Comme des centaines d’autres Malgaches, Mélanie, 22 ans, avait émigré en Arabie saoudite pour y travailler comme aide domestique. Le 15 mars, une vidéo montrant l’enterrement de la jeune femme, le corps recouvert à l’aide d’une pelleteuse, dans un cimetière non-musulman dans l’est du pays a choqué à Madagsacar, où les rites d’inhumation sont sacrés. Des associations dénoncent un trafic humain meurtrier des travailleuses d’Afrique de l’Est dans ce pays du Golfe.
Le 15 mars, une association franco-malgache a alerté notre rédaction à propos de cette vidéo, filmée le 11 mars à Al-Jubail, ville de la côte est saoudienne. On y voit une inhumation se déroulant au cimetière de Jubai, l’un des rares cimetières non-musulman du pays.
Le prédicateur suisse, mis en examen pour viols, se lance dans la chanson anticolonialiste. Son album « Traversées » doit sortir en mai.
En septembre 2019, mis en examen pour viols en France et en Suisse, Tariq Ramadan réglait ses comptes avec ses accusatrices et avec la justice française dans un livre intitulé Devoir de vérité. Le prédicateur est de retour, mais cette fois, c'est par la chanson qu'il s'en prend à l'Occident, coupable à ses yeux de tous les crimes. Dans une vidéo de huit minutes, accessible sur la plateforme YouTube et intitulée Qu'est-ce que vous croyez ?, l'ancien professeur d'études islamiques contemporaines à Oxford annonce que le monde blanc, qui a préféré « l'argent et la guerre », bientôt tremblera de peur. « Vous allez perdre vos privilèges et votre identité. Vous serez sauvagement remplacés », lâche-t-il. La sortie de l'album, baptisé Traversées, est attendue le 29 mai, juste après la fin du Ramadan.
Une jeune femme de 18 ans aurait projeté une action violente visant une église de Montpellier. Elle a été arrêtée avec quatre autres femmes dans la nuit de samedi à dimanche et une enquête préliminaire a été ouverte pour « association de malfaiteurs terroriste ».
Cinq femmes, dont l’une soupçonnée de vouloir commettre un attentat, ont été interpellées à Béziers, a-t-on appris de sources proche de l’enquête et judiciaire, confirmant une information du Point.
(...)
Une seule des interpellées était soupçonnée de vouloir commettre une action violente. Selon nos informations, cette jeune femme, âgée de 18 ans, aurait eu pour projet une action violente visant les fidèles d’une église de Montpellier (Hérault), avec un passage à l’acte imminent. Du matériel pouvant servir à fabriquer de l’explosif a été retrouvé sur place.
Et si Jésus n’avait jamais été crucifié, mais qu’un autre avait pris sa place sur l’infâme croix? C’est l’hypothèse à laquelle adhère la majorité de la communauté musulmane, Jésus détenant en islam un statut tout particulier. Explications avec l’islamologue français Guillaume Dye, qui a codirigé l’ouvrage «Le Coran des historiens» (Éd. Cerf, 2019).
(...)
Entre l’hypothèse d’un sosie ou d’une illusion collective, laquelle a été retenue par la tradition?
L’interprétation la plus courante en islam opte pour l’idée d’un sosie – on évoque souvent Judas, que Dieu aurait transformé en sosie de Jésus pour qu’il soit ainsi crucifié à sa place et puni de sa trahison. Mais ce n’est pas la seule lecture.
L'article est écrit par Anne-Sylvie Sprenger, du site de l'agence de presse protestante Protestinfo.
Pendant que cette protestante préfère propager la vision de l'islam un dimanche de Pâques (pense-t-elle un seul instant qu'un imam en ferait de même lors du Ramadan?) :
Chercheurs au Centre européen d’études sur la Shoah, l’antisémitisme et le génocide, les Belges Joël Tournemenne et Joël Kotek (par ailleurs politologue à l’ULB) ont publié à la Fondation Jean Jaurès une étude commencée il y a deux ans. Réalisée auprès de 1 672 jeunes, dans 38 écoles secondaires francophones bruxelloises, ils en tirent une double conclusion. Globalement, les jeunes se montrent plus libéraux et progressistes, moins racistes et moins antisémites que leurs aînés. Tous ? Non : pas les jeunes croyants, et principalement les jeunes qui se disent musulmans. Ces derniers auraient "trois fois plus de préjugés judéophobes, homophobes, sexistes que les non-croyants". Les chercheurs postulent donc l’existence d’un "effet religion" dans la représentation de l’autre.
(...)
Vous évoquez le déni de la société belge face à cette jeunesse en décalage avec les valeurs libérales qu’elle prône. D’où viendrait ce déni ?
J.K. Du fait que la vérité que nous soulignons est dérangeante. Il y a donc des raisons électorales qui poussent les partis progressistes à ne pas évoquer ce décalage, tant ils sont soucieux de maintenir le contact avec leur électorat musulman. Notre étude met également à mal la vulgate intersectionnelle qui pose les "Blancs" en racistes invétérés, et postule une sorte de solidarité intrinsèque entre les diverses minorités qui cohabitent au sein de notre société. Or, ce que nous constatons est un net recul des préjugés racistes chez les assignés "blancs", et au contraire une prégnance homophobe, sexiste et raciste chez les jeunes qui se réclament de l’islam. Les récentes mesures homophobes et sexistes adoptées tout récemment en Turquie témoignent par l’absurde de l’absurdité des thèses intersectionnelles.
(...)
Vous prenez le contre-pied de sociologues avançant que les causes du sexisme ou de l’antisémitisme sont principalement dues à des facteurs socio-économiques. Pour vous, ils sont plutôt dus à des représentations culturelles et religieuses. Mais ces facteurs ne sont-ils pas liés ?
J.T. Ce que dit en effet notre étude, c’est que s’agissant de l’antisémitisme, du sexisme ou encore de l’homophobie, ce sont bien moins les facteurs socioéconomiques que les représentations culturelles et religieuses qui déterminent l’opinion. Il faut souligner que nos données statistiques rejoignent les conclusions de toute une série d’études européennes comparables, comme celles par exemple du sociologue néerlandais Rudd Koopmans, des Français Anne Muxel et Olivier Galland, des Allemands Günther Jikeli, Jürgen Mansel et Viktoria Spaiser et évidemment du Belge Mark Elchardus. Nous arrivons tous aux mêmes conclusions, c’est-à-dire que le facteur religieux prédomine sur les autres, sans pour autant totalement les annuler.
IOWA CITY – Les étudiants et les enseignants n’auront pas à se présenter à l’école le jour de la fête musulmane de l’Aïd al-Fitr l’année prochaine après que le conseil scolaire de l’Iowa City ait accepté de le reconnaître comme un jour férié dans le calendrier scolaire.
Reem, 13 ans, élève de huitième au Northwest Junior High, a commencé à préconiser de faire de l’Aïd un jour férié en écrivant une lettre au directeur.
Une pétition créée cette année par Reem sur change.org pour sensibiliser et soutenir l’absence d’école à l’Aïd pour les écoles de l’Iowa City a plus de 5 000 signatures.
Le surintendant Matt Degner a déclaré que les futurs calendriers incluraient toujours l’Aïd comme une journée sans école.
La journée sera ajoutée à la fin de l’année scolaire, déplaçant la remise des diplômes au week-end du Memorial Day, a déclaré Degner.
Ruthina Malone, membre du conseil scolaire, a déclaré que certaines personnes pourraient s’inquiéter de savoir «où cela se terminera-t-il?» lors des vacances sans jours d’école.
«Cela n’intègre pas chaque jour férié, mais je pense qu’il est important de faire ce travail car nos populations continuent de changer», a-t-elle déclaré. «Je ne pense pas que le travail changera ou s’arrêtera jamais.»
Reem demande aux gens de réfléchir à ce que ce serait de se réveiller le matin de Noël, de courir en bas avec excitation, d’ouvrir des cadeaux, puis d’aller à l’école.
«Cela n’arriverait jamais, mais pour de nombreux élèves musulmans du district scolaire communautaire de l’Iowa City, c’est ce qu’on leur demande chaque année que l’Aïd tombe à l’école», a écrit Reem sur la pétition de change.org.
L’ajout de l’Aïd comme jour férié dans le calendrier scolaire est une tendance nationale croissante au cours des dernières années.
D’autres États ont accordé cette demande, y compris New York, qui a déclaré que la reconnaissance de l’Aïd favorise l’acceptation et l’égalité.
Quatre mois après l'attentat terroriste de Vienne, la recherche d'éventuels cerveaux se poursuit. La théorie de l'agresseur isolé est de plus en plus remise en question.
Ça se lit comme le scénario d'un film d'espionnage bon marché. 58 pages densément écrites avec des dizaines d'enregistrements brefs et des photos de caméras de surveillance. Des images montrant deux jeunes hommes sur le parking de l'aéroport K3 de Vienne, agenouillés pour la prière islamique. Ils sont pris en charge par un groupe de jeunes hommes et amenés à Vienne.
[...]
Le rapport est le protocole de surveillance complet de la réunion d'extrémistes allemands, suisses et autrichiens début juillet 2020, désormais connue sous le nom de "réunion islamiste". Toutes les personnes étaient connues des autorités, certaines ont également fait de la prison, ont été classées comme islamistes radicaux. Pendant cinq jours, la réunion a été surveillée par le service de renseignement intérieur.
Figure centrale : le futur assassin qui, à peine quatre mois après cette réunion, a tué quatre personnes et en a blessé grièvement d'autres lors d'une attaque terroriste à motivation islamiste dans le centre de Vienne le 2 novembre de l'année précédente. Chaque minute, chaque mouvement et chaque action - depuis l'arrivée jusqu'au départ des visiteurs étrangers - ont été enregistrés et méticuleusement consignés par le BVT [NDLR : Office pour la protection de la Constitution et la lutte contre le terrorisme] pendant des jours. Plusieurs officiers du BVT ont été affectés à la surveillance.
Réunion des islamistes à Vienne
La réunion des islamistes, mais aussi la surveillance, ont été portées à la connaissance du public quelques jours déjà après l'attentat. Le BVT a dû admettre que le terroriste et d'autres islamistes ont fait l'objet de plusieurs jours de surveillance. Au début de l'été 2020, des collègues allemands avaient averti les autorités autrichiennes que deux islamistes présumés étaient en route pour Vienne.
Selon les informations du SPIEGEL, les enquêteurs allemands s'attendaient en fait à ce que les deux hommes rendent visite à un islamiste du nord de l'Allemagne, classé comme personne dangereuse et résidant à Vienne depuis janvier 2020. Le BVT a envoyé une équipe se surveillance à l'aéroport - et a découvert que les deux visiteurs de Vienne avaient été pris en charge par l'individu qui allait commettre l'attentat. Afin d'observer un éventuel "réseau intra-européen" d'extrémistes ayant des "liens avec l'Etat Islamique", les enquêteurs se sont focalisés sur le groupe durant plusieurs jours.
L'ampleur de ces surveillances était toutefois inconnue jusqu'à présent. Le site PULS 24 possède environ 2 000 pages de dossiers concernant les enquêtes sur le terrorisme. Le rapport de surveillance complet révèle les nouveaux aspects et les omissions des autorités.
Quatre mois après l'attentat, les enquêtes des autorités battent toujours leur plein. Les questions les plus importantes concernant l'attentat dans le centre-ville de Vienne sont toujours sans réponse. Les enquêteurs travaillent à plein régime pour déterminer s'il y avait des complices, des mandants ou des commanditaires de l'attentat, et si d'autres attentats auraient dû avoir lieu en Suisse ou en Allemagne. On ne sait apparemment pas encore où le terroriste s'est procuré des armes et des munitions. Le BVT, ainsi que le ministère public, ne divulguent pas les résultats provisoires de l'enquête et gardent le silence aux demandes de renseignements.
Pas de loup solitaire
Tout comme les autorités allemandes et suisses, les initiés du BVT doutent toutefois de plus en plus de la théorie du "loup solitaire" (le fait que le terroriste a planifié et exécuté son crime seul). "Il doit au moins avoir des confidents, comme en témoignent les nombreuses réunions et les nombreux contacts avec des islamistes connus qu'il a eus des mois et des semaines avant l'attentat", déclare un responsable du BVT qui préfère rester anonyme.
Le seul fait indiscutable est qu'aucun autre agresseur n'a été impliqué dans l'attentat. C'est ce que prouve l'analyse de milliers de vidéos de téléphones portables et d'enregistrements de caméras de surveillance.
La surveillance soulève d'autres questions. Il est incompréhensible que celui qui allait commettre l'attentat n'ait pas été interrogé sur les visiteurs allemands et suisses qui ont également passé la nuit avec lui. Le terroriste, déjà condamné, avait bénéficié d'une libération conditionnelle anticipée, était sous surveillance et devait suivre un programme de déradicalisation. Sur les photos, l'assassin semblait familier avec les visiteurs étrangers, il les connaissait apparemment depuis un certain temps.
Mise en garde de l'étranger
Les deux Allemands, un jeune homme de 19 ans d'Osnabrück et un autre de 25 ans de Kassel, ont été classés comme islamistes par les autorités de sécurité allemandes il y a quelque temps. L'un d'entre eux aurait fait partie d'un groupe de discussion dans lequel de la propagande de l'EI était diffusée. L'autre était soupçonné de vouloir rejoindre l'Etat islamique en Syrie. Cependant, la procédure a été abandonnée. Après l'attentat, des perquisitions ont été effectuées en Allemagne, mais officiellement les islamistes allemands ne sont pas considérés comme des suspects. Ils sont répertoriés comme des témoins.
A contrario des deux Suisses : ils ont été placés en détention immédiatement après l'attentat dans leur pays d'origine.Les deux islamistes avaient déjà été impliqués dans des procédures pénales. L'accusation reproche à l'homme le plus âgé d'avoir, avec d'autres islamistes, détenu et menacé deux hommes dans une mosquée de Winterthour en 2016. Il les considérait comme des espions qui avaient transmis des informations de la mosquée à un journaliste. Cependant, contrairement à d'autres personnes, il a été acquitté. Le deuxième visiteur de Vienne a été accusé de soutien au terrorisme en Suisse, mais a été acquitté en 2018. Les autorités soupçonnent tous deux d'être directement impliqués dans l'attaque terroriste de Vienne. Ils font l'objet d'une enquête pour "actes criminels de préparation d'un meurtre et pour complicité de meurtre", écrit la NZZ, citant le ministère public fédéral suisse. La présomption d'innocence s'applique à toutes les personnes citées.
[...]
(Traduction libre Schwarze Rose pour LesObservateurs.ch)
Les combattants de l’Etat Islamique se sont infiltrés en se faisant passer pour des réfugiés :
#Mozambique vidéo des jihadistes de l’#EI on remarque des prises à #MacimboaDaPraia plus au sud que l’EI contrôle depuis août 2020. Il semblerait que ce sont les préparatifs avant l’offensive ou un mélange d’images avant et après pic.twitter.com/uuN44DM6yc
— SITE Intel - Jihadist Threat (@siteintel_jt) March 29, 2021
[…] Dans un communiqué publié sur l’un des sites de propagande de l’EI sur Telegram, le groupe djihadiste a déclaré avoir visé«des casernes militaires et des quartiers généraux du gouvernement», annonçant avoir pris le «contrôle de la ville» et la mort de dizaines de militaires «de l’armée mozambicaine et de chrétiens, dont des ressortissants d’États croisés». […]
#Mozambique l’#EI revendique la prise de #Palma les attaques contre l’armée depuis mercredi et les assassinats de chrétiens « parmi eux des citoyens des pays de La Croix [occidentaux] et le saccage d’un nombre de bâtiments officiels et de banques pic.twitter.com/EJPor7IJPf
Des Sud-Africains auraient été tués vendredi lorsque des insurgés djihadistes auraient envahi un hôtel de la ville côtière de Palma, dans la province de Cabo Delgado, au nord du Mozambique.
Plusieurs étrangers sont morts lorsqu’ils ont tenté de s’échapper en convoi de l’Amarula Lodge, où environ 185 expatriés étaient bloqués, cachés dans la chambre forte, depuis que les insurgés ont attaqué la ville mercredi après-midi. D’autres ont été tués lorsque les insurgés ont finalement envahi l’hôtel. Beaucoup ont fui dans la brousse et le nombre de morts et de blessés était impossible à estimer vendredi soir.
Des sources de sécurité ont déclaré que les étrangers présents dans l’hôtel avaient été complètement abandonnés par les forces de sécurité mozambicaines – peut-être parce qu’elles étaient à court de munitions.
Jusqu’à vendredi après-midi, la société de sécurité privée sud-africaine Dyck Advisory Group (DAG) avait tenu les insurgés en échec grâce aux tirs de ses trois hélicoptères légers de combat. Mais les hélicoptères de DAG ont dû se retirer car ils n’avaient plus de carburant et la nuit est tombée, selon les sources.
Les expatriés se trouvant dans l’hôtel sont restés sans protection. Lorsqu’ils ont vu que les insurgés semblaient avoir déplacé leur attention vers un endroit proche, un Sud-Africain a décidé de mener une tentative d’évasion, selon les sources.
Un convoi de 17 véhicules a tenté de s’échapper, mais l’attaque à proximité n’était apparemment qu’une diversion. Le convoi d’évasion est tombé dans une embuscade tendue par les insurgés aux portes du complexe hôtelier. Trois véhicules ont été détruits et sept personnes ont été tuées. Seuls sept véhicules ont pu s’échapper, avec environ 40 à 50 personnes à bord, mais certaines d’entre elles ont été tuées, a déclaré une source de sécurité.
“Il y avait une voiture avec un mari, une femme et deux enfants qui ont pu sortir. Mais le mari a été tué”, a déclaré une source de sécurité.
Le reste des étrangers est retourné à l’hôtel. Mais peu de temps après, les insurgés ont réussi à pénétrer dans la chambre forte, faisant fuir dans la brousse des étrangers et des locaux paniqués, selon les sources. Plusieurs ont été tués, dont des Sud-Africains.
“L’ensemble de la communauté internationale doit assumer la responsabilité de cette situation”, a déclaré un analyste de la sécurité en colère. “Ils avaient trois jours pour réagir et personne ne l’a fait. Ces gens sont morts sans raison.
Mozambique (Palma)
1) Was the assault in reply to the Total press release? No - the attack showed meticulous planning, which makes a prompt reaction decidedly implausible. pic.twitter.com/j9LhX2T3Bt
Des dizaines de travailleurs étrangers ont été tués ou capturés alors qu’ils tentaient de fuir des militants islamistes qui se rapprochaient d’un hôtel servant au plus grand projet gazier d’Afrique.
Les expatriés ont été pris en embuscade alors qu’ils quittaient en convoi leur base de Palma, dans le nord du Mozambique, après avoir attendu deux jours pour être évacués par voie maritime et aérienne.
Sur les 17 véhicules partis de l’hôtel Amarula Palma, seuls sept ont pu s’échapper, a indiqué une source de sécurité.
“Il y a beaucoup de victimes et de nombreuses personnes portées disparues, c’est un désastre absolu”, a-t-il déclaré. Hier soir, les proches des victimes tentaient frénétiquement de découvrir le sort de leurs proches.
Des témoins ont rapporté que des corps, certains décapités, jonchaient les rues et la plage de la ville, où les combats entre les forces de sécurité de l’État et les insurgés ont fait rage hier pour la troisième journée. […]
Hier soir, la Grande-Bretagne, les États-Unis, l’Union européenne et d’autres pays ont publié des déclarations apparemment coordonnées condamnant les attaques terroristes. Malgré le déploiement de forces spéciales pro-gouvernementales et d’autres renforts de troupes, le dernier rapport écrit par des sources de sécurité conclut “qu’il semble actuellement que les insurgés contrôlent la ville. Les rues de Palma sont jonchées de corps, la plupart décapités”.
Les troupes gouvernementales ont également subi de lourdes pertes.
L’attaque à trois volets des militants a été décrite comme bien planifiée et a impliqué une centaine de combattants vêtus de noir et brandissant des drapeaux de l’état islamique. Elle a été programmée pour humilier au maximum le gouvernement mozambicain et ses investisseurs étrangers, quelques heures seulement après que Total ait annoncé qu’il était suffisamment confiant dans les nouvelles dispositions de sécurité pour reprendre le travail sur le projet. […]
Face à l’attaque menée par un groupe jihadiste ayant fait allégeance à Daesh, environ 180 personnes, parmi lesquelles figurent des expatriés, se sont réfugiées dans un hôtel de Palma (Mozambique). Piégées, elles ignorent si elles pourront être sauvées. L’attaque avait commencé mercredi après l’annonce par Total de la reprise des travaux de construction d’un gigantesque projet gazier, auquel est associé le groupe français.
L’armée mozambicaine tente toujours de trouver un corridor aérien afin de permettre leur évacuation par voie aérienne. Un nombre non précisé de personnes a déjà pu être sauvé.
Cette zone située à l’extrême nord-est du pays est le théâtre d’une violente insurrection depuis quatre ans menée par des jihadistes armés connus sous le nom d’Al Shabab (« les jeunes » en arabe). Le conflit a fait au moins 2.600 morts, dont plus de la moitié de civils et contraint plus de 670.000 personnes à quitter leur foyer, selon l’ONU.
Des policiers ont été pris pour cible samedi 27 mars à Paris, dans le 15e arrondissement, a appris Le Figaro de sources policières. Il est 20h20 ce jour-là lorsque deux équipages de policiers interviennent pour un différend de voisinage lié à du tapage, au sein d'un foyer de migrants.
Hier soir, à #Paris, des #policiers portaient secours, à une victime de violences.
Par haine de la #Police, des voyous ont attaqué leurs véhicules.
Ils ont ensuite, agressé violemment nos collègues, avec des mortiers.
A la base, la #Police venait sauver la veuve et l'orphelin. pic.twitter.com/CLsXj9uXD8
— Commissaires de Police SICP (@SICPCommissaire) March 28, 2021
Sur place, les policiers trouvent un habitant de ce foyer blessé à la main par un coup de couteau : il doit être conduit à l'hôpital. Son logement a également été dégradé.
Quelques minutes plus tard, à 20h40, - alors qu'ils transportaient le blessé -, les policiers et les sapeurs-pompiers ont été la cible de nombreux tirs de mortiers d'artifice de la part d'une trentaine d'individus, vraisemblablement des jeunes du quartier. Les policiers et les pompiers ont alors dû quitter les lieux.
L’attentat suicide à la bombe contre une cathédrale en Indonésie dimanche a été perpétré par un couple de jeunes mariés qui appartenaient à un groupe extrémiste pro-État islamique, a indiqué la police lundi. «Les assaillants étaient un couple marié qui s’est uni il y a six mois seulement», a indiqué le porte-parole de la police nationale Argo Yuwono.
L’attaque qui a visé la cathédrale de Makassar (est du pays) sur l’île de Célèbes (ou Sulawesi), faisant une vingtaine de blessés, s’est produite après la messe des Rameaux.
Une explosion s’est produite dimanche à proximité de la cathédrale de Makassar, capitale de la province de Sulawesi du Sud, sur l’île de Célèbes, faisant au moins 14 blessés.
Au moins 14 personnes ont été blessées dimanche 28 mars dans un attentat-suicide qui a visé la cathédrale de Makassar, dans l’est de l’Indonésie, après la messe des Rameaux, célébration qui marque pour les chrétiens le début de la semaine sainte. L’extérieur de l’édifice du sud de l’île de Célèbes était jonché de morceaux de corps humains à la suite de cette puissante déflagration qui s’est produite vers 10 h 30, heure locale (5 h 30, à Paris).
Des Sud-Africains auraient été tués vendredi lorsque des insurgés djihadistes auraient envahi un hôtel de la ville côtière de Palma, dans la province de Cabo Delgado, au nord du Mozambique.
Plusieurs étrangers sont morts lorsqu’ils ont tenté de s’échapper en convoi de l’Amarula Lodge, où environ 185 expatriés étaient bloqués, cachés dans la chambre forte, depuis que les insurgés ont attaqué la ville mercredi après-midi. D’autres ont été tués lorsque les insurgés ont finalement envahi l’hôtel. Beaucoup ont fui dans la brousse et le nombre de morts et de blessés était impossible à estimer vendredi soir.
Des sources de sécurité ont déclaré que les étrangers présents dans l’hôtel avaient été complètement abandonnés par les forces de sécurité mozambicaines – peut-être parce qu’elles étaient à court de munitions.
Jusqu’à vendredi après-midi, la société de sécurité privée sud-africaine Dyck Advisory Group (DAG) avait tenu les insurgés en échec grâce aux tirs de ses trois hélicoptères légers de combat. Mais les hélicoptères de DAG ont dû se retirer car ils n’avaient plus de carburant et la nuit est tombée, selon les sources.
Les expatriés se trouvant dans l’hôtel sont restés sans protection. Lorsqu’ils ont vu que les insurgés semblaient avoir déplacé leur attention vers un endroit proche, un Sud-Africain a décidé de mener une tentative d’évasion, selon les sources.
Un convoi de 17 véhicules a tenté de s’échappé, mais l’attaque à proximité n’était apparemment qu’une diversion. Le convoi d’évasion est tombé dans une embuscade tendue par les insurgés aux portes du complexe hôtelier. Trois véhicules ont été détruits et sept personnes ont été tuées. Seuls sept véhicules ont pu s’échapper, avec environ 40 à 50 personnes à bord, mais certaines d’entre elles ont été tuées, a déclaré une source de sécurité.
“Il y avait une voiture avec un mari, une femme et deux enfants qui ont pu sortir. Mais le mari a été tué”, a déclaré une source de sécurité.
Le reste des étrangers est retourné à l’hôtel. Mais peu de temps après, les insurgés ont réussi à pénétrer dans la chambre forte, faisant fuir dans la brousse des étrangers et des locaux paniqués, selon les sources. Plusieurs ont été tués, dont des Sud-Africains.
“L’ensemble de la communauté internationale doit assumer la responsabilité de cette situation”, a déclaré un analyste de la sécurité en colère. “Ils avaient trois jours pour réagir et personne ne l’a fait. Ces gens sont morts sans raison.
Mozambique (Palma)
1) Was the assault in reply to the Total press release? No - the attack showed meticulous planning, which makes a prompt reaction decidedly implausible. pic.twitter.com/j9LhX2T3Bt
Des dizaines de travailleurs étrangers ont été tués ou capturés alors qu’ils tentaient de fuir des militants islamistes qui se rapprochaient d’un hôtel servant au plus grand projet gazier d’Afrique.
Les expatriés ont été pris en embuscade alors qu’ils quittaient en convoi leur base de Palma, dans le nord du Mozambique, après avoir attendu deux jours pour être évacués par voie maritime et aérienne.
Sur les 17 véhicules partis de l’hôtel Amarula Palma, seuls sept ont pu s’échapper, a indiqué une source de sécurité.
“Il y a beaucoup de victimes et de nombreuses personnes portées disparues, c’est un désastre absolu”, a-t-il déclaré. Hier soir, les proches des victimes tentaient frénétiquement de découvrir le sort de leurs proches.
Des témoins ont rapporté que des corps, certains décapités, jonchaient les rues et la plage de la ville, où les combats entre les forces de sécurité de l’État et les insurgés ont fait rage hier pour la troisième journée. […]
Hier soir, la Grande-Bretagne, les États-Unis, l’Union européenne et d’autres pays ont publié des déclarations apparemment coordonnées condamnant les attaques terroristes. Malgré le déploiement de forces spéciales pro-gouvernementales et d’autres renforts de troupes, le dernier rapport écrit par des sources de sécurité conclut “qu’il semble actuellement que les insurgés contrôlent la ville. Les rues de Palma sont jonchées de corps, la plupart décapités”.
Les troupes gouvernementales ont également subi de lourdes pertes.
L’attaque à trois volets des militants a été décrite comme bien planifiée et a impliqué une centaine de combattants vêtus de noir et brandissant des drapeaux de l’état islamique. Elle a été programmée pour humilier au maximum le gouvernement mozambicain et ses investisseurs étrangers, quelques heures seulement après que Total ait annoncé qu’il était suffisamment confiant dans les nouvelles dispositions de sécurité pour reprendre le travail sur le projet. […]
Face à l’attaque menée par un groupe jihadiste ayant fait allégeance à Daesh, environ 180 personnes, parmi lesquelles figurent des expatriés, se sont réfugiées dans un hôtel de Palma (Mozambique). Piégées, elles ignorent si elles pourront être sauvées. L’attaque avait commencé mercredi après l’annonce par Total de la reprise des travaux de construction d’un gigantesque projet gazier, auquel est associé le groupe français.
L’armée mozambicaine tente toujours de trouver un corridor aérien afin de permettre leur évacuation par voie aérienne. Un nombre non précisé de personnes a déjà pu être sauvé.
Cette zone située à l’extrême nord-est du pays est le théâtre d’une violente insurrection depuis quatre ans menée par des jihadistes armés connus sous le nom d’Al Shabab (« les jeunes » en arabe). Le conflit a fait au moins 2.600 morts, dont plus de la moitié de civils et contraint plus de 670.000 personnes à quitter leur foyer, selon l’ONU.
Trois hommes ont admis avoir planifié de tirer sur des membres du public lors d’une attaque terroriste à Victoria.
Ertunc Eriklioglu, son frère Samed et un autre homme, Hanifi Halis, ont plaidé vendredi coupable à une accusation chacun de conspiration entre le 9 et le 19 novembre 2018 pour acheter une arme à feu en vue d’une attaque.
Les documents publiés par le tribunal de comté de Victoria montrent qu’une attaque contre des membres du public était prévue pour “faire progresser l’islam par la violence”.
Le trio est attendu au tribunal le 15 juin pour une audience pré-sentencielle.
Depuis les attentats du mois de janvier qui ont touché la France, les mosquées de Paris, Lyon ou encore Strasbourg ont enregistré une hausse des conversions à la religion musulmane. […]
À Paris, Éloïse fait partie de ces musulmans fraîchement convertis. Un mois jour pour jour après les attentats et à seulement 18 ans, la jeune femme a fait sa profession de foi. Choquée par les amalgames qui ont été faits par la suite, entre musulmans et terroristes, elle a eu envie de donner une autre image de la religion : “Ça me donne encore plus envie d’aller vers l’islam et de montrer à tout le monde que ce n’est pas ça”. […]
Les musulmans manifestaient aux cris d'Allah Akbar devant l'école.
Depuis jeudi 25 mars, des musulmans manifestent devant une école de la banlieue de Leeds, dans le centre de l’Angleterre. Ils réclament l’expulsion d’un enseignant qui aurait montré en classe une caricature du prophète de l’islam.
#RoyaumeUni : Les musulmans et les réseaux islamistes ont appelé les sympathisants à protester contre la Batley Grammar School dans le West Yorkshire, en Angleterre, pour exiger le licenciement d'un enseignant qui aurait montré des #caricatures de #CharlieHebdo. pic.twitter.com/pT4i5r4sct
Depuis jeudi 25 mars au matin, un professeur de religion britannique est en fuite. Cet enseignant, en poste depuis près de trente ans à la Batley Grammar School, dans la banlieue de Leeds (centre de l’Angleterre), a dû quitter son domicile avec sa compagne et demander protection à la police. Il est menacé et son nom circule sur les réseaux sociaux.
(...)
Le soir même, des parents d’élèves se sont plaints auprès de l’école, située dans une ville où les musulmans représentent 41 % de la population.
La police nationale espagnole (Policía Nacional), soutenue par Europol, a arrêté trois personnes à Madrid et Santa Cruz de Tenerife pour leur implication présumée dans la facilitation du financement du terrorisme.
Les suspects sont soupçonnés d’avoir utilisé une organisation non gouvernementale pour financer les activités des militants affiliés à Al-Qaïda. Le réseau a détourné des fonds recueillis de bonne foi par des associations religieuses, sous couvert de les utiliser comme aide humanitaire pour les orphelins syriens. En plus de financer les activités des combattants terroristes, une partie des fonds a été utilisée pour couvrir les coûts d’une école pour enfants orphelins, qui participe à la formation des futurs combattants terroristes.L’école s’est concentrée sur la radicalisation, la formation au combat et l’encouragement des orphelins à poursuivre les activités terroristes de leurs parents tués au combat.
Dans le cadre de l’action opérationnelle, les agents ont effectué quatre perquisitions et saisi de l’argent, des objets de valeur, des documents et des dispositifs techniques qui sont analysés par les enquêteurs.
Europol a été impliqué dans l’affaire depuis ses débuts, facilitant l’échange d’informations et fournissant un soutien à l’analyse opérationnelle. Le Centre européen de lutte contre le terrorisme (ECTC) d’Europol soutiendra également l’analyse des preuves numériques saisies au cours de la journée d’action.
Mohamad Hajjaj a été nommé par le Land de Berlin à la "Commission d'experts sur le racisme anti-musulman". Son association Inssan a reçu environ 1,3 million d'euros des contribuables. Mais Hajjaj était actif dans des associations considérées comme islamistes par l'Office de protection de la Constitution.
Le 26 février, la "Commission d'experts sur le racisme anti-musulman" mise en place par le Land de Berlin a commencé ses travaux. Le comité doit élaborer des "recommandations pour la poursuite du travail de prévention du racisme anti-musulman" d'ici le printemps 2022, avait alors annoncé Dirk Behrendt (Verts), le responsable du département sénatorial de la justice, de la protection des consommateurs et de la lutte contre les discriminations.
Deux des six membres ont été envoyés par le Forum islamique chargé de l'intégration : Lydia Nofal et Mohamad Hajjaj, la présidente et le directeur général de l'association islamique Inssan.
Les investigations du WELT montrent qu'Inssan et les personnes citées ont des liens avec des organisations islamistes, dont certaines ont été - ou sont surveillées - par l'Office pour la protection de la Constitution. Néanmoins, l'Inssan a été soutenu pendant des années par d'importants fonds fédéraux et étatiques. L'association basée à Berlin a été fondée en 2002 et, selon ses propres déclarations, poursuit l'objectif de "promouvoir le développement d'un islam de langue allemande".
Nofal et Hajjaj sont actifs dans de nombreux comités et organisations. Tous deux sont membres du conseil régional du Conseil central des musulmans de Berlin, tous deux sont membres du groupe de travail SPD des sociaux-démocrates musulmans. M. Nofal a également été nommé par la chancellerie du Sénat de Berlin au conseil consultatif de l'Institut de théologie islamique de l'université Humboldt de Berlin.
Au début des années 60 j'ai pris un gros risque en refusant de me soumettre aux menaces de l'O.A.S.
Aujourd'hui, 60 ans plus tard, je refuse catégoriquement avec force et courage que la France devienne "ISLAMISEE"
Je dénonce la soumission de nos dirigeants qui ont accepté la construction de la mosquée de Strasbourg, la plus grande d'Europe, dans ce territoire qui, après avoir été occupé par les Allemands, a été repris au prix de centaines de milliers de vies de Français en 14-18.
Strasbourg est la capitale de l'Europe et doit le rester sans être défigurée par une tumeur métastasée et islamisée.
J'ai été élevée au temps où la France avait une dignité mondiale et était surnommée "LA FILLE AINEE DE L'EGLISE"
JE REFUSE QUOI QU'IL M'EN COUTE qu'elle devienne la première "MOUQUERE" de l'islam.
La décision de traduire cette nouvelle version du chef d’œuvre de l’écrivain et poète florentin a été prise dans le contexte de la mort de Samuel Paty.
(...)
Sauf que dans cette nouvelle traduction, révèle De Standaard, un passage sur le prophète Mahomet a tout simplement été remanié, afin d’en faire disparaître le nom du prophète. Sur la radio belge Radio 1 où elle défendait sa version, la traductrice belge a mis en avant une accessibilité « la plus large possible » notamment destinée à « un public plus jeune » pour justifier ce retrait. Elle ajoute : « On savait que si on laissait ce passage tel quel, on aurait blessé inutilement une grande partie des lecteurs ». Lies Lavrijsen, la traductrice, dévoile même que la décision a été prise « dans la période tendue qui a vu la mort de l’enseignant Samuel Paty en France ».
Le président de la Commission islamique d’Espagne a été arrêté par la Police nationale dans le cadre d’une opération antiterroriste, lancée en 2019, indique ce mercredi El Confidencial. Aymen Adlbi, 74 ans, d’origine syrienne et apprécié des milieux de pouvoir espagnol, est soupçonné de «financement de groupes jihadistes en Syrie». La CIE est un organe officiel et l’interlocuteur de l’Etat espagnol sur tout ce qui se rapporte à la communauté musulmane ibérique.
Adlbi Adlbi, qui est le principal interlocuteur de l’Etat depuis qu’il a été élu à la tête de la CIE l’été dernier, est accusé des crimes d’appartenance à une organisation criminelle, de collaboration avec une organisation terroriste, de financement du terrorisme, de blanchiment d’argent, fraude fiscale, falsification de documents et promotion de l’immigration clandestine, selon des sources antiterroristes. D’autres personnes ont été arrêtées lors de l’opération.
Même s’il a bénéficié d’une liberté provisoire, cette arrestation relance la course pour prendre les commandes de la Commission islamique d’Espagne. Les contacts ont d’ores et déjà commencé entre les leaders de la communauté musulmane en Espagne pour préparer la succession d’Aymen Adlbi. Des Espagnols d’origines syrienne et marocaine et dans une moindre mesure les Pakistanais lorgnent le poste. A moins que Madrid n’opte pour la solution d’un Espagnol converti à l’islam et familier des rouages de la CIE.
Gaetan Dussausaye (RN) invite le président de la confédération Millî Görüs du Grand Est à partir s'il ne signe pas la charte. Il répond "ou il me respecte, ou il quitte la France"
Gaetan Dussausaye (RN) invite le président de la confédération Millî Görüs du Grand Est à partir s'il ne signe pas la charte. Il répond "ou il me respecte, ou il quitte la France" pic.twitter.com/22ceWHWm6x
To provide the best experiences, we and our partners use technologies like cookies to store and/or access device information. Consenting to these technologies will allow us and our partners to process personal data such as browsing behavior or unique IDs on this site and show (non-) personalized ads. Not consenting or withdrawing consent, may adversely affect certain features and functions.
Click below to consent to the above or make granular choices. Your choices will be applied to this site only. You can change your settings at any time, including withdrawing your consent, by using the toggles on the Cookie Policy, or by clicking on the manage consent button at the bottom of the screen.
Fonctionnel
Always active
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.