) les rend réceptifs à la politique populiste basée sur la peur avec ses solutions simples en apparence".

Selon les chercheurs, il est urgent de convaincre les utilisateurs à choisir davantage des offres de bonne qualité quitte à ce qu'elles soient payantes. Or, à peine 10% des personnes disent accepter de payer pour des nouvelles en ligne.

Source Source de l'analyse