Jean-Claude Juncker balaie l’accord “light” avec la Suisse et donne ses ordres.

"Je veux un accord d'ensemble": interrogé jeudi par la RTS, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a balayé l'idée d'un accord "light" avec la Suisse tel que l'envisage le Conseil fédéral.

Concernant l'accord institutionnel négocié avec la Suisse, Jean-Claude Juncker douche les espoirs helvétiques d’une négociation par étapes ou d'un accord "light". "Je suis contre le saucissonnage", déclare le Luxembourgeois, ajoutant que "les Etats membres ont des idées arrêtées sur le sujet".

Pour le président de la Commission européenne, le temps presse pour la Suisse, car après lui, "ça pourrait être franchement mauvais". "Négociez avec moi, concluez avec moi, parce que d'ici une année je ne serai plus là et vous allez voir", assure Jean-Claude Juncker.

"Faites-le maintenant"

Le dirigeant européen estime aussi qu'il faut "régler une fois pour toutes les relations entre la Confédération et l'Union européenne et je vous le redis: 'Faites-le maintenant'".

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RTS

Nos remerciements à Daniel Brand

 

Rappels :

Malgré l’humiliation infligée par l’Union Européenne, le Conseil fédéral veut toujours verser 1,3 milliard de francs

Quand Jean-Claude Juncker vient relever les compteurs

« Billion Dollar Baby » le mauvais film de Doris Leuthard

La Suisse annonce une mesure de rétorsion contre l’UE. L’Union Européenne rétorque qu’elle veut un accord institutionnel.

Didier Burkhalter voulait verser les 1,3 milliard de francs exigés par l’UE sans contrepartie!

Malgré 1,3 milliard offert à l’Union Européenne, la Suisse est placée sur la liste « grise » des paradis fiscaux

Un scandale: le Conseil fédéral fait un cadeau de 1,302 milliard de francs à l'UE

Davos: Juncker n’a pas de temps pour le Conseil fédéral. «Pourtant même Donald Trump a du temps pour la Suisse.»

Juncker s’inquiète des nationalismes en Europe

Jean-Claude Juncker, après l’attentat de Berlin: «l’ouverture est le meilleur moyen de lutter contre le terrorisme»

Jean-Claude Juncker veut former 105 000 étudiants africains d’ici 2027

Un discours sur l'état de l'Union pour couvrir un état de désunion, c'est un peu le défi qu'avait à relever, ce mercredi matin, Jean-Claude Juncker. Le président de la Commission européenne est dans une situation peu commode : il lui reste 250 jours pour convaincre les électeurs européens de ne pas se détourner du projet originel du continent, à savoir la création d'un espace de paix et de commerce où les valeurs démocratiques, dont l'État de droit serait respecté, un continent ouvert au libre-échange mondial, engagé dans la transition écologique et – ajout récent – où les droits sociaux des travailleurs seraient peu à peu harmonisés.

Or, partout où le regard se tourne, les périls surgissent : le Royaume-Uni négocie en traînant des pieds un départ des institutions tout en souhaitant jouir des avantages du « club », menaçant au passage la paix en Irlande ; à l'est, Viktor Orbán prend la tête de démocraties illibérales pour s'affranchir de l'État de droit et trouve, sur la question migratoire, un soutien populaire qui lui permet de piétiner les libertés et les droits fondamentaux dans son pays ; au sud, Matteo Salvini lui tend la main pour une fusion des droites qui met à mal les chrétiens-démocrates du PPE (Parti populaire européen, conservateurs), le parti des fondateurs de l'UE. Et par ailleurs, tous les dossiers économiques en cours entrent dans une phase de paralysie pré-électorale : aucune avancée sur la taxation des Gafa qui lèsent depuis des années les finances publiques, blocage complet du projet de budget de la zone euro, report de l'adoption des grandes options budgétaires à l'après 2019, etc.

Un vrai partenariat avec l'Afrique

Face à de tels blocages, dans son discours, Jean-Claude Juncker préconise, une fois de plus, l'abandon de la règle de l'unanimité au Conseil européen et l'usage d'une majorité qualifiée prévue dans le traité de Lisbonne (la fameuse « clause passerelle », jamais utilisée à ce jour). Un vœu pieux sans doute, mais que peut-il faire d'autre ? Contrairement à ce que l'on croit, le président de la Commission n'est pas un chef d'État qui pourrait, par sa seule volonté, débloquer les dossiers en cours. C'est un compositeur entre des États souverains. Ses initiatives sont toutes dépendantes de la bonne volonté des gouvernants.

Alors, Juncker propose. Il propose, face aux flux migratoires africains, un vrai partenariat économique équilibré avec ce « noble continent » qui « n'a pas besoin de charité ». Une « nouvelle alliance » qui pourrait, selon ses calculs, créer « 10 millions d'emplois en Afrique dans les prochaines années ». Il propose de former 105 000 étudiants africains d'ici 2027. Il propose de renouveler en profondeur nos accords commerciaux avec les pays africains pour créer une vaste zone de libre-échange.

Un budget avant les élections

Après le départ des Britanniques, le 29 mars 2019, un grand sommet européen se tiendra à Sibiu, en Roumanie. Les dirigeants auront alors pour tâche de relancer la construction européenne. Que faire d'ici ce sommet ? Juncker dicte son agenda : ratifier le traité commercial avec le Japon, important aussi « pour des raisons géopolitiques », renforcer Erasmus en multipliant son budget, soutenir plus vigoureusement la recherche européenne et le numérique, multiplier par 20 nos dépenses militaires pour garantir l'indépendance européenne et – on y revient – « augmenter de 23 % » notre plan de développement avec l'Afrique. Mais pour cela, il faudrait qu'avant les élections l'Union européenne adopte le budget multiannuel 2021/2027.

Or, si la chancelière allemande Angela Merkel et la Commission européenne y poussent, un certain nombre de pays s'y refusent et préfèrent attendre les élections européennes du 26 mai. Ce serait donc, dans ce cas, au nouveau Parlement européen d'approuver la feuille de route budgétaire. Mais quelle sera la couleur politique de cette nouvelle assemblée ? Les eurosceptiques y pèseront sans doute plus lourd et les désillusions de Juncker (qui se maintiendra jusqu'en novembre, le temps de constituer la nouvelle Commission) seraient alors nombreuses...

Un dernier grand chantier attend l'Europe : faire de sa monnaie un instrument de souveraineté. L'euro a survécu à la crise de 2008. Il est devenu la seconde monnaie mondiale après le dollar (60 pays s'y rattachent pour fixer le cours de leur monnaie). Mais loin, très loin après le dollar puisque, comme le déplorait Juncker, les États membres continuent de payer leur facture énergétique en dollars alors que les États-Unis ne fournissent que 2 % de l'énergie en Europe. Pire : les compagnies aériennes en Europe achètent les avions européens... en dollars et non en euros ! « Ridicule », lâche Juncker qui ne sera plus là si jamais un jour l'euro devait se déployer à l'égal du dollar.

Juncker et Orbán, deux opposants au sein d'un même parti

En vérité, la Commission Juncker n'a plus le temps de faire avancer de nouvelles initiatives. Dans les 250 jours qui lui restent avant les élections, elle aura déjà fort à faire avec les dossiers en cours. Au premier rang desquels la réforme de l'asile et de l'immigration, principale pomme de discorde du moment. Cinq des sept textes de l'ensemble sont déjà approuvés. Naturellement, les derniers blocages portent sur l'essentiel : comment organiser la solidarité entre les nations européennes alors que les pays du Sud (Italie, Grèce et Espagne) sont les plus exposés aux migrations ? Comment renvoyer efficacement ceux qui n'ont pas vocation à recevoir la protection de l'asile politique ? Comment limiter les départs à partir du continent africain ? Là encore, Juncker rejoint une proposition d'Angela Merkel : il faut aussi organiser une filière légale et ordonnée de migrations économiques, de manière à refuser fermement les arrivées clandestines. Les besoins en main-d'œuvre – notamment dans l'assistance au quatrième âge – vont aller grandissant dans une Europe qui vieillit et se dépeuple (la France n'est pas concernée à ce stade).

Pour Juncker, « l'Europe ne sera jamais une forteresse tournant le dos au monde et notamment au monde qui souffre. L'Europe ne sera jamais une île. (...) Tel est aussi l'enjeu des élections au Parlement européen qui auront lieu en mai 2019 ». Viktor Orbán a reçu le message cinq sur cinq. Auditionné mardi par le Parlement européen dans le cadre de la procédure de sanction engagée contre lui par la Commission europénne, le leader hongrois a promis de régler ses comptes dans les urnes. « Vous souhaitez exclure un peuple des décisions européennes. Vous privez la Hongrie de la possibilité de défendre ses propres intérêts au sein de la famille européenne à laquelle nous appartenons, a-t-il riposté (...). Nous sommes le parti qui réussit le mieux au sein du Parlement européen. Nos adversaires socialistes et libéraux – c'est compréhensible – ne sont pas heureux de notre succès. Mais se venger contre les Hongrois parce qu'ils n'ont pas voté pour eux n'est pas honnête, n'est pas Européen. » Juncker et Orbán font aujourd'hui partie de la même famille politique, le PPE. À lire les uns et les autres, c'est difficile à croire...

Le Point

Bruxelles : Jean-Claude Juncker encore titubant lors du sommet de l’OTAN. Les officiels évoquent un “mal de dos”. (Vidéos)

Le Huffingtonpost.fr tout comme le Soir prétendent que c'est un "mal de dos".

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Le président de la Commission européenne a fait une arrivée remarquée à l'occasion de la réception marquant la fin du sommet de l'OTAN à Bruxelles. Plusieurs chefs d'Etat ont dû aider le dirigeant à conserver son équilibre.

Une vidéo filmée au terme du sommet de l'OTAN ce 12 juillet a relancé les rumeurs selon lesquelles le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker aurait tendance à abuser de la bouteille. Au terme du sommet de l'Alliance, les chefs d'Etat étaient conviés à une réception au Cinquantenaire, prestigieux parc bruxellois du XIXe siècle. Jean-Claude Juncker y a été vu peinant à marcher et maintenir son équilibre. Plusieurs hôtes lui ont porté assistance, sous le regard du secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg.

 

A noter le ton humoristique du journaliste qui tourne en ridicule ce mal de dos :

 

 

 

La vidéo a notamment été mise en ligne par un compte Twitter eurosceptique.

 

 

Ce n'est néanmoins pas la première fois que l'attitude de Jean-Claude Juncker pose question. En décembre 2017, il avait été filmé titubant et cherchant sa place pour une séance photo.

 

 

Pour expliquer l'état du président de la Commission, le premier ministre portugais Antonio Costa a sobrement évoqué devant des journalistes un problème de «sciatique».

Source

Quand Jean-Claude Juncker vient relever les compteurs

On ne s'en rend pas immédiatement compte mais les politiciens fédéraux sont des gens méritants. Ils mettent de façon plus ou moins désintéressée leurs immenses compétences au service de notre pays. Leur tâche est le plus souvent ingrate car ils ne disposent pas toujours de la latitude nécessaire pour donner le meilleur d'eux-mêmes, devant parfois tenir plus ou moins compte de l'avis du peuple. Et c'est fâcheux. Il arrive que la populace bornée, confrontée aux soucis du vulgaire, n'ait pas la vision globale des enjeux. Comme le dit Gabin dans le Président, on a une mauvaise vue d'ensemble quand on voit les choses de trop près. Là où le Conseil fédéral et le parlement voient Europe, le quidam voit dumping salarial, chômage, oukases liberticides, crime vagabond et asile à tout va. Comme le dit Gabin toujours : "Nous ne parlons forcément pas de la même Europe". Cette divergence de vue complique bien évidemment les rapports que la classe politique veut entretenir avec l'eurocratie, soucieuse qu'elle est de frétiller dans la cour des puissants. Nous avons pu le constater avec l'initiative du 14 février 2014 visant à lutter contre l'immigration de masse. Le citoyen a égoïstement pensé à lui et choisi de limiter l'accès à notre marché du travail. Horreur ! Comment expliquer cela à Bruxelles ? Comment faire comprendre à l'illustre aéropage que la démocratie directe présente un inconvénient majeur, à savoir permettre au peuple de s'intéresser à ce qui le concerne ? Après une visite à Bruxelles pour prendre leurs instructions, nos politiciens ont tout bonnement choisi d'ignorer la volonté populaire, félonie saluée par la Commission européenne fort satisfaite de voir que ses laquais étaient prêts à trahir pour complaire.

Cela ne suffisait pas. Le choix populaire du 14 février constituait un tel affront qu'il fallait faire plus pour s'excuser envers Jean-Claude Juncker et ses sbires. La majorité du Conseil fédéral a donc choisi de faire payer la population pour sa décision erronée. Il faut en effet punir ces hommes et ces femmes qui prétendent savoir ce qui est bon pour eux. Le gouvernement va donc nous faire les poches et y soutirer un milliard trois-cents millions de francs qui seront généreusement distribués au sein de l'Union européenne. Bien évidemment, il eût été vulgaire de négocier la moindre contrepartie, pareille largesse se doit d'être désintéressée. Un beau cadeau bien dans l'esprit gauchiste toujours généreux avec l'argent des autres. Le parti socialiste ne s'y trompe d'ailleurs pas, qui applaudit à tout rompre, soulignant la bonne affaire que fait la Suisse.

Au-delà du montant que le contribuable aura à régler, cette affaire met une nouvelle fois en lumière l'inféodation préoccupante de notre classe politique vis-à-vis de Bruxelles. Nos élus, dans leur immense majorité, ont clairement démontré qu'ils préfèrent les intérêts de l'Union européenne aux nôtres, qu'ils placent l'humeur des eurocrates au-dessus de la démocratie suisse. Les mamours entre Doris Leuthard et Jean-Claude Juncker constituent un magnifique bras d'honneur aux citoyens suisses à qui la présidente de la Confédération fait savoir qu'ils sont priés de fermer leur bouche et d'ouvrir leur porte-monnaie. C'est une leçon à un milliard trois-cents millions. C'est une leçon dont il faudra se souvenir en 2019, à l'occasion des élections fédérales.

Yvan Perrin, le 25 novembre 2017

Un scandale: le Conseil fédéral fait à l’UE un cadeau de 1,302 milliard de francs d’argent des contribuables

Communiqué de presse UDC Suisse, le 23 novembre 2017Le Conseil fédéral a accordé une fois de plus aujourd'hui à l'UE un dit "versement pour la cohésion", soit 1302 millions de francs, sans obtenir une contrepartie notable de Bruxelles.  Comme de coutume, la majorité du gouvernement continue ainsi de placer les intérêts de l'UE au-dessus de ceux de son propre pays. 

 

Comment expliquer autrement la décision du Conseil fédéral de verser une fois de plus 1,302 milliard de francs d'argent des contribuables à l'UE sans obtenir une contrepartie d'une valeur au moins approchante? Juste pour se faire valoir auprès de Jean-Claude Juncker, président de la Commission UE en visite à Berne, la présidente PDC de la Confédération lui a fait ce cadeau de Noël anticipé aux frais des contribuables suisses. Dans son habituelle attitude de soumission face à l'UE, le gouvernement helvétique joue ses atouts alors que le jeu n'a même pas encore véritablement commencé. Un diplomate agissant de manière aussi maladroite et non professionnelle en ignorant les intérêts de son pays serait immédiatement remplacé. Et comme si cela ne suffisait pas, la présidente de la Confédération Doris Leuthard a confirmé la volonté du Conseil fédéral de conclure un accord-cadre sur la reprise automatique de droit et la reconnaissance de juges UE, traité qui fera de la Suisse une colonie du moloch bureaucratique et antidémocratique bruxellois.

Il va de soi que l'UDC se battra de toutes ses forces dans le cadre de la procédure de consultation et des débats parlementaires contre ce scandaleux gaspillage d'argent appartenant au peuple. Elle invite aussi avec insistance le Conseil fédéral à ne pas faire de promesses à l'UE avant la décision du Parlement, même si cela est sans doute trop tard aujourd'hui. Quant au nouveau ministre PLR des affaires étrangères, il est appelé à assumer ses responsabilités, se séparer des diplomates du DFAE trop proches de l’UE et à défendre avec force les intérêts de la Suisse conformément à la volonté du souverain et à la Constitution fédérale.

 

 

Billet d’humour

Nous recevons à l'instant un communiqué de presse de Bruxelles :

"La Commission européenne prend acte avec regret de l'élection de M. Ignazio Cassis au poste de Conseiller fédéral. Ce choix du Parlement suisse ne va pas contribuer à fluidifier les rapports entre Bruxelles et Berne, comme le relève M. Jean-Claude Juncker, président de la commission. La Suisse avait pourtant l'opportunité d'élire au gouvernement un véritable europhile, binational et favorable à l'immigration sans contrôle, ce qui fait de lui un condensé de la politique européenne. A sa place, le Parlement a choisi un Tessinois, représentant un canton hostile aux frontaliers italiens qui viennent pourtant sauver une économie atone et manquant de bras. Nul doute qu'avec pareil personnage au gouvernement, la politique suisse va se raidir face à la bonne volonté de Bruxelles qui souhaite simplement expliquer aux Helvètes que leurs décisions sont mauvaises et qu'ils devraient donc laisser le soin de décider de leur destin aux membres éclairés de la commission.

M. Juncker estime malgré le choix du jour que Pierre Maudet a sa place au Conseil fédéral et ne doute pas qu'il y sera élu dans un avenir proche, dès lors que les Suisses se seront rendus compte qu'ils ont besoin d'un homme d'une telle envergure et lui souhaite en attendant plein succès en vue des prochaines élections genevoises".

Yvan Perrin, 20.9.2017

Jean-Claude Juncker met en garde Trump face au risque de “guerre des Balkans”

Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a indiqué avoir prévenu l'administration américaine qu'elle ne devait pas encourager les pays de l'UE à quitter l'union face au risque d'une "guerre des Balkans".

Dans un entretien publié vendredi par le journal 'Financial Times', Jean-Claude Juncker a expliqué avoir tenu ces propos au vice-président américain Mike Pence lors de sa visite à Bruxelles le mois dernier, pendant laquelle il s'était étonné du soutien du président Donald Trump au Brexit.

Si nous les laissons seuls, vous aurez à nouveau la guerre

"J'ai dit au vice-président: 'ne dites pas ça, n'invitez pas les autres à partir, parce que si l'Union européenne s'écroule, vous aurez une nouvelle guerre dans les Balkans de l'Ouest'", a-t-il raconté au FT.

Des sept pays issus de l'ex-Yougoslavie ravagée par la guerre au début des années 1990, seuls deux ont adhéré depuis à l'UE, la Slovénie et la Croatie.

Mais Jean-Claude Juncker juge dangereux de supprimer toute perspective d'adhésion aux autres pays de la région. "Si nous les laissons seuls - la Bosnie-Herzégovine, la Republika Srpska, la Macédoine, l'Albanie, tous ces pays - vous aurez la guerre à nouveau", a-t-il assuré.

130 000 morts

La Republika Srpska (RS) est l'entité des Serbes de Bosnie-Herzégovine. Cette dernière faisait partie de l'ex-Yougoslavie avec la Macédoine, la Serbie, le Monténégro, le Kosovo, la Slovénie et la Croatie, tandis que l'Albanie a toujours été un pays distinct.

Les conflits sanglants qui ont suivi l'éclatement de l'ex-Yougoslavie ont fait 130.000 morts et des millions de réfugiés.

Source

L’UE donne près de TROIS MILLIARDS D’EUROS aux Mafieux Ukrainiens

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Une dépêche de l'agence de presse Reuters [cf. lien en bas de page] informe que l'Ukraine va recevoir 600 millions d'euros d'aide européenne, a annoncé jeudi 16 mars 2017 la Commission européenne. Avec ces 600 millions d'euros d'aide supplémentaire, le montant total des prêts consentis à l'Ukraine [que celle-ci ne remboursera jamais] par les Européens depuis 2014 s'élève désormais à 2,8 milliards d'euros.
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Cette nouvelle enveloppe sera débloquée ce mois-ci ou début avril, dès que les fonds auront été levés sur les marchés, a précisé la Commission. Son président, Jean-Claude Juncker, avait promis en février au Premier ministre ukrainien, Volodimir Groisman, de débloquer les 600 millions d'euros pour témoigner de la solidarité des Européens a l'égard de l'ancienne république soviétique qui cherche à se rapprocher de l'Ouest.
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Les réactions (éclairantes) des lecteurs de la dépêche Reuters :
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Olivier : Notre argent pour un dictateur. Sous le régime actuel de Porochenko, tout critique du gouvernement et de ses mesures conduisent directement en prison (ndmg - Petro Porochenko, président ukrainien).
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Christian Bernard : aide pour les paysans Français en priorité M....!
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Bert : He allez c'est avec notre pognon...
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Manix : QUELLE HONTE, cette argent sera probablement détourné...
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Le lien  vers la dépêche Reuters  :
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https://fr.news.yahoo.com/kiev-va-recevoir-600-millions-deuros-daide-europ%C3%A9enne-142508881--business.html
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Jean-Claude Juncker, après l’attentat de Berlin: «l’ouverture est le meilleur moyen de lutter contre le terrorisme»

Christian Hofer: Voilà le genre de cinglé qui dirige l'UE sous les acclamations des nos médias bien-pensants. On comprend mieux pourquoi un tel individu est si content de nous voir désarmés: c'est dans la logique de sa maladie mentale.

Et c'est à une telle entité que Calmy-Rey nous a vendus via Schengen...

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Moins d'une semaine après l'attaque meurtrière du marché de Noël de Berlin, le président de la Commission européenne a jugé que les valeurs de liberté et d'ouverture des Etats de l'UE étaient leur meilleure arme de prévention contre les attentats.

Pour le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, la solution à la vague d'attaques terroristes sans précédent qui frappe le continent européen est simple : l'ouverture à l'autre. «Nos valeurs, notre façon de vivre ensemble en liberté et notre ouverture sont nos meilleurs moyens de lutter contre le terrorisme», a en effet déclaré samedi 24 décembre le haut responsable européen cité par la presse allemande.

Quelques jours après l'attentat de Berlin commis par un Tunisien ayant débarqué en 2011 sur l'île italienne de Lampedusa, le Luxembourgeois a tenu à réaffirmer son soutien aux politiques d'accueil des migrants : «L'Europe doit continuer à offrir un abris aux personnes qui fuient des zones de guerres», a-t-il plaidé, en opposant cette idée à la «rhétorique d'exclusion» de certains hommes politiques européens.

Un certain nombre d'internautes ont réagi durement à ces propos de Jean-Claude Juncker sur le menace terroriste et la politique d'«ouverture» de l'Europe. Scandalisé, l'un d'entre eux a par exemple lancé sur Twitter : «Juncker est un fou dangereux».

«Juncker est fou et met les gens en danger», a  tweeté un autre utilisateur du réseau social.

Un appel à l'ouverture des frontières, quelques jours après un attentat commis par un Tunisien

Lundi 19 décembre, un jeune ressortissant tunisien du nom d'Anis Amri a tué 12 personnes sur le marché de Noël de la capitale allemande, avant de parvenir à prendre la fuite en France puis en Italie sans être arrêté. Il a finalement été abattu par la police à Milan, le vendredi 23 décembre.

A l'issue de cette attaque meurtrière, les remises en cause de la politique migratoire de la chancelière allemande Angela Merkel (qui a permis l'entrée de plus d'un million de migrants dans son pays en 2015) avaient fusé sur les réseaux sociaux. De nombreux internautes avaient même appelé à la démission de la chef du gouvernement

Source

Jean-Claude Juncker : « migrants et terroristes ne remettront pas en cause la liberté de circulation »

*La crise des migrants et la vague d’attentats terroristes ne remettront pas en cause la libre circulation des personnes à l’intérieur de l’UE.*

On note qu'ils veulent à tout prix restreindre l'accès légal aux armes alors que l'armement utilisé jusqu'ici par les terroristes était illégal. C'est clairement le peuple européen qui est pris pour cible, qui voit ses libertés être réduites à néant et à qui on demande encore d'être désarmé: profitez bien de l'UE!

 

Cette Europe liberticide

Une volonté d’interdire la libre expression en France et à Bruxelles 

 

Bruxelles exprime sa frayeur de la possible sortie de l’Angleterre de la liberticide Europe, et de la plus vilaine manière puisque cela passe par les insultes et les menaces d’un Jean Claude Juncker qui annonce la couleur en cas de retrait ! Seul l’article 50 est la porte de sortie d’un pays de l’Union. Mais tout de suite après il énumère deux ans de négociations diverses et variées pour, dit-il, défaire les liens politiques et financiers un à un. Menace encore en affirmant que ce serait le départ de milliers (?) de fonctionnaires  britanniques. (Si chaque pays en a des milliers, imaginez un peu la facture pour les contribuables)

Il va plus loin en annonçant LA « catastrophe » de deux millions de britanniques sans statut (?) (On se demande pourquoi il n’aurait pas le même statut que les américains, les chinois, les japonais, etc.). La City, une des capitales de la finance dans son scénario, se retrouverait coupée d’une grande partie de sa clientèle (?).(L’argent n’ayant jamais eu d’odeur et encore moins de Patrie ou de sentiment nationaux, il y a tout lieu de penser que la City restera et saura utiliser cette situation.)

Ces différentes déclarations cherchent à faire peur.

Elles disent que l’UE fera payer cher son départ de Bruxelles. En clair, nous sommes des amoureux de la démocratie, nous respectons le résultat issu du peuple, la volonté des urnes, mais si, et seulement lorsque tout cela va dans le sens de l’Europe et de Bruxelles, celui des banques et de la finance. Sans compter l’intérêt des multinationales. Démocrate oui, mais faudrait tout de même pas exagérer, depuis quand la populace, les gens d’en bas, les sans dent, les caves, les pue la sueur, la valetaille devraient nous mettre en difficulté ? Nous retirer les « petits fours » de la bouche ? Ah mais, sortez les, ces crasseux !  Allez-vous laver les mains paysans et salariés, allez bouffer vos Mac-Do avec vos sales gosses, manants de l’usine, crados des comptoirs, stop à l’ivraie, allez vomir vos haines patriotiques, allez vous terrer dans vos clapiers, et cessez d’ennuyer les bons grains, ceux qui mangent et en profitent en se rinçant l’œil, en claquant un string de ci de là, en palpant une fesse écologique, et qui en plus, vous jettent, soyez au moins reconnaissant, quelques pièces, quelques miettes. Non mais… Il ne manquerait plus que les caves se rebiffent !

Le pitoyable Junker a même dit que les Britanniques seraient des « déserteurs ». Faut-il penser que les Britanniques pourront traverser la Manche et être accueillis dans les différents foyers des pays de l’Union au même titre que les Syriens qui ont choisi de fuir plutôt que de combattre l’ennemi aux côtés des forces nationales syriennes?  Verrons-nous des Britanniques venir à Paris occuper les écoles, les centres d’hébergement de la maire Hidalgo ? Voire, remplacer les  » profiteurs » de Calais ?  Verra-t-on des Anglais dans des barques, tenter la traverser de la Manche ? Ce serait l’occasion de les donner aux déserteurs et clandestins pour qu’ils fassent le chemin inverse ! On serait gagnant au fond. Nous reverrions les Anglais à Calais, et pas besoin de les virer comme Jeanne savait le faire, puisqu’ils viendraient en réfugiés avec des Église Gallicane à la clef.

Pour ma part, si j’étais un Britannique, je voterai pour sortir de l’Union Européenne. Pourquoi? Basique mon cher Watson:

Quand j’entends Christine Lagarde patronne de l’humaniste FMI, « préteur sur gages » des peuples affamés, dire et affirmer qu’elle a « beaucoup travaillé » et qu’elle n’a rien vu de positif dans la sortie des Anglais, je peux déjà me dire qu’il y a un indice fort qu’il faut se tirer rapidement. Si elle n’a rien vue de positif c’est que c’est bon pour l’Angleterre.

Quand j’entends François Hollande (qui fût prié par Merkel de la mettre en veilleuse) « Nous sommes unis comme nous ne l’avons jamais été » et qu’il « espère que les Britannique s’en souviendront », je me dis que décidément cela sent le roussi pour l’Angleterre.

Quand j’entends le pitoyable, et triste islamophile Barak Hussein Obama, celui qui rend hommage au Roi d’Arabie Saoudite, dire sans honte « être amis, c’est être honnête ». (Souvenons-nous de l’honnêteté des amis américains entraînant les anglais dans une guerre en Irak sous la foi de mensonges) et qui poursuit « Honnêtement, le résultat de cette décision importe beaucoup aux États-Unis. Le Royaume Unis est à la meilleure tête d’une Europe forte » (tête de pont américain?) .

Juncker, Lagarde, Hollande, Obama, cela fait beaucoup d’indices qui signalent que le départ éventuel de l’Angleterre fiche une panique intégrale à Bruxelles. Rien que pour cela, en tant que Britannique, je voterai pour le départ.

Mais voilà, je suis Français et je vis des référendums par pays interposé puisque nous n’aurons pas, et plus sans doute, ce type de référendum en France. Le seul que nous avions eu, celui qui avait donné une réponse claire des Français à 56%, c’est le bonimenteur en chef Nicolas Sarkozy, celui qui ment plus vite que sa langue, qui nous l’a bien mis gentiment, en utilisant de l’huile d’olive Portugaise, pour nous glisser ensuite le traité de Lisbonne. Celui-ci est passé tout seul au Congrès d’ailleurs. Merci encore Monsieur Sarkozy, vous qui osez prétendre être le meilleur des candidats ! Moi je ne suis pas prêt d’oublier votre trahison et celle de vos supplétifs du congrès.

Alors les sondages Britanniques nous disent que les pour et les contre sont au coude à coude. Cela ressemble au fumé avarié Autrichien. Je sens que les derniers instants vont nous surprendre. Il va y avoir là aussi, des votes par correspondance, salutaires. Des trouvailles tout à fait démocratiquement européennes qui vont faire mal aux « urnes » de beaucoup de patriotes.

De plus en plus d’Européens, de Français vont finir par se poser des questions? Certains me disent non. Le pouls des Français bat au ralenti. L’asphyxie menace les électeurs, les esprits sont dans la brume, les citoyens subissent chaque jour, le discours médiatiquement correct.

  • L’immigration est une richesse.(Nous, on n’a rien vu arriver, mais il paraît que l’Europe a vu son nombre de millionnaires s’élever. Le loto sans doute…)
  • L’Europe c’est la paix. (Même si on a bombardé la Serbie et monté des coups en Ukraine à travers l’OTAN)
  • L’Europe c’est l’avenir. (Vu l’état de l’Europe économique dans le monde, la misère des citoyens en France, c’est une pitié que de l’affirmer.)
  • L’Europe c’est la liberté. (Moins de liberté d’expression, plus de surveillance du net, refus des dissidents sur les radios-télévisions, poursuite des sites « résistants », confiscation de pages sur les réseaux sociaux, retrait des vidéo sur YouTube et Dailymotion, agression commise impunément par les antifas et autres amis du pouvoir, agression juridique par des hyènes de la pensée correcte, etc. (hors site et réseaux terroristes bien sûr)
  • L’Europe c’est la fin des guerres civiles européennes. (Voir l’Ukraine et la Russie)
  • L’Europe c’est la démocratie. (Voir les dernières élections et les pressions faites par les tenants de Bruxelles)
  • L’Europe c’est la bonté accueillant humainement les déshérités (surtout et en particulier ceux d’ailleurs aimablement remis à la générosité des contribuables. Sans compter la rapide islamisation des pays qui auront à subir l’islam venu des pays les plus rétrogrades, etc.)

Ce message vous le retrouvez en boucle sur toutes les chaînes de radios et de télévisions. Vous le retrouvez dans les commentaires des sociologues et autres philosophes, dans toutes les émissions politiques et autres débats dits sérieux. Vous l’avez dans les téléfilms, les films, les traductions des films et téléfilms made in USA, les émissions pour les « ménagères de 50 ans » l’après-midi. Aux différents 20h. Nous sommes sous perfusions 24h sur 24h ! Débranchez et allez sur les réseaux alternatifs.

Si j’étais Britannique, Anglais, Irlandais, Écossais, Gallois, je passerai mon temps dans toutes les Églises du Royaume, de toutes les variantes existantes du christianisme, je demanderai l’aide de Jéhovah, de Bouddha, de Vishnou, d’Ahura Mazda, pour demander que la lumière soit et éclaire les peuples du Royaume Unis dans l’espoir qu’elle sera là le 28 juin.

Pour nous aussi [...] il y aura des conséquences. Ce sera sans doute l’effondrement de cette Europe liberticide et l’émergence d’une autre Europe, celle des Nations, respectueuse des peuples. Viendra ensuite le temps du jugement des traîtres aux peuples européens.

Gérard Brazon

Migrants: Juncker “Le blocage de la frontière autrichienne rend les discours d’extrême droite présentable”

Pour le président de la Comission européenne, le blocage par l'Autriche de la frontière italienne aurait de graves conséquences.

Un blocage par l'Autriche de sa frontière avec l'Italie au col du Brenner pour lutter contre l'afflux de migrants serait une «catastrophe politique» pour l'Europe. Le président de la commission européenne, Jean-Claude Juncker, a fait part de cet avertissement samedi.

L'Autriche menace de mettre en place un dispositif anti-migrants au col du Brenner, si l'Italie ne prend pas de mesures pour mieux contrôler les flux qui transitent par son territoire et utilisent ce tunnel pour quitter le pays.

Transit entre le Sud et le Nord

Mais le passage est un carrefour clé pour les transports européens et une porte entre l'Europe du Nord et celle du Sud, a rappelé Jean-Claude Juncker, dans une interview aux journaux du groupe allemand de médias Funke Mediengruppe. «Voilà pourquoi tout ce qui bloquerait le Brenner aurait non seulement des conséquences économiques graves, mais surtout de lourdes conséquences politiques», a-t-il averti.

Le Luxembourgeois s'est également inquiété du comportement de l'Autriche dans la crise des migrants. Il alimente la tentation de la fermeture des frontières et rend les discours d'extrême-droite «présentables» ailleurs en Europe.

«Ce que nous observons en Autriche, nous le voyons aussi malheureusement dans d'autres pays européens, où des partis jouent avec les peurs des gens», a-t-il regretté.

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L’UE veut interdire les fusils d’assaut semi-automatiques: Même en Suisse, il ne sera plus permis de les posséder

Christian Hofer: Comme si une telle loi pouvait affecter le terrorisme. De qui se moque-t-on? Ici le but est évidemment de désarmer le citoyen honnête qui lui... suit les lois.

On rappelle que l'agresseur du Thalys se nomme  Ayoub El Khazzani, Marocain. Il en est de même pour les attaques de Paris, ces terroristes étant d'origine arabe: Brahim Abdeslam,  Chakib Akrouh, Abdelhamid Abaaoud... des noms qui démontrent à quel point ce multiculturalisme immonde que l'on nous impose est destructeur.

Depuis des années, l'UE oblige les Européens à accepter toute l'immigration de masse, criminelle, entre jihadistes et autres détraqués sexuels issus des 4 coins du monde en établissant des lois anti-racistes à sens unique, en faisant taire une police qui devrait défendre les autochtones, en établissant des semaine de manifestations "anti-racisme", jusque dans les écoles de nos enfants afin de modeler l'Européen aux critères de la doxa dès le plus jeune âge.

Mais cela ne suffit pas: ils veulent à présent désarmer les Européens sur la base d'attaques jihadistes, d'un dogme étranger que nos dirigeants protègent contre leurs propres populations, sans jamais nous avoir demandé notre avis. Aujourd'hui la stratégie est plus claire que jamais: contraindre les peuples autochtones à avoir peur pour le restant de leurs jours, désarmés, tout en les obligeant à accepter l'immigration de masse de musulmans qui ne cachent pas leur haine des chrétiens.

Ainsi seuls les racailles et les terroristes pourront désormais avoir des armes automatiques puisque ces gens se moquent totalement des lois.

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La Commission européenne veut renforcer la loi sur les armes. La Suisse serait affecté.

Les relations tendues entre la Suisse et l'UE sont confrontées à un autre test de stress. Après les attaques terroristes de Paris, la Commission européenne a préparé un durcissement de la législation des armes à feu.

Le projet est sur la table depuis la mi-novembre. Selon la Commission européenne, M. Jean-Claude Juncker veut éviter de "laisser tomber cette arme entre les mains de terroristes." Le plan de Juncker affecte très directement la Suisse: Comme État Schengen, la Suisse doit prendre la législation européenne sur les armes à feu.

Il est prévu une interdiction du commerce en ligne parce que l'agresseur du train Thalys entre Amsterdam et de Paris avait acheté son arme sur Internet. Lors des attentats de Paris, des armes réactivés ont été utilisées. La Commission souhaite donc des règles plus strictes afin que les armes soient mises hors d'usage.

Interdiction des fusils d'assaut

Ce sont encore des propositions relativement peu problématiques. D'autres, cependant, sont au cœur de la législation sur les armes à feu en Suisse. Devrait être interdites, par exemple, des armes à feu civiles semi-automatiques qui ressemblent à des armes avec des mécanismes automatiques. Ce sont les fusils d'assaut semi-automatiques, qui sont maintenant achetés avec un permis d'acquisition d'armes et utilisés largement dans le tir privé.

Selon la volonté de la Commission européenne, il ne serait plus possible à l'avenir pour des membres de l'armée de prendre des armes d'ordonnance à la maison après la fin du service militaire obligatoire. Le projet indique également que les fusils d'assaut convertis en semi-automatiques sont des armes interdites.

La Commission européenne estime que les armes semi-automatiques de guerre et les mitrailleuses reconstruites, entre autre, en raison de la capacité de munitions élevée, comme étant très dangereuses. En outre, certaines armes semi-automatiques peuvent être facilement converties en armes automatiques explique le rapport.

Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch

L’irresponsabilité criminelle du Président de la Commission européenne

Pour le Président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker (grand copain de SSommaruga, ndlr),  il n’y a « Pas lieu de revoir dans leur ensemble » les politiques sur les réfugiés… Et cela même alors que depuis hier nous savons qu’au moins deux « migrants » ont participé aux attentats de Paris. Les victimes du Bataclan apprécieront…

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Immigration: L’Europe veut imposer des quotas à la Suisse “un mécanisme permanent et contraignant”

La Commission européenne souhaite que la Suisse participe à l'avenir à la clé de répartition permanente des réfugiés, en tant qu'Etat associé aux accords de Dublin. Mais un flou subsiste sur cette «obligation».

La Commission européenne prévoit de créer un mécanisme de répartition permanent et contraignant. Le texte fait référence à l'accord de Dublin passé avec quatre pays non-membres de l'UE, soit la Suisse, l'Islande, la Norvège et le Liechtenstein.

Ces quatre Etats sont tenus d'accepter «sans exception le droit Dublin et son évolution», précisait la proposition présentée la veille par le président de la Commission, Jean-Claude Juncker. Dans le cas contraire, les accords pourraient être résiliés.

 

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