Le Conseil fédéral veut encore 100 millions de francs pour le contrôle des frontières extérieures de l’espace Schengen

La Suisse doit investir 100 millions de francs pour une série de projets destinés à renforcer le contrôle des frontières extérieures de l'espace Schengen. Le Conseil fédéral a transmis mercredi sa requête au Parlement.

Ces adaptations dans lesquelles l'UE va consacrer ces prochaines années plusieurs milliards d'euros ont pour but de resserrer la coopération des autorités compétentes de chaque Etat membre en matière de sécurité et de migrations. Elles faciliteront en Suisse les tâches en matière de police, d'asile et de migrations.

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Swissinfo.ch

« Quitter Schengen/Dublin entraînerait une avalanche de demandes d’asile »

La nouvelle conseillère fédérale Karin Keller-Sutter a lancé la semaine dernière la campagne en faveur de la loi révisée sur les armes en votation le 19 mai. Elle défend le "pragmatisme" face aux conséquences d'un rejet.

La Suisse doit mettre en oeuvre la nouvelle directive européenne sur les armes adoptée pour faire face au terrorisme si elle veut rester dans l'alliance d'Etats Schengen/Dublin.

"C'est une obligation que nous avons adoptée, y compris le peuple suisse, avec la votation sur l'adhésion au traité de Schengen en 2005", rappelle la cheffe du Département fédéral de justice et police (DFJP) dans La Matinale. "C'était d'ailleurs un projet défendu par l'ancien conseiller fédéral Christoph Blocher".

"Je suis aussi attachée à la tradition du tir"

Mais il y a une marge de manœuvre et une possibilité de négocier, souligne Karin Keller-Sutter. "La tradition du tir en Suisse est sauvegardée, il n'y a pas de menace sur cette tradition, sinon je ne serais pas là parce que je suis aussi attachée à cette tradition. Mais je crois que le projet est absolument acceptable et il faut voir qu'il nous permet de rester dans l'espace Schengen/Dublin."

La conseillère fédérale PLR assure être très sensible aux questions de souveraineté. "Je suis parfois plutôt une sceptique vis-à-vis des projets de l'Union européenne", rappelle la Saint-Galloise, "mais lorsque le peuple suisse a décidé d'adhérer à l'espace, il y avait des règles du jeu.

"Au final, ce sont des changements mineurs"

Elle rappelle encore les exceptions négociées avec ses partenaires européens. "Par exemple pour les soldats qui quittent l'armée, rien ne change. Ils peuvent garder leur fusil d'assaut. Pour les personnes qui n'en font plus, qui ont le fusil à la maison, rien ne change. Pour les personnes qui ont une arme semi-automatique et qui sont enregistrées dans un registre cantonal, rien ne change." Au final, ce sont des changements mineurs, assure Karin Keller-Sutter.

Conséquences "sévères" sur la sécurité et l'asile

Et un rejet de la loi le 19 mai aurait un prix pour la Suisse, qui serait l'exclusion de l'espace Schengen/Dublin. "En sortir aurait des conséquences sévères sur la sécurité suisse, sur la politique d'asile suisse, mais aussi sur le tourisme (…) Le pragmatisme nous dit qu'il nous faut rester à l'intérieur."

"Sur la question de l'asile, le système Dublin dit qu'une personne qui est déboutée dans un pays ne peut pas déposer une demande d'asile dans un autre pays", poursuit la conseillère fédérale. "Si la Suisse ne faisait plus partie de cet espace Dublin, il y aurait une avalanche de demandes d'asile, parce qu'elle serait le seul pays où l'on pourrait encore déposer une demande d'asile. Et en tant que cheffe du département de Justice et Police, je ne veux pas qu'il y ait une avalanche de demandes d'asile en Suisse parce qu'on ne ferait plus partie du système Dublin."

Propos recueillis par Chrystel Domenjoz/oang

Publié à 11:12

La Hongrie et les visas Schengen

Hongrie – 61.690 Russes ont obtenu un visa Schengen dans les consulats hongrois en 2017, ce qui en fait les premiers bénéficiaires.

  • Les demandes de visa Schengen auprès des consulats hongrois ont diminué de 10,6% entre 2016 et 2017

  • 61.690 Russes ont reçu un visa Schengen dans les consulats hongrois en 2017, les citoyens de la Fédération de Russie étant ainsi les plus nombreux à avoir obtenu des visas hongrois

  • 5,3% des demandes de visa Schengen refusées aux consulats hongrois en 2017, contre 3,5% en 2016

En 2017, 61.690 Russes ont demandé un visa de court séjour Schengen pour les ambassades hongroises, la plupart auprès des consulats hongrois.

L’année dernière, les ambassades hongroises ont recueilli 263.940 demandes de visas Schengen courte durée, soit 2% du nombre total de demandes de visas Schengen enregistrées dans le monde. Leurs ambassades situées dans des villes russes ont clairement été les plus sollicitées, recevant un total de 61.690 demandes de visa Schengen en 2017.

Selon ces statistiques, l’ambassade de Hongrie située dans la capitale russe, Moscou, est arrivée en tête avec 46.049 demandes de visas Schengen courte durée reçues en 2017. Parmi ces demandes, 45.492 demandeurs ont obtenu leur visa Schengen, dont près de la moitié (47,3% ou 21.537 visas émis) étant des MEV (visa à entrées multiples, ndlr), qui permet à un titulaire de visa d’entrer dans la zone Schengen plus d’une fois. En revanche, 553 demandes, soit 1,2% du total des candidatures à cette ambassade, ont été rejetées en 2017.

Les ambassades ukrainiennes, qui sont habituellement en tête pour le nombre de demandeurs de visa Schengen souhaitant se rendre en Hongrie, sont arrivées respectivement deuxième et troisième, complétant ainsi les trois premiers de cette liste.

Le bureau diplomatique hongrois à Oujhorod a reçu 23.819 demandes de visas Schengen courte durée en 2017, tandis que l’autre, située dans la capitale Kiev, a reçu 19.982 demandes de visa.

L’ambassade à Uzhhorod a accordé 23.552 visas Schengen courte durée, dont 20.893 visas soit 88,7% du total des visas accordés à ce consulat sont des MEV. L’autre ambassade ukrainienne située à Kiev a accordé 19.680 visas Schengen de courte durée. Le refus de visa à cette ambassade ne représentait que 0,9% du nombre total de demandes reçues.

L’ambassade à Kiev a délivré 19.680 visas Schengen de courte durée en 2017. Contrairement à l’ambassade ukrainienne mentionnée précédemment, plus de la moitié (54% ou 10.625) des visas accordés à ce consulat étaient des visas MEV. En outre, malgré le nombre de demandes reçues, l’ambassade a rejeté un plus grand nombre de demandes de visa. En 2017, 267 demandeurs se sont vu refuser un visa Schengen pour la Hongrie, représentant 1,3% du nombre total de demandes enregistrées dans ce consulat.

Visa Schengen LTV dans les ambassades hongroises

La quantité de visas LTV (visa longue durée, ndlr) émis par les ambassades hongroises en 2017 est somme toute modeste. Sur un total de 249.393 visas Schengen, seuls 441 étaient des visas LTV. Le plus grand nombre de ces visas délivrés a été enregistré à l’ambassade de Hongrie située à Téhéran, la capitale de l’Iran. Cette ambassade a accordé 73 visas LTV en 2017.

D’autres ambassades hongroises ayant délivré un nombre relativement important de ce type de visas ont été :

  • Ukraine (Berehove) – 62 visas LTV délivrés

  • Ukraine (Uzzhorod) – 52 visas LTV délivrés

  • Ukraine (Kiev) – 35 visas LTV délivrés

  • Pakistan (Islamabad) – 26 visas LTV délivrés

Refus de visa Schengen dans les ambassades hongroises

Le pourcentage de refus de visa Schengen dans les ambassades hongroises a légèrement augmenté l’an dernier. En 2016, 10.325 personnes sur 295.226 demandeurs de visa ont été déboutées, ce qui signifie que seulement 3,5% du total des demandeurs n’a pas obtenu de visa. L’année suivante, le pourcentage de refus dans ces consulats a augmenté à 5,3% (14.106 refus de visa sur 263.940 demandes de visa).

L’ambassade de Hongrie située en Algérie a refusé le plus grand nombre de demandes de visa Schengen. Exactement 1.989 candidats à ce consulat se sont vu refuser un visa en 2017. Étonnamment, ces candidats non retenus représentaient la majorité (64%) des demandes enregistrées à cette ambassade.

Parmi les autres ambassades hongroises très sélectives l’an dernier, citons les suivantes:

  • Inde (New Delhi) – 1.104 visas courte durée non délivrés

  • Kosovo (Pristina) – 1.073 visas courte durée non délivrés

  • Chine (Shanghai) – 863 visas courte durée non délivrés

  • Pakistan (Islamabad) – 695 visas courte durée non délivrés

  • Turquie (Istanboul) – 680 visas courte durée non délivrés

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Maroc : quand des élus locaux islamistes se servent de leur visa Schengen pour rester illégalement en Europe

En à peine quelques mois plusieurs élus sous la bannière du Parti de la justice et de développement (PJD), d’idéologie islamiste, se sont installés définitivement et surtout clandestinement en Europe après avoir profité de leur visa Schengen rapporte le journal Aujourd’hui le Maroc, qui fait part d’une inquiétude croissante de la part du parti islamiste.

Tout a commencé en mars dernier lorsqu’une conseillère communale âgée de 26 ans a décidé de rester en France malgré l’expiration de son visa d’entrée. Entre temps, elle s’est désengagée de toutes ses responsabilités locales.

Quelques semaines plus tard, un autre élu du PJD de la commune d’Aït Melloul s’est installé illégalement en France et ne veut plus revenir au Maroc.
Le mois dernier, un autre cas a été enregistré, toujours dans la même région et issu du même parti. Un élu de la ville de Taroudant siégeant au conseil communal de Machraa El Aïn n’est pas revenu au Maroc après l’expiration de son visa de tourisme.

 

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L’UE adopte un registre commun pour mieux sécuriser ses frontières

Les pays européens de l'espace Schengen vont se doter d'un système informatique unifié pour accélérer les contrôles à leurs frontières extérieures et ainsi mieux lutter contre le terrorisme.

Les mesures sont contenues dans un texte adopté mercredi par le Parlement européen.

Ce nouveau système d'entrée/sortie (EES), qui "devrait être opérationnel" en 2020, recensera les noms, numéros de passeport, empreintes digitales et photos de tous les ressortissants de pays tiers qui se présenteront aux frontières de l'espace Schengen, qu'ils soient soumis ou non à un visa.

Les buts sont notamment ceux d'"améliorer la gestion des frontières extérieures(...) et de contribuer à la prévention et aux enquêtes sur les crimes terroristes", a expliqué le rapporteur du texte au Parlement.

Partage d'informations

Les informations stockées dans le nouveau registre seront accessibles aux autorités frontalières et de délivrance des visas, ainsi qu'à Europol.

Le système s'appliquera aux 26 pays de l'espace Schengen, ainsi qu'à la Roumanie et à la Bulgarie. Il remplacera l'apposition manuelle de cachets sur les passeports.

Source RTS

Espace Schengen: la Commission européenne va mettre fin aux contrôles aux frontières en novembre

Dès novembre, les dérogations exceptionnelles qui ont été accordées à des pays confrontés à un fort afflux migratoire prendront fin, a annoncé la Commission européenne mardi.

Bruxelles a donné son accord à l'Allemagne, l'Autriche, au Danemark, la Suède et la Norvège pour une nouvelle prolongation des contrôles de six mois. Mais ce sera la dernière fois, a prévenu le commissaire européen à la Migration Dimitris Avramopoulos lors d'une conférence de presse.

«Nous appelons les Etats membres à supprimer graduellement ces contrôles, tout en compensant cette suppression au moyen de contrôles de police proportionnés sur l'ensemble de leur territoire», a-t-il ajouté.

«Le moment est venu de prendre les dernières mesures concrètes pour en revenir progressivement à un fonctionnement normal de l'espace Schengen», a-t-il dit.

«Schengen est l'une des plus grandes réalisations du projet européen. Nous devons tout faire pour le préserver.»

Source

Neuchâtel: Un Roumains cambriolait deux maisons par semaine

Quelques jours après avoir purgé six mois de prison en France, ce Roumain né en 1963 a commencé à visiter des habitations dans les cantons de Neuchâtel, Berne et Fribourg en octobre 2013.

Son rythme de croisière était d'environ deux cambriolages par semaine, pour un total de 74 vols commis jusqu'en juin 2014.

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Rappel:

Quand la socialiste Calmy-Rey promettait plus de sécurité grâce à Schengen

Le 19 mars 2005 à La Chaux-de-Fonds, à l’occasion de l’assemblée des délégués du Parti socialiste, la Conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey prononçait ces fortes paroles: « Schengen nous apportera plus de sécurité ».

Terrorisme : Anis Amri aurait en réalité franchi quatre frontières dans sa fuite

Anis Amri, l’auteur de l’attentat sur le marché de Noël à Berlin lundi 19 décembre, serait passé par Nimègue aux Pays-Bas avant de rejoindre en bus la gare de Lyon Part-Dieu, a appris mercredi franceinfo.

[...] L’auteur de l’attentat sur un marché de Noël de Berlin lundi 19 décembre est, selon les informations recueillies par franceinfo mercredi 28 décembre, arrivé à la gare routière de Lyon Part-Dieu en provenance de Nimègue, aux Pays-Bas.

Il aurait emprunté un bus de la compagnie Flixbus, au départ de la ville hollandaise située dans l’est du pays. Il aurait quitté Nimègue, à proximité de la frontière allemande, dans la soirée du mercredi 21 décembre.

Arrivé à la gare routière de Lyon Part-Dieu, il a pris un train jusqu’à Chambéry. Depuis la commune savoyarde, il a rejoint Milan toujours en train. Son périple a pris fin dans la capitale de la Lombardie où il a été abattu par des policiers. Le parcours d’Anis Amri entre Berlin et Nimègue reste toujours inconnu.[...]

Source via Fdesouche.com

Simonetta Sommaruga veut que la Suisse passe encore à la caisse pour sécuriser Schengen

Les accords de Schengen coûtent cher à la Suisse et il est vrai que leur fonctionnement n'est pas optimal, a reconnu la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga. «Mais sans soutien financier au système, la Confédération pourrait bien en être écartée. Qu'adviendra-t-il alors du tourisme, avec les visas, ou de la collaboration avec les polices européennes?», a-t-elle questionné.

La ministre de justice et police s'est efforcée de raisonner les députés. L'UDC et les Verts ne voulaient pas d'une participation de la Suisse au nouveau fonds. Adrian Amstutz (UDC/BE) a pointé en vain la perte de sécurité en Europe et la hausse constante des demandes d'asile, critiquant le manque de volonté de mettre correctement en oeuvre le système Schengen.

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La RTS l’avoue: La solution du Parlement contre l’immigration de masse ne respecte pas le texte voté par le peuple.

Le Parlement tient sa solution pour appliquer l'initiative contre l'immigration de masse. Le Conseil national a mis lundi la touche finale à un projet qui cible le marché du travail avec des contraintes limitées pour les employeurs.

Le National a éliminé toutes les divergences restantes. L'UDC a insisté en vain pour inscrire la préférence nationale. Le projet doit encore passer le cap des votations finales vendredi, mais ce devrait être une formalité car l'UDC est la seule opposante déclarée.

(...)

suisse baillonnée

Nouveaux épisodes en vue

Cette mise en oeuvre ne respecte pas le texte voté par le peuple le 9 février 2014. Mais les accords bilatéraux doivent être sauvés et le peuple devra de toute façon revoter sur une adaptation de la charte fondamentale en raison de l'initiative "Sortons de l'impasse" (RASA) qui veut biffer le nouvel article constitutionnel, ont fait valoir le Conseil fédéral et la majorité durant les débats.

Les Chambres fédérales ont paré au plus pressé. Rien ne dit que leur solution permettra de limiter l'immigration (...).

Source

Mes remerciements à Λlex Λ.

La trahison du vote contre l’immigration de masse va toujours plus loin: Pas besoin de justifier son refus d’employer un Suisse

Parlement :Au grand dam des élus UDC, le Conseil national a adouci les mesures de mise en oeuvre de l'initiative sur l'immigration.

Les patrons souhaitant recruter à l'étranger devraient parfois être obligés de convoquer d'abord des chômeurs de Suisse, mais pas de justifier leur refus. Le National a préféré lundi adoucir la copie des sénateurs, malgré la résistance de l'UDC.

Certains employeurs devraient être obligés d'annoncer les postes vacants aux services de l'emploi et de convoquer des chômeurs inscrits en entretien.

Mais par 139 voix contre 54, le National a refusé d'obliger les patrons à justifier leur refus éventuel, en cas de recrutement d'un étranger, comme le veut le Conseil des Etats. La majorité a préféré une solution plus souple qui évite un excès de bureaucratie, a expliqué Cesla Amarelle (PS/VD).

Seules les professions qui ont un taux de chômage supérieur à la moyenne seraient concernées. Soit, au plus, 1% des procédures de recrutements annuels.

Source et article complet via le Facebook du PNS

Suisse: Une commission du National refuse de lier accord de réadmission et visas car contraire à Schengen

Actuellement, la suppression du visa peut être imposée par l'Union européenne avant même la conclusion d'un accord de réadmission entre Berne et le pays concerné, critique la conseillère nationale Céline Amaudruz (UDC/GE). Et de pointer du doigt le risque que la Suisse doive admettre sur son sol des personnes qu'elle n'est pas sûre de pouvoir renvoyer au terme légal de leur séjour.

La majorité de la commission se dit consciente du problème mais il n'est pas question pour elle de remettre en cause les accords de Schengen. Une acceptation de l'initiative contraindrait la Suisse à les dénoncer faute de les appliquer.

La conclusion d'accords de réadmission avec des pays qui ne sont pas démocratiques et dans lesquels on constate des violations des droits de l'homme pourrait en outre être mal interprétée sur le plan politique, fait valoir la commission.

Source

 

 

Schengen: La Suisse doit encore débourser 26,5 millions

Christian Hofer: A noter la manipulation de Sommaruga clamant que c'est une nécessité absolue alors que la gauche a pesé de tout son poids pour disloquer les frontières et anéantir notre sécurité. Voilà le monde qu'ils nous façonnent: payer encore et toujours pour des criminels étrangers tout en mettant notre population en danger!

Et même en payant, la Suisse n'obtiendra pas les mêmes pouvoirs que les autres pays: une superbe arnaque pour une criminalité que nous ne devrions en aucun cas subir!

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Le National a donné son feu vert par 124 voix contre 61, au dam de l'UDC. Le Conseil des Etats doit encore se prononcer.

Les modalités de participation ont été précisées. La Suisse disposera d'un représentant au conseil d'administration au même titre qu'un Etat membre. Il ne pourra voter formellement que sur des sujets techniques et opérationnels, mais pourra émettre des avis sur toutes les questions.

Pour les années 2012 à 2020, le Conseil fédéral évalue les coûts globaux à un maximum de 26,5 millions.

Source et article complet

 

Rappel: Les coûts de la participation suisse aux accords Schengen/Dublin de l'Union européenne sont 14 fois plus élevés que ce que promettait le Conseil fédéral en juin 2005.

Vevey. Hold up violent: Treize coups de poing donnés à la tête d’une vendeuse de 58 ans, agenouillée, par des Lituaniens

Vevey (VD) Trois malfrats ont écopé de 5, 6 et 7 ans de prison ferme pour un violent hold-up. Un verdict qui doit servir d’exemple.

Treize coups de poing à la tête d’une vendeuse de 58 ans, agenouillée: la vidéo projetée hier au tribunal impressionne. Cyril*, le cogneur, est un Lituanien de 27 ans. Le 18 août 2015, il est entré dans une bijouterie de Vevey, s’intéressant à des montres à 15 000 francs. Il y est revenu pour discuter les prix, avant de repartir «chercher du cash». Ses deux complices, des compatriotes de 28 et 46 ans, sont arrivés à leur tour dans le magasin. Soudain, alors qu’il se trouvait dans l’arrière-boutique avec la vendeuse et le patron, Cyril s’est mis à frapper. D’abord le bijoutier, même lorsqu’il gisait au sol, inconscient, dans une mare de sang. Puis la vendeuse. Les deux ont survécu, mais gardent des séquelles psychologiques.

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Rappel:

Quand la socialiste Calmy-Rey promettait plus de sécurité grâce à Schengen

Le 19 mars 2005 à La Chaux-de-Fonds, à l’occasion de l’assemblée des délégués du Parti socialiste, la Conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey prononçait ces fortes paroles: « Schengen nous apportera plus de sécurité ».

« Il en viendra plus ». L’Etat islamique avertit que des CENTAINES de jihadistes se sont faufilés dans Schengen pour attaquer l’Europe

Exclusif: Les partisans de l'Etat islamique jubilent au sujet des cellules djihadistes dormantes nichées en Europe, qui sont prêtes à mener des attaques terroristes sur des civils innocents.

Et le plus effrayant de tout - les experts terroristes soutiennent les glaçantes revendications.

Durant la crise des migrants, il était redouté que les djihadistes puissent se faufiler à travers les frontières poreuses de l'Union européenne puisque des milliers de personnes sont arrivées sur le continent chaque jour en provenance de nations déchirées par la guerre.

Cela inclut Mohammad Daleel, un homme de 27 ans demandeur d'asile qui a été débouté en juillet, et qui s'est fait exploser devant une fête à Ansbach, en Allemagne.

ISIS a déclaré par la suite qu'il était un "soldat du Califat".

(...)

Un partisan de l'Etat islamique se vantait sur l'application Telegram au sujet des attaques à venir qui, selon lui, seraient aussi mortelles que celles de Nice et de Paris.

Il a dit: "Il y a beaucoup de cellules qui ont été mises en place.

"L'Islam apportera la peur sur leurs terres et dans chaque maison.

"Et bien d'autres attaques sont planifiées.

"Et sous différentes formes et différents modes

"Jusqu'à ce qu'ils arrêtent."

Le djihadiste, qui prétend avoir 28 ans, a déclaré que les musulmans qui soutiennent le califat attaquent l'Europe en raison de la guerre en Syrie.

Il a également affirmé que les personnes tuées à Nice et à Paris auraient dû s'opposer à l'implication de leurs gouvernements nationaux dans la guerre en Syrie.

(...)

Le politologue Colin Clarke de l'American think-tank RAND a mis en garde l'Europe de ne pas prendre les revendications à la légère.

Il a déclaré: "Ceci est un groupe très patient, donc s'il y a des djihadistes qui ont déjà infiltré différents pays européens, ils pourraient être dans le processus de collecte de logistique et du matériel nécessaire pour mener une attaque, ce qui pourrait se produire à tout moment.

"L'attaque de l'aéroport de Bruxelles devait initialement cibler les Championnats d'Europe, selon quelques sources que j'ai lues, et la cible n'a changé qu'après l'arrestation de Salah Abdeslam.

«Ils ont prouvé qu'ils étaient aptes à inspirer des loups solitaires et des individus isolés à travers le monde pour frapper en leur nom. Je ne voudrais pas écarter la possibilité que le groupe ait des agents pré-positionnés pour frapper en Europe à l'avenir."

L'an dernier, Europol a déclaré qu'ils craignaient que des djihadistes soient formés en Europe, mais ils ont été incapables d'avoir plus d'informations.

M. Clarke estime qu'il doit y en avoir beaucoup plus, ce dont les autorités sont inconscientes.

Il a dit: "Je pense que nous avons vu que cela est vrai et que c'est au-delà de ce que nous savons déjà, je soupçonne qu'il y en a probablement plus.

"En outre, il y a des centaines de combattants de différents pays européens qui ont des connexions avec des criminels et des militants de bas étage dans leur pays d'origine, des personnes qui ne sont jamais parties. C'est l'une des situations les plus graves, à mon avis."

(...)

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

Andreas Glarner, UDC: « Dans certaines classes, il y a tellement d’étrangers que ce sont les Suisses qui doivent s’intégrer. »

Christian Hofer: A ne pas louper, les promesses non tenues de S. Sommaruga ou comment cette socialiste se fout du peuple tout en osant prendre la poudre d'escampette à la première critique, d'un air outré!

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Nouveau spécialiste du dossier à l’UDC, Andreas Glarner est un des fers de lance des opposants au projet de révision de loi sur l'asile.

L’UDC a lancé le référendum, mais, en 2013, votre parti soutenait le projet. Vous avez retourné votre veste?

Pas du tout. A l’époque, le parti voulait voir ce que ce projet pouvait donner. Des centres fédéraux qui permettent de réduire la durée des procédures, c’est séduisant. Mais on a vu avec l’expérience de Zurich que ces promesses ne tiennent pas. Dans ce centre pilote, trois fois plus de requérants d’asile ont disparu dans la nature. Et puis, on a prévu 24 000 places, alors que 40 000 réfugiés sont arrivés en Suisse l’an dernier. Ce projet est irréel.

Les avocats gratuits, c’est ça qui vous révolte le plus?

Il y a deux choses qui ne vont pas. Les avocats gratuits pour chaque requérant d’asile, mais surtout l’expropriation. En Suisse, la propriété est un élément très important. Que l’Etat puisse s’emparer du terrain d’un particulier ou d’une Commune pour y mettre un centre de requérants d’asile, ça choque les gens.

Le Département de la défense peut aussi procéder à des expropriations…

Soyons sérieux, cela sert à la sécurité de la population. En Suisse, l’expropriation n’est possible que pour l’érection d’ouvrages ayant un intérêt public. Cela n’est pas le cas avec cette loi. Ça pourrait arriver n’importe quand, juste à côté de chez vous.

La solution, c’est quoi alors?

La solution, c’est de renforcer l’aide sur place. Ainsi les migrants ne risqueraient pas leur vie sur des bateaux ou ne financeraient pas les bandes de passeurs. En Suisse, les communes, les cantons et la Confédération dépensent environ 7 milliards pour l’asile. Vous imaginez ce qu’on pourrait faire là-bas avec cet argent?

Vous ne croyez pas à l’accélération des procédures promise par la révision?

Mais personne n’y croit! Vous avez déjà vu des avocats qui permettent d’accélérer les choses? Le projet prévoit que chaque réfugié a droit à un avocat, ça ne peut que compliquer les procédures. Ce projet ouvre encore plus la porte aux requérants d’asile. C’est évident, il suffit juste de lire la loi!

Les réfugiés peuvent être un atout pour l’économie?

Non, je n’y crois pas. Prenez le cas des Erythréens. Ils ont de tels retards en matière de formation, qu’ils ne pourront jamais s’intégrer dans le marché du travail. Ou alors une infime minorité. Aujourd’hui, 92% des Erythréens sont au chômage, et 72% des demandeurs d’asile n’ont pas de travail après cinq ans. C’est illusoire de croire qu’ils pourront s’intégrer sur le marché du travail.

Ça concerne toutes les communautés?

C’est plus difficile avec les réfugiés d’origine musulmane. On le voit dans les pays voisins, ce sont des communautés qui se replient sur elles-mêmes. Il y a moins la volonté de s’intégrer. Et puis l’intégration c’est aussi une question de nombre. Dans certaines classes, il y a tellement d’étrangers que ce sont les Suisses qui doivent s’intégrer.

Selon les sondages, les citoyens semblent pourtant prêts à accepter la loi…

C’est parce que les médias colportent le message du Conseil fédéral.

Si on s’intéressait à toutes les promesses faites par Simonetta Sommaruga, on serait étonné.

Où sont les centres pour requérants d’asile récalcitrants qui ont été promis avec le projet adopté en 2013? Il n’y en a aucun. Elle a aussi dit qu’on ne devait plus accueillir les objecteurs de conscience, et pourtant rien ne change. Sans parler de l’accord Schengen. Il devait coûter 7,4 millions par an, on en est à 100 millions par an, pour une structure qui ne fonctionne pas.

Source

Le toit du Musée européen de Schengen s’effondre, tout un symbole

Le plafond du Musée européen de la ville luxembourgeoise de Schengen, haut-lieu de l'intégration de l'UE, s'est effondré soudainement. Certains y voient une allégorie de la crise de la construction européenne.

C'est au moment de la fermeture, mardi, peu après 18h, que le plafond du musée s'est affaissé sur un tiers de sa superficie. L'accident n'a pas fait de blessés parmi les deux visiteurs et l'employé se trouvant encore à l'intérieur.

"C'est le signe qu'il faudra faire des travaux", a prosaïquement dit Ben Homan, le bourgmestre (maire) de Schengen. Le nom de sa ville est associé depuis 30 ans à la libre-circulation des biens, services et personnes, l'un des acquis les plus concrets de la construction européenne.

Ben Homan refuse d'y voir un "symbole" de la grave crise migratoire qui fracture l'Europe. Il a toutefois exhorté l'Union européenne à "tout faire pour que cet espace soit préservé".

Réouverture dans deux semaines

Le musée retrace l'évolution des frontières de l'Europe de 1815 à nos jours avec des cartes interactives ou rappelle l'activité des contrebandiers.

Le président de l'association qui gère le musée, espère "pouvoir rouvrir dans 15 jours".

Accord signé à Schengen en 1985

C'est à Schengen, village planté de vignes en bordure de la Moselle, que cinq Etats membres de l'UE (l'Allemagne, la France, la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg) "ont signé le 14 juin 1985 un accord prévoyant la suppression des contrôles des personnes à leurs frontières intérieures", rappelle le musée sur son site.L'accord, aujourd'hui adopté par 22 pays de l'UE mais aussi l'Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse, est entré en vigueur en 1995. Mais, débordés par l'afflux de réfugiés, l'Allemagne, l'Autriche, le Danemark, la Suède et la Norvège ont rétabli l'an dernier des contrôles à leurs frontières.

Paris estime que la construction européenne est en danger

La construction européenne "est indiscutablement en danger", sapée par l'incapacité à organiser l'accueil des réfugiés, les menaces de Brexit et la poussée des populismes, a estimé mercredi le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault."L'exemple le plus évident, c'est bien sûr la réponse à l'afflux massif de réfugiés", a estimé le chef de la diplomatie française devant les sociaux-démocrates allemands réunis à Berlin, déplorant la mise en oeuvre "beaucoup trop tardive" de la répartition des demandeurs d'asile entre Etats-membres.Face à l'accumulation des crises, l'Europe "fait parfois office de coupable idéal", une position qui "progresse" partout, a-t-il souligné, évoquant à la fois la tentation du Brexit et les percées électorales de la droite populiste.

Source RTS

Attentat de Bruxelles vu d’Australie : La Belgique doit accepter l’échec de sa politique d’ouverture des frontières

Ndlr : un de nos lecteur nous propose la traduction de l'article de la journaliste australienne Jennifer Oriel, paru le 28.03.2016 dans "The Australian".

Il est intéressant de constater la différence de traitement de l'information par rapport à nos médias suisses, belges et autres.   

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Les attaques de la semaine passée à Bruxelles ont sûrement scellé le destin des accords Schengen.

L’UE récolte ce qu’elle a semé. L’attaque de Bruxelles par les djihadistes de l’EI de, la capitale de facto de l’UE, est la conséquence directe du manque de politique migratoire, qui a produit un cœur islamiste en Belgique prêt à mettre en œuvre le djihadisme contre l’occident.

L’ambassadeur de Belgique en Australie, Jean-Luc Bodson, a minimisé la responsabilité de l’Etat dans ces attaques et prétendu que ce n’est pas le reflet de la politique migratoire de l’Europe. Il a faux sur les deux points. Deux mois avant que la Belgique soit visée par les djihadistes, le favori républicain Donald Trump a averti qu’elle était devenue un enfer en raison des partisans de la charia refusant de s’intégrer. On l’a excorié pour cette déclaration.

A la fin de l’année passée, Tony Abbott (ndlr : ex premier-ministre australien) a vivement recommandé à l’Europe d’adopter une politique sécuritaire des frontières rationnelle et a offert en exemple le modèle migratoire australien. La gauche était si dérangée par la perspective que l’Europe pourrait voir le bout du tunnel, qu’elle s’est précipitée pour défendre le manque de politiques des frontières, lesquelles font entrer les djihadiste en Occident.

Les éditorialistes du New York Times avertirent les officiels européens du modèle australien, écrivant sans honte le titre « Le traitement brutal des migrants par l’Australie ».

Peu après les attaques de Bruxelles, Malcolm Turnbull (ndlr : actuel premier ministre australien) a confirmé le succès du modèle migratoire australien qui associe une politique des frontières forte avec la sécurité nationale et qui donne la priorité aux authentiques requérants d’asile des camps de réfugiés de l’ONU. L’ambassadeur de Belgique a réagi de manière plutôt non-productive. Au lieu de prendre en considération les bénéfices du modèle australien il a poursuivi en arguant faussement qu’il n’y a aucun lien entre la politique européenne des réfugiés et le terrorisme islamiste.

Cependant, l’émergence d’un djihadisme pan-européen démontre que les politiques de sécurité nationales et de migration sont indivisibles. Malgré que M. Bodson prétende le contraire, les djihadistes impliqués dans les attaques terroristes de Paris et de Belgique ont directement bénéficié de la politique européenne migratoire des frontières ouvertes. Le cerveau des horribles attaques de Paris, le Belge Abdelhamid Abaoud, combattait avec l’EI avant de ré-entrer en Europe en se présentant comme un réfugié. Le kamikaze Ibrahim Abdeslam était un djihadiste de retour de Syrie. Un autre djihadiste de Paris est entré en Europe comme réfugié sous la fausse identité d’Ahmad al-Mohammad. A ce qu’on dit, il a été accueilli dans un camp de réfugié avant de massacrer des dizaines d’innocent à Paris.

Le faiseur de bombes Najim Laachraoui a également voyagé en Syrie en 2013 avant de rentrer en Europe avec le djihadiste algérien Mohamed Belkaid sous une fausse identité.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan déclare que les autorités belges ont ignoré les avertissements turcs informant que Ibrahim El Bakraoui, un des deux frères belges responsables des dernières attaques, était un djihadiste de retour. Ce n’est pas la première fois que le manque d’approche sécuritaire nationale de la Belgique est lié au djihadisme international. Deux jours avant le 11 septembre 2001, le Belge d’origine tunisienne Tarek Maarfoui a aidé à l’assassinat de Ahmad Shah Massoud, un champion des forces anti-talibans en Afghanistan. Le gouvernement belge était impliqué dans cet assassinat car il avait refusé la demande tunisienne d’extradition de Maaroufi sur la suspicion qu’il faisait partie d’un groupe terroriste.

En Europe, la Belgique est le plus gros fournisseur de djihadistes par tête pour la Syrie et l’Iraq. Il apparaît que depuis plus d’une décennie, le gouvernement belge est au courant du problème djihadiste dans le pays.  Par exemple, un rapport de 2002 du comité parlementaire belge des services secrets détaillait l’échec de l’Etat à détecter correctement les islamistes radicaux. Celui-ci était attribué à un manque de financement, à la fausse croyance que les islamistes belges n’attaqueraient pas à la maison, et à la peur des officiels d’être accusés de xénophobes ou de racistes à l’égard des immigrés et des musulmans.

Bruxelles est devenue un centre du terrorisme à cause d’un manque de politique migratoire et le refus de beaucoup de politiciens de combattre la menace islamiste. Mais la structure administrative complexe de la Belgique gêne la politique de cohésion bipartite nécessaire pour combattre le terrorisme.

A travers l’Europe, les communautés musulmanes tendent à voter à gauche, ce qui motive les politiciens progressistes à minimiser n’importe quels problèmes y-relatifs et à refuser les alliances bipartites avec la droite.

Un sondage du Figaro, par exemple, a révélé que 93 % des musulmans français votèrent pour le parti socialiste de François Hollande en 2012. Hollande continua de défendre sa politique d’ouverture des frontières, même après que son exploitation par les djihadistes afin de massacrer des citoyens français devienne notoriété publique. Le rôle des politiciens socialistes est large dans le développement de l’islamisme en Belgique. De 1992 à 2012, Molenbeek a été gouvernée par le bourgmestre socialiste Philippe Moureaux. Molenbeek est l’origine de plusieurs terroristes impliqués dans les attaques de Paris et Bruxelles et Salah Abdeslam y a été caché. Durant son mandat, Moureaux a affiché une position forte pour l’ouverture des frontières et attaquait ceux qui le critiquaient de racistes.

Suivant les attaques de Paris, un ancien habitant de Molenbeek, Teun Voeten, s’exprimait sur le déclin de la commune, passée d’un rêve multiculturel à une monoculture délabrée dirigée par l’Islam conformiste. Ecrivant pour [le journal] Politico, il raconta la fermeture des magasins juifs, la persécution des homosexuels et l’abus des femmes, qui se faisaient cracher dessus dans la rue et qui se faisaient traiter de putes. Comme résultat de l’échec de l’UE à assurer son devoir principal de protection des citoyens respectueux des lois, les accords de Schengen dans une Europe sans frontières touchent à leur fin.

L’élite politique européenne et l’ambassadeur de Belgique en Australie devraient dire la vérité à propos des raisons profondes de la crise du djihadisme continental.

L’approche politique européennne opportuniste à l’égard de l’immigration jointe à une politique agressive des frontières ouvertes a facilité la croissance du djihadisme transnational en maladie de l’Europe.

La tentative apparente de Bodson de passer la réalité au prisme et d’accuser principalement la pauvreté et le chômage, plutôt que la politique européenne d’ouverture des frontières, comme cause du djihadisme, n’est pas persuasive.

Il ferait mieux de prendre en considération le modèle d’immigration australien plutôt que de le dénigrer avec l’attitude bornée longtemps associée à la classe politique européenne.

Traduit par Athos pour Les Observateurs.ch

Article source en anglais

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