Immigration : le Royaume Uni enferme, l’Allemagne tâtonne

Pris de court par des révoltes populaires suite au meurtre de trois fillettes, le Premier ministre ouvre ses prisons pour y enfermer des «émeutiers». L’Allemagne, confrontée au même guêpier, cherche des remèdes.

La fable des bons étrangers persécutés par des autochtones empreints de «racisme systémique » fait long feu. Et une seule religion parmi quelque 130 présentes dans nos sociétés cause des crimes et des conflits incessants, l’islam. Pas de «cordon sanitaire» pour lui et partout la même tolérance des juges. Les ONG sont souvent de la partie telle Amnesty International qui milite pour l’acceptation des mœurs obscurantistes et a encore réclamé récemment le droit des sportives de porter le foulard.

De nombreux pays victimes de cette complaisance et de l’islamisation tentent pourtant de limiter l’immigration. Mais pas le Royaume-Uni.

Le pouvoir veut ignorer les raisons des émeutes

On surnommait déjà la capitale le Londonistan à la fin des années 1990, la ville accueillant gracieusement de nombreux prêcheurs de haine. Dès la fin de la décennie, durant des années, les autorités ont épargné des gangs de violeurs musulmans pakistanais qui ont prostitué des milliers de filles non musulmanes. La BBC a rapporté en 2014 qu’«au moins 1400 enfants ont été victimes d’une exploitation sexuelle effroyable à Rotherham entre 1997 et 2013», et que les fonctionnaires britanniques n’ont rien fait. Pourquoi? Les policiers comme les services sociaux craignaient d’être taxés de racistes s’ils indiquaient l’origine ethnique des violeurs.

La Grande-Bretagne a poursuivi une politique communautariste, citée en modèle. Et louer la diversité est une obsession au Royaume-Uni. Elle attire nombre de réfugiés. En 2022, le pays a enregistré une immigration nette record. Selon les chiffres de l’Office national des statistiques britannique, le solde migratoire cette année-là se monte à 606’000 personnes. Près d’un million sont arrivées de pays hors Union européenne.

Le 29 juillet un massacre au couteau à Southport commis par un jeune Rwandais (pris, au début, pour un musulman) a causé la mort de trois fillettes et fait dix blessés, dont huit enfants.

Après ce drame, des manifestations violentes contre l’immigration ont explosé. L’explication de «l’élite» à ce déchainement? Habituelle: «extrême droite, racistes, fascistes». Les remèdes exclusifs de Keir Starmer? Répression et condamnations féroces. Mais surtout pas la moindre tentative d’explication de l’origine des émeutes.

Les manifestants habitent des quartiers populaires pauvres, abandonnés par les pouvoirs. Ils ne sont pas politisés, pas représentés par un quelconque parti. C’était une réaction spontanée de «petits blancs», dont l’ultra droite a profité.

La submersion démographique, le coût, les incessantes revendications, les accusations entêtantes de discrimination et d’islamophobie lassent les populations victimes par ailleurs de faits divers violents. Le lien entre immigration et délinquance n’est plus que mollement contesté. Mais désormais au Royaume Uni, c’est la prison qui menace les expressions de lucidité. Des prisons dont on vide des criminels pour enfermer les «semeurs de haine».

Des manifestations «antiracistes» ont répondu à cette explosion de violence. Là comme ailleurs, les activistes «de souche» ont communié avec les musulmans sous les applaudissements de la police (bénéficiaire d’engagements favorisant la diversité), des médias et du gouvernement anglais.

Ces musulmans, «modérés» ou non, ne manifestent jamais contre les attentats islamiques, le sort des Iraniens et Iraniennes pendus, les victimes des talibans et plus généralement des chrétiens pourchassés et assassinés dans le monde par leurs coreligionnaires.

En politique, l’appel irrésistible de l’islam

Dans la plupart des pays européens, les politiciens en mal d’élection font des promesses aux musulmans et de plus en plus, des partis religieux se créent. Et comme être musulman c’est être quasi envoûté, le succès est au rendez-vous. Les maires de Londres, Birmingham, Blackburn, Oxford, Oldham, Luton par exemple, sont des adeptes du Prophète.

Pourtant, deux tiers des Britanniques (67%) considèrent que la politique d’immigration menée ces dernières années a contribué à la violence et 55% d’entre eux en disent autant de celle des récents gouvernements.

Côté islam, un sondage publié en avril par le think tank britannique Henry Jackson Society révèle que 32% des musulmans britanniques considèrent comme souhaitable l’instauration de la charia au Royaume Uni; seul un musulman sur quatre pense qu’«Israël a le droit d’exister» et plus de la moitié «confesse avoir de l’admiration pour le Hamas».

Selon Boualem Sansal: «Les islamistes savent que le Royaume-Uni tombera comme un fruit mûr… et que l’Europe suivra (…) Comme dans le jeu de quilles, la défaite du Royaume-Uni entraînera celle de nombreux pays européens. On verra là que l’Union européenne était conçue pour affaiblir les États pour les fondre dans un ensemble sans défense.»

L’Allemagne cherche la panacée

Parmi les pays qui oscillent dangereusement entre davantage de fermeté et plus de complaisance, j’appelle… l’Allemagne, 84 millions d’habitants.

Dernière tragédie en date, le 23 août. Un requérant d’asile syrien égorge trois Allemands venus assister aux 650 ans de la commune de Solingen et en blesse huit autres. Convaincus qu’il faut faire entrer dans les têtes que nous vivons une heureuse ère de mélange des populations, les gentils organisateurs avaient joint à cet anniversaire un Festival de la diversité.

Le 31 mai à Mannheim, l’attaque au couteau d’un immigré afghan avait déjà tué un policier, blessé gravement l’activiste Michael Stürzenberger, et fait quatre autres blessés.

Le débat sur la politique migratoire et la lutte contre le terrorisme est reparti de plus belle dans les deux cas. Le chancelier Olaf Scholz s’était déjà prononcé pour le renvoi de criminels dans leur pays, notamment Afghans et Syriens, jusqu’ici épargnés. Le drame de Solingen était la goutte de trop: vendredi 27 août, un avion a reconduit 28 Afghans dans leur pays. Mais en France par exemple, renvoyer des Afghans chez eux est impensable. Ils causent pourtant de nombreux problèmes. Dernier en date: le 30 août où une violente rixe entre ressortissants, en pleine rue du 18e arrondissement de Paris, a fait quatre blessés. Deux personnes armées de couteau ont été interpellées.

Du Londonistan à l’islamisation

En Allemagne, le ciel s’est couvert depuis 2015 où un million de réfugiés avaient été fêtés, suivis logiquement par de nombreux autres. Le pays reste une des deux destinations privilégiées des «migrants» avec la France.

Le 11 mai 2024 à Hambourg, plus de mille manifestants réclament un califat dirigé par la charia en Allemagne. Derrière cette mobilisation de Muslim Interaktiv, se cacherait le groupe islamiste Hizb ut-Tahrir interdit en Allemagne en 2003. Depuis son apparition en 2020, Muslim Interaktiv a repris ses revendications dénonçant par exemple «l’assimilation forcée», la «diffamation de l’islam», la «diabolisation des musulmans» ou encore la «dictature des valeurs».

Dans les milieux politiques, la manif fait scandale. Le responsable de la police de Hambourg annonce une enquête destinée à vérifier la conformité des affiches et slogans de la manifestation avec la loi.

Et les compromissions avec l’islam se poursuivent. Le 18 juin, le chef de la protection de la Constitution Thomas Haldenwang affirme que le califat est «une forme d’État envisageable». Pour le chef du service de renseignement intérieur aussi, la revendication d’un État islamique relève de la liberté d’expression et ne constitue pas un motif d’interdiction. Le chef de la police de Hambourg était au diapason: «Notre droit de réunion n’est pas seulement un bien précieux, mais il a aussi des limites très larges, et tous les juristes étaient d’accord pour dire qu’une interdiction n’était pas justifiée.»

Scandale, puis rétropédalage. Le pays révise son cadre juridique sur le «droit d’expulser» certains criminels.

Comment gérer et limiter les réfugiés ?

L’Allemagne est confronté aux mêmes écueils que l’ensemble des pays développés et tente de mettre en œuvre des mesures similaires: réduction des aides, durcissement des contrôles aux frontières, accélération du processus de demande d’asile, élargissement des droits de la police lors des reconduites, tentatives de convaincre les pays de départ de reprendre leurs citoyens, examen d’une possible sous-traitance des demandes d’asile en dehors du pays.

Une partie des conditions nécessaires à l’accession à la citoyenneté ont été modifiées. Les candidats sont désormais confrontés lors de leur examen à des questions intégrant «les thèmes de l’antisémitisme, du droit de l’État d’Israël à exister et de la vie juive en Allemagne», explique un texte du ministère de l’Intérieur. L’approbation ou la promotion d’un seul acte terroriste suffira à l’avenir pour remplir les conditions d’une expulsion… Combien en fallait-il auparavant?

Le coût de l’aide sociale explose.

Le 6 août, le président fédéral allemand du syndicat de police Jochen Kopelke s’est prononcé en faveur d’une «amnistie des couteaux» avec récompense à ceux qui les abandonnent. Pour la remise d’un couteau papillon interdit, il imagine offrir un an d’abonnement à Netflix.

Le 19 août, le chef de la police fédérale, Dieter Romann, a déclaré  que « par rapport à la population totale, les non-allemands sont statistiquement six fois plus susceptibles d’utiliser des couteaux lors d’une attaque que les citoyens allemands. Et pour les crimes sexuels, le risque est sept fois plus élevé »L’an dernier, le 4 février, environ 3500 personnes ont participé à une manifestation organisée afin de dénoncer le geste de Rasmus Paludan, homme politique suédo-danois, qui avait brûlé un Coran à deux reprises le mois précédent. À l’origine de cet appel à manifester, figurait l’organisation Muslim Interaktiv.

Une tricherie a fait tiquer de nombreux Allemands: une enquête de RTL a révélé que des centaines d’Afghans vont passer des vacances dans leur pays d’origine grâce à diverses astuces administratives et l’aide des autorités iraniennes.

Des migrants afghans enregistrent des vidéos d’adolescentes en Allemagne et les partagent sur TikTok. Des centaines d’Afghans commentent avec des propos abjects.

En Occident, les autorités aiment croire que les réfugiés sont forcément des opposants à l’idéologie des talibans. Des dizaines de milliers de jeunes hommes (dont nombre de prétendus « mineurs » non accompagnés) reçoivent donc facilement le droit de s’installer en Europe. Mais là encore, les faits divers dus à ces nouveaux venus baignés dans l’une des pires versions de l’islam se multiplient.

Prochain article : «Immigration: les pays européens cherchent la pédale de frein»

Grande-Bretagne : le christianisme en recul, l’islam en progression

Un recensement effectué au Royaume-Uni montre que, pour la première fois depuis plus de mille ans, moins de la moitié de la population s'identifie comme chrétienne. En revanche, le nombre de citoyens musulmans est en augmentation. La déchristianisation de la société britannique suscite peu de regrets.

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Pour la première fois depuis plus de mille ans, la proportion de chrétiens est inférieure à 50 %.

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Lorsque la question sur la religion a été posée pour la première fois en 2001, 72 % des habitants d'Angleterre et du Pays de Galles se décrivaient encore comme chrétiens ; en 2011, ce chiffre était de 59 %. La tendance à la baisse est rapide et ininterrompue. Cette évolution est apparemment plus rapide que ne le prévoient les chercheurs du Pew Research Center, basé aux États-Unis, qui s'attendent à ce que moins de 50 % d'entre eux soient chrétiens en 2040. Le pourcentage de personnes déclarant "aucune religion" dans le recensement est passé de 15 à 25 % (2011). À Londres, une métropole de 8 millions d'habitants, moins de la moitié de la population seulement se décrivait comme chrétienne il y a encore dix ans.

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L'islam en pleine expansion

L'islam est clairement en progression. Plus d'un million de musulmans vivent à Londres et, il y a dix ans, selon le recensement, ils représentaient plus de cinq pour cent de la population de l'Angleterre et du Pays de Galles dans son ensemble. Dans certaines villes du nord de l'Angleterre, comme Oldham, au nord de Manchester, plus de 20 % de la population est musulmane. Cela crée également des conflits, comme récemment dans une école près de Bradford, où un professeur de religion, après avoir montré un dessin de Mahomet en classe, a dû se cacher après des manifestations de colère et des menaces de mort de la part des musulmans. Dans certaines communautés, les islamistes sont parvenus à dominer, et une islamisation rampante est en cours.

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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Die-tagespost.de

 

 

Grande-Bretagne : Le professeur qui a montré des caricatures de Mahomet est à présent en fuite avec sa campagne. “Il est menacé et son nom circule sur les réseaux sociaux.”

Nous parlions de cette affaire déjà ici.

Les musulmans manifestaient aux cris d'Allah Akbar devant l'école.


Depuis jeudi 25 mars, des musulmans manifestent devant une école de la banlieue de Leeds, dans le centre de l’Angleterre. Ils réclament l’expulsion d’un enseignant qui aurait montré en classe une caricature du prophète de l’islam.

 

 

Depuis jeudi 25 mars au matin, un professeur de religion britannique est en fuite. Cet enseignant, en poste depuis près de trente ans à la Batley Grammar School, dans la banlieue de Leeds (centre de l’Angleterre), a dû quitter son domicile avec sa compagne et demander protection à la police. Il est menacé et son nom circule sur les réseaux sociaux.

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Le soir même, des parents d’élèves se sont plaints auprès de l’école, située dans une ville où les musulmans représentent 41 % de la population.

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La Croix

Via Fdesouche

 

Un sculpteur britannique prend la défense d’une Djihadiste : “Elle est victime de racisme”

Le sculpteur britannique Anish Kapoor a jugé, lundi, que Shamima Begum, qui avait rejoint le groupe djihadiste État islamique en Syrie et a été déchue de sa nationalité britannique, n’aurait pas été traitée de la même façon si elle avait été blanche.

(...)

«Qu’est-il arrivé au pardon chrétien? Cela ne s’applique pas à une femme - et à une femme à la peau foncée? Il semble que des règles différentes s’appliquent», accuse-t-il.

(...)

20min.ch


Lorsque les musulmans de l'Etat islamique massacrent les minorités : aucun musulman pour demander pardon, aucune limite dans l'horreur, aucun avocat, aucun "droit de l'homme", aucune ONG pour pleurer.

A noter que dorénavant les "épouses des djihadistes" ne sont pas djihadistes elles-mêmes selon le politiquement correct. Ah bon? Elles sont des victimes pendant qu'on y est?

Rappels :

Amnesty International: « les jihadistes de l’Etat islamique ne doivent pas être exécutés. »

L’Etat islamique célèbre l’Aïd en massacrant les prisonniers comme des moutons dans l’une des pires vidéos jamais vues (Attention vidéo choquante)

L’Etat islamique sur l’Internet italien : « Tuer les mécréants est une forme de culte à Allah »

Djihadiste « britannique » : l’« innocente femme au foyer » Shamima Begum était une cruelle policière de la charia et a contribué à des attentats suicides

Suisse : Les rapatriés de l’Etat Islamique n’ont même pas été condamnés à de la prison ferme

Indonésie : 4 chrétiens tués, dont un décapité et un autre brûlé vif, par des islamistes liés à l’État islamique

Syrie : Emprisonnés, des jeunes garçons de l’Etat islamique scandent qu’ils vont écraser la tête des non-croyants

Confession d’un musulman de l’Etat islamique : « J’ai tué environ 900 personnes et j’ai violé environ 200 filles et femmes. »

Nigéria : L’Etat islamique filme l’exécution d’un chrétien… par un jeune garçon

Syrie : Proche de la défaite, l’Etat islamique décapite encore 50 esclaves sexuelles yézidi

Un sympathisant de l’Etat islamique obtient l’asile en Suisse. Le politicien vert-libéral Beat Flach déclare être « fier de cette décision ».

Etat Islamique : un djihadiste français aurait acheté des esclaves sexuelles grâce à des crédits à la consommation en France et les prestations de la CAF

L’Université d’Oxford crée une nouvelle bourse d’études réservée aux Noirs

L’Université d’Oxford lance une nouvelle bourse pour les étudiants noirs uniquement – deux ans après avoir snobé l’offre de la star du rap Stormzy de financer un programme similaire.

  • Le programme Black Academic Futures proposera jusqu’à 10 nouvelles bourses
  • Stormzy a proposé de payer pour que deux jeunes adolescents noirs fréquentent Oxford en 2018
  • Cependant, le rappeur a affirmé que l’université “ ne voulait pas s’impliquer ”
  • La direction a nié cela, mais a déclaré plus tard qu’elle avait pris la “ responsabilité de passer à côté d’une opportunité ”

Le programme Black Academic Futures offrira jusqu’à 10 nouvelles bourses aux étudiants britanniques qui commencent leurs études l’année prochaine.

Les patrons d’université admettent que les étudiants noirs britanniques des cycles supérieurs sont particulièrement sous-représentés à Oxford, représentant une proportion d’environ 1,5% de tous les étudiants de troisième cycle, contre 4% dans toutes les universités.

Le programme intervient moins de deux ans après que le rappeur Stormzy a proposé de payer pour que deux jeunes adolescents noirs fréquentent Oxford, mais a affirmé que l’institution d’élite “ ne voulait pas s’impliquer ”. […]

Daily Mail

Via fdesouche

Londres : le maire Sadiq Khan souhaite modifier des noms de rues pour mieux refléter la diversité de la population

Sadiq Khan, le maire de Londres, va créer une Commission pour la diversité dans l’espace public. Elle veillera à ce que les monuments, noms de rue, d’immeubles ou de lieux publics reflète davantage la diversité culturelle et ethnique de la capitale.

 

 

Via Fdesouche

Black Lives Matter : La chaîne de magasins Marks et Spencer s’excuse pour avoir utilisé le mot “tabac” pour désigner la couleur de l’un de ses soutiens-gorge

Suite à une plainte affirmant que ce terme a des "connotations négatives", la chaîne de magasins Marks & Spencer s'excuse d'avoir utilisé le terme "tabac" pour la couleur des soutiens-gorge de sa ligne de lingerie.

  • Marks & Spencer s'est excusé d'avoir qualifié de "tabac" une nuance de soutien-gorge de sa ligne de lingerie
  • En juin dernier, Kusi Kimani, 29 ans, originaire de l'East Sussex, s'est plainte pour la première fois au magasin de la rue principale de la connotation négative que ce mot comporte
  • Cette semaine, le populaire détaillant britannique a déclaré au Mirror qu'il abandonnerait le nom de la couleur du soutien-gorge.
  • Le site web propose toujours le populaire soutien-gorge rembourré à 12 £ en vente dans trois teintes, sous la dénomination "Tobacco, Fudge and Cinnamon".

Marks & Spencer a présenté ses excuses pour avoir qualifié de "tabac" une nuance de soutien-gorge de sa ligne de lingerie, après avoir reçu une plainte concernant la connotation négative de ce mot.

Précisant que cela semblait particulièrement cru puisqu'elle avait remarqué cette description juste deux semaines après la mort de George Floyd, Madame Kimani a déclaré au Mirror Online : "Pourquoi ne pas appeler cela "cacao", "caramel" ou "chocolat" - des desserts sucrés ? Mais ils ont utilisé "tabac". J'ai été choquée quand j'ai vu ça.

C'est blessant pour moi et mes amis. Si une jeune fille qui est déjà mal à l'aise avec la couleur de sa peau (la voit), elle se sentira encore davantage aliénée.

Le fait de voir que le terme "tabac" est associé à leur teint les fera se sentir indésirables par la société. Le tabac est considéré par la société comme mauvais, malsain et très susceptible de tuer - "fumer tue".

Les nuances plus claires de la ligne sont décrites comme "Caramel et Cannelle".

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Dailymail.co.uk

 

Royaume-Uni : le chef de l’antiterrorisme veut bannir le terme “terrorisme islamiste” car les islamistes “dénaturent leur religion”

Le chef de l’unité de lutte antiterroriste britannique a suggéré de désigner les djihadistes comme des “terroristes qui dénaturent les buts de la religion”…

Au Royaume-Uni, les actes de terrorisme islamiste commis par des djihadistes pourraient… ne plus être nommés comme tels. Le quotidien britannique The Times rapporte en effet que la police étudie l’interdiction d’utiliser ces expressions dans la qualification des attaques commises par des terroristes islamistes, à la demande de l’Association nationale des policiers musulmans du Royaume-Uni. En cause, la connotation péjorative que cela représente pour la communauté musulmane…

Des « adeptes de l’idéologie d’Oussama Ben Laden »

Cette hypothèse a très sérieusement été mise sur la table en juin dernier par le chef de l’unité de lutte antiterroriste Neil Basu, en présence de 70 survivants d’attaques terroristes, de proches des victimes, d’experts et d’académiciens. Neil Basu a par exemple suggéré de qualifier les terroristes qui ont perpétré l’attentat du métro de Londres en 2005… « d’adeptes de l’idéologie d’Oussama Ben Laden ». Pire, il a proposé que les auteurs de l’attaque du Pont de Londres en 2017 soient désignés comme des « terroristes qui dénaturent les buts de leur religion » ! En bref, la police britannique envisage bien d’abandonner les termes de « terrorisme islamiste » et de « djihadistes » pour décrire les attaques commises par des terroristes islamistes et des djihadistes.

L’Association nationale des policiers musulmans du Royaume-Uni, à l’origine de cette demande, estime en effet que ces termes contribuent à la création de stéréotypes négatifs qui appellent à la discrimination contre les musulmans et à l’islamophobie. Comble du surréalisme, l’association a fait part de son incompréhension du fait que les terroristes d’extrême droite comme Anders Breivik n’ont pas été présentés comme « chrétiens » ou même… « croisés ».

Valeurs Actuelles

Grande-Bretagne : Le prince Harry s’excuse pour le racisme institutionnel

Mercredi, Harry a rendu hommage aux jeunes qui luttent contre l'inégalité raciale en soulignant son engagement personnel dans la lutte contre le racisme institutionnel.

Dans un message surprise adressé aux lauréats du prix Diana - qui célèbre l'impact que les jeunes peuvent avoir sur leurs communautés - Harry a reconnu que le racisme reste endémique dans la société.

 

 

 

Dans son discours très remarqué, Harry s'est excusé auprès de la jeune génération de ne pas avoir fait plus pour rendre le monde meilleur.

Harry a parlé de lui et de la duchesse du Sussex : "Je veux que vous sachiez que nous sommes déterminés à faire partie de la solution et du changement que vous êtes tous en train de mener."

"Le moment est venu et nous savons que vous pouvez le faire".

Ses mots sont venus après que Meghan, qui est devenue la première personne métisse à épouser un haut dignitaire royal, ait prononcé un discours passionné sur la question des vies noires dans son ancien lycée après la mort de George Floyd aux États-Unis, partageant sa "dévastation absolue" face aux divisions raciales.

[...]

"Moi aussi, je suis désolé. Désolé que vous n'ayez pas la place que vous méritez dans ce monde."

"Le racisme institutionnel n'a pas sa place dans nos sociétés, et pourtant il est toujours endémique.

"Les préjugés inconscients doivent être reconnus sans reproche, afin de créer un monde meilleur pour vous tous."

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Standard.co.uk


Rappels :

Le prince Harry a rendu hommage aux victimes de l’attentat en… partageant le repas du Ramadan avec des musulmans

 

Le système de santé publique du Royaume-Uni affiche une femme voilée au centre de Londres

Note : La National Health Service (NHS) est le système de la santé publique du Royaume-Uni (Wikipedia).


Le Dr Farzana Hussain, médecin-chef du projet Surgery, et Sarah Jensen, qui travaille pour le East London Health Trust, ont été photographiées par le célèbre photographe Rankin

Ces deux personnes ont été sélectionnées pour être photographiées dans le cadre de la collection, qui ne met en lumière que quelques-uns des membres du personnel qui ont joué un rôle essentiel durant la pandémie de coronavirus.

 

 

 

 

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Newhamrecorder.co.uk

Manchester (GB) : l’auteur de la banderole « White lives matter », ainsi que sa compagne, ont été virés de leur travail

Nous en parlions déjà dans cet article.


 

Le supporter de Burnley qui est à l’origine de la banderole « White Lives Matter » au-dessus du stade d’Etihad a été licencié de son travail. Sa compagne, Megan, a également été sanctionnée.

Jake Hepple, 24 ans, a été licencié de son poste de soudeur chez Paradigm Precision, basé dans le Lancashire, cet après-midi, l’entreprise ayant déclaré qu’elle « ne tolérait ni n’approuvait le racisme sous aucune forme ».

M. Hepple a en effet profité d’une interview avec MailOnline pour annoncer qu’il ne regrettait pas son geste. (…)

Il a déclaré : « Cette bannière a été inspirée par le mouvement Black Lives Matter. (…) Je crois qu’il est également important de reconnaître que les vies blanches comptent aussi. C’est tout ce que nous voulions dire ».

(…) Sa petite amie Megan Rambadt, 21 ans, a également fait l’objet de critiques pour certains de ses messages racistes sur les réseaux sociaux et a été suspendue de son emploi d’esthéticienne.

L’homme a déclaré que la police lui a rendu visite à son domicile mardi soir pour lui dire qu’il ne serait pas poursuivi au pénal. Il a ajouté qu’ils lui ont également offert une protection au cas où lui ou sa famille serait menacé à l’avenir à cause de la banderole.

Il a ajouté : « La police m’a dit que je n’avais commis aucun crime et que je n’avais rien fait de mal. En fait, ils m’ont demandé si j’allais bien et si je voulais une protection, juste au cas où des gens essaieraient de s’attaquer à moi. Je ne comprends pas pourquoi on me traite comme un criminel (…) ».

Daily Mail


La mère du supporter de Burnley qui a confectionné la banderole « White Lives Matter » aurait tellement honte des actions de son fils qu’elle n’est plus capable d’aller travailler.

Son père, George, affirme que le comportement de son fils a empêché sa femme d’aller travailler à cause des réactions de rejet.

(…) Mirror



La banderole « White Lives Matter » a été fortement critiquée, alors que la police cherche les responsables. « La police a été en liaison avec les autorités aériennes et le service des poursuites judiciaires de la Couronne au sujet de la bannière « White Lives Matter »  » explique la police du Lancashire. « Après avoir analysé toutes les informations disponibles à propos de cet incident, nous avons conclu qu’aucune infraction pénale n’avait été commise à ce jour » conclut-elle.

Toutefois, « nous reconnaissons que cette bannière aura offensé beaucoup de personnes » a ajouté Russ Procter, le chef de la police régionale. « En eux-mêmes, les mots (« White Lives Matter ») ne sont pas insultants » « C’est juste le contexte. Ils montrent un rejet du débat en cours » a-t-il ajouté.

(…) Le Point

Via Fdesouche

Grande-Bretagne : Une assistante sociale révèle les horribles coups donnés par son petit ami

Une jeune travailleuse, ayant subi des blessures qui ont changé sa vie à la suite d'une attaque brutale de son petit ami, s'est confiée pour nous parler de sa lutte contre les violences domestiques.

  • Jade Herbert, 25 ans, a été brutalement attaquée par son petit ami Fidal Robinson
  • La travailleuse sociale a été hospitalisée pendant un mois après avoir subi des blessures au visage
  • Robinson, 23 ans, l'a attaquée avec plusieurs objets ménagers, dont une télévision
  • Le jeune homme de 23 ans, originaire de Manchester, a été condamné à 15 ans de prison

Jade Herbert, 25 ans, a dû passer un mois à l'hôpital après avoir subi de graves cicatrices au visage, à la tête et à la main gauche, suite à l'agression de Fidal Robinson, 23 ans, avec une carafe en verre, une chaise, une télévision, une paire de ciseaux et un couteau à pain.

Entre octobre et décembre de l'année dernière, Robinson a attaqué la travailleuse sociale à plusieurs reprises depuis le début de leur relation en septembre.

Robinson, de Monsall, Manchester, a été condamné à 15 ans de prison par le tribunal de la Couronne de Manchester et a également reçu une ordonnance d'interdiction à vie, ce qui signifie qu'il ne peut pas contacter Mme Herbert.

La jeune femme a déclaré à la police : "L'incident m'a laissé un sentiment de rupture et je ne suis plus la même personne.

[...]

 

 

Je reçois le soutien d'une équipe de santé psychologique, je prends des antidépresseurs et j'espère commencer bientôt une thérapie.

J'ai perdu confiance en moi pour sortir en public et je ne retrouverai peut-être jamais l'usage complet de mon bras gauche, ce qui me causera des problèmes pour cuisiner, et je suis retournée vivre chez mes parents adoptifs, ce qui me donne encore plus l'impression d'avoir perdu mon indépendance.

Le couple avait commencé une relation après s'être rencontrés sur Snapchat, mais le comportement de Robinson est vite devenu violent, Mme Herbert le décrivant comme un "égoïste immature".

Robinson, qui possède un long casier judiciaire comprenant des vols, des attaques contre le personnel de la prison et une agression contre sa propre mère en 2011, devenait violent si Mme Herbert voulait sortir le soir.

Le jeune homme de 23 ans a également attaqué la sœur de Mme Herbert, Leah, lorsqu'il l'a rencontrée pour la première fois en octobre, après avoir pris de la cocaïne avec un autre ami.

[...]

"Je ne peux pas compter le nombre de fois qu'il m'a frappée, il m'a frappée sur tout le corps."

Il m'a ensuite poignardée et m'a tailladée avec des ciseaux, il m'a piétinée et il a commencé à me frapper avec la carafe sur la tête.

"J'avais une grande chaise en fonte qu'il m'a jetée tout en me donnant des coups de pied et de poing.

Je suis allé aux toilettes où il m'a frappée encore davantage. J'étais par terre et je pensais qu'il allait s'arrêter, mais il a lancé la télé sur ma tête alors que j'étais par terre et il y avait du sang partout.

Je lui ai demandé si je pouvais aller chez ma sœur, mais il m'a dit : "Si je ne peux pas t'avoir, personne ne t'aura."

Il a alors saisi un couteau à pain et m'a fendu le visage, les bras, la main et la jambe. J'ai cru que j'allais mourir. J'ai attrapé un couteau et je l'ai jeté.

Il me frappait encore et il m'a traîné au bas des escaliers. J'ai essayé de prendre le couteau, mais je ne savais pas où je l'avais jeté.

J'ai crié à l'aide et j'ai dit "Appelez la police".

Robinson a été condamné après avoir avoué qu'il avait tenté de commettre un meurtre [...].

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Dailymail.co.uk

 

Grande-Bretagne : une maire de gauche satisfaite à l’idée que Boris Johnson se trouve aux soins intensifs

Article datant du 7 avril 2020

Une maire travailliste fait face à une vive réaction pour avoir déclaré que Boris Johnson "mérite pleinement" son combat en soins intensifs contre le coronavirus.

Elle n'est que l'un des nombreux trolls de gauche qui ont pris pour cible le Premier ministre en abusant des médias sociaux.

M. Johnson a été transféré dans une unité de soins intensifs de l'hôpital St Thomas de Westminster la nuit dernière, car ses symptômes se sont aggravés. Il avait été admis à l'hôpital dimanche.

Mais alors qu'il lutte contre le virus mortel Covid-19, les gens ont eu recours aux médias sociaux pour l'attaquer. La conseillère Sheila Oakes, qui est actuellement maire de Heanor dans le Derbyshire, a déclaré : "Désolé, il le mérite totalement et c'est l'un des pires premiers ministres que nous ayons jamais eus."

 

 

L'utilisateur de Twitter @bibagirl a écrit : "Pauvre Boris ? Non. Pauvre NHS [NDLR : National Health Service]. J'emmerde cet homme débraillé."

Un autre utilisateur, sous le pseudo @Corby2209, a écrit : Stormzy a dit fuck Boris et le Coronavirus fera le reste."

Miguel Suarez a tweeté : "Boris Johnson aux soins intensifs, yeah!"

Boris Johnson a été transférée aux soins intensifs à 19 heures en raison de difficultés respiratoires - ce qui l'a obligé à "déléguer" au ministre des affaires étrangères Dominic Raab les rênes du gouvernement.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Meaww.com / Dailymail.co

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Londres : « La population blanche diminue (-600.000) tandis que celle des minorités augmente (+1.2 million). Nous sommes en train de gagner ! ». Elle moquait l’idée de grand remplacement.

Traduction du premier extrait :

Des idées comme le grand remplacement, qui est vraiment le mariage parfait entre le racisme islamophobique, l’antisémitisme et le nationalisme blanc [serait] une conspiration pour battre démographiquement les peuples blancs.

Traduction du second extrait :

La population britannique blanche a diminué de 600.000 personnes tandis que la population des minorités a augmenté de 1.2 million de personnes. Donc oui les gars, nous sommes en train de gagner !

 

 

 

 

Royaume-Uni – La rédactrice en chef de Novara Media, Ash Sarkar*, a été confrontée à une polémique sur les réseaux sociaux après la réapparition d’un clip sur le thème de l’intégration à Londres. Mme Sarkar a été accusée de racisme pour s’être exclamée « Oui les gars, nous sommes en train de gagner » après avoir noté la diminution de la population britannique de souche à Londres lors d’un clip en 2016.

« La population britannique blanche a diminué (-600.000 personnes) tandis que la population des minorités a augmenté (+1.2 million de personnes). Donc oui, nous gagnons ! »

Express.co.uk

*Ash Sarkar est une journaliste et militante communiste, contributrice au Guardian et à The Independent.

via Fdesouche

Exeter (Grande-Bretagne) : Une professeur d’université qualifiée de transphobe pour avoir écrit que “seules les femmes ont des règles”

Une professeur d'économie de l'université d'Exeter est qualifiée de transphobe par des étudiants LGBT et féministes après avoir tweeté "seules les femmes ont leurs règles" en réponse à un utilisateur qui affirmait le contraire.

  • Le Dr Eva Poen, professeur à l'université d'Exeter, a été accusée de transphobie
  • Des étudiantes féministes et LGBT lui ont reproché le tweet "Seules les femmes ont leurs règles".
  • Des étudiants en furie ont déclaré qu'elle "stigmatisait ouvertement les trans".

Une enseignante d'économie à l'université a été accusée de transphobie par des étudiantes féministes et LGBT en raison de son tweet dans lequel elle affirmait que "seules les femmes ont leurs règles".

 

 

Furieux, les étudiants de l'université d'Exeter ont condamné la Doctoresse Eva Poen, l'accusant de "distinguer ouvertement les personnes trans".

La dispute a éclaté lorsque le Dr Poen a répondu à un tweet d'une utilisatrice de Twitter qui déclarait : "Tous ceux qui ont leurs règles ne sont pas des femmes. Les femmes n'ont pas toutes leurs règles. Changeons notre langage.".

La professeur, qui nie fermement les accusations de transphobie, a répondu : "Seules les femmes ont leurs règles. Seules les femmes passent par la ménopause."

Dans un autre tweet, en réponse à la compagnie d'assurance Aviva faisant la promotion de l'inclusion des LGBT+ dans le sport, le Dr Poen a écrit : "Gardons le sport féminin pour les PERSONNES FEMININES."

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Dailymail.co.uk

Nos remerciements à Aldo Sterone et à Victoria Valentini

Londres : Le jihadiste considérait les femmes Yazidis comme des esclaves qu’on pouvait violer “conformément au Coran”

Sudesh Amman partageait des vidéos violentes et de la propagande avec sa famille et ses frères et sœurs sur Internet avant d'attirer l'attention de la police.

Sudesh Amman n'avait que 17 ans, il était étudiant et vivait chez lui quand il a commencé à partager du matériel extrémiste sur Internet dans un groupe WhatsApp avec sa famille, ses amis et même sa petite amie.

Dans des messages avec un membre de sa famille, Amman a laissé entendre que les femmes Yazidi étant des esclaves, le Coran permettait de les violer.

Il a même envoyé des vidéos de décapitations à sa petite amie - qui, selon lui, devait tuer ses parents "kuffar" [NDLR : Le musulman non content de s'approprier une femme non musulmane l'incitait à tuer ses propres parents.].

Amman lui a dit : "Si tu ne peux pas fabriquer de bombe parce que ta famille, tes amis ou des espions t'observent ou te soupçonnent, prends un couteau, un molotov, des bombes assourdissantes ou une voiture la nuit et attaque les touristes (les croisés), la police et les soldats du taghut (NDLR : taghut = qui est en dehors d'Allah), ou les ambassades occidentales dans chaque pays où que tu te trouves sur cette planète."

Son procès à Old Bailey a révélé qu'il possédait également des manuels de fabrication de bombes et un document intitulé "Techniques sanglantes de combat au couteau brésilien".

Il a été emprisonné pendant trois ans et quatre mois, mais avec les lois actuelles, il a été automatiquement libéré à la moitié de sa peine. [...]

Depuis sa libération le mois dernier, il était sous surveillance et soumis aux conditions les plus strictes car il était toujours radicalisé. [...]

Amman avait attiré pour la première fois l’attention de la police en avril 2018, lorsque des agents ont été alertés de publications de matériel extrémiste sur Telegram sous le nom de compte @strangertothisworld

Les spécialistes de la police scientifique ont déchiffré l'identité d'Amman et les officiers ont décidé de l'arrêter afin de procéder à une analyse de ses communications électroniques.

L'équipe a récupéré plus de 349 000 fichiers multimédias issus des appareils numériques d'Amman, y compris des manuels sur les techniques de combat, le combat au couteau et la fabrication de bombes. Ils ont également passé au crible plus de 180 000 lignes de messagerie sur Skype, identifiant qu’il avait partagé quatre liens vers des vidéos illustrant la violence graphique de l'Etat islamique.

Il a également fait part à sa famille, à ses amis et à sa petite amie de ses opinions fortes et souvent extrémistes concernant le djihad, le "kuffar" et son désir de perpétrer une attaque terroriste.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Telegraph.co.uk

Nos remerciements à Daniel Brand

Londres : Muhammad R. attaque un policier à coups de machette. Condamné pour blessures volontaires graves mais pas pour tentative de meurtre

24/01/2020

Un agresseur à la machette « arrogant et sans remords » qui a laissé un policier avec des fractures au crâne et des entailles profondes à la tête a été condamné à 16 ans de prison.
[…]
Muhammad Rodwan a été reconnu coupable jeudi à l’Old Bailey de blessures volontaires graves. Le jury l’a innocenté du chef de tentative de meurtre et de possession d’une arme offensive.
[…]

SkyNews

 

 

 

Un policier londonien a été grièvement blessé au cours d’une intervention, dans la nuit du mercredi 7 au jeudi 8 août. Un homme âgé de 56 ans l’aurait frappé à la tête avec une machette. Le pronostic vital de l’officier n’est pas engagé. L’agresseur présumé a été interpellé.

[…]

Le policier parvient à utiliser son Taser

« Il était très agressif. Il a finalement tenté de repartir en remontant dans son fourgon. Une violente bagarre a alors éclaté. Il a sorti une machette et a frappé notre officier à la tête et au corps », a confié un responsable de la police londonienne précisant que la victime était grièvement blessée mais que ses jours n’étaient pas en danger.

Le policier touché a tout de même réussi à utiliser son pistolet à impulsion électrique contre son agresseur. Ses collègues ont ainsi pu interpeller le quinquagénaire.

[…]

Ouest France


[…]

Muhammad Rodwan, 56 ans, est accusé de tentative d’assassinat sur l’officier de police Stuart Outten, 28 ans.

Il est également accusé de possession d’arme et a été placé en détention provisoire pour comparaître devant la cour Old Bailey dans quatre semaines.

[…]

My London

Via Fdesouche

 

Le maire musulman de Londres Sadiq Khan après moult attentats islamistes : “La diversité nous rend plus forts”

Tweet du maire de Londres Sadiq Khan, d'origine pakistanaise et évidemment musulman :

La diversité nous rend plus forts.
La diversité nous rend plus intelligents.
La diversité fait de nous ce que nous sommes.

 

 

Et cela alors que 2019 s'est achevé sur un attentat islamiste à Londres.Visiblement la gauche n'a plus que des slogans à offrir pour inverser la réalité, un parallèle frappant avec les slogans de l'état totalitaire cités dans 1984, le roman de George Orwell.

 

Dans le même genre, une autre politicienne de gauche, d'origine pakistanaise, Naz Shah, s'était déjà distinguée par son retweet, ordonnant aux filles blanches violées collectivement par des Pakistanais de se taire afin de ne pas mettre en péril le multiculturalisme :

« Ces filles abusées à Rotherham et ailleurs devraient juste fermer leur gueule. Pour le bien de la diversité ! »

 

 

Elle l'a ensuite effacé en attribuant ce retweet à une erreur accidentelle. Elle n'a jamais été désapprouvée par son parti pour ce retweet, tandis que ceux ayant dénoncé l'affaire des viols ont été exclus de ce parti de gauche.

Pire, la députée Naz Shah, avait à cette occasion écrit une lettre ouverte au Sun, critiquant des articles traitant de ces viols qu'elle estimait islamophobes, ce qui démontre que ce retweet n'était visiblement pas une erreur accidentelle.

 


Rappels :

Sadiq Khan (maire de Londres) après l’attentat islamiste : « l’un de nos points forts est notre diversité »

Londres : Après l’attaque du Soudanais Salih Khater, Sadiq Khan veut bannir les… voitures

Sadiq Khan, maire musulman de Londres: « Trump tient le même langage que l’Etat islamique. »

Londres: Sadiq Khan s’oppose à la visite de Donald Trump mais milite pour l’accueil des clandestins musulmans

 

 

 

 

Sheffield (G-B) : 9 prédateurs sexuels jugés pour avoir violé une fille de 15 ans, qui a été ignorée par les autorités malgré plusieurs signalements

Royaume-Uni – Neuf hommes, pour la plupart originaires de Sheffield, sont jugés pour les viols répétés d’une adolescente de 15 ans. Ils la traitaient « comme un morceau de viande » et la maltraitant « pour leur propre satisfaction sexuelle ».

Un dixième homme est accusé de conspiration visant à pervertir le cours de la justice.

Les abus ont été perpétrés alors que l’adolescente victime était ivre ou droguée, une drogue fournie par le gang de prédateurs sexuels.

En 2011, la plaignante a déclaré à la police qu’elle avait été violée et abusée, mais aucune enquête n’a été menée et aucun crime n’a été enregistré, a déclaré la Cour de la Couronne de Sheffield.

Lorsqu’elle s’est plainte une deuxième fois d’avoir été violée la même année, « l’enquête a été trop courte », a estime le procureur Peter Hampton.

M. Hampton a déclaré : « Pour ces hommes, elle n’était rien d’autre qu’un objet. » « Lorsqu’elle a parlé aux autorités, elle a constaté qu’aucune mesure n’était prise pour mettre fin à son calvaire », a-t-il ajouté.

(…)

Les accusés :

  1. Usman Din
  2. Tony Juone
  3. Kamaran Mahmoodi
  4. Shangar Ibrahimi
  5. Farhad Mirzaie
  6. Kawan Omar Ahmed
  7. Saman Mohammed
  8. Jasim Sammad Mohammed
  9. Nzar Anwar
  10. Saba Moussa Mohammad

(…)

Daily Mail

Via Fdesouche


Rappels :

Royaume-Uni : 18.700 jeunes filles exploitées sexuellement en 2018-2019 par des gangs essentiellement pakistanais

Grande-Bretagne : à Telford, des centaines de jeunes filles battues, violées, vendues et parfois tuées par des gangs ethniques depuis 40 ans

Grande-Bretagne : trois jeunes femmes trouvent des pilules blanches cachées dans leur kebab acheté au Istambul Grill

Deux hommes âgés de 30 et 42 ans ont été arrêtés après que trois jeunes femmes aient trouvé des comprimés cachés dans un kebab à emporter.

Selon la police, les femmes, toutes dans la vingtaine, ont trouvé un certain nombre de comprimés dans leur nourriture alors qu'elles rentraient chez elles après une soirée.

Elles avaient acheté les kebabs au Istanbul Grill, à Bognor Regis, dans le West Sussex, aux premières heures du dimanche. Elles ont rapidement signalé cette découverte choquante à la police qui a depuis arrêté deux hommes de la région, les soupçonnant d'avoir administré du poison dans l'intention d'infliger des lésions corporelles graves. Les deux hommes se trouvent toujours en garde à vue.

Un commentaire sur Internet raconte l’expérience d’une des victimes : Son amie mangeait le kebab à l'aide d'une fourchette lorsqu'elle est tombée sur deux pilules, avant de cracher un morceau de nourriture et d'en trouver une troisième.

La victime, qui ne peut être mentionnée pour des raisons juridiques, a déclaré : "Nous avons acheté un kebab à l'Istanbul Grill, à Bognor. Quand nous sommes rentrés, mon amie mangeait son kebab et a trouvé une capsule bleue dans le kebab. Heureusement, elle le mangeait avec une fourchette, c'est comme ça qu'elle a trouvé la pilule.

Nous avons ouvert la capsule et il y avait quatre petits comprimés blancs à l'intérieur. [...] On a appelé la police et ils sont venus prendre nos dépositions."

La police a cherché à rassurer le public. L'inspecteur en chef Jon Carter, de la police du Sussex, a déclaré : "Je comprends que cet incident puisse susciter des inquiétudes. Cependant, la police a pris des mesures rapides pour protéger le public avec l'arrestation de deux personnes et travaille avec des partenaires, en particulier au sein du Conseil de district, pour renforcer les mesures de protection.

"La police a rapidement pris des mesures pour protéger le public en arrêtant deux personnes [...]." Il a ajouté : "L'enquête n'en est qu'à ses débuts, et on ne sait pas encore exactement ce qui s'est passé, ni quelles sont les motivations des personnes impliquées."

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Dailymail.co.uk

Nos remerciements à Aldo Sterone