Pays-Bas : Cinq jihadistes marocains se voient restituer leur passeport néerlandais

Cinq jihadistes d’origine marocaine privés de leur passeport néerlandais ont été autorisés par le gouvernement à le récupérer, indique le quotidien néerlandais AD. De même, ils ne sont plus considérés comme persona non grata sur le territoire néerlandais.

Selon le média néerlandais NOS, il s’agit de combattants marocains qui ont rejoint des groupes terroristes en Syrie et en Irak. L’un d’eux serait Driss Daouayry. Selon plusieurs sources, il serait mort en Syrie en 2015. Les quatre autres sont Azzedine Benaissa, Benyamine Fadlaoui, Mounir El Kharbachi et Ridouane Öz.

Le secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères de l’époque, Mark Harbers, leur avait retiré leur passeport. Le quotidien néerlandais AD dit ne pas avoir de précisions sur les raisons ayant motivé les autorités à leur rendre leur passeport. La secrétaire d’Etat à la Justice et à la Sécurité, Ankie Broekers-Knol, n’a pas non plus été en mesure de commenter cette décision lundi soir.

Yabiladi.com / Sceptr.net / Nos.nl

Via Voice of Europe

Attentat raté de Notre-Dame : Inès Madani voulait faire « le plus de victimes possibles »

Dans la nuit du 3 au 4 septembre 2016, avec sa co-accusée Ornella Gilligmann, Inès Madani a garé une Peugeot 607 remplie de bonbonnes de gaz dans une rue devant des restaurants, où se trouvaient des dizaines de personnes. Elles ont tenté de la faire exploser ; seul un mauvais choix de carburant a fait échouer leur plan. « La nuit du samedi au dimanche est particulière », a souligné le président Laurent Raviot au cours de l’audience. « Oui, pour la fréquentation », a répondu Inès Madani, 19 ans. Interrogée sur son intention de faire « le plus de victimes possible » a répondu : « Oui, c’était l’objectif. (…) A ce moment-là, je n’avais pas de problème de conscience. »

Inès Madani a chargé Ornella Gilligmann tout au long de son interrogatoire. Les deux femmes s’étaient rencontrées sur internet trois mois plus tôt. Inès Madani se faisait alors passer pour un homme, qu’elle a appelé Abou Jounayb, dont Ornella Gilligmann est tombée amoureuse. (…)

Inès Madani a déjà été condamnée en avril à huit ans de prison pour avoir incité des candidats au djihad à rejoindre la Syrie ou à commettre des attaques en France et en Belgique, entre mars 2015 et juin 2016.

LCI

Via Fdesouche

Suède : Un combattant de l’Etat islamique est revenu en Suède pour se faire soigner avant de retourner en Syrie pour poursuivre son jihad

Khaled Shahadeh, un ancien résident de Göteborg et terroriste de l'Etat islamique, se serait vanté d'avoir reçu un traitement médical de l'État suédois après avoir été gravement blessé lors d'un affrontement avec l'armée syrienne en 2014.

Depuis une prison située à l'intérieur du territoire kurde, Shahadeh, 29 ans, a déclaré à une équipe de ReProduction, une société de presse kurde : "Ils ont soigné les nerfs. Je me suis rétabli. Je me suis marié et je suis revenu ici avec ma femme", raconte le site d'information Expressen.

Au cours de l'entretien, Shahadeh poursuit en disant que lorsqu'il est rentré "chez lui", il a été accueilli à l'aéroport par le personnel de la SÄPO, la police de sécurité suédoise.

"Ils s'inquiétaient un peu de la raison de mon retour en Suède, poursuit Shahadeh.

"Ils ont immédiatement commencé à me poser des questions sur les raisons de mon retour et sur ce que j'allais faire en Suède. Ils m'ont clairement fait comprendre dès le départ que je n'avais rien fait qui violait la loi. Ils ont déclaré qu'il n'y avait aucune loi qui m'interdisait de faire le jihad", a affirmé Sahadeh.

Plus tôt cette année, Thomas Lindén, président du conseil d'éthique de l'Association médicale suédoise, a commenté la question des soins apportés aux terroristes.

Il a déclaré que c'était le besoin médical qui déterminait si un médecin devait ou non fournir des soins, et non la personne concernée.

- Nous fournissons des soins aux pauvres et aux riches, nous fournissons des soins aux meurtriers en prison. Si des personnes doivent être punies, d'autres organismes de la société sont autorisés à le faire. Les soins ne doivent pas faire partie du système pénal.

En 2015, Shahadeh est retourné à l'État islamique en Syrie. Il a admis avoir été témoin d'exécutions massives de prisonniers.

"Certains prisonniers ont été exécutés, d'autres se sont fait couper la tête. C'est la pire chose que j'aie jamais vue de mes propres yeux.

 

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Par Arthur Lyons pour Voice In Europe

Source d'origine : Expressen.se (1) / Expressen.se (2)

 

 

Suède : Un islamiste de retour de guerre demande de l’argent à l’Etat

Les images montrent comment Bherlin Gildo piétine les soldats syriens morts, pose à côté de cadavres et humilie les chrétiens.

À présent, le terroriste suédois réclame des dommages et intérêts aux autorités suédoises, selon lui, pour aider le pouvoir judiciaire britannique.

Bherlin Dequilla Gildo, ou Abu Dhirar Flibbini, est décrit comme le premier terroriste suédois à se rendre en guerre en Syrie. Il faisait partie d'un groupe de djihadistes suédois qui sont devenus plus tard membres de l'organisation terroriste État islamique.

Plusieurs images diffusées sur Internet montrent les actes brutaux de Bherlin Gildo. Il a publié certaines images sur les médias sociaux lui-même.

À l'automne 2014, les Britanniques ont arrêté Gildo et enquêté sur lui parce qu'il était soupçonné d'avoir commis des crimes terroristes. Il a ensuite été libéré en juin 2015 et innocenté à la suite d'une "querelle entre avocats", les services de renseignement ayant "refusé de remettre des preuves", comme l'ont dit les médias britanniques.

Il a ensuite déménagé en Suède, où il a changé de nom et d'adresse. A présent, il demande une compensation pour les allocations qu'il n'a pas reçues lorsqu'il était détenu par les Britanniques [NDLR : il demande 200 000 SEK, soit plus de 20'000 francs suisses].

Bien que Bherlin Gildo ait été privé de liberté et poursuivi en justice au Royaume-Uni, il adresse sa plainte à l'État suédois.

L'expert en terrorisme Magnus Ranstorp a déclaré qu'il s'agit du tout premier cas où un djihadiste suédois exige des dommages-intérêts de l'État. Ranstorp a qualifié les demandes de Gildo de "bizarres".

Magnus Ranstorp a ensuite souligné que les actes terroristes documentés de Gildo en Syrie n’ont eu aucune conséquence juridique.

"Je dirais qu'il est incroyablement ouvert sur ce qu'il a fait là-bas. Les photos qu'il a prises, etc. C'est pourquoi je me demande pourquoi ils n'ont pas ouvert une enquête préliminaire sur les crimes de guerre étant donné ce qu'il a fait ", a déclaré Magnus Ranstorp.

Environ 300 " Suédois " se sont rendus au Moyen-Orient pour rejoindre des groupes terroristes. Aujourd'hui, beaucoup sont rentrés parce que la Suède a l'une des politiques les plus souples de toute l'Europe à l'égard des "rapatriés" jihadistes. En dépit du fait que nombre de ces " rapatriés " ont commis des crimes alors qu'ils se trouvaient au Moyen-Orient, presque aucun d'entre eux n'a fait l'objet de poursuites judiciaires.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Expressen.seVoiceofeurope.com / Rt.com

L’Allemagne admet avoir complètement perdu la trace de 160 fanatiques d’ISIS après leur retour de Syrie

…]

Un nouveau rapport des renseignements publié par le gouvernement allemand révèle que sur les 1 000 Allemands qui s’étaient déplacés pour rejoindre les rangs du groupe islamiste, 350 sont revenus.

Certains d’entre eux se trouvent dans des prisons allemandes, d’autres attendent d’être jugés, mais d’autres ont pu rentrer en Allemagne et y disparaître.

Parmi ceux qui ne sont pas revenus, certains sont décédés, d’autres sont incarcérés dans des prisons kurdes en Syrie et en Irak.

Le rapport indique que les rapatriés [les revenants] pourraient poser un risque de sécurité important.

[…]

…certaines de ces personnes ayant l’expérience du combat et prêtes à commettre des actes de violence, indique le rapport.

[…]

« Leur capacité à se déplacer discrètement dans les pays occidentaux, prédestine les revenants à planifier et à commettre des attentats dans leur pays d’origine. »

Un grand nombre des attaques qui ont frappé les pays occidentaux ces dernières années ont été perpétrées par des personnes qui ont juré allégeance à l’État islamique.

[…]

« Un grand défi pour la Justice allemande »

Une Allemande, identifiée sous le nom de Jennifer W., est actuellement jugée en Allemagne, accusée d’avoir commis des crimes de guerre en tant que membre de l’État islamique.

Elle aurait acheté une fille yézidi de cinq ans comme esclave avant de l’enchaîner à l’extérieur et de la laisser mourir de soif sous l’effet de la chaleur.

Des milliers de femmes et de filles yézidies ont été vendues comme esclaves à des membres de l’Etat islamique lorsque les combattants ont envahi leur pays d’origine, le nord de l’Irak.

L’adolescente allemande Linda Wenzel, qui s’est enfuie de son domicile pour rejoindre l’Etat islamique, a été capturée par des soldats irakiens après que le groupe ait perdu son emprise sur la ville de Mossoul.

En 2018, un tribunal de Bagdad l’a condamnée à six ans de prison.

Steve Alter, un porte-parole du gouvernement allemand, a déclaré que le gouvernement avait du mal à traduire en justice les anciens soldats de l’Etat islamique.

Juger d’anciens combattants en Allemagne s’est avéré difficile par le passé, en raison de l’exigence d’un certain nombre de preuves, tel que des photos ou des comptes de réseaux sociaux, exigé par le droit allemand.

Le parlement allemand a adopté une législation permettant la déchéance de citoyenneté pour les Allemands ayant la double nationalité s’ils rejoignent des milices terroristes étrangères.

L’Allemagne a été la cible d’un certain nombre d’attaques menées ces dernières années par des personnes prêchant allégeance à un État islamique.

En juillet 2016, Mohammad Daleel, un réfugié syrien âgé de 27 ans, a perpétré un attentat-suicide devant un bar à vin dans la ville d’Ansbach.

En décembre de la même année, Anis Amri, un demandeur d’asile tunisien, a lancé [dans la foule] un camion dans un marché de Noël à Berlin, faisant 12 morts et 56 blessés.

Quatre jours plus tard, il a été tué lors d’une fusillade avec la police près de la ville de Milan en Italie.

Frank Jensen, qui écrit sur l' extrémisme pour le journal allemand Der Tagesspiegel, a déclaré à Fox News que chaque détenu devait faire l’objet d’une enquête approfondie en Syrie ou en Irak avant de pouvoir être jugé en Allemagne.

« Le terrorisme islamiste est un danger énorme en Allemagne et beaucoup de gens ne veulent pas qu’ils reviennent », at-il déclaré.

[…]


Traduction Fdesouche d’un article de The Scottish Sun

Allemagne : La justice exige le rapatriement d’une jihadiste et ses trois enfants

C’est une première juridique. Un tribunal allemand vient d’imposer en référé aux autorités allemandes de rapatrier une femme jihadiste et ses trois enfants actuellement dans un camp dans la partie de la Syrie dominée par les Kurdes. Sans imposer un tel rapatriement, le jugement pourrait faire jurisprudence. Plusieurs dizaines de ressortissants allemands partis faire le jihad sont concernés. Comme d’autres pays, l’Allemagne a une politique des plus réservées sur le retour de ces personnes en raison du danger qu’il pourrait constituer.

[…]

Pour la première fois, la justice allemande impose au gouvernement d’organiser le rapatriement de jihadistes. Dans ce cas concret, il s’agit d’une femme originaire de Basse-Saxe et de ses trois enfants mineurs. La famille se trouve actuellement dans un camp en Syrie. Le tribunal a fondé son jugement en recourant au principe constitutionnel imposant à l’État un devoir de protection au profit de ses citoyens.

Berlin ne voulait rapatrier que les trois enfants en raison des conditions humanitaires dans le camp de al-Hol, jugées catastrophiques. En revanche, le ministère des Affaires étrangères ne se sentait pas obligé de rapatrier la mère des enfants.

Le tribunal administratif de Berlin ne tranche pas sur le principe ou non de rapatrier tous les jihadistes allemands, et laisse pour cela aux autorités une large marge d’appréciation. Dans ce cas concret toutefois, les juges ont estimé que le retour des seuls enfants sans leur mère serait dommageable pour ces derniers.

[…]

RFI via Fdesouche.com

La France s’apprêterait à rapatrier des dizaines d’enfants de djihadistes depuis la Syrie

Paris prépare le retour sur le sol français, avec l'accord des mères, des dizaines d'enfants dont les parents avaient rejoint l'EI.

Environ 150 enfants de djihadistes français ont été signalés en Syrie et vont commencer pour certains à être rapatriés en France.

Les enfants, pour la plupart âgés de moins de six ans, ne pourront partir qu'avec l'accord de leur mère, qui elle restera sur place, souligne la source citée.

La France exclut tout retour des adultes, combattants ou épouses, considérées comme des militantes de l'EI, au grand dam des avocats représentant les familles en France. «Ceux qui ont commis des délits ou des crimes en Irak et Syrie doivent être jugés en Irak et Syrie», martèle-t-on au ministère des Affaires étrangères.

«L'exception c'est les mineurs, dont la situation sera examinée au cas par cas. On a un devoir particulier de sauvegarder l'intérêt supérieur de l'enfant», ajoute-t-on.

(...)

Sur les 680 djihadistes français estimés sur le théâtre irako-syrien, plus de 300 sont morts et un petit nombre a rejoint d'autres pays (Afghanistan, Maghreb, Libye), estime Paris. Une partie d'entre eux sont donc toujours sur place.

(...)

20minutes.ch

Alexandre del Valle à Genève : «Coupeurs de têtes, coupeurs de langues: le jihad entre violence et conquête culturelle»

Alexandre del Valle sera à Genève le samedi 17 novembre pour une conférence: «Coupeurs de têtes, coupeurs de langues: le jihad entre violence et conquête culturelle» à 19h, Uni Mail, bd du Pont-d'Arve 40.

Géopolitologue de plus en plus écouté, l’orateur intervient régulièrement sur les chaînes de radio et de télévision francophones. Son savoir, son esprit d’analyse et ses qualités d’orateur l’expliquent. Mais ses positions lui valent bien sûr d’abondants détracteurs. Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont "La stratégie de l'intimidation, du terrorisme djihadiste à l'islamiquement correct".

Alexandre del Valle parlera de ce dernier livre, qui comprend quelque 500 pages copieusement documentées et illustre ce paradoxe: le terrorisme a permis aux musulmans «modérés» d’obtenir pour eux et leur religion un statut extraordinairement privilégié.

Les religieux et leurs ouailles peuvent s’exonérer de tout lien avec le terrorisme tout en faisant l’apologie de la charia, en exhibant leurs symboles archaïques et en exigeant leur acceptation. Voiles et foulards, multiplication des centres et mosquées, activités non mixtes, nourriture «halal», patientes soignées par des femmes dans les hôpitaux, etc. sont présentés comme des droits dont le refus équivaudrait à du racisme. L’islam fait désormais l’objet de la part des démocraties d’une propagande massive et d’un prosélytisme surréaliste. La barbarie conduit, multiples intimidations à l’appui, à cet énoncé: l’islam est une belle religion, tolérante et pacifique…

L’intimation au padamalgame et la lutte délirante contre ceux qui s’avisent de mettre en cause cette religion sont liés à un mot inventé pour la cause, et qui connait une fortune immense, l’islamophobie. Critiquer rationnellement les textes qui légitiment le prosélytisme guerrier, les discriminations religieuses et la misogynie est désormais assimilé à une offense envers les musulmans.

Médias, élites politiques et culturelles ont souscrit avec une attitude toute pavlovienne au mot islamophobie et ont placé les balises de l’islamiquement correct. Il est périlleux socialement de rappeler la vision suprémaciste de l’islam fondée sur le règne de la charia et du califat. Il est dangereux de faire observer que le monde musulman dans son ensemble retourne à l’orthodoxie et devient de plus en plus intolérant et violent. A l’échelle planétaire, de puissants lobbies islamiques utilisent cette stratégie d’intimidation avec constance et succès, tandis que l'Occident octroie une liberté sans limite à ces idées, ces ouvrages, ces imams. La police de la pensée sévit avec une efficacité croissante.

Mireille Vallette

Une place importante sera réservée aux questions du public lors de cette soirée qui s’annonce passionnante. Le livre sera en vente après la conférence et l’auteur se prêtera au jeu des dédicaces.

Organisation: Association suisse vigilance islam

Suède : L’église et la radio passent sous silence les menaces de Jihad contre une église

Récemment, une autre église en Suède a été exposée à une attaque de haine musulmane. Une ou plusieurs personnes ont répandu des messages haineux et menaçants sur l'église d'Alhem à Skellefteå.

Sur les murs blancs, des messages de haine ont été pulvérisés à l’encre noire, y compris «jihad» et «mort».

 

Selon les journaux suédois locaux, la police est au courant de l'incident et affirme être particulièrement préoccupée par les attaques de haine contre les églises chrétiennes.

Le vandalisme anti-chrétien a été absent de presque tous les médias suédois. On peut supposer que c'est effort pour maintenir le politiquement correct.

A présent, l'église de Suède et la radio suédoise ont mentionné le vandalisme, mais n'ont pas précisé dans quelle église cela s'est produit ou la nature anti-chrétienne explicite du vandalisme.

En mai de cette année, l’église St. Olov a été vandalisée avec le mot «Jihad» écrit sur l’église. Les photos ont été initialement publiées par le radiodiffuseur national suédois SVT après l'indignation des résidents locaux, mais ont été supprimées peu après.

 

 

Ce fait a été jugé «trop sensible» pour le public. Cette même église a expliqué le vandalisme anti-chrétien en disant que le mot «Jihad» était un «griffonnage commun». Le Jihad est bien sûr un terme utilisé dans les textes islamiques pour décrire le désir de la guerre sainte.

 

Samnytt.se / Voice of Europe

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Des jihadistes probablement affiliés à l’État islamique ont pris le contrôle d’une ville dans le nord du Nigéria

Depuis 2015, l’action de la Force multinationale mixte (FMM), composée de troupes fournies par le Nigéria, le Tchad, le Niger et le Cameroun, a permis de faire reculer le groupe jihadiste Boko Haram, lequel s’est scindé en deux factions, l’une étant toujours dirigée par son chef historique, Abubakar Shekau, l’autre étant commandée par Abou Mosab al-Barnaoui, adoubé l’État islamique (EI ou Daesh).

Seulement, la lutte contre la mouvance jihadiste ne souffre d’aucune faiblesse. Le retrait des soldats tchadiens de la FMM, les allégations de violations des droits de l’homme qui finissent par compromettre le recueil de renseignements, l’absence de stratégie globale contre Boko Haram ou encore la corruption au sein des forces armées nigérianes, dont le moral n’est d’ailleurs pas au beau fixe, font que les jihadistes ont repris de la vigueur, en particulier ceux se réclamant de l’EI.

Pour les Nations unies, la faction de Boko Haram dirigée par al-Barnaoui, appelée « Province d’Afrique de l’Ouest de l’État islamique » (ISWAP), passe désormais pour la « principale menace de l’EI en Afrique de l’Ouest », étant donné sa « taille » et ses « ressources financières. » Qui plus est, cette organisation, très bien armée, met en application des tactiques nouvelles auxquelles les forces nigérianes n’ont à présent pas su apporter de réponses.

Ces dernières semaines, l’ISWAP a multiplié les attaques contre les bases tenues par l’armée nigériane, infligeant à ces dernières de lourdes pertes. Et, le 8 septembre, selon des responsables locaux et des sources sécuritaires citées par l’AFP, ce groupe jihadiste s’est emparé de la ville de Gudumbali, située dans la région de Guzamala (État de Borno, ndlr), après s’être attaqué à une base censée défendre cette dernière.

« Il est vrai que Boko Haram a pris Gudumbali ce matin (08/9) après avoir expulsé les soldats des facilités militaires de la ville », a en effet confirmé un responsable local de Guzamala. « Ils contrôlent complètement la ville et les facilités militaires », a-t-il insisté.

« Les terroristes ont attaqué la base vers 19h50 (le 07/09) et ont livré bataille intensément juqu’aux première heures de samedi, quand les soldats ont été forcés de se retirer », a indiqué une source militaire.

Un milicien a raconté à l’agence Reuters que les assaillant étaient « arrivés sur des motos et des pick-up équipés d’armes antiaériennes » tandis que d’autres ont tiré des roquettes. « Ils sont arrivés en ville en tirant des coups de feu de manière sporadique. Ils ont dit que les personnes innocentes pouvaient quitter la ville si elles le voulaient ou qu’elles pouvaient rester parce qu’elles n’étaient pas leurs cibles », a-t-il témoigné.

La semaine passée, l’ISWAP avait attaqué la base de Zari, située entre la frontière du Niger et le bassin du lac Tchad. Selon un bilan officieux, au moins 48 soldats nigérians auraient été tués. En réponse, la force aérienne nigériane a effectué plusieurs frappes aériennes contre des sites logistiques présumés de « Boko Haram » [Abuja ne fait pas la distinction entre les deux factions, ndlr], dans la forêt de Sambisa, avec des Alphajet et deux hélicoptères de combat Mi-35M.

S’agissant de la situation à Gudumbali, l’état-major nigérian a assuré, ce 9 septembre, que tout était rentré dans l’ordre, après l’envoi de troupes appartenant à une brigade de la 82e division et à un « bataillon de la force d’intervention. » Cependant, cette information n’a pas été confirmée de manière indépendante.

« Les membres de la communauté de Gudumbali et les autorités locales de Guzamala en général sont invités à rester calmes et résilients alors que les troupes de l’opération Lafiya Dole luttent inlassablement contre les terroristes. Ils leur est également demandé de maintenir un haut niveau de vigilance et de surveiller les visages étranges pour empêcher les terroristes de Boko Haram de s’infiltrer dans leurs communautés », a fait valoir l’armée nigériane, via un communiqué.

Quoi qu’il en soit, ce n’est pas la première fois que la ville de Gudumbali tombe aux mains des jihadistes. Cela avait en effet été le cas en 2014… Il avait fallu deux ans à la Force multinationale mixte pour les en déloger.

Source

Après un an de silence, le chef de l’Etat islamique refait surface et appelle à poursuivre le djihad

Abou Bakr al-Baghdadi refait surface. Dans un enregistrement diffusé ce 22 août par son agence de propagande Amaq, le chef de l'Etat islamique enjoint ses partisans, en difficulté en Syrie et en Irak, à continuer le combat contre «leurs ennemis».

Le chef de l'Etat islamique (EI) Abou Bakr al-Baghdadi a appelé ses partisans à poursuivre le «djihad» dans un message diffusé ce 22 août via son agence de propagande Amaq sur la messagerie Telegram. Il s'agit du premier enregistrement qui lui est attribué en près d'un an.

Son message, diffusé à l'occasion de l'Aïd al-Adha, la fête musulmane qui marque la fin du grand pèlerinage à La Mecque, intervient alors que l'EI a été défait en Syrie par les forces gouvernementales et ses alliés russes et iraniens, ainsi que par les forces occidentales.

«Ceux qui oublient leur religion, la patience, le djihad contre leurs ennemis et leur certitude dans la promesse du Créateur s'effondrent et tombent. Ceux qui s'y tiennent sont fiers et victorieux même après un certain temps», y affirme celui qui est présenté par un message de propagande, au début de l'enregistrement de près de 55 minutes, comme Abou Bakr al-Baghdadi.

Le dernier enregistrement présumé du chef de l'EI remonte au 28 septembre 2017. Dans celui-ci, il appelait déjà ses combattants, pourtant déjà acculés de toutes parts en Syrie et en Irak, à «résister» face à leurs ennemis. A peine quelques mois auparavant, l'organisation terroriste avait perdu sa «capitale» en Irak, la ville de Mossoul.

Abou Bakr al-Baghdadi en Syrie ?

Abou Bakr al-Baghdadi, donné pour mort par le passé, serait encore vivant et se trouverait en territoire syrien, le long de la frontière avec l'Irak, ainsi que l'affirment des responsables irakiens. C'est à Mossoul, deuxième ville d'Irak, qu'Abou Bakr al-Baghdadi a fait sa seule apparition publique connue, en juillet 2014, à la mosquée al-Nouri, détruite en juin 2017 avec son célèbre minaret penché.

En juin 2017, la Russie avait dit avoir probablement tué Abou Bakr al-Baghdadi dans un raid de son aviation près de Raqqa, l'ex-capitale du groupe, en Syrie. Selon Moscou, le raid avait eu lieu fin mai. La Russie avait ensuite souligné qu'elle continuait de vérifier s'il était bien mort. Trois mois plus tard, un haut responsable militaire américain avait affirmé que le chef de l'EI était sans doute encore en vie et se cachait probablement dans la vallée de l'Euphrate, dans l'est de la Syrie.

RT

Des Peuls au Nigéria : « Nous commettons le jihad au nom d’Allah »

Voici longtemps que nous soutenons que les Peuls (ou Fulanis chez les anglophones) sont désormais plus dangereux pour les chrétiens que Boko Haram. Il est heureux, si puis-je dire, qu’on commence à s’en rendre compte ailleurs que sur l’Observatoire de la christianophobie

En juin dernier, le New York Times rapportait que plus de 300 000 personnes avaient été déplacées suite aux attaques des Peuls. En 2018, plus de 500 personnes ont été tuées, le plus souvent au milieu de la nuit, après avoir été piégées dans leurs maisons incendiées. Les rivalités ethniques entre bergers et agriculteurs ont pour objet les terres agricoles et sont ancestrales au Nigéria, mais selon les observateurs, leur intensification serait liée à la montée de l’islam radical. Un groupe national peul a d’ailleurs revendiqué deux attaques à la fin du mois de juin, déclarant : « Nous commettons le jihad au nom d’Allah ». Interrogé par MNN, Todd Nettleton de Voice of [the] Martyrs raconte : « Les Peuls sont un groupe tribal et nous ne disons pas que tous attaquent les chrétiens. Il y a au sein du groupe tribal peul des musulmans radicaux qui attaquent les chrétiens et tentent de prendre des territoires. » Et il semblerait qu’une nouvelle donnée entre désormais en jeu. Certains militants du groupe Boko Haram qui a été « attaqué, repoussé et limité », assisteraient désormais les Peuls qui mettraient en place eux-mêmes les stratégies de Boko Haram.

Source : Info Chrétiennes, 14 août

Via Christianophobie.fr

Irak : des policiers allemands ont « libéré » secrètement d’une prison, deux djihadistes allemandes de Daesh

Selon le magazine d’information FOCUS, l’Office fédéral de la police criminelle (BKA) a, fin avril, libéré de la prison d’Erbil (nord de l’Irak) et ramené en avion à Francfort deux femmes allemandes suspectées d’être des combattantes de la milice terroriste EI. Les deux femmes ont dû y être surveillées 24 heures sur 24 en raison de leur dangerosité. Il n’y avait pas encore à ce moment de mandat d’arrêt de la Cour suprême fédérale.

Cet événement a provoqué, selon FOCUS, une brouille diplomatique, le gouvernement central irakien de Bagdad n’ayant pas été informé de l’exfiltration des deux femmes allemandes et se sentant floué.

Les policiers du BKA chargés de la sûreté de l’État n’obtiennent plus de visa depuis cet incident. Dans le passé, ils avaient le droit d’entrer en Irak pour procéder à des interrogatoires de membres de l’EI pour le compte du procureur fédéral de Karlsruhe.

(Traduction Fdesouche)

Focusl

L’imam danois appelle à la solution finale: «Le djihad nécessite l’invasion et la conquête musulmanes de l’Europe» (Vidéo)

L'imam Mundhir Abdallah, de la mosquée Masjid Al-Faruq à Copenhague, appelle à une nouvelle conquête islamique de l'Andalousie, des Balkans et de Rome, pour accomplir la promesse du prophète Mahomet.

 

 

 

"Le Jihad nécessite l'invasion musulmane et la conquête de l'Europe", Abdallah a déclaré à ses disciples que "la solution finale au problème du Levant - après la création du califat et l'élimination de l'entité juive - passera par la conquête de l'Europe".

Les Juifs «hâtent leur propre anéantissement par leur violence, leur crasse et leur bassesse, qui reflètent la nature immuable des Juifs.» L'Imam a ajouté qu'il n'est «pas raciste» mais que cela « a à voir avec le caractère juif et la psyché, avec cette mentalité juive malade. »

Le message vidéo a été publié en 2017 mais a été rendu public et traduit par l'Institut de recherche des médias du Moyen-Orient (MEMRI) une semaine après que l'imam ait été accusé de discours de haine pour avoir appelé à tuer des Juifs.

Dans la vidéo, il expose un plan qui permettrait aux musulmans de conquérir l'Europe entièrement et de porter un coup final à la "bassesse" du peuple juif.

(...)

 

Voice of Europe

 

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Rappel:

Danemark : un imam inculpé pour avoir appelé au meurtre des juifs (Vidéo)

Suisse multiculturelle : Abu Wael al-Swissri, d’origine bosnienne, s’est radicalisé à la mosquée de Lausanne

Cet article concerne le mari de Selina dont vous pouvez lire l'article ici et l'analyse de Cenator dans cette publication.

C'est donc ce dogme islamique qui devrait être reconnu en tant que "religion" par le canton de Vaud selon Gemperli et le parti socialiste.

**********

 

Le Suisse aux racines bosniennes explique s'être converti à l'islam en 2013. Il dit s'être radicalisé après avoir rencontré des extrémistes bosniens à Lausanne, plus précisément dans la mosquée de Prélaz. Comme de nombreux autres membres de l'Etat islamique désormais prisonniers, il assure être une victime, une personne naïve.

En 2015, il a épousé sa femme Selina*, une Suissesse aux racines bosniennes elle aussi. Tout comme lui, elle vivait à Lausanne.

Des documents saisis en janvier 2017 par l'armée irakienne à Mossoul confirment du moins en partie la version livrée par A. Selon ces documents, le Lausannois aurait justifié son refus de combattre en avançant des problèmes à un genou. Or les papiers indiquent aussi qu'A. est capable de manier des lance-roquettes et des mitrailleuses. Lui avait pourtant assuré à nos confères qu'il savait uniquement se servir d'une kalashnikov. Interrogé à ce sujet, Abu Wael al-Swissri répond: «J'ai de gros trous de mémoire depuis que j'ai rejoint l'EI. Mais je suis certain que je n'ai jamais tué personne.»

(...)

Source et article complet

 

Rappels :

Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

Le socialiste Alain Berset veut agir avec fermeté et rapidité contre le racisme des Suisses. « La diversité est une richesse pour la Suisse. »

Le Suisse arrêté pour terrorisme fait partie d’un réseau balkanique salafiste romand

Suisse. Lutte contre le terrorisme islamiste: le PS critique l’assignation à domicile

Suisse: L’islamiste bosniaque et son épouse ont bénéficié entre 150’000.– et 200’000.– d’aide sociale. A cela s’ajoutent les primes de caisse maladie également payées.

Suisse: Un islamiste préparait un attentat. Condamné trop sévèrement selon le Tribunal, il se trouve en liberté.

En Suisse, il restera autorisé d’être «sympathisant» de l’Etat islamique. Pour le gouvernement « il ne faut pas réprimer les convictions islamistes ».

Terrorisme djihadiste : l’Irak lance une vague massive d’exécutions capitales

Jeudi soir, le Premier ministre irakien a ordonné l’exécution immédiate des centaines de jihadistes condamnés à mort. Treize d’entre eux ont été pendus dans la nuit.

Un signal fort pour calmer la colère d’une population replongée dans les cauchemars d’un passé qu’elle pensait révolu. Le Premier ministre irakien a ordonné jeudi soir l’exécution immédiate des centaines de jihadistes condamnés à mort, en représailles à l'assassinat de huit civils par le groupe Etat islamique (EI). Ce vendredi matin, on apprenait que treize terroristes condamnés avaient été pendus dans la nuit.

13 pendaisons dans la nuit, et les photos publiées

«Ces exécutés ont été condamnés conformément à la loi antiterroriste. Ils avaient participé à des opérations armées avec des groupes terroristes, à des rapts, à des attentats à la bombe et au meurtre de civils », a précise le ministère de la Justice. La Primature avait pris soin d’indiquer que les jugements concernant ces condamnés avaient acquis un degré décisif - ce qui signifie que leur appel a été rejeté et la peine capitale ratifiée par la présidence.

Ces exécutions ont eu lieu par pendaison à la prison de Nassiriya, dans le sud de l'Irak. Le nom de cette prison est al-Hout (le requin) car quand on y rentre, on ne sort que mort, expliquent ironiquement les condamnés. Le ministère de la Justice a publié des photos des pendaisons. Sur l'une d'elles apparaissent des hommes assis au sol avant l'exécution, les yeux bandés et les mains menottées. Une autre montre les condamnés pendus à l'intérieur de la prison.

300 condamnés à mort au total

Au total, c’est plusieurs centaines de détenus qui sont visés par cet ordre d’exécution. Plus de 300 personnes, dont une centaine d'étrangères, ont en effet été condamnées à mort en Irak, et autant d'autres à la prison à perpétuité, pour appartenance à l'EI, avait-on indiqué en avril de source judiciaire. La plupart des condamnées sont Turques ou originaires des anciennes républiques de l'Union soviétique. En 2017, au moins 111 personnes avaient été pendues. En 2018, l'Irak avait déjà procédé à l'exécution de 13 personnes, dont 11 condamnées pour « terrorisme ».

Calmer la colère de la population

Ces exécutions interviennent deux jours après la découverte des corps de huit Irakiens enlevés par l'EI, qui avait diffusé une vidéo d'hommes au visage tuméfié en annonçant leur mort prochaine si des femmes jihadistes n'étaient pas libérées par Bagdad. Cette vidéo constitue le premier chantage public des jihadistes sur les autorités depuis que les forces irakiennes ont chassé le groupe de toutes ses places fortes, en décembre dernier.

Critiqué sur les réseaux sociaux pour son manque de réaction après la découverte des cadavres, le chef du gouvernement Haier al-Abadi, désireux d'être reconduit après les élections du 12 mai, a donc choisi une réponse ferme.

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Trois djihadistes suisses retenues en Syrie

Au moins trois femmes affiliées à Daech, deux de la région de Bienne et une de Lausanne, sont entre les mains des milices kurdes.

Des «ressortissants suisses qui résidaient auparavant sur le territoire de l''Etat islamique', sont détenus en Syrie», a déclaré le DFAE, interrogé par Keystone-ATS. Tamedia/Newsnet, ainsi que l'émission «10vor10» de la SRF, avait rapporté que trois Suissesses, étaient aux mains des forces kurdes. Deux seraient originaires de Bienne et une de Lausanne.

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Un haut responsable de l’ONU: “L’Etat islamique tente de fomenter une vague de migration à partir de l’Afrique vers l’Europe pour s’infiltrer.”

Les commandants de l'État islamique fuyant la Syrie conspirent avec des groupes extrémistes en Afrique pour fomenter et infiltrer une nouvelle vague migratoire destinée à l'Europe, a déclaré le chef du Programme alimentaire mondial des Nations Unies.

David Beasley, un ancien gouverneur républicain de la Caroline du Sud, a déclaré que l'Europe devait se réveiller face à la stratégie des extrémistes dans la région du Sahel.

Ceux qui ont été expulsés de Syrie se sont unis avec des groupes terroristes locaux pour utiliser le manque de nourriture à la fois comme un outil de recrutement et un moyen de pousser des millions d'Africains vers l'Europe, a-t-il dit.

Se confiant au Guardian lors d'une visite à Bruxelles pour un sommet syrien de deux jours, Beasley a déclaré: "Vous allez faire face à un phénomène semblable à ce qui s'est passé il y a des années, sauf que vous allez avoir davantage d'Etat islamique et de groupes extrémistes infiltrant l'immigration

"Ce que nous retenons, c'est qu'ils s'associent à des groupes extrémistes comme Boko Haram et Al-Qaida pour diviser le territoire et les ressources et continuer à s'infiltrer et à déstabiliser dans l'espoir de créer une migration vers l'Europe dans laquelle ils peuvent s'infiltrer.

"Si vous pensez que vous avez un problème avec une nation de 20 millions de personnes comme la Syrie en raison de déstabilisation et de conflits entraînant des migrations, attendez que la grande région du Sahel avec 500 millions de personnes soit déstabilisée.

Et c'est ici que la communauté européenne et la communauté internationale doivent se réveiller."

Une campagne de quatre ans contre l'Etat islamique a détruit une grande partie du groupe, le confinant à une étendue de terre dans la vallée de l'Euphrate près de la frontière avec l'Irak et décimant les villes de Raqqa et Deir ez-Zor. Mais les responsables impliqués dans la campagne affirment qu'au moins 2 200 combattants restent retranchés dans l'est de la Syrie.

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

Rappel:

Août 2015. Lorsque les médias nous prenaient pour des imbéciles : « Non, les terroristes de Daech ne s’infiltrent pas parmi les migrants »