Israël dénonce George Soros et soutient la Hongrie : “Il est une menace.”

Christian Hofer : Contrairement à ce que prétend Reuters, cela ne vise pas à rapprocher Israël de la Hongrie puisqu'Israël avait déjà dénoncé Soros par le passé (sources ici et ici). On est très loin du "philanthrope" que les médias de gauche tentent sans cesse de nous vendre.

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Israël soutient la Hongrie : le financier Soros est une menace.

Le ministère israélien des Affaires étrangères a publié une déclaration dénonçant le milliardaire américain George Soros, une mesure qui semblait destinée à rapprocher davantage Israël de la Hongrie avant la visite du Premier ministre Benjamin Netanyahou à Budapest la semaine prochaine.

Soros, un juif d'origine hongroise qui a dépensé une grande partie de sa fortune pour financer des groupes [...] (Christian Hofer : Je censure ici la propagande de gauche visant à transformer cet individu en "philanthrope".), a été pris pour cible à plusieurs reprises par le gouvernement hongrois de droite, en particulier pour son soutien à une immigration plus ouverte.

Dans le dernier cas, le Premier ministre Viktor Orban a soutenu une campagne dans laquelle Soros est pointé du doigt comme un ennemi de l'Etat : "Ne laissons pas Soros rire le dernier" disent des panneaux publicitaires à côté d'une photo de l'investisseur de 86 ans. Les associations juives ainsi que d'autres groupes prétendent que cette campagne encourage l'antisémitisme.

Soros, qui parle rarement des attaques personnelles à son encontre, n'a pas commenté les panneaux d'affichage, mais des groupes juifs hongrois et Human Rights Watch, une organisation partiellement financée par Soros, ont condamné la campagne, affirmant qu'elle "évoque les souvenirs des affiches nazies pendant la Seconde Guerre mondiale".

L'ambassadeur d'Israël en Hongrie a publié une déclaration dans laquelle il dénonce la campagne, affirmant qu'elle "évoque de tristes souvenirs, mais qu'elle sème aussi la haine et la peur", une référence apparente au rôle de la Hongrie dans la déportation de 500 000 Juifs pendant l'Holocauste.

Mais quelques heures plus tard, le ministère israélien des Affaires étrangères a publié une "clarification" déclarant que Soros était une cible légitime des critiques.

"La déclaration (de l'ambassadeur) ne visait nullement à délégitimer la critique de George Soros, qui sape continuellement les gouvernements démocratiquement élus d'Israël." a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Emmanuel Nahshon, ajoutant que Soros finançait des organisations "qui diffament l'Etat juif et cherchent à lui refuser le droit de se défendre."

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Reuters.com

Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

 

Une bombe trouvée dans la boîte aux lettres de George Soros

Un engin explosif a été découverte devant la maison de George Soros, un milliardaire détesté par les militants de la droite radicale en Europe de l’Est et particulièrement dans son pays d'origine, la Hongrie.

L’appareil a été retrouvé dans une boîte aux lettres à l’extérieur de la résidence new-yorkaise de l'homme d'affaires et philanthrope de 88 ans, a annoncé la police.

Un employé du domicile de George Soros a ouvert l’emballage et, après s'être rendu compte qu'il s'agissait peut-être d'une bombe, a déposé l’appareil dans une petite forêt.

Des démineurs ont été appelés pour faire détonner l'engin, a déclaré un responsable de la police au New York Times.

George Soros - qui n'était pas chez lui au moment de la livraison du dispositif, selon le NYT - est accusé par ses détracteurs de droite de financer des causes libérales, en investissant dans des ONG et des médias. (...)

Fr.euronews.com

 

Nos remerciements à Victoria Valentini

L’ombre de George Soros plane sur la nomination des nouveaux juges de la Cour européenne des droits de l’homme

Grâce aux réseaux de sa fondation Open Society, le financier et philanthrope américain place au sein de la Cour européenne des droits de l’homme des juges acquis aux principes du libre-échange et du sans frontiérisme.

L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) s’apprête à élire, mardi 9 octobre, trois nouveaux juges à la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), au titre de la Norvège, de la Turquie et de l’Albanie. Chaque pays concerné par le vote doit désigner trois candidats (dont au moins une femme) et les soumettre à l’appréciation préalable d’un « panel d’experts » chargé de conseiller à l’Assemblée de voter pour l’un plutôt que pour l’autre. Un tel filtre, utile pour éviter que des juges peu qualifiés puissent de nouveau être élus, peut aussi donner lieu à un phénomène d’uniformisation culturelle ou idéologique des juges, recrutés selon les mêmes profils, fournis par les mêmes « experts ».

« George Soros investit particulièrement dans les petits pays »

Cette année, deux des trois candidats proposés par l’Albanie, Sokol Berberi et Darian Pavli se trouvent ainsi avoir occupé de hautes fonctions à l’Open society, le réseau de fondations créé par le financier et philanthrope américain George Soros. Comme l’explique un bon connaisseur des arcanes strasbourgeoises, « George Soros investit particulièrement dans les petits pays parce que leur voix compte autant que celles de la France ou de l’Allemagne et qu’il est plus facile d’y exercer une influence, eu égard à la corruption qui y sévit encore. » L’objectif étant de multiplier le nombre de juges, dont le mandat, non renouvelable, court sur neuf ans, sensibles à la vision du monde développée et soutenue par George Soros. En vingt-cinq ans, Open Society a investi 130 millions d’euros en Albanie, où elle dispose de bureaux. « L’Open society contrôle et finance de nombreuses filiales et organisations – Human Rights Watch ou Amnesty International pour les plus connues – qui, au-delà de leur action propre, œuvrent toutes à l’établissement d’une société toujours plus libérale et individualiste », poursuit l’expert.

Pour cela, un seul mot d’ordre : faire tomber les barrières, les frontières, les limites. A titre d’exemple, le European Implementation Network (EIN) et Open Society Justice Initiative (OSJI)  organisent ce mercredi 10 octobre, pendant la session de l'Assemblée du Conseil de l'Europe, une conférence au sein même du Conseil intitulée « Les tribunaux comptent ! Améliorer la politique migratoire par les arrêts de la Cour européenne des droits de l'homme ». Une façon d'imposer aux Etats, par le biais du juge européen, une politique migratoire plus favorable au nomadisme qu’au contrôle des frontières. Le Letton Nils Muiznieks, ancien Commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe (de 2012 à 2018) qui a exprimé sa réprobation aux autorités françaises quant à l’allongement de la durée de rétention pour les migrants, est un ancien directeur de l’Open Society.

Plusieurs juges déjà passés par l'Open society

Certes, la CEDH compte 47 juges (un par Etat membre du Conseil de l’Europe) mais la répartition en cinq sections fait qu’une affaire donnée ne relève en réalité que du travail de huit juges. Pour en rester à l’influence de George Soros, des juges actuellement en fonction comme le bulgare Yonko Grozev (élu en 2015), la croate Ksenija Turkovic (élue en 2013) ou la roumaine Iulia Antoanella Motoc, sont passés soit directement, soit par le biais d’organisations amies par les instances de l’Open Society. Une influence certaine permise par l’abondance de ses fonds ou les perspectives de carrière offertes. « Cette influence, qui contribue au progressisme de la CEDH ou du Conseil de l’Europe sur  les questions migratoires ou sociétales, nuit à la crédibilité des instances européennes, notamment aux yeux des populations des pays de l’Est » conclut l’expert. Une défiance que partagent les Suisses, dont un referendum, le 25 novembre prochain, aura pour intitulé « le droit suisse au lieu de juges étrangers. »

Valeurs Actuelles

Nos remerciements à Λlex Λ |

La Fondation Soros porte plainte contre la Hongrie devant la Cour européenne des droits de l’homme

La fondation Open Society (OSF) du milliardaire américain George Soros a annoncé aujourd'hui avoir porté plainte devant la Cour européenne des droits de l'homme en raison des mesures prises par Budapest pour entraver ses activités humanitaires en Hongrie. Cette décision intervient après l'adoption en juin d'un ensemble de lois intitulé "Stop Soros", frappant les ONG d'aide aux migrants d'une taxe de 25% sur leurs revenus et prévoyant une peine d'un an de prison pour l'assistance à l'entrée illégale en Hongrie. Farouchement opposé à toute immigration, le Premier ministre national-conservateur Viktor Orban a présenté cette législation comme une mesure supplémentaire contre l'arrivée de demandeurs d'asile dans le pays.

Mais "il n'y a qu'une chose que cette législation va stopper, c'est la démocratie", a estimé l'OSF dans un communiqué. L'organisation estime que ces lois contreviennent aux conventions européennes sur la liberté de parole et d'association, et exposent "toute une série d'activités légitimes au risque de poursuites pénales". L'OSF, qui finance de nombreuses ONG en Hongrie et dans le monde, avait annoncé en août transférer son siège régional depuis Budapest à Berlin, dénonçant les mesures "répressives" instaurées par M. Orban.

Le dirigeant, confortablement réélu pour un troisième mandat consécutif en avril après avoir multiplié les attaques contre M. Soros et axé sa campagne sur la lutte contre l'immigration, estime que sa politique a été légitimée dans les urnes. Dans un vote inédit à forte portée symbolique, le Parlement européen a activé le 12 septembre l'article 7 pouvant conduire à des sanctions contre la Hongrie, notamment pour ses atteintes aux valeurs de l'UE en matière de libertés publiques et de droits des migrants. George Soros, 88 ans, qui a multiplié les actions philantropiques après avoir fait fortune dans la finance, est lui-même d'origine hongroise.

Le Figaro

Migrants : qui finance l’Aquarius, le navire de l’ONG SOS Méditerranée ?

Par Romain Baheux, 14 août 2018

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Combien coûte le bateau ?

Ancien patrouilleur de pêche, l’Aquarius n’appartient pas à SOS Méditerranée mais à l’entreprise allemande Jasmund Shipping. L’ONG affrète le navire et évoque un prix moyen quotidien de 11 000 euros, dont une part importante va dans le carburant, pour une journée d’intervention. En 2016, le bateau lui a coûté 975 000 euros rien que pour les trois premiers mois de l’année. Et sur l’ensemble de l’année dernière, 1 389 326 euros lui ont été alloués.

Sur son site, SOS Méditerranée appelle d’ailleurs les particuliers à l’aider à atteindre cette barre de 11 000 euros. Un onglet renvoie à une page où l’internaute peut faire un don du montant qu’il souhaite. L’ONG donne des exemples de ce que permet de financer l’argent récolté : « 30 euros, une heure de sortie en mer pour un canot de sauvetage », « 50 euros, cinq gilets pour sécuriser une famille » ou « 100 euros » pour « une journée de prise en charge ».

D’où vient l’argent ?

Dans son rapport d’activités 2017, disponible en ligne, l’ONG affirme disposer d’un budget annuel de 3 621 000 euros. Des revenus en forte hausse puisque le chiffre avancé en 2016 était de 2 225 764.

L’origine des fonds ? 75 % proviennent de dons de particuliers, 18 % de structures privées et les 7 % restants sont des financements publics. Dans cette dernière catégorie, on retrouve des subventions, comme les 49 690 euros versés par la région Occitanie, et des fonds issus des réserves parlementaires, supprimées il y a un an. En 2016, des députés de gauche avaient alloué 80 000 euros à SOS Méditerranée pour lui permettre de payer une semaine d’intervention en mer.

Qui sont les financeurs privés ?

C’est l’un des angles d’attaques des contempteurs de l’ONG. Plusieurs personnalités de droite et d’extrême-droite ont accusé SOS Méditerranée d’être financé par le milliardaire américain George Soros et sa structure philanthropique, l’Open Society Foundations. Une information démentie par les différentes parties concernées.

La liste des mécènes qui financent l’Aquarius se trouve également dans le rapport d’activités de l’ONG. 207 entreprises, 115 associations et 7 fondations, « pour la plupart basées en France » souligne SOS Méditerranée, sont recensées. On y retrouve notamment plusieurs antennes d’Emmaüs, la fondation Abbé Pierre et des entreprises du secteur du tourisme ou du transport maritime.

Le Parisien

Steve Bannon débarque en Europe pour booster les populistes et contrer Georges Soros

Le conseiller de l'ombre souhaite implanter son «Mouvement» à Bruxelles...

Steve Bannon, le sulfureux ex-conseiller du président américain Donald Trump, va créer une fondation en Europe afin de mener une révolte populiste de droite sur le continent,écrit le site américain Daily Beast. Proche de l’alt-right, l’extrême droite américaine, Steve Bannon a confié au site ses ambitions, avec comme première étape les élections européennes de 2019.

Tout un symbole, le quartier général de son organisation baptisée « Le Mouvement » devrait être implanté à Bruxelles, capitale de l’Union européenne. Avant les élections de 2019, il prévoit l’embauche de dix employés avec notamment un expert opinion. « Le Mouvement » pourra fournir des sondages, du conseil et de la réflexion à des personnalités à la droite de l’échiquier politique qui ne disposent pas forcément d’organisations bien rodées pour les soutenir, rapporte le Daily Beast.

A Londres au moment de la visite de Trump

L’objectif de Steve Bannon est clair : rivaliser avec la fondation du milliardaire américain George Soros, Open Society, plutôt classée à gauche. « Soros est brillant », lâche Steve Bannon, « c’est le diable mais il est brillant ».

L’ancien patron du site d’extrême droite Breitbart était à Londres au moment de la visite de Donald Trump en Europe selon plusieurs médias, installant son quartier général dans un hôtel cinq étoiles et recevant des représentants des mouvements de droite en Europe. « C’était un tel succès que nous allons commencer à recruter du personnel », se vante-t-il au site américain.

« L’Italie est le cœur battant de la politique moderne »

Les dernières échéances électorales en Europe, la réélection de Viktor Orban en Hongrie, l’arrivée au pouvoir en Italie du mouvement d’extrême droite la Ligue – aux côtés des populistes du Mouvement cinq étoiles —, semblent galvaniser Steve Bannon. « L’Italie est le cœur battant de la politique moderne, dit-il. Si ça marche là-bas, ça peut réussir n’importe où. »

Et le très controversé théoricien populiste de Donald Trump, surnommé le « président Bannon », quand il conseillait le locataire de la Maison Blanche, de faire une prédiction : « Vous allez avoir des Etats-nations individuels avec leurs propres identités, leurs propres frontières ».

Source

Poutine en conférence de presse avec Trump : «Soros s’ingère partout !» (Vidéo RT, 16/07/18, 17h50)

Interrogé à propos de la présumée ingérence russe dans la présidentielle américaine, le chef du Kremlin a répondu que George Soros s'immisçait dans les affaires des pays «un peu partout» dans le monde.

Alors que les allégations faisant état de l'ingérence russe dans les élections aux États-Unis ne se dissipent pas, Vladimir Poutine a tenu à rappeler que le milliardaire américain George Soross'ingérait dans les affaires intérieures de plusieurs pays «en tant que particulier».

«Par exemple, Soros s'ingère un peu partout. Mais c'est quoi ça? Est-ce la position de l'État américain? Non, c'est la position d'un particulier», a déclaré le dirigeant russe à l'issue de ses entretiens avec Donald Trump à Helsinki.

Source

 

 

Résumé en 13 minutes des moments les plus importants de la conférence de presse :

 

 

 

A 10:00, Poutine parle de Soros

 

Italie. Matteo Salvini : “Soros veut remplir l’Europe de migrants parce qu’il aime les esclaves”

On rappelle que la socialiste et ancienne présidente de la Confédération Micheline Calmy-Rey travaille en compagnie de Soros ,entre autres, à l'International Crisis Group,

Source Wikipedia

Source Université de Genève

En outre, Soros soutiendrait également les extrémistes de gauche No Borders.

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Le ministre italien de l’intérieur Matteo Salvini s'en prend au milliardaire George Soros.

Le chef de file de la Ligue du Nord ne mâche pas ses mots. Matteo Salvini a accusé Georges Soros, lors d'une interview pour l'émission transalpine In Onda, de vouloir remplir l'Europe et l'Italie de migrants, "parce qu'il aime les esclaves".

Ce n’est pas sa première attaque

Le ministre de l'Intérieur italien accuse celui qui est à la tête d'organismes philanthropiques de financer l'arrivée de migrants en Europe. Notamment via les ONG qui parcourent les côtes de la Libye en bateau pour récupérer les migrants avant les gardes-côtes pour les transporter en Europe.

 

 

Ce n'est pas la première fois que Salvini s'en prend à George Soros. Mais cette fois, par l'intermédiaire d'un communiqué de sa fondation Open Society Foundation, le milliardaire a demandé à ce que le ministre italien « cesse immédiatement les attaques répétées à son encontre », tout en rappelant les investissements réalisés en Italie par sa fondation. « L'Open Society Foundation ne finance pas les opérations de recherches et secours des migrants en mer Méditerranée, bien qu’elle encourage ces efforts humanitaires », a tout de même précisé l’organisation de Georges Soros.

Source

 

Alexandre Del Valle : “Le courage aujourd’hui c’est de dire Non aux clandestins. Les Ong sont financées par des milliardaires comme Soros.” (Audio)

Un audio de très bonne qualité qui remet la logique sur les rails.

Florilège:

"Salvini est peut-être plus humaniste que ces bien-pensants qui nous imposent cette immigration illégale. Il y a de nombreux trafiquants parmi les migrants."

"Ces Ong sont criminelles car elles aident des réseaux criminels."

"Tous ces pays avec qui on coopère en Méditerranée refusent de collaborer avec nos polices, ils refusent de réadmettre des gens illégaux. Les pays du Maghreb peuvent ainsi se débarrasser de chômeurs et de voyous."

Le dernier point est d'ailleurs relevé par notre compatriote Alain Jean-Mairet sur son blog.

 

 

Dupont-Aignan appuie également les décisions italiennes. Il est ici harcelé par un journaliste très à gauche:

 

 

 

Source

Source2

Nos remerciements à Daniel Brand et Ester Piera Zuercher-Camponovo

 

Hongrie : la fondation Open Society du milliardaire George Soros quitte le pays

La fondation du milliardaire américano-hongrois George Soros, qui finance de nombreuses ONG, a annoncé ce 15 mai qu'elle quittait la Hongrie. Ses activités déménagent à Berlin en réaction aux politiques «répressives» du gouvernement de Viktor Orban.

Le journal autrichien Die Pressel'avait annoncé le 19 avril. La Fondation Open Society (OSF) a fait savoir ce 15 mai par voie de communiqué qu'elle déplaçait ses opérations internationales et son personnel de Budapest vers Berlin. Créée par l'homme d'affaires americano-hongrois George Soros en 1979, l'OSF s'estime confrontée à un «environnement politique et juridique de plus en plus répressif» en Hongrie.

L'OSF, présente depuis plusieurs décennies dans le pays, a en effet été la cible de nombreuses critiques de la part du Premier ministre hongrois Viktor Orban. Il a accusé à plusieurs reprises le milliardaire et sa fondation de s'immiscer dans les affaires intérieures et de financer des groupes d'opposition.

Patrick Gaspard, le président de l'OSF, a fustigé les autorités hongroises ce 15 mai, en expliquant qu'elles avaient «dénigré et déformé» le travail de la fondation, tout en réprimant la société civile «pour des raisons politiques».

En février dernier, le parti de Viktor Orban a soumis au Parlement une proposition de loi, intitulée «Stop Soros Act», ayant pour but de freiner l'immigration et stipulant que toutes les ONG qui soutenaient «l'immigration clandestine» devaient être enregistrées. Celles qui reçoivent de l'argent de l'étranger doivent en outre s'aquitter d'une taxe de 25% sur ces financements.

Le projet Open Society Foundations a ouvert son premier bureau en Hongrie en 1984. Le groupe a actuellement des dépenses annuelles de plus de 940 millions de dollars et opère dans plus de 100 pays.

George Soros est une personnalité controversée, notamment dans son pays natal. Il s'était alarmé en janvier dernier d'être en train de perdre la bataille idéologique qu'il mène à travers sa fondation. Les ONG financées par George Soros militent, entre autres, pour l'accueil des réfugiés dans les pays occidentaux et la défense des sanctions occidentales contre la Russie.

Source

2018 – Manipulations et provocations

OCI-1

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Michel Garroté  --  Quelles sont ces manipulations et provocations de 2018 ? Celle de la place Maïdan ; des "printemps" arabes ; de "l’attentat" contre les Skripal ; des gaz en Syrie ; les manigances de Soros en Europe centrale, en Afrique et ailleurs ; et celles du lobby le plus puissant de la planète : l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et sa cinquantaine d'Etats-membres.
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A ce propos, Henri Temple, avocat, universitaire et essayiste, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Avec la fin de l’URSS, le monde de Yalta s’est autodétruit. Comment le monde nouveau va-t-il s’organiser ? Plusieurs enjeux sont disputés : fin de l’OTAN ; coopération euro-russe ; Ukraine ; accords de Shanghaï et axe russo-chinois ; maintien de la présence militaire russe en Méditerranée ; retournement de la Turquie vers l’Iran ? Fragilisation « populiste » de l’édifice bruxellois, surpopulation, pollution, migrations de masse. Et la bulle financière mûre à point pour une nouvelle explosion, après celle de 2008. Sans omettre les très récentes mesures de Donald Trump contre le multilatéralisme commercial mondial.
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Or, voici, de surcroît, qu’une partie du monde musulman s’entre-déchire. Mais deux parties se jouent simultanément, l’une cachant l’autre. L’une qui est le jeu sempiternel des egos politiques et économiques des puissances (mais qui est celui, en réalité, des grosses firmes cosmopolites et des lobbys militaro-industriels) : qui va gagner le bras de fer syrien ? Et l’autre qui concerne la configuration de l’Europe. Des manipulations et provocations de toutes sortes masquent la deuxième partie en cours, bien plus vitale, la seule qui vaille au niveau de l’histoire de l’humanité.
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Les manipulations et provocations ? Celle de la place Maïdan, des printemps arabes, de l’attentat contre les Skripal, des gaz en Syrie, les manigances de Soros en Europe centrale et en Afrique. Cette partie, dont dépend la survie de la France et de l’Occident, c’est la défense contre l’hégémonisme de 1 milliard 300 millions de Chinois (nationalistes-communistes-capitalistes) et contre les vagues migratoires sans précédent dans l’Histoire. Des signes évidents de ces deux menaces sont visibles par quiconque a un peu de jugement et d’intelligence historique. L’Histoire n’a-t-elle pas déjà vu disparaître l’univers celtique libre après -51, puis l’Empire romain dès la fin du IVe siècle ? Le Sud a été occupé par l’islam aux VIIIe et IXe siècle.
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La France a presque disparu quand un monarque s’est fait couronner roi de France et d’Angleterre ; elle a été dépecée en 1871 et aurait pu devenir une partie du Reich en 1941. Car aucun pays n’est immortel, et la France – comme on vient de l’évoquer – moins que tout autre. Aussi devons-nous rappeler aux politiciens légers qui se grisent de leur gloriole que l’enjeu est vital. Il faut que la France pacifie la relation de l’Europe avec la Russie et, sans doute aussi, que cette dernière donne des gages. Si, dans son bras de fer d’un autre siècle avec les États-Unis, elle a besoin de l’Iran et de la Turquie, il faut qu’elle comprenne que l’Occident est une valeur civilisationnelle capitale que nous partageons ensemble.
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Et que ses alliés de circonstance que sont l’Iran et la Turquie ne se fondent pas sur les mêmes valeurs que les nôtres. Quant aux États-Unis (et l’Europe et la France), ils doivent ouvrir les yeux sur les motivations profondes et historiques de l’Arabie et du Qatar. Les nations musulmanes sont certes nos voisines, avec lesquelles ont doit échanger en bonne intelligence. Mais les guerres séculaires entre chiites, sunnites, Arabes, Perses, Turcs et Kurdes ne sont pas les nôtres. Pacifions la Grande Europe et laissons l’Orient à ses haines millénaires.
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Si nous devons, une dernière fois, donner notre point de vue au Moyen-Orient, que ce soit pour tenir compte des réalités humaines : n’obligeons pas, au nom d’une absurde prétendue intangibilité des frontières, des peuples qui se haïssent à vivre ensemble (comme en Syrie, en Irak, au Yémen, etc.). Et n’interdisons pas aux peuples séparés de se retrouver. Ces question sont posées. Ne laissons pas les provocations, manipulations, voire les intérêts privés, obscurcir notre jugement, nous détourner de nos intérêts et paralyser notre volonté, conclut Henri Temple (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Adaptation & Mise en Page : Michel Garroté pour LesObservateurs.ch
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Source :
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Après Daech, manips, bluff, gesticulations, bras de fer, bombardements : le début de l’après-Assad


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Hongrie : Orbán présente son projet de loi “Stop Soros”

Quasiment assuré d’être réélu en avril, le leader “illibéral” renforce la pression sur le milliardaire américain natif de Budapest et les organisations dénonçant la politique migratoire hongroise. Présenté mercredi 14 février au Parlement, le potentiel ensemble de lois visant le philanthrope polarise l’attention de la presse magyare.

DROGUES : LES BOBARDS DES MÉDIAS-SOROS

STUPÉFIANTS, anticipation et autruches médiatiques

Par Xavier Raufer

Dix ans bientôt : le "Livre blanc de défense et sécurité nationale" paraît en juin 2008. Ces livres blancs sont d'usage sobres et lisses, mais avec véhémence, celui de 2008 appelle à l'an-ti-ci-pa-tion, saint-Graal de la défense à venir. "Anticipation... base de notre stratégie... très haute priorité... première ligne de défense... fondement d'une nouvelle doctrine" : hors de là, point de salut. Depuis, dans la vraie vie, notre appareil de défense-sécurité a-t-il appris à anticiper ?

Mohamed Merah et autres fanatiques, tueries de Charlie-Hebdo, du Bataclan, etc. ? Raté. Les blitzkriege de Poutine, Crimée puis violente reconquête de la Syrie ? Raté encore. La mutation du gang salafiste d'abu Musab al-Zarqawi en un terrible "Etat islamique" ayant, vers 2014, plus de blindés que l'armée française ? L'explosion ravageuse du cyber-crime ?

Rien vu ni prévu. Faute à qui ? D'abord, aux architectes du Livre blanc - ignorant que le besoin d'un dispositif ou produit nouveau, un vaccin contre le Sida par exemple, n'induit pas sa faisabilité rapide. Vouloir anticiper n'est pas savoir le faire - tant d'obstacles existent sur cette route-là.

Le premier pour mémoire, car souvent dénoncé par l'auteur : les cyber-arnaques du big data-police-justice prédictive, etc. Pas plus qu'à l'ère d'Aristote, l'incertitude n'est aujourd'hui modélisable. Un jour peut-être, grâce à la physique quantique, mais demain matin, non.

Reste l'obstacle majeur à l'anticipation, au décèlement précoce des dangers et menaces : l'aveuglement médiatique. Définissons-le à partir d'un exemple précis, les stupéfiants, la toxicomanie.

Sous la présidence Hollande, le gros de notre presse d'information fut bradée à deux milliardaires, menant désormais d'une main de fer des empires médiatiques Uberisés. Ce, non pour informer les lecteurs, mais pour leur vendre le capitalisme libertaire à la Soros, ici défini comme DGSI (Davos-Goldman-Sachs-Idéologie).

Pour pulvériser la société à leur profit, Soros, filou-financier souvent condamné et ses complices milliardaires-libertaires glauques, prônent la libéralisation des drogues. Leur plan : créer la panique médiatique autour du cannabis. Vite, libéralisons ! Demain sera trop tard. D'où, le matraquage du Monde et de Libération sur la toxicomanie galopante en France et en Europe, que seule la libéralisation du cannabis saurait contrôler et encadrer.

Or c'est faux : en Europe, l'usage de toutes les drogues, héroïne, amphétamines, cocaïne cannabis, etc., baisse désormais - surtout là où ses ravages étaient les pires. En septembre 2012, le Daily Mail titre - inutile de traduire "Drugs are going out of fashion dramatic fall in usage since 1996". En 2012 aussi, le World Drug Report signale qu'en Europe, l'usage de l'héroïne et de la cocaïne est en "baisse sensible", le cannabis étant, lui, "stable ou déclinant". Même constat dans le rapport Europe-2013 de l'Office français des drogues et de la toxicomanie (OFDT). En France ? Dès 2013, l'OFDT signale que, chez les jeunes de 17 ans, le cannabis recule. L'usage régulier (10 fois par mois) a même diminué de moitié de 2002 à 2011, de 12% à 6 % des 17 ans - signal fort : là sont les usagers de demain.

Conséquence du recul des drogues en Europe, marché mondial N°1, 24 milliards d'euros par an dit l'Office européen des drogues et de la toxicomanie (OEDT): pour les cartels et mafias, une baisse de 15% de ce marché signifie perdre 3,5 milliards d'euros par an. Or dans le féroce milieu criminel, le chef n'enrichissant plus sa meute est éliminé. Ainsi et dès 2012, les criminologues alertent : les "parrains" inventifs se ruent sur des trafics palliatifs, êtres humains, contrefaçons, cyber-crime, etc. De fait, ces activités criminelles ravageant la société, la santé publique, etc., explosent depuis lors.

Si, au lieu de gober les bobards-DGSI, notre appareil de sécurité avait ciblé à temps ces nouveaux périls criminels, il aurait attaqué le mal à sa racine - c'est cela, anticiper - au lieu d'attendre passivement, comme c'est le cas, que le mal soit fait.

Aujourd'hui, ce recul de la toxicomanie éclate au grand jour.

La 9e enquête OFDT-Escapad établit que, dans la cruciale catégorie des 17 ans, l'usage du cannabis est au plus bas depuis 2000 ; de 2014 à 2017, le nombre de ces jeunes fumant du hasch baisse de 9%. Les amphétamines et la cocaïne ? 8,8% en usent en 2014 chez les 17 ans, 6,8% début 2018.

Du bout des lèvres mais bien tard, les médias-DGSI l'avouent désormais.

Or pourquoi libéraliser des drogues dont l'usage baisse de lui-même ? Voilà la vraie question. Et la tâche des officiels est désormais claire : affronter les menaces criminelles émergentes, au lieu d'écouter des sornettes médiatiques.

Xavier Raufer

Soros s’en prend à Trump, à Vladimir Poutine et aux géants d’internet. “L’administration Trump est un danger pour le monde.”

Le gouvernement Trump, les géants de l'internet, le bitcoin : le richissime spéculateur George Soros a lancé des attaques tous azimuts jeudi à l'occasion de son dîner annuel à Davos.

Comme déjà l'an dernier, le milliardaire de 87 ans a étrillé l'administration Trump, "un danger pour le monde", au cours de ce rendez-vous devenu incontournable du Forum économique mondial.

Il s'en est aussi pris à la Russie de Vladimir Poutine, un "Etat mafieux", dans la salle de réception d'un grand hôtel de la station de ski suisse.

Devant un public très occupé à relayer ses propos sur les réseaux sociaux, George Soros a aussi longuement étrillé les géants de l'internet, citant "Facebook et Google".

Il les a décrits comme des "monopoles toujours plus puissants" qui pourraient être tentés de se lier à "des régimes autoritaires" afin de créer "un réseau totalitaire comme Aldous Huxley ou George Orwell eux-mêmes n'auraient pu l'imaginer", dans leurs romans "Le meilleur des mondes" et "1984".

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Soros inquiet de perdre la bataille idéologique face aux populistes. “L’Union Européenne peut s’effondrer.”

Dans une interview au Financial Times, le milliardaire philanthrope George Soros, s'alarme du fait que la nationalisme, tel qu'il est selon lui porté par Moscou, soit désormais «l'idéologie dominante dans le monde», tandis que l'UE «s'effondre».

Le milliardaire américano-hongrois George Soros, à la tête de la fondation Open Society (OSF) intervenant dans la vie politique de nombre de pays, notamment en finançant des ONG pro-UE ou pro-migrants, s'alarme d'être en train de perdre la bataille idéologique qu'il mène à travers elle.

C'est l'Union européenne qui est sur le point de s'effondrer. Et la Russie est un pouvoir en pleine renaissance, basé sur le nationalisme

Dans une interview accordée au Financial Times le 15 janvier 2018, le philanthrope dresse un constat emprunt d'amertume : «L'idéologie dominante dans le monde est aujourd'hui le nationalisme.» «C'est l'Union européenne qui est sur le point de s'effondrer. Et la Russie est un pouvoir en pleine renaissance, basé sur le nationalisme», affirme-t-il, voyant dans ce constat la source de la recrudescence des blâmes et accusations à son endroit, notamment en provenance des pays d'Europe de l'Est.

Soros vilipendé en Hongrie...

Dans sa Hongrie natale, George Soros est accusé par le Premier ministre conservateur Viktor Orban de chercher à déstabiliser son gouvernement, qui s'oppose au système de quotas de migrants voulus par l'Union européenne (bien qu'il soit actuellement chahuté par son opposition, après la publication de statistiques selon lesquelles la Hongrie a accueilli 1 291 réfugiés en 2017).

Le chef du gouvernement hongrois a lancé une vaste consultation sur la question en décembre dernier, qui visait directement le «plan» supposé de George Soros, destiné selon Viktor Orban à promouvoir l'immigration en Europe d'«un million de réfugiés par an».

L'OSF milite en tout cas, de manière générale, pour une «société ouverte», dont l'ouverture des frontières et l'accueil des migrants constituent une clé de voûte.

La fondation de George Soros ne fait d'ailleurs pas mystère de son intense travail de lobbying pour faire avancer ses idéaux auprès des eurodéputés, dont elle a répertorié ses «alliés fiables» dans un document.

 

 

...comme aux Etats-Unis

S'il est fortement attaqué dans son pays d'origine, le milliardaire s'est également fait de farouches contempteurs dans son pays d'adoption. En mars 2017, des membres du Congrès américain écrivaient au secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson pour dénoncer les pratiques d'ingérence de l'OSF, pointant du doigt son activité d'agitation et de propagande en Macédoine, en vue, selon eux, d'un changement de régime. Les mêmes élus soupçonnent également George Soros d'avoir voulu influencer l'élection présidentielle américaine, puis d'avoir déclaré la guerre à Donald Trump, une fois ce dernier élu.

Je me sens plus que prêt à me battre et à défendre ce qui est juste

 

Mais le milliardaire de 87 ans n'a pas l'intention de baisser les armes, bien au contraire : il a décidé de faire un don de 18 milliards de dollars de sa fortune personnelle à l'OSF en octobre dernier, pour qu'elle poursuive ses combats. «Je me sens plus que prêt à me battre et à défendre ce qui est juste», conclut l'inusable financier dans les colonnes du Financial Times.

En faisant allusion précisément à l'effondrement de l'URSS, le magnat a déclaré que le moment historique actuel "est un déjà vu" et "il y aura un nouveau grand changement. A présent, l'idéologie dominante dans le monde est le nationalisme. Et l'Union européenne est sur le point de s'effondrer ".

Le spéculateur attaque Moscou et Vladimir Poutine, son ennemi juré: "La Russie a le pouvoir de ressusciter, basée sur le nationalisme", a déclaré George Soros, qui pointe le doigt vers le président russe. "Poutine ne m'aime pas", admet le magnat, décrivant une rancœur qui, selon lui, a été alimentée par les critiques du dirigeant russe et son soutien au géorgien Mikheil Saakachvili, l'ancien président arrivé au pouvoir après la révolution de 2003.

L'homme de 87 ans avait également envisagé de quitter l'Open Society Foundations mais, constatant la montée du nationalisme à l'échelle mondiale en opposition nette avec la "société ouverte" et le mondialisme dont il était le sponsor, il a récemment décidé de transférer 18 milliards de dollars. de son propre patrimoine personnel au réseau philanthropique, s'engageant à rester président pour encore cinq ans ou plus. "J'ai de la chance avec mes ennemis", a déclaré Soros. "Je me sens prêt à réagir et à défendre ce qui est juste". Au cours de la dernière année, certains dirigeants ont contesté le financement et l'ingérence de l'OSF.

En Hongrie, par exemple, M. Orbàn a promis une compagne médiatique acharnée contre George Soros et l'idéologie de l'ouverture des frontières. Une adversité que le Premier ministre a explicitée en avril 2017 aux micros de Kossuth Rádió. "Si quelqu'un veut venir vivre en Hongrie, il doit obtenir le consentement du peuple hongrois.

Il ne peut pas y avoir de loi internationale, de norme, de tribunal ou d'organisation qui puisse prétendre que ce que pense le peuple n'a pas d'importance. C'est impossible. Il y a cependant une  campagne internationale très forte - note Orbàn - qui dure depuis une dizaine d'années.

Elle est liée au nom de George Soros et tente de montrer que les frontières n'ont aucun sens, que les nations n'ont pas le droit de décider ni de déterminer comment il faut vivre ".

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Source2 et article complet Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

La Commission européenne roule bien pour Georges Soros

La Commission européenne a adressé mercredi un « avis motivé » à la Hongrie, deuxième étape de la procédure d’infraction ouverte par Bruxelles contre la loi imposant des obligations spécifiques à certaines ONG et qui vise, selon les critiques, le financier américain d’origine hongroise George Soros.

« Après avoir examiné attentivement les explications avancées par la Hongrie, la Commission européenne conclut que le pays n’a pas répondu à ses profondes préoccupations », explique dans un communiqué l’exécutif européen qui donne maintenant un mois à Budapest pour se mettre en conformité avec le droit de l’Union européenne.

Si la réponse n’était toujours pas satisfaisante, la Commission prévient qu’elle pourrait décider de saisir la Cour de justice de l’UE, lançant une procédure qui peut aboutir à des sanctions financières.

La procédure d’infraction avait été lancée à la mi-juillet, quand Bruxelles avait envoyé une lettre de mise en demeure au gouvernement hongrois.

La Commission estime que la Hongrie a « manqué aux obligations qui lui incombent » en lien avec la libre circulation des capitaux, car la nouvelle loi entraîne selon elle « une discrimination indirecte à l’égard des dons aux organisations de la société civile provenant de l’étranger et restreignent ceux-ci de manière disproportionnée ».

L’exécutif européen, garant des traités, « est également d’avis que la Hongrie viole le droit à la liberté d’association et le droit à la protection de la vie privée et des données à caractère personnel ».

La nouvelle législation impose à certaines catégories d’ONG, bénéficiant de plus de 7,2 millions de forints (environ 24.000 euros) de financements étrangers par an, de s’enregistrer en tant qu' »organisations bénéficiant d’un soutien de l’étranger » et de se présenter comme telles dans tous les ouvrages et produits de presse qu’elles publient ainsi que sur leur site internet.

Elles doivent aussi fournir aux autorités hongroises des informations spécifiques sur le financement qu’elles perçoivent de l’étranger.

Si elles ne respectent pas ces obligations de déclaration et de transparence, elles s’exposent à des sanctions.

Budapest argue de son côté que cette loi a pour objectif d’améliorer la « transparence » et de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

Le milliardaire George Soros a créé en 1984 la fondation OSF (Open society Foundations), ONG très active dans les pays de l’ancien bloc communiste où elle milite en faveur de réformes libérales et promeut le droit des minorités et la lutte contre la corruption. Ses détracteurs l’accusent d’ingérence politique.

Source : https://www.romandie.com/news/849524.rom

via CivilWarInEurope

Plus de 70.000 signatures pour déclarer que «George Soros est un terroriste»

En moins de 15 jours, une pétition visant à désigner George Soros comme terroriste a été signée par plus de 70 000 personnes. Les signataires, qui l'accusent de vouloir déstabiliser les Etats-Unis, demandent aussi la saisie de ses biens.

Une pétition lancée le 20 août sur le site officiel de la Maison Blanche visant George Soros fait le buzz sur internet. Plus de 70 000 personnes ont signé le texte demandant que le milliardaire soit classé comme terroriste après avoir «essayé de déstabiliser et commis des actes de sédition contre les Etats-Unis et leurs citoyens».

«Soros a créé de multiples organisations dans le seul but [...] de détruire le gouvernement américain», ajoute l'auteur de la pétition.

 

 

Le ministère de la Justice américain est ainsi sollicité pour «déclarer George Soros ainsi que toutes ses organisations et leurs membres terroristes, et saisir tous ses fonds personnels et ceux de ses organisations».

Le premier amendement de la constitution américaine garantit le droit de pétition de ses citoyens. A l'heure d'internet, une plate-forme a été créée afin de faciliter la procédure de sollicitation du gouvernement. Si un texte recueille 100 000 signatures en 30 jours, la Maison Blanche s'engage à le soumettre aux experts politiques appropriés et à fournir une réponse officielle. La date butoir pour cette pétition est le 19 septembre.

Mais près d'une dizaine de pétitions qui ont atteint ce seuil attendent encore d'être étudiées par l'administration américaine, dont une demandant que le mouvement antifasciste soit classé comme organisation terroriste.

George Soros est régulièrement accusé de déstabiliser des gouvernements par le biais de ses ONG, dont la plus connue est l'Open Society. Récemment, le gouvernement israélien et le gouvernement hongroisse sont plaint des activités du milliardaire dans leurs pays.

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Hongrie : accusé d’antisémitisme pour ses affiches anti-Soros, Orban reçoit le soutien du PM israélien Netanyahu

L’ambassadeur d’Israël à Budapest avait appelé samedi le gouvernement hongrois dirigé par Viktor Orban à cesser sa campagne nationale d’affichage contre le milliardaire américain d’origine juive hongroise George Soros, considérée par des organisations juives comme ayant des relents antisémites.

Des milliers d’affiches grand format financées par le gouvernement conservateur ont fait leur apparition dans tout le pays il y a une semaine. Un portrait rieur de l’homme d’affaires américain y figure, accompagné du commentaire : « ne laissons pas Soros rire le dernier ».

Le slogan en lettres capitales surmontées du drapeau hongrois fait directement allusion aux accusations récurrentes du pouvoir hongrois, selon lequel le financier de 86 ans, dont la fondation finance de nombreuses ONG en Europe centrale et dans les Balkans, chercherait à s’ingérer dans la politique nationale notamment en poussant la Hongrie à accueillir des réfugiés.

Cependant, le Premier ministre israélien Netanyahu a demandé aujourd’hui à ce que l’on cesse les critiques à l’encontre de l’initiative d’Orban.

Le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères a même ajouté ceci : « Soros essaie constamment d’affaiblir le gouvernement israélien en finançant des organisations qui combattent l’Etat juif ». (Haaretz)

Times of Israel