Royaume-Uni : le gouvernement ne publiera finalement pas l’étude sur les gangs de prédateurs sexuels violant des jeunes filles blanches

Le gouvernement refuse de rendre publiques les recherches officielles sur les caractéristiques des grooming gangs, affirmant que ce n’est pas dans « l’intérêt public« .

Des survivantes ont accusé les ministres de faire de « vaines promesses« , tandis qu’un homme qui avait traduit en justice des violeurs à Rochdale a demandé au Ministère de l’Intérieur de « faire preuve de courage et de publier » ses conclusions.

Cette décision intervient après la révélation de The Independent qu’en seulement un an les [diverses] autorités locales avaient identifié près de 19 000 enfants présumées victimes d’exploitation sexuelle, ce qui a suscité de nouveaux appels à des efforts pour la prévention.

Sajid Javid avait promis cette étude en tant que ministre de l’intérieur en juillet 2018, s’engageant à ce qu’il n’y ait « aucun sujet interdit dans l’enquête« .

« Je ne laisserai pas les sensibilités culturelles ou politiques s’opposer à la compréhension du problème et à la mise en place de mesures« , avait-t-il déclaré à l’époque.

« J’ai demandé à mes fonctionnaires d’explorer les contextes et les caractéristiques particulières de ces types de gangs« .

Mais le gouvernement n’a fait aucune autre annonce sur l’étude après le passage de M. Javid au Budget l’an dernier. Il avait toutefois déclaré qu’il publierait bientôt une stratégie nationale qui définira « une réponse de l’ensemble du système à toutes les formes d’abus sexuels sur les enfants ».

En décembre, The Independent avait été informé que le travail était terminé mais qu’il ne serait utilisé que pour l’élaboration de politiques internes et ne serait pas rendu public.

En réponse à une requête en liberté de l’information (Freedom Of Information) demandant les recherches effectuées et les rapports établis en conséquence, le Ministère de l’Intérieur avait confirmé qu’il détenait l’information mais qu’il ne la divulguerait pas.

Dans une lettre adressée à The Independent, des responsables ont déclaré avoir appliqué « un test d’intérêt public », mais que des informations ont été retirées car elles concernaient l’élaboration de la politique gouvernementale.

L’un des principaux objectifs de l’exemption est de protéger la « marge de sécurité » [« safe space »] nécessaire pour que les ministres et les autorités puissent examiner les options politiques en privé sans risque de divulgation prématurée », a-t-il ajouté.

« La divulgation risquerait de précipiter des décisions que les ministres doivent encore prendre. En outre, l’information pourrait être trompeuse si elle était rendue publique et utilisée hors contexte« .

L’unité FOI du Ministère de l’Intérieur a déclaré que les documents comprenaient également des informations « sensibles sur le plan opérationnel » de la police et pouvaient nuire aux enquêtes en cours.

La lettre ajoute : « Nous reconnaissons que ce sujet dans son ensemble et généralement tout éclairage et enseignement sont des questions avec un intérêt public fort, bien qu’il ne s’ensuive pas nécessairement qu’il soit dans l’intérêt public de divulguer toute information spécifique s’y rapportant« .

Sammy Woodhouse, une victime de Rotherham qui a contribué à révéler le scandale, a déclaré à The Independent qu’elle pensait que les recherches allaient être rendues publiques.

« J’ai toujours eu l’impression qu’ils allaient faire un rapport complet et en faire quelque chose d’officiel« , a-t-elle déclaré.

« Beaucoup de gens soutenaient cette étude, c’est ridicule qu’ils ne la publient pas. »

« On entend toujours dire « nous allons faire ceci, faire cela », et quand on est censé y arriver, il n’y a rien. Ce sont toujours des promesses vides. »

Une autre femme, qui avait également été violentée sexuellement par un gang de prédateurs sexuels à Rotherham et qui souhaitait rester anonyme, a déclaré qu’elle était « déçue et frustrée » par la décision de ne pas publier le rapport.

« L’incapacité répétée du gouvernement à reconnaître le rôle d’un racisme et d’un sectarisme religieux dans les crimes des « grooming gangs » a conduit à des enquêtes, protections et poursuites inadaptées« , a-t-elle déclaré.

« La prévention de futurs crimes de ces « grooming gangs » ne peut se faire que par une contre-éducation sexuelle et relationnelle. »

Cette femme fait campagne pour que des changements soient apportés aux directives sur les crimes haineux et pour la création d’une commission parlementaire chargée d’examiner la violence sexiste liée à la foi et à la croyance.

Un ancien procureur en chef qui avait engagé des poursuites contre un gang de prédateurs sexuels à Rochdale a averti que les groupes d’extrême droite utilisaient un « vide » d’informations fiables pour diffuser leurs croyances et gagner des soutiens.

Nazir Afzal avait déclaré demander depuis 2012 des recherches formelles sur les liens potentiels entre l’ethnicité et la violence dans la rue.

« La désinformation et l’anecdote sont exploitées par les tenants de la suprématie blanche et d’autres personnes ayant des objectifs« , a-t-il ajouté.

« Plus vite nous aurons des preuves, plus vite nous pourrons vraiment les confronter. Le ministère de l’intérieur devrait faire preuve de courage et publier ».

L’engagement initial de M. Javid faisait suite à une lettre d’un groupe de politiciens de tous les partis qui demandait au Ministère de l’Intérieur d’entreprendre des recherches sur les modèles de comportement et ce qui motive ces gangs de prédateurs.

Sarah Champion, la députée travailliste de Rotherham, figurait parmi les signataires et avait alors exprimé l’espoir que cette étude permettrait de prévenir les sévices et de protéger les enfants.

Le Ministère de l’Intérieur a déclaré qu’il publierait bientôt une stratégie nationale qui définira une « réponse de l’ensemble du système à toutes les formes de sévices sexuels sur les enfants« .

Un porte-parole du ministère avait déclaré : « L’abus sexuel d’enfants est un crime répugnant et les prédateurs qui abusent des enfants seront confrontés à la pleine force de la loi. »

« Nous poursuivons nos travaux sur plusieurs fronts afin de comprendre les caractéristiques de la délinquance collective et les contextes dans lesquels elle se produit.Cela inclut le travail en cours commandé par l’ancien ministre de l’intérieur et servira de base aux futures politiques gouvernementales en matière d’abus sexuels sur les enfants. »

« De nouvelles lois sur les peines garantiront également que les pires délinquants violents et sexuels passeront en prison un temps qui correspond à la gravité de leurs crimes, protégeant ainsi les victimes et donnant au public confiance dans le système de justice pénale« .

The Independent

Via Fdesouche

Sheffield (G-B) : 9 prédateurs sexuels jugés pour avoir violé une fille de 15 ans, qui a été ignorée par les autorités malgré plusieurs signalements

Royaume-Uni – Neuf hommes, pour la plupart originaires de Sheffield, sont jugés pour les viols répétés d’une adolescente de 15 ans. Ils la traitaient « comme un morceau de viande » et la maltraitant « pour leur propre satisfaction sexuelle ».

Un dixième homme est accusé de conspiration visant à pervertir le cours de la justice.

Les abus ont été perpétrés alors que l’adolescente victime était ivre ou droguée, une drogue fournie par le gang de prédateurs sexuels.

En 2011, la plaignante a déclaré à la police qu’elle avait été violée et abusée, mais aucune enquête n’a été menée et aucun crime n’a été enregistré, a déclaré la Cour de la Couronne de Sheffield.

Lorsqu’elle s’est plainte une deuxième fois d’avoir été violée la même année, « l’enquête a été trop courte », a estime le procureur Peter Hampton.

M. Hampton a déclaré : « Pour ces hommes, elle n’était rien d’autre qu’un objet. » « Lorsqu’elle a parlé aux autorités, elle a constaté qu’aucune mesure n’était prise pour mettre fin à son calvaire », a-t-il ajouté.

(…)

Les accusés :

  1. Usman Din
  2. Tony Juone
  3. Kamaran Mahmoodi
  4. Shangar Ibrahimi
  5. Farhad Mirzaie
  6. Kawan Omar Ahmed
  7. Saman Mohammed
  8. Jasim Sammad Mohammed
  9. Nzar Anwar
  10. Saba Moussa Mohammad

(…)

Daily Mail

Via Fdesouche


Rappels :

Royaume-Uni : 18.700 jeunes filles exploitées sexuellement en 2018-2019 par des gangs essentiellement pakistanais

Grande-Bretagne : à Telford, des centaines de jeunes filles battues, violées, vendues et parfois tuées par des gangs ethniques depuis 40 ans

Allemagne. Viol collectif à Fribourg : Le violeur syrien aurait déjà tabassé un handicapé à coups de batte de baseball.

Le jour où Majd H. a violé une jeune femme avec sept amis (âgés de 19 à 30 ans) à Fribourg, il aurait pu être en prison depuis longtemps ! Un mandat d'arrêt avait déjà été émis contre le Syrien connu de la police. Si ce mandat avait été exécuté immédiatement, la victime n'aurait pas eu à subir son martyre !

Majd H., 21 ans, est considéré comme l'auteur principal du viol collectif. On savait qu'il avait déjà attiré l'attention de la police par le passé, mais le journal "Bild" fait maintenant état des actes qui auraient fait l'objet d'une enquête à son encontre.

Entre autres choses, H. se serait masturbé dans l'appartement d'une mineure en août, et peu après il aurait regardé du porno dans l'appartement d'une autre mineure et l'aurait forcée à toucher son pénis.

En outre, il y a des actes de violence. H. aurait tabassé une personne handicapée avec une batte de baseball en mai.

(...)

 

Huffingtonpost.de / Bild.de

Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

 

Rappels :

Allemagne : Après le viol collectif d’une femme par 7 migrants, un politicien Vert lance une manifestation contre l’AFD.

Allemagne : un groupe de migrants agresse sexuellement une femme et tabasse son ami. Les agents de sécurité sont également attaqués.

Allemagne. Bombe politique en Bavière: Juste après les élections, le regroupement familial des migrants a repris.

Allemagne. Freiberg : un Iranien agresse sexuellement deux fillettes de 5 et 10 ans ainsi que deux femmes dans une piscine.

 

Royaume-Uni : trois immigrés turcs filmés tout sourire après avoir violé une adolescente anglaise pendant une heure

Trois hommes âgés de 23 à 25 ans, d’origine turque, ont violé pendant une heure une jeune Anglaise avant de la jeter sur la route, révèle The Sun.

Les faits dramatiques remontent au 13 avril. Une jeune anglaise de 19 ans est attirée hors d’un bar du centre-ville de Canterbury, dans le Kent, par trois hommes. Très alcoolisée, la jeune femme a été repérée par des vidéosurveillances en train de chanceler alors qu’elle était « visiblement intoxiquée », raconte The Sun. Les hommes l’ont amenée dans le parking Holman’s Meadow. C’est alors que le calvaire a commencé pour la jeune femme. Elle a été violée à quatre reprises par les trois Turcs.

Ils sont ensuite sortis du parking et ont jeté la jeune femme par terre devant un restaurant. Très choquée, elle est parvenue à retrouver ses amis avec qui elle avait passé le début de la soirée. Les trois hommes ont été filmés tout souriants sur CCTV aux alentours de 2h27 du matin, soit seulement quelques minutes après avoir relâché leur victime. (…)

Valeurs Actuelles

Grande-Bretagne. Une députée forcée de démissionner pour avoir dénoncé les Pakistanais coupables de viols sur des filles blanches.

Mi-août, la députée travailliste Sarah Champion a été contrainte de démissionner de son poste de secrétaire d'Etat pour les Femmes et l'égalité du cabinet fantôme de Jeremy Corbyn, après avoir écrit un article dans le Sun dans lequel elle affirmait que la «Grande-Bretagne a[vait] un problème avec les hommes britanniques d'origine pakistanaise qui viol[aient] et exploit[aient] des filles blanches».

Sarah Champion

Sarah Champion

Elle concluait son papier par un appel au gouvernement à enquêter sur les raisons qui poussent tant d'hommes partageant le même héritage culturel derrière les barreaux, après avoir abusé sexuellement de jeunes filles.

Jugeant ces propos inappropriés, le chef du parti travailliste lui avait demandé de quitter son cabinet fantôme, selon le Telegraph.

La députée Naz Shah, avait à cette occasion écrit une lettre ouverte au Sun, critiquant des articles qu'elle estimait islamophobes.

Source et article complet