Albert Rösti, président de l’UDC: “Le PLR et le PDC ont définitivement déménagé dans le camp de la gauche”

RASA dans le viseur de Rösti

Dans son allocution, le président du parti UDC Albert Rösti avait auparavant critiqué le PLR et le PDC concernant l'application de l'initiative contre l'immigration de masse. "Le PLR et le PDC ont définitivement déménagé dans le camp de la gauche", a-t-il déclaré, ajoutant que "le PS a fait du bon travail dans les rangs du PLR".

Il s'en est également pris au Conseil fédéral, dont il estime qu'une majorité "continue sans relâche de miner la souveraineté et l'autodétermination de la Suisse".

Il a notamment critiqué toute idée de contreprojet à l'initiative RASA. Selon lui, l'acceptation de la volonté populaire exige son refus sans y opposer de contreprojet.

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Le PDC et le PLR veulent encore plus d’immigrants. Communiqué UDC Suisse

Le Conseil national a examiné aujourd'hui une révision de la loi sur les étrangers. Il s'agissait des articles de loi concernant l'intégration des étrangères et des étrangers. Le PDC et le PLR n'ont pas manqué cette occasion pour provoquer un éclat: au lieu de freiner l'immigration, ils ont offert des majorités à la gauche, encourageant ainsi une nouvelle vague d'immigration de masse par le regroupement familial et la quasi-suppression des derniers obstacles à l'obtention des permis de séjour et d'établissement.

Il est grand temps de durcir les conditions pour l'établissement et le séjour en Suisse, n'ont cessé de clamer ces derniers mois les partis du centre. Or, l'UDC était seule aujourd'hui à se battre contre ce nouveau ramollissement des conditions d'intégration. Voici trois exemples parmi beaucoup d'autres:

A l'art. 43 la majorité du conseil a décidé qu'il suffisait qu'un étranger s'inscrive à un cours de langue pour que l'autorisation de séjour lui soit accordée. L'UDC avait demandé de biffer ce passage pour une raison évidente: l'inscription à un cours de langue ne suffit pas; ce qui compte, c'est d'avoir suivi avec succès ce cours.

A l'art. 58, l'UDC réclamait que les critères suivants soient appliqués pour l'évaluation de l'intégration: le respect de la sécurité et de l'ordre public, le respect des valeurs de la Constitution fédérale, la capacité de se faire comprendre au quotidien dans la langue pratiquée au domicile et, enfin, une activité professionnelle et un effort de formation. Pour le PLR, le PDC et la gauche, la capacité de se faire comprendre dans la langue du lieu de domicile n'a aucune importance. Ils ont refusé à l'unanimité cette condition.

A l'art. 62f, la majorité a décidé que l'autorité compétente pouvait révoquer des autorisations si l'étrangère ou l'étranger ne respectait pas sans excuse valable une convention d'intégration. L'UDC proposait que les autorisations puissent être révoquées lorsque la personne concernée ne respecte pas une convention d'intégration ou n'a pas la volonté de répondre aux critères d'intégration.

Pendant que de nombreux pays d'Europe durcissent leurs législations sur l'asile et sur les étrangers, les parlementaires du PDC et du PLR se sont alliés à la gauche pour approuver un projet à rebours du bon sens qui accélérera l'immigration de masse. Si le Conseil des Etats ne durcit pas substantiellement le projet 13.030 sur l'intégration, l'UDC se réservera le droit de combattre cette loi avec un référendum.

Source UDC

AVSplus: Pour combattre l’initiative, le PDC traite les rentiers de cochons qui se gavent.

La campagne contre l'initiative AVSplus est mal partie. En vue de la votation du 25 septembre qui demande une hausse de 10% des rentes AVS, le PDC a par deux fois tenté de choquer. Mais en ratant à chaque reprise sa cible.

Il y a d'abord eu, la semaine passée, un message diffusé par le parti sur le Facebook. "J'aime l'AVSplus, les dettes, les impôts, mon boss, mais je suis juste fou!" proclame l'affiche. Lara Curau, responsable des campagnes au PDC assume: "c'est une opération que l'on a mise en place afin d'attirer l'attention et de tester différents approches.

Puis, nous nous sommes décidés pour le "cochonnement cher"."

Référence est faite au déploiement de porcinets portant sur leur peau l'inscription "AVSplus" jeudi sur la place Fédérale à Berne. Des maîtres d'hôtel leur ont servi un repas complet haut de gamme. Sauf que l'idée n'a pas fait rire.

Pire, la métaphore, inspirée par une agence de communication genevoise, s'est retournée contre les organisateurs: serait-ce les rentiers que l'on traite de cochons?

"L'action avait pour but de rendre le public attentif aux coûts, déclare Béatrice Wertli, secrétaire générale du PDC.

Source et article complet: Le Matin Dimanche du 11 septembre 2016 via le Facebook du PNS

Asile: La gauche et le PDC veulent… soutenir financièrement l’Italie et la Grèce

CRISE MIGRATOIRE - Le Parlement suisse souhaite renforcer son effort dans la crise migratoire qui touche l'Europe. C'est à une majorité que les deux Chambres ont demandé que le Conseil fédéral soutienne davantage l'Italie et la Grèce en matière financière et logistiques.

Le Conseil fédéral s'engage déjà pour résoudre la crise migratoire. Mais à l'instar du National, le Conseil des Etats a exigé jeudi de lui, par 25 voix contre 17, un soutien direct aux pays européens les plus touchés comme l'Italie et la Grèce.

La gauche et le PDC ont réussi à sauver l'exigence d'un soutien logistique ou financier direct aux pays de l'UE les plus touchés comme l'Italie ou la Grèce.

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Genève: Le PDC ne veut pas s’afficher avec le MCG parce que “trop populiste”

Pas de campagne unitaire pour les partisans des mesures d'austérité en Ville de Genève. Le PDC présentera des arguments « moins populistes » que le MCG.

La polémique de l'an passé qui a suivi l'annonce de la plateforme commune aux quatre partis de la majorité (PDC-PLR-UDC-MCG) a laissé des traces. La section municipale du PDC s'était alors sévèrement fait tancer par le parti cantonal. Le président cantonal de l'époque, Sébastien Desfayes, avait en effet promis qu'aucune alliance ne serait nouée avec le MCG ou l'UDC, promesse répétée par son successeur Bertrand Buchs. La section municipale a eu beau se défendre de toute alliance, les critiques des députés les plus virulents contre la politique du MCG avaient plu.

Qu'on en juge: pour justifier les coupes budgétaires qui toucheront notamment la culture, l'affiche de campagne du MCG montre la façade du Grand Théâtre défigurée à la suite de la manifestation sauvage de cet hiver pour dénoncer les menaces de supprimer les subventions de l'Usine. Avec en exergue un graffiti «Hate art, love vandalisme». Soit «Déteste l'art, aime le vandalisme». Bref, raboter les moyens de toute la culture à cause de quelques casseurs? Le PDC municipal présentera des arguments «moins populistes», promet son président.

 

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Grâce à une alliance Gauche – PDC, Genève va devenir “une ville refuge”

Christian Hofer: Nous parlions de cette affaire déjà ici. On notera que c'est encore une alliance gauche-PDC qui a validé cette décision, la même alliance qui est à la base de l'élection d'une PBD incapable au Conseil fédéral. Rappelons encore que la dette de la ville de Genève se monte à 1,51 milliard de francs à la fin 2015 et que l'Hospice Général lui-même avouait qu'il ne pouvait plus faire face à l'arrivée des migrants. Et devinez que font les socialistes et le PDC?

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Hier, Genève a accepté l’idée de se déclarer «Ville de Refuge» et de soutenir l’objectif d’accueillir en Suisse 50 000 réfugiés, deux propositions contenues dans un appel national lancé par plus de septante personnalités – notamment du monde politique 1), et signé à ce jour par près de 5000 personnes. Ainsi, le Conseil municipal de la Ville de Genève a-t-il renvoyé en commission des finances une résolution socialiste reprenant les termes de cet appel. A savoir l’urgence de la crise migratoire et humanitaire et le concept de «Ville de Refuge», lancé par Barcelone et Madrid qui se sont déclarées comme telles. Un concept visant surtout à favoriser l’accueil de réfugiés par des privés ainsi que les réseaux de soutien.

PLR, UDC et MCG ont été minorisés grâce à l’alliance de la gauche et du PDC.

Le socialiste Emmanuel Deonna a affirmé que la Suisse avait la capacité d’accueillir 50 000 réfugiés. Le Vert Alfonso Gomez a, lui, pointé la faillite de l’Union européenne, accusée de manquer à son devoir d’asile. Genève doit prendre ses responsabilités, ajoute Morten Gisselbaek (Ensemble à Gauche).

Le MCG Daniel Sormanni accuse la gauche de privilégier les réfugiés aux chômeurs genevois et autres précarisés «de chez nous». Pour l’UDC Eric Bertinat, «nous sommes tous simplement débordés par les demandes et ne savons pas où loger ces personnes. Et en plus, la gauche refuse les solutions en abri PC!»

1. L’appel a notamment été signé par les conseillers nationaux Lisa Mazzone (Verts/GE), Chantal Galladé (PS/ZH), la conseillère aux Etats (PS/GE) Liliane Maury Pasquier ou
encore le conseiller d’Etat genevois Antonio Hodgers (Verts). www.change.org/p/appel-national-appel-national-pour-que-la-suisse-accueille-rapidement-50-000

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Pour le PDC Guido Graf, il faut encore plus d’argent pour l’asile

SonntagsBlick: Le conseiller d'Etat lucernois Guido Graf (PDC) estime qu'il y aura jusqu'à 60'000 demandeurs d'asile en Suisse cette année, en raison de l'évolution des itinéraires des migrants au détriment de la Suisse.

La Suisse n'y est pas préparée, déclare-t-il dans le SonntagsBlick. Il déplore que la Confédération ne dispose pas de suffisamment de places d'hébergement et qu'elle n'a pas assez financé les cantons en vue de l'intégration des réfugiés.

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Thônex : Le PDC et le PLR se moquent de la pétition anti-migrants de l’UDC

Après la récolte de signatures, la pétition lancée par l’UDC Thônex contre l’accueil de migrants passait son examen politique, mardi soir. Elle a reçu un accueil glacial au Conseil municipal. A une large majorité (18 contre 7), les élus thônésiens ont décidé de la classer. Dit autrement, ils l’ont envoyée aux oubliettes, quand l’UDC et le MCG souhaitaient son renvoi à l’échelon de l’Exécutif communal.

Le démocrate-chrétien Philippe Calame s’est même amusé du nombre de signatures récoltées, 417 au total, sur les 14 000 habitants que compte la commune. «En réalité, ce sont quelques maigres Thonésiens qui n’en peuvent plus. Nous renverrons cette pétition où elle mérite d’aller: à la poubelle!»

Pour le Conseil administratif, l’UDC s’est trompée de destinataire puisque sa pétition demande à l’Exécutif d’informer le Conseil d’Etat et de «s’opposer à toute autorisation de construire». «Nous ne sommes pas La Poste, adressez-vous directement aux autorités cantonales», a ironisé le conseiller administratif Pascal Uehlinger (PLR).

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Suisse: Ils veulent ancrer les bilatérales dans la Constitution pour contrer l’UDC

Après l’échec de l’UDC sur le renvoi des étrangers criminels, après la signature par le Conseil fédéral du protocole sur la Croatie, certains parlementaires se sentent pousser des ailes pour sortir le dossier européen de l’ornière. Kathy Riklin (PDC/ZH) et le président du Parti bourgeois-démocratique, Martin Landolt (GL), jugent le climat favorable pour faire revoter le peuple. Peu convaincus des chances d’aboutir à un accord négocié avec l’Union européenne, ou de voir cette dernière accepter une clause de sauvegarde unilatérale, ils souhaitent ancrer dans la Constitution les relations bilatérales.

«A cet effet, nous réclamons un contre-projet à l’initiative RASA», déclare Martin Landolt dans la SonntagsZeitung. Le président du PBD demande au Conseil fédéral de traiter rapidement le texte des professeurs de droit réclamant l’abrogation de l’article 121a introduit le 9 février 2014 avec l’acceptation de l’initiative «Contre l’immigration de masse».

Retoucher la Constitution

Pour le chef du groupe socialiste aux Chambres, Roger Nordmann (PS/VD), il ne fait pas de doute que, «pour remettre d’équerre nos relations avec l’UE, il faudra retoucher la Constitution.

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Gerhard Pfister veut donner la priorité aux réfugiés chrétiens

Unique candidat à la succession de Christophe Darbellay à la tête du PDC Suisse, Gerhard Pfister plaide pour un plafond de 25'000 réfugiés par an, avec une préférence pour les chrétiens, les femmes et les enfants.

Le conseiller national de 53 ans a tenu ces propos mercredi à la SRF dans le cadre de l'émission Rundschau. Il a ainsi expliqué que s'il est confirmé en tant que président du PDC, il souhaitait se porter garant d'une limite de 25'000 demandes d'asile dans le pays chaque année.

Le Zougois a par la même occasion proposé de se concentrer sur les pays islamiques et les personnes vulnérables, en particulier les chrétiens les femmes et les enfants.

Gerhard Pfister a encore rejeté l'accusation d'instaurer une solidarité pour les réfugiés à deux vitesses, étant donné qu'elle existe déjà dans les faits, avec d'une part les migrants économiques, et d'autre part les personnes dont la vie ou l'intégrité physique est menacée.

La réaction de Yannick Buttet

Candidat à la vice-présidence du PDC, le conseiller national valaisan Yannick Buttet a de son côté précisé que le parti a une position claire dans l'asile, avec la nécessité d'aider toutes les personnes en danger et respecter la tradition humanitaire suisse.

Il a par ailleurs souhaité replacer les propos du probable futur président du PDC dans un contexte précis, mettant en avant que "les gens qui sont les plus combattus, les plus persécutés dans ces pays sont souvent les femmes, les enfants, et les chrétiens, comme les violences dans ces pays sont souvent liées à l'islamisme."

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Le PDC Jacques Neirynck: “Les électeurs de l’UDC n’ont qu’une intelligence initiale”

Christian Hofer: Je vous laisse juger d'un tel texte, où les aberrations se succèdent aux insultes à l'encontre des électeurs UDC, soit quasiment 30% de la population suisse qui se voit ainsi salie par cet individu. Prétendre que comprendre les circuits électriques signifie aussi appréhender les problèmes sociaux est des plus caustiques et c'est là un argument qui est des plus "pertinents". Peut-être faudrait-il rappeler à ce personnage que ce sont deux domaines totalement différents dont l'un n'est pas sa spécialité? Mais visiblement "ses grandes facultés" ne sont pas aussi affutées qu'il le croit.

De toute évidence, ce personnage est très fier de son diplôme et pense ainsi être bien plus intelligent que le peuple votant en faveur d'une initiative UDC. On ne saurait être plus prétentieux et méprisant. Mais il est vrai aussi qu'il ne doit pas souvent se mélanger avec la diversité. Il laisse cela au bas peuple, auquel il sert sa morale dégoulinant de bien-pensance. Et gare à vous si vous ne votez pas selon son désir: vous serez alors considéré comme un imbécile de la pire espèce. De toute évidence, il vaut mieux être aujourd'hui un criminel étranger multirécidiviste qu'un Suisse votant UDC. 

Par ailleurs, on retrouve ici toute l'inégalité de traitement si chère à la gauche: D'une part, une compréhension illimitée pour les actes des délinquants étrangers, jusqu'à trouver la moindre explication dans leurs faits et gestes les plus immondes. Et de l'autre, des insultes et du mépris à un peuple qui ne veut plus de cette criminalité mais qui doit en supporter les effets. Le fait que seules 46% des procédures de renvoi ont abouti ne lui pose aucun problème, même si d'après le mensonge de Sommaruga, "une personne qui représente un risque pour la sécurité est renvoyée".  Il est vrai que les Suisses sont là pour subir les viols et autres agressions sans avoir le droit de se protéger ou pire, voter pour expulser de tels indésirables. Bien évidemment, dans son texte, il n'y a nulle place pour les victimes de viols et autres agressions issus des criminels étrangers. Non, dans la tête de ce genre d'individu, les victimes n'existent tout simplement pas. Seuls les droits de la racaille font office de référence morale.

Jacques Neirynck peut fanfaronner : son pays d'origine, si fier de son multiculturalisme est aujourd'hui reconnu comme étant une pépinière de jihadistes. Oui c'est vrai Jacques Neirynck, vous pouvez en être très satisfait et il faut à tout prix exporter ce modèle de société. C'est même votre intelligence qui vous le dit.

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Confession d'un étranger complice des criminels

Jacques Neirynck

Grâce aux toutes-boites envoyée par l’UDC afin de soutenir son initiative pour le renvoi des étrangers criminels, je viens de découvrir que j’ai commis sans même m’en rendre compte. Ainsi, selon une lettre signée « comité de sauvetage de la place industrielle suisse », j’ai participé à une contre-propagande massive, parce que je me crois plus intelligent que les autres à cause de mes diplômes. Il y a là une vérité élémentaire que j’ai toujours ignorée.

J’avoue que j’ai été à l’université pour décrocher un diplôme d’ingénieur et que je l’ai utilisé tantôt dans l’industrie, tantôt dans la recherche et la formation. Je n’aurais pas dû. Si j’avais évité le piège d’une école d’ingénieurs, je serais resté plus intelligent. J’ai subi cinq années d’études qui ont abîmé mon intelligence initiale. J’ai appris à mal calculer des circuits électriques, pire je l’ai enseigné à d’autres. Si tout cela n’avait pas été arrangé, j’aurais mieux calculé ces circuits en utilisant simplement mon intelligence initiale, celle que partagent tous les électeurs de l’UDC. Quel gâchis ! Je me suis fatigué pour rien. J’ai corrompu la jeunesse à l’EPFL. Par suite de cette perte de l’intelligence initiale, les circuits électriques suisses sont moins bons qu’ils ne pourraient l’être. Je m’en repens et je suis prêt à m’inscrire dans un vaste mouvement national pour la fermeture de l’EPFL et de l’ETHZ. Cela fera une économie de deux milliards par an.

Pire. Dans le toutes-boites signé cette fois de l’UDC, il est écrit que j’ai soutenu au parlement « une clause de protection des malfaiteurs empêchant l’expulsion de criminels dangereux ». Là je succombe. J’ai voté sans m’en rendre compte une loi concoctée par Simonetta Sommaruga qui vise à garder en circulation dans notre aimable contrée des assassins, des violeurs et des cambrioleurs. Cette conseillère fédérale m’avait toujours paru une personne honnête et de bon sens. J’apprends maintenant qu’elle est de mèche avec la maffia des malfaiteurs. Je suis donc prêt à soutenir toute initiative visant à la suppression du Conseil fédéral et du parlement, ces repaires de complices du crime. Cela fera une autre économie.

Je suis prêt à soutenir l’élection d’un président à vie dans la mesure où il prouve qu’il n’a jamais fait d’études et qu’il était dernier en classe obligatoire.Je donnerais la préférence à un candidat qui ne saurait ni lire, ni écrire, ni parler une langue nationale, mais uniquement un dialecte.

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Définir le mariage comme l’union d’un homme avec une femme est comparable à la charia

Ndlr : Il fallait oser !  Le conseiller national PLR Hanspeter Portmann (photo) l'a fait !

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Une définition de l'union comparée à la charia

L'autre restriction dénoncée par les opposants concerne la définition du mariage comme étant l'union d'un homme et d'une femme. Le conseiller national PLR Hanspeter Portmann estime que ce n'est pas à l'Etat de dicter des normes sociales à ses citoyens. Il compare d'ailleurs la proposition du PDC à la charia. "C'est extrême, mais c'est exactement une règle d'un Etat qui a la charia et qui dit que c'est la seule norme acceptée pour cet Etat", justifie le Zurichois.

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Article complet sur les opposants à l'initiative du PDC sur le mariage lancent leur campagne

 

Merci à Flavien

Définition du mariage : une campagne d’opposition mal biaisée

yohan ziehli

 

 

Par Yohan Ziehli, président Jeunes UDC Vaud, Conseiller communal

 

Le PDC a entamé sa campagne contre la discrimination des couples mariés. Comprenez par là la fin des désavantages fiscaux qui grèvent les couples ayant pris la décision de s’unir par les liens du mariage. Concrètement, le parti a lancé une initiative populaire demandant d’inscrire le principe de non-discrimination du mariage dans la Constitution (principe reconnu par le Tribunal fédéral il y a 30 ans déjà).

Jusque-là, rien de bien particulier. On pourrait s’attendre à un simple débat gauche-droite, la première soutenant le statut quo, la seconde prônant l’allègement fiscal. Mais voilà qu’une autre variable a fait son apparition : le texte de l’initiative ose définir le mariage comme « l’union durable et réglementée par la loi d’un homme et d’une femme ».

Il n’en fallait pas plus pour déclencher une riposte soutenue de la part des lobbies LGBT, qualifiant le projet de rétrograde et… discriminant. L’initiative du PDC représenterait ainsi un petit pas pour l’équité fiscale, mais un grand bond en arrière pour les droits des homosexuels (et autres). Qu’en est-il réellement ?

Une notion déjà existante

La protection du mariage se trouve aujourd’hui déjà dans la Constitution, au sein du catalogue des droits fondamentaux. Elle a été confirmée en votation populaire il y a 16 ans. A ce titre, la définition proposée par le PDC ne présente rien de nouveau : lors de cette votation, il ne faisait pour le peuple aucun doute que le mariage encadrait l’union d’un homme et d’une femme. Le mariage tel qu’il est inscrit dans la Constitution représente donc aujourd’hui déjà un mariage hétérosexuel. Raison pour laquelle cette même définition se retrouve dans le Code civil. L’initiative du PDC n’implique donc aucun pas en arrière, mais une simple interprétation de la Constitution telle qu’elle a été écrite.

Un sujet de société important

Que l’on soutienne ou pas le mariage homosexuel et sa conséquence directe et automatique qu’est le droit d’adoption, il n’est pas possible de nier qu’il s’agit d’un sujet de société important. Un sujet qui ne fait pas l’unanimité. Preuve en est le fait que sur les deux seuls Etats qui ont pu voter à ce propos, l’un a voté pour (l’Irlande), l’autre contre (la Slovénie).

Un tel objet doit donc légitimement être décidé par le peuple. On ne saurait laisser le seul parlement décider d’une instauration du mariage pour tous à travers une réforme quelconque du Code civil. Pour cette raison, l’initiative du PDC est une garantie qu’un tel projet ne passera pas par la bande.

Une opposition perfide

Au vu de ce qui précède, il est clair que l’initiative ne représente pas un recul du droit des homosexuels et qu’elle n’entrave pas illégitimement leurs efforts. D’un point de vue politique, la seule raison qui peut pousser les mouvements LGBT à refuser la définition précitée du mariage est l’intention de faire passer l’union homosexuelle en douce, lors d’une simple modification du Code civil. L’opportunité d’un référendum populaire pourrait être entravée en glissant cette modification dans une réforme plus large, obligeant le peuple à choisir « tout » ou « rien ».

Une telle hypothèse n’est pas fantasmée : c’est exactement ce qui se passe actuellement pour accorder aux homosexuels le droit d’adopter l’enfant du partenaire en évitant un vote populaire sur cette question précise. Et, surtout, en évitant la contrainte d’une double majorité (peuple et Canton). Que l’on soit pour ou contre ces nouveautés, admettons que le procédé est des plus discutables.

L’initiative favorisera également les couples homosexuels

Les opposants à l’initiative du PDC se gardent bien de préciser que, depuis 2007, les couples partenariés sont traités, tant pour les impôts que les assurances sociales, de la même manière que les couples mariés. Le principe de non-discrimination s’appliquera également à eux. Les couples ayant fait le choix du partenariat bénéficieront des mêmes avancées fiscales que les couples mariés et cesseront donc d’être discriminés par rapport aux concubins.

Le 28 février…

Allons donc voter sans réserve pour cette initiative demandant la justice pour tous les couples légalement unis. Refusons le mensonge selon lequel il s’agit d’une réforme rétrograde. Refusons les simplifications, selon lesquelles cette initiative limite la définition de l’amour à une considération de genre. Acceptons enfin d’inscrire le principe de non-discrimination pour les couples mariés dans la Constitution. Reconnaissons les droits des 80’000 couples actuellement volés.

Sans se laisser enfumer par une campagne d’opposition mal biaisée, votons OUI à l’initiative pour l’équité.

 

Yohan Ziehli, le blog

Christophe Darbellay demande aux paroisses d’héberger des réfugiés

Le président du PDC Christophe Darbellay demande aux paroisses d'en faire davantage pour résoudre le problème d'hébergement de requérants d'asile en Suisse. "Les beaux discours doivent s'accompagner d'actes", soutient-il.

Si l'Eglise veut être "ouverte", elle devrait aussi être prête, par exemple, à accueillir deux ou trois réfugiés syriens dans chaque paroisse, suggère Christophe Darbellay dans un entretien publié jeudi par le quotidien alémanique "Basler Zeitung". La pénurie de places d'accueil dans les centres d'hébergement pourrait ainsi être au moins en partie résolue.

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Miss Kosovo veut siéger au Conseil national avec l’aide du PDC

ND Ch. H. On remarque que cette femme ne parle que de ses racines, de sa communauté et en aucun cas des Suisses ou de la Suisse. Je vous laisse deviner pour qui va militer cette "Miss Kosovo". Un grand "bravo" au PDC qui démontre ce qu'est vraiment ce parti, prêt à s'aplatir devant une autre communauté pour quémander les voix de "nouveaux Suisses".

Kështjella Pepshi s'est fait un nom en tant que Miss Kosovo en 2010. Elle se présente désormais pour le Conseil national sur une liste du PDC bernois.

«Je ne vais pas compter le temps que je consacrerai à la politique. Je veux surtout me consacrer à la culture. J’ai grandi dans cet esprit-là, car mes deux parents étaient engagés dans la politique. Je dis ceci car l’engagement politique des gens de la diaspora était nécessaire pour le Kosovo afin d’aider le pays durant le processus d’indépendance. Je pense ainsi avoir de bonnes connaissances dans ce domaine», a expliqué la jeune mannequin au sitealbinfo.ch.

Le PDC bernois lance également deux autres candidats aux racines kosovares dans la course. La Suisse compte plus de 100'000 résidents avec des origines kosovares et bon nombre d'entre elles disposent de la citoyenneté suisse.

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Un nouveau projet de hausse de la vignette défendue par le PDC est en route

L’autocollant pour le pare-brise devrait passer de 40 à 70 francs, selon des sénateurs. Le débat promet d’être chaud à la rentrée.

La bataille sur la vignette menace de reprendre de plus belle. Après le refus du peuple suisse d’augmenter le prix du sésame autoroutier de 40 à 100 francs, en novembre 2013, une nouvelle proposition est sur la table. Il s’agirait d’une hausse plus modérée, à 70 francs. La Commission des transports du Conseil des Etats a accepté le principe au début de l’été. «Non, nous n’allons pas contre la volonté du peuple, se défend le sénateur Peter Bieri (PDC/ZG), coauteur de la proposition. Mais après la votation, souvenez-vous, beaucoup de gens ont dit qu’ils auraient accepté une hausse plus modérée, dont acte.»

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PLR, PBD et PS veulent revoter l’initiative du 9 février

IMMIGRATION

Les Suisses pourraient voter sur les relations avec l'Union européenne (UE) si l'application de l'initiative contre l'immigration de masse met en danger les accords bilatéraux.

Les plus hauts dirigeants de l'UE ont dit et redit qu'ils ne voulaient pas renégocier cette convention. Du coup, du côté des partis suisses, l'idée d'une nouvelle votation fait son chemin.

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Les Suisses paieront 1, 4 million pour l’accident provoqué par le chauffeur marocain engagé à l’ambassade suisse

La Suisse versera 1,7 million de dollars au mari de la victime d'un accident provoqué en 2011 par un chauffeur de l'ambassade suisse à Washington.

Berne versera environ 1,4 million de dollars (environ autant de francs suisses) et l'assurance de responsabilité civile la somme de 300'000 de dollars. L'époux de l'Américaine, qui n'a pas survécue à l'accident, demandait 10 millions de dollars de dommages et intérêts.

L'ancien domestique d'Hannibal Kadhafi - le fils de Mouammar Kadhafi, l'ancien dirigeant libyen - était employé par l'ambassade de Suisse à Washington. Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) lui avait accordé refuge pour le protéger.

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Rappel: Kamal avait été pris en charge par Anne-Marie von Arx-Vernon du PDC: "La Suisse l'a vraiment bien pris en charge et on peut s'en féliciter".

A l'époque, Micheline Calmy-Rey était responsable des affaires étrangères, ce département ayant octroyé le poste de chauffeur à ce Marocain.

 

La gauche et le PDC exigent l’arrêt de l’hébergement souterrain pour les requérants d’asile

Asile. Une motion de la gauche et du PDC demande au Conseil d’Etat ne plus loger de requérants d’asile plus de trois mois sous terre.

Le collectif «Stop Bunkers» vient de gagner une étape importante. Après avoir dénoncé, fin janvier, les conditions de vie «inhumaines» des requérants d’asile en abri PCi à l’Hospice général, il a obtenu le soutien de plusieurs députés. Une motion des Verts, des socialistes, du PDC et d’Ensemble à Gauche sera déposée demain au Grand Conseil. Le texte demande notamment à l’Exécutif genevois «d’abandonner le recours aux abris de protection civile pour un hébergement de plus de trois mois», mais également de reloger rapidement les requérants d’asile vivant dans ces locaux souterrains depuis plusieurs mois.

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Et le débat sur le sujet  le 24 février 2015 à la rts.ch, En Ligne directe, pour une vision plus adéquate et complète! ci-dessous