“La lune de Jupiter” sur Arte ce soir : Dans une Hongrie raciste et corrompue, un médecin en quête de rédemption prend en charge un jeune clandestin doté de pouvoirs magiques

Dans une Hongrie raciste et corrompue, un médecin en quête de rédemption prend en charge un jeune clandestin doté d’étranges pouvoirs. Entre thriller et fantastique, une parabole sur la crise des migrants.

Des migrants syriens tentent de traverser la frontière hongroise, quand une violente opération de police tourne au drame. Nombre d’entre eux périssent noyés, et Laszlo, flic en fin de carrière, n’hésite pas à tirer sur un des clandestins en fuite, Aryan. Grièvement blessé et laissé pour mort, le jeune homme commence alors à léviter et s’élève dans le ciel. Tandis qu’il tente ensuite de se cacher dans un camp de réfugiés, le docteur Stern, hanté par une faute et en quête de rédemption, le recueille, non sans bientôt exploiter ses “dons” pour éponger ses dettes.

 

Étranger à la perversion 
La lune de Jupiter met en scène la tragédie des migrants au travers d’une parabole empreinte de religiosité. Entre saint et martyr, Aryan, dont le visage à peine sorti de l’enfance exprime l’innocence, se débat dans une vieille Europe à bout de souffle et une Hongrie à l’humidité hostile, claire dénonciation de celle de Viktor Orbán. Dans une société au racisme aigre, rongée par une corruption systémique, le jeune homme, sorte d’E.T. égaré, lévite, comme étranger à la perversion qui l’entoure. Au-delà de la fable politique, qui oscille entre thriller et fantastique, le film s’attache à explorer le duo ambivalent formé par Aryan et ce médecin vieillissant et alcoolique. Car Stern voit autant en lui un super-héros aux pouvoirs spectaculaires, dont il peut tirer profit, qu’un instrument providentiel pour expier ses erreurs. La fibre paternelle qui affleure chez lui, au fil de leur course éperdue dans un Budapest en état d’alerte, finira par le réconcilier avec lui-même.

www.arte.tv

Via Fdesouche

Le film de Netflix “Cuties” : une enfant de 11 ans s’initie au Twerk, une danse sexuelle (Vidéo)

Il y a eu beaucoup de discussions sur le nouveau film Netflix, Cuties, une «histoire d’adolescentes» française qui se concentre sur un groupe de jeunes filles qui forment une clique de danse twerk appelée Cuties. Le personnage principal est une immigrante musulmane sénégalaise de 11 ans nommée Amy avec des parents conservateurs. En secret, Amy rejoint le groupe de danse, défiant ses parents et leurs valeurs. Le problème que les gens ont avec Cuties, c’est qu’il semble tomber dans le piège Toddlers & Tiaras de sexualiser les jeunes filles pour le divertissement. Ce film aurait pu être tout aussi puissant si ses actrices étaient beaucoup plus âgées.

 

 

 

 

Le contrecoup du film Cuties de Netflix a été rapide.

Avant la sortie du film sur Netflix (le 9 septembre), les gens sur Twitter ont déjà remis en question le jugement de la réalisatrice française Maïmouna Doucouré. N’avons-nous pas appris que ce n’est pas acceptable de sexualiser les jeunes filles? Qu’en est-il de leur jeune âge qui fait avancer ce film? La conversation sur l’éthique du film est totalement justifiée.

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Marseillenews.net / Metro.co.uk


Rappels :

Mort de George Floyd : Twitter et Netflix soutiennent les Noirs « Black lives matter »

Barack Obama signe un contrat avec Netflix pour promouvoir des personnalités de son bord politique: « Netflix ne cache pas son hostilité à Trump. »

Netflix et la BBC préparent une série sur la légendaire Guerre de Troie : voici Achille, héros de la mythologie grecque

 

 

 

 

Vincent Cassel : “Pour vendre du popcorn, il faut faire des films […] où on ne dit rien sur les femmes, sur les noirs, rien sur les juifs, rien sur les pédés…”

Interrogé par Konbini, l’acteur français s’est montré très critique vis-à-vis de l’industrie du cinéma où la liberté de ton est souvent censurée.

 

C’est un véritable coup de gueule. Alors que le débat sur la liberté d’expression est toujours d’actualité, Vincent Cassel regrette la dictature de la bien-pensance dans le monde du cinéma. Selon lui, le septième art n'ayant aujourd'hui guère plus d'objectif que de « vendre du popcorn », « Il faut faire des films easy, qui ne prennent pas trop la tête, où les gens n’ont pas peur, où on ne dit rien sur les femmes, sur les noirs, rien sur les juifs, rien sur les pédés… rien sur n’importe quoi. On peut plus rigoler. Donc ce qui se passe, c’est qu’on est formatés et ça, c’est la mort », explique l’acteur français dans une interview accordée à Kombini.

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Valeursactuelles.com

Nos remerciements à Josée-Christine Lavanchy-Trépey

Le réalisateur des Misérables avait été condamné pour enlèvement et séquestration

Ce film a évidemment été encensé par notre presse, comme Le Temps ou le 20 Minutes romand, obnubilés par tout ce qui est de gauche ou étranger à notre culture.

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L’histoire fait écho à des articles de 2011 dans le Parisienou l’AFP, évoquant une affaire semblable (un enlèvement en 2009), à une lettre près : il y est question d’un Ladi Ly, et non d’un Ladj Ly.

Du fait de cette différence d’orthographe, certains ont pensé que Causeur et Valeurs actuelles relayaient une fausse information.

En fait, Ladi Ly et Ladj Ly sont bien la même personne. Et le réalisateur a bien été condamné à trois ans de prison en 2011 (mais pas pour tentative de meurtre ou complicité de tentative de meurtre).

De sources concordantes, un «Ladi Ly» a été condamné à Bobigny, le 2 mars 2011, à trois ans d’emprisonnement pour enlèvement et séquestration (et non violence).

Une source judiciaire précise qu’en appel, en 2012, la culpabilité de «Ladi Ly» a été confirmée, et sa peine réduite à deux ans de prison ferme et un an avec sursis. Un maintien en détention a alors été prononcé.

Liberation.fr/checknews

 

Cuck : Film sur un Blanc frustré et solitaire qui devient un dangereux blogueur d’extrême droite

Encore de la propagande sur le danger et la dégénérescence des Blancs. On aura bien entendu droit à tous les clichés de l'extrême gauche, entre le personnage qui est haineux car sa vie est minable, sa frustration sexuelle et autres inventions qui font délirer les militants de gauche, la généralisation et la stigmatisation étant tout à fait permises lorsqu'il s'agit des Blancs.

Ce film passe évidemment sous silence la surreprésentation des Noirs dans la criminalité américaine. Il ne faut surtout pas que la réalité entrave l'endoctrinement.

Ce film devrait être encensé par tous les journaux de gauche d'Europe.

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"CUCK, du cinéaste Rob Lambert, est une étude de personnage captivante et un thriller psychosexuel qui suit un jeune homme isolé et solitaire alors qu'il est endoctriné dans les chambres d'écho [NDLR : une chambre d'écho est une description métaphorique dans laquelle l'information, les idées, ou les croyances sont amplifiées par la communication et la répétition] sur Internet de l'idéologie et de la haine de l'Alt-Right.

Touchant plusieurs nerfs d'actualité, CUCK donne un aperçu brut et impitoyable d'un monde sombre qui se cache à la vue de tous." (IMDb)

"Quand le feu arrivera, tu brûleras." Gravitas a lancé une bande-annonce officielle pour un film indépendant intitulé Cuck, une vision intrigante d'une question d'actualité dans la société américaine. Lorsqu'un solitaire frustré gagne en popularité en tant que vlogger d'extrême droite, la chambre d'écho sur Internet dans laquelle il trouve du réconfort transforme ses insécurités en une rage mortelle. Le terme "cuck" (bien qu'il s'agisse également d'un terme sexuel) désigne dans ce cas un homme qui attend désespérément l'acceptation et l'affection des femmes. Zachary Ray Sherman tient le premier rôle, avec une distribution comprenant Sally Kirkland, Timothy V. Murphy, Monique Parent, et David Diaan.

Firstshowing.net

 

 

“Une saison en France”: Le film en faveur du métissage et de l’immigration subventionné par les Français

Minute dénonce la propagande cinématographique du film Une saison en France, sorti le 31 janvier, qui a reçu la caution morale des associations France Terre d’Asile et Médecins du Monde. Abbas a fui la guerre en Centrafrique pour se réfugier en France, en banlieue parisienne, avec ses deux enfants. Il trouve un travail sur les marchés forains, ses gosses vont à l’école et il s’est même dégotté une petite copine, une marchande de fruits et légumes. Mais Abbas est persécuté par les méchantes autorités françaises.

 

Abbas, professeur de français, a fui la guerre en Centrafrique pour bâtir une nouvelle vie en France. En attendant d’obtenir le statut de réfugié, le quotidien d’Abbas s’organise : ses enfants sont scolarisés et il travaille sur un marché où il a rencontré Carole, sensible au courage de cet homme

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Via le Salon Beige

Suisse. Cinéma: Le “Lausannois” Karim Sayad primé pour son film sur les combats de moutons à Alger avec l’appel à la prière en fond sonore!

Voilà ce que notre presse appelle désormais un "Lausannois", un "Suisse" et autres stupidités dont nos journalistes sont friands pour retourner le cerveau de nos compatriotes. Cet individu est tellement "lausannois" qu'il réalise un film sur son pays d'origine avec comme "musique" de fond l'appel à la prière musulmane...

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Le dixième «Prix de Soleure», doté de 60'000 francs, est allé au réalisateur helvético-algérien Karim Sayad pour son film «Des moutons et des hommes».

 

 

Pour son premier film, le réalisateur lausannois s'est immergé dans Bab-el-Oued, où les combats de moutons rythment la vie de ce quartier populaire d'Alger.

cinéma

(...)

Source et article complet

Nos remerciements à notre lectrice

 

Rappels:

No Billag. Mob G pour le Service dit public, au nom de la liberté d’expression, de la qualité, de l’objectivité, de la création,etc. Au tour de la culture, des artistes,etc. au nom de la « diversité »!

Redevance radio-TV: 5000 artistes s’engagent contre «No Billag»

Festival de Cannes. “In the fade”: Le film où les immigrés sont victimes d’attentats néo-nazis (Le réalisateur est d’origine turque.)

Cannes, la capitale mondiale de la bien-pensance durant la deuxième quinzaine de mai a visionné le film du réalisateur allemand Fatih Akin.

L’homme analyse son peu de succès par le fait que ses réalisations seraient trop dérangeantes.

Et il est vrai qu’In the Fade sélectionné par le politiquement correct cinématographique dérange.

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Dans le rôle principal, on retrouve l’égérie de Chanel, Diane Kruger. Elle interprète le rôle de Katja, une mère de famille qui a perdu son mari et son fils dans un attentat terroriste à la bombe.

Le film débute par une scène de mariage en prison. Katja y épouse dans une joie et une bonne humeur typiquement orientales, Nuri, un trafiquant de drogue. La blondeur allemande au bras du Kurde viril : ça fantasme dur dans les chaumières mentales du cinéma bobo.

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Sept ans plus tard, les époux du vivre-ensemble, le couple Katja/Nuri, modèle de l’amour intercommunautaire harmonieux à la Hidalgo, sont heureux comme dans une fiction d’Arte. Nuri dirige une agence immobilière, Katja s’occupe de Rocco (c’est vrai dit ?), leur petit garçon.

Et boum. Un attentat. Nuri et Rocco trépassent.

Pas d’islam dans l’histoire.

Un attentat comme toute la gauche le souhaite depuis des années, un attentat de très méchants néo-nazis allemands.

Les deux activistes d’extrême-droite responsables de cet abominable crime raciste sont scandaleusement acquittés. Les juges soutiennent ces gens-là, on le voit tous les jours.

Alors Diane se met en mode chasseresse. Elle retrouve en Grèce les deux compères qui sont sous la protection d’un affreux sympathisant d’Aube dorée. Elle fabrique une bombe pour détruire à son tour les deux très méchants et décide de se faire sauter… avec eux.

https://youtu.be/bI5w6Ju2-h0

In the Fade mâchouille tous les poncifs de la gauche culturellement dominante et montre en même temps son épuisement intellectuel.

Antifascisme bon teint, droits-de-l’hommisme pleurnichards, émotions paroxystiques, engagement glamour de la blonde pour l’Autre, trop c’est trop. Qui peut aujourd’hui adhérer à ce qu’Olivier Delcroix, du Figaro, qualifie de «revenge movie banal, bien pensant et attendu. Du cinéma de série B où Diane Kruger joue une Charles Bronson en jupons».

Pas nous.

Mais aucun problème pour Cannes.

La vertueuse Diane pourrait avoir le prix d’interprétation féminine.

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Une autre façon de faire barrage à l’extrême droite avec un tapis rouge sang, se féliciteront les jurés.

«C’est un super beau rôle mais je suis émue par le contexte, comment le film est dans l’air du temps, c’est horrible quelque part», a expliqué Diane Kruger. «Ce film a failli me tuer… il m’a laissé dans le vide», dit-elle encore sous le choc du tournage.

Il faut la comprendre, les néo-nazis européens sont tellement cruels, ils commettent tant d’attentats à Paris, Bruxelles, Munich, Berlin, Londres, Manchester…

Pauvre conne !

Le jour où tu abandonneras tes poses Chanel pour montrer une femme qui se venge de terroristes musulmans qui déciment les familles, massacrent des enfants, abattent les policiers, égorgent les curés, nous en reparlerons.

Evitez In the fade.

C’est un film dégueulasse.

Marcus Graven

Ripostelaique.com

La Suisse produit une série télévisée nigériane pour dissuader les migrants de venir en Europe

Le Secrétariat d'Etat à la Migration (SEM) suisse va dépenser 420 000 euros pour tourner une série pour la télévision nigériane. Réalisée avec des acteurs africains, elle montrera les difficultés des clandestins en Europe.

Le autorités suisses comptent financer une série télévisée nigériane basée sur les dangers de l'immigration clandestine afin de dissuader les potentiels demandeurs d'asile d'essayer d'entrer dans le pays.

«Nous avons vu que le manque d'informations ou la prolifération de fausses informations est l'un des principaux problèmes qui mènent à l'immigration illégale», a déclaré le porte-parole du Secrétariat d'Etat à la Migration suisse (SEM), Lukas Rieder au média The Local. «Les trafiquants d'êtres humains font croire aux migrants potentiels que la Suisse est un paradis, que c'est un véritable Eldorado. Mais tout cela est faux. Nous voulons fournir des informations objectives sur les dangers que représentent la traversée et le passage en Suisse, ainsi que la vie clandestine», a-t-il ajouté.

En fin de compte, les autorités suisses lui refusent l'asile et le déportent vers son pays d'origine. «Il paye le prix [d'avoir voulu immigrer]», a résumé Charles Okafor dans une interview accordée au média Swissinfo.

Le réalisateur nigérian est convaincu que cette série de 13 épisodes (de 45 minutes) pourrait être diffusée dans plusieurs pays d'Afrique. «La télévision est un média très puissant, car elle a la capacité d'atteindre une masse énorme de population, des centaines de millions de téléspectateurs», a déclaré Charles Okafor

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Rapport d’Amnesty: “Trump propage la haine”

Les discours haineux sont favorisés par certains dirigeants mondiaux, s'alarme l'ONG internationale.

«Les discours clivants de Donald Trump, Viktor Orban (Hongrie), Recep Tayyip Erdogan (Turquie), Rodrigo Duterte (Philippines)... s'acharnent sur des groupes entiers de population, les désignent comme boucs émissaires et propagent l'idée selon laquelle certaines personnes sont moins humaines que d'autres», les premiers visés étant les réfugiés, dénonce Amnesty international.

Source

 

Un film de propagande anti-FN, en partie financé par les contribuables, sortira en pleine campagne électorale

Financé en partie par de l'argent public par le biais de subventions, le film peint le portrait à peine voilé de Marine Le Pen en campagne, et sortira à deux mois des élections. Les cadres du Front national dénoncent une opération de «propagande».

 

«Chez nous», le nouveau film de Lucas Belvaux, ne sortira dans les salles de cinéma que le 22 février, mais il fait d'ores et déjà beaucoup parler de lui. L'histoire raconte comment un parti, le Bloc patriotique, tente de convaincre une infirmière du Nord, mère au foyer et divorcée d'un métallurgiste, d'être sa candidate aux législatives. Dans le rôle de la charismatique présidente du parti, Catherine Jacob... teinte en blonde pour l'occasion.

De son côté, Lucas Belvaux explique qu'«une parole se libère, disséminant une odeur abjecte qui dérange de moins en moins», tout en se défendant d'avoir voulu faire du militantisme.

Cependant, la date de la sortie du film, en pleine campagne électorale pour les élections présidentielles prochaines, n'a pas manqué de faire réagir les cadres du Front national. Invité ce 1er janvier de l'émission «Le Grand Rendez-vous» sur Europe 1, Florian Philippot a déclaré : «D’après la bande annonce que j’ai vue, ça a l’air d’être un joli navet, mais au-delà de la qualité du film, je trouve ça proprement scandaleux qu’en pleine campagne présidentielle, sorte dans les salles françaises un film qui est clairement anti-Front national». Evoquant l'actrice Catherine Jacob, Florian Philippot a affirmé que c'était «un petit service rendu au système».

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Fatima aux César : le cinéma français célèbre le voile

Fatima: Le César du meilleur film que l’on n’attendait pas, titre le Huffington Post.

Fatima, sacré meilleur film à la surprise générale, dit en écho le Figaro.

Fatima, César surprenant du meilleur film, selon le site avoir-alire.com

Et toute la presse de décliner ses variantes sur le même thème: O surprise,  Fatima obtient le Cesar du meilleur film 2016.

Qui donc est surpris? On pourrait dire même que c’était couru d’avance tant le cinéma français peine à montrer autre chose que des films dans lesquels des migrants ou immigrés récents donnent aux Français de souche des leçons de vie ou de courage. On se contentera de citer Intouchables dans lequel comme chacun sait, même ceux qui n’ont pas vu le film, un jeune de banlieue avec son culot et sa gouaille, redonne le goût de vivre à un bourgeois des beaux quartiers, vivant seul dans son riche appartement, devenu handicapé par la pratique d’un sport à haut risque, figure emblématique du destin qui attend l’homme blanc.

On passera sous silence les Vincent Lindon, Catherine Frot et autre Miou-Miou (la liste serait longue…) qui ont incarné cet homme blanc, seul, hargneux, mal aimé et mal aimant, qui (re)trouvera un sens à sa vie en rencontrant l’Autre, peu importe qui, pourvu qu’il vienne d’outre-Méditerranée ou de par-delà les montagnes du Caucase, lequel lui donnera une leçon de vie et de générosité qui lui fait si cruellement défaut. En effet, quand il n’est pas barbare, l’homme blanc est égoïste.

Aussi, pour moi, est-ce sans surprise aucune si la 41° Cérémonie des César consacre Fatima, le film de Philippe Faucon.

L’histoire est si convenue qu’elle ressemble à une parodie: une Algérienne arrivée en France et abandonnée par son mari, élève seule ses deux filles en faisant des ménages. L’aînée commence ses études de médecine tandis que la plus jeune, plus rebelle, donne quelque fil à retordre à sa mère.

On sent tout de suite l’histoire édifiante d’une mère  courage qui  se sacrifie pour ses filles. Et mon dieu pourquoi pas. Sauf qu’une mère seule se sacrifiant pour élever ses enfants n’est en aucun cas une exclusivité de la population immigrée. On en trouve beaucoup, et de plus en plus, dans la population d’origine à laquelle notre cinéma s’intéresse moins, semble-t-il, ou alors pour la moquer façon Famille Tuche dont le père se proclame chômeur et fier de l’être. Les vrais chômeurs apprécieront.

Certains le qualifient  de documentaire, tant pour la critique le film dépeint un aspect de réalité sociale et ethnologique quotidienne.

Au mieux, le film serait anachronique. En fait, il montre moins la réalité actuelle de l’immigration que le fantasme des années 80 où l’on voulait croire encore à l’intégration sinon à l’assimilation et où l’on pensait que l’immigration maghrébine serait, peu ou prou, semblable aux immigrations européennes qui l’avaient précédée. La situation décrite dans le film, qui a suscité l’émoi de la salle frémissante du Châtelet, éperdue d’autosatisfaction, ne correspond en rien à la réalité des banlieues que celle-ci ignore.

Loin d’être un documentaire, le film qui enchaîne les images d’Epinal, montre au spectateur l’histoire qu’il voudrait croire. Fatima a deux filles. C’est souvent le cas dans nos productions. Notre cinéma abonde en filles maghrébines soucieuses de s’émanciper. Ce sont les opprimées des opprimés, les damnées des damnés de la Terre. On  exalte ainsi l’émancipation que ces femmes rechercheraient et que la France est censée leur apporter. On justifie ainsi l’immigration tout en s’octroyant un satisfecit. Non, en banlieue, les filles ne sont pas vêtues à l’européenne, elles ne font que très rarement des études de médecine, et si, à l’inverse, on y trouve bien des rebelles, ce n’est pas du modèle patriarcal qu’elles veulent s’affranchir, mais du modèle français et républicain, pour reprendre le mot dont gauche et droite usent et abusent. Quant au foulard, que Fatima porte en toutes circonstances même chez ses employeurs, il est davantage un symbole de conquête que la marque d’humilité dont ce personnage est pétri.

A la suite d’une chute et immobilisée chez elle, Fatima tient son journal intime. Si elle ne sait ni lire ni écrire en français, elle lit et écrit l’arabe. Théoriquement, cela est possible. Dans la réalité, les immigrés illettrés en français le sont aussi dans leur langue d’origine. Pourquoi cette invraisemblance, ou si l’on veut, cette ficelle narrative un peu trop visible?  Parce que cela donne une note intimiste au personnage qui en devient plus touchant. Soit. Peut-être parce que cela permet de montrer, en plan rapproché, la si délicate calligraphie arabe, note exotique que notre  gauche Marrakech affectionne tant.

Pour compléter ce portrait édifiant, le cinéaste n’oublie pas, bien sûr, l’aspect pieux de l’humble personnage qui admoneste ainsi sa fille cadette: Tu as à manger, un toit, tu peux étudier, remercie Dieu. Cette pauvre femme aurait pu lui demander de la reconnaissance envers elle qui se sacrifie, mais non. Elle s’efface jusqu’au bout. Ce n’est plus une histoire édifiante, c’est une hagiographie. Au passage, elle aurait pu aussi dire : remercie la France, mais imagine-t-on dans notre cinéma, propos aussi nauséabonds.

Fatima porte son voile en toutes circonstances, y compris sur l’affiche du film et jusque dans la salle du Châtelet hier soir, par le truchement de son interprète Soria Zeroual. Le public ne semble pas du tout gêné de voir récompenser un film prétendument dédié à une femme qui lutte pour sa liberté et son indépendance, mais qui exhibe ce symbole de servitude, fût-elle volontaire. Au diable les contradictions, pourvu qu’on étale son anti-racisme d’opérette.

On a donc, hier soir, franchi un pas. Après le énième film à la gloire de l’immigré dont le cinéma français nous abreuve, première apparition d’une  femme voilée lors de la  cérémonie des César.

Monique Bousquet

Article paru en premier sur RL

Film: Sir Lancelot joué par un Noir et amant de Guenièvre

Réécriture de notre patrimoine et de nos contes, la dépossession des références de l'homme blanc est évidente.

Bien évidemment pour ceux qui connaissent un peu l'histoire, Lancelot entretient une relation adultère avec Guenièvre. Le symbolisme est équivoque : Un roi blanc dont la femme le trompe ici avec un homme noir:

"Guenièvre est la fille du roi Léodagan, qui a servi Uther Pendragon et est parmi les premiers à reconnaître Arthur. Lorsque ce dernier accourt à son aide, il rencontre Guenièvre. Ils s’éprennent l’un de l’autre et convolent, mais à l’arrivée de Lancelot du Lac à la cour, c’est le coup de foudre immédiat et le début d’une relation adultère qui ne sera découverte que plus tard par le roi, lorsqu’il constate à l’issue d’un festin l’absence simultanée des amants."

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On peut se demander de quel droit ces gens ont osé un pareil mépris des légendes européennes.

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Source Source2

Fernand Melgar, le gauchiste naturalisé qui utilise notre pays

ND Ch. H. Voilà ce que nos autorités nous forcent à accueillir, voilà comment ces "réfugiés" nous remercient. On rappelle que c'est l'auteur de Vol Simple coproduit par la RTS, et de L'Abri. Deux films dont l'objectif est de salir le pays qui l'a hébergé tout en passant sous silence les délits des requérants.

Florilèges de l'article paru dans Le Temps:

Né Espagnol, à Tanger (Maroc), Fernand Melgar est le fils de syndicalistes anarchistes qui ont fui le franquisme.

«Mon père ne voulait pas devenir Suisse, mais il avait un sens civique développé. Il poussait les gens à voter, en allant jusqu’à leur préparer les arguments!» (ND Ch. H. En clair, son père faisait de la propagande d'extrême gauche contre son pays d'accueil, voilà ce que le fils appelle "avoir le sens civique développé")

«Quand j’ai demandé à mon père comment il réagirait si je devenais Suisse, il m’a répondu: «Je préférerais encore que tu m’annonces que tu es homosexuel

Pas question pour Fernand Melgar de se sentir habité pas un sentiment de trahison. Lui, qui court les festivals à l’étranger, se voit plutôt comme l’ambassadeur d’une Suisse dont il serait un peu la «mauvaise conscience». Fernand Melgar se dit aujourd’hui totalement double-national. «Je passe de l’un à l’autre quand ça m’arrange

Source

La réalisatrice Cheyenne Caron (L’Apôtre) sort un nouveau film sur le racisme anti-blanc : Patries

Sébastien et ses parents viennent d’emménager en banlieue parisienne. A son arrivée, il essaie de se faire accepter par un groupe de jeunes issus de l’immigration Africaine. Malgré le rejet qu’il subit, une amitié complexe se noue avec Pierre, un jeune Camerounais en quête d’identité. En voici la bande-annonce en avant-première :

Comme l’Apôtre, qui relatait la conversion d’un musulman au christianisme, ce film n’a reçu aucun soutien du CNC, qui finance pourtant tant et plus de films sur le racisme des blancs......

Source : Enquête & Débats

Quand la musique du film subventionné La Marche réclamait “un autodafé pour Charlie Hebdo”

Réalisé avec l’accord et le soutien de Hugo Sélignac, producteur du long métrage La Marche qui retrace la marche contre le racisme de 1983, un clip de rap (vidéo ci dessous) a été composé par une dizaine de rappeurs (la plupart musulmans) dont Akhenaton( récemment, le 2 janvier 2015 au journal de midi, longuement invité par la Radio suisse romande!), Disiz, Kool Shen et Nekfeu. Dans le 7e couplet qu’il interprète, le rappeur Nekfeu, membre du collectif parisien «1995» (Polydor), beugle notamment: «D’t'façon y’a pas plus ringard que le raciste, ces théoristes veulent faire taire l’islam, quel est le vrai danger : le terrorisme ou le taylorisme?, les miens se lèvent tôt, j’ai vu mes potos taffer, je réclame un autodafé pour ces chiens de Charlie Hebdo.»
Suite et vidéo

Journal Le Temps : “Osons la fluidité des genres”

Dans «Une Nouvelle Amie», François Ozon joue avec l’idée du travestissement. Un brillant numéro de funambule entre norme et «perversion»

Cinéaste trop raffiné pour faire des films ouvertement gay, Ozon n’a-t-il pas toujours préféré ses personnages féminins? Dans cet ordre d’idées, Une Nouvelle Amie est sans doute son film à la fois le plus honnête et le plus surprenant, qui se joue des genres tant cinématographiques que sexués.

Sauf qu’en illustrant en flash-back cette sorte d’idylle brisée comme une vulgaire publicité d’assurance vie, le cinéaste nous rappelle déjà ce que la normalité peut avoir de désespérant. Quelques semaines plus tard, en arrêt de travail, Claire surprend David déguisé en femme. David lui explique qu’il a toujours aimé se travestir, même s’il n’est pas homosexuel.

Et si les sexes n’étaient pas aussi clairement définis qu’on le croit? Le désir plus trouble?

Quant à Ozon, il dépasse ici toute théorie du genre pour exalter un continuum sexuel dans lequel tout le monde aurait enfin sa place. Réalité ou utopie?

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Fernand Melgar, réalisateur de Vol Spécial, attaque encore la Suisse

On rappellera que Vol Spécial a été coproduit par la RTS: en clair notre média national se fait un plaisir d'humilier la Suisse tout en profitant d'une redevance devenue obligatoire à la charge des autochtones.

«L’Abri» montre une image peu reluisante de la Suisse. Si bien que Présence Suisse réserve son soutien à sa diffusion à l’étranger. Le cinéaste Fernand Melgar parle de «censure».

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Sorti en salle mercredi dernier, le film montre en effet une réalité peu reluisante de la Suisse, celle des sans-toit qui, l’hiver venu, s’agglutinent devant les portes d’un abri de la protection civile de Lausanne, en quête d’un peu de chaleur, d’un matelas et d’un repas chaud. Ils viennent d’Afrique, d’Europe de l’Est, d’Espagne ou du Portugal pour l’essentiel.

 

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