Les Alémaniques critiquent vertement les autorités vaudoises pour leur gestion passive de l’épidémie et leur «contact tracing» défaillant.
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Le «Tages-Anzeiger» se montre encore plus dur. Le chef du Bureau politique au Palais fédéral, Fabian Renz, estime carrément que «Vaud représente un danger pour la Suisse». Il estime que les autorités du canton ont échoué dans leur lutte contre l’épidémie. Non seulement elles se sont montrées trop passives, mais encore elles ne tirent pas les leçons d’un contact tracing défaillant, comparé aux autres cantons.
À ce sujet, le journaliste étrille la présidente du gouvernement, Nuria Gorrite, pour «son commentaire désinvolte» quand elle explique que la recherche des contacts est plus difficile dans un grand canton comme Vaud. Il constate que les autorités, avec une «nonchalance» coupable, privilégient l’économie à la santé et ses hôpitaux toujours plus menacés.
#COVID19 La pandémie démontre ce que nous savons tous: des millénaires de patriarcat ont abouti à un monde dominé par les hommes avec une culture dominée par les hommes qui nuit à tout le monde - femmes, hommes, filles et garçons.
The #COVID19 pandemic is demonstrating what we all know: millennia of patriarchy have resulted in a male-dominated world with a male-dominated culture which damages everyone – women, men, girls & boys.
Le président du parti socialiste, Christian Levrat, veut faire payer la facture du nouveau coronavirus aux riches. "La crise doit être payée par ceux qui ont réalisé des profits pendant la crise", déclare-t-il vendredi dans la presse.
"Nous voulons créer un fonds alimenté par une taxe de solidarité", explique le conseiller aux Etats fribourgeois dans un entretien diffusé par les journaux alémaniques du groupe de presse Tamedia. Les plus hauts revenus devraient être soumis à un supplément de 10% d'impôts fédéraux pendant un certain temps, ajoute-t-il.
Pendant ce temps, nos élus octroient 11 milliards aux "pays en voie de développement" sans aucun garde-fous, alors que nous avons besoin de cet argent.
Comment se fait-il qu'il n'y ait aucune votation à ce sujet?
Le Dr Yan Limeng travaillait au laboratoire P4 de Wuhan, elle affirme dans cette vidéo que le virus n'est pas naturel, que le PCC le savait, et probablement de nombreuses instances des milieux scientifiques.
Si ce qu'elle dit est vrai, et je la crois, il s'agit bien d'une arme bactériologique, et donc d'une guerre mondiale.
Pour rappel, la semaine dernière, sur France Info un "expert" expliquait que le virus était naturel, et était un mutant de deux virus, un virus de pangolin et un virus de chauve souris.
Et pour se combiner et créer le covid19, un pangolin avec le virus était dans une cage, dans une pièce ou il y avait une cage avec des chauves souris qui avait un autre virus, et que probablement une fourmis avait été du pangolin à la chauve souris, ce qui avait provoqué un passage de virus et une mutation, et ensuite les chauves souris et le pangolin ont été vendu sur le marché ce qui a propagé ce virus.
A vous de voir si vous trouvez l'explication de l'expert de France Info plus crédible que celle du Dr Limeng Yang... Aucun doutes de mon côté.
L’intéressé a déposé une demande d’asile en novembre 2018, demande qui a été rejetée en février 2019 par le Secrétariat d’État aux migrations (SEM). En juillet 2019, cet homme connu sous deux noms et dont l’identité n’a pas été encore établie avec certitude a été condamné pour vol en bande et par métier, dommages à la propriété, violation de domicile et recel. Il a écopé d’une peine de 34 mois, assortie d’une expulsion pour 9 ans.
Renvois gelés par le Covid-19
En septembre 2019, l’Office des migrations du canton de Zurich a décidé de le transférer de l’exécution de peine à la détention en vue du renvoi. Cette dernière a été prolongée à plusieurs reprises. D’une part parce que des demandes d’identification auprès des autorités algériennes et marocaines sont restées vaines jusqu’à présent. D’autre part, parce que l’épidémie de Covid-19 a gelé les possibilités concrètes de rapatriement.
Fin juin, Compenswiss a enregistré des pertes allant de 1,5% à 2% à cause de la crise du coronavirus. Son président note toutefois que l’impact sur les fonds est faible.
Les Fonds de compensation AVS/AI/APG (compenswiss) ont enregistré des pertes entre 500 et 750 millions de francs depuis le début de la crise due au coronavirus. L'impact de ces pertes sur les 35 milliards de francs dont sont dotés les Fonds reste faible.
Les pertes oscillaient entre 1,5% et 2% à la fin du mois de juin, a indiqué à la «SonntagsZeitung» [...]
Compenswiss a réagi à la fin du mois de février, lorsque les fluctuations des cours sur les marchés boursiers ont augmenté. L'établissement de droit public a réduit sa proportion d'actions. M. Leuthold a cependant été surpris par la rapidité avec laquelle le cours des actions est reparti à la hausse ensuite.
Le sexagénaire a ajouté que les pensions avaient été garanties même pendant la phase la plus grave de la crise. Les investissements ont été faits dans des placements très liquides qu'il était possible de vendre à tout moment. «Seuls 15 % environ de nos investissements sont difficiles à vendre», a estimé M. Leuthold.
Retard dans les cotisations
Les institutions de prévoyance ont aussi remarqué un retard dans les paiements des cotisations. Il manque un milliard de francs par rapport à ce qui était budgétisé à la moitié de cette année, a relevé M. Leuthold, ajoutant qu'il n'avait «jamais enregistré un écart aussi important».
Lors du Sommet extraordinaire Chine-Afrique tenu en vision conférence, Xi Jinping a promis de fournir l’éventuel vaccin chinois contre le nouveau coronavirus, en priorité, aux pays africains. Le Président chinois n’a pas manqué d’annoncer le soutien financier au pays africains jugés vulnérables.
Quand la Chine aura terminé la mise au point d’un vaccin contre le Covid-19, les pays africains seront parmi les premiers à l’obtenir, a déclaré le Président chinois. «Nous promettons qu’une fois les études et le développement du vaccin chinois contre le Covid-19 terminés et son utilisation débutée, les pays africains seront parmi les premiers à en bénéficier», a assuré Xi Jinping lors de son intervention au Sommet extraordinaire Chine-Afrique consacré à la lutte contre le nouveau coronavirus.
https://voiceofeurope.com - Par Emma R. 22 mai 2020
Entre le 13 et le 20 mai, la Suède a enregistré 6,08 décès par million d’habitants et par jour . C’est le taux le plus élevé au monde, au-dessus du Royaume-Uni, de la Belgique et des États-Unis, où ce chiffre est respectivement de 5,57, 4,28 et 4,11.
À ce stade de la pandémie, le pays scandinave a le taux de mortalité par habitant le plus élevé, selon un tracker du Financial Times qui utilise une moyenne mobile des nouveaux décès sur sept jours.
Ces dernières semaines, alors que la mortalité a considérablement baissé dans d’autres pays européens tels que l’Espagne, l’Italie, la France et le Royaume-Uni, celui de la Suède est resté obstinément élevé.
Mercredi, 3831 personnes sont décédées du Covid-19 en Suède, un pays de 10 millions d’habitants. Le Danemark, la Finlande et la Norvège, qui comptent chacun environ 5 millions d’habitants,ont enregistré un nombre de décès de 551, 301 et 233, respectivement.
[…]
L’approche de la Suède, qui n’a pas opté pour le confinement, a attiré l’attention de la communauté internationale et a fait l’objet de certaines critiques. […]
L’épidémiologiste Anders Tegnell, le porte-parole de la stratégie suédoise contre le coronavirus, a rejeté ces chiffres, arguant qu’il est trompeur de se concentrer sur une seule semaine.
Il a aussi suggéré qu’une deuxième vague de la maladie pourrait être moins forte en Suède que dans les pays qui ont imposé un confinement (ndlr. : allusion à l’immunité de groupe).
« Je pense que la stratégie suédoise s’est révélée soutenable. Nous recevons maintenant des chiffres montrant que les gens adhèrent de plus en plus à nos conseils, et non de moins en moins", a affirmé M. Tegnell.
Bien que les hôpitaux suédois aient fait état de conditions tendues, ils n’ont pas été débordés.
A l’hôpital Danderyd de Stockholm, Klara Bergmark, chef de l’unité de soins intensifs, a déclaré aux journalistes de l’AFP que le personnel était peut-être fatigué, mais qu’il se préparait à travailler à un niveau plus élevé pendant l’été et peut-être « toute l’année ».
Jeudi 21 mai : « […] La semaine dernière, la Suède est le pays qui a enregistré le plus de décès par habitant au monde (selon les chiffres de l’université d’Oxford et du site de statistiques Our World in data). […] »
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Suède : oxygène refusé à des patients âgés atteints du Covid-19
Voice of Europe, 6 mai 2020
Un médecin suédois s'est lancé dans une croisade pour montrer que les autorités de son pays refusent délibérément aux personnes âgées des traitements à l'oxygène qui pourraient leur sauver la vie quand elles sont infectées par le virus de Wuhan.
Le Dr Jon Tallinger, alias "Whistleblower MD" sur les réseaux sociaux, est médecin généraliste dans une clinique de la province du Småland, dans le sud de la Suède. Il s'occupe d'environ 2 000 patients. Le 5 mai, il a passé sur la chaîne YouTube "Angry Foreigner" pour parler de ce qu'il a découvert, car aucun média suédois mainstream n'a voulu diffuser ses informations.
Tallinger affirme que les autorités de son comté ont envoyé une vidéo au personnel médical des maisons de retraite sur la manière de traiter les patients atteints du virus de Wuhan. Dans cette vidéo, il est dit aux médecins de ne pas envoyer à l'hôpital les patients âgés infectés souffrant de problèmes respiratoires, et de les traiter uniquement à la morphine pour l'anxiété. Il n'y est jamais question d'oxygène, alors que la suffocation est la manière la plus fréquente dont survient la mort des patients du Covid. Autrement dit, suivre ces instructions signifie que de nombreux patients âgés vont mourir par asphyxie. Selon Tallinger, cela montre que les autorités refusent aux personnes âgées des soins qui pourraient leur sauver la vie.
Depuis que Tallinger a révélé ces faits sur sa page Facebook, des documents ont fuité d'autres comtés de Suède qui affirment clairement que l'oxygène ne doit pas être administré aux patients âgés souffrant de problèmes respiratoires dus au virus.
Tallinger ajoute que ce ne sont pas seulement les personnes âgées qui sont menacées par cette directive, mais de nombreux types de patients souffrant de troubles chroniques, comme les trisomiques, eux aussi particulièrement vulnérables à la privation d'oxygène.
Dans la vidéo, Tallinger déclare que cette directive est une "violation des droits humains" et qu'elle "devrait être traitée comme un crime et poursuivie".
Tallinger estime qu'environ deux tiers des patients atteints du virus dans les maisons de retraite pourraient être sauvés grâce à l'oxygénothérapie. Cela fait plus de 15 000 décès qui pourraient être évités. Si un effort important est entrepris pour administrer de l'oxygène aux patients, dit Tallinger, "nous ne sauverons pas tout le monde, mais nous aurons fait notre possible".
Tallinger a souligné aussi que de nombreuses maisons de retraite en Suède n'ont aucun équipement pour l'administration d’oxygène, et que contrairement à d'autres pays, le personnel médical qui travaille auprès des personnes âgées porte souvent pas ou peu d'équipement de protection, ce qui augmente le risque que les patients soient infectés par leurs propres soignants.
Si quelques autres professionnels de la santé ont exprimé leur soutien au Dr Tallinger depuis ses révélations, la plupart le considèrent comme un traître. Lui-même craint de n'être plus jamais autorisé à travailler dans des établissements de l'État. Un soignant qui l'avait soutenu a été contraint de retirer sa déclaration après avoir été menacé de poursuites judiciaires par son employeur.
Il est devenu "dangereux de dire ce qu'on pense en Suède", dit Tallinger. […]
Un document divulgué le mois dernier a montré que les hôpitaux de Stockholm ont pour instruction de dénier aux personnes âgées la priorité pour les soins intensifs en cas de crise (Voice of Europe). Mais Tallinger a souligné à ce propos que l'administration d'oxygène ne constitue pas des soins intensifs et que les deux directives ne sont pas liées.
Source: Voice of Europe (6.05.2020)
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Suède : Les personnes âgées ne devraient pas être prioritaires pour les soins intensifs en cas de crise
Voice of Europe, 12 avril 2020
Un document officiel obtenu par la presse suédoise auprès du Centre hospitalier universitaire Karolinska de Stockholm recommande aux médecins de priver de soins les patients âgés en cas d’une urgence sanitaire due à l’épidémie de coronavirus (Covid-19). Le CHU Karolinska est le deuxième plus grand de Suède.
Le document, qui a été distribué aux médecins de l’hôpital, est basé sur les lignes directrices élaborées par le Conseil national suédois de la santé et de la protection sociale sur la manière de gérer les situations qui pourraient survenir lorsqu’il y a plus de patients que de places dans les unités de soins intensifs (USI) suédoises en raison de la pandémie. Il a été reproduit dans un article de l’Aftonbladet.
Les lignes directrices conseillent au personnel médical de ne pas admettre aux soins intensifs les patients de plus de 80 ans lorsque les places sont limitées en cas de crise. Elles recommandent également de ne pas admettre les personnes de plus de 70 ans qui souffrent d’une « pathologie importante » de plus d’un organe (cœurs, poumons ou/et reins), ainsi que les personnes de plus de 60 ans qui souffrent d’une pathologie de plus de deux organes.
Il est également conseillé que les personnes appartenant à l’une de ces catégories qui seraient déjà en soins intensifs en soient retirées en cas de situation de crise, afin de faire de la place pour d’autres personnes ayant de meilleures chances de survie. Il en serait de même pour celles qui connaîtraient une pathologie d’organe pendant qu’ils sont aux soins intensifs.
En outre, le document suggère que les patients soient évalués en fonction de leur « âge biologique » plutôt que de leur âge réel– c’est-à-dire qu’un patient qui est déjà en mauvaise santé pourrait être évalué comme étant biologiquement plus âgé que ce qu’indique sa date de naissance. […] L’hôpital Karolinska a confirmé que c’est bien la ligne que l’hôpital suivra en cas de crise.
Björn Eriksson, directeur de la santé pour la région de Stockholm, a précisé à l’Aftonbladet que ce triage n’entrerait en vigueur que lorsque les hôpitaux seraient à court de places dans leurs unités de soins intensifs (USI), ce qui n’est encore arrivé nulle part en Suède. En effet, si le nombre de patients nécessitant des soins intensifs a augmenté avec l’épidémie, le nombre de places dans les USI a également augmenté. Jeudi (9 avril), 79 des plus de 300 places disponibles dans les USI de Stockhom étaient vacantes.
Ces révélations ne sont pas le seul motif d’inquiétude pour les personnes âgées ou souffrant de problèmes de santé chroniques en Suède. Le Conseil suédois de la santé et de la protection sociale a également publié des directives selon lesquelles les patients doivent être évalués uniquement sur la base de leur état de santé, et non de leur citoyenneté ou de leur statut juridique - ce qui signifie que les immigrés clandestins pourraient recevoir une priorité plus élevée que les citoyens suédois dans certaines situations médicales, comme l’a déjà signalé Voice of Europe.
Source en anglais : Voice of Europe (12.04.2020)
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La Suède est encore loin de l'immunité collective, même si elle n'a pas été mise en quarantaine
La Suède aurait gagné 3% en immunité collective, arrivant à 8% au lieu de 5% qui est la moyenne des pays confinés… mais c’est toujours très loin des 70% nécessaires :
Cenator: La Suède a refusé le confinement et elle est saluée par les gauchistes, comme étant la preuve que ce pays est l’aboutissement ultime du progressisme, qu’il arrive à faire des miracles grâce au sens de la responsabilité individuelle de sa population unie dans les épreuves.
Pour la droite, qui pense que le non-confinement à la suédoise aurait pu nous éviter le désastre économique, la Suède est également devenue la preuve que cette solution était possible.
Une autre voie est celle que Orban a choisie : chaque vie compte, chaque vie doit être sauvée et il faut tout mettre en œuvre pour ne jamais être obligé de choisir entre qui doit vivre et qui doit mourir faute d’équipement. Comme beaucoup de pays, la Hongrie n’était pas préparée à la pandémie. Il a donc fallu fermer au plus vite les frontières, gagner du temps, s’équiper, mettre en place une task force de professionnels. Résultat, la Hongrie dénombre dix fois mois de victimes du virus que la Suisse.
La Suède, au contraire, a procédé à une forme d’euthanasie des personnes âgées et des personnes atteintes de plusieurs pathologies, les laissant sciemment « crever » par étouffement dans une agonie faites de suffocations horribles.
75 ans après la Deuxième Guerre mondiale, l’élimination d’une partie de la population jugée superflue et coûteuse est de nouveau d’actualité. Juste parce qu’un gouvernement délirant, immoral et dégénéré a décidé qu’une catégorie de la population n’avait pas droit aux soins.
Après que ce médecin généraliste suédois, le Dr Jon Tallinger, ait fait un appel, via les réseaux sociaux, aux témoins de ce sénécide, plusieurs soignants suédois ont témoigné pour dénoncer la situation, alarmante, confirmant le scandale du refus de soins à une partie de la population et le manque de matériel de protection élémentaire pour les soignants. La folie allait jusqu’à l’interdiction pour les soignants de porter des masques, (quasi inexistants) sous prétexte d’un faux sentiment de sécurité.
Les comptes numériques de Tallinger ont été suspendus, censurés à plusieurs reprises, ses informations considérées comme « fake news » par Facebook, Youtube et les « fact checkers», tous idéologiquement de gauche, tous derrière la Suède progressiste. Mais c'était déjà trop tard, Tallinger était devenu un personnage public, et ses vidéos étaient devenues virales.
Ce non-respect des aînés et des plus fragiles, dans ce sanctuaire de la tolérance pour la «diversité», a montré au monde le vrai visage du progressisme.
Il est probable que le gouvernement suédois ait été invité par la gauche internationale à cesser de vouloir nier des évidences car les reportages, les interviews avec le Dr Tallinger avaient fait « la une » en Inde, au Japon, etc., en passant par l'Afrique. Et dans ces pays, les aînés sont honorés et respectés, et ces vidéos n’avaient pas tardé à déclencher une énorme indignation. Il n’était plus possible de réduire «Whistleblower MD» au silence, de persister à cacher la vérité.
Le Dr Tallinger pense qu’il faudrait instaurer une sorte de « Nuremberg » pour mettre les dirigeants suédois face à leurs responsabilités… mais probablement il ne se passera rien de tel.
Ci-dessous des vidéos du lanceur du Dr Tallinger.
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19 mai
https://www.youtube.com/watch?v=ehg8aszyWww
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3 mai - Après la diffusion de cette vidéo, cette infirmière de Stockholm, Latifa Löfvenberg, a été licenciée pour avoir témoigné sur les pratiques suédoises concernant le refus d’oxygène aux personnes âgées.
https://www.youtube.com/watch?v=f0F1HiBA7lQ
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5 mai
Whistleblower M.D. - La Suède refuse l'oxygène aux patients âgés
"La Suède viole les droits de l'homme" - Jon Tallinger est un médecin qui plaide auprès du monde extérieur pour attirer l'attention sur ce qui se passe ici en Suède. Les personnes âgées se voient refuser l'oxygène dans les maisons de retraite, tandis qu'on dit au personnel de ne même pas prendre la peine de les conduire à l'hôpital. Les médecins aussi ont pour instruction de ne pas se préoccuper de l'efficacité des traitements.
"Ils nous ont dit que nous ne devions envoyer personne à l'hôpital, même s'ils ont 65 ans et qu'il leur reste de nombreuses années à vivre. On nous a dit de ne pas les envoyer", explique Latifa Löfvenberg, une infirmière qui travaillait dans plusieurs maisons de soins autour de Gävle, au nord de Stockholm, au début de la pandémie.
"Certains peuvent avoir encore beaucoup d'années à vivre avec leurs proches, mais ils n'en ont pas la chance... parce qu'ils n'arrivent jamais à l'hôpital", dit-elle. "Ils meurent par suffocation. Et c'est beaucoup de panique et il est très difficile de rester sans rien faire."
[...]
Mikael Fjällid, consultant privé suédois en anesthésie et soins intensifs, estime que "beaucoup de vies" auraient pu être sauvées si davantage de patients avaient pu avoir accès à un traitement hospitalier, ou si les travailleurs à domicile avaient reçu des responsabilités accrues pour administrer eux-mêmes l'oxygène, au lieu d'attendre les équipes d'intervention spécialisées dans le Covid-19 ou les ambulanciers.
"Si vous avez besoin de soins et que vous pouvez en bénéficier, par exemple, ou d'oxygène pendant une courte période, vous devriez l'avoir. Comme tout autre groupe d'âge de la population", déclare M. Fjällid, un critique de droite du gouvernement de centre-gauche.
"Si plus de 20% de la population survit sans rien, on peut supposer que la même quantité ou la même proportion aurait survécu avec un supplément d'oxygène."
12 mai - De nouvelles preuves ! Pas de O² en Suède
https://www.youtube.com/watch?v=v9lyMgO7nyc
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Ma réponse aux reporters étrangers
https://www.youtube.com/watch?v=2TOrF5-zF84
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La majorité des gens qui ne se renseignent que par les médias mainstream n’ont jamais vu d’images ni de reportages sur les no-go-zones suédoises...
Et la majorité de notre population ignore totalement les faits divers en Suède liés au multiculturalisme, dont voici des extraits publiés sur notre site durant la pandémie :
En Suisse, aucun débat public n’a été mené dans les médias sur ce sujet, au contraire de la pléthore d’émissions mensongères sur l’horrible dictature que la Hongrie aurait instaurée sous prétexte de pandémie. A l’heure actuelle, en Hongrie, l’état d’urgence a été levé, contrairement à la France, l’Allemagne ou la Suède.
Par contre, durant toute l’épidémie, la Suède a été citée en exemple pour sa gestion remarquable et originale de la pandémie.
La RTS a salué, elle aussi, ce merveilleux paradis progressiste qui ne confine pas, mais qui arrive à vaincre le virus grâce au sens civique très développé de sa population et en misant sur l’immunité collective ; « C’est une approche intéressante », selon un reportage de la RTS, qui montre une image idyllique, avec des jeunes filles suédoises (dans le reportage, tout le monde est blanc) en train de siroter des cocktails au soleil.
Et pendant que les jeunes filles sirotaient leurs cocktails, des personnes âgées suffoquaient par manque de soins. Ci-dessous, des reportages élogieux de la RTS sur la formidable gestion de la pandémie par ce paradis du progressisme que serait la Suède :
Comme il n'y avait pas de masques, le gouvernement belge a proclamé qu'ils n'étaient pas nécessaires. Ce sommet de l'ineptie gouvernementale est encore visible sur la page personnelle de la ministre de la Santé Maggie De Block : « se protéger du coronavirus avec un masque n'a pas de sens ».
Pas de masques, pas de dépistage, presque pas de tests et des personnes âgées abandonnées à la mort dans des maisons de retraite - telle a été la situation de la Belgique au milieu de la pire pandémie depuis la grippe espagnole de 1918. Ce carnage belge - totalement évitable - a été la conséquence de l'incompétence tragique des "élites" politiques du pays.
L'heure n'est pas encore au bilan, pays par pays, de la gestion du COVID-19 ; mais une chose est sûre : la Belgique est le cœur d'un immense carnage.
Tout a commencé en 2015, quand le gouvernement du Premier ministre Charles Michel (actuel président du Conseil européen) a décidé de détruire l'intégralité du « stock stratégique » de 63 millions de masques de protection, - y compris 1200 palettes du précieux masque FFP2 - soigneusement stockés et gardés par l'armée dans ses casernes de Belgrade, à Namur. Ces masques étaient « périmés », a déclaré la ministre de la Santé, Maggie De Block, toujours en poste. « Pas du tout », a fait savoir le principal syndicat de l'armée belge, « ces masques ont été incinérés ... pour transformer les lieux en « logements pour les réfugiés ». En 2015, la Belgique et l'Europe ont été submergés par les migrants que la chancelière allemande Angela Merkel avait invité et que les lois de l'Union européenne et la Convention européenne des droits de l'homme ont empêché d'expulser.
L'ensemble du stock stratégique de masques a donc été incinéré, et jamais remplacé - une décision de De Block qui, compte tenu de la régularité des épidémies et des pandémies, équivaut à un délit. « Gouverner, c'est prévoir », a déclaré Emile de Girardin.
Quand la pandémie de coronavirus a atteint la Belgique, ce malheureux pays n'avait presque plus de masques - zéro masques pour les citoyens, zéro masques pour la police, zéro masques pour les maisons de retraite et presque zéro masques pour les hôpitaux.
La pandémie a d'abord éclaté en Italie avant de se répandre en Belgique. En raison des liens économiques étroits que les industries italiennes du textile et de la mode entretiennent avec la Chine, l'Italie du Nord a été l'épicentre de la pandémie en Europe. L'Italie a attendu le 31 janvier pour rompre ses relations aériennes avec la Chine, - une date bien trop tardive –, car le 21 février, plusieurs villes italiennes étaient déjà en confinement.
Nombre de Belges, notamment dans le sud de la Belgique (Wallonie), ont des racines italiennes, mais plus nombreux encore sont les Belges qui aiment l'Italie. Si bien qu'entre le 22 et le 23 février, en pleine pandémie, des dizaines de milliers de Belges ont profité des fêtes du Carnaval pour se rendre en Italie sans que le gouvernement belge lance un quelconque avertissement.
Quand ces touristes belges sont rentrées d'Italie, principalement à travers les deux principaux aéroports belges - Bruxelles-Sud (Charleroi) et Bruxelles (Zaventem) – aucun filtre n'a été installé. L'Italie avait bien instauré un contrôle à leur arrivée, mais au retour les autorités belges n'ont pas levé le petit doigt. À l'époque, la ministre de la Santé, Maggie De Block, a déclaré que le contrôle de la température corporelle était inutile et que la fermeture de la frontière n'avait aucun sens : « Un virus ne s'arrête pas aux frontières » avait-elle affirmé. Le Dr Marc Wathelet a bien tenté d'alerter le ministre, mais De Block l'a traité de « dramaqueen » (reine du drame), un tweet qu'elle a ensuite très vite supprimé. Ces Belges non dépistés en provenance d'Italie semblent avoir joué un rôle-clé dans la propagation de l'épidémie en Belgique.
Début mars, le gouvernement de la Première ministre Sophie Wilmès - du Mouvement Réformateur, le même parti de centre-gauche que son prédécesseur Charles Michel -, n'a rien objecté à la possibilité offerte aux Belges de participer à des rassemblements de masse comme le Salon Batibouw (immobilier), la Foire du Livre ou la manifestation de la Journée internationale de la femme le 8 mars. Le 8 mars, en Italie, 366 personnes étaient déjà mortes du virus.
Le 23 mars, quand Wilmès est passée à l'action, ce fut sous forme de directives interdisant au secteur privé de proposer ses services dans le domaine des masques et des médicaments. Le gouvernement s'est arrogé le monopole de l'action.
Malheureusement, ces politiciens professionnels et leurs "experts" n'avaient guère d'expérience dans le domaine du commerce international. Le premier lot de masques commandé par le gouvernement belge n'a tout simplement jamais été livré ; les masques de la seconde commande n'ont été efficaces que pour faire du café. Et quand un entrepreneur belge s'est proposé de faire livrer plusieurs millions de masques aux autorités, il a été vilipendé et traité d'« escroc » - sans aucune preuve - - mais , « Hé, nous sommes dans l'urgence, nous n'avons pas le temps d'apporter des preuves ! »
Début avril donc, deux mois après la propagation de la pandémie en Europe, non seulement la Belgique était toujours en panne de masques, mais les professionnels de santé – on n'évoque même pas le cas de citoyen lambda – ont été exposés quotidiennement au risque de contagion sans quasi aucune protection.
La Belgique étant vide de masques, le gouvernement a annoncé qu'ils n'étaient nullement nécessaires. Ce sommet de l'ineptie gouvernementale est encore en ligne sur le site personnel de la ministre de la Santé Maggie De Block : « Compter sur un masque pour se protéger du coronavirus n'a pas de sens ».
A défaut de masques, il aurait été possible d'affronter le virus avec des tests de dépistage- une pratique que recommande l'Organisation mondiale de la santé (OMS) elle-même. Les tests sont simples à développer et, en cas de pandémie, représentent une première réponse efficace. Les capacités médicales de la Belgique sont énormes - hôpitaux, médecins, laboratoires publics et privés et puissants groupes chimiques cotés en bourse - et les dépenses publiques dans le secteur de la santé sont parmi les plus élevées du monde. Les tests offraient donc au gouvernement belge une occasion de rattraper son inaptitude criminelle sur les masques.
Mais cette perche n'a pas été saisie. Sans aucune raison logique, le gouvernement belge a concédé un monopole de fait sur les tests de dépistage au laboratoire d'un certain Marc Van Ranst de l'Université catholique de Louvain. Comme pour les masques, le secteur privé s'est retrouvé exclu et les tests, qui faisaient cruellement défaut au premier jour, ont continués d'être rationnés.
La décision Van Ranst est d'autant plus surprenante que ce dernier est certes médecin, mais aussi très actif en politique. L'homme qui a été couronné « M. Tests » pour toute la Belgique est un communiste avoué et un ennemi obsessionnel d'Israël ; il s'est ainsi déclaré très fier d'avoir inventé l'expression « Gazacaust ».
Quand des sociétés privées ont développé de nouvelles techniques de test, le gouvernement belge a immédiatement prétexté leur manque de fiabilité pour les interdire.
Pas de masques, pas de dépistage et presque pas de tests - telle est la situation de la Belgique au milieu de la pire pandémie depuis la grippe espagnole de 1918. Cette situation dramatique découle entièrement des misérables décisions du gouvernement belge. Quand Wilmès a autorisé des sociétés privées comme GlaxoSmithKline à produire des tests, rompant ainsi avec le monopole de fait qu'elle avait elle-même créé, il était beaucoup trop tard.
Malheureusement, cette triste histoire d'incompétence criminelle ne s'arrête pas là. Le pire était encore à venir. Constatant qu'en Italie et en Alsace, certains hôpitaux croulaient sous le nombre de patients atteints par le coronavirus, le gouvernement belge a pris sans doute sa pire décision depuis 1945 : en cas d'infection par le coronavirus, les résidents des maisons de retraite étaient assignés à demeure dans leurs établissements. Pas d'hospitalisation pour les personnes âgées !
Cette directive, en sus de l'absence presque totale de masques et de tests, a eu des conséquences cataclysmiques - décès, décès et toujours plus de décès. La Belgique ne parle plus d'une épidémie mais de deux épidémies : une qui sévit dans la population générale et l'autre dans les maisons de retraite.
Près de 50% des décès par coronavirus en Belgique ont eu lieu dans des maisons de retraite. Malgré les efforts souvent héroïques de leur personnel, les maisons de retraite belges se sont refermées comme des pièges mortels sur leurs résidents. Pour parer au risque de contamination, les personnes âgées meurent seules dans leur chambre et ne sont même pas autorisées à voir leur famille une dernière fois, - une autre idée du gouvernement belge qui a été affirmée, annulée, puis réaffirmée.
Pas de masques, pas de tests, transformer les maisons de retraite en pièges mortels : on comprend désormais pourquoi la Belgique est n°1 dans le classement mondial des décès par coronavirus par habitant - dix fois plus que l'Allemagne. [1]
Ce carnage belge, entièrement dû à l'incompétence tragique des « élites » belges - était totalement évitable.
Drieu Godefridi, auteur belge libéral classique, est le fondateur de l'Institut Hayek à Bruxelles. Il est titulaire d'un doctorat en philosophie de la Sorbonne à Paris et dirige également des investissements dans des entreprises européennes.
[1] L'ineffable Maggie De Block a annoncé qu'elle « recompterait » les décès dans les maisons de retraite, puisque certaines personnes ont été incluses dans les statistiques alors qu'elles n'étaient « suspectées » de coronavirus. Mais de nombreux pays ont inclus des « cas suspects » dans leurs statistiques - y compris les États-Unis.
Canton le plus touché de Suisse pour ce qui est des décès, jusqu’à 15 morts par jour, le Tessin est aussi le premier à avoir passé le pic de la pandémie. Reportage dans les hôpitaux spéciaux, d’un canton qui s’est senti lâché par la Suisse.
La France se lasse du Covid-19. Dans sa splendeur jupitérienne, Emmanuel Macron, Père de la Nation et Gardien de la Foi Républicaine, a donc annoncé une fin du confinement au 11 mai.
Emmanuel Macron sait.
La France se comptera donc à cette date parmi les nations qui s'estiment au-delà du sommet de la vague pandémique. Pas que le confinement ait été particulièrement bien suivi, que ce soit à Paris ou dans les territoires perdus de la République - mais le système de santé a l'air de tenir le coup, alors lâchons les freins!
Malgré la mise en scène solennelle, la France ne fait rien d'autre que de suivre un mouvement entamé dans toute l'Europe. L'Allemagne prévoit un retour "par étapes" à la normale si les chiffres des nouvelles contaminations se stabilisent à un bas niveau. Les Pays-Bas n'ont jamais vraiment contraint le confinement, parlant d'une "démocratie intelligente" et comptant sur le civisme des citoyens. L'Union Européenne, toujours aussi inutile, tente désespérément d'appliquer sa bureaucratie. Et hier, la Suisse s'aligne de même, avec un déconfinement annoncé "par étapes" du 27 avril au 11 mai.
Il n'y a rien d'absurde à réclamer une sorte de retour à la normale, à condition que cette normalité ne soit pas un retour à celle qui amena la maladie à se répandre comme un feu de brousse.
Mais comment espérer que les gens se comportent de façon sensée alors que depuis le début de la crise ils sont abreuvés d'informations fausses répandues par la classe politique et les médias?
Couvrez-vous de ce masque inutile
La fin du confinement implique le retour d'une certaine forme de liberté dans l'espace public. Faut-il forcer à porter un masque?
Cette mesure de bon sens se fracasse contre le mur des mensonges érigés depuis février par les pouvoirs publics expliquant que les masques ne servent à rien - pour le commun des mortels. Cette fable, rendue indispensable pour couvrir le manquedeprévoyance des responsables politiques, hante le débat public depuis des semaines. On explique que, par une sorte de magie, seuls les membres du service de santé sont capables de les porter correctement. On explique qu'ils servent à empêcher les malades du Covid-19 de contaminer autrui (très pratique quand en même temps la pénurie de kits de détections vous amène à faire vous-même votre diagnostic). Ils seraient même contre-productifs!
Macron et ses compagnons de sortie, s'infligeant tous le port d'un masque inutile.
Et lorsque la digue du mensonge finit par céder, on s'ébahit d'y avoir tant cru, comme Renaud Michiels dans Le Matin. "Ces masques qui ne protègent que les Asiatiques", s'émeut l'éditorialiste dans un rare accès de pensée critique contre les psychopathes qui nous gouvernent.
Mais, quelque part, on ne peut s'empêcher d'éprouver le sentiment que les journalistes s'indignent avant tout de ne pas avoir été dans la combine. Ils s'apitoient sur leur propre sort d'avoir été laissés sur le côté de la route des confidences, tel des malpropres. Ils auraient tant voulu être de la partie pour manipuler l'opinion publique. Quoi de plus sympathique que cette connivence avec ces politiciens qu'ils aiment tant? À quoi sert une campagne de désinformation massive sur une question essentielle de santé publique si on ne la confie pas à des professionnels?
La polémique à peine enterrée (les journalistes pardonnent volontiers) qu'une nouvelle survient: comment rendre obligatoire le port du masque en public si personne n'en a à disposition?
Emmanuel Macron a pensé à tout. En France le port du masque sera "vivement recommandé, sans être obligatoire." En Suisse, le Conseil fédéral prévoit de faire de même. Vous avez eu l'intelligence de ne pas croire les bobards des politiciens et de vous procurer des masques lorsque vous le pouviez encore? Tant mieux pour vous. Vous n'avez pas de masques parce que vous vous êtes réveillé trop tard, vous les avez cru, ou vous avez fait don des vôtres aux services de santé? Bienvenue dans la vie des sacrifiés du Coronavirus, camarade!
Maintenant, on explique que les masques protègent bien, et qu'à tout prendre ils sont mieux que rien, ce que n'importe quel individu doté d'un cerveau en état de marche avait compris depuis longtemps... Mais ne vous inquiétez pas. Lorsque les masques finiront par être disponibles en quantité suffisante, ils seront obligatoires dans l'espace public, sous peine d'amende.
Les distances sociales à géométrie variable
L'exposition des bobards sur les masques pourraient donner l'impression que la classe politique apprend de ses erreurs, mais ces gens-là n'apprennent jamais. Si leurs mensonges sont éventés, ils en trouvent de nouveaux, aucun problème. Nous en avons un aperçu en Suisse avec la réouverture planifiée des écoles, en pleine pandémie.
Daniel Koch, 65 ans et chef de la division des maladies transmissibles à l'OFS, que les Suisse connaissent bien désormais, a ainsi osé affirmer que les enfants "n'étaient pas très malades et ne transmettaient pas le virus".
Magique! Armé d'une certitude pareille, nous pouvons rouvrir crèches et écoles. Pourquoi s'embarrasser d'ailleurs de ces règles de "distance sociale" avec les enfants puisqu'il n'y a rien à craindre? Pourquoi empêcher les enfants de voir leurs grands-parents, ou de se faire garder par ces derniers pendant que les parents travaillent, puisqu'il n'y a rien à craindre?
Soyons sérieux: c'est criminel.
M. Koch est le borgne qui guide les sept aveugles du Conseil fédéral. Il a une responsabilité toute particulière dans les décisions prises au plus haut sommet de l'État suisse.
On attendra en vain l'article scientifique publié dans The Lancet ou une autre revue prestigieuse, affirmant preuve à l'appui que les enfants infectés du Coronavirus ne sont pas contagieux.
En fait, M. Koch, fort de ses connaissances, devrait publier lui-même un article scientifique sur le sujet. Je suis sûr que face à une information aussi décisive par rapport à cette moitié de l'Humanité vivant en confinement, même Nature lui ouvrirait ses portes.
Il était presque comique de voir au journal de la RTS de vendredi le Pr Laurent Kaiser, Chef du Service des maladies infectieuses et responsable du laboratoire de virologie à Genève, contredire le fonctionnaire fédéral en affirmant incidemment que les enfants pouvaient se contaminer les uns les autres.
Début mars, Alain Berset annonce que le plus important est de séparer les générations. Le Conseil fédéral ferme les écoles avec réticence, ayant longtemps estimé que cette fermeture risquerait de forcer le contact entre les enfants infectés et des grands parents qui les garderaient. Mi-avril, Alain Berset annonce la réouverture des écoles, soutenant l'opinion de ses conseillers scientifiques selon laquelle les enfants ne transmettent pas la maladie.
C'est miraculeux. Ou c'est un mensonge, je vous laisse choisir.
Si les autorités helvétiques vont au bout de leur folie, attendons-nous à une magnifique deuxième vague d'infection par tous ces enfants qui infectent leurs parents une fois revenus de l'école.
Stéphane Montabert - Sur le Web et sur LesObservateurs.ch, le 17 avril 2020
« Le coronavirus ravit tous les ennemis de la liberté » nous alerte l’écrivain Mario Vargas Llosa. Avec le confinement généralisé, le virage autoritaire de la gestion de cette crise est au moins aussi inquiétant que le coronavirus lui-même.
Depuis quelques jours, plusieurs enquêtes journalistiques font état de graves défaillances dans la machine d’État.
Médiapart décrivait le 2 avril dernier comment la réquisition des masques avait totalement désorganisé les circuits nationaux et internationaux de distribution. Des administrations incompétentes ont laissé filer des opportunités commerciales de se faire livrer des millions de masques, exposant les soignants et les malades dénués de protection à des risques d’infection très élevés pendant de longues semaines. D’autres exemples édifiants illustrent l’incurie des normes protectionnistes, qui limitent les importations de matériel pourtant parfaitement adapté.
Une autre enquête, celle de Géraldine Woessner de l’hebdomadaire Le Point, publiée le 3 avril, révèle comment la bureaucratie s’assoit sur un potentiel de plusieurs centaines de milliers de tests hebdomadaires depuis le 15 mars. Les laboratoires départementaux vétérinaires qui disposent des compétences et du matériel nécessaires n’ont toujours pas reçu l’autorisation de les réaliser.
Sur ce même sujet, un autre article de L’Opinion explique que les laboratoires de ville n’ont pas eu l’autorisation de pratiquer les tests avant le 6 mars, l’État imposant le monopole aux hôpitaux. Les tests sont pourtant essentiels pour réagir au plus vite en début de pandémie.
Cette défiance vis-à-vis du secteur privé s’illustre aussi par les lits vides que les cliniques privées ont pris soin de libérer pour accueillir des patients. Certains directeurs de ces hôpitaux à but non lucratif témoignaient aux Échos du fait que les agences régionales de santé (ARS) ne leur donnent pas la priorité pour leur envoyer les patients alors que ceux-ci sont parfois transférés par train ou par avion à l’autre bout du pays.
L’État, un facteur aggravant l’insécurité sanitaire
Si médecins et infirmières font ce qu’ils peuvent avec les moyens qu’ils ont, les révélations de ces derniers jours démontrent que l’État n’assure pas notre sécurité sanitaire et se révèle même être un facteur aggravant la crise.
Manque d’anticipation, désorganisation des circuits existants, normes protectionnistes, bureaucratie inadaptée, mensonges : ces défaillances sont malheureusement inhérentes à la centralisation jacobine. Deux cents ans d’histoire et de théorie économique devraient pourtant nous rappeler que la planification ne fonctionne jamais. Les conséquences sont dramatiques et nous ne sommes pas à l’abri de la découverte de blocages administratifs supplémentaires faisant perdre eux aussi des capacités de soins considérables, voire peut-être des vies.
Le secteur privé assure le service après-vente des défaillances systémiques de l’État. Des ateliers artisanaux de confection de masques aux fleurons industriels qui transforment en urgence leurs chaînes de production, la solidarité spontanée et volontaire fait des miracles. Les initiatives privées, associatives, individuelles, petites ou géantes, réalisent des prouesses d’inventivité et de logistique.
Syndrome de Stockholm : et pourtant l’État apparaît toujours comme le seul sauveur
Beaucoup affirment à longueur de journée que le manque de moyens, d’anticipation et de souveraineté explique notre incapacité à faire face aux pandémies. Le procès de la mondialisation et l’apologie du « service public » sont sur toutes les lèvres.
Lors de son discours télévisé du 12 mars dernier, le chef de l’État n’a pas hésité à cultiver la récupération étatiste en déclarant : « Ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner notre cadre de vie au fond à d’autres est une folie. »
C’est pourtant l’État qui a participé à la pénurie après avoir mis en dehors des lois du marché les tests, les masques et les gels hydroalcooliques en contrôlant les prix, rationnant leur distribution ou réquisitionnant les importations et les producteurs intérieurs.
Accuser le (néo/ultra) libéralisme pour l’impréparation, les rationnements, le manque de place en réanimation dans un des pays où l’industrie de la santé est la plus socialisée et étatisée du monde relève de la dissonance cognitive.
L’IREF avait publié une analyse prémonitoire sur le fonctionnement de l’APHP en 2017. Nous y dénoncions la bureaucratie kafkaïenne, des problèmes de gouvernance avec l’ARS, le manque d’efficience, l’incapacité d’adaptation et les rigidités associées au statut de la fonction publique hospitalière. Nous appelions à une libération des prix ainsi qu’à une privatisation des hôpitaux sur la base de modèles étrangers pour augmenter le rapport qualité des soins/prix.
Le libéralisme, ce n’est pas rendre exsangue l’hôpital pour « faire des économies ». C’est libérer l’hôpital de la gestion bureaucratique et inefficace de l’État et de ses agences régionales de santé pour laisser faire les professionnels compétents, avec le financement des assurances santé et des mutuelles solidaires.
L’agonie des libertés fondamentales, un effet secondaire du coronavirus ?
Mais il faut prendre garde à un danger encore plus grand. « Le coronavirus ravit tous les ennemis de la liberté » nous alerte l’écrivain Mario Vargas Llosa. Avec le confinement généralisé, le virage autoritaire de la gestion de cette crise est au moins aussi inquiétant que le coronavirus lui-même.
Les témoignages de l’arbitraire des policiers se multiplient autant que les discours martiaux du préfet de Police de Paris. À Sanary-sur-Mer dans le Var, le maire interdit les achats de pain à l’unité et a tenté, avant d’y renoncer, d’imposer à ses administrés de ne pas sortir à plus de 10 mètres de chez eux. La prolongation des délais maximum de détention provisoire inquiète les défenseurs des libertés publiques. La loi d’urgence suspend les délais de transmission et d’examen des questions prioritaires de constitutionnalité. Le Conseil constitutionnel est donc aux abonnés absents au moment où l’on a le plus besoin de protéger les droits humains face aux risques de l’arbitraire et des dérives autoritaires.
L’avocat François Sureau, auteur de Sans la liberté, nous met en garde : « Les Français ne sont pas un troupeau de moutons ou une garderie d’enfants. Ils n’ont pas nécessairement besoin d’être d’abord protégés ou rassurés, ils ont besoin d’une autorité politique qui leur dise la vérité, et qui les traite comme des citoyens adultes. »
Le formulaire de déplacement dérogatoire est la marque de l’infantilisation d’État, comme si le comportement insouciant d’une minorité impliquait de traiter tous les Français comme des irresponsables. Nombre de nos voisins européens n’ont pas besoin de ce genre d’attestation humiliant notre responsabilité pour appeler la population à observer un comportement conforme aux consignes de distanciation sociale des médecins.
Ces précédents historiques ne seront pas sans conséquence. Nous risquons de nous relever de cette crise avec l’idée que le gouvernement a toute légitimité pour contrôler notre liberté d’aller et venir. Le passeport, outil de contrôle liberticide des déplacements internationaux des individus, n’existait pas avant la Première Guerre mondiale et son instauration se voulait strictement provisoire le temps du conflit. Nous ne sommes pourtant jamais revenus dessus.
Aujourd’hui, si personne n’envisage sérieusement que ce formulaire soit conservé après la fin du confinement, le discours antimondialisation qui devient la norme ne nous garantit pas de retrouver l’ensemble des libertés de circulation aux frontières (Schengen survivra-t-il ?) et de commercer à l’international, d’avant le virus.
Les humains qui sont au pouvoir ne sont que des humains. Demain, plutôt que d’attendre toutes nos réponses d’un État surpuissant, notre impératif sera d’inventer des institutions qui ne nous mettent plus jamais à la merci d’une classe politique qui n’hésitera pas à s’asseoir sur nos libertés au moindre prétexte.
Si nous devons bien entendu suivre les consignes des professionnels de santé de manière responsable, notre devoir est de nous méfier tout autant de l’État que du coronavirus. Les libéraux de tous bords doivent être plus vigilants que jamais et exiger, dès que cela sera possible, le rétablissement sans délai de toutes les libertés disparues pendant la crise.
En attendant, il est urgent que le gouvernement n’agisse plus sur les marchés des tests, masques et appareils de ventilation. L’omnipotence des administrations d’État retarde de plusieurs semaines les réponses face au virus et limite l’émergence de solutions privées et décentralisées.
[…] Le 13 avril 2020 à 13h30, un avion cargo atterrissait à Genève. Il transportait 92 tonnes de matériel médical, masques, gants, blouses, thermomètres qui seront distribués aux professionnels des soins au Tessin et en Suisse Romande. […]
Article de Caroline Zuercher
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Résumé et commentaires Cenator :
Tout a débuté le 13 mars, après l’annonce de la fermeture des écoles. A Lausanne, le cardiologue Didier Locca et son frère Jean-François, pharmacien, se sont rendus compte de la pénurie béante du matériel de protection. Ensuite, avec la bénédiction de Maoro Poggia, Vincent Subilia sera contacté, ainsi que son frère, Julien, qui ont étudié ensemble au collège d’Aubonne. Julien Subilia est avocat et cofondateur d’Aviation sans frontières, Vincent Subilia est le vice-président de la section romande de la Chambre de commerce Suisse-Chine (CCSC).
Ensuite, une quinzaine de personnes travaillent bénévolement pour faire venir la commande. En période de forte demande mondiale de ces produits, il s’agit là d’un véritable exploit. Exploit conçu et réalisé par des spécialistes de domaines relevant du monde médical et hospitalier suisse, du commerce international, etc.
Nous apprenons que le premier contrat de livraison porte sur 3,4 millions de francs. Un masque chirurgical est vendu par la Chine 0,5 dollar pièce alors que son prix avant la pandémie était de 0,1 dollar ! Les FFP2 (avec valve) étaient payés plus de 2 dollars pièce, alors que maintenant. le prix est plus de 10 fois supérieur.
L’article rappelle que la Suisse est le seul pays, parmi ses voisins, ayant un accord de libre échange avec la Chine.
Les journalistes oublient que la Hongrie, avec son Orban le terrible, a également un accord de libre échange avec la Chine. Les avions cargos y ont déjà livré, depuis la mi-mars, environ 10 fois plus de matériel, y compris des machines et du matériel pour la fabrication de masques. Les détenus des prisons hongroises doivent travailler… et ils ont été formés pour fabriquer des masques. La Hongrie a même donné du matériel aux soignants des pays oubliés par l’UE, comme la Serbie, et aux minorités hongroises vivant hors du pays.
L’équipe romande dont parle l’article avait fait le nécessaire pour pouvoir contrôler le matériel chargé dans l’avion en Chine et pour que personne ne le vole. Le transport par avion-cargo était incontournable, un secteur que les Verts suisses voudraient bien mettre à mort.
La morale de l’histoire est, somme toute, assez simple :
Durant la crise, la population suisse n’a pu compter ni sur sa classe politique, ni sur ses voisins bilatéraux (qui se sont même empressés de la voler durant la période d'affolement, lorsque nous ne savions pas quelle serait l’ampleur de la pandémie), ni sur ses très nombreuses ONG présentes à Genève.
Ceux qui ont été capables de concevoir et de mener à bien ce projet, ce sont eux nos véritables élites. Ces personnes ne sont pas une fabrication des médias, mais elles sont ancrées dans la vraie vie, enracinées chez nous, et grâce à leurs relations établies durant leurs carrières, elles ont réussi.
Quant à la Chine communiste, qui a créé délibérément le nouveau coronavirus, et l’a laissé, par mégarde, « s’échapper des labos », elle a infecté le monde entier en ne faisant pas le nécessaire pour stopper sa diffusion alors qu’il était encore temps. Maintenant, sans avoir reconnu ses terribles responsabilités, elle veut faire des profits énormes en inondant le monde avec les équipements de protection indispensables. Et presque personne, hormis le Président Trump, n’ose se mettre la Chine à dos en dénonçant ses forfaits monstrueux.
Pas un mot de la part des ONG, des ÉCOLOS (le covid-19 est une des pires pollutions que le monde ait connues), de l’OMS (à genoux devant la Chine) dont le directeur est un communiste pur et dur, des CHEFS D’ÉTAT (hormis Trump et quelques courageux), tout tremblants à l’idée d’offusquer les dirigeants chinois si puissants, des JOURNALISTES (hormis quelques courageux inaudibles), habituellement si prompts à crier au scandale.
Depuis la pandémie, nos médias et nos politicards n’arrêtent pas de nous dire que c’est le retour de l’État et les Verts en profitent déjà pour redemander le revenu universel.
L’État est de retour en tant qu’identité nationale, en tant qu’entité dans laquelle les citoyens se reconnaissent… mais l’État providence est également de retour, dans lequel la gauche se reconnaît. Et cette dernière compte bien exploiter cette crise pour poursuivre ses chimères climatiques, multiculturalistes, et tous les délires marxisants.
La façon de concevoir l’État qui aura le dessus déterminera notre avenir. Ou, plus exactement : si l’État providence gagne, la Suisse s'enfoncera dans des sables mouvants dont il ne sera plus possible de s'extraire.
Cenator : La Corée du Sud signale que des dizaines de malades du coronavirus déclarés guéris ont été de nouveau testés positifs. Le phénomène a aussi été observé dans d’autres pays, dont la Chine et la France. Des études sont en cours pour en éclaircir les causes. Le plus probable semble être une réactivation du virus, mais on peut aussi penser à une imprécision des tests ou à un défaut d’immunité. Les politiques qui misent sur l’immunité des personnes guéries seront peut-être à revoir. Ci-après, quelques extraits d’articles.
Il y a bien d’autres virus qui restent tapis dans le corps et peuvent se réactiver n’importe quand.
Par exemple, celui de la varicelle : chez ceux qui l’ont eue durant l’enfance, le virus peut se réactiver à l’âge adulte en cas d’affaiblissement de l’immunité et souvent la maladie se manifeste alors sous une forme grave (zona). Le virus de la varicelle est proche de celui de l’herpès, qui est également capable de muter, de se réactiver de manière opportuniste. Depuis des décennies, des labos travaillent sur l’éradication définitive de ces virus dans le corps humains, sans succès pour le moment. Par contre, nous disposons d’antiviraux efficaces pour réduire les symptômes.
Reste à voir comment va muter et évoluer ce nouveau coronavirus aux origines incertaines. Si l’immunité est de si courte durée et que le virus est très contagieux, nous allons au-devant de temps difficiles.
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La Corée du Sud fait état de plusieurs "rechutes" parmi des malades guéris du coronavirus (10.04)
Les médecins coréens ont déclaré ce vendredi (10.04) que 91 malades du coronavirus déclarés guéris avaient été de nouveau testés positifs.
Rechute, réinfection, faux-négatifs... Les médecins coréens ne savent pas, pour l'instant, ce qu'il en est précisément. Selon Reuters, ils ont fait état ce vendredi de 91 nouveaux malades du coronavirus qui avaient pourtant été déclarés guéris.
Jeong Eun-kyeong, la directrice du centre des maladies infectieuses de Corée, a parlé plutôt de "réactivation" du virus que de "réinfection".
Des faux-négatifs ?
Des enquêtes sont actuellement en cours et les épidémiologistes ne savent pas encore ce qui se cache derrière cette tendance. Des faux-négatifs pourraient être aussi en cause, avec un virus encore présent dans l'organisme mais sans risque de contagion ni de danger pour l'hôte avancent les experts.
"91, ce n'est qu'un début"
"Ce chiffre va augmenter, 91 ce n'est qu'un début", a précisé Kim Woo-joo, professeur en maladies infectieuses à l'hôpital universitaire de Corée.
La Corée avait, pour l'heure, déclaré près de 7 000 cas de malades contaminés par le Covid-19 pour 211 morts.
Le coronavirus pourrait “se réactiver” chez les patients guéris, selon des experts coréens (09.04)
Le coronavirus pourrait être “réactivé” chez les personnes qui ont été guéries de la maladie, selon les Centres coréens de contrôle et de prévention des maladies.
Environ 51 patients classés comme ayant été guéris en Corée du Sud ont été à nouveau testés positifs, a déclaré le CDC lors d’une conférence de presse lundi (06.04).
Plutôt que d’être à nouveau infecté, le virus pourrait avoir été réactivé chez ces personnes, étant donné qu’elles ont été à nouveau testées positives peu après avoir été libérées de la quarantaine, a déclaré Jeong Eun-kyeong, directrice générale du CDC coréen.
“Alors que nous accordons plus d’importance à la réactivation comme cause possible, nous menons une étude complète sur ce sujet”, a déclaré Jeong. “Il y a eu de nombreux cas où un patient, pendant son traitement, a été testé négatif un jour et positif un autre”.
Un patient est considéré comme complètement rétabli lorsque deux tests effectués à 24 heures d’intervalle donnent des résultats négatifs. Le CDC coréen va mener une enquête épidémiologique sur ces cas, a déclaré Mme Jeong.
[…]
La crainte d’une réinfection chez les patients guéris s’accroît également en Chine, où le virus est apparu pour la première fois en décembre dernier, après que l’on a signalé que certains patients avaient été à nouveau testés positifs – et étaient même morts de la maladie – après avoir été guéris et avoir quitté l’hôpital.
On comprend mal pourquoi cela se produit, même si certains pensent que le problème réside peut-être dans l’incohérence des résultats des tests.
[…]
Ce n’est pas la première fois que des scientifiques remarquent la réactivation d’un patient sorti d’hospitalisation. A Wuhan, environ 14% des cas soignés ont de nouveau été infectés par le coronavirus.
Peut-on être malade deux fois du Covid-19 ? Ces 51 cas sud-coréens qui interrogent les médecins (12.04)
[…]
La réactivation du virus, si l'hypothèse est validée, ne serait pas une première. C'est également ce qu'il se passe pour le zona, le virus de la varicelle. Selon passeportsanté, environ 1% des personnes touchées par la varicelle subissent une réactivation du virus. Même constat pour le virus Ebola. […]
Coronavirus : l’OMS enquête sur des patients guéris réinfectés (13.04)
[…] le coronavirus pourrait se «réactiver» chez des patients considérés comme guéris. Cette affirmation réfute la théorie de l’immunité collective selon laquelle une fois que 50 à 75% de la population auront été infectés, elle sera protégée.
Réactivation du virus : pourquoi des patients guéris ont-il été testés positifs au Covid-19 ? (10.04)
Une cinquantaine de patients sud-coréens ont été testés positifs au coronavirus après avoir été guéris. Comment expliquer ce phénomène ? Réactivation du virus, fragments de coronavirus dans l'organisme... Le point sur les différentes hypothèses.
Le coronavirus peut-il se réactiver chez des personnes guéries ? C’est la question que se posent certains experts, après que 51 patients rétablis du Covid-19 ont été testés positifs en Corée du Sud. Tous venaient de Daegu et de la province environnante de North Gyeongsang, épicentres de l'épidémie. Les Centres coréens pour le contrôle et la prévention des maladies (KCDC) précisent que ces patients venaient tout juste de sortir de quarantaine lorsqu’ils ont été à nouveau testés.
Coronavirus : peut-il rester en latence dans l’organisme ?
Pour Jeong Eun-kyeong, directrice générale des KCDC, ce phénomène pourrait être dû non pas à une nouvelle contamination, mais à une réactivation du virus. Un avis partagé par plusieurs experts, parmi lesquels Kim Tae-kyung, spécialiste en maladies infectieuses à l'hôpital universitaire Soonchunhyang : "Les patients qui ont été à nouveau testés positifs sont des personnes chez qui le virus a été réactivé ou qui ont rechuté", a-t-il expliqué à la Yonhap News Agency.
L’une des hypothèses avancées est que le coronavirus pourrait rester latent dans certaines cellules de l'organisme et s’en prendre à nouveau aux organes respiratoires une fois réactivé. Une théorie rejetée par de nombreux spécialistes, car rares sont les virus, en dehors du VIH et de l’herpès, qui ont cette capacité de latence.
L'hypothèse des fragments de virus
Une autre piste semble plus probable : les patients étaient bel et bien guéris, mais avaient encore des fragments de virus dans l’organisme. "Le test peut être positif, mais l'infection n'est pas là", expliquait le Dr Keiji Fukuda, directeur de la School of Public Health de l'Université de Hong Kong, au Los Angeles Times le mois dernier.
Certains experts penchent également pour la piste de la défaillance des tests. "Il y a eu de nombreux cas où un patient pendant le traitement sera négatif un jour et positif un autre", explique ainsi le directeur général des KCDC. Et pour cause : le test de dépistage du coronavirus consiste à prélever des cellules au fond du nez à l’aide d’un écouvillon. Cependant, la zone visée par le prélèvement peut ne pas contenir de virus au moment du test. Un mauvais stockage des échantillons peut également entraîner la détérioration du virus et engendrer des "faux négatifs" ou des "faux positifs".
Coronavirus : une possible réinfection ?
Deux autres hypothèses sont également avancées pour expliquer les tests positifs de ces patients a priori guéris du Covid-19. La première est celle de la mutation du virus, "mais pour l'heure, nous ne pensons pas que cela mute au point d'être très différent", explique le Dr Anthony Fauci à Business Insider.
La seconde est celle de l’échec de l’immunité. Lorsqu’une personne est infectée par un virus, elle développe des anticorps, qui l’empêchent normalement d’être réinfectée pendant un certains laps de temps. Mais dans le cas du coronavirus, cette durée est encore indéterminée.
Les autorités sanitaires sud-coréennes ont indiqué qu'une équipe d'enquêteurs a été envoyée à Daegu pour mener une enquête épidémiologique sur ces cas.
Près d’une centaine de Sud-Coréens sortent de quarantaine et s’avèrent de nouveau positifs au coronavirus (11.04)
Libérés de quarantaine, 91 patients considérés comme guéris du Covid-19, ont été de nouveau contrôlés positifs en Corée du Sud, indique Yonhap citant les autorités sanitaires du pays. Celles-ci s’apprêtent à définir si ces personnes sont contagieuses […].
[…] Des médecins vont examiner si ces personnes possèdent des anticorps produits en réponse au coronavirus, puisque certains spécialistes estiment que les personnes déjà immunisées ne sont pas contagieuses, a précisé le KCDC.
Il s’agirait plutôt d’une réactivation du virus et non pas d’une réinfection, car les patients ont été contrôlés positifs dans un délai relativement court après leur sortie de quarantaine, considèrent les autorités sanitaires citées par Yonhap.
Un cas de réapparition du Covid-19 a été également signalé en Thaïlande, lorsqu’une femme a été réhospitalisée suite au résultat positif d’un test réalisé plusieurs jours après sa sortie de l’hôpital où elle a passé deux semaines en raison de son infection par le nouveau coronavirus.
Tandis que certains spécialistes cités par Yonhap supposent que de nouveaux résultats positifs puissent être liés à la réactivation du virus, le virologue russe Nikolaï Kontarov avance que ces cas proviennent de mauvais diagnostics. Selon lui, il y a des résultats faux positifs et faux négatifs dans le diagnostic de toute maladie. […]
EPIDEMIESelon le patron de l’Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom Ghebreyesus, « la mise au point et la distribution d’un vaccin sûr et efficace vont être nécessaires pour interrompre totalement la transmission » du coronavirus.
« Nous savons que le Covid-19 se répand rapidement et nous savons qu’il est mortel : 10 fois plus que le virus responsable de la pandémie de grippe de 2009 [H1N1, apparu au Mexique] », a annoncé le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, au cours d’une conférence de presse virtuelle depuis Genève, ce lundi. C’est pourquoi, l'Organisation mondiale de la santé appelle à un déconfinement « lent ».Si la pandémie de nouveau coronavirus a fait près de 115.000 morts dans le monde depuis son apparition en décembre en Chine selon un bilan établi par l’AFP à partir de sources officielles, la grippe A (H1N1) avait fait 18.500 morts selon l’OMS mais la revue médicale The Lancet a estimé le nombre de morts entre 151.700 et 575.400.
Une « résurgence mortelle » en cas de levée prématurée du confinement
La pandémie provoquée par le virus A (H1N1) avait donné lieu à des campagnes massives de vaccination. Après coup, les pays occidentaux, en particulier européens, et l’OMS avaient été critiqués pour une mobilisation jugée surdimensionnée alors que chaque année, la grippe dite saisonnière fait entre 250.000 et 500.000 morts, selon les autorités sanitaires mondiales.
Dans l’attente d’un vaccin contre le nouveau coronavirus SARS-Cov-2, l’OMS appelle les pays à mettre en oeuvre un dépistage généralisé des cas suspects, à leur isolement et au suivi des contacts. Mais, a reconnu lundi Tedros Adhanom Ghebreyesus, « l’ère de la globalisation signifie que le risque de réintroduction et de résurgence de Covid-19 va continuer ». « Au final, la mise au point et la distribution d’un vaccin sûr et efficace vont être nécessaires pour interrompre totalement la transmission », a-t-il dit.
Le croque-morts Salomon se garde bien de nous parler de ces morts « invisibles » dans sa comptabilité mortifère :« Combien sont-ils, ces patients décédés du Covid-19 ? Plusieurs centaines ? Milliers ? Si chaque soir Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, dénombre les décès en milieu hospitalier et dans les établissements médico-sociaux, jamais il ne fait mention de ces femmes, de ces hommes qui meurent chez eux. Or, comment ne pas s’interroger, à la lumière des chiffres rendus publics par l’Insee, ce vendredi 10 avril ? En mars, la mortalité à domicile, toutes causes confondues, a bondi de 9,8 % sur tout le territoire, par rapport au même mois de 2019, avec des pics à 44 % pour l’Île-de-France et 32 % pour la région Grand Est, régions par ailleurs durement frappées par le Coronavirus. » http://www.leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-les-deces-au-domicile-morts-invisibles-du-covid-19-10-04-2020-8297874.php
Pourquoi tant de morts dans certains Ehpad ?http://www.leparisien.fr/faits-divers/ehpad-de-mougins-quatre-familles-portent-plainte-pour-homicide-involontaire-10-04-2020-8297739.phpPeut-être à rapprocher de cet article de Mediapart de septembre 2018 : « « L’or gris » de nos aïeux (avant de devenir le nôtre…) fait le bonheur des actionnaires, tandis que les retraités souffrent et les personnels trinquent – et réciproquement. Hier, une enquête édifiante d’Envoyé Spécial (à revoir sur Internet) sur le fonctionnement des Ehpad privés, qui confirme une fois de plus que les retraités sont avant tout vus par le secteur privé comme de merveilleuses vaches à lait destinées à rémunérer grassement (11,8 % de taux annualisé sur 5 ans annoncé par Korian, l’un des « leaders » de ce « marché » à ses actionnaires).
Comment arrivent-ils à de tels rendements? Simple comme bonjour : en « essorant » littéralement les familles et le personnel.
Les familles payent des sommes énormes, qui devraient en principe être dédiées à ce qu’on appelle « l’hôtellerie et l’accompagnement », puisque l’État et les départements financent les personnels soignants et le fonctionnement correspondant, comme l’explique le reportage.
Tout est donc bon pour tirer le maximum de profit des 100 € quotidiens (en moyenne, mais ça peut être aussi beaucoup plus) payés par chaque résident : réduction au maximum du coût des repas (un cuisinier explique ainsi que le coût des ingrédients des 4 repas quotidiens d’un « pensionnaire » (ou faut-il lire « prisonnier »?) est de… 4,20 €! » « Mais là encore, que fait le législateur ? Où est la volonté politique ? Car il y serait possible de prendre des mesures pour empêcher le sous-équipement, les sous-effectifs (relevés dans un rapport parlementaire : comparativement aux Ehpad privés à but non lucratif, et aux Ehpad publics, les Ehpad privés à but lucratif sont en moyenne en sous-effectif de 25 %…). D’ailleurs, il est assez mordant de noter que la lobbyiste préférait parler d’Ehpad « à but commercial », plutôt que « lucratif »… comme si tout d’un coup, il fallait cacher ce lucre qu’il ne faut pas voir, et comme si le fameux profit devait se faire plus discret… »https://blogs.mediapart.fr/groucho-vert/blog/210918/ehpad-prives-encore-une-fois-un-scandale-tres-profitable
Les détracteurs de Panoramix vont donc dire qu’il tue 9 % de ses malades. Vu leur degré d’honnêteté intellectuelle, on peut s’attendre de leur part à des sommets de sournoiserie, de coups bas, de saloperie médiatique. Ci-dessous, l’article vraisemblablement le plus putassier qu’il ait été donné à un « journaliste » de rédiger, et à un lectorat de lire jusqu’au bout. Franchement ignoble : http://www.leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-quand-l-hydroxychloroquine-tue-10-04-2020-8297634.php
Pour Bruno Le Maire, les Français devront faire beaucoup d’efforts, une fois le confinement terminé. Pour continuer à payer le prix de l’immigration, sans doute, et les billets d’avion de tous ceux qui vont rentrer en France juste pour reprendre les bonnes habitudes : toucher les allocations et baiser comme des lapins : http://www.fdesouche.com/1361529-coronavirus-dette-bruno-le-maire-appelle-les-francais-a-faire-des-efforts-une-fois-le-temps-du-confinement-termine
Appels à la prière : quand c’est Marine qui dit cela, Castaner et le CFCM dénoncent des propos polémistes. Mais quand c’est le Tartuffe-en-chef qui le claironne, respect ! Si je comprends le Tartuffe en question et sa manœuvre « un pas en arrière » logique, j’affirme que le citoyen Christophe Castaner est une fieffée crapule : http://www.fdesouche.com/1361455-ces-appels-a-la-priere-sont-interdits-et-ne-doivent-pas-avoir-lieu-ghaleb-bencheikh-president-de-la-fondation-de-l-islam-de-france
Comme à l’époque des Gilets jaunes, Castaner agite une menace d’extrême droite pour mieux dissimuler les actions violentes gauchistes, dont il protège les militants : https://fr.reuters.com/article/idFRKCN21R1EB
Du côté des « quartchiers » et autres zones perdues :
Paris d’Hidalgo, l’enfer pour ceux qui subissent les clandos fumeurs de crack (article abonnés, quelques extraits) : « Ils sont des centaines, dépendants au crack et sans-abri, qui errent dans les rues du nord-est parisien. Encore plus visibles dans les rues désertées depuis le confinement. L’État promet d’ouvrir de nouvelles chambres d’hôtel avec accompagnement. » « Réunion de crise, ce jeudi, entre les maires des 10e, 18e, 19e arrondissements, la Ville, les préfets de police et d’Île-de-France, l’Agence régionale de santé (ARS) : la région y a avancé près de 250 places d’hébergement hôtelier ouvertes en urgence depuis le début du confinement pour des usagers de drogue, avec l’assistance des associations spécialisées, Aurore notamment. « 58 autres, assure-t-elle, vont être ouvertes à très court terme », portant l’effort « de crise » à 300 places. « Une solution qui est repensée à la hauteur des problématiques, estime Éric Lejoindre, le maire (PS) du 18e. Tout comme la réouverture des Caarud, qui va permettre un renforcement sanitaire et social dans cette situation d’urgence. » « Mais derrière les fenêtres des appartements, les riverains confinés sont au bord de l’implosion : « Tous les jours, nous assistons à l’impensable, se désespère un habitant du quartier Stalingrad. Hurlements, zombies, peur de sortir. J’en suis à un point où j’ai plus peur d’être agressé que d’attraper le Covid ». « Face aux jardins d’Éole fermés (NDLR : 18e et 19e), la situation est apocalyptique, enchaîne un autre. C’est une scène de consommation et de deal à ciel ouvert. Des bagarres, des hurlements… Alors que nous sommes confinés chez nous. » « Nous avons fait rouvrir les salles de repos pour les toxicomanes, porte de la Chapelle et les Caarrud, assure Anne Souyris, adjointe d’Anne Hidalgo, chargée de toutes les questions relatives à la Santé. Mais il est évident qu’il reste au moins encore 150 personnes à loger ». .http://www.leparisien.fr/paris-75/confinement-a-paris-la-grande-errance-des-fumeurs-de-crack-10-04-2020-8297838.php
CV et comportement du malheureux Mohamed : « un homme condamné à huit reprises depuis 2005 » et : « Les trois policiers entendus dans le cadre de cette affaire ont assuré que le trentenaire avait « refusé le contrôle », rapporte Le Soir. Il avait, selon eux, adopté un « comportement très agressif » et « résisté longuement et fortement » à son interpellation. »http://www.fdesouche.com/1361623-beziers-mohamed-mort-apres-un-controle-de-police-pendant-le-couvre-feu
En Chine, certes, ils ont envoyé le Coro au monde entier, mais par ailleurs, il peut y avoir des trucs bien… On fait cela quand, en France ? http://www.fdesouche.com/1361563-le-dome-et-les-minarets-de-la-mosquee-de-linxia-la-petite-mecque-de-la-chine-demolis-au-nom-de-la-sinisation
Espagne : en pleine crise du coronavirus, 260 migrants lancent un assaut massif et violent contre la frontière de Melilla
Lundi 6 avril à 5 h du matin, 260 migrants d’origine subsaharienne ont tenté de franchir par la force la clôture de Melilla, l’une des deux enclaves espagnoles au Maroc. Les migrants ont attaqué la garde civile, les soldats et les policiers avec des armes. Malgré tous les efforts des forces de l’ordre, 53 illégaux sont parvenus à entrer dans la ville.
La délégation du gouvernement à Melilla a qualifié cette attaque de « massive et violente ». Plusieurs des criminels auraient jeté des pierres sur les agents et les auraient attaqués avec les grappins qu’ils avaient utilisés pour escalader la clôture.
Cet incident est l’un des plus importants que Melilla ait connus depuis la mi-mars, lorsque l’Espagne a cessé d’admettre des migrants et a fermé les centres d’accueil, en raison de la crise sanitaire liée au coronavirus.
Vidéo en espagnol s.-t. anglais : les migrants illégaux pris en charge après leur entrée à Melilla.
A noter que notre civilisation décadente priorise de facto, en cas de pénurie de disponibilité des soins, le dernier envahisseur clandestin venu au détriment de n’importe quel vieux sans « relations », car le principal critère de choix en cas de rationnement, c'est l’espérance de vie du patient. Sur ce terrain, ces jeunes soldats d’Allah battent à plate couture tous les vieux qui ont participé à la construction du pays, parfois même depuis des générations.
Et tout le monde semble trouver ce critère parfaitement juste : ce serait une logique de guerre connue depuis toujours.
Sauf que les envahisseurs sont nos ennemis et qu’ici nous décidons de céder nos vies à l’ennemi.
Nous doutons qu’une équipe médicale hongroise/polonaise/japonaise/chinoise débrancherait le respirateur d’un grand-père pour l’offrir au dernier immigrant clandestin, quels que soient sa couleur ou son âge.
Un peuple qui n’arrive pas à conserver son instinct de survie n’a tout simplement pas d’avenir.
Une seconde vague de coronavirus ravage la Chine. Cette deuxième vague fait des victimes, à commencer par la propagande du Parti. Le narratif le plus dangereux est que Xi Jinping a reçu un mandat du ciel pour régenter les relations internationales.
Pour marginaliser l'Amérique et récupérer son leadership, la Chine a demandé à Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, de dire que la stratégie chinoise de lutte contre le coronavirus prouvait la « supériorité du système chinois, lequel méritait d'être étendu à d'autres pays ». Puis Pékin a mis en scène un immense spectacle de « dons » de matériel médical et de tests de dépistage, dans le but d'impressionner l'Europe principalement.
Les mesures initiales de Xi ont transformé une épidémie locale en pandémie, et ces mesures accroissent maintenant le nombre des malades et font basculer la Chine dans un autre pic épidémique. Les kits de diagnostic imprécis et les équipements de protection de mauvaise qualité que la Chine a prodigué au monde entier montreront, avec la nouvelle vague de contamination, la vérité : le communisme est incompétent et même carrément nocif.
La Chine peut faire mentir les statistiques, mais le virus a le dernier mot. La « victoire » sur le COVID-19 et les États-Unis est loin d'être acquise.
Le régime chinois clame qu'il a "vaincu" le coronavirus, mais une deuxième vague de ce même virus frappe actuellement la Chine. Les mesures initiales du président Xi ont transformé une épidémie locale en une pandémie et ces mêmes mesures menacent la Chine d'un second pic de la maladie. La Chine peut faire mentir les statistiques, mais le virus a le dernier mot. Photo : le 6 avril 2020 à Wuhan, dans la province centrale du Hubei, un vendeur tend son repas à un client sur une barricade. (Photo de Noel Celis / AFP via Getty Images)
La Chine a « vaincu » le coronavirus et clame « victoire » partout, affirment les médias du Parti communiste.
Mais sur le chemin de la victoire, une drôle de chose s'est produite. Une seconde vague de coronavirus frappe la Chine. Et cette deuxième vague fait des victimes, y compris dans la propagande du Parti. Le plus dangereux de ces récits est que Xi Jinping a reçu mandat du ciel de régenter les relations internationales.
La Chine n'a plus signalé de nouveaux cas de contamination après le 19 mars et a déclaré le virus vaincu. En fait, des dizaines de nouveaux cas ont été enregistrés chaque jour, mais Pékin a clamé haut et fort que ces nouveaux cas étaient en quasi-totalité « importés » - en d'autres termes, des étrangers en provenance d'autres pays venaient en Chine et tombaient malade.
S'il était prouvé que des résidents chinois étaient contaminés en Chine, Pékin a affirmé que la faute en revenait à ces malades étrangers qui contaminaient les locaux.
Les statistiques officielles chinoises sur le nombre de décès et le nombre de nouvelles infections en Chine ne peuvent être que fausses. Et nombre de mesures récentes prises par les autorités chinoises sont incompatibles avec les déclarations de fin d'épidémie.
voir aussi: Les signes d'une deuxième épidémie du virus CCP apparaissent ; des documents révèlent que le CCP était au courant de l'épidémie avant le public
Signs of 2nd CCP virus outbreak emerges; Documents reveal CCP knew about outbreak before the public (vidéo en anglais)
De nouveaux symptômes pourraient s'ajouter à la liste. Le syndicat des dermatologues-vénéréologues (SNDV) a mis en évidence des lésions cutanées associées à des cas de Covid-19. Plus précisément, il s'agit d'acrosyndrôme, soit un ensemble de modifications ou d'atteintes de la peau liées à une réaction des vaisseaux des doigts et/ou des orteils, à l'aspect d'engelures, de rougeurs persistantes parfois douloureuses et de lésions d'urticaire passagère.
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