Témoignage émouvant d’un berger grec dont les migrants illégaux dérobent et abattent le bétail

Le berger grec Fotis Giounis vit près du grand camp de réfugiés de Kara Tepe (ou Mavrovouni) sur l'île de Lesbos.

Récemment, il a livré un témoignage émouvant, expliquant comment les migrants illégaux volent et dépècent constamment ses animaux.

"Ma mère ne m'a jamais vu pleurer à propos de ces choses", a déclaré Giounis. "J'ai créé tout cela [en allant vendre du lait] avec mon vélo. J'ai vécu sous tente cinq mois, et eux, ils ont tout détruit en deux heures."

"Je ne veux pas qu'on me donne des animaux ou des réparations. Je veux ma tranquillité, pouvoir rentrer chez moi sans devoir m'inquiéter", poursuit-il.

"Nous, les bergers, ne pouvons pas émigrer", a-t-il souligné.

"Tout cela est arrivé parce que je suis rentré chez moi pendant trois heures. Je ne peux plus rentrer chez moi."

Le berger a ensuite expliqué qu'il était rentré chez lui pour quelques heures seulement, mais qu'à son retour, cinq autres animaux de son troupeau avaient été massacrés.

Quinze autres avaient été tués la semaine précédente.

"Ils [les migrants] bénéficient de l'aide sociale. Et moi, comment suis-je censé vivre ? Un troupeau entier est massacré."

https://twitter.com/thedukeoriginal/status/1371389456918413313

Dans une interview précédente, Giounis soulignait que "des groupes de personnes armées errent ici dans les montagnes, épiant nos fermes - et apparemment, ils sont habiles à utiliser des couteaux."

Il se demandait également comment des centaines de kilos de viande avaient pu entrer dans le camp sans qu'on se pose de questions.

https://twitter.com/thedukeoriginal/status/1363981656852492291

Source : Greek Shepherd Gives Emotional Testimony About How Illegal Immigrants Are Slaughtering His Flock - Greek City Times

Traduction Cenator

Grèce : deux nouveaux ministres ouvertement anti-migrants nommés à l’Intérieur et à l’Intégration des réfugiés, l’un d’eux qualifiait les migrants « d’envahisseurs non armés »

[…] C’est un nouveau virage à droite que vient d’amorcer, lundi 4 janvier, le Premier ministre grec conservateur Kyriakos Mitsotakis avec les nominations de Makis Voridis et Sofia Voultepsi à deux postes clé pour la gestion des questions migratoires du pays. 

[…] Makis Voridis n’a pas hésité à plusieurs reprises à partager son opinion plutôt tranchée sur la crise migratoire. Ainsi, en octobre 2019, au moment de l’approbation par le Conseil des ministres de ce qui allait devenir une nouvelle législation sur l’asile en Grèce, le ministre ultra conservateur estimait à la radio qu’une majorité des personnes entassées dans les îles de la mer Égée n’étaient que “des clandestins (…) n’ayant en fait aucune raison et donc aucun droit de demander une protection humanitaire”. Selon lui, les réfugiés tels que les Syriens fuyant la guerre sont largement minoritaires. Les autres “ont des droits humains devant être respectés durant leur procédure d’asile, mais cela ne doit pas aller plus loin.”

Les migrants “des envahisseurs non armés”

La seconde à faire une entrée remarquée au gouvernement Mitsotakis, Sofia Voultepsi, prend la fonction de ministre adjointe à l’Intégration des réfugiés. Ancienne journaliste et députée du parti conservateur Nouvelle Démocratie depuis 2004, […] elle s’était faite remarquer sur la question des migrants en les qualifiant notamment “d’envahisseurs non armés”. […]

infomigrants.net

Via Fdesouche

Grèce : un migrant pakistanais avoue avoir menacé de mort et violé un garçon de huit ans

Un migrant pakistanais, âgé de 20 ans, a été accusé d’avoir violé un garçon de 8 ans dans un champ proche du centre d’accueil des migrants sur l’île grecque de Kos, située dans le sud-est de la mer Égée.

Le suspect est accusé d’avoir attiré le jeune garçon dans un champ vide près du centre d’accueil des migrants de l’île et d’avoir menacé de le tuer avant de maîtriser physiquement l’enfant et de le violer […] […] un autre migrant pakistanais accusé d’avoir tenté de violer deux femmes à Kos en octobre 2019, comparaîtra également devant le tribunal à jury mixte de Rhodes le 12 janvier.

[…]

ReMix

Via Fdesouche

Athènes : un trafiquant de drogue pakistanais arrêté par la police, il séquestrait dans un appartement deux mineures grecques âgées de 16 et 17 ans qu’il droguait et violait

Cauchemar pour deux mineurs entre les mains d’un trafiquant de drogue pakistanais – Comment OPKE (Équipes de prévention et de répression du crime, ndlr) a libéré les deux jeunes filles – protothema.gr révèle des photos de l’enfer de la maison.

Choc au centre d’Athènes. Un trafiquant de drogue pakistanais a gardé deux mineures emprisonnées dans son appartement, les a «arrosées» de drogue et les a violées. Les deux filles sont des femmes grecques âgées de 16 et 17 ans qui ont réussi à s’échapper de «l’appartement de l’enfer» et à sortir dans la rue pour demander de l’aide.

L’homme de nationalité étrangère courait à moitié nu après les deux femmes pour les rattraper, mais est tombé sur un bloc de la police OPKE qui s’est précipité sur lui, l’a arrêté et l’a menotté. […]

protothema.gr

Via Fdesouche

35 travailleurs d’ONG accusés d’aider des migrants à passer la frontière gréco-turque

La police grecque a accusé lundi 35 travailleurs d’organisations non-gouvernementales d’aider des migrants à entrer illégalement dans le pays depuis la Turquie.

Les travailleurs sont suspectés d’avoir renseigné des migrants sur les positions des gardes-côtes ainsi que des passeurs sur des lieux d’accostage sur l’île de Lesbos, dans au moins 32 cas.

Ils sont poursuivis pour crime organisé et espionnage, a précisé la police, qui n’a cependant pas indiqué quand les arrestations avaient eu lieu.

[...]

La police n’a pas dévoilé le nom des organisations impliquées, mais celles-ci ont des membres provenant d’Allemagne, d’Autriche, de Norvège, de Suisse et de Bulgarie.

RTBF

Allemagne : Manifestations en faveur des migrants de Moria “Nous avons de la place”

Des manifestants sont descendus dans la rue ce dimanche à Berlin et dans plusieurs autres villes allemandes pour demander à l’Union européenne de prendre en charge les réfugiés migrants du camp de Moria.

Plusieurs milliers de personnes ont manifesté dimanche à Berlin et d’autres villes allemandes pour appeler l’Union européenne à prendre en charge les demandeurs d’asile laissés sans abri après les incendies qui ont dévasté le camp de Moria sur l’île grecque de Lesbos.

 

 

 

 

Les manifestants ont été rejoints à Berlin par la tante d’Alan Kurdi, le petit garçon syrien mort noyé devenu un tragique symbole de la crise des réfugiés en 2015.

[...]

Msn.com

Camp de Moria: l’Allemagne accueillera 1500 migrants de Lesbos

L’Allemagne ne voulait pas d’un cavalier seul mais une solution européenne. Berlin plaide toujours pour que d’autres pays accueillent également des migrants actuellement en Grèce. Mardi après-midi, le ministre de l’Intérieur Horst Seehofer déclarait : « Il n’y a à l’heure actuelle aucun autre pays qui y soit prêt ».

 

 

La pression sur le gouvernement allemand était devenue trop forte. La grande coalition a annoncé que 1 553 personnes soit 408 familles seraient accueillies. Elles se trouvent actuellement sur différentes iles grecques et ont obtenu le statut de réfugiés.

L’Allemagne avait déjà annoncé vendredi la prise en charge de 100 à 150 mineurs. Des enfants qui ont besoin de soins et leurs familles doivent aussi être accueillis. Au total, ce sont 2 750 personnes qui doivent être transférées vers l’Allemagne.

[...]

Rfi.fr


Rappel :

Incendie de Moria à Lesbos: six jeunes Afghans arrêtés

 

 

 

 

Ada Marra : “La Suisse doit accueillir un nombre significatif de réfugié-e-s de Lesbos, et exiger la même chose des États membres de l’Union européenne.”

« Nous demandons au Conseil fédéral de faire venir en Suisse des personnes directement depuis les îles grecques, et d’utiliser les capacités des centres d’asile fédéraux et cantonaux, autant que les mesures Covid-19 le permettent », déclare Ada Marra, conseillère nationale (VD) et vice-présidente du PS Suisse.

 

 

« Surtout après cet incendie dévastateur, la Suisse ne peut pas rester inactive et garder les yeux fermés face à cette catastrophe humanitaire. En tant que bénéficiaire des accords de Schengen-Dublin située au cœur de l’Europe, elle a, avec les autres États européens, une responsabilité particulière. »

[...]

Sp-ps.ch / 24heures.ch


Rappels :

Lausanne, la ville aux 4 milliards de dettes, réclame sa part d’incendiaires de Moria

Allemagne : Les Verts et la gauche veulent accueillir tous les migrants de Moria

Allemagne : manifestations pour accueillir des migrants du camp de Moria, détruit par un incendie déclenché par… des migrants

Soutenu par Merkel et l’UE, Erdogan insulte la France et menace la Grèce

Pour bien comprendre le conflit territorial maritime actuel, qui oppose la Turquie à la Grèce, écoutez cette remarquable vidéo.

https://www.youtube.com/watch?v=MKo9vpEN74c

En Méditerranée orientale, il est clair que le va-t-en-guerre Erdogan n’a pas de meilleure alliée qu’Angela Merkel, qui se couche systématiquement devant le belliqueux sultan islamiste d’Ankara.

L’orgueilleuse chancelière, qui fait la pluie et le beau temps au sein de l’UE,  n’apprécie guère les gesticulations militaires de la Grèce et de la France, en réponse aux provocations turques.

C’est donc en toute impunité qu’Erdogan peut déployer ses navires de guerre et narguer la Grèce, Chypre et une Union européenne totalement divisée.

Seule la France a manifesté un réel soutien à Athènes, avec une présence militaire maritime et aérienne au large de la Grèce, un soutien majoritairement désapprouvé par l’UE, qui s’obstine à vouloir dialoguer avec un énergumène arrogant, qui ne respecte que la force.

À ce jour, l’UE rejette toute idée de sanctions, malgré les ambitions démesurées d’Erdogan, qui se prend pour Soliman le Magnifique.

Ce soutien français exaspère le sultan, habitué aux capitulations de l’UE et de l’Otan, dès lors qu’il exerce son chantage à l’immigration ou qu’il intervient militairement en Syrie ou en Libye.

Traitant Macron de “petit caïd”, Erdogan se fait menaçant, invitant Macron “à ne pas chercher querelle à la Turquie”.

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-president-turc-erdogan-avertit-emmanuel-macron-de-ne-pas-chercher-querelle-a-la-turquie-20200912

Mais les conflits territoriaux entre Turquie et Grèce ne datent pas d’hier.

Rappelons que les Turcs occupent illégalement la partie nord de Chypre depuis 1974, sans que l’UE ni l’Otan n’aient mis un terme à cette colonisation d’un pays indépendant depuis 1960.

Il est vrai que les résolutions de l’Onu, face à un pays déterminé, ne sont que torchon sans intérêt.

Quant à l’Otan, sous commandement américain, elle ne bougera pas, car les États-Unis possèdent une base en Turquie, où sont entreposées des armes nucléaires.

Mais le conflit d’aujourd’hui est né de l’accord signé en 2019 entre la Turquie et la Libye, donnant aux Turcs un libre accès à des zones économiques maritimes revendiquées par la Grèce et par Chypre.

En effet, de riches gisements gaziers, équivalents à ceux de la Norvège, ont été découverts dans une zone maritime convoitée par la Turquie, qui conteste les frontières maritimes définies par le droit international.

Évidemment, outre l’enjeu économique considérable, Erdogan, qui fait face à une grave crise économique et monétaire, tente de faire diversion en faisant vibrer la fibre nationaliste du peuple turc, toujours à fleur de peau. Rien de bien nouveau chez les despotes contestés de l’intérieur.

Un navire sismique turc, protégé par des navires de guerre, opère dans la zone revendiquée par la Grèce, en attendant  l’arrivée prochaine d’un navire de forage turc.

La marine grecque reste en état d’alerte maximale. Des incidents entre navires turcs, grecs et  français ont fait monter la tension.

Pendant que l’UE temporise, en prêchant  le dialogue et la coopération, les esprits s’échauffent à Athènes.

Le parti  conservateur Solution grecque enjoint le gouvernement de “se préparer à la guerre sans tarder”.

Ce que fait le gouvernement grec, qui vient d’annoncer  d’importantes commandes d’armements, dont 18 Rafale, et qui va recruter 15 000 soldats supplémentaires.

Les tensions diplomatiques, c’est toujours bon pour le juteux marché de l’armement, qui bat record sur record chaque année dans le monde.

La Grèce devient ainsi le 4e client du Rafale, après l’Égypte, l’Inde et le Qatar.

Il est évident que ni la Grèce, ni la Turquie n’ont intérêt à envenimer la situation. Mais un grave dérapage est toujours possible.

Erdogan entretient les tensions. Un exercice naval a lieu ce WE au large de Chypre.

Mais quelle que soit l’évolution de la situation, l’UE se doit d’afficher un soutien sans faille à Athènes, avec sanctions économiques et réponses militaires  dissuasives contre Ankara si besoin.

Seule la détermination affirmée des 27 fera reculer le belliqueux sultan.

Jacques Guillemain

La Suisse envisage d’accueillir 20 mineurs du camp de Moria. Delémont fait pression pour l’accueil.

La Suisse envisage d'accueillir une vingtaine de mineurs non accompagnés en provenance du camp de réfugiés de Moria sur l'île grecque de Lesbos, victime d'un vaste incendie. Un avion chargé d'une tonne de matériel d'aide doit partir vendredi, a indiqué le DFAE.

[...]

Rts.ch


Delémont tend la main aux migrants de Moria

Le Conseil communal de la capitale jurassienne indique qu’il est prêt à accueillir des enfants ou des familles victimes des incendies du camp qui se trouve sur l’île de Lesbos.

L’exécutif interpelle, par ailleurs, la Confédération pour qu’elle mette sur pied une conférence nationale de manière à organiser un rapatriement en Suisse de ces personnes dans les plus brefs délais. D’autres villes helvétiques ont manifesté leur soutien.

Rfj.ch

Enquête du journal Focus : Pour quelle raison les réfugiés musulmans ne sont-ils pas réinstallés dans les pays riches du Golf, proches culturellement, contrairement à l’Europe ?

Pour quelle raison les réfugiés des camps en Grèce ne sont-ils pas redirigés vers des pays riches comme l'Arabie Saoudite, le Qatar, le Bahreïn ou le Koweït? Après tout, ce sont des pays où vivent de nombreux frères de foi de ces réfugiés (musulmans) et où aucun problème culturel ne devrait se poser.

La réponse du journal allemand Focus.de

Depuis des années, les six États du Golfe (Arabie saoudite, Koweït, Oman, Qatar, Bahreïn et Émirats arabes unis) sont critiqués pour avoir accepté trop peu de réfugiés. En 2014, Amnesty International a publiquement dénoncé leur comportement et a accusé les États du Golfe de "ne pas fournir un seul site d'accueil pour les réfugiés". Les gouvernements de ces pays se sont défendus. L'Arabie Saoudite prétendait à l'époque avoir accordé la résidence à 2,5 millions de Syriens.

Il est difficile de vérifier combien de réfugiés ces nations ont accepté jusqu'à présent. Aucun des États du Golfe n'a signé la Convention de Genève sur les réfugiés. Cela signifie que les personnes déplacées accueillies ne sont pas officiellement enregistrées en tant que réfugiés. Dans aucun pays du Golfe, il n'existe de politique claire en matière d'accueil des réfugiés. Au contraire, ils ont tous créé des barrières bureaucratiques à l'entrée : tels que des visas coûteux et l'absence de reconnaissance officielle en tant que réfugiés.

En outre, la proximité religieuse et culturelle entre les États du Golfe et les pays de la Méditerranée orientale est limitée. Avant la guerre civile, la Syrie était un État multiethnique dans lequel vivaient des chrétiens et des musulmans. En revanche dans le Golfe, l'Islam domine [NDLR : En clair, pendant que l'Europe chrétienne accueille des musulmans, les pays islamiques ont laissé les chrétiens mourir pour préserver l'islam sunnite.]. En outre, les États sunnites du Golfe sont en concurrence avec l'Iran chiite et bombardent le Yémen. La plupart des Syriens choisissent de ne pas fuir une région instable pour une autre.

Ce ne sont là que quelques-unes des raisons qui poussent surtout les réfugiés vers le continent européen. La Grèce est la cible principale depuis un certain temps. Cela a également été le cas l'année dernière. Selon les chiffres de l'ONU, près de 60 000 réfugiés sont arrivés par la mer et près de 15 000 réfugiés par la terre (Turquie). L'État qui doit s'occuper de l'enregistrement et des procédures d'asile pour les réfugiés est régi par le "règlement de Dublin". Selon cette loi, le premier pays de l'UE dans lequel un réfugié est entré devient responsable

En résumé, cela signifie que de nombreux réfugiés décident dès le départ de ne pas fuir vers les États du Golfe. D'une part, la région est instable, d'autre part, il y a des obstacles à l'entrée. S'ils viennent en Europe, le pays dans lequel ils entrent en premier devient automatiquement responsable de ces réfugiés.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Focus.de


Rappels :

Suisse. Winterthour: L’imam, au bénéfice du statut de réfugié, aurait poussé sa femme à devenir terroriste

Le Pape veut que les Européens intègrent les migrants musulmans avec leur identité religieuse

Pendant que Sainte-Sophie devient une mosquée, le Pape prie pour… les migrants : « C’est le Christ qui frappe à notre porte. »

Le secrétaire général de l’ONU félicite le Pape pour son action en faveur des migrants

Pape François: bâtir des murs contre les migrants est anti-chrétien

Finlande: le terroriste exprimait déjà sa haine des Finlandais dans le centre pour réfugiés

Manchester: Les premières photos du terroriste, fils de réfugiés libyens. Selon le Premier Ministre, une autre attaque peut être imminente.

Attentat du 13 novembre : les neuf terroristes étaient arrivés en Europe en tant que réfugiés (Der Spiegel)

Ansbach: le terroriste était un blessé de guerre de l’état islamique, arrivé en Europe comme réfugié pour se faire soigner

Attentats de Bruxelles : Le terroriste s’était mêlé au flot des réfugiés

Le Haut-commissaire de l’ONU aux réfugiés inquiet du « climat de xénophobie » en Europe

 

Le camp de migrants de Lesbos, en Grèce est en feu [Vidéo]

09 septembre 2020

Le grand camp de migrants de Moria, sur l’île grecque de Lesbos, est « brûlé à 99 % » selon les pompiers. Le feu pourrait avoir été déclenché par une rébellion contre des mesures d’isolement, après que la covid-19 a fait son apparition dans le camp.

Une opération de sauvetage d’envergure est en cours dans l’emblématique et surpeuplé camp de migrants de Moria, sur l’île grecque de Lesbos, où plusieurs feux se sont déclenchés, ce mercredi, au petit matin, d’après les pompiers grecs. Selon les pompiers, « des feux épars dans la prairie autour du camp, mais aussi à l’intérieur de la structure » mobilisent 25 pompiers et dix véhicules pour évacuer le camp le plus sordide d’Europe, qui héberge actuellement près de 12 700 demandeurs d’asile, quatre fois sa capacité d’accueil. Les pompiers précisent que pour l’instant, « il n’y a pas de victimes, mais quelques blessés légers avec des problèmes respiratoires dus à la fumée »

Selon un photographe de l’AFP sur place, « la quasi-totalité du camp est en feu, aussi bien à l’intérieur que les tentes qui se trouvent à l’extérieur, dans l’oliveraie ». « Des demandeurs d’asile fuient le camp à pied en direction du port de Mytilène mais sont bloqués par les véhicules des forces de l’ordre », ajoute-t-il. Près de 500 migrants se trouvent sur la route vers le port du Mytilène, bloqués par les forces de l’ordre, et d’autres se sont abrités dans les collines environnant le camp.

Migrants gather outside the Moria camp on the island of Lesbos during a major fire there on September 9, 2020. / AFP / Manolis LAGOUTARIS
« Des demandeurs d’asile fuient le camp à pied en direction du port de Mytilène mais sont bloqués par les véhicules des forces de l’ordre », selon le photographe de l’AFP. (Photo Manolis Lagoutaris/AFP)

Révolte contre l’isolement

« L’île de Lesbos est déclarée en état d’urgence », a affirmé sur la chaîne de télévision publique ERT, le porte-parole du gouvernement grec, Stelios Petsas. Une réunion gouvernementale, avec le Premier ministre et le chef de l’État-major, doit se tenir ce mercredi matin « pour examiner la situation à Moria et les mesures qui vont être prises ».

Selon le site d’information locale Lesvospost, plus de 3 000 tentes, des milliers de conteneurs, des bureaux de l’administration et une clinique au sein du camp ont été brûlés. Selon le président du syndicat des pompiers de Lesbos, interrogé ce mercredi matin, Yorgos Ntinos, le camp est « brûlé à 99 % et le feu continue ».

Stand by Me Lesvos, une association regroupant locaux et réfugiés, s’alarme sur Twitter : « Tout brûle, les gens fuient ». « Certains témoignages rapportent que des locaux bloquent le passage (des réfugiés) dans le village voisin », ajoute aussi l’association. « Depuis plusieurs heures, des grands feux entourent le centre de réception. Les foyers se multiplient (…) et avec la force du vent (7-8 beaufort), le feu s’étend rapidement », commente sur sa page Facebook l’association des habitants de Moria et des autres villages environnants. « La zone paie le prix de l’indifférence et de l’abandon », poursuit l’association des habitants, qui appelle les autorités à agir rapidement pour trouver une solution pour les demandeurs d’asile qui seront sans abri après l’incendie.

D’après l’agence de presse grecque ANA, les feux auraient été déclenchés à la suite de la révolte de certains demandeurs d’asile qui devaient être placés en isolement, ayant été testés positifs au coronavirus ou proches d’une personne ayant été détectée positive. Les pompiers rapportent également dans leur communiqué avoir « été empêchés d’entrer dans le camp pour intervenir » par certains groupes de réfugiés à leur arrivée dans le camp, et avoir fait appel aux forces de l’ordre pour pouvoir poursuivre l’opération de sauvetage.

35 cas positifs à la covid-19

La semaine dernière, les autorités ont détecté un premier cas de coronavirus dans le camp de Moria et ont mis le camp en quarantaine pour quinze jours. Après la réalisation de 2 000 tests de dépistage, 35 personnes ont été détectées positives à la covid-19 à Moria. « Seulement une personne a présenté des symptômes, les 34 autres sont asymptomatiques », a assuré le communiqué du ministère grec des Migrations. « Les 35 personnes positives au coronavirus ont été transportées dans un espace prévu pour leur isolement », a aussi précisé le ministère. Avec l’incendie, « tout le monde s’est dispersé et les cas positifs se sont mélangés aux autres désormais », s’inquiète, ce mercredi matin, une source policière à Lesbos.

De strictes mesures de circulation ont été imposées dans les camps de migrants depuis la mi-mars. Le gouvernement n’a jamais levé ces restrictions malgré les critiques des ONG de droits de l’homme, jugeant ces mesures « discriminatoires », alors que la décision a été prise de déconfiner le pays début mai. Ces ONG dénoncent l’enfermement des demandeurs d’asile dans ces structures, qui ne sont pas adaptées pour mettre en place les mesures barrières nécessaires.

Migrants wear facemasks as they stand outside the Moria camp on the island of Lesbos during a major fire there on September 9, 2020. / AFP / Manolis LAGOUTARIS
Selon le président du syndicat des pompiers de Lesbos, le camp est « brûlé à 99 % et le feu continue ». (Photo Manolis Lagoutaris/AFP)

Le camp de Moria a été ces dernières années à maintes reprises décrié pour son manque d’hygiène et son surpeuplement par les ONG, qui appellent régulièrement les autorités grecques à transférer les demandeurs d’asile les plus vulnérables vers le continent. Les émeutes et bagarres sont devenues quasi quotidiennes dans le camp de Moria. De janvier à fin août, cinq personnes ont été poignardées dans plus de 15 attaques. En mars, une fillette avait perdu la vie dans un conteneur brûlé. En septembre 2019, deux personnes étaient également décédées dans un incendie.

source: https://www.letelegramme.fr/monde/le-camp-de-migrants-de-lesbos-en-grece-touche-par-un-vaste-incendie-video-09-09-2020-12613298.php

Grèce : Un camp de migrants ravagé par les flammes. Des demandeurs d’asile y auraient mis le feu.

Une opération de sauvetage était en cours mercredi dans le camp de migrants de Moria, sur l'île grecque de Lesbos, où plusieurs feux se sont déclenchés au petit matin. Le site héberge près de 12'500 requérants d'asile, quatre fois sa capacité d'accueil.

[...]

D'après le site d'informations locales Lesvospost, plus de 3000 tentes, des milliers de conteneurs, des bureaux de l'administration et une clinique au sein du camp ont été brûlés. La vidéo publiée sur Twitter par un reporter de la chaîne de télévision Arte montre l'étendue des dégâts.

[...]

Révolte après un isolement lié au Covid
D'après l'agence de presse grecque ANA, les feux auraient été déclenchés suite à la révolte de certains demandeurs d'asile qui devaient être placés en isolement, ayant été testés positifs au coronavirus ou proches d'une personne ayant été détectée positive.

[...]

Rts.ch

Erdogan lance de nouvelles menaces contre la Grèce

En faisant allusion à des zones maritimes disputées en Méditerranée orientale, le président turc a déclaré ce samedi que la Turquie est «assez forte» pour «déchirer les cartes et les documents immoraux».

[...]

«Ils vont comprendre, soit par le langage de la politique et de la diplomatie, soit sur le terrain via d’amères expériences», a prévenu le dirigeant turc lors d’une allocution télévisée. «La Turquie et le peuple turc sont préparés à toute éventualité et à toute conséquence».

[...]

TdG

Après avoir déployé 2 navires de guerre en renfort des forces grecques, la France est fustigée par la Turquie

Depuis Genève où il est de passage, le ministre turc des Affaires étrangères fustige les manœuvres de la France, qui a déployé deux navires de guerre en renfort des forces grecques. La tension croît chaque jour

"La France, en particulier, devrait cesser de prendre des mesures qui accentuent les tensions. Ils n'obtiendront rien en se comportant comme des caïds", a déclaré vendredi le chef de la diplomatie turque Mevlüt Cavusoglu lors d'une conférence de presse avec son homologue suisse à Genève.

Jeudi, Paris a annoncé le déploiement de deux avions Rafale et de deux navires de guerre en Méditerranée orientale en signe de soutien à la Grèce, qui accuse la Turquie de mener des recherches énergétiques illégales dans ses eaux.

Mevlüt Cavusoglu a affirmé que la Turquie "ne souhaitait pas l'escalade", tout en rejetant la responsabilité des crispations sur Athènes qu'il a appelé à "agir avec bon sens".

[...]

Le TempsLexpress.fr

Grèce : un Algérien arrêté pour avoir vandalisé une cathédrale, deux fois, en quelques jours

Grèce – Les autorités ont arrêté un Algérien de 38 ans, accusé d’avoir vandalisé une cathédrale, deux fois, en quelques jours.

Un inconnu muni de pierres a endommagé le vitrail de la cathédrale Agios Minas d’Héraklion.

La même personne, armé d’un marteau, a endommagé la porte de cette cathédrale. Le suspect de 38 ans, originaire d’Algérie, a été arrêté quelques heures plus tard.

(…)

Protothema.gr

Via Fdesouche

Péril turc : lâchés par Bruxelles, les Grecs se tournent vers Israël

28 juillet 2020 - par

On savait que les autorités de Gaza, tous religieux, n’avaient pas en eux de charité chrétienne, ni même d’empathie pour les victimes, qu’elles soient musulmanes, par la formation d’enfants à devenir des futurs « martyrs », et le peu de chrétiens qui reste.

Ces autorités religieuses, qui adorent Mahomet l’esclavagiste et pédophile prophète, ont décidé de s’en prendre aux enfants des familles israéliennes en leur envoyant des ballons piégés avec des livres et des jouets pour les attirer. De plus,  Ismail Haniyeh, le chef du Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza, a rejeté un plan économique d’un montant de 15 milliards de dollars (12,7 milliards d’euros) en échange d’un démantèlement de la branche armée du groupe terroriste, a rapporté lundi le Jerusalem Post.

On sent bien le courage de ces religieux qui dirigent d’une poigne de fer Gaza et n’ont pas comme priorités le bonheur des Gazaouis. Ceux-ci vivent dans un enfer politique où les libertés sont supprimées “au nom de la cause palestinienne“.

C’est sûr que ces dirigeants n’en souffrent pas trop, eux qui sont bien à l’abri, et sous la protection des hôpitaux si nécessaire, en cas de conflits directs.

En Israël, rien de neuf ? C’est ce qui semble être une réalité pour les médias de France. Nous vivons dans un pays sous anesthésie où toutes les chaînes de télévisions et les radios sont occupées à diffuser la peur d’un virus diabolisé.

Israël, la Russie, l’Europe, l’Asie, le reste du monde n’intéressent pas nos médias. Ce qui compte en France, c’est le port du masque, nouvelle panacée nous disent les pouvoirs publics après nous avoir dit que cela ne servait à rien.

L’économie s’effondre en France et notre Président s’évertue à poursuivre son œuvre de destruction de notre pays pour en faire une simple province de l’Union européenne, et envoie un islamo-collabo en Algérie pour mieux détruire l’image de la France lors de la guerre d’Algérie.

Mais le monde poursuit sa route et les nations continuent de vivre. Ce n’est pas parce que les Français l’ignorent que cela ne se fait pas.

Demandez à un patriote, un gauchiste, un indigéniste, à un islamo-collabo s’il a des informations sur la Grèce en quasi-conflit avec la Turquie ? Il ne le sera que s’il porte son regard au-delà de France 2, TF1, France3, et autres BFM TV. Un patriote, je pense, le fait probablement. J’en doute pour le reste du panel obsédé par son nombril.

Ces gens-là se fichent que des entreprises grecques et israéliennes aient signé un accord de coopération pour la construction de navires de guerre pour faire face aux besoins d’Athènes en cas de futurs conflits à l’est de la Méditerranée. On peut facilement deviner avec qui. Qui en parle sur nos chaînes d’infos ?

On notera par ailleurs que le ministère de la Défense national grec a conclu un accord avec le ministère israélien de la Défense pour louer de deux drones Heron.  D’après les médias grecs, les engins seront utilisés pour élargir la collecte d’informations des services de renseignement, mais aussi pour renforcer les capacités de dissuasion du pays face à la Turquie, qui, elle, a déployé des drones au-dessus de la région d’Évros et de la mer Égée bordant les deux pays. Pas un mot en France sur ce conflit qui s’annonce entre des alliés de l’Otan.

Chaque jour sur nos radios, nos télévisions, c’est le même discours sur le retour du virus meurtrier et ce malgré les alertes de beaucoup de scientifiques qui expliquent qu’il n’y a pas péril en la demeure. Ce n’est pas la peste noire. Ce n’est pas le choléra. Même les masques ne seraient pas très utiles compte tenu de l’air ambiant et des nanoparticules que nos masques n’arrêtent pas, dans un sens comme dans l’autre.

La question est : à qui profite cette peur diffusée à fortes doses ? À qui profite cette anesthésie de tout un peuple ? Quel est le but ?

Le Moyen-Orient est au centre d’un futur conflit qui met face à face deux civilisations ! En France, nous avons décidé de nous coucher devant l’Islam. J’en veux pour preuve la déclaration d’un ministre de l’Intérieur qui met en avant son deuxième prénom, Moussa. Pour quelle raison ? Faire une allégeance ou par bêtise ? Les deux probablement ?

Que disent nos politiciens face à la déclaration du Hezbollah, ce cancer qui vit au dépend des Libanais, qui affirme avoir la capacité de frapper “des cibles très précises” n’importe où en Israël. Je fais le même constat qu’avec Gaza. Ces gens sont incapables de proposer quoi que ce soit pour les peuples qu’ils dominent, hormis la mort à court et long terme. Aucun projet économique, politique pour favoriser les habitants et les sortir de la misère dans laquelle ils sont pour la plupart.

Si on compare les avancées économiques, politiques et technologiques d’un pays comme Israël, pourtant infesté par les juifs orthodoxes avec le Liban, lui-même infesté par l’islamisme, tout comme Gaza, aucun n’atteint le niveau de performance d’Israël avec pourtant, l’état de guerre permanent ! Pourtant, Israël n’est pas, loin de là, une étoile au firmament social et politique.

Même la France aurait des leçons à tirer de son système politique si ce n’est électoral.

Pourquoi cette haine contre un pays si petit et qui ne présente pas de dangers particuliers pour le reste du monde ? La question mérite vraiment d’être posée !

L’islam est, lui, véritablement le danger absolu, tout comme des pays comme la Turquie islamiste et le Qatar. Mais en France, le Qatar domine nos gouvernements. Le Qatar met à genoux des hommes comme Sarkozy, Hollande, Macron et autres dirigeants de France. L’avenir nous dira peut-être pourquoi cet avilissement de la France devant cet État à la religion archaïque et violente.

Les Grecs ont bien compris, face à la Turquie qui a la volonté de spolier la Grèce de ses droits sur le pétrole et le gaz en Méditerranée, qu’ils devaient passer outre la volonté de l’Union européenne de bouder Israël et de financer, à nos frais de contributeurs, l’autorité palestinienne (celle-ci finance des terroristes).

Athènes est plus loin de Bruxelles que d’Ankara. Les Grecs se souviennent encore des souffrances qu’ils ont subies du fait de la Turquie qui occupait son pays autrefois, des exodes et des massacres commis par les Turcs.

C’est pourquoi la Grèce se tourne vers un partenaire bien plus fiable que l’UE en renforçant un partenariat militaire entre Israël et elle-même. Pour la Grèce, c’est une priorité absolue, a déclaré Konstantinos Floros, chef d’état-major grec.

On peut dire la même chose pour la Hongrie. Le ministre des Affaires étrangères hongrois, Péter Szijjártó, s’est rendu en Israël le 20 juillet pour signer un accord concernant la recherche spatiale. La Hongrie et Israël ont des liens étroits et le pays est considéré comme un “ami très proche” d’Israël.

Quid de la France ? Nous préférons soutenir des perdants, des arriérés religieux, des fomenteurs d’attentats, un islam qui nous hait et veut nous mettre à genoux. Pouvons-nous imaginer La France à genoux devant les représentants d’un islam rétrograde qui valide par ses livres, la misogynie, la haine des athées, des chrétiens et des juifs ? Un islam qui hait la démocratie parce qu’il considère que les peuples n’ont pas à décider par eux-mêmes, mais à se soumettre à leur dieu sanguinaire.

On voit l’exemple concret des peuples qui vivent au Moyen-Orient. Pour ma part, je préférais vivre en Israël qu’au Liban ou à Gaza.

Gérard Brazon

source et commetaires: https://ripostelaique.com/peril-turc-laches-par-bruxelles-les-grecs-se-tournent-vers-israel.html

Grèce : 2 anarchistes tentent d’incendier le bâtiment d’un ex-ministre conservateur

Les seuls sites en français qui en parlent sont des sites d'extrême gauche soutenant cette violence (comme ici, et ici, ou encore ici).

Les médias mainstream en français cachent soigneusement la violence de ces extrémistes.


Deux hommes qui ont été arrêtés tôt mercredi alors qu'ils tentaient de placer deux engins incendiaires devant un immeuble d'habitation à Kalamaria, dans la banlieue de Thessalonique, où vit un ancien ministre conservateur, ont été présentés à un procureur jeudi et ont eu jusqu'à lundi pour préparer leur défense pour une série d'accusations criminelles.

Les hommes, âgés de 27 et 28 ans, sont accusés d'avoir formé un groupe criminel, d'avoir tenté de provoquer une explosion et un incendie criminel, d'avoir fabriqué et possédé des explosifs qui auraient pu mettre en danger la vie humaine, d'avoir violé les lois sur la possession d'armes à feu et de fusées de détresse, d'avoir enfreint les lois sur les drogues, de résistance et désobéissance à l’autorité..

Selon des sources policières, le responsable de la Caisse de dépôts et de prêts, l'ancien ministre Dimitris Stamatis, réside dans le bâtiment, bien qu'il ne soit pas clair s'il était la cible de l'explosion prévue.

Les mêmes sources ont déclaré qu'ils ont attrapé le jeune homme de 27 ans alors qu'il tentait d'activer l'engin incendiaire, tandis que le second se trouvait à un coin de rue proche, en train de surveiller.

Les agents ont ensuite retrouvé et arrêté le jeune homme de 28 ans dans le centre de Thessalonique.

Les perquisitions au domicile des suspects ont permis de découvrir quatre engins incendiaires, une bombe lacrymogène, des bouteilles contenant un liquide inflammable, du gaz poivré et de petites quantités de cannabis.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Ekathimerini.com / Thenationalherald.com

 

Grèce : une église transformée en latrines par des migrants illégaux

L’église orthodoxe Sainte-Catherine de Moria, une petite ville de l’île de Lesbos, fut vandalisée au début du mois de mai par des migrants illégaux. Cette ville abrite un camp de migrants illégaux de près de 25 000 individus sur les 50 000 qui se trouvent à Lesbos.

Non content de ce vandalisme qui a touché tant d’églises dans l’île, les migrants ont transformé Saint-Catherine en latrines improvisées voici deux semaines. La Hongrie vient d’allouer 30 000 US$ à la restauration des églises détruites à Lesbos. Un geste qui mérite s’être signalé et souligné…

Source : Greek City Times, 16 mai 2020.

Via Christianophobie.fr

Grèce : Une vingtaine de requérants mineurs en route pour la Suisse. Pour les ONG, il s’agit d’une simple obligation!

En réponse à un appel de la Grèce, Berne s'est dite prête en janvier à accueillir des réfugiés mineurs non accompagnés ayant des liens familiaux en Suisse. Une vingtaine d'entre eux sont en route, ont rapporté samedi des organisations non gouvernementales qui avaient lancé un appel dans ce sens à Pâques.

Le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM) a confirmé cette information. Il n'a toutefois pas donné plus de détails par respect pour les mineurs. Des informations suivront après leur arrivée.

Pour la centaine d'organisations à l'origine de l'appel de Pâques, l'accueil de 23 mineurs n'a rien d'un acte humanitaire. C'est simplement une obligation de la Suisse en vertu des accords de Dublin qui prévoient le rassemblement familial.

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20min.ch