“La lune de Jupiter” sur Arte ce soir : Dans une Hongrie raciste et corrompue, un médecin en quête de rédemption prend en charge un jeune clandestin doté de pouvoirs magiques

Dans une Hongrie raciste et corrompue, un médecin en quête de rédemption prend en charge un jeune clandestin doté d’étranges pouvoirs. Entre thriller et fantastique, une parabole sur la crise des migrants.

Des migrants syriens tentent de traverser la frontière hongroise, quand une violente opération de police tourne au drame. Nombre d’entre eux périssent noyés, et Laszlo, flic en fin de carrière, n’hésite pas à tirer sur un des clandestins en fuite, Aryan. Grièvement blessé et laissé pour mort, le jeune homme commence alors à léviter et s’élève dans le ciel. Tandis qu’il tente ensuite de se cacher dans un camp de réfugiés, le docteur Stern, hanté par une faute et en quête de rédemption, le recueille, non sans bientôt exploiter ses “dons” pour éponger ses dettes.

 

Étranger à la perversion 
La lune de Jupiter met en scène la tragédie des migrants au travers d’une parabole empreinte de religiosité. Entre saint et martyr, Aryan, dont le visage à peine sorti de l’enfance exprime l’innocence, se débat dans une vieille Europe à bout de souffle et une Hongrie à l’humidité hostile, claire dénonciation de celle de Viktor Orbán. Dans une société au racisme aigre, rongée par une corruption systémique, le jeune homme, sorte d’E.T. égaré, lévite, comme étranger à la perversion qui l’entoure. Au-delà de la fable politique, qui oscille entre thriller et fantastique, le film s’attache à explorer le duo ambivalent formé par Aryan et ce médecin vieillissant et alcoolique. Car Stern voit autant en lui un super-héros aux pouvoirs spectaculaires, dont il peut tirer profit, qu’un instrument providentiel pour expier ses erreurs. La fibre paternelle qui affleure chez lui, au fil de leur course éperdue dans un Budapest en état d’alerte, finira par le réconcilier avec lui-même.

www.arte.tv

Via Fdesouche

Art contemporain sur Arte: Le symbole de la décadence

Sur Youtube, un extrait de spectacle de danse contemporaine fait beaucoup rire les internautes... depuis plus de 7 ans !

L'original est déroutant. Les parodies sont délirantes. Une vidéo fait le tour du Net depuis plusieurs années sur Youtube: il s'agit d'un extrait d'un spectacle diffusé par Arte en 2008.

Sur les images, qui font beaucoup rire les internautes, on découvre un homme, en slip issu de certaines pratiques SM, qui entre sur scène aidé de deux béquilles et d'une barre de fer à la place du sexe. Après un long sourire carnassier, il se met à frapper comme un fou un portant en métal avec son faux sexe.

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https://youtu.be/FbuluDBHpfQ

 

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Largement partagé sur le Net sous les titres «Video WTF Of The Week», «La vidéo la plus étrange de tous les temps» ou «EPIC WTF GUY», en anglais ou en français, cet extrait accuse plus de 6 millions de vues, parodies compris. Dans ces dernières, on découvre d'ailleurs des «remixes» ou une version de plus de 10h!

 

 

Pour les amateurs, il s'agit du spectacle de danse contemporaine Body Remix / Goldberg Variations, diffusé par Arte en 2008. C'est un ballet de la compagnie canadienne Marie Chouinard, créé au Festival international de danse contemporaine de la Biennale de Venise, le 18 juin 2005, où dix danseurs «exécutent des variations sur l'exercice de la liberté», apprend-t-on sur le site de la compagnie.

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Arte censure un documentaire sur l’antisémitisme arabo-musulman (Vidéo de l’émission censurée en exclusivité)

Christian Hofer: Le Bild a décidé de diffuser l'émission afin que le public puisse être informé. Depuis plusieurs semaines, jusqu'au sommet de l'Etat allemand, ce documentaire a été débattu. Tout cela sans que le citoyen n'ai eu le droit de le visionner, sans qu'il puisse se forger sa propre opinion. On comprend bien désormais que ces personnes de gauche ont scindé la société en deux: ceux qui le droit de savoir, de prendre les décisions et ceux qui doivent les subir. Le véritable visage liberticide et élitiste de la gauche qui méprise au plus haut point la population autochtone.

Visiblement, le politiquement correct ne veut pas avouer que certaines ethnies allochtones rejettent les juifs, ce qui remet en cause le statut d'éternelles victimes de ces migrants.

Tout cela est contraire au but visé par les médias qui prétendent que ces migrants nous offrent une ouverture d'esprit et un enrichissement, L'antiracisme voit ici l'un de ses dogmes s'effondrer: l'Européen ne serait pas le seul coupable. Pire, la haine des migrants et leur violence seraient bien supérieures à celles de l'extrême droite. Dès lors, pour éviter toute remise en question, on comprend bien que la censure devient la panacée.

Autre constat, les protagonistes de gauche qui protègent systématiquement ces immigrations sont aussi responsables du retour de l'antisémitisme en Europe. Une telle collaboration entre individus qui partagent la même haine des racines européennes n'étonnera personne.

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Un documentaire portant sur l’antisémitisme arabo-musulman aurait dû être diffusé prochainement sur Arte. Mais la chaine franco-allemande a décidé de le déprogrammer. Outre-Rhin, la polémique enfle et on demande les images.

Depuis quelques semaines, la controverse autour du film Un peuple élu et mis à part : l’antisémitisme en Europe (Auserwählt und ausgegrenzt - Der Hass auf Juden in Europa) ne faiblit pas au pays de Goethe, bien au contraire. Bild, Frankfurter Allgemeine Zeitung, Der Spiegel… autant de titres allemands qui se sont emparés de l’affaire.

Le 26 avril dernier, Alain Le Diberder, directeur des programmes d’Arte, prenait la décision de ne pas diffuser un documentaire pourtant commandé deux ans auparavant. Ecrit et réalisé par deux cinéastes allemands, Joachim Schroeder et Sophie Hafner, le projet, financé par la chaine allemande WDR, avait pourtant reçu la bénédiction d’Arte lors de la conférence des programmes. De l’Allemagne à la France, en passant par Israël et les territoires palestiniens, le documentaire dresse le tableau de l’antisémitisme qui a cours dans les milieux d’extrême droite et arabo-musulmans, à Gaza ou dans les banlieues françaises. Et c’est là où le bât blesse…

La chaine, à l’aise quand il s’agit de dénoncer l’Holocauste, n’aurait pas apprécié l’accent mis sur l’antisémitisme qui se cache derrière une obsession antisioniste.

Bras de fer avec Arte

Déjà, en 2015, Joachim Schroeder s’était heurté aux objections d’Arte France qui voyait d’un mauvais œil la production d’un film dont la ligne éditoriale semblait diverger avec celle de la chaine. “Il faut que vous compreniez que le sujet est très délicat en France. Nous sommes coincés entre les lobbies juif et musulman. C’est la raison pour laquelle la conclusion de ce documentaire doit rester indéterminée” confiera le directeur de l’information d’Arte, Marco Nassivera, au cinéaste. Si Arte France est plus que réservé, Arte Allemagne appuie le projet. Cherchant à se rassurer, Alain Le Diberder exige un coauteur au film : Ahmad Mansour, psychologue arabe-israélien installé en Allemagne, défenseur d’un Islam éclairé. Par manque de temps, celui-ci proposera à Joachim Schroeder d’assurer une mission de consultant à chaque étape de la réalisation. Sophie Hafner cosignera les 90 minutes.

En décembre 2016, le film est envoyé à la direction de l’information d’Arte qui refuse de le traduire. Le couperet tombe : “Il n’y a nulle trace de la coopération d’Ahmad Mansour, qui devait garantir l’équilibre du film, pas plus qu’il n’y a le panorama annoncé” affirme Alain Le Diberder. Une première pour les réalisateurs.

Les images interdites

Valeurs actuelles s’est procuré le documentaire. La partie relative à la France représente moins d’un tiers des images. Les réalisateurs donnent à voir des faits inhabituels pour les médias occidentaux : les montants disproportionnés des subventions allouées aux palestiniens, la corruption des ONG et agences onusiennes, la question des réfugiés juifs, l’antisémitisme criminel qui sévit en France… Autant de faits qu’Arte semble préférer occulter.

“Je suis surpris qu’une chaîne publique renommée comme Arte ait un problème avec la réalité” réagit Ahmad Mansour. Pour la journaliste Catherine Dupeyron qui a travaillé sur les séquences en France, “ce qui gêne, c’est la triste spécificité de notre pays : son antisémitisme d’ordre criminel.” Selon elle, la chaine reproche au documentaire de ne pas se cantonner à l’antisémitisme traditionnel d’extrême droite et d’aborder le sujet de la haine des Juifs liée au conflit israélo-palestinien : “cela n’est pas audible pour une partie des gens d’Arte, regrette-t-elle, il y a une difficulté en France à accepter le réel tel qu’il est, le verbaliser puis s’y confronter.”

Seul espoir à présent, que la chaine WDR, voyant la polémique grandir, trouve un accord avec Alain Le Diberder pour diffuser les 90 minutes. “J’ai espoir que les choses évoluent” confie Joachim Schroeder. Désormais, la balle est dans le camp d’Arte.

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Arte : BHL cautionne-t-il la pédophilie ?

Certaines nuits d’insomnie, on découvre de drôles de choses sur internet qui vous ôtent définitivement jusqu’au matin la possibilité de recouvrer les bras de Morphée.

Prenons, Arte, par exemple, une chaîne publique culturelle et européenne franco-allemande, comme elle se définit elle-même. Son président au conseil de surveillance depuis 21 ans est Bernard Henri Lévy, poste qu’il a sollicité pour la sixième fois et pour lequel il a obtenu sa réélection au mois de juillet.

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Sexualité : Pour Arte, ce sont les enfants qui en parlent le mieux

http://youtu.be/0lykgEzkXbg

Arte propose sur son site Internet une série de films de deux minutes sobrement intitulée « Éducation sexuelle ».

Réalisé par John Deneuve et un certain Doudouboy, chaque film permet d’éclairer le (jeune) téléspectateur sur une pratique sexuelle. Le format est toujours le même. Une voix de petite fille commence : « Lorsque j’ai des questions à propos de la sexualité, mon papa et ma maman me répondent. » Puis la fillette questionne le « papa » et la « maman », qui répondent de façon plus ou moins évasive avant qu’une certaine « Clara Morganemmanuelle » (quelle impertinence) n’éclaire l’enfant de façon beaucoup plus crue.

Ce cours d’éducation sexuelle concerne des pratiques que même l’industrie pornographique considère comme marginales. Au menu : anulingus, « golden shower », « ass-to-mouth », etc. Pour Arte, ce sont les enfants qui en parlent le mieux…

Rappelons qu’Arte est une chaîne de service public. Détenue en effet, pour sa branche française, par France Télévisions (45 %), l’État français (25 %), Radio France et l’INA (15 % chacun), la chaîne est financée par le contribuable français. Créée pour promouvoir la culture européenne, c’est le médiéviste, membre du collège de France et de l’Académie française George Duby qui en fut le président du conseil de surveillance à sa création en 1992. Il fut remplacé dès 1993 par Bernard-Henri Lévy qui, depuis, à sans cesse été reconduit. Après son dernier renouvellement à la présidence du conseil de surveillance en juillet dernier, il déclarait sans rire :

« Arte, c’est plus qu’une chaîne de télévision. C’est un endroit où, tous les soirs, on fabrique de l’Europe, on façonne et invente de la culture européenne vivante. »