Tourisme sexuel pour les femmes blanches à Saint-Domingue : « Cela fait 7 ans que je n’ai plus fait l’amour avec un Blanc. Ici c’est le 5ème homme avec qui je couche. » (Vidéo)

Christian Hofer : Lorsque cela se fait au détriment des Blancs, personne ne parle évidemment de racisme. Le concept de "race" qui est nié par la gauche, voire perçu comme une insulte d'extrême droite est ici mis en exergue pour rendre hommages aux... hommes noirs.

 

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Vers 2:35.

"ça fait 7 ans que je n'ai pas fait l'amour avec un Blanc. Je ne sais plus comment c'est (petit rire). 7 ans que je n'ai pas fait l'amour avec des gens de ma couleur."

 

 

 

A 3:40

"Les Allemandes sont des folles ici. Elles trouvent des Noirs qui les tirent bien quoi."

 

Vers 8:10

Deux Suissesses en vacances... "Le chasseur de touristes (sanky-panky) n'a pas de soucis à se faire, la jeune Suissesse a fait son choix."

 

La Suissesse apporte bien servilement les boissons qu'elle a sans doute payées de sa poche. Ici pas de critique du machisme ou du patriarcat : Normal, ce ne sont pas des hommes blancs.

 

 

 

Même des jeunes filles qui pourraient trouver facilement un Européen préfèrent entretenir une relation sexuelle avec ces Dominicains. Ici il n'est guère question d'âge ou de compagnons inaccessibles.

"Seules la sexualité et la durée des rapports comptent."

 

 

"Énormément de femmes ne viennent ici que pour les hommes dominicains."

A noter que les Européennes voient parfaitement que ces sanky-panky prennent contact avec plusieurs femmes durant la même soirée.

"J'en ai déjà 3. Je vais voir si je ne peux pas en avoir 5."

 

La Suède investit plus d’un demi-million de francs pour enseigner aux migrants comment avoir des relations sexuelles avec des femmes suédoises

Le gouvernement suédois veut allouer 5 millions de couronnes suédoises (environ un demi-million de francs) pour des cours de sexualité en faveur des migrants, indique le site Fria Tider.

Une partie de l'argent sera utilisée pour le site Web "Youmo" qui fournit une traduction en arabe, en somali et en dari (langue afghane).

L'objectif du site est d'enseigner aux migrants "la santé, la sexualité et l'égalité des sexes". Sur le site, l'information sexuelle est illustrée, entre autres, avec plusieurs hommes étrangers en compagnie de femmes suédoises blondes.

 

 

 

 

Sous l'onglet «Etre amoureux», on peut lire « qu'être amoureux est généralement un sentiment agréable. Certaines personnes ont été amoureuses plusieurs fois, d'autres n'ont jamais été amoureuses."

"La mission comprend le développement de l'information sur Youmo, l'extension des compétences pour les professionnels qui rencontrent de jeunes migrants qui viennent d'arriver, ainsi que la formation à long terme des compétences pour les professionnels grâce au développement de l'éducation sur Internet", écrit le gouvernement.

Le développement du site Internet inclura principalement les sujets de la prostitution et de la traite des êtres humains, la violence et l'oppression liées à l'honneur, y compris les mutilations génitales, la violence sexuelle et le harcèlement sexuel.

De nombreux d'adultes qui rencontrent de jeunes migrants dans leur rôle professionnel manquent d'éducation en matière de santé, de sexualité et de genre. Grâce à ces efforts, nous pouvons créer une offre de compétences à long terme qui permettra aux professionnels de parler plus facilement de ces questions importantes aux jeunes », a déclaré Lena Hallengren, Ministre de l'enfance et de l'égalité des chances.

 

Source Source2

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Zurich et Bâle: Ecoliers invités à imiter un rapport anal

Un manuel, recommandé dans les cantons de Zurich et Bâle pour les cours d'éducation sexuelle, est actuellement vivement critiqué. Le livre thématise notamment le sadomasochisme et la sodomie.

Ce livre est destiné aux élèves du secondaire dans le canton de Zurich et Bâle, révèle «20 Minuten» mardi. Il est recommandé dès l'âge de 14 ans et a été évalué au préalable par un groupe d'enseignants spécialisés de la haute école pédagogique de Zurich.

Source

Suède: Avec l’accueil des migrants, il y a désormais beaucoup plus d’hommes que de jeunes filles dans la population

Les agressions sexuelles d’une centaine de femmes en Allemagne ont suffi à lancer une polémique sur la disproportion du nombre d’hommes parmi les réfugiés.

Cela a été « une soirée globalement calme ». Le jugement particulièrement minimaliste de la police de Cologne puis ses trois jours de silence complet, avant un aveu embarrassé sur les graves incidents qui ont marqué la soirée du réveillon du 1er janvier, non seulement dans la grande cité du nord de l’Allemagne, mais aussi dans quatre autres villes du pays, ont enflammé les esprits comme jamais depuis le début de la crise migratoire. [...]

Tout ce que l’on sait aujourd’hui provient du témoignage des victimes, qui parlent de leurs agresseurs comme d’hommes de type arabe ou nord-africain.

D’après les statistiques de l’Organisation internationale pour les migrations établies pour les onze premiers mois de 2015 sur l’ensemble des migrants, toutes provenances confondues, plus de 69 % sont des hommes, contre 13 % de femmes et 18 % de mineurs. Parmi ces derniers, la moitié sont sans famille connue. Enfin, dans cette même population, 90 % sont de jeunes hommes. [...]

Par ailleurs, parmi les mineurs sans famille – dont 90 % sont des garçons –, la quasi-totalité de ceux qui se présentent dans les pays européens se voit accorder le droit d’asile, pour des raisons humanitaires évidentes. Mais la conséquence démographique est inquiétante : ainsi, la Suède vient de s’apercevoir que, dans sa population de 16 à 18 ans, le ratio est aujourd’hui de 123 garçons pour 100 filles. [...]

Le Point

Pays arabes: une Egyptienne de Zurich enseigne la santé et la sexualité par Youtube

Alyaa Gad est médecin et réalise des vidéos destinées à faire progresser les
connaissances des femmes et des hommes du Moyen-Orient sur la santé et la sexualité.
Très populaire, elle mène aussi sur twitter un vif combat contre la charia.
Alyaa Gad est en Europe depuis une vingtaine d’années, elle vit aujourd’hui à Zurich. Elle est médecin, d’origine égyptienne. J’ai découvert son existence par Poste de Veille. Un hashtag qu’elle a créé, traduit de l’arabe par «Pourquoi nous rejetons l’application de la charia», a fait le buzz fin 2014. Mais cette initiative n’est que l’écume d’une activité beaucoup plus originale: l’éducation à la santé et à la sexualité par le biais d’une chaîne TV sur Youtube, avec la préoccupation majeure de la situation des femmes. La chaîne diffuse cet enseignement en arabe et en anglais.

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Alyaa Gad fait passer des valeurs humanistes et égalitaires par le biais d’un langage médical qui réussit mieux que des discours idéologiques. Ses productions ont déjà attiré des millions de visiteurs.
La découverte de cette franc-tireuse courageuse, ignorée des médias, valait bien une visite. La quarantaine joyeuse, Alyaa Gad nous accueille avec chaleur. Elle vit en Suisse avec son mari allemand depuis cinq ans. Elle a habité auparavant une dizaine d’années aux Pays-Bas, puis en Allemagne. Elle parle hollandais, arabe, anglais et allemand et s’excuse de ne pas encore
maîtriser le suisse-allemand. «Quand nous avons eu des enfants, nous avons eu envie de nous installer en Suisse pour des raisons familiales et en raison de son bon système éducatif. Aux Pays-Bas, j’enseignais dans une école d’infirmières. Ici à Zurich, mon mari dirige une clinique, et étant moi-même médecin, je travaille avec lui.»
Elle rêvait depuis l’âge de 20 ans de mettre sur pied des programmes d’éducation pour les femmes égyptiennes. «Mais dans les années 90, il n’y avait pas Internet. Pendant 15 ans, j’ai essayé d’impliquer des chaînes de télévision dans mon projet, aucune ne s’est montrée intéressée." On n’est jamais si bien servi que par soi-même: elle en a créé une sur YouTube il
y a cinq ans. Ses initiatives ne manquent pas de piment, ni de surprises.

Les femmes veulent parler mode

Elle produisait ses vidéos en arabe, désormais elle y a ajouté l’anglais. «Dans les pays riches du Moyen-Orient, j’estime que 50% des gens sont venus pour travailler, ils ne parlent pas arabe». Elle est aidée par une petite équipe technique de Hildebrand Media. «Ce qui les a décidés, ce sont les 6 millions de vues d’une de mes vidéos.» Et l’adhésion au projet! Au début, le public était principalement égyptien, «mais maintenant de plus en plus de mes téléspectateurs habitent en Arabie Saoudite». Et bizarrement, 85% de son public est masculin. «J’ai du mal à intéresser les femmes. Pour y arriver, je dois commencer par parler mode, maquillage, etc.» Et pour les deux sexes tenir compte de la mentalité islamique.
Cette année, à l’occasion de la Journée internationale des femmes, elle a eu la surprise d’être invitée par une chaîne saoudienne pour parler des droits des femmes. Elle raconte: «À la suite de cette émission, j’ai reçu un nombre incroyable de tweets insultants, la plupart d’Arabie Saoudite… Et une vingtaine de tweets élogieux. Les femmes des pays arabes doivent se battre
contre trois fléaux qui s’entremêlent: la pauvreté, l’ignorance et la maladie.»
Elle possède plusieurs chaînes: Afham TV, iUnderstand TV, EWA (English with Alyaa). Le thème «Sexe lors de la première nuit» lui a valu 2,3 millions de vues. Celui sur l’éjaculation précoce encore bien davantage. «Quand je vais en Égypte ou à Dubaï, je constate que beaucoup de gens me connaissent. Mais souvent, ils ne savent pas comment me considérer. D’un côté ils savent que je suis très anti-charia, et d’un autre ils ont besoin de moi, car je leur transmets des informations importantes sur leur santé.»

Masturbation et excision

Lorsqu’elle a réalisé un programme sur la masturbation féminine, les hommes se sont indignés. Elle leur a répliqué: «Sachant que vous êtes souvent en voyage -beaucoup d’hommes Égyptiens partent travailler dans un pays du Golfe-, préférez-vous que votre femme se contente elle-même ou qu’elle vous trompe avec un autre ? Une femme bien dans son corps aura une sexualité plus épanouie et c'est aussi dans votre intérêt.»
Elle constate que l’éducation sexuelle des hommes, dans les pays arabes, se fait par la pornographie. La grande majorité est accro. «Il y a des films d’éducation sexuelle, mais ils ne les regardent pas, 99% préfèrent le porno, avec ses illusions genre orgasme féminin en 5 secondes. La plupart des vidéos qu’ils visionnent mettent en scène des femmes blanches et très jeunes. Nourris de ces fantasmes, ils traitent leur femme comme celles de ces films, ils
méprisent les femmes réelles. Cette réalité est source de grandes difficultés dans les couples.»
Entre 80 à 90% des femmes égyptiennes sont excisées. «Si ma mère ne m’a pas fait exciser alors qu’elle l’était elle-même et que ses sœurs ont fait exciser leurs filles, c’est parce que nous vivions alors au Koweït, où l'excision n'est pas pratiquée.» Elle a aussi abordé ce sujet: «Je l’ai fait en me fondant sur des faits scientifiques, objectifs, j’ai entre autres expliqué le rôle du clitoris dans le plaisir. Beaucoup de femmes me disent combien elles sont désespérées
de ne rien sentir durant les relations sexuelles, l’une d’elles s’est même suicidée.»
Elle cherche des financements. Mais les organisations internationales et les ONG sont focalisées sur les changements politiques (lois en faveur de l’égalité notamment) et très peu sur les manières de faire évoluer les mentalités. Pour l’instant, le seul sponsor d’Alyaa est son mari.

Inciter à la tolérance

Dans le monde arabe, l’ignorance est immense dans les domaines de la santé et du handicap. Un professeur lui a par exemple révélé n’avoir jamais entendu parler de dyslexie. Elle a aussitôt réalisé un programme sur le sujet. Un internaute lui a alors avoué avoir compris ce qui gâchait toute sa vie. «Par l’information, j’essaie de rendre les gens plus compréhensifs et plus tolérants envers la différence, le handicap. Cela peut sauver des vies. Mais je dois y aller progressivement. Les mentalités évoluent lentement.»
A-t-elle essayé d’obtenir un soutien à son action de la part des imams et associations musulmanes de Suisse? La question l’amuse: «Bien sûr que non, ils ne m’aiment pas. Ils savent que je suis très anti-charia. J’essaie d’ailleurs d’alerter les Occidentaux sur la naïveté qui consiste à croire que la charia peut être adoucie. La charia est pire que l’idéologie nazie.»
Lorsqu’elle remet en cause certaines affirmations du Coran dans ses vidéos, c’est en se plaçant sur le terrain scientifique. «J’ai parlé par exemple du développement de l’embryon. D’après le Coran, les os se forment avant la chair. J’ai montré que c’est le contraire.» 
Selon elle, nos sociétés sont bien naïves. «Quand je suis arrivée en Occident, j'étais assez religieuse. J’avais subi le lavage de cerveau classique contre les Occidentaux, des gens sans morale, sans esprit de famille, sans pudeur... En fait, l’Occident est tolérant, c’est bien, mais parfois il faut cesser de l'être pour se défendre. Les Pays-Bas paient aujourd’hui leur trop grande tolérance. Certaines mosquées ont un discours du genre: reproduisez-vous afin que nous soyons un jour en majorité pour supprimer la démocratie et instaurer la charia. Je pense que la culture occidentale pourrait très bien disparaître.»

Eduquer les nouveaux arrivants en Europe

Elle considère que l’immigration est nécessaire, mais elle préconise des conditions d’accueil drastiques. «Vous en avez besoin, parce que vous n’avez pas assez d'enfants. Mais vous devez absolument éduquer les nouveaux arrivants afin qu'ils acceptent totalement la mentalité occidentale.»
Le chaos actuel des pays arabes, les persécutions qu’ils font subir, leurs luttes fratricides correspondent à ses yeux à un chaos mental: «Il y a une grande immaturité émotionnelle au Moyen-Orient. La haine se dirige vers certains groupes sans fondement rationnel, par exemple sunnites contre chiites, alors que les gens ne connaissent même pas la différence entre les deux. Il existe une grande haine contre tous ceux qui sont différents. C’est dû à l’ignorance et à la pauvreté.»
Alyaa a abondamment relayé et commenté un célèbre hashtag en arabe qu’on peut traduire par «Moyen-Orient Hôpital psychiatrique». «Nous listons les contradictions du monde arabe. Ce que nous faisons, c’est tendre un miroir. L’être humain a besoin d’argent et de nourriture, mais aussi d’éducation.»
Les pays du Golfe, observe notre interlocutrice, possèdent les médias de la région et exercent une grande influence dans le monde arabe. «Les Occidentaux n’imaginent pas la haine que produisent ces médias à leur encontre. L’argent du pétrole nourrit l’idéologie wahhabite.»
Les textes religieux ne sont pas sa tasse de thé. Enfant, elle a été traumatisée par l'histoire d’Abraham prêt à tuer son fils, puis plus grande par le mariage de Mahomet avec la petite Aïcha. «Plus tard, j’ai été choquée en lisant les textes, par exemple Bukhari et ses hadiths. En général, les musulmans modérés ne savent pas ce qui est écrit dans ces livres fondateurs.»

AU PROGRAMME

Alyaa Gad valorise dans ses interventions l’intelligence individuelle, le fait de penser par soi-même, l’égalité des sexes. Elle se place sur le terrain «objectif» de la médecine dans ses vidéos, mais ses convictions affleurent. Et si elle affirme «j'évite de lancer de gros pavés dans la mare», on ne peut s’empêcher de penser qu’elle adore ça. Son activité de tweeteuse (des dizaines de milliers de personnes la suivent) tendrait à le prouver. Le hashtag sur la charia est
né d’attaques incessantes d’un internaute auquel elle a voulu répondre. «C’est grâce à cet imbécile que je suis devenue célèbre.» Elle est aussi très présente sur Facebook.
Ses programmes TV sont conçus pour être repris par des professionnels dans des cliniques, des lieux d’aide ou de soins. Lorsqu’elle a commencé avec son équipe à réaliser ses vidéos en anglais, leur production a comptabilisé en quelques semaines un million de clics.
Son spectre d’intervention est large: famille, développement personnel, gestion des émotions, santé, sexualité. Dans ce dernier domaine, elle a par exemple abordé la question des MST, de l’importance de la taille du pénis dans les relations sexuelles, de l’addiction à la pornographie, du point G. Et question santé: de la nécessité de la vitamine D qui implique d’exposer son
corps à la lumière.

http://afham.tv

Journal Le Temps : « Osons la fluidité des genres »

Dans «Une Nouvelle Amie», François Ozon joue avec l’idée du travestissement. Un brillant numéro de funambule entre norme et «perversion»

Cinéaste trop raffiné pour faire des films ouvertement gay, Ozon n’a-t-il pas toujours préféré ses personnages féminins? Dans cet ordre d’idées, Une Nouvelle Amie est sans doute son film à la fois le plus honnête et le plus surprenant, qui se joue des genres tant cinématographiques que sexués.

Sauf qu’en illustrant en flash-back cette sorte d’idylle brisée comme une vulgaire publicité d’assurance vie, le cinéaste nous rappelle déjà ce que la normalité peut avoir de désespérant. Quelques semaines plus tard, en arrêt de travail, Claire surprend David déguisé en femme. David lui explique qu’il a toujours aimé se travestir, même s’il n’est pas homosexuel.

Et si les sexes n’étaient pas aussi clairement définis qu’on le croit? Le désir plus trouble?

Quant à Ozon, il dépasse ici toute théorie du genre pour exalter un continuum sexuel dans lequel tout le monde aurait enfin sa place. Réalité ou utopie?

Source (Article réservé aux abonnés)

Sexualité : Pour Arte, ce sont les enfants qui en parlent le mieux

Arte propose sur son site Internet une série de films de deux minutes sobrement intitulée « Éducation sexuelle ».

Réalisé par John Deneuve et un certain Doudouboy, chaque film permet d’éclairer le (jeune) téléspectateur sur une pratique sexuelle. Le format est toujours le même. Une voix de petite fille commence : « Lorsque j’ai des questions à propos de la sexualité, mon papa et ma maman me répondent. » Puis la fillette questionne le « papa » et la « maman », qui répondent de façon plus ou moins évasive avant qu’une certaine « Clara Morganemmanuelle » (quelle impertinence) n’éclaire l’enfant de façon beaucoup plus crue.

Ce cours d’éducation sexuelle concerne des pratiques que même l’industrie pornographique considère comme marginales. Au menu : anulingus, « golden shower », « ass-to-mouth », etc. Pour Arte, ce sont les enfants qui en parlent le mieux…

Rappelons qu’Arte est une chaîne de service public. Détenue en effet, pour sa branche française, par France Télévisions (45 %), l’État français (25 %), Radio France et l’INA (15 % chacun), la chaîne est financée par le contribuable français. Créée pour promouvoir la culture européenne, c’est le médiéviste, membre du collège de France et de l’Académie française George Duby qui en fut le président du conseil de surveillance à sa création en 1992. Il fut remplacé dès 1993 par Bernard-Henri Lévy qui, depuis, à sans cesse été reconduit. Après son dernier renouvellement à la présidence du conseil de surveillance en juillet dernier, il déclarait sans rire :

« Arte, c’est plus qu’une chaîne de télévision. C’est un endroit où, tous les soirs, on fabrique de l’Europe, on façonne et invente de la culture européenne vivante. »

 

La ville de Genève s’associe au festival LGBT Everybody’s Perfect

Le Service Agenda 21 – Ville durable s’est associé avec le festival du film lesbien, gay, bi, trans, intersexe, queer et allié-e-s (LGBTIQ&A) de Genève pour un programme Genre et sports.

Lancé en 2010, Everybody’s Perfect fêtera sa troisième édition du 19 au 28 septembre aux Cinémas du Grütli. Le Service Agenda 21 – Ville durable s’est associé avec l'équipe d'organisation pour proposer un débat et des projections dans le cadre de son programme «Genre et sports 2014».

La pratique sportive est en effet un véritable enjeu pour les personnes LGBTIQ, tant l’univers du sport, pourtant porteur de valeurs de tolérance et de respect, est aussi un lieu d’expression de l’homophobie et de stéréotypes de genre marqués. Les films, courts et longs, documentaires ou de fiction, permettent de questionner ces stéréotypes et de donner des réalités différentes, qu'elles viennent d'ici ou d'ailleurs.

Source

homme-tutu

Description du festival par Le Temps:

Le festival genevois Everybody’s Perfect explore cette année la galaxie «queer», l’homophobie d’Etat et la sexualité du corps sportif.

Combien d’orientations sexuelles existe-t-il chez les humains? Ben… deux: hétéro ou homo. Ah, non, minute, on peut aussi être bisexuel: donc trois. Mais… les transsexuels et intersexes entrent-ils dans ces trois cases? Probablement pas… Et les queer, où se placent-ils? «Ils jouent avec tous les signes de l’identité sexuelle. Ils adoptent ces codes, qu’ils mélangent à souhait, de manière personnelle. Ils parlent d’un continuum qui s’étend entre les deux extrêmes de la polarité sexuelle», explique Agnès-Maritza Boulmer, coprésidente d’Everybody’s Perfect – Festival de cinéma LGBTIQ & A, dont la troisième édition se tiendra à Genève du vendredi 19 au dimanche 28 septembre.

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