Assassinat de la jeune médecin à Genève. Ce procès qui n’aura jamais lieu

Le 14 mars 2018 une jeune femme médecin de 26 ans était assassinée à son domicile boulevard Carl-Vogt à Genève, juste à côté de l’entrée d’Uni-Mail, en plein centre-ville. Les charges retenues font froid dans le dos, le meurtrier a pénétré dans l'appartement de la jeune femme, l’a séquestrée, battue, violée, puis tuée, avant de profaner sa dépouille. Le meurtrier, un SDF finlandais, n’a répondu à aucune question du Tribunal, et pour cause, l’homme n’a été reconnu que partiellement responsable, il n’a pas toute sa tête. Il vient d’être condamné à 7 ans de prison et à l’internement. Mais le procès de tous les responsables de cette affaire n’aura jamais lieu.

Ces responsables ce sont ceux qui disent que de telles horreurs malheureusement parfois arrivent, qu’elles peuvent se produire n’importe où. Ce procès qui n’aura pas lieu c’est celui de tous ces gens qui profèrent de telles insanités, c’est le procès de ces autorités genevoises tant cantonales que municipales qui n’appliquent plus toutes nos lois territoriales et pratiquent le sans-frontiérisme et qui soutiennent ouvertement ou indirectement l’idéologie « No Border ».

Si vous ne voyez-pas le lien entre cet odieux assassinat par un SDF finlandais et le sans-frontiérisme des autorités genevoises c’est que décidément vos connaissances en matière de sécurité ont besoin d’être complétées. Les lois territoriales ont des buts et ne sont pas mises en place par hasard. Dans le cours ordinaire des choses et selon l’expérience de la vie, lorsqu’on n’applique plus ni complètement ni entièrement les lois destinées à assurer la sécurité d’un territoire il devient fatal que de telles choses arrivent. Si les autorités avaient appliqué correctement toutes nos lois, cet individu aurait été immédiatement contrôlé, identifié, et reconduit vers son pays pour qu’il le prenne en charge. Au lieu de cela, la belle et bonne république du canton de Genève ne contrôle plus véritablement ni complètement ses frontières, ni les personnes qui résident sur son territoire, parce que parait-il selon l’idéologie « No Border » cela serait désormais contraire aux droits humains. On en voit le résultat. Pour s’offrir une facile et superficielle bonne conscience, au demeurant très puérile, ces gens sont désormais prêts à toutes les lâchetés, comme celle de ne pas avoir le courage de regarder la vérité en face.

Notre code pénal réprime ce que l’on nomme les délits de mise en danger, dans lesquels il punit ceux qui créent ou accroissent un danger et ne prennent pas toutes les mesures de sécurité et de prévention pour que ce danger ne puisse survenir et toucher autrui. Ces délits sont souvent associés à une responsabilité particulière de ceux que l’on nomme alors garants ou gardiens, tel le parent vis-à-vis de son enfant ou le guide dans une cordée de haute montagne, le médecin vis-à-vis de son patient, le chef d’entreprise. Or, dans notre société, l’Etat et ceux qui sont à sa tête ont le devoir d’assurer notre sécurité. Mais à Genève ceux qui sont censés en être les garants font exactement l’inverse, ils violent les lois qui assurent notre protection.

Alors que nous avons des lois fédérales destinées à contrôler ceux qui se trouvent ou entrent sur notre territoire, les autorités genevoises n’appliquent plus entièrement ces lois élémentaires de sécurité, et ce en toute illégalité. Si nos lois pénales étaient bien faites ces politiciens et politiciennes qui n’appliquent plus les lois censées nous protéger devraient donc se retrouver eux aussi devant un Tribunal criminel. Qui viole les lois et accroit le danger ne peut prétendre n’avoir aucune responsabilité lorsque le danger se réalise.

Bien évidemment, ces autorités dénient que ces lois destinées à nous protéger ne soient pas appliquées, mais nous commençons à être habitués à cette sinistre farce qui tient lieu de politique et dans laquelle ils mettent de tout un peu (comme avec la politique covid) un peu de rouge, du bleu, du vert, et mixent le tout, coupent la poire en deux, puis expliquent après grâce à une presse complaisante qu’ils font tous très bien leur travail et qu’ils ont fait du mieux qu’ils pouvaient. Mais ça ce n’est pas la réalité.

En matière d’administration du territoire à Genève la réalité c’est la pratique d’un double standard, où l’on trouve l’application des lois par les juges telle qu’elle doit l’être mais à côté du laxisme le plus complet des autorités politiques, et c’est bien ça le problème. Si l’administration territoriale et le contrôle aux frontières étaient complètement et correctement appliqués il n’y aurait pas à Genève 5'000 appartements au minimum occupés par des illégaux.

Une loi territoriale n’a d’efficacité que si elle est intégralement et complètement appliquée, autrement elle ne sert à rien. Attraper des illégaux et les renvoyer pendant qu’on en en laisse d’autres s’installer n’a strictement aucun sens en termes de sécurité. C’est comme ouvrir un cinéma à deux entrées dans lequel vous contrôlez strictement les spectateurs à une porte pendant que vous laissez entrer tout le monde par l’autre. Cela n’a aucun sens. Et plus personne à Genève n’est dupe de cette comédie. A Genève, à peine le confinement covid levé on a pu constater que les rues étaient déjà en train de se remplir de voitures venant de toute la France et que les SDF dans certains endroits déjà les uns sur les autres en étaient déjà (sic) à se disputer le territoire, ce sont là les indices d’une absence de contrôle territorial par l’Etat qui ne trompent pas, l’indice d’un flux migratoire incessant et non maîtrisé que les autorités s’obstinent à ne pas vouloir contrôler.

En réalité plus personne n’est dupe du déni constant de nos autorités en matière de sécurité dans notre pays. Bien évidemment, comme d’habitude, on trouvera des spécialistes pour nous répondre que nous sommes victimes d’un « sentiment » d’insécurité et que nous nous faisons des idées. Que nous faisons des généralisations qui n’ont pas lieu d’être. Sauf que dans l’assassinat de cette jeune femme il y a maintenant quelque chose de très différent, un élément désormais nouveau et très concret dont ces spécialistes ne parlent pas, ou plus effrayant, dont ils n’ont même pas encore pris conscience.

Cet assassinat par un SDF finlandais présente la caractéristiques très spéciale et nouvelle d’être un meurtre de passage. Dans les territoires bien sécurisés, il n’y a jamais de meurtres par des gens de passage, cela n’existe pas, comme cela n’existait pas auparavant en Suisse.

Et si vous pensez que l’on monte cette affaire en épingle, détrompez-vous. Alors que ce SDF finlandais vient juste d’être condamné un autre procès va s’ouvrir devant le Tribunal criminel du canton, et précisément pour un autre meurtre de passage, commis par un autre citoyen européen, un ressortissant roumain dont il a fallu requérir l’extradition en Hongrie, une ordure qui, aussi en mars 2018, s’est introduite de force avec deux congénères chez un homme de 61 ans pour le voler, qui l’ont battu et bâillonné, pour finir par lui ôter la vie en l’étouffant avec un coussin [1]. Quelle est belle la Genève des droits humains et de l’idéologie No Border qui ouvre toute grande la porte à tout le monde et qui en toute illégalité n’applique plus les lois territoriales destinées à nous protéger.

Après le meurtre djihadiste que l’on a pu voir sur la Riviera vaudoise, après les attaques de Lugano, maintenant les meurtres de passage. Et alors il faut quand même rappeler que pour beaucoup d’entre nous nous sommes nés dans un monde où cela n’existait pas, dans une Suisse où cela n’aurait jamais pu exister, ces notions mêmes de meurtres djihadistes et de meurtres de passage y étaient alors totalement inconnus. Et alors dites-nous donc ce qui a changé ? Oui, dites-nous ce qui a changé ?

Pour ma part, comme la plupart d’entre vous, j’avais reçu de mon père, et de son père avant lui, de ma mère et de sa mère avant elle, et ainsi de générations en générations au travers de nos familles, la chance de vivre dans un des pays les plus paisibles du monde, des plus sûrs, certes pas parfait mais qui faisait en matière de sécurité l’envie du monde entier, un pays dans lequel nos familles pouvaient s’épanouir et grandir en liberté à l’abri des horreurs du monde. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Alors dites-moi ce qui a changé ? Dans le pays où je suis né il n’y avait ni meurtres djihadistes ni meurtres de passages. Et ce ne sont pas mes votes ni mes choix politiques qui ont transformé cette situation. Ce sont alors les votes et les choix politiques de qui ? Qui l’ont transformé ? Bêtement je pensais que j’avais au moins le devoir politique de transmettre à mes enfants ce pays sûr que nous avions reçu de nos parents. Ce ne sera pas le cas, alors dites-moi pourquoi ? La faute à qui ?

Ce procès qui n’aura jamais lieu, et certainement pas à Genève, c’est celui de ces élu.e.s politiques qui en nous méprisant violent désormais nos lois territoriales au vu et au su de tous, et empêchent que le contrôle social et administratif puisse s’exercer sur l’entier de la population résidante, qui violent les lois destinées à nous protéger. Ce procès qui n’aura jamais lieu c’est celui de tous ceux dans le peuple qui les soutiennent et leurs donnent leurs voix aux élections. Vous savez qui ils et elles sont, ils et elles sont juste là sous vos yeux.

Tous ceux qui n’exigent pas une application complète et immédiate de toutes nos lois territoriales font ici exactement partie du problème. Ils sont eux aussi responsables de ces vies qui ont été assassinées.

Michel Piccand

P.S.

Le procès dont il est question dans cet article et qui n’aura jamais lieu pourrait-il se développer sous une autre forme ? Parce que nous voyons quand même que nous sommes face à une décadence incroyable de la politique dans notre pays, où après le refus par ces partis d’appliquer notre vote du 9 février 2014 sur l’immigration et la libre-circulation, ils violent désormais sans aucuns scrupules nos lois territoriales et administratives censées garantir notre sécurité et nous protéger. Et il faut maintenant que cela s’arrête. Ces gens doivent être remis à leur place, notre société ne leur appartient pas.

Le problème dans notre pays c’est que nous ne pouvons pas poursuivre ces gens lorsqu’ils violent nos lois et refusent de les appliquer. Et c’est cela que nous devons changer.

Un livre sera vraisemblablement publié dans le courant de l’année. Il démontre faits et preuves à l’appui l’incroyable dégradation politique que nous sommes en train de vivre et pourquoi une réforme et un renforcement de notre Constitution sont désormais plus que jamais nécessaires. Nous ne pouvons plus laisser des partis politiques minoritaires confisquer notre démocratie et notre pays et faire comme si la chose publique, la Res Publica dans son sens originel, leur appartenait désormais. Nous devons maintenant étendre notre contrôle sur ces politiciens qui se croient tout permis et nous donner les moyens de les sanctionner et de les poursuivre lorsqu’ils violent nos propres lois, il faut mettre en place les moyens constitutionnels de le faire. C’est aujourd’hui et maintenant. Nous devons reprendre le contrôle.

Je refuse catégoriquement que les vies de certains d’entre nous soient détruites et volées comme celles de cette jeune femme et de cet homme assassinés par des meurtriers de passages ou sur la Riviera par des assassins jihadistes. Je refuse de vivre dans une société où des vies humaines sont sacrifiées de temps à autre comme dommage collatéral sur l’autel de projets politiques qui ne sont pas les miens.

Notre droit à la sécurité et à la vie est absolu, il faut combattre avec la plus extrême fermeté ceux qui violent nos lois.

Très concrètement la violation de notre loi territoriale se manifeste par exemple par l’inapplication par les autorités de l’article 16 de notre Loi sur les étrangers et l’intégration (LEI 142.20). Nous savons que l’immigration illégale n’est possible dans notre pays que par le biais de la sous-location par des locataires privés qui ne déclarent pas ces migrants, contrairement à ce qu’exige la loi. A Genève on peut estimer qu’au moins 5'000 logements sont ainsi soustraits du marché légal et les autorités laissent faire alors qu’elles sont parfaitement au courant. De même dans le canton de Vaud où le rapport n. 33 de la Cour des Comptes a identifié qu’environ 55'000 logements, soit 14.4 % du parc immobilier, n’avait fait l’objet d’aucune annonce des locataires auprès du contrôle de l’habitant. C’est tout simplement énorme et catastrophique.

Ce sont ici des indicateurs clairs d’une progression de la désorganisation sociale et d’une perte de maîtrise du territoire et de l’identité de la population résidante dans notre pays, des indicateurs qui peuvent être sociologiquement corrélés à l’augmentation de la criminalité et de la violence. Et cela dure depuis au moins deux décennies.

Les tableaux qui suivent parlent d’eux-mêmes. Augmentation de la population genevoise 1984-2019, + 36 %.

Augmentation moyenne des condamnations pour infractions violentes, + 524 %.

(1984-1987) Moy. 127 par année, (2016-2019) Moy. 792 par année.

Augmentation moyenne des condamnations pour meurtres et tentatives de meurtres, + 250 %.

(1984-1987) Moy. 4 par année, (2016-2019) Moy. 14 par année.

Augmentation moyenne des condamnations pour lésions corporelles graves, + 467 %.

(1984-1987) Moy. 3 par année, (2016-2019) Moy. 17 par année.

Avec une différence très nette entre avant et après l’ouverture des frontières et l’introduction de la libre-circulation à la migration européenne, avec une différence très nette entre avant et après la mise en pratique des idéologies sans-frontiéristes.

[1]

https://justice.ge.ch/fr/actualites/renvoi-en-jugement-dun-prevenu-accuse-dassassinat

L’ancien ministre italien Matteo Salvini devant la justice pour “séquestration” de migrants

Accusé d'avoir empêché le débarquement de migrants sauvés en mer, l'ancien ministre de l'Intérieur italien Matteo Salvini comparaît samedi 3 octobre devant un juge en Sicile où sont prévues des manifestations de soutien au dirigeant d'extrême droite.

Matteo Salvini est poursuivi pour "abus de pouvoir et séquestration de personnes" pour avoir bloqué pendant l'été 2019 durant plusieurs jours 116 migrants à bord d'un navire des garde-côtes italiens, le Gregoretti.

Des migrants avaient pu être évacués pour raisons médicales mais 116 autres étaient restés sur le navire près d'une semaine, faute d'autorisation de débarquer de M. Salvini, alors ministre de l'Intérieur d'un gouvernement formé par la Ligue (son parti d'extrême-droite) et les anti-système du Mouvement 5 Etoiles (M5S).

En février dernier, le Sénat avait voté la levée de son immunité, ouvrant la voie aux poursuites.

Matteo Salvini, bouillonnant quadragénaire connu pour ses écarts de langage, avait alors crânement défendu sa politique.

"Je plaiderai coupable d'avoir défendu l'Italie et les Italiens", a-t-il récemment dit devant ses supporteurs.

Et mercredi sur son compte Twitter il a assuré qu'il irait au procès "la conscience tranquille, avec l'orgueil d'avoir défendu l'honneur de l'Italie".

[...]

Monacomatin.mc

« Procès de la violence machiste » : ou l’art de mettre sur le dos des hommes un crime odieux commis par la diversité

TDG, 24 heures, Le Matin Dimanche :

« Le procès de la violence machiste se tient mardi »

L’agression de cinq femmes à la sortie d’une boîte de nuit en été 2018 avait choqué. Un procès s’ouvre cette semaine en France. La défense plaide l’acquittement, au grand dam des victimes.

Julien Culet - extrait: « La violence et la gratuité de l’agression commise en vieille ville de Genève en août 2018 avaient choqué la Suisse. Le procès doit apporter un épilogue à cet épisode de brutalité misogyne et lâche, les faits ayant débuté parce que l’une des femmes avait refusé les avances d’un des auteurs. Les débats auront lieu mardi et mercredi à Thonon-les-Bains. L’audience se déroulera en France car les accusés sont Français et ont été arrêtés dans leur pays. [...] »

Résumé : Le journaliste Julien Culet parle de violence « machiste ». La réalité ne peut pas être dite à cause des origines de ces criminels, ce qui rend cette affaire criminelle gravissime, doublement indicible.

Nous nous rappelons que quatre hommes domiciliés en France voisine, entre 22 et 26 ans, ont tabassé gratuitement quatre femmes avec une violence inouïe et sans autre raison évoquée que le fait qu’une des femmes aurait refusé les avances d’un de ces criminels. Il lui a alors boxé le visage avec une telle violence qu’elle s’est retrouvée à terre évanouie. Puis trois femmes qui avaient été témoins de la scène sont accourues pour aider la victime.
Cela a déclenché un déchaînement de violence extrême de la part des quatre richesses : coups de pied donnés dans la tête avec élan, coups de béquille et de matraque sur la tête et le visage de ces femmes. L’une d’elles a été emmenée à l’hôpital entre la vie et la mort, elle a dû subir une intervention au cerveau, a été plongée dans un coma artificiel et restera handicapée à vie à cause de séquelles irréversibles.

Maître Assaël dit que les coups de pieds dans la tête ont été donnés comme on tire un penalty.

L’avocat du principal accusé, Me Fadila Tabani-Surmont, nie que son client ait participé au lynchage.
Les quatre accusés ont déjà tous eu à faire avec la justice ; le plus jeune, 22 ans, cumule douze condamnations (bien entendu, l’article ne donne pas plus de détails sur les crimes précédents).

Ils plaident tous l’acquittement, ce qui était tout à fait prévisible, même pour celui qui a laissé son ADN derrière les ongles d’une de ses victimes.

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Voir aussi :

https://lesobservateurs.ch/2018/09/23/apres-le-drame-des-femmes-tabassees-place-a-la-recuperation/

https://lesobservateurs.ch/2018/08/12/agression-de-geneve-le-blick-donne-la-description-de-lagresseur-cest-un-jeune-dorigine-maghrebine/

https://lesobservateurs.ch/2018/08/16/yvan-perrin-lagression-de-geneve-a-ete-un-revelateur-de-lhypocrisie-de-gauche/

https://lesobservateurs.ch/2018/08/17/apres-lagression-de-geneve-les-femmes-socialistes-vont-faire-une-campagne-de-prevention-mais-refusent-devoquer-la-nationalite-des-agresseurs/

https://lesobservateurs.ch/2018/08/31/geneve-pour-un-verre-refuse-il-frappe-plusieurs-femmes/

https://lesobservateurs.ch/2018/10/19/geneve-les-suspects-contestent-avoir-tabasse-les-jeunes-femmes/

https://lesobservateurs.ch/2019/08/13/la-criminalite-et-la-violence-notamment-contre-les-femmes-ont-une-cause-les-individus-non-integres/

https://lesobservateurs.ch/2019/07/10/pour-la-tribune-de-geneve-la-gauchiste-carola-rackete-qui-viole-les-lois-italiennes-est-un-symbole/

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Cenator : Le féminisme, tel qu’il est diffusé actuellement par la bien-pensance, a redéfini le sens des genres, le patriarcat, et bien sûr également le terme « macho ».
Jadis le macho rêvé était l’homme viril,  qui ose faire la cour à une femme, qui lui donne le sentiment d’être capable de la défendre, de lui faire des enfants, de remplir un rôle de chef de famille, ou plus simplement un homme « classe », courtois, celui qui aide une femme à mettre son manteau et lui tient la porte.
Autrefois ouvertement salué, le macho était l’amoureux entreprenant, auquel les femmes avaient de la peine à résister, au même titre que les hommes avaient de la peine à résister aux femmes fatales. C’était le temps où les hommes pouvaient encore représenter la force, la capacité de décision, l’amour courtois et la puissance sexuelle.

Bien sûr, il y avait également l’image du macho imparfait, le latin lover parfois lourdaud, qui essayait de séduire, puis souvent ratait son coup, mais il restait toujours bon perdant, toujours gentleman, fier malgré tout d’être un homme qui ose mettre au défi son charme.

Puis les féministes postmodernes sont arrivées. Avec leurs revendications pour la non-différentiation sexuelle, la féminisation de la société, le cortège des études de genre, une volonté d’imposer une vision anti-patriarcale et anti-capitaliste du féminisme, puis la mode hollywoodienne #me too, le macho est devenu le misogyne à abattre, le phallocrate sexiste, coupable des injustices et des inégalités sociales, ou pour les plus subtiles, un détraqué qui refoule sa féminité.
La masculinité à combattre est le corollaire du culte des minorités LGBT, dans une guerre totale livrée par tous les moyens contre l’homme blanc pour le rendre stérile.

Tous ces déversements idéologiques ne sont jamais critiqués par nos médias, ni par nos milieux académiques, bien au contraire.

Le couronnement est arrivé en 2019, avec des méthodes de manipulation mentale extraordinaires, pour déployer une manifestation qui a atteint des proportions jamais connues en Suisse, la Grève des femmes. Des slogans appelaient à l’instauration du matriarcat, à la castration, la vulgarité anti-masculine était sans retenue.
Le défilé avait duré toute la journée en Suisse romande, avec une couverture médiatique incroyable. Les médias et leurs spin doctors ont reformaté l’esprit de la population : désormais, il est admis qu’il y a un grave problème avec les hommes en Suisse.
Le macho est devenu celui qui diffuse une masculinité toxique, recourant à la violence physique sur les femmes pour les dominer, le violeur domestique, le harceleur sexuel, quelqu’un qui abuse de son pouvoir octroyé par une société patriarcale et capitaliste.

Ici, avec l’article de Julien Culet, nous franchissons un nouveau palier dans la définition du macho. Le macho devient celui qui tabasse à mort des femmes, qui leur boxe le visage et leur donne des coups de pieds lorsqu’elles sont déjà en sang, à terre et inconscientes, juste parce qu’il a essuyé un refus à ses avances.

Dès les premiers articles parus sur cette agression, comme cela se passe dans nos médias avec la plupart des faits divers de ce genre, la réalité a été réinterprétée avec la vision idéologique de la Gauche. Tout a été fait pour éviter de parler de l’origine de ces criminels, qui a été longtemps cachée à la population.

Et si les journalistes cherchent à nier la réalité au lieu d’informer le public, n’est-ce pas une incitation de leur part à ce que ces criminels nient également avoir commis ces actes abjects et se trouvent des excuses ?

Un grand avocat dénonce le traitement judiciaire de l’affaire Méric : « quand la justice se pique de combattre « la bête immonde » »

Des peines anormalement lourdes

Après une semaine de débats, la Cour d’assises de Paris a donc rendu son verdict dans le dossier concernant la mort de Clément Méric. De façon surprenante ont été prononcées des peines très lourdes, sans commune mesure avec celles que l’on rencontre habituellement dans les affaires de violences similaires. Il n’y a pas lieu de s’en réjouir, au contraire. Force est de constater qu’après une conduite d’audience empreinte de partialité, les 11 ans de prison infligés à Esteban Morillo et les 7 à Samuel Dufour, l’ont plus été au regard de leur passé de skinhead qu’à celui des faits qui leur étaient reprochés. Ce qui en fait malheureusement une décision incontestablement politique.

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Abrutis déclassés contre antifascistes de pacotille

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La mort de Clément Méric ne raconte que la bêtise

C’est pour toutes ces raisons que la mort de Clément Méric est à ce point désolante, stupide et si inutile. Elle ne raconte rien d’autre que la bêtise. Mais c’est un fait divers tragique, et la justice aurait dû la traiter comme tel. La violence meurtrière d’Esteban Morillo méritait le passage en Cour d’assises, mais aussi le même traitement que celui relevé dans des affaires similaires. Le quantum de la peine excède très largement celui que l’on rencontre lorsque l’on étudie la jurisprudence. On n’en présentera pas ici une étude exhaustive en se contentant simplement de rappeler que « Jawad le logeur » fut condamné à huit ans de détention pour avoir tué son meilleur ami à coups de hachoir à viande. Il y a des dizaines d’autres exemples. Et c’est dans cet écart de plusieurs années au détriment d’Esteban Morillo que se loge la dimension politique de la décision rendue par la Cour d’assises de Paris.

Le principe de « la personnalisation des délits et des peines » aurait dû permettre la prise en compte du fait que l’accusé avait rompu avec ce passé et essayé de reconstruire une vie. Ce n’est pas un militant nazi ou même pétainiste que la cour devait juger mais un fils d’immigrés, aux études réduites à celles d’apprenti boulanger et dont tous les espoirs de vie étaient bornés par la pauvreté. Qui avait trouvé par faiblesse dans des dérives ineptes et temporaires, un exutoire à un horizon médiocre dont il avait probablement conscience. Et qui depuis le drame avait tenté malgré les difficultés d’en sortir. Au lieu de cela, par la conduite des débats, les réquisitions du parquet, et l’importance des peines infligées la justice donne l’impression d’avoir voulu apporter sa pierre à la lutte contre la bête immonde. Ce n’était pas sa mission. Rabâchons encore et encore, que fort heureusement, il n’y a pas de danger fasciste en France et qu’une justice pour l’exemple n’est jamais exemplaire. Qu’on le veuille ou non, il émane de l’arrêt de la Cour d’assises de Paris un déplaisant fumet politique qui n’y avait pas sa place. Et il sera difficile de contredire ceux qui y décèleront une pénible dimension de classe.

Après le verdict les proches de Clément Méric, ont parlé de : « responsabilité morale collective ».Eh bien non, en matière de justice pénale, il n’y a pas de responsabilité collective, jamais. Qu’une partie civile l’invoque soit, mais qu’une Cour d’assises l’utilise est simplement déplorable.

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Verdict Méric: « L’injustice écœurante »

Le verdict dans l’affaire Méric est tombé, Estéban est condamné à 11 ans de prison et Samuel à 7. Le troisième prévenu, Alexandre, est relaxé. Les valets du Système que sont les milices « antifas » peuvent triompher, la justice, en gobant complaisamment leurs mensonges, s’est couchée lamentablement devant leurs injonctions.

Ce jugement prouve, comme s’il en était encore besoin, la soumission des magistrats et la crédulité des jurys, fussent-ils populaires, face à la dictature de la pensée dominante et de la presse aux ordres. Depuis le début, envers et contre toutes les preuves, Estéban et son camarade devaient être « coupables ». Ils devaient être « coupables » parce qu’ils ne faisaient pas parti de cette jeunesse gavée par les poncifs des médias et de l’« Éducation dite nationale ». Ils refusaient le conformisme imposé par l’hyper-classe aux affaires, ils étaient tout simplement des patriotes rebelles. Et cela, dans la France d’aujourd’hui, ça ne doit plus exister… Ils devaient donc, dès le début, être condamnés, et durement condamnés !

Revenons sur les faits. S’il était avéré que ces jeunes gens étaient venus sciemment à la fameuse vente pour « buter du gauche », avec le matériel nécessaire pour cela (en l’occurrence un poing américain), alors ils mériteraient bien sûr d’être condamnés. En revanche, comme cela fut le cas (tous les témoignages des gens présents concordent), si ce sont les gauchistes, excités par l’un d’entre eux (le dénommé Méric), qui les ont provoqués et, finalement, les ont agressés, ils devaient être disculpés. Estéban et ses amis s'étant retrouvés, d’une certaine manière, en état de légitime défense. Mais qu’importe la vérité, aux yeux des tenants du Système ils incarne « le mal »... voilà pourquoi ce soir ils sont lourdement condamnés.

Au moment des faits, je me suis immédiatement engagé aux côtés de mon ami Serge Ayoub, lui aussi jeté à la vindicte générale, pour défendre la cause d’Estéban et je ne le regrette absolument pas. Nous avons tenu, Serge et moi, plusieurs conférences de presse (cliquez là) et un Comité de soutien avec Pierre Cassen, de Riposte laïque, Richard Roudier, de la Ligue du Midi, les écrivains Éric Miné et Renaud Camus, et un certain nombre d’autres (parmi lesquels, aussi surprenant que cela puisse paraître, Maître Nicolas Gardères), a été créé (cliquez ici). Nous avions alors réussi à retourner, en partie, l’opinion. À force de répéter la vérité sur les faits, le doute s’était installé et certains médias (BFM, Charlie hebdo, et oui, vous avez bien lu…) se sont montrés beaucoup plus mesurés. Nous étions restés sur une ligne de défense « politique » et cela commençait à s’avérer être la bonne. Simultanément, dans toute l'Europe des actions ont été organisées (cliquez là).

Cela fait maintenant 45 ans que je me suis engagé dans le combat nationaliste et, croyez-moi, en terme de procès, j’ai vu passer tous les cas de figures possibles et imaginables. Et, à chaque fois que les camarades impliqués ont choisi de se défendre en courbant l’échine, à chaque fois ils ont perdu. Lorsqu’ils ont adopté l’autre stratégie, celle de la défense frontale, ils s’en sont presque toujours tirés…

Cinq ans plus tard, par choix, la Défense a écarté de mettre ce procès sur le plan politique. À la stratégie « de la rupture et de l’offensive », elle a préféré celle « du profil bas ». Visiblement, elle s’est trompée. Mais peut-on demander à des avocats qui ne partagent pas les idées de leurs clients de plaider en s’appuyant sur celles-ci ? Tous n'ont pas l'audace et le courage d'un Jean-Louis Tixier-Vignancour, d'un Jacques Isorni, d'un Georges-Paul Wagner, d'un Éric Delcroix ou d'un Frédéric Pichon et d'un Frédéric Joachim pour ne citer qu'eux...

Il est trop tôt pour savoir ce que feront Estéban et Samuel mais, quoiqu’il en soit, ce soir nous, la rédaction de Synthèse nationale et moi-même, leur renouvelons notre totale solidarité et notre fraternité militante car, depuis le début, nous savons qu’ils sont innocents.

Ainsi va ce que l’on appelle encore « la justice » dans la France de Macron. Mais, rassurez-vous, ce n’est pas vraiment nouveau, il en va de même depuis le début de la Ve République sans que cela n’offusque personne… ou presque.

Source

Procès liberticide. Nos libertés en danger de mort…

En Suisse, la suspicion d'intentions d'opinion basée sur l'appréciation d'une "impression" d'un juge est désormais suffisante pour vous faire condamner.

Le conseiller national Jean Luc Addor à été condamné jeudi pour discrimination raciale. Il à écopé de 60 jours amende et 300 Frs avec sursis de deux ans pour un Tweet ou il avait écrit ironiquement et laconiquement: "On en redemande." suite à une fusillade entre albanais dans une mosquée de St. Gall qui avait couté la vie d'un des protagonistes.

Pour le tribunal de Sion, au cours d'un procès kafkaïen, les propos de J-L Addor auraient donné "l'impression" qu'en raison de leur appartenance religieuse les membres de la communauté musulmane étaient des êtres dont la vie serait de moindre valeur. (???)

Il est savoureux de relever que la plainte à été déposée par le CCIF (Centre du Conseil Islamique de Fribourg) présidé par l'islamiste bien connu Nicolas Blanchot, personnage sur lequel il suffit d'évoquer la suspicion de penser qu'il serait le bras juridique et idéologique des Frères Musulmans en Suisse pour vous valoir une condamnation sur la simple impression d'un juge.

En condamnant sur une simple suspicion le conseiller national UDC valaisan, le tribunal de Sion à clairement attaqué la liberté d'émettre publiquement l'impression d'une opinion mais il a aussi servi les intérêts et les manoeuvres de l'islam politique en Suisse incarné par Nicolas Blanchot.

Nos médias ont évidemment célébré l'événement en donnant la parole aux adversaires politique du conseiller UDC qui n'ont pas manqué d'applaudir la décision du tribunal favorable aux adeptes suisse de l'islamisme radical et aux castrateurs de notre liberté de donner l'impression d'avoir une opinion.

Dominique Bianchi,19.8.2017

Le conseiller national Jean-Luc Addor devant la justice pour des tweets anti-islam

 

«On en redemande!» Trois ans après sa diffusion, ce commentaire de Jean-Luc Addor amène le conseiller national sur le banc des accusés. Poursuivi pour discrimination raciale, le ténor de l’UDC valaisanne sera jugé mardi 23 mai au Tribunal du district de Sion.[…]

La petite phrase incriminée faisait suite à une information de 20minutes.ch, relatant une fusillade mortelle survenue dans une mosquée de Saint-Gall le 22 août 2014. Très réactif sur les réseaux sociaux, Jean-Luc Addor partage l’article en question sur Twitter et Facebook, en y ajoutant son point de vue lapidaire.[…]

Il affirme s’être exprimé au second degré. En écrivant «On en redemande!», il aurait ainsi voulu signifier: «Ca suffit!». Citant Platon dans nos colonnes, l’été dernier , Me Bonnant considérait l’ironie de son client comme une interrogation. «Par ses mots, il demandait: que faut-il encore qu’il advienne pour que nos politiques mettent un terme à cette violence, à cette subversion?»

Les dénonciateurs, en tout cas, n’ont pas perçu la moindre ironie dans le commentaire initial du parlementaire UDC. Il s’agit du Conseil central islamique de Suisse – soit l’organisation du très controversé Nicolas Blancho – et de l’association De la lumière à l’excellence, qui gère un lieu de culte musulman à Martigny.

C’est le procureur général adjoint du Canton du Valais, Jean-Pierre Greter, qui a mené l’instruction. L’acte d’accusation, dont nous avons obtenu copie, démontre qu’il a épluché les comptes Facebook et Twitter de Jean-Luc Addor.[…] Morceaux choisis: «Pour combattre l’islam, une seule ligne de défense: pas la laïcité, l’affirmation de nos convictions chrétiennes »(17 juin 2014). «L’islam est une saloperie soutenue par des salauds traîtres et collabos» (13 août 2014). Et quand il ne rédige pas lui-même ses diatribes, Me Addor partage des liens: «Haïr l’islam est un acte de salubrité mentale» (9 août 2014).

Pour le procureur Greter, pas de doute possible: les actes reprochés au prévenu sont constitutifs de discrimination raciale, infraction passible d’une peine maximale de trois ans de prison. […]

Via fdesouche

Répression totalitaire contre la Réinformation? Cabinet noir contre RL ? 1 plainte sous Sarkozy, 42 plaintes sous Hollande, 0 plainte en Suisse…

Les animateurs les plus connus de notre mouvance, Pierre Cassen et Christine Tasin, ont tous deux prononcé le mot « cabinet noir » pour expliquer le harcèlement judiciaire dont ils étaient l’objet, depuis plusieurs années, de la part du pouvoir socialiste.

Notre fondateur avait utilisé l’expression quand il avait décrit à nos lecteurs les attaques dont il était l’objet de la part de Gilles Clavreul, préfet socialiste mis à la tête de la Dilcra par son copain Manuel Valls.

Par le plus grand des hasards, François Fillon, au lendemain d’un procès où les antiracistes ont osé demander 21.000 euros contre Pierre Cassen, et le procureur 6 mois de prison, assorti cette fois de sursis – présenté comme un dernier avertissement, pour inciter notre fondateur à arrêter ses activités – a parlé, lui aussi, de cabinet noir.

Sur le plateau de LCI, curieusement, une des trois auteurs du brûlot « Bienvenue Place Beauvau, Olivia Recasens, joue sur les mots pour nier l’existence d’un cabinet noir à l’Elysée. Le journaliste François d’Orcival, se livrant à une lecture précise de ses écrits, n’a aucun mal à lui prouver que ce cabinet s’est d’abord occupé de Sarkozy, puis de Valls, puis de Fillon.

Dans un autre registre, Valérie Pécresse accuse ce cabinet noir d’avoir organisé des fuites en direction de la presse, et fait ordonner une perquisition chez elle. Le prétexte : son fils a été arrêté avec 4 grammes de cannabis sur lui, ce qui est un délit qu’elle reconnaît.

http://www.francetvinfo.fr/politique/pecresse-accuse-le-pouvoir-d-avoir-fait-fuiter-l-interpellation-de-son-fils-pour-consommation-de-cannabis_2115445.html

Mais la suite est plus étrange : 7 heures d’interrogatoire, fuite immédiate organisée en direction de la presse, et perquisition chez elle, bien que le-dit fils n’habite plus chez sa mère. Et Pécresse cite des noms, et explique que Hollande, Valls, Cazeneuve et Bartolone doivent rendre des comptes.

Cela commence tout de même faire beaucoup. Lors de son procès, Pierre Cassen a donné quelques chiffres à la présidente de la 17e Chambre, Fabienne Siredey-Garnier. Pendant les 5 années où il a exercé, en toute clarté, la présidence de Riposte Laïque, il n’y a eu qu’une plainte contre le site RL et contre lui, comme directeur de publication. Il a ajouté qu’il avait trouvé sa lourde condamnation, ainsi que celle de l’apostat de l’islam, Pascal Hilout scandaleuse. Il a établi ensuite une parallèle avec le sort subi par nos amis suisses, depuis qu’ils pilotent Riposte Laïque : 42 plaintes en France, 0 plainte en Suisse ! Et pourtant, la Confédération helvétique est une démocratie, avec des juges, des associations dites antiracistes, des associations musulmanes fort actives. Ainsi, l’avocat de nos amis suisses, Jean-Luc Addor, par ailleurs député UDC, sera-t-il poursuivi, et jugé, par les tribunaux, suite à une plainte de l’ineffable converti Blancho, que Pierre avait affronté à Montreux, en 2013, lors de son débat contre Hani Ramadan.

Pierre Cassen, Christine Tasin et Riposte Laïque ont-ils été victimes d’un cabinet noir, depuis l’arrivée des socialistes au pouvoir ? Tout le laisse penser, à travers les faits que nous allons énumérer.

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Cazeneuve arrive place Beauvau en avril 2014. Curieusement, le Parquet demande une enquête sur le fonctionnement de Riposte Laïque, en 2015, quand la présidence du site est assurée par Khadija Ait M’Barek, d’origine marocaine, vivant en Thaïlande. Qu’est-ce qui a motivé cette enquête, alors que Riposte laïque continuait, comme il le faisait depuis 2007 sous la direction de Pierre, et ensuite en 2012 sous celle de nos amis suisses, le même travail d’information de nos compatriotes, et de tous nos lecteurs de pays francophones, sur la réalité de l’islam, et son incompatibilité avec notre civilisation ?

Pierre et Christine auraient-ils été mis sur écoute, à la demande de Cazeneuve, qui n’a jamais rien su refuser aux associations musulmanes, et dont l’entourage nous a fait savoir qu’il vivait très mal les dessins de Ri7, et le surnom de R2D2 que notre site lui avait attribué. Les enquêteurs auraient-ils été convaincus, suite à leurs écoutes (illégales) qu’ils avaient les moyens de coincer Pierre ?

Toujours est-il qu’à partir de ce moment, qui correspond à l’arrivée de Cazeneuve comme premier flic de France (dans la hiérarchie, pas dans les compétences), les choses s’accélèrent.

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D’abord Boucault, son pathétique préfet de Paris, dépose plainte contre Josiane Filio (et Richard Roudier, chef Identitaire de la Ligue du Midi). La « faute » de notre amie ? Avoir qualifié le préfet, régulièrement brocardé par la droite, d’incompétent. Il se trouvera, en premier jugement, des juges pour condamner Josiane et Richard, qui seront finalement victorieux en appel, suite à une remarquable plaidoirie de Nicolas Gardères. Coût de l’opération pour RL : près de 3000 euros !

C’est ensuite que les policiers de la BRDP multiplient les convocations de Pierre Cassen rue du Château-des-Rentiers. Au début, notre fondateur a accepté de répondre à toutes les questions, venant notamment à chaque fois avec le PV du verdict du tribunal de Grande Instance de Versailles, désavouant, en mars 2013, un machiniste de la RATP qui avait déposé plainte contre lui, en tant que directeur de publication. Et puis, devant la multiplication de ces convocations, Pierre a choisi, comme la loi le lui autorise, de garder le silence, venant à chaque fois avec une photocopie du jugement de Versailles.

Dans le même temps, les plaintes se sont accumulées, l’exemple venant de très haut : Bernard Cazeneuve (d’où notre certitude qu’il est impliqué dans le cabinet noir) a déposé quatre plaintes contre notre site. C’est quelques semaines après la nomination de R2D2, presque en même temps que la grotesque plainte de Boucault, qu’Anne Hidalgo déposera à son tour une plainte ahurissante contre Ri7, pour le dessin que tous les sites de réinformation connaissent à présent. Et, ne reculant devant rien, le maire de Paris déposera, après « Je suis Charlie » trois nouvelles plaintes contre notre dessinatrice, que les juges insisteront pour entendre à plusieurs reprises, malgré son éloignement. Les auto-colleurs se régaleront, dans les rues de Paris…

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Outre Boucault, un autre obligé de Cazeneuve déposera plainte contre Riposte Laïque, le chef des flics parisiens, Jacques Méric, qui n’a pas supporté qu’un vrai policier, Géronimo, lui dise son fait en termes assez vifs.

Et pour ne pas être en reste, le patron du Monde, Pierre Bergé, s’est senti obligé, lui aussi, d’y aller de sa plainte contre RL.

Il suffit ensuite, sur ce récapitulatif de toutes les plaintes déposées contre nous, de voir la proximité politique avec le pouvoir socialiste pour que le doute ne soit plus permis : préfets, journalistes, élus de gauche, associations musulmanes…

http://ripostelaique.com/article-choc-on-en-est-a-43-plaintes-contre-rl-dont-42-sous-la-gauche.html

Ajoutez à cela la création de la Dilcra, dirigée par un copain de Valls-Cazeneuve, franc-maçon comme eux, Clavreul. Et comme nombre de policiers et de juges… C’est lui l’homme qui porte plainte, nominativement, contre Pierre Cassen. Il a décidé que notre fondateur était le vrai responsable de publication à Riposte Laïque, et, comme il n’a pas apprécié un article lui taillant un costard, il n’a pas hésité à demander à notre fondateur 30.000 euros, rien de moins ! Soit, sur deux affaires, 50.000 euros qui lui sont demandés !

http://ripostelaique.com/clavreul-nos-lois-antiracistes-sont-les-plus-repressives-du-monde-mais-cest-pas-assez.html

Et c’est encore Clavreul, comme aux heures les plus sombres de notre Histoire, qui a fait un « signalement » au Procureur contre les deux articles de Maxime Lepante, qui ont valu à Pierre Cassen d’être convoqué devant la 17e Chambre, et d’expliquer qu’il n’était plus responsable du site depuis bientôt cinq ans.

Que dire de certaines plaintes du Parquet, qui font passer nos magistrats pour les descendants des sinistres Vichinsky-Beria ? Par exemple, celle déposée contre Paul Le Poulpe, qui, bien que ne citant aucun nom, interpelait les préfets socialistes qui imposaient des clandestins dans nos villages ? Procès à venir !

http://ripostelaique.com/prefet-socialiste-tu-nas-pas-honte-de-trahir-ainsi-les-francais.html

Autre fait curieux, qui a provoque une grande colère de notre avocat, Maître Pichon : il a constaté, sur différents dossiers concernant Riposte Laïque, qu’au niveau policier, des fuites importantes avaient eu lieu, et que des informations qui n’auraient du se retrouver que dans un seul dossier avait circulé abondamment. Cela s’appelle, selon notre avocat, un viol caractérisé du secret de l’enquête.

Dernière pièce, l’extrême diligence du Parquet de Paris à instruire les plaintes contre Riposte Laïque, mais à classer sans suite, par exemple, une plainte de Christine Tasin contre le journaliste islamo-collabo Askolovitch, qui avait gravement diffamé la présidente de Résistance républicaine sur RTL. Outre des plaintes ahurissantes instruites, nous sommes obligés de constater que François Fillon avait raison de s’étonner de la rapidité de certaines procédures. Alors qu’en temps normal, une plainte devant la 17e chambre met entre 18 mois et 2 ans pour être jugée, Christine et Pierre se sont retrouvés devant ce tribunal au bout de 7 à 8 mois, ce qui laisse pantois nombre d’avocats de nos amis.

Bien sûr, nous n’avons pas la prétention de penser que Pierre et Christine sont aussi importants que des personnes comme Sarkozy, Fillon ou Pécresse. Mais nos amis nous ont fait savoir, après avoir pris connaissance de différents dossiers, des milliers d’heures de travail qui ont été demandés à des policiers (parfois complaisants) ou à des magistrats (parfois complices) pour multiplier les recherches et tout faire pour les faire confondre.

La connivence entre le Parquet de Paris (sous le contrôle du gouvernement) et les associations dites antiracistes est aveuglante, à chaque procès qui se déroule devant la 17e Chambre. Le fait que, de manière ridicule, digne d’un pays totalitaire, les antiracistes aient osé demandé 20.000 euros de dommages et intérêts à Pierre, pour le faire taire (ce qui fut expliqué clairement), et que le procureur (dont nous aimerions avoir le nom) ait, au nom d’un dernier avertissement donné à notre fondateur, requis 6 mois de prison, même avec sursis, contre lui, montre les objectifs de ce cabinet noir.

Car les chiffres sont clairs : de 2007 à 2012, sous la droite, une seule plainte déposée contre Riposte Laïque, par la clique antiraciste. Depuis 2012, où notre site est sous la responsabilité de la Suisse, aucune plainte n’a été déposée chez nos amis helvétiques. Depuis l’arrivée de Cazeneuve place Beauvau, en avril 2014, près d’une trentaine de plaintes ont été téléguidées contre RL, notre fondateur a été perquisitionné, Alain Jean-Mairet a été condamné, sur plainte de la Licra, bien que répondant du droit suisse. Et RL a été incroyablement condamné par la vice-présidente du TGI de Paris, Caroline Kunhmunch, ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, sur l’affaire des caissières voilées, alors qu’H et M avait déposé plainte contre les éditions Riposte Laïque ! Sans parler de l’acharnement judiciaire contre Christine, Renaud Camus, Eric Zemmour, Robert Ménard et même Georges Bensoussan. Cela fait vraiment beaucoup…

Les choses sont donc claires, et la sortie du livre « Bienvenue Place Beauvau », le confirme. Nous avons été victimes d’un cabinet noir, monté par le régime socialiste et ses plus hauts ministres, pour mettre hors de combat, par tous les moyens, les fers de lance de la résistance à l’islamisation de nos pays. Les islamistes veulent imposer la charia, et interdire, comme au Canada, toute critique de l’islam. Et comme ils arrosent toute la classe politique française traditionnelle, nos dirigeants n’ont rien à leur refuser.

Deux solutions : soit Macron, candidat de l’invasion migratoire, des musulmans, des Algériens, des socialistes, des centristes et de la finance, gagne, et cela va s’aggraver. Soit Fillon gagne, et ce mollasson ne va pas changer grand chose. Soit Marine gagne, et on peut espérer quelque chose…

Aux Français de décider, mais à nous d’utiliser au mieux les derniers jours de la campagne, et surtout l’affrontement qui s’annonce, pour le deuxième tour décisif pour notre avenir, mais surtout celui de la France.

Cyrano

 

 

J’y étais : tout ce qui s’est dit lors du procès de Pierre Cassen

En faisant la queue pour entrer au Palais de Justice, qui a duré une bonne heure, des français d’origine maghrébine derrière moi discutaient à bâton rompu sur le racisme, « fléau partagé par tous les peuples » et sur la politique d’arabisation en Algérie, instrumentalisée pour « islamiser » les campagnes kabyle. J’étais déjà dans le bain !

Dans la salle d’audience de la XVIIe chambre, l’affaire Cassen démarre enfin vers 15 h 45. Le prévenu est poursuivi par le Ministère Public pour avoir autorisé, en qualité de Directeur de publication présumé, la publication sur le Site de « Riposte Laïque » de deux articles signés Maxime Lépante, l’un daté du 18 juillet 2016 « Pour éviter le génocide des français, il faut expulser les musulmans » et l’autre daté du 19 juillet 2016 ; « Attentat à la hache dans un train allemand : musulmans dehors ».

Sur un ton docte, Fabienne Siderey-Garnier, présidente du tribunal, lit d’un bout à l’autre les deux articles avec une diction parfaite. Selon l’accusation, ils tombent sous le coup des articles 23 et 24 de la Loi du 29 juillet 1881 pour « délit de provocation à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personne en raison de leur origine, ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

Maître Frédéric Pichon plaide d’emblée l’incompétence de la juridiction française, car il nous explique que l’infraction, c’est-à-dire la mise en ligne d’un article litigieux a été faite à partir d’un site internet basé en Suisse. Il plaide aussi le vice de forme pour le versement au dossier, par l’accusation, de pièces issues d’un autre procès fait par Mme Hildago à l’encontre de Pierre Cassen et qui à ce jour n’a pas fait l’objet d’un jugement définitif. D’où une violation du secret de l’enquête par les policiers.

Après une brève suspension de séance, l’audience reprend, étant précisé par le tribunal que, dans l’attente du verdict à venir, toutes les pièces du dossier pourront être évoquées au cours des débats. Commence alors une sorte de reconstitution de carrière du passé militant de Pierre Cassen, à partir de 2007, année où il a fondé l’association Riposte Laïque, dont les statuts n’ont été déposés qu’en 2012 sous la forme d’une association Loi 1901. Il doit s’expliquer sur les raisons pour lesquelles en octobre 2012, la gestion du site internet a été transférée en Suisse, via la création de l’association Riposte Laïque Suisse (RLS). Pierre Cassen explique sa lassitude après neuf années d’investissement pour différents sites internet. Il voulait « passer à autre chose », notamment se consacrer à l’édition et disposer de plus de temps pour les conférences qu’il donne ou organise en France et à l’étranger. Il est l’auteur de deux ouvrages dont une bande dessinée « Le guignol de l’Elysée » parue en 2014, en collaboration avec la dessinatrice Ri7. Il explique enfin comment l’opportunité d’une reprise du site « Riposte Laïque » s’est présentée, grâce aux liens qu’il a pu nouer avec des amis militants suisses, parmi lesquels se trouvaient des gens comme l’homme politique suisse Oskar Freysinger.

Après la reconstitution de la chronologie des présidences successives de Riposte Laïque Suisse, le tribunal tente de comprendre pourquoi Pierre Cassen est poursuivi  en France, alors qu’il n’est plus directeur du site depuis 2012. D’où des débats techniques sur le fait de savoir si le site internet « Riposte Laïque » est bien la propriété de l’association « Riposte Laïque Suisse » et non celle de Riposte Laïque « France ». L’enquête de police et la perquisition effectuée au domicile de Pierre Cassen suite à un signalement au Procureur par la DILCRAH (Direction interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT) apporte quelques réponses salutaires ! Oui l’I.P. (contraction de Internet Protocol, qui est l’identifiant d’un ordinateur connecté à Internet ) est bien en Suisse, oui une société de maintenance affirme que son client Riposte Laïque Suisse est bien domicilié à Luzerne. Oui les redevances sont bien effectuées à partir d’un compte suisse. Mais l’accusation refuse d’en démordre : l’adresse internet proposée aux usagers du site a pour extension « orange.fr » et «.fr » veut dire FRANCE ! De plus, le compte paypal proposé aux donateurs a pour titulaire Pierre Cassen. Enfin l’actualité traitée par les articles mis en ligne concerne essentiellement le « territoire » français… Pierre explique les problèmes techniques rencontrés par ses amis suisses avec le PayPal suisse et la solution provisoire qui a été apportée par Riposte Laïque « France » par solidarité. Il explique encore que la curiosité des Suisses francophones ne se limite pas aux derniers potins de Neuchâtel !

Pierre Cassen ne cache d’ailleurs pas qu’il fait toujours partie des contributeurs du site et qu’à ce titre, il lui arrive de participer bénévolement à différentes tâches : relecture de certains articles, mise en forme d’article, titrage, apportant ainsi une valeur ajoutée à la qualité du site. Ce fonctionnement est alors corroboré par la lecture par Madame la Présidente de témoignages écrits venant de différents contributeurs du site, et notamment le Directeur de publication actuel Guy Sebag, ancien avocat au barreau de Paris et président actuel de Riposte Laïque Suisse.

Avoir des « droits » sur le site pour effectuer certaines actions au même titre que d’autres contributeurs, est une pratique banale qui n’a rien d’illégal. Il faut vraiment manquer de culture informatique pour s’étonner d’un tel fonctionnement !

Pour autant, Pierre Cassen déclare s’interdire une quelconque ingérence rédactionnelle vis-à-vis de l’équipe suisse. A la question « Avez-vous eu connaissance de ces articles avant leur publication ? », il répond NON. A la question « Auriez-vous publié ces articles en tant que directeur de publication ? ». Réponse encore négative, argumentée par le fait que selon lui, l’article « manquait de nuances » tout en ne manquant pas d’ajouter, qu’il n’était pas toujours d’accord avec le contenu des articles mis en ligne, lorsqu’il était directeur de publication en France. Mais il réaffirme son attachement viscéral au débat contradictoire. Il fait par ailleurs remarquer que les Suisses ont des traditions démocratiques bien supérieures à la France, ce qui explique qu’ils aient publié cet article. Il ajoute que quand il animait le site en France, il n’y avait eu qu’une seule plainte en cinq ans. D’autre part, il fait remarquer au tribunal qu’en Suisse, pays doté d’associations antiracistes et musulmanes, aucune plainte n’avait été déposée contre le site, depuis 2012, alors qu’il y en avait des dizaines, en France. Une chose est claire : Pierre Cassen n’est plus le directeur de publication du site, ce qui a bien été confirmé par l’enquête de police, via la perquisition. Mais le but final de la procédure engagée n’est-elle pas de faire taire à jamais le soldat Pierre Cassen ? La logique aurait voulu que le Ministère public requière un juge suisse par commission rogatoire, ce qui n’a pas été fait pour des raisons sur lesquelles on est en droit de s’interroger.

Puis arrive l’heure du deuxième « entracte » avant les plaidoiries des parties civiles. Entre deux cafés, des sympathisants venus soutenir Pierre Cassen compulsent frénétiquement leur smartphone : une voiture bélier vient de se précipiter sur les grilles du Parlement britannique : un mort et de nombreux blessés dont trois lycéens français… (la suite nous dira le lendemain qu’il y a eu cinq morts et des dizaines de blessés). Les propos de Maxime Lépante qui viennent d’être lus à l’audience, résonnent comme une sinistre prophétie : « Nous ne sommes nulle part en sécurité (…) puisque des musulmans peuvent nous assassiner n’importe quand et n’importe où, comme nous le prouvent les attentats de … »

Ces graves événements de dernière minute n’enlèvent hélas rien à la verve des parties civiles qui s’acharnent de plus belle sur l’homme à abattre : l’avocate de la LICRA tente de jeter à nouveau le discrédit sur Riposte Laïque Suisse dont le fonctionnement interne manquerait de transparence. Elle s’en prend au site lui-même dont « tous les articles véhiculent des idées similaires ». Dans ce qu’elle appelle « son combat » elle cite Germaine Tillon pour avouer enfin que son association dispose d’une « équipe de veille » destinée à susciter de nouveaux procès pour financer les équipes en place. Tout est dit ! A la suite de quoi, elle maugrée contre le public de la salle, dont elle dit ressentir l’hostilité et qu’elle qualifie avec mépris de « fanatique ».

C’est ensuite au tour de l’avocat de la Ligue des Droits de l’Homme qui charge Pierre Cassen, l’accusant « d’avoir la lâcheté de ne pas assumer ses propos ». En effet, avant la pause, Pierre avait refusé de répondre aux questions de cet avocat, destinées à confronter celui-ci aux phrases « globalisantes » des articles incriminés. Concluant benoîtement que « qui ne dit rien consent »,  Pierre Cassen ne peut être que coupable ! L’avocat de la LDH ose cette fois ci demander 10 000 € et 400 € d’amende.

Mme le procureur prend ensuite la parole. Avec une rare violence verbale, elle soutient que le transfert du site en Suisse est opaque, bidon. C’est une « supercherie », un « « écran de fumée » et « c’est bien Monsieur Cassen qui est derrière tout ça ». En sa qualité de père fondateur, il serait donc responsable ad vitam aeternam de tous les actes de son « bébé » ! A la consternation générale, elle demande six mois de prison avec sursis et 2000 € d’amende afin d’aboutir, précise-t-elle, à une « jurisprudence exemplaire ».

Maître Pichon est hors de lui et dénonce d’emblée le rôle éminemment politique du parquet. Il enjoint le tribunal à résister à ces exigences extravagantes. Il ne décolère pas vis-à-vis des conseils des parties civiles : « Mais que font ces associations qui donnent des leçons de morale sur les droits de la défense ? ». Et encore : « Qui sont ces professionnels qui se joignent à l’audience pour récupérer des sous ? ». Il fait encore remarquer très justement qu’aucune associations musulmane n’est présente parmi les parties civiles. Bizarre pour une communauté aussi nombreuse, prompte à se défendre et visée en première ligne par les propos de Maxime Lépante !

Il rappelle qu’en matière pénale, le doute, si doute il y a, doit toujours profiter au prévenu. Pierre Cassen ne saurait donc payer pour un autre. « La messe n’est pas dite, je persiste à croire encore que la justice existe » conclue-t-il, en demandant la relaxe de son client.

Le mot de la fin revient de droit à l’accusé. Pierre Cassen se lance alors dans une tirade enflammée que la greffière a du mal à suivre. On lui demande un phrasé plus lent. Il remercie d’abord la Présidente pour la qualité de son écoute et s’en prend aux parties civiles « financées par Georges Soros ». Il cite Malika Sorel-Sutter, essayiste d’origine algérienne, qui dans un entretien récent a le courage de dénoncer les lois liberticides qui sclérosent tout débat démocratique. Puis il revendique sa responsabilité face aux générations futures, son devoir moral face à ses petits-enfants de continuer à se battre pour les valeurs laïques et républicaines auxquelles il a toujours été attaché.

Il rappelle à la Licra et à la LDH leur complaisance devant l’antisémitisme musulman, leur citant deux exemples accablants.

Il s’insurge contre la scandaleuse requête du Ministère Public d’un emprisonnement de six mois, avec une grande colère. Il rappelle comment ces lois liberticides ont mené devant ce tribunal des journalistes, des hommes politiques, des intellectuels aussi respectables qu’ Eric Zemmour, Ivan Rioufol, Renaud Camus, Pascal Hilout, Robert Ménard, Christine Tasin, jusqu’à Georges Bensoussan, spécialiste de la Shoah et bien d’autres !

Il mentionne enfin que selon une étude de l’Institut Montaigne, 29% des musulmans interrogés estiment que la charia est plus importante que la Loi de la République et que ce pourcentage passe à 44% chez les moins de 25 ans et invite les parties civiles à venir discuter avec lui quand ils le voudront.

Il conclut en leur disant qu’il avait visionné, la veille, le film « L’Aveu », et, se tournant vers les antiracistes et le procureur, leur dit qu’ils auraient fait merveille sous ces régimes.

L’audience s’achève à 20h45 tandis que dans le même temps, un article sur l’attentat de Londres parait sur le site de Riposte Laïque sous la plume du mystérieux Maxime Lépante ! Donc là, Pierre ne peut pas être dans le coup, puisqu’il est encore au tribunal !

Oser dire ou même penser que l’Islam n’est pas compatible avec la République est devenu un crime dans la France de M. Hollande ! Alors, comme l’a fait Voltaire à son époque, publier en Suisse n’est-il pas l’ultime recours pour ne pas être à jamais condamné au silence ?

Le verdict sera rendu le 3 mai 2017.

Hector Poupon

Article paru en premier sur Riposte Laïque

40 procédures judiciaires contre Riposte Laïque, Pierre Cassen, Christine Tasin

Bernard Cazeneuve  (ci-dessus), dont les ratages et incohérences ont été dénoncés par Riposte Laïque, serait à l'origine du harcèlement judiciaire du site RL

Une justice d'exception se met en place contre Christine Tasin et Pierre Cassen, nouveaux "gibiers de potence" de la République

Avec la même ligne éditoriale, dénonçant les méfaits de l'islam intégriste en France, le site #Riposte laïque avait reçu une seule convocation en #Justice jusqu'en 2012. Depuis l'élection de François Hollande, le même site d'information en ligne s'est vu gratifier de 40 procédures judiciaires particulièrement lourdes. Le fondateur Pierre Cassen dénonce un acharnement, qu'il attribue au "au préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls". Ce haut fonctionnaire est en effet à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra), et sa mission essentielle consiste à « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ».

Les victimes ? D'abord les lanceurs d'alerte, à l'image des associations Riposte Laïque et Résistance Républicaine, confrontées, selon Pierre Cassen, à une démultiplication des procédures judiciaires. Dans le but d'anéantir les sites d'informations édités par les deux associations. Rien n'est épargné à Pierre Cassen. Convocations à répétition devant les juges, passages au tribunal correctionnel, descentes de police à son domicile, confiscations de ses ordinateurs et téléphones portables, etc...

Pour Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique, et il semble évident que la justice s'acharne contre Riposte Laïque et son fondateur Pierre Cassen .Selon Pierre Cassen, "Le pouvoir socialiste n'admet pas que le fondateur du site RL en 2007 ait passé la main en 2012. Le pouvoir socialiste refuse d'admettre un fait évident. Je ne suis plus le président et le directeur de publication de Riposte Laïque".

Malgré ce passage de témoin, le harcèlement est intensifié à l'égard de Pierre Cassen. Le pouvoir s'acharne d'autant plus contre le fondateur du site depuis le désaveu qui lui a été infligé par la Cour d'Appel de Versailles, en mars 2013. Ce jour là, les juges ont "blanchi" Pierre Cassen. Ils ont estimé que le site d'information et l'association Riposte Laïque sont dirigés par une association Suisse et par un président de nationalité Suisse. Depuis ce jour, le harcèlement judiciaire s'est intensifié et Pierre Cassen affirme aujourd'hui qu'un "cabinet noir" a été mis en place avec une seul mission. Détruire Riposte Laïque ! Eliminer l'association du même nom.

Juges et policiers mobilisés contre Riposte Laïque

D'ailleurs, en matière de Justice, Riposte Laïque a été condamnée à Paris, mais relaxée à Lyon . Les moyens engagés pour transformer Pierre Cassen, qui n'a tué personne en "gibier de potence" font défaut pour traquer les milliers de terroristes, qui ont tué des centaines de Français et qui en menacent des milliers d'autres.

Dans la France de 2017, qui sont les plus dangereux ? Les lanceurs d'alerte contre les dangers de l'islam intégriste ? Ou les terroristes salafistes et les "revenants de Daech", estimés à près d'un millier par Georges Fenech, Président de la Commission d'enquête parlementaire sur le terrorisme. 850 combattants de Daech seraient sur le point de rentrer en France, après les déboires militaires du Califat Islamique, selon une hypothèse basse. Le chiffre de 1200 est avancé dans le cadre d'une hypothèse haute.

Si chaque terroriste "revenant" de Daech, infiltré sur le territoire Français, parvient à assassiner 16 personnes, au lieu d'être arrêté par les forces de polie et d'enquête, mobilisées par la traque des sites de lanceurs d'alerte, 20 000 civils Français pourraient perdre la vie dans les prochains mois.

Dès lors, les moyens policiers et judiciaires utilisés pour harceler Riposte Laïque ou Résistance Républicaine devraient être mis en oeuvre pour traquer les terroristes se trouvant sur le sol Français et pour prévenir les attentats futurs. Mais, plusieurs responsables politiques aux manettes de la République semblent privilégier les règlements de comptes avec Pierre Cassen à la nécessaire sécurité des Français. En utilisant les fonctionnaires de la République pour de basses missions.

Francis Gruzelle

Une justice d’exception se met en place contre Christine Tasin et Pierre Cassen

Il suffit d’écouter les propos ahurissants et scandaleux du préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra) pour comprendre ce qui se passe réellement en France.

https://www.youtube.com/watch?v=3CW2T98hrLs

Tenant des propos dignes des pires commissaires politiques de pays totalitaires, cet homme avoue crument qu’il va « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ». Et il désigne ceux qui, selon lui, inciteraient à la haine sur la toile. Or, dans l’idéologie de ce régime, à cause de la loi Pleven et de ses extensions, critiquer l’islamisation de la France serait inciter à la haine contre les musulmans.

On comprend mieux les conséquences du discours de Clavreul, quand on découvre le harcèlement judiciaire que décrit la présidente de Résistance républicaine, dans ce texte accablant pour un gouvernement qui instrumentalise sa police et sa justice pour réduire au silence les lanceurs d’alerte contre le péril islamique qui menace notre pays.

http://resistancerepublicaine.eu/2017/01/27/la-saga-judiciaire-contre-moi-et-pierre-cassen-continue-de-plus-belle/

Quant à Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique. Ce régime ne digère pas que celui qui a fondé ce site en 2007 n’en soit plus responsable depuis qu’en 2012, l’association Riposte Laïque Suisse en a pris la responsabilité. Il ne peut supporter qu’une décision de justice, en mars 2013, ait officialisé cela. L’objectif de ce gouvernement, qui a mis en place un véritable cabinet noir pour lutter contre les islamo-critiques, est de le faire tomber par tous les moyens, y compris en prenant des libertés avec le droit. Pour cela, ce cabinet noir orchestre plaintes et procédures, n’hésitant pas à violer le secret de l’instruction pour alimenter toujours davantage de procédures contre Riposte Laïque, qui a dépassé ce jour le chiffre inimaginable de 40, alors que jusqu’en 2012, une seule plainte avait été déposée contre RL.

Convoqué systématiquement à chaque plainte déposée contre ce site, qu’elle émane de Cazeneuve, Hidalgo, Bergé, Fourest, de préfets socialistes, d’associations dites anti-racistes ou musulmanes, de journalistes ou de maires de gauche, Pierre Cassen a été, d’autre part, victime d’une perquisition policière, en avril 2016, sur requête du juge Batoz. Son ordinateur et son téléphone portable ont été confisqués, dans un contexte où des milliers de djihadistes, sur le territoire français, sont prêts à passer à l’action, selon l’ancien juge Fenech.

Encore plus grave, s’appuyant sur le seul rapport de police de la Brigade de Répression de la Délinquance aux Personne (BRDP), des juges ont décidé de considérer que Pierre Cassen devait dès ce jour répondre, en tant que directeur de publication, de tous les procès intentés contre Riposte Laïque. Autrement dit, de manière totalement arbitraire, avant que ne se soit tenu le procès quant à son éventuelle responsabilité de directeur de publication, il est déjà considéré par la justice comme tel, et devrait en assumer les conséquences.

Ainsi, le préfet Clavreul a-t-il mis ses paroles (« cibler les adversaires, et ne plus les lâcher ») en actes. Il a déposé plainte contre Pierre Cassen en personne, lui réclamant 20.000 euros de dommages et intérêts, et lui exigeant de payer ses frais de justice, parce que, sur RL, une contributrice, Lucette Jeanpierre, l’a comparé, après ses propos (voir vidéo ci-dessus) à un « kapo de la toile » et a écrit qu’il aurait fait merveille sous Goebbels, Staline ou Pol Pot. Ils veulent donc juger Pierre Cassen à Versailles, suite à cette plainte du préfet socialiste proche de Manuel Valls. Suite à une autre plainte du procureur de la République en personne, après à deux articles de Maxime Lépante, Pierre est également convoqué devant la 17e Chambre, le 22 mars, pour y être jugé à nouveau en tant que directeur de publication.

C’est d’autant plus grotesque que la même 17e Chambre a condamné, en avril 2016, le président suisse de Riposte Laïque, coupable d’avoir diffusé un texte très critique d’un apostat de l’islam sur ce dogme. C’est d’autant plus ridicule qu’un autre jugement, ordonné par une ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, le juge Caroline Kuhnmuch, a condamné, pour avoir publié la photo de deux caissières voilées d’H et M, peu de temps après, la directrice des éditions de Riposte Laïque, qui n’a pourtant rien à voir avec la responsabilité du site RL. Mais dans quel pays sommes-nous ? La justice est-elle encore rendue au nom du peuple français, ou en celui d’idéologues fanatiques qui se servent de l’appareil d’Etat pour régler leurs comptes, avant que le peuple de France ne se débarrasse d’eux ?

En accélérant les procédures, en prenant des libertés avec toute notion de droit, ce véritable cabinet noir, mis en place par ce gouvernement, confirme les propos du préfet Clavreul, et entend interdire, en pleine campagne électorale, toute dénonciation de l’islamisation de la France, sur laquelle la plupart des candidats observent un silence assourdissant.

Nos avocats vont bien évidemment contre-attaquer, dans les jours qui viennent. Quant à nous, nous allons communiquer massivement, sur la réalité du harcèlement que nous subissons, comme d’autres sites de la réinfosphère. Nous ferons connaître toute l’ampleur des plaintes qui nous submergent, et nous coûtent beaucoup d’argent et de temps. Nous organiserons, le mardi 14 février, à partir de 19 heures, une conférence de presse, à Paris, avec des avocats et des personnalités, pour défendre la liberté d’expression, donc celle de critiquer l’islamisation de notre pays, permise par l’invasion migratoire voulue par les mondialistes.

A cette occasion, nous interpellerons les candidats aux présidentielles, sur la nécessaire abrogation de la loi Pleven, condition indispensable à un retour d’une parole libre en France.

 

Christine Tasin et Pierre Cassen

Breivik gagne son procès contre la Norvège

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Le traitement infligé à Anders Behring Breivik en prison est inhumain, lit-on dans la presse. La justice norvégienne a donné raison au loup solitaire halluciné  --  qui a tué 77 personnes en 2011  --  dans le procès qu'il a intenté à l'État et portant sur ses conditions de détention. « La Cour est arrivée à la conclusion que le régime carcéral implique un traitement inhumain de Breivik », a estimé le tribunal d'Oslo, faisant valoir notamment que son maintien à l'isolement depuis près de cinq ans est une violation de l'article 3 de la Convention européenne des droits de l'Homme.
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L'Etat norvégien est condamné à payer les frais de justice. La juge Helen Andenaes Sekulic a en revanche débouté Breivik concernant le second aspect de sa plainte, qui portait sur ses communications avec l'extérieur, domaine couvert par l'article 8 de la même Convention. Breivik  --  qui s'afficherait désormais, lit-on dans la presse, comme "ouvertement néo-nazi"  --  demandait la levée des restrictions sur son courrier et sur ses visites pour pouvoir "correspondre avec des sympathisants" (néo-nazis), une perspective rejetée par les autorités pour des questions de sécurité.
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Détenu sous un régime de très haute sécurité depuis qu'il a tué 77 personnes en Norvège en juillet 2011, à Oslo et sur l'île d'Utøya, Breivik a été condamné en août 2012 à 21 ans de prison. Sa peine est susceptible d'être prolongée tant qu'il sera considéré comme dangereux.
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A l'époque, les médias avaient honteusement allégué que Breivik était "chrétien" et qu'il se serait inspiré de l'historienne juive Bat Ye'or ce qui absurde et faux. Maintenant, les médias nous expliquent que Breivik est devenu néo-nazi. Bien. L'individu est aussi un psychopathe et un débile mental, mais nos médias ne le disent pas. Précisons que la police norvégienne s'était avérée nullissime dans cette affaire, mettant un temps fou à arriver sur l'île d'Utøya.
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Michel Garroté
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http://www.leparisien.fr/faits-divers/norvege-brievik-gagne-son-proces-contre-l-etat-pour-traitement-inhumain-20-04-2016-5731393.php
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Pays-Bas: le député Wilders comparaît pour avoir dit qu’il voulait moins de Marocains dans son pays

Le député anti-islam Geert Wilders a comparu vendredi devant la justice néerlandaise pour la première audience préalable à son procès pour incitation à la haine, après qu'il eut déclaré il y a deux ans vouloir "moins de Marocains" aux Pays-Bas.

"Vous êtes ici en tant que suspect dans une affaire criminelle, il ne vous est pas demandé de vous exprimer ou de répondre à des questions", a lancé le juge Hendrik Steenhuis à l'homme politique.

Geert Wilders, vêtu d'un costume bleu et d'une chemise blanche, était décontracté à l'ouverture de l'audience, prenant même en photo avec son téléphone les photographes rassemblés autour de lui.

A son arrivée, il avait déclaré aux nombreux journalistes présents : "Personne ne me fera taire, ni les terroristes, ni le Premier ministre, ni le tribunal".

Geert Wilders est accusé d'avoir "insulté un groupe de personnes sur la base de leur race et d'incitation à la discrimination et à la haine".

Lors d'une soirée après les élections municipales de mars 2014, Geert Wilders avait harangué ses partisans, leur demandant s'ils voulaient "plus ou moins de Marocains dans votre ville et aux Pays-Bas".

"Moins! Moins! Moins!", avaient scandé les partisans, ce à quoi Geert Wilders avait répondu: "Nous allons nous en charger".

Ces déclarations avaient causé un scandale aux Pays-Bas, provoquant un exode au sein de son parti populiste et une vague de protestations sans précédant : plus de 6.400 plaintes avaient été déposées par des citoyens et des organisations.

L'audience de vendredi, qui se tient dans un tribunal sous haute sécurité, est une audience préalable, destinée à examiner l'avancée des enquêtes et des procédures avant le début du procès sur le fond, le 31 octobre.

"La liberté d'expression est un principe fondamental mais pas un absolu", a néanmoins déclaré le représentant du parquet, Wouter Bos : "Le racisme et la haine des étrangers sont en contravention directe des libertés dont nous jouissons dans une société démocratique".

La liberté d'expression "est la dernière liberté de M. Wilders", qui vit sous protection permanente, a répondu son avocat, Geert-Jan Knoops.

Il a par ailleurs demandé aux juges d'ordonner l'ouverture d'une enquête après que sa plaidoirie eut été publiée vendredi par un quotidien populaire.

Une poignée de manifestants se sont réunis devant le tribunal pour exprimer leur soutien à l'homme politique, parfois surnommé "capitaine peroxyde" pour ses cheveux blonds décolorés.

Arborant des drapeaux néerlandais, certains portaient des chapeaux représentant des dessins de cochons roses, ce qu'ils considèrent comme une insulte à l'égard de l'Islam.

S'il est reconnu coupable, Geert Wilders pourrait être condamné à deux ans d'emprisonnement ou à une amende allant jusqu'à 20.000 euros.

Connu pour ses formules incendiaires, Geert Wilders a par le passé comparé le Coran au Mein Kampf d'Adolf Hitler et qualifié l'islam de religion fasciste.

M. Wilders, dont le parti est en tête de tous les sondages, avait été acquitté lors d'un premier procès pour incitation à la haine en 2011, les juges ayant estimé que le député ne pouvait pas être condamné car ses critiques étaient dirigées contre l'islam, une religion, et non contre un groupe ethnique.

Source

Lausanne: “Un procès sous haute sécurité” ou lorsque le 24H essaie de justifier la violence récurrente de certaines ethnies

Le procès en appel s’est tenu sous haute sécurité, mardi, au Tribunal cantonal afin de parer à tout acte d’hostilité qu’on peut redouter de la part d’une famille dont un des leurs a été abattu par un compatriote, laissant une veuve avec trois enfants de 4, 8 et 11 ans.

Les juges ont estimé que toutes les conditions étaient réunies pour infliger la perpétuité à ce trentenaire Kosovar à la responsabilité pénale pleine et entière.

Le jugement retient que si ce tyran domestique a littéralement exécuté son beau-frère de trois balles de pistolet dans un box de garage à Chavannes-près-Renens, c’était pour se venger de son épouse séparée de lui et qui s’était réfugiée au foyer de Malley-Prairie. Il a été reconnu coupable d’assassinat, ainsi que de plusieurs autres infractions résultant de son comportement violent au sein de son couple.

Source

Rappel: 

L'immigration des Balkans a débouché sur une violence encore jamais vue en Suisse auparavant:

https://www.youtube.com/watch?v=mhanYbXgAcs

Anne-Sophie Leclère à nouveau lynchée à Cayenne!

C’est vendredi 10 avril 2015 que se jouera le nouvel épisode du procès Leclère. Taubira veut être bien sûre qu’elle en prenne un maximum! Vous souvenez de la condamnation de Madame Leclère à 9 mois de prison ferme et 50 ooo euros d’amende pour avoir momentanément posté sur sa page Facebook un photomontage, se baladant alors sur le net, de la garde des Sceaux, la montrant à côté d’un bébé singe, avec les mentions: Taubira à 18 mois, Taubira maintenant. A savoir que la journaliste qui avait interviewé Anne-Sophie Leclère lui avait fait croire qu’elles étaient alors hors caméras pour mieux la piéger… L’iniquité perdure comme l’abus de position dominante de ChristHaine Taubira!

Suite sur Délit d@image

Procès « Nique la France » : pour le tribunal, les Français blancs n’existent pas

[....]

Au mépris de la loi ainsi que de tout élémentaire principe de bon sens, le tribunal vient de juger que le blanc n'est pas susceptible de définition et que la « blancheur » ne reposait « sur aucun critère scientifique », « variant de ce fait selon les époques, les cultures et les classifications administratives propres à chaque pays (sic.) »

[...]

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NDLR : L'AGRIF (L'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne) avait porté plainte contre les paroles de ce clip de soixante-huitards attardés,  "Nique la France" :

 

Renaud Camus (sous peu) « exécuté » pour avoir dit la vérité!

[...] Extrait :

On assiste alors à l’un de ces dialogues de sourds dont certaines audiences ont le secret.

La présidente : « Mais, ces délinquants, vous dites bien qu’ils sont musulmans, non ? »

Le prévenu : « Je parle de voyous, pas de musulmans ! Certes, nombre d’entre eux viennent d’Afrique. Il me semble que les attentats parisiens de janvier étaient tous le fait d’anciens délinquants passés à l’islamisme et à l’action militaire. D’ailleurs, ce sont bien des forces militaires que le gouvernement a déployées en France pour y répondre. »

L’une des deux autres juges : « Tous les musulmans sont donc des voyous ? »

Le prévenu, comme désespéré : « Je crois que nous ne nous comprenons pas du tout… »

Renaud Camus explose

[...]

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