Passeport Covid : Près de la moitié des Suisses est en faveur de privilèges pour les vaccinés

Selon un sondage Comparis réalisé en avril, 48% des personnes interrogées sont en faveur d’un traitement spécial pour les détenteurs d’un passeport Covid. En novembre dernier, 59% de la population était opposée à de tels privilèges.

France : Comment une femme a été utilisée par son mari sénégalais pour obtenir la nationalité française et faire venir son autre épouse

Sur Europe 1, Catherine a raconté comme elle a été manipulée pendant dix ans par le père de ses enfants, violent, qu’elle a rencontré sur Internet alors qu’il vivait au Sénégal.

« J’ai 36 ans. Je suis une femme détruite par mon ex-mari avec qui je suis restée dix ans ». Dans l’émission « La Libre antenne » d’Europe 1, Catherine s’est longtemps confiée sur le calvaire qu’elle a vécu depuis le jour où elle a rencontré celui qui s’est marié avec elle pour obtenir des papiers français. Violent, manipulateur, cet homme, qu’elle a rencontré sur Internet alors qu’il habitait à Dakar, au Sénégal, comptait sur cette opportunité pour faire venir son autre épouse et ses enfants en France.

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Valeurs Actuelles

Jihad : Partie en Syrie, une Suissesse, également française et tunisienne, risque de perdre son passeport

Une Suissesse, également ressortissante française et tunisienne, fait face à une procédure de retrait de nationalité à cause de ses liens avec le terrorisme.

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Il y a un mois, c'était le cas pour un double national qui avait été condamné à une peine privative de liberté de plusieurs années pour avoir fait de la propagande et recruté des combattants en faveur d'une organisation terroriste islamiste.

L'homme peut faire recours auprès du Tribunal administratif fédéral.

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20Min.ch

Nos remerciements à Wilhou.ch

 

Pays-Bas : Cinq jihadistes marocains se voient restituer leur passeport néerlandais

Cinq jihadistes d’origine marocaine privés de leur passeport néerlandais ont été autorisés par le gouvernement à le récupérer, indique le quotidien néerlandais AD. De même, ils ne sont plus considérés comme persona non grata sur le territoire néerlandais.

Selon le média néerlandais NOS, il s’agit de combattants marocains qui ont rejoint des groupes terroristes en Syrie et en Irak. L’un d’eux serait Driss Daouayry. Selon plusieurs sources, il serait mort en Syrie en 2015. Les quatre autres sont Azzedine Benaissa, Benyamine Fadlaoui, Mounir El Kharbachi et Ridouane Öz.

Le secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères de l’époque, Mark Harbers, leur avait retiré leur passeport. Le quotidien néerlandais AD dit ne pas avoir de précisions sur les raisons ayant motivé les autorités à leur rendre leur passeport. La secrétaire d’Etat à la Justice et à la Sécurité, Ankie Broekers-Knol, n’a pas non plus été en mesure de commenter cette décision lundi soir.

Yabiladi.com / Sceptr.net / Nos.nl

Via Voice of Europe

Sexe neutre sur le passeport: Des politiciens suisses adhèrent à l’idée

Nous en parlions déjà ici pour le Canada.

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Le Canada autorise les personnes ne s'identifiant ni comme homme ni comme femme à utiliser la mention «X» sur leurs documents d'identité.

La conseillère nationale Sibel Arslan (BS/Verts) salue la récente décision des autorités canadiennes: «C'est un grand progrès pour les personnes intersexes qui peuvent désormais décider comment elles souhaitent se définir.»

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Suisse: «Les binationaux doivent laisser l’autre passeport»

Le 12 février, les Suisses voteront sur la naturalisation facilitée des étrangers de 3e génération. L'UDC et ses alliés de la droite dure se battent, seuls contre tous, contre cette réforme. Et soulèvent d'autres «effets pervers» du système, comme la binationalité.

Erich Hess, conseiller national bernois, est gêné par le fait de permettre d'avoir deux passeports: «On ne sait jamais si celui qui conserve son ancienne nationalité s'engage totalement pour la Suisse ou non. Chacun devrait choisir le pays pour lequel son coeur bat.» En d'autres termes, celui qui devient suisse devrait la choisir. Et grâce à ce «devoir de positionnement», seules les personnes intégrées seraient naturalisées.

Source

Rappel:

Suisse: Des soldats d’origine albanaise photographiés avec l’écusson albanais

Berne veut un passeport pour les requérants d’asile déboutés

Le Conseil fédéral a décidé d'introduire en Suisse le nouveau passeport européen pour les requérants d'asile déboutés et les étrangers en situation irrégulière, a indiqué dimanche la NZZ am Sonntag.

Ce passeport européen s'apparente plutôt à une forme de laissez-passer pour des ressortissants de pays tiers en situation irrégulière qui ne peuvent être renvoyés dans leur pays d'origine faute de documents officiels. Cette solution a été adoptée par le Parlement européen l'automne dernier pour améliorer les renvois effectifs. Selon la Commission européenne, moins de 40% de l'ensemble des décisions de renvoi ont été exécutées en 2014.

En Suisse, environ 2800 personnes sur 4300 seraient concernées, notamment des ressortissants d'Algérie, du Maroc, de Tunisie et de Chine, qu'il n'était pas possible d'expulser jusqu'à présent, faute de documents officiels.

Solution par le dialogue

Le Conseil fédéral souhaite emboîter le pas, mais les écueils restent nombreux. Il faut un accord de réadmission et les Etats de provenance ne veulent pas forcément reprendre leurs ressortissants déboutés.

Les décisions de renvois donnent lieu en Suisse à des entretiens avec les autorités du pays tiers pour tenter de trouver une solution. Un tel laissez-passer imposé aux forceps pourrait les braquer, estime-t-on du côté d'organisations comme Amnesty international. Mieux vaut passer par le dialogue et la voie diplomatique. Le Mali vient d'ailleurs d'annoncer qu'il ne reconnaîtrait pas ce document.

Sylvie Belzer/lan / RTS

Genève: Les étrangers se ruent sur le passeport suisse. 40% de demandes en plus. Pierre Maudet jubille.

Les demandes ont explosé dans le canton, avant le durcissement de l’accès au passeport suisse dès 2018.

40% de demandes en plus

Depuis que l’Office cantonal de la population et des migrations (OCPM) a personnellement informé par écrit quelque 90 000 résidents genevois de nationalité étrangère qu’ils ne pourront bientôt plus briguer le passeport rouge à croix blanche, les demandes de naturalisation ont explosé. Elles sont passées de 1932 en 2014 à 2735 en 2016 (jusqu’au début de décembre), soit plus de 40% d’augmentation en deux ans.

Pierre Maudet s’en félicite: «La naturalisation est un levier d’intégration», confiait-il le 13 décembre, après avoir incité les 600 nouveaux Suisses à faire usage du droit de vote qu’ils venaient d’acquérir.

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La démarche proactive de Genève en matière de naturalisation a inspiré le Canton de Bâle-Ville. Celui-ci a aussi écrit à ses résidents étrangers n’ayant pas le permis C pour les encourager à faire leur demande de naturalisation avant 2018. Et la Conférence des directrices et directeurs des Départements cantonaux de justice et police (CCDJP) recommande aux autres cantons de suivre l’exemple genevois.

 

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Rappel:

Genève: Pierre Maudet encourage la naturalisation afin de contrer l’initiative UDC

Suisse : pour la première fois, les données sur les personnes condamnées sont publiées selon la nationalité

L’Office fédéral de la statistique (OFS) publie pour la première fois des chiffres sur la nationalité des personnes condamnées. Ces chiffres font la distinction entre les personnes qui séjournent longtemps en Suisse (Suisses et étrangers titulaires d’un permis B ou C) et les autres catégories d’étrangers. Simultanément paraît un rapport de méthode qui montre les possibilités de comparaison de la criminalité par nationalité, et ses limites.

Suisses et étrangers titulaires d’un permis B ou C: nombre de personnes condamnées et taux de condamnation pour un crime ou un délit du code pénal (CP), selon la nationalité, l’âge et le sexe(doc excel)

Autres étrangers (non titulaires d’un permis B ou C): nombre de personnes condamnées pour un crime ou un délit du code pénal (CP), selon la nationalité, l’âge et le sexe (doc excel)

Via Fdesouche.com

Suisse: Les deux filles musulmanes qui refusent d’aller à la piscine veulent aussi se faire naturaliser

Christian Hofer: Après l'affaire des deux frères qui refusent de serrer la main à leurs institutrices et qui désirent aussi acquérir notre nationalité... Ils n'ont aucun respect pour nos mœurs ou nos coutumes. Leur religion passe avant tout mais ils osent prétendre qu'ils ont droit à notre passeport et qu'ils peuvent prétendre être "Suisses"! Cela démontre à loisir à quel point ils nous utilisent, à quel point ils se fichent de nous.

Et ce sont ces gens-là que la gauche protège, revendiquant cycliquement une naturalisation plus accessible!

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La décision date de l'an dernier, mais elle n'est rendue publique que maintenant. Deux soeurs musulmanes, âgées de 12 et 14 ans, souhaitent devenir Suisses. Leur demande a été refusée, car elles ne vont pas à la piscine, ni ne participent à des camps organisés par leur école, pour des raisons religieuses, a révélé lundi la SRF.

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Pour Cesla Amarelle, la nouvelle loi sur la naturalisation est anti-démocratique…

Par contre, lorsqu'il s'agit d'imposer des migrants dans nos villages suisses, cela ne pose aucun problème démocratique... n'est-ce pas Cesla?

Pour cette socialiste, notre passeport doit être offert au premier venu alors même que les pays d'émigration ne bradent en aucun cas leur nationalité, alors même que leurs ressortissants ne se privent pas pour violer nos lois. Tout ne doit se faire que dans un seul sens pour la gauche.

Enfin on rappellera que pour cette personne, le parlement peut invalider une initiative populaire: la démocratie n'est agitée que lorsqu'il s'agit d'étrangers, jamais des Suisses. Une hypocrisie totale mais tellement banale.

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cesla

 

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Vaud veut naturaliser le plus d’étrangers possible avant que la procédure ne se durcisse

Entrée en vigueur d'une nouvelle loi fédérale en 2018

La loi fédérale sur la nationalité adoptée en juin 2014 entrera en vigueur le 1er janvier 2018. Ce nouveau cadre légal, qui restreint les conditions d'accès à la nationalité suisse, implique une adaptation de la loi cantonale sur la nationalité qui devra être soumise au Grand Conseil. La loi actuelle reste applicable aux candidats à la naturalisation qui entreprennent leur démarche en ce sens avant l'entrée en vigueur de la nouvelle législation. Dans ce contexte, le Conseil d'État, conformément à la Constitution vaudoise, réaffirme son attachement à la naturalisation.

Le Conseil d'État prend acte de l'annonce du Conseil fédéral fixant l'entrée en vigueur au 1er janvier 2018 de la nouvelle loi sur la nationalité adoptée par les Chambres fédérales le 20 juin 2014. Il salue ce délai qui permettra au Canton d'adapter la législation vaudoise dans ce domaine.

Il relève que 2018 marquera un changement de paradigme en matière de naturalisation, avec une restriction des conditions d'acquisition de la nationalité suisse. Dès cette date, si la durée exigée de séjour en Suisse passe de douze à dix ans, les candidats devront être titulaires d'une autorisation d'établissement (permis C) et attester de connaissances d'une langue nationale, le français dans le canton de Vaud, non seulement à l'oral, mais également à l'écrit. L'ordonnance fédérale d'exécution renforce aussi les exigences, notamment en termes de dépendance à l'aide sociale.

Dans ce contexte, le Conseil d'État tient à rappeler sa volonté de promouvoir la démarche de naturalisation, volonté qui s'inscrit également dans la Constitution vaudoise. Il précise que toutes les demandes de naturalisation déposées avant le 1er janvier 2018 seront traitées sous le régime légal actuel (notamment douze ans de résidence légale en Suisse, dont trois dans le canton de Vaud, intégration dans la société vaudoise, respect de l'ordre juridique suisse, être prêt à remplir ses obligations publiques). Dans cette perspective, le Service de la population sera organisé de manière à pouvoir répondre à la demande.

Le Gouvernement invite toute personne étrangère intéressée par cette démarche et qui estime réunir les conditions nécessaires à déposer une demande de naturalisation auprès du greffe de sa commune de résidence. De même, il encourage les communes, acteurs essentiels dans le processus de naturalisation, à rester impliquées dans l'accompagnement des candidats.

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Tour de vis pour obtenir le passeport suisse dès… 2018

Christian Hofer: En clair, les délinquants pouvaient se faire naturaliser: un scandale que la gauche a bien caché durant des années.

En outre, on notera la "rapidité" du changement. Ce CF est bien plus réactif lorsqu'il s'agit de nous imposer des dizaines de milliers de migrants et doubler les budgets de l'asile.

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Les personnes à l'aide sociale et les délinquants ne pourront plus se faire naturaliser suisses. Mais il y aura des exceptions et les candidats ne devront pas signer de déclaration de loyauté: le Conseil fédéral a retouché vendredi l'ordonnance sur la nationalité.

Le texte entrera en vigueur le 1er janvier 2018 avec la loi adoptée par le Parlement en juin 2014. Avec elle, la naturalisation sera réservée aux détenteurs d'un permis d'établissement qui sont depuis dix ans en Suisse et peuvent témoigner d'une intégration réussie.

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Suisse: Les citoyens binationaux terroristes ne seront pas automatiquement déchus de la nationalité suisse.

Les citoyens binationaux impliqués dans des activités de terrorisme ne seront pas automatiquement déchus de la nationalité suisse. Le Conseil des Etats a enterré mardi, par 27 voix contre 12, une initiative parlementaire en ce sens approuvée par le National.

Le texte du conseiller national Toni Brunner (UDC/SG) est univoque et ne tient pas assez compte de cas spécifiques, a plaidé Andrea Caroni (PLR/AR) au nom de la commission. Son exigence absolue de retrait «automatique» de la nationalité couplée à sa formulation très vague font que l'auteur de n'importe quel délit isolé peut tomber sous le coup de la loi et se faire confisquer son passeport.

La majorité a jugé plus prudent de s'en tenir à la législation actuelle, qui permet déjà de déchoir de la nationalité un double national dont la conduite porte une atteinte grave aux intérêts du pays. Cette disposition, qui n'a encore jamais été appliquée, date du début de la Guerre Froide, a d'ailleurs rappelé M. Caroni.

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France: Une loi votée en catimini qui élargit le droit du sol

Jamais aucune loi sur l’immigration n’a connu un destin aussi étrange que la loi n°2016-274 publiée le 8 mars 2016 au journal officiel. Cette loi, en chantier depuis près de deux ans, a fait l’objet d’un silence absolu des médias, de la presse, du monde politique. Le Front national, nourri depuis trente-cinq ans du thème de l’immigration est totalement muet. Les Républicains n’en soufflent mot. Le gouvernement et les socialistes ne fanfaronnent pas non plus. Lors du vote final de cette loi à l’Assemblée nationale, l’hémicycle était quasiment vide: un seul député de l’opposition (Les Républicains) pour une dizaine de socialistes, tandis que les deux députés d’extrême droite brillaient par leur absence… Or ce texte fondamental bouleverse le droit des étrangers dans le sens de l’ouverture et de l’accueil.

Ainsi, son article 59, élargit l’accès à la nationalité française par le droit du sol, en introduisant une innovation majeure qui modifie sensiblement le droit français de la nationalité. Il ouvre la nationalité française à leur majorité, aux personnes vivant sur le territoire français «depuis l’âge de six ans et ayant suivi leur scolarité obligatoire en France […] lorsqu’elles ont un frère ou une sœur ayant acquis la nationalité française [par le droit du sol].» Cette loi crée ainsi une nouvelle forme d’acquisition de la nationalité française, un droit du sol dérivé, indirect, transmis par le lien de fratrie, qui ne nécessite pas d’être né sur le territoire français, mais d’avoir un frère ou sœur devenu lui-même français par le droit du sol.

Son article 13 concerne les personnes en situation irrégulière, malades sur le territoire français. Il prévoit en faveur de tout étranger malade et en situation illégale, un droit à la régularisation si «eu égard à l’offre de soins et aux caractéristiques du système de santé dans le pays dont il est originaire, il ne pourrait pas y bénéficier effectivement d’un traitement approprié». Un étranger en situation irrégulière en France qui n’a pas les moyens personnels d’être soigné dans son pays d’origine, obtient ainsi le droit à une régularisation et donc celui d’être soigné en France. L’intention est certes généreuse mais une telle mesure risque d’entraîner un appel d’air d’une ampleur inconnue.

L’article 17 de la loi crée une carte de séjour pluriannuelle de quatre (ou deux ans) qui sera délivrée «au terme d’une première année de séjour régulier». Jusqu’alors, le système français reposait sur la délivrance d’une carte de séjour d’un an renouvelable pendant cinq ans, avant d’accéder au titre de résident de dix ans. Les cinq ans de séjour temporaire constituaient une période probatoire, destinée à s’assurer d’une bonne intégration. Désormais, dès l’expiration du visa de long séjour d’un an, l’étranger obtient le droit à un titre de séjour consolidé, ne nécessitant pas un renouvellement annuel, d’une durée de quatre années, avant l’obtention du titre de dix ans.

L’article 33 chamboule le dispositif de lutte contre l’immigration irrégulière. Il supprime la rétention administrative de cinq jours pendant laquelle le préfet peut décider de garder un étranger en situation irrégulière en rétention, le temps d’organiser son départ. Celle-ci passe à 48 heures, une durée bien entendu insuffisante pour organiser le retour d’une personne dans son pays. Seul le juge des libertés, traditionnellement ultralibéral en matière de droit des étrangers, pourra autoriser une prolongation de cette durée. En outre, la nouvelle loi interdit, sauf exception, le placement en rétention des familles avec enfant.

Figaro Vox

Le National veut retirer la nationalité aux terroristes. La socialiste Cesla Amarelle s’y oppose!

La mesure devrait être automatique, selon la décision votée lundi par le Conseil national, donnant suite à une initiative parlementaire UDC.

Un peu plus de trois semaines après les attentats de Paris, la Chambre du peuple a donc souhaité un tour de vis en approuvant le texte du président de l'UDC Toni Brunner (SG). Sa commission, qui avait siégé à la mi-janvier, proposait de justesse, par 13 voix contre 11 et 1 abstention, de ne pas y donner suite. Les récents attentats ont peut-être fait pencher la balance en plénum.

La mesure proposée est purement symbolique et ne saurait dissuader un djihadiste de réaliser ses projets criminels ni renforcer la sécurité du pays, a plaidé en vain Cesla Amarelle (PS/VD) au nom de la commission. Au contraire, le retrait de la nationalité suisse pourrait conduire à ce qu'une personne ayant commis des délits en Suisse ou à l'étranger ne soit plus extradée vers la Suisse.

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Selon l'administration, seules quatre personnes pourraient aujourd'hui potentiellement perdre leur passeport à croix blanche, avec cette initiative.

Le Conseil fédéral s'est déjà prononcé sur une motion PDC en ce sens. En novembre 2014, il a rejeté l'idée, l'estimant disproportionnée et superflue.

La disposition permettant le retrait du passeport remonte à 1953 et n'a encore jamais été appliquée, relevait l'exécutif.

Ce sera au tour, maintenant, de la commission des institutions politiques du Conseil des Etats de se prononcer sur l'initiative parlementaire de l'UDC.

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