La télévision britannique BBC traite la Suisse de « berceau du populisme » : « Les Suisses se préparent à abandonner les traités internationaux. »

Lorsque Steve Bannon s'est lancé dans sa tournée d'unification des partis populistes européens en mars dernier, il a prononcé son premier discours public à Zurich, déclarant que la Suisse était le point de départ de la lutte antimondialiste et que son peuple avait dit non à l'adhésion à la Communauté européenne par référendum en 1992.

Aujourd'hui, elle risque de reculer encore davantage, car les Suisses se préparent à abandonner les traités internationaux au profit des lois nationales.

 

 

bbc.co.uk

Nos remerciements à Info

 

 

 

 

Steve Bannon débarque en Europe pour booster les populistes et contrer Georges Soros

Le conseiller de l'ombre souhaite implanter son «Mouvement» à Bruxelles...

Steve Bannon, le sulfureux ex-conseiller du président américain Donald Trump, va créer une fondation en Europe afin de mener une révolte populiste de droite sur le continent,écrit le site américain Daily Beast. Proche de l’alt-right, l’extrême droite américaine, Steve Bannon a confié au site ses ambitions, avec comme première étape les élections européennes de 2019.

Tout un symbole, le quartier général de son organisation baptisée « Le Mouvement » devrait être implanté à Bruxelles, capitale de l’Union européenne. Avant les élections de 2019, il prévoit l’embauche de dix employés avec notamment un expert opinion. « Le Mouvement » pourra fournir des sondages, du conseil et de la réflexion à des personnalités à la droite de l’échiquier politique qui ne disposent pas forcément d’organisations bien rodées pour les soutenir, rapporte le Daily Beast.

A Londres au moment de la visite de Trump

L’objectif de Steve Bannon est clair : rivaliser avec la fondation du milliardaire américain George Soros, Open Society, plutôt classée à gauche. « Soros est brillant », lâche Steve Bannon, « c’est le diable mais il est brillant ».

L’ancien patron du site d’extrême droite Breitbart était à Londres au moment de la visite de Donald Trump en Europe selon plusieurs médias, installant son quartier général dans un hôtel cinq étoiles et recevant des représentants des mouvements de droite en Europe. « C’était un tel succès que nous allons commencer à recruter du personnel », se vante-t-il au site américain.

« L’Italie est le cœur battant de la politique moderne »

Les dernières échéances électorales en Europe, la réélection de Viktor Orban en Hongrie, l’arrivée au pouvoir en Italie du mouvement d’extrême droite la Ligue – aux côtés des populistes du Mouvement cinq étoiles —, semblent galvaniser Steve Bannon. « L’Italie est le cœur battant de la politique moderne, dit-il. Si ça marche là-bas, ça peut réussir n’importe où. »

Et le très controversé théoricien populiste de Donald Trump, surnommé le « président Bannon », quand il conseillait le locataire de la Maison Blanche, de faire une prédiction : « Vous allez avoir des Etats-nations individuels avec leurs propres identités, leurs propres frontières ».

Source

Steve Bannon, ancien collaborateur de Trump, répond à Emmanuel Macron sur la “Lèpre nationaliste”

“La réalité, c’est que Macron parle pendant que Salvini ou Orbán agissent”, souligne l’ancien stratège du président Trump à propos de la menace migratoire en Europe.

Un « avenir radieux ». C’est ce que prédit Steve Bannon au pays gouverné par Emmanuel Macron. Et ce ne sont pas les récents propos fielleux du président français sur la « lèpre qui monte » en Europe, « le nationalisme qui renaît, la frontière fermée que certains proposent » et ceux qui « trahissent même l'asile », référence aux coups d’éclat anti-migrants des leaders italien et hongrois Matteo Salvini et Viktor Orbán, qui vont l’en dissuader. Bien au contraire.

L’ancien conseiller du président américain Donald Trump, qui a reçu les différents dirigeants populistes européens à Rome, commence à avoir l’habitude : « Nous avons été traités de déplorables, d’obscurantistes et maintenant de lépreux… Les Français sont en train de réaliser combien Macron est devenu embarrassant », confie-t-il ainsi à Valeurs actuelles, avant d’ajouter, sans filtre : « C’est un banquier de chez Rothschild qui n’a jamais fait d’argent - la définition même d’un perdant - et qui vendrait son âme pour rien. Macron rêve d’être quelqu’un. Il veut être une figure historique mondiale, il s’imagine en nouveau Napoléon. »

« Sauf que l’autorité ne vient pas de l’imagination, mais de la réalité. Et la réalité, c’est que Macron parle pendant que Salvini ou Orbán agissent », relève l’homme d’affaires et ex-patron de Breitbart. Malgré la menace migratoire qui continue à peser sur le continent, Steve Bannon se veut pourtant optimiste pour la France et sûr d’une chose : « Macron consacre toute son énergie à essayer de contenir la vague populiste et c’est tout ce qu’on retiendra de lui. Mais il est impossible de la stopper. La date de péremption de Macron approche à grands pas !»

Valeurs Actuelles

Casse-toi, pauv’ Bannon !

Stephen Bannon

   
Michel Garroté  --  "Seigneur, préservez-moi des mes amis ; mes ennemis, je m'en charge". C'est ce que pourrait dire Donald Trump à propos de Steve Bannon. Il est vrai qu'en politique, la trahison est une vertu très répandue, aux USA comme ailleurs. Georges W. Bush Jr., lors de son second mandat, avait été trahi par son Secrétaire à la Défense et par sa Secrétaire d'Etat. De son côté, Barack Hussein Obama, à défaut d'être trahi, a lui-même trahi tout le monde.
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Sur Reuters, James Oliphant et Jeff Mason estiment que (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) désavoué brutalement par Donald Trump, Steve Bannon se retrouve isolé depuis qu'il s'est confié à l'auteur d'un livre très critique sur le président et son entourage. Ses amis se font rares même parmi les franges les plus conservatrices du Parti républicain, qui ont rapidement pris soin d'afficher leur loyauté envers le président américain. Ancien conseiller spécial de Donald Trump, Steve Bannon dirige le site d'informations conservateur Breitbart News. La Maison blanche le menace de poursuites judiciaires pour les propos incendiaires contre le président qu'il tient dans le livre de Michael Wolff "Fire and Fury : Inside the Trump White House" (Le Feu et la fureur - A l'intérieur de la Maison blanche de Trump), paru vendredi 5 janvier 2018.
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"Je ne connais personne au sein du mouvement conservateur qui soutienne aujourd'hui Steve contre Donald Trump sur ce sujet", assure Christopher Ruddy, un proche du président, à la tête du site conservateur Newsmax. Mike Cernovich, l'un des porte-voix sur les réseaux sociaux du mouvement "alt-right" (droite alternative) que Bannon a contribué à cristalliser, avec la bénédiction de Donald Trump, avant l'élection présidentielle de 2016, n'a aucun doute sur le vainqueur provisoire de cette bataille entre les deux hommes: "La base restera avec Trump". Les commentaires des internautes sur le site Breitbart vont dans le même sens, une grande majorité d'entre eux prenant la défense du locataire de la Maison blanche. Le Wall Street Journal rapportait jeudi soir que la direction du site d'informations s'interrogeait désormais sur l'opportunité de limoger Steve Bannon.
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Rebekah Mercer, une importante donatrice du Parti républicain, qui possède des parts dans Breitbart, a publiquement donné tort à Bannon dans l'après-midi. Les représentants de Steve Bannon n'ont pas répondu aux sollicitations de Reuters. Il y a un an, de Time Magazine au "Saturday Night Live", le stratège de campagne du président était présenté comme l'éminence grise de Donald Trump, un personnage habile et manipulateur obligeant l'ensemble du Parti républicain à se plier à son "nationalisme économique". Mais l'étoile de Bannon a pâli bien longtemps avant la publication du livre de Michael Wolff. En août dernier, une lutte de pouvoir interne à la Maison blanche l'a obligé à quitter son poste et reprendre du service à Breitbart News.
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Sa réputation d'expert en stratégie politique a pris un sérieux coup avec la défaite de l'ultraconservateur Roy Moore, qu'il soutenait, lors de l'élection sénatoriale partielle dans l'Etat d'Alabama à la mi-novembre. En quittant cet été la Maison blanche, Steve Bannon avait fait voeu de loyauté à Donald Trump et promis de mener la révolte contre la direction du Parti républicain, en particulier contre le chef de la majorité républicaine au Sénat Mitch McConnell, accusé de torpiller le programme présidentiel. Mais le mois dernier, dans la foulée de la défaite historique du GOP dans l'Alabama, Mitch McConnell a contribué à l'élaboration de la réforme fiscale adoptée par le Congrès, s'attirant les louanges du président et privant Steve Bannon de l'argument selon lequel les élus du Capitole seraient incapables d'obtenir des résultats concrets.
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La direction du Parti républicain est aujourd'hui beaucoup plus sûre d'elle qu'il y a un an. A l'inverse, à la suite de la publication des premiers extraits du livre de Michael Wolff, Donald Trump s'est en pris mercredi à son ancien conseiller, estimant qu'il avait perdu la tête en même temps que son poste de stratège en chef de la Maison blanche. Le président a assuré que Bannon ne représentait pas sa base électorale et qu'il avait exagéré son rôle lorsqu'il était à la Maison blanche. A la suite de ces propos, certains candidats conservateurs qui s'étaient ralliés au mouvement de Bannon ont pris leurs distances, comme Kelli Ward, qui vise un siège de sénatrice dans l'Arizona, ou Michael Grimm, candidat pour les élections de mi-mandat à New York. "Je pense que c'est terminé pour lui. Un chef sans adeptes est simplement un type qui se promène", ironise Josh Holmes, ancien conseiller de McConnell.
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Un ami de Steve Bannon, l'ancien conseiller de Trump, Sam Nunberg, doute que les deux hommes pourront un jour se réconcilier. Mais il estime que Bannon pourrait encore exercer une influence sur l'électorat conservateur, notamment sur un sujet comme l'immigration. Donald Trump est connu pour écarter brutalement ses plus proches alliés, mais aussi pour les ramener dans son giron s'il en éprouve la nécessité. Le président américain s'est ainsi félicité jeudi 4 janvier 2018 d'avoir entendu la veille son ancien conseiller faire son éloge dans une émission radiophonique. "Ce n'est pas la fin du monde, en particulier avec ce président", assure Sam Nunberg, concluent James Oliphant et Jeff Mason (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 5.1.2018
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Source :
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https://fr.news.yahoo.com/bannon-se-retrouve-isol%C3%A9-apr%C3%A8s-ses-critiques-contre-075535499.html
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Steve Bannon – « Cerveau » de Donald Trump

Stephen Bannon

   
Michel Garroté - Comme l'écrit un chroniqueur de "Euro Califat" (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page), le sort s’acharne sur les "journalopes". La caste merdiatique a cru bon de se payer Trump après ses déclarations sur la situation en Suède. Voici ce que Trump a vraiment dit : Les Suédois « ont accueilli beaucoup de réfugiés, et maintenant ils ont des problèmes comme ils ne l’auraient jamais pensé » (des immigrés ont brûlé des voitures, pillé et détruit des magasins à Stockholm). "Il raconte n’importe quoi", dirent les "journalopes" avec le ton condescendant du crétin qui se prend pour un Nobel. Pas de bol, des émeutes ethniques ont éclaté à Stockholm. Se planter avec une telle constance force l’admiration. Ils vont peut-être nous expliquer que Trump a financé les émeutiers via son pote Poutine (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Mais venons-en au sujet de la présente chronique : Steve Bannon, le "Cerveau" de Donald Trump (le titre original est : "De Breitbart au Bureau ovale : Steve Bannon, le 'cerveau droit' de Trump" ; voir lien vers source originale en bas de page).
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Concernant Steve Bannon, le chroniqueur Antoine Colonna écrit notamment, dans Valeurs Actuelles (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Le plus proche conseiller du président américain est l’auteur de sa campagne victorieuse à la Maison-Blanche. La démission du général Flynn renforce encore l’influence de Bannon dans le Bureau ovale, décisive dans une bataille qui ne fait que commencer. Comme une certitude qu’il répète sans cesse : « C’est une guerre, chaque jour, nous disons l’Amérique est en guerre. L’Amérique est en guerre. Nous sommes en guerre. » Une formule répétée au micro, écrite dans la presse, une conviction intime de Stephen K. Bannon, dit Steve, qui l’a mené à rejoindre un combat politique plus large, celui de Donald Trump dont il est devenu le directeur de campagne en août dernier. Avec son ami Stephen Miller, désormais conseiller politique du président, ils ont écrit le discours d’investiture du 20 janvier.
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Aujourd’hui, Bannon est directeur stratégique du président, un poste qui lui donne un bureau dans l’aile ouest de la Maison-Blanche, à quelques mètres seulement du Bureau ovale. Plus encore, il s’est vu attribuer un siège permanent au Conseil de sécurité nationale (National Security Council ou NSC), une première depuis sa création en 1947. Une institution clé, où il apparaît encore renforcé par la démission le 13 février du général Flynn, qui la dirigeait, après les conversations “illégales” de ce dernier avec l’ambassadeur de Russie. Bannon participe donc au sous-sol de l’aile ouest à toutes les réunions de la très secrète Situation Room. Une promotion qui fait hurler de rage tous les opposants de la nouvelle administration qui font tout pour discréditer Bannon. Ils protestent contre le caractère politique de cette nomination, expliquant à qui veut bien les croire que la sécurité nationale est une affaire d’experts et n’a rien de politique.
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Dans un passé proche, David Axelrod et John Podesta pour Obama s’y rendaient peu, alors que Karl Rove, le conseiller de George W. Bush ne s’y rendait jamais. John Podesta précise que, s’agissant du NSC, « rien n’est gravé dans le marbre. Pour Bannon, il est plus qu’un conseiller politique, je comprends pourquoi le président le veut à ces réunions ». Le 28 janvier, c’est par décret que celui-ci a donné la nouvelle composition de son NSC. Le chef d’état-major des armées, le général Joseph F. Dunford Jr., le directeur national du renseignement et même celui de la CIA, Mike Pompeo, tout juste nommé, ne font pas partie des membres permanents du Principals Committee. Le décret sera revu un peu plus tard, intégrant Pompeo à ce premier cercle, et il sera précisé par ailleurs que les autres responsables auraient une place d’invité régulier.
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Il reste que cette originalité a bien été perçue comme ce qu’elle est, un acte de défiance contre l’establishment, un acte de guerre, comme aime à le dire Bannon lui-même. Le conseiller spécial a le sens du combat ancré au plus profond de sa personne. Né en 1953 dans une famille irlandaise catholique ordinaire, votant traditionnellement démocrate, non loin d’une base navale en Virginie, il rêve du large. La proximité de la base nourrira son engagement dans l’US Navy. Après l’école des officiers, il servira sur la frégate USS Paul F. Foster avant de devenir, un titre qu’il semble aimer depuis, “assistant spécial” du chef des opérations navales au Pentagone. Il quitte les drapeaux pour Harvard où il obtient un doctorat avant de se lancer dans une banque d’affaires, avant de créer en 1990 sa propre structure, Bannon & Co.
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En 1993, il va mettre un premier pas dans un monde qui le tente depuis toujours, celui des médias, une porte vers l’action politique. Participant au montage financier de la vente de Castle Rock Entertainment au groupe de Ted Turner, il demande à être payé en droits de diffusion de la série comique Seinfeld alors méconnue. Cette bonne intuition le rendra riche. À partir des années 1990, il passe derrière la caméra. Son plus grand travail sera une adaptation du Titus de Shakespeare dans lequel il dirige Anthony Hopkins. La pièce est partiellement transposée au 20éme siècle et donne des indications sur la vision sombre du monde de son producteur. Ses réalisations seront essentiellement composées de portraits, notamment celui de l’égérie du mouvement Tea Party, Sarah Palin, et de documentaires.
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L’un d’eux, Generation Zero, en 2010, est basé sur le livre The Fourth Turning des historiens William Strauss et Neil Howe. Ce livre décrit l’histoire des États-Unis de façon cyclique, marquée par des crises, précédant chacune une guerre - Indépendance, Sécession, Seconde Guerre mondiale -, séparées de quatre-vingts à cent ans. La dernière crise en date est celle de 2008 et pourrait ouvrir sur une nouvelle guerre, une possibilité que Bannon n’exclut pas et à laquelle il se prépare. Rarement vu avec une cravate, il est le seul à pouvoir entrer sans, dans le Bureau ovale. La préparation de Bannon à la guerre n’est pas dans l’apparence, elle est idéologique. Parmi ses livres de chevet on cite souvent The Fourth Turning, mais on peut ajouter l’Art de la guerre de Sun Tzu.
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Mais la bataille des idées n’est pas que grandes stratégies, elle est aussi tactique. À partir de 2008, le voilà sur le sentier de la guerre. Ce n’est pas pour rien que l’on surnomme le conseiller de Trump « l’homme le plus dangereux d’Amérique ». Bannon a investi une partie de sa fortune dans le Government Accountability Institute, GAI (clin d’oeil ironique au GAO, chargé au Congrès de scruter les dépenses fédérales), qu’il explique ainsi : « L’économie d’une salle de rédaction ne peut supporter de longues enquêtes d’investigation. Vous ne trouverez plus un Watergate, des Pentagon Papers, parce que personne ne peut se permettre financièrement de laisser un journaliste sept mois sur une enquête. Nous, nous le pouvons. Nous travaillons comme une fonction de soutien ».
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« Je ne suis pas là pour faire des choses insignifiantes. Ces gens nous haïssent mais nous avons le peuple. C’est le pays légal contre le pays réel. Et moi, je suis avec le pays réel », avertit Bannon. « Je veux tout faire tomber et détruire entièrement l’establishment qui prévaut aujourd’hui », explique encore celui qui se décrit comme le « saint patron des roturiers », ou « Darth Vader ». On comprend donc que ce n’est pas le conseiller qui calmera Trump, bien au contraire, alors que les deux hommes sont « toujours d’accord », selon le témoignage de Rudolph Giuliani, l’ancien maire de New York. La détermination de Steve Bannon est donc totale, sa conviction que les États-Unis sont en guerre, selon la théorie des cycles, aussi. Il identifie clairement la guerre de civilisation contre l’islam, celle contre la Chine comme menaces militaires, ajoute Antoine Colonna, dans Valeurs Actuelles (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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https://eurocalifat.wordpress.com/2017/02/21/trump-encore-rate-les-journalopes/
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http://www.valeursactuelles.com/monde/de-breitbart-au-bureau-ovale-steve-bannon-le-cerveau-droit-de-trump-67781
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A lire également dans Valeurs Actuelles (http://www.valeursactuelles.com/) :
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"Trump ou la preuve par l’action"
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"Le Trump bashing c'est too much !"
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Le stratège de Trump : « les médias devraient fermer leur gueule »

   
Michel Garroté - Comme déjà signalé sur Les Observateurs, Steve Bannon, le conseiller en stratégie du président Trump, a affirmé, au gauchisant New York Times, que les médias, qui représentent l'opposition, ont été humiliés par la victoire de Trump et devraient se taire. De son côté, Donald Trump a repris, le jeudi 26 janvier sur Fox News, sa riposte aux journalistes : « La plupart des médias, pas tous, sont très, très malhonnêtes. Honnêtement, c'est des fausses infos. C'est faux. Ils inventent des trucs ».
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Le même jour, son conseiller stratégique Steve Bannon, ancien directeur du site Breitbart News, a lui aussi riposté à la presse dans une interview au quotidien de gauche New York Times : « Les médias devraient avoir honte, être humiliés, fermer leur gueule et juste écouter un peu. Je veux que vous citiez ça. Les médias sont le parti d'opposition. Ils ne comprennent pas ce pays. Ils ne comprennent toujours pas pourquoi Donald Trump est président des Etats-Unis ».
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Il est vrai que la très grande majorité des journalistes américains (et européens) dénigre Donald Trump, sept jours sur sept, avec une hystérie et un acharnement sans précédent. La haine médiatique envers Trump frise "l'appel au meurtre", comme si dans leur fort intérieur, les journalistes rêvaient qu'un sniper "déséquilibré" décide d'assassiner le nouveau président.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Steve Bannon, directeur de Breitbart, désigné chef de stratégie au sein de l’administration Trump: La RTS essaie de comprendre laborieusement le phénomène de la réinformation, notamment avec un pseudo-expert

Christian Hofer: A noter que ces journalistes sont ignares du phénomène de la réinformation, cloitrés qu'ils sont dans leurs certitudes. Ils évitent de parler de toutes ces informations qui n'ont pas été publiées par les médias francophones, que cela soit pour  Trump ou pour l'immigration de masse qui saigne à blanc l'Europe.

Visiblement, le réveil sera très difficile.

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Steve Bannon, directeur du site Breitbart News, a été désigné chef de stratégie au sein de la future administration Trump. Sa nomination symbolise la montée en puissance des médias dits de "réinformation". Débat entre Slobodan Despot, écrivain et éditeur, et Romain Huret, historien, spécialiste des Etats-Unis.