La Confédération l’admet : les étrangers reçoivent beaucoup plus du chômage qu’ils ne paient de cotisations

Le Conseil fédéral n'a pas l'intention de renégocier avec l'Union européenne les dispositions de sécurité sociale concernant les migrants. C'est écrit noir sur blanc dans sa réponse à un postulat du conseiller national de l'UDC, Thomas De Courten, qui a demandé de nouvelles règles contre l'immigration visant à exploiter l'Etat-providence.

Mais le Conseil fédéral explique qu'il ne voit pas la nécessité de négocier de nouvelles règles. Cela signifie que les migrants pourront toujours prétendre au chômage en Suisse même s'ils n'ont travaillé qu'un jour dans notre pays.

De Courten a également demandé des chiffres. Le Conseil fédéral ne les lui a pas remis, mais il lui a suggéré de les consulter dans les rapports de l'Observatoire de la libre circulation des personnes, établis par un groupe de travail interdépartemental composé de représentants du SECO, de l'OFS, du SEM et de l'OFAS.

Ce rapport montre qu'en 2019, la Suisse a versé 31,3 millions de francs d'allocations de chômage à des immigrés qui se sont appuyés sur un travail effectué à l'étranger pour calculer la durée de cotisation (qui doit être d'au moins 12 mois au cours des deux dernières années). L'année précédente, la somme s'élevait à 25,9 millions.

Le rapport montre également que les étrangers reçoivent plus de la part du chômage qu'ils ne paient. En chiffres, les travailleurs suisses paient 69,4 % du total des cotisations à l'assurance chômage et en reçoivent 55,4 %. Les étrangers originaires des pays de l'UE paient 25 % du total des cotisations et reçoivent 31 % des prestations.

Toutefois, les principaux bénéficiaires sont les étrangers originaires de pays hors UE, qui paient 5,3 % des cotisations et reçoivent 13,1 % du total des allocations de chômage. En pratique, ces derniers reçoivent plus de 2,5 fois plus que ce qu'ils paient.

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Mattinonline.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Valais : Un chauffard français, recherché pour de multiples infractions et interdit d’entrée en Suisse, stoppé après une course-poursuite

Le chauffard circulait sur l’A9 à plus de 200 km/h, dépassant notamment par la droite à plusieurs reprises, lorsqu’il a été pris en chasse par une patrouille à Riddes après avoir refusé d’obtempérer aux signes d’arrêt des forces de l’ordre, indiquent ces dernières.

(...)

 

 

(...)

20min.ch

 


Interdit d’entrée en Suisse

Le fuyard est un Français de 26 ans domicilié en France. La police indique qu’il avait été signalé auparavant pour plusieurs motifs, dont l’interdiction d’entrée sur le territoire suisse. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt et avait commis de «multiples infractions à la loi fédérale sur la circulation routière, à la loi fédérale sur les stupéfiants, sur les armes et d’autres motifs»

(...)

Le Nouvelliste

Neuchâtel : La racaille venue de France vide le compte d’une septuagénaire suisse. Elle finit à l’hôpital.

Une septuagénaire a été victime d’un vol à l’astuce au bancomat. Les malfrats ont subtilisé sa carte et vidé son compte. L’assurance ne remboursera qu’une partie du montant volé. La victime est hospitalisée et son fils est très inquiet.

(...)

Les deux malfrats ont utilisé la carte volée avec un appétit vorace à coup de retraits en francs et en euros. Les lieux des prélèvements révèlent leur itinéraire: Neuchâtel, Yverdon-les-Bains, Besançon (F) et Marseille (F). (...) Selon une enquête publiée en 2018, 25% des personnes âgées de plus de 55 ans résidant en Suisse ont été victimes d’un vol, d’une arnaque ou d’un détournement.

20Min.ch


Rappels :

Calmy-Rey : Schengen-Dublin nous apportera plus de sécurité

Libre-circulation de la racaille : Une bande de la région lyonnaise suspectée de 11 casses en Suisse

Suisse : la libre-circulation fait monter les prix des loyers tout en chassant les anciens locataires suisses des villes

Immigration: «la libre circulation a appauvri la Suisse» selon une étude

Vaud : 2 Roms tabassent un employé CFF et détroussent les passagers. Ils auraient sévi depuis 2008.

France : L’expansion de la population du bassin genevois continue.

Le dynamisme économique du bassin genevois continue de profiter aux départements français frontaliers [NDLR Traduction : La pompe aspirante de la libre circulation fonctionne à plein régime].

[...]

Plus de 80’000 frontaliers travaillent actuellement à Genève, et il semblerait que la proximité géographique compte. [...]

TdG

Vaud : Plusieurs personnes suspectées de cambriolages dans 3 lieux différents interpellées. Des Français, des Roumains, des Algériens.

Plusieurs personnes suspectées de cambriolages dans trois lieux différents du canton ont été interpellées. A Noville, cinq individus ont été arrêtés, trois à Bussigny et deux autres à Chavannes-près-Renens.

[...]

Après vérifications, ces cinq hommes de nationalité française, âgés de 21 à 23 ans, ont pu être mis en cause pour trois vols et tentatives de vol dans des véhicules stationnés à Chardonne, pour le cambriolage d’un restaurant à Vevey et pour le vol de la voiture dans laquelle ils se trouvaient.

[...]

20Min.ch


Rappel :

Calmy-Rey : Schengen-Dublin nous apportera plus de sécurité etc.

L’initiative UDC rejetée à 61,7% : “Le Non a été principalement porté par les cantons romands et les centres urbains”

Les Suisses tiennent à leurs relations avec l’Union européenne et ils l’ont montré dimanche. L’initiative pour une immigration modérée de l’UDC a été rejetée par 61,7% des votants. Le «non» a principalement été porté par les centres urbains et les cantons romands.

Bâle-Ville (74,6%) a compté le plus d’opposants au texte. Il est suivi des autres cantons frontaliers que sont Neuchâtel (71,1%), Vaud (70,9%), Genève (69%) et le Jura (68,1%). Fribourg (64,6%), le Valais (62%) et Berne (61,3%) ont également déposé un «non» net dans les urnes.

[...]

20min.ch

 

Suisse : L’Arc jurassien plie sous les flux de frontaliers

L’Arc jurassien connaît une hausse ininterrompue de frontaliers depuis dix ans. La relative amélioration des infrastructures routières leur permet de résider de plus en plus loin de la frontière suisse.

Le nombre de frontaliers français de l’Arc jurassien a augmenté de près de 70% en dix ans, malgré des distances et des temps de trajet qui s’allongent. La quasi-totalité d’entre eux, soit 97%, utilise leur véhicule pour se rendre sur leur lieu de travail.

[...]

20min.ch

Nos remerciements à Panterina

RTS – Infrarouge : L’art de la manipulation médiatique. Exemple : L’Initiative UDC contre la libre circulation.

Débat RTS/Infrarouge, 9.09.2020 - Suisse-Europe, la fin de l’histoire?

Cenator: Rien que ce titre manipulateur résume à quel point la RTS se permet TOUT, lorsqu’il s’agit de mettre en échec une initiative UDC.

Invité-e-s : Karin Keller-Sutter, conseillère fédérale, cheffe du Département fédéral de justice et police

Céline Amaudruz, vice-présidente de l’UDC, conseillère nationale GE

Pierre-Yves Maillard, président de l’Union syndicale suisse (USS) et conseiller national PS/VD

François Schaller, journaliste et essayiste

Présentation: Alexis Favre

https://www.rts.ch/emissions/infrarouge/11578968-suisseeurope-la-fin-de-lhistoire.htm

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Notre résumé et décryptage de l’émission :

Céline Amaudruz apporte des arguments béton tout au long de l’émission, rappelant que la crise économique due au Covid a créé 20 millions de chômeurs en Europe, qu’avec la libre circulation les salaires de la classe moyenne ont stagné voire diminué et que le pouvoir d’achat a baissé.

La rage de convaincre, la volonté de dominer, de manipuler ne figurent pas au répertoire de Céline Amaudruz et de François Schaller. Ils argumentent calmement, mais est-ce suffisant à notre époque de domination de la « comm » ?

Il faut aussi dire que le présentateur Favre a agressé Schaller à plusieurs reprises, exprimant son énervement envers lui par petites touches, tout au long de l’émission.

Favre ne laisse Schaller terminer aucune de ses réponses, il l’interrompt sans cesse, d’une manière encore plus irrespectueuse qu’il n’interrompt Amaudruz. À un moment, quand Favre pose une question à Amaudruz et que Schaller veut placer un mot, Favre le reprend sur un ton de maître d’école : « Vous vous appelez Céline Amaudruz ? »

L'émission est bourrée de petites combines pour influencer les téléspectateurs: jeux de caméras, questions biaisées, etc.
Personne n’interrompt KKS, qui est parfaite dans son rôle, ni PYM, qui aura en plus un temps de parole bien supérieur aux autres participants, bien qu’il ramène tout le débat à ses victoires, et s’autoglorifie sans cesse et sans obstacle. Il arrive à imposer ses sujets, se limitant à la protection des salaires et aux accords cadres, et dicte ainsi la direction du débat. Grâce à la Rente-pont, il n’y aurait plus de problème pour les chômeurs âgés, bien que l'UDC l’ait combattue en arguant qu'elle allait aggraver/précipiter la "faillite" de l'AVS, tout en mettant définitivement sur la touche des personnes voulant encore fournir des biens et des services au pays.

Schaller se rend bien compte de cette dérive mais reste poli, ne s’impose pas.

Maillard est le seul qui s’offre le luxe de ses « story tellings », ses « moi, j’ai vécu à Renens avec des immigrés quand j’étais enfant », « mes enfants vont à l’école avec des enfants d’immigrés », « … ils sont tous devenus des Suisses... ».
Tous ceux qui connaissent les ficelles pour influencer les opinions pour gagner une votation savent à quel point les histoires « vécues » influencent les suffrages.
PYM peut également placer au bon moment le fameux mantra : « Qui nous a soignés durant la crise Covid ? Qui était à la caisse des supermarchés ? Les étrangers ! »

Lorsque Schaller tente de s’interposer dans le flot de paroles déversé par Maillard, celui-ci monte sur ses grands chevaux : « Je termine ! » (et Favre le soutient : « Ça va être pénible si on l’interrompt »), alors qu’il se permet sans gêne d’interrompre les autres.

PYM place son discours anti-UDC dans chacune de ses interventions, la haine de l’UDC suinte de ses phrases, agite son épouvantail Blocher hors de propos, rappelle sur un ton imposant que l’UDC vote systématiquement contre les intérêts du peuple, des plus fragiles, de ceux qui sont finalement sauvés par les mesures de Maillard, avec des petites phrases savamment glissées : « c’est ça qui énerve l’UDC ».

Maillard peut dire des énormités et personne ne bronche. Exemple : En Suisse, personne ne peut venir sans avoir un contrat de travail.

Personne ne relève que 3/4 des nouveaux arrivés viennent par le regroupement familial.

En réalité, la majorité de ceux qui sont arrivés grâce à la libre circulation ne sont pas des personnes hautement qualifiées dont la Suisse ne peut se passer, mais bien au contraire des gens déjà fragilisés dans leur pays d’origine, faiblement formés, et souvent fragiles aussi dans leur santé.
Ces personnes, même si l’économie les absorbe pour des tâches qui ne nécessitent qu’une formation basique, seront toujours partiellement subventionnées par la collectivité. Devenues inexpulsables, elles font exploser la facture sociale.

Il y a également une catégorie d’immigrants qui viennent d’Afrique ou d’autres pays musulmans, qui ont transité par des pays qui délivrent très facilement des permis  qui leur permettent de s’installer plus facilement en Suisse où la gamelle est mieux garnie.
Ceux-là vont s’ajouter, par leur ethnicité, au problème insoluble du multiculturalisme qui ronge et détruit l’Europe et l’Occident.

Personne dans ce débat ne parle des clandestins, ni de l’invasion par le biais de l’asile.

Personne ne relève non plus le côté absurde et totalement idéologique du fait même que la coopération économique et la recherche soient liées à la libre circulation des personnes.

Rien que le fait d’agiter le spectre d’un effondrement de l’économie est révélateur de cette machinerie manipulatrice, maléfique et totalitaire qui divise l’Europe plus qu’elle ne l’unit.
Et l’establishment suisse se range du côté des bureaucrates de Bruxelles en imposant à son tour, via les médias, ces chantages et ces tromperies. Les peuples des pays européens ne sont en rien présents, ils doivent subir toutes les volontés/lubies des bureaucrates bruxellois. Certains Suisses disent NON et veulent rappeler qu'en Suisse, le souverain c'est le peuple.
Il y a quelques années, la Hongrie avait diffusé la liste des parlementaires achetés par Soros, mais nous ne connaissons rien de ce genre pour notre pays.

 

Voici comment Alexis Favre aborde le problème de la clause guillotine.

Favre s'adresse à Céline Amaudruz: Si les six autres accords bilatéraux tombent, ce n’est pas grave ? On voit que ce sont des accords de grande importance !

Céline Amaudruz, qui est d’une grande élégance, répond avec un sourire : Votre question est un tout petit peu orientée !

Favre : Non, elle n’est pas orientée, elle est factuelle (35:46).

Favre : Est-ce que ce n’est pas plus malin de garder la voie bilatérale ?

La RTS arrive à faire un moment central du débat lorsque Maillard, d’un ton très affirmé, insiste sur la nécessité absolue de continuer la croissance démographique, étant donné que le nombre des retraités aura augmenté dans vingt ans à 2,5 millions, contre 1,7 million aujourd’hui, et qu’il y aura en Suisse 300'000 enfants et étudiants de plus d’aujourd’hui, non-contribuables, ce qui fera en tout 4 millions de personnes qui devront être entretenues par les actifs. Nous avons donc besoin de plus d’actifs. « Sans croissance, on va vers des années de misère ! »

Schaller aurait presque le droit de conclure, sauf que Favre l’interrompt rapidement et ajoute même cette perfidie : Vous avez eu le mot de la fin.

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Le lendemain, au 19h30, la RTS diffuse un «correctif» au débat de la veille.

Le 19h30 est réglé comme du papier à musique, avec son moment de haine de Trump, etc., puis arrive quelque chose d’inédit : un correctif au débat de la veille.
Le présentateur annonce que Valérie Gillioz a « démêlé du vrai du faux », et le faux, bien entendu, c’est l’UDC.
C’est un procédé inouï : non seulement le débat était biaisé, mais en plus la RTS se permet un correctif après coup, en l’absence des débatteurs!

La RTS se positionne ainsi en juge suprême, en affirmant que les chiffres avancés par Céline Amaudruz étaient faux.
Si donc quelqu’un restait encore hésitant après le débat, il ne doit plus tenir compte de ce qu’ont dit les adversaires de la libre circulation. Valérie Gillioz dément ce qu’elle appelle l’argument phare de l’UDC , à savoir l’augmentation de la pression sur les salaires.

Les gagnants de la libre circulation, aoute VG, sont les personnes sans formation professionnelle (c’est-à-dire les migrants en majorité, mais ce n’est pas dit), dont le salaire serait monté en moyenne de 11,8% à 4882.- francs. (NB : c’est bien plus que ce que bien des vieux touchent à la retraite.) En revanche, retenez vos larmes, les diplômés des hautes écoles et les universitaires gagnent 9980.- francs par mois et n’ont eu que 1,3% d’augmentation (tous ces genres de chiffres ne veulent rien dire si la manière de les obtenir n'est pas précisée... car tous sont justes, ou faux, selon la manière choisie).

Puis le TJ rediffuse sans vergogne les arguments de PYM entendus la veille, sur la nécessité de la croissance et de l’immigration.

VG continue ensuite son exposé : « Est-ce que les étrangers piquent les emplois des Suisses ? » Devinez la réponse !

Le chômage est resté stable. Il est un peu plus élevé en Suisse romande, mais ne chipotons pas.

Et VG répète le mensonge déjà tant ressassé : Aujourd’hui, ceux qui viennent travailler en Suisse sont hautement qualifiés, ils viennent en tant que spécialistes. Conclusion : il existe des études qui prouvent que la Suisse a plutôt profité de la libre circulation.

Après ce correctif, le reportage de Stephen Mossaz sur la libre circulation en Suède et au Danemark… reportage plein de têtes blondes…
Ici, tout les monde adore la libre circulation. La libre circulation, c’est génial.
Au Danemark, les travailleurs européens représentent 10% des actifs du pays. Plus de 20’000 Suédois viennent chaque jour travailler au Danemark.

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Nous n’entrerons pas ici dans le détail des manipulations de données et des mensonges avancés par les adversaires de l’initiative UDC, mais si vous avez encore des doutes pour cocher le OUI, lisez ceci:

Les Bilatérales appauvrissent les Suisses

Non, il n’y aura pas d’effondrement de nos exportations

Les Verts et la clause guillotine : un vilain double langage

 

Avoir une immigration choisie signifie pour la gauche la fin de la libre circulation des cerveaux

Les hautes écoles pour la libre circulation des cerveaux

Redoutant la mise en péril de la recherche, les hautes écoles vaudoises et le Canton ont appelé mardi à voter contre l’initiative UDC dite de limitation.

La conseillère d'État vaudoise Cesla Amarelle (au centre) en compagnie des responsables des hautes écoles vaudoises pour dire non à l’initiative de l’UDC «Pour une immigration modérée» (initiative dite de limitation) mardi sur le site de l’UNIL.

Les hautes écoles vaudoises se sont mobilisées mardi pour plaider la libre circulation des cerveaux. Conjointement avec le Canton, elles appellent à voter contre l’initiative UDC dite de limitation. Leurs responsables veulent éviter de mettre en péril la recherche.

Il avait été reproché aux représentants des hautes écoles de ne pas s’être assez mobilisés en 2014 contre l’initiative sur l’immigration de masse. Cette fois-ci, ils ont décidé de mettre les bouchées doubles et de s’engager collectivement en vue de la votation du 27 septembre sur l’initiative «Pour une immigration modérée».

«L’excellence de la recherche ne s’atteint pas en s’isolant. Si l’initiative devait aboutir, cela anéantirait l’accord sur la recherche avec l’Union européenne. Cela aurait un effet dévastateur et massif», a dit sur le campus lausannois la conseillère d’État vaudoise chargée de la Formation, Cesla Amarelle, avant de laisser la parole aux responsables des hautes écoles du canton.

Climat, énergie, IA, santé, numérique

[...]

«La recherche a toujours été de dimension internationale», a rappelé Nouria Hernandez, rectrice de l’Université de Lausanne (UNIL). Elle a souligné que les budgets pour des projets en collaboration avec des programmes européens variaient entre 13,5 et 16,5 millions de francs depuis 2016.

Jusqu’à 20% du budget

Pour plusieurs hautes écoles, les fonds provenant de l’UE représentent jusqu’à 20% de leur budget total pour les projets de recherche. [...]

Pour la Haute École de santé Vaud (HESAV), [...]  Sur un budget global de quelque 330’000 francs, l’HESAV reçoit un financement européen de plus de 80’000 francs.

«Impact en termes de visibilité»

[...]

(ATS/NXP)

lien vers l'image Keystone et article complet:

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ndlr: A l’heure où tous les mensonges et manipulations sont permis dans nos médias pour faire échouer l’initiative de limitation, il faut relire et  diffuser largement les excellents dossiers de Michel Piccand sur ce sujet :

Michel Piccand : « Le vote du 9 février 2014 a coûté 1.4 milliard à la recherche suisse ». Est-ce-que c’est vrai ?  Est-ce la réalité ? Fact Checking.

Dans un article alarmiste la Tribune de Genève, 20.9.2018,  vient d’affirmer que  « Le vote du 9 février a coûté 1.4 milliard à la recherche suisse »:

https://www.tdg.ch/suisse/vote-9-fevrier-coute-14-milliard-recherche-suisse/story/27456324

Est-ce-que c’est vrai ?  Est-ce la réalité ?

La réponse est non.

La réalité c’est que la propagande est de retour, enfin celle fondée sur les motifs académiques, la propagande ordinaire, elle, ne cesse jamais. On se rappelle tous l’extraordinaire psychodrame qui avait suivi le vote du 9 février, les chercheurs, le monde académique, les artistes, les jeunes, enfin tout ce que la Suisse compte d’esprits progressistes et éclairés s’étaient parait-il unanimement levés contre le vote, dans une démarche à vrai dire totalement organisée. On se rappelle les prime-time en série offerts à ces milieux par la RTS.

Suite au vote du 9 février la Suisse avait prétendument été écartée des programmes de recherches européens, dit-on.  Elle y a été réintégrée depuis, réintégrée depuis que le parlement a refusé d’appliquer le vote du peuple.

Mais la Suisse a-t-elle vraiment été écartée de ces programmes ? [...]

article complet: https://lesobservateurs.ch/2018/09/27/le-vote-du-9-fevrier-2014-a-coute-1-4-milliard-a-la-recherche-suisse-est-ce-que-cest-vrai-est-ce-la-realite-fact-checking/

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Suisse-UE. Bilan 2017 de nos relations avec l’UE, par Michel Piccand

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Voir aussi :

Formation, recherche et innovation unies contre l’initiative UDC - 27.08.2020

Lucerne : Les affiches UDC vandalisées “Nous supposons une action coordonnée.”

 

Les affiches de l'UDC accrochées dans la ville de Lucerne concernant l'initiative de délimitation ont été fortement endommagées. Le parti soupçonne des actions systématiques de la part des opposants politiques.

"Presque toutes les affiches pour l'initiative de délimitation ont été détruites, arrachées ou salies", écrit l'UDC de Lucerne dans un communiqué de presse.

Pour la présidente du parti, Angela Lüthold, il est évident "que les coupables sont probablement issus de l'opposition". Elle poursuit : "Comme presque toutes les affiches ont été détruites au cours de la même période et à grande échelle, nous supposons qu'il s'agit d'une action coordonnée.

[...]

Pour Angela Lüthold, la campagne "va bien au-delà d'une plaisanterie". Il est incompréhensible pour nous qu'ils tentent d'entraver un processus démocratique par des actes criminels". Angela Lüthold n'est pas en mesure de quantifier les dommages. Comme la campagne d'affichage est menée par l'Union Démocratique du Centre (UDC), c'est elle qui est chargée de remplacer les affiches. Pour des raisons de protection des données, la société d'affichage ne fournit pas d'informations détaillées.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Luzernerzeitung.ch / Zentralplus.ch

Nos remerciements à Info

Initiative de limitation : Ueli Maurer rompt la collégialité

Pendant ce temps, Sommaruga va directement chercher des migrants en Libye sans que cela ne gêne les journalistes.


«La Suisse a subi ces dernières années une immigration excessivement élevée et incontrôlée», affirme le ministre des Finances dans son éditorial intitulé «Sauvegarder l’équilibre». «Ce phénomène a détruit un équilibre qui s’est établi au fil des ans», enchaîne-t-il, concluant que si ce dernier est «perturbé», «la politique doit intervenir». «Sans appeler directement à soutenir l’initiative de son parti, son propos, de surcroît publié dans un flyer de campagne UDC, appelle naturellement cette conclusion», juge Olivier Feller, conseiller national (PLR/VD). Il rompt ainsi avec la position du gouvernement.

[...]

Le Temps

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

 

Immigration: «la libre circulation a appauvri la Suisse» selon une étude

Selon une étude de Europe Economics, mandatée par la fondation pour une politique bourgeoise, les bilatérales 1 n’auraient pas de répercussions positives sur le PIB par habitant en Suisse.

Les autres accords compris dans le premier paquet des bilatérales ne peuvent compenser qu’une petite part de cette «perte de prospérité». La Confédération n’est pas d’accord.

[...]

Lenouvelliste.ch

Nos remerciements à Info

La conclusion d’accords bilatéraux sans soumission et sans libre circulation des personnes est possible !

L’UDC salue l’ouverture, par son conseiller fédéral Ueli Maurer, de négociations avec la Grande-Bretagne en vue de la conclusion d’un accord sur les services financiers. La branche des finances et de l’assurance aura ainsi un accès transfrontalier au marché. Le grand avantage de ce projet d’accord est que la Suisse n’est pas contrainte de se soumettre à une puissance étrangère, car, contrairement à l’UE, la Grande-Bretagne n’exige ni rattachement institutionnel, ni droit à la libre immigration de ses ressortissants.

L’UDC se réjouit de voir le conseiller fédéral Ueli Maurer et le ministre britannique des finances, Rishi Sunak, entamer des négociations dans le but de conclure un accord sur les services financiers entre la Grande-Bretagne et la Suisse. Cette convention est censée faciliter l’accès transfrontalier au marché pour un large éventail de services financiers dans les secteurs de l’assurance, de la banque, de la gestion d’actifs et des infrastructures du marché des capitaux. En ouvrant ces discussions, le ministre UDC des finances Ueli Maurer confirme une fois de plus sa clairvoyance puisqu’à la suite du Brexit l’UE a perdu le plus important marché financier à côté de celui de Zurich.

Dans la crise la libre circulation des personnes coûtera encore plus cher à la Suisse

Si l’UDC approuve ce projet de traité, c’est aussi parce qu’il prouve que la Suisse peut parfaitement conclure des accords bilatéraux à son avantage et sur un pied d’égalité avec son partenaire, donc sans rattachement institutionnel et surtout sans accorder un droit à la libre immigration.

La situation est exactement l’inverse pour les accords passés avec l’UE, car Bruxelles exige que la Suisse se soumette au droit UE et lui impose la libre circulation des personnes. Ce défaut fondamental inhérent aux rapports avec l’UE a couté très cher à la Suisse depuis l’introduction complète de la libre circulation des personnes en 2007 et il va lui coûter encore plus cher à l’avenir en raison de la dégradation de la situation économique. Confrontés à quelque à 14 millions de chômeurs, les pays membres de l’UE sont en effet plus durement touchés par la crise que la Suisse. C’est dire que notre pays devient encore plus attractif pour une main-d’œuvre bon marché affluant de l’UE pour trouver du travail ou s’installer dans notre généreux système social. Par la grâce de la libre circulation des personnes, tous ces gens ont le droit de venir en Suisse.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/la-conclusion-daccords-bilateraux-sans-soumission-et-sans-libre-circulation-des-personnes-est-possible/

Les journalistes mettent les bouchées doubles pour la promotion de l’invasion

(1) Reportage RTS sur le sauvetage des migrants en mer

 lien vers l'émission: RTS/TJ 19h30, 29.06.2020 (à 17:50)

Reportage d’Hélène Renaud à bord d’un navire de sauvetage de migrants, celui de l’association SOS Méditerranée, qui a repris ses patrouilles après trois mois d’arrêt dus à la pandémie. Les marins portent maintenant masque et visière.

Basile, un Suisse de 32 ans, responsable des sauveteurs, va devoir calmer les 51 personnes entassées dans cette petite embarcation, à 30 km de Lampedusa. Tout le monde doit rester calme et assis. Une opération à haut risque : le bateau surchargé est rempli d’eau.

Basile récupère en premier une femme enceinte, à moitié évanouie.

La crise du Covid-19 n’a pas freiné les départs. Selon l’Organisation internationale des migrations, 365 personnes sont mortes en tentant de traverser la Méditerranée entre janvier et fin juin.

Basile : Si on n’est pas là, ce sont des personnes qui meurent en mer.
On a eu deux semaines de quarantaine avant de rejoindre le bateau.
Il y a un risque résiduel (de s’infecter), mais on est prêt à prendre ce risque pour continuer de sauver des personnes en mer.

Journaliste : Le bateau humanitaire s’est transformé en laboratoire flottant avec une désinfection au chlore pour les sauveteurs.
Du côté des rescapés, cantonnés à l’extérieur, prise de température et port du masque obligatoire.

Un « rescapé » : « Bien sûr qu’on a peur du Covid, mais c’est mieux qu’en Libye, où il y a beaucoup de dangers, comme la mafia, où tu travailles sans être payé.
On ne peut pas retourner au Pakistan, parce qu’on n’a pas d’argent. On doit venir ici. »

Journaliste : En quelques heures, 118 personnes sont secourues. Un répit de courte durée pour le bateau-ambulance, toujours à l’affût pour éviter les naufrages invisibles, qui ont été sûrement plus nombreux pendant le confinement, faute de témoins.

(ndlr: En Hongrie, les "bateau-ambulance" sont appelés "navires-taxi de Soros")

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(2) Cenator : On aurait envie de rire en voyant ce reportage-propagande, avec la voix niaise de la journaliste qui l’accompagne, si notre civilisation n’était pas assiégée, attaquée par ses ennemis, si notre pays n’était pas en train de se faire engloutir par l’invasion migratoire, et d’être infecté par un chaos importé, organisé par la gauche internationale et ses alliés.

Nous devrions impérativement renforcer les digues pour contrer cette invasion mortifère, faire des barrages étanches contre ce torrent qui s’abat sur nous depuis quarante ans.

En plus de cet abus éhonté du droit d’asile institutionnalisé, avec une politique d’asile hors contrôle, nous avons le problème de la libre circulation, mise en place depuis 2002. Si notre pays surpeuplé ne réagit pas alors qu’il est minuit moins deux, notre avenir sera celui de l’Afrique du Sud, où les Blancs sont devenus des proies à exterminer.

L’Agefi vient de publier un article prouvant « scientifiquement » que la Suisse n’a pas de problème avec la libre circulation. Même si les chiffres de l’asile et des regroupements familiaux étaient compris dans les chiffres avancés (ce qui n’est pas le cas), nous serions encore très loin des promesses d’antan.

Ces arguments répertoriés seront répétés en boucle jusqu’au 27 septembre, date des votations fédérales.
Et comme c’était déjà le cas lors de la votation sur la libre circulation, tous ces mensonges seront déroulés et martelés, tel un bulldozer qui écrase sans vergogne tout argument d’opposition.

En 2002, le peuple avait voté pour 8000-10'000 personnes en plus par année,  et l’UDC avait perdu la bataille.

Des mensonges et manipulations de données seront sans limite seront de nouveau avancés à chaque occasion possible, par la coalition des journalistes et de tous les partis politiques autres que l’UDC.

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(3) Article de l'AGEFI sur l'immigration

29.06.2020

Le Secrétariat d’État à l'économie (Seco) a dressé lundi son bilan annuel sur la libre circulation des personnes. Tour d'horizon des points clés à retenir à l'approche de la votation sur l'initiative "pour une immigration modérée".

(Article accompagné de la photo d'une main qui nettoie, avec la légende présentant la libre circulation comme "indispensable pour le recrutement de personnes dans des postes exigeant un faible niveau de qualifications".)

  1. L'immigration reste stable

[...]  l’immigration nette a reculé de -2700, à 20.800 personnes en 2019.
Toutes régions confondues, le solde migratoire total s’est élevé à 51.500 personnes, soit environ 3200 immigrés de moins qu’en 2018. [...]

  1. Les Suisses pas évincés du marché du travail

Selon le rapport du Seco, le taux de chômage des Suisses est nettement inférieur à la moyenne. Entre 2018 et 2019, le taux de chômage a reculé de 2,6% à 2,3%. [...]

  1. Plus de flexibilité sur le marché du travail

La main-d’œuvre immigrée contribue également à un engagement flexible correspondant aux besoins de l’économie. [...]

  1. Volume de travail plus important pour les immigrés

[...]

http://www.agefi.com/home/politique/detail/edition/online/article/quelles-sont-les-repercussions-de-la-libre-circulation-des-personnes-sur-le-marche-suisse-du-travail-tour-dhorizon-des-points-cles-a-retenir-du-rapport-publie-ce-lundi-par-le-seco-497554.h

Vaud : 2 Roms tabassent un employé CFF et détroussent les passagers. Ils auraient sévi depuis 2008.

Ils n’en étaient visiblement pas à leur première infraction, mais c’est une agression sur un cheminot, laissé inconscient à Payerne, qui leur vaut de passer devant les juges.

[...]

Les deux accusés, des frères roms originaires de Serbie, n’en étaient pas à leur premier coup, ou plutôt premiers coups. Depuis 2008, ils auraient écumé les trains et les gares, en additionnant les agressions gratuites, dont des contrôleurs, les passagers détroussés ou passés à tabac, et même un cheminot poussé sur les rails. De plus, c’est après un rodéo routier, avec des pointes à 160 km/h, le tout sous l’influence du cannabis, que l’un d’eux a pu être arrêté.

[...]

20min.ch

Nos remerciements à Dany Riviera 


Rappels :

Calmy-Rey se félicite de la victoire de la libre-circulation des personnes, contre les "isolationnistes".

Calmy-Rey : Schengen-Dublin nous apportera plus de sécurité etc.

Oui massif des socialistes à Schengen/Dublin

Le Conseil fédéral répond aux exigences de l’UDC et lève l’état d’urgence – incompréhensible assouplissement des mesures aux frontières

L’UDC salue la décision du Conseil fédéral de mettre fin le 19 juin 2020 à la situation extraordinaire selon la loi sur les épidémies. La Suisse retrouve ainsi son régime constitutionnel ordinaire comme l’UDC le réclamait le 31 mars 2020 déjà. En revanche, il est incompréhensible que le Conseil fédéral décide d’ouvrir les frontières le 8 juin prochain déjà.

L’abrogation du droit d’urgence met fin à diverses interventions étatiques centralistes et relevant de l’économie planifiée. Le régime constitutionnel ordinaire retrouve ainsi sa place. En revanche, la décision de rétablir la libre circulation des personnes et de supprimer les contrôles aux frontières équivaut à un affront à l’égard des Suisses qui se retrouvent au chômage à cause du Covid-19. Bien que notre pays se trouve actuellement dans une situation économique extraordinairement difficile, le Conseil fédéral veut faire entrer encore plus de main-d’œuvre étrangère en Suisse. Près de deux millions de personnes, soit plus d’un tiers de tous les salariés suisses, sont au chômage partiel et plus de 150’000 ont perdu leur emploi.

L’UDC exige une fois de plus le maintien des contrôles stricts aux frontières. Même en des périodes économiquement favorables, un million de personnes – en majorité en provenance de l’UE – sont venues s’établir dans notre petit pays en l’espace de 13 ans pour y travailler ou profiter de notre système social. A la suite de la forte augmentation du chômage dans tous les pays voisins, la Suisse subira forcément un afflux supplémentaire d’immigrants que l’on ne peut pas arrêter à cause de la libre circulation des personnes – et cela bien que des dizaines de milliers de Susses soient au chômage et qu’il faille s’attendre à une augmentation de la pauvreté et à une explosion des charges sociales. Qui plus est, le nombre de personnes entrant clandestinement en Suisse augmentera à nouveau à cause de l’ouverture des frontières.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-conseil-federal-repond-aux-exigences-de-ludc-et-leve-letat-durgence-incomprehensible-assouplissement-des-mesures-aux-frontieres/

 

L’attrait de la Suisse provoque une pénurie de main-d’œuvre en France

Par RTS, Tristan Dessert - 24. février 2020

Dans certaines zones de France voisine, près d’un travailleur sur deux est employé en Suisse. Cette situation entraîne un manque de main-d’œuvre problématique pour les entreprises françaises proches de la frontière.

Du cadre à l’ouvrier en passant par le serveur ou l’infirmière, la Suisse compte environ 177'000 travailleurs frontaliers venant de France. Cela représente plus de la moitié des 314'000 frontaliers que compte le pays.
C’est dans le canton de Genève que ces frontaliers sont les plus nombreux: 85'000. Vaud en compte près de 32'000, Neuchâtel près de 13'000, le Jura 8500 et le Valais 1600.

44% des actifs du Genevois travaillent en Suisse

D’après une récente étude française de l’Institut national de la statistique et des études démographiques (INSEE), plus de 44% de la population active du Genevois français travaille en Suisse. Autour de Saint-Louis, près de Bâle, c’est près de 42% (une partie de ces frontaliers travaillent en Allemagne). Le taux est presque identique autour de Morteau et se monte à plus de 32% autour de Pontarlier.

Dans les entreprises françaises, cette fuite de la main-d’œuvre pose de sérieux problèmes de recrutement. C'est le cas de cette société de plomberie et chauffage de Saint-Julien-en-Genevois montrée en exemple dimanche dans le 19h30. Au téléphone, le même refrain revient régulièrement: «Je suis désolé, aujourd’hui on prend en contrat de maintenance uniquement les équipements qu’on a installés.»

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vidéo et article complet:

Exposé de Céline Amaudruz, Thomas Aeschi, Marcel Dettling, à l’Assemblée des délégués de l’UDC Suisse à Uri

UDC Suisse

Exposé de Céline Amaudruz (GE) à l'Assemblée des délégués de l'UDC Suisse à Uri, 30. mars 2019.

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Le discours de Thomas Aeschi (en allemand)

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Le discours de Marcel Dettling (en allemand)

 

 

Les syndicats, succursales du PS, s’engagent contre l’initiative de limitation de l’UDC

Les syndicats ont lancé lundi leur campagne contre l'initiative populaire de l'UDC "Pour une immigration modérée". Son adoption démantèlerait la protection des salaires, dégraderait les conditions de travail et isolerait la Suisse, estiment-ils.

L'initiative de l'UDC et de l'Association pour une Suisse indépendante et neutre (ASIN) est une "attaque contre tous les gens qui travaillent", a déclaré le président de l'Union syndicale suisse (USS) Pierre-Yves Maillard. Celle-ci vise selon lui à "substituer aux conventions collectives et au contrôle des salaires une concurrence acharnée de tous contre tous".

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article complet et audios: