Italie : Silvia Romano, convertie à l’islam après avoir été enlevée par des djihadistes, milite à présent contre l’islamophobie

Silvia Romano, kidnappée au Kenya et retenue prisonnière en Somalie pendant un an et demi, devient le témoin et l'opératrice d'un nouveau projet européen de lutte contre l'islamophobie.

Le journal Repubblica en parle dans les pages locales de Milan. La jeune fille, âgée de 24 ans, a justement fait son retour dans la capitale de la Lombardie le 11 mai.

Durant les prochains mois, elle travaillera à un programme européen du nom de "Yes".

Sur une photo publiée par le journal romain, elle est représentée souriante dans une image promotionnelle lancée sur les pages Facebook de l'initiative contre la haine religieuse de certaines associations de jeunes musulmans.

Elle a été intégrée dans une équipe en tant que "master equity defender" avec sept autres jeunes de Lombardie, presque tous des migrants de deuxième génération. En résumé, ce groupe luttera contre l'islamophobie, en commençant par les jeunes, en recueillant des rapports de cas et des plaintes, en fournissant également un soutien psychologique et éventuellement juridique.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Ilmessaggero.it

Nos remerciements à Panterina


Rappels :

Une Italienne, bénévole en Afrique, se convertit à l’islam après son enlèvement par des islamistes

La rançon pour libérer Silvia Romano, convertie à l’islam, servira pour faire le jihad

Des musulmans d’Italie souhaitent joyeux Ramadan et bienvenue dans l’islam à l’otage italienne Silvia Romano convertie à l’islam: aucune critique sur les Jihadistes

Quatre immigrants africains massacrent un ado pour un téléphone

La scène filmée par une jeune fille depuis son balcon est effrayante : quatre immigrants africains attrapent un garçon et le frappent sans pitié. Coups de pied, coups de poing, même lorsque le jeune homme est à terre inanimé. Toute cette violence perpétrée, on le saura plus tard, pour un téléphone...

La vidéo, prise en plein jour dans un quartier comme tant d'autres, est publiée sur le compte Twitter de RadioSavana, un site sensible au thème de la sécurité et de l'actualité urbaine, quotidiennement assombrie par des incidents comme celui-ci. Les cris d’effroi de la jeune fille (la voix off de la vidéo) incitent sa mère à appeler la police.

Le post, publié jeudi après-midi, ni parle ni d’une ville spécifique, ni d’une plainte. Comme pour dire que cela se pourrait se passer n’importe où en Italie…

Les agresseurs agissent avec froideur et lucidité. Cela se passe au pied d’un immeuble habité, un des agresseurs lève même les yeux et semble s'adresser à un des résidents à sa fenêtre, et pourtant cela ne les empêche pas de continuer impunément.

Source : Secolo d’Italia
Résumé Cenator

Lien à la vidéo (30 s) : ici ou ici
(le lien d’origine à RadioSavana ne fonctionne plus)

Italie : submergée par les arrivées de migrants, l’île de Lampedusa veut se mettre en “grève générale”, les habitants manifestent

La petite île italienne de Lampedusa, dont le principal centre d’accueil est saturé en pleine pandémie, a accueilli dans la nuit de samedi à dimanche près de 370 nouveaux migrants qui voyageaient sur un vieux bateau de pêche, tandis que le navire humanitaire Sea-Watch 4 transportant désormais 350 personnes attend un port de débarquement.

Les migrants dont la nationalité n’est pas connue, ont été débarqués par petits groupes au petit matin et se sont soumis à des contrôles de température, avant d’être acheminés vers un centre géré par une paroisse. Ils avaient été accueillis dans le port par une manifestation organisée par La Ligue (parti d’extrême droite). […]

 

 

 

Le centre d’accueil d’urgence de Lampedusa est pour sa part plein à craquer avec 1160 migrants, soit dix fois sa capacité maximale. Depuis vendredi, avant ce débarquement exceptionnel, une trentaine de petites barques, venues majoritairement des côtes tunisiennes, avaient déjà rejoint l’île en y débarquant quelque 500 migrants, recense la presse italienne. «Lampedusa ne réussit plus à tenir face à cette situation. Ou le gouvernement prend des décisions immédiates ou bien toute l’île se mettra en grève. Nous n’arrivons pas à gérer l’urgence et la situation est désormais vraiment insoutenable», a déclaré le maire de Lampedusa, Totò Martello, joint par Ansa.

Le Figaro

La Sicile interdit aux migrants d’«entrer, de transiter et de faire escale» sur l’île

Le président de la région de Sicile a publié un arrêté visant à fermer sur son territoire tous les centres d'accueil de migrants, qu'il juge propices à la diffusion du Covid-19. Une décision difficilement applicable mais saluée par Matteo Salvini.

 

Il n'est pas possible de garantir le séjour sur cette île dans le respect des mesures sanitaires de prévention de la contagion

 

Le président de la région italienne de Sicile, Nello Musumeci (droite conservatrice régionaliste), a publié le 23 août un arrêté visant à fermer sur son territoire tous les centres d'accueil de migrants. Il estime notamment que l'afflux croissant de migrants sur les côtes siciliennes rend très difficile la mise en place des mesures et protocoles sanitaires visant à endiguer la pandémie de Covid-19.

[...]

RT

Italie : 3 migrants condamnés pour « traite d’être humains, violences sexuelles, torture, homicides, séquestration, extorsion et aide à l’immigration irrégulière »

La justice italienne condamne 3 migrants, accusés de tortures dans les prisons libyennes

[…]

Décision « historique »

À la suite de ces témoignages, les trois mis en cause ont été arrêtés à la mi-septembre dans un centre d’accueil de Messine, en Sicile. Huit mois plus tard, fin mai, le tribunal rend sa sentence : les ex-geôliers, âgés de 23 à 27 ans, sont accusés de « traite d’être humains, violences sexuelles, torture, homicides, séquestration d’être humain à des fins d’extorsion et aide à l’immigration irrégulière ». Pour ces crimes, ils sont condamnés à vingt ans de prison.

[…]

L’article dans son intégralité sur L’Express

Via Fdesouche

Lignano Sabbiadoro (Italie) : une adolescente de 15 ans violée par des migrants

Des informations font état du viol d'une jeune fille de seulement 15 ans sur la plage de Lignano Sabbiadoro dans la nuit du 15 août.

Pour ce crime, trois migrants mineurs, deux Albanais et un Égyptien ont été arrêtés. La jeune fille n'en a reconnu que deux, comme l'explique le responsable de la police mobile d'Udine Massimiliano Ortolan.

Deux d'entre eux ont violé la fille sur la plage...

Selon ce que l'on sait, l'un d'entre eux a invité les deux autres à abuser sexuellement de la jeune victime.

[...]

Selon le site d'information La Verità, c'est le garçon égyptien de 17 ans, déjà accusé de crimes contre la propriété et contre la personne, qui est parti avec la fille de 15 ans de la plage. Les deux se seraient rencontrés lors d'une fête. Le mineur a alors proposé de ramener la jeune fille chez elle et, lorsqu'ils sont arrivés dans un endroit isolé et sombre, il a profité de la situation pour en abuser. Immédiatement après, il appelait son ami albanais au téléphone, qui le rejoignait accompagné d'un autre compatriote. Le troisième aurait monté la garde pour les deux autres. La victime a tellement crié qu'elle a alerté les amis qu'elle avait laissés à la fête avant de partir avec l'étranger. Les trois assaillants ont alors fui la scène.

[...]

Ilgiornale.it


Rappel :

Italie : une femme de 67 ans violée par un migrant dans un train

Les arrivées de migrants en forte hausse en Italie

Italie : un jeune Italien se fait tuer par des Albanais lors d’une bagarre « Ils lui ont roulé dessus à 2 reprises »

Italie : Le juge libère un Nigérian en situation illégale et deux jours après, celui-ci viole une autre femme

Italie. Le dégoût des migrants à Lampedusa : « Je fais caca dans la rue car les toilettes sont sales… »

Carrare (Italie) : Le maire a voulu cacher que les individus infectés au Covid sont des demandeurs d’asile. »Cela pourrait être instrumentalisé »

Lampedusa : « Les migrants ont mangé mes poules, mes chèvres et mes 4 chiens. Il ne me reste que les porcs. »

 

Italie : une femme de 67 ans violée par un migrant dans un train

Italie – Horreur dans un train reliant Rome à Avezzano, samedi 8 août, peu après 9 heures du matin : une femme de 67 ans a été attaquée et violée, elle a ensuite été secourue par le personnel alerté par ses cris.

Elle a été attaquée par un migrant de 28 ans qui vit en Italie depuis cinq ans : l’homme a été arrêté pour violences sexuelles aggravées. (…) La violence a eu lieu en quelques instants : les deux passagers étaient seuls et ont commencé à discuter. Lorsque le train est entré en gare de Marcellina, l’homme s’est jeté sur elle et a commencé à la violer.

(…)

Libero Quotidiano

Via Fdesouche

Les arrivées de migrants en forte hausse en Italie

L'arrivée de migrants en Italie a augmenté de près de 150% au cours des douze derniers mois, a déclaré samedi la ministre italienne de l'Intérieur Luciana Lamorgese. La majorité d'entre eux viennent de Tunisie et de Libye.

L'Italie a connu des difficultés ces derniers mois pour faire face à l'arrivée de centaines de migrants sur ses rives méridionales, une tâche compliquée par les mesures de sécurité dues à la crise sanitaire du coronavirus.

[...]

Swissinfo.ch


Rappels :

Italie : Le juge libère un Nigérian en situation illégale et deux jours après, celui-ci viole une autre femme

Italie. Le dégoût des migrants à Lampedusa : « Je fais caca dans la rue car les toilettes sont sales… »

Carrare (Italie) : Le maire a voulu cacher que les individus infectés au Covid sont des demandeurs d’asile. »Cela pourrait être instrumentalisé »

Lampedusa : « Les migrants ont mangé mes poules, mes chèvres et mes 4 chiens. Il ne me reste que les porcs. »

Italie : un jeune Italien se fait tuer par des Albanais lors d’une bagarre “Ils lui ont roulé dessus à 2 reprises”

Aller danser avec des amis et ne pas rentrer vivant. C'est ce qui s'est passé ce soir, au Pays de Bastia Umbra, lorsqu'un groupe de garçons de Spolète en est venu aux mains avec des individus d'origine albanaise mais résidant en Ombrie [NDLR : une région d'Italie]. On ne connait pas la raison pour laquelle Filippo Limini, 24 ans, de petite taille et de caractère doux, s'est retrouvé au centre de la bagarre, qui s'est déroulée à deux moments distincts à l'extérieur du club.

Le dernier affrontement, près de la salle, a vu Filippo Limini tomber par terre après avoir subi des coups de pied et des coups de poing. A ce moment, l'un des Albanais, qui avait embarqué dans une Opel Corsa noire, a roulé à deux reprises sur le jeune homme de Spolète, d'abord en marche arrière, puis en s'éloignant du lieu de la bagarre.

A leur arrivée, les hommes du 118 n'ont pu que constater la mort du jeune homme. Les carabiniers d'Assise du commandant Vetriulli se sont immédiatement mis sur la piste des protagonistes de cette nuit absurde, dont le point culminant est un épilogue qui laisse sans voix.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Ilmattino.it / Spoletonline.com / Chenews.it

Nos remerciements à Victoria Valentini

Italie : Le juge libère un Nigérian en situation illégale et deux jours après, celui-ci viole une autre femme

Quelques jours auparavant, il avait été libéré après avoir été arrêté pour divers crimes, dont une agression sexuelle. Recouvrant sa liberté, il a violé une jeune femme de 18 ans. Cela s'est passé à Salerne, le protagoniste est un migrant clandestin venu du Nigeria.

"J'ai présenté une requête parlementaire aux ministres de l'intérieur et de la justice, Luciana Lamorgese et Alfonso Bonafede, pour faire la lumière sur les violences sexuelles perpétrées par un citoyen nigérian contre une jeune femme de 18 ans à Salerne le 27 juin dernier", a déclaré Edmondo Cirielli, le Questeur de la chambre des députés et député de Salerne, membre du parti des Frères d'Italie.

"Il est déconcertant d'apprendre par la presse que l'étranger, immédiatement arrêté, était un migrant en situation irrégulière sur le territoire national, déjà connu de la police et de surcroît, un récidiviste", a déclaré le parlementaire FdI cité par la gazette de Salerne.

Le 25 juin, deux jours avant le nouveau viol, le Nigérian s'était retrouvé menotté pour violation de domicile, acte obscène dans un lieu public et violence sexuelle. Un ordre d'expulsion a été émis.

[...]

Le fait est que "cet épisode confirme aussi de façon dramatique que la violence sexuelle et sexiste représente un fléau social aggravé par la mauvaise politique des ports et des frontières ouvertes qui continue à être mise en œuvre de façon irresponsable par le gouvernement Pd-M5S" conclut Cirielli.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Iltempo.it

Nos remerciements à Victoria Valentini

 

 

 

 

 

 

 

Italie. Le dégoût des migrants à Lampedusa : “Je fais caca dans la rue car les toilettes sont sales…”

Le menu pour les migrants "dégoûte" et ils se servent donc ailleurs. Il en va de même pour les salles de bain du hot spot (centre de tri pour les migrants) : "Elles sont sales, je fais caca dans la rue" explique un migrant accueilli dans le centre de Contrada Imbriacola, à Lampedusa.

Il parle italien et il déclare au site d'information Libero qu'il n'est pas difficile de rejoindre l'Italie, mais que son objectif est d'aller en France.

"Il a dépensé 1 500 euros pour la traversée. Les reporters du Libero l'interceptent alors qu'il fait ses courses : "Je vais acheter une saucisse, faite de dinde" car il ne peut pas manger de porc, explique-t-il sans trop de conviction.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Iltempo.it

 

Carrare (Italie) : Le maire a voulu cacher que les individus infectés au Covid sont des demandeurs d’asile.”Cela pourrait être instrumentalisé”

Par Aldo Grandi

Ce qui s'est passé ces dernières heures à Carrare est, incroyablement, la démonstration de la façon dont l'information est, elle aussi, prisonnière d'une politique politiquement correcte qui imprègne les institutions alors qu'au contraire, celles-ci devraient dire la vérité aux citoyens.

A Carrare, à l'intérieur d'une structure destinée à l'accueil, on a découvert 21 cas de Covid-19, déclare le maire. 18, selon les dernières informations.

Hier soir, un communiqué a circulé provenant de la mairie dans lequel la nationalité n'était pas précisée, on peut donc penser qu'il s'agit d'Italiens et/ou de personnes âgées. Mais ce n'était pas le cas. Ils n'étaient ni italiens, ni âgés. En fait, ce sont tous des ressortissants extra européens, des migrants ou des migrants illégaux, quelle que soit la dénomination que l'on utilise.

Il est toutefois dommage que personne au sein de l'administration municipale de Carrare ne se soit senti obligé, sur le plan moral, éthique et professionnel, de donner les bonnes informations. Nous avons donc pensé à demander directement au maire Francesco De Pasquale [NDLR : Le maire appartient au parti politique "Cinque Stelle"] les raisons d'une décision qui est à notre avis "effrayante".

M. le maire, bonjour. Je suis Aldo Grandi, le rédacteur en chef de la Gazette. Je vous dérange ?

- Non, pas du tout.

Je vous appelais pour connaître l'étendue réelle de l'épidémie de Covid-19 détectée dans la maison de repos Bethany.

Pour moi, 21 individus sont infectés - pour nous il y en au contraire 18 (éd.) - mais ils sont tous asymptomatiques et ils vont bien. Une femme qui est sur le point d'accoucher est sous contrôle et, par conséquent, les autorités sanitaires sont un peu plus prudentes. Je voudrais cependant rassurer la population.

Hier soir, vous avez publié un communiqué officiel dans lequel vous parliez de 21 infections, mais vous n'avez pas écrit qu'il s'agissait, comme nous l'avons su seulement ce matin, de migrants nigériens.

Vous voyez, nous sommes en campagne électorale et nous avons délibérément évité d'écrire la nationalité pour éviter que ceux qui auraient pu instrumentaliser la chose ne déclenchent une controverse.

Monsieur le Maire, mais étiez-vous au courant de cette déclaration et de la décision de ne pas révéler la nationalité des personnes infectées ?

J'ai une porte-parole qui rédige les communiqués de presse.

Pardonnez-nous, mais un porte-parole agit sur les instructions de celui dont il dépend ou vous me dites que Mme Chiappini peut écrire ce qu'elle veut ?

Vous voyez, il y a une relation de confiance entre nous, il n'est donc pas toujours obligatoire de s'entendre.

Ici s'achève notre conversation téléphonique hallucinante avec le maire de Carrare. Nous sommes arrivés à un point où, comme cela arrive maintenant régulièrement en France, la vérité est systématiquement cachée par ceux qui détiennent les médias d'informations et qui prennent la responsabilité de ne pas faire savoir au public ce qui se passe réellement.

Tout cela sous prétexte de ne pas vouloir solliciter, susciter les protestations de ceux qui ont tout à fait le droit de savoir, mais qui sont, pour cette raison, accusés d'être populistes, souverainistes, racistes et même fascistes.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Rassegneitalia.info / Voceapuana.com / Lagazzettadimassaecarrara.it (1) / Lagazzettadimassaecarrara.it (2)

Nos remerciements à Panterina

Lampedusa : « Les migrants ont mangé mes poules, mes chèvres et mes 4 chiens. Il ne me reste que les porcs. »

Une Lampédusienne raconte l’enfer vécu sur l’île avec les débarquements de migrants qui ne s’arrêtent jamais : « Regardez ce qu’ils font ici… ».

« Ce n’est plus possible de continuer comme ça ! » : Rosy Matina est une Lampédusienne dont le terrain, acheté par son père en 1967, borde le hotspot de Cala Imbriacola. Elle n’en peut plus.

 

 

La nuit, les immigrés montent chez elle et campent, boivent de l’alcool, se saoulent. L’air autour de la maison délabrée, dont le toit a été renversé par Rosy elle-même et son compagnon parce que les migrants isolaient des femmes et avaient des relations sexuelles à l’intérieur, est irrespirable. Il y a une odeur d’urine et d’excréments, éparpillée tout autour, semblable à celle perçue près d’un purificateur. Par terre, couvertures prélevées sur le hotspot, vaisselle, restes de nourriture, matelas.

 

 

«Un soir, nous sommes arrivés – dit-elle – et nous avons trouvé des gens qui campaient. Ils nous ont offert du haschich. Une autre fois, je suis venu avec ma fille et 14 d’entre eux étaient ivres et nous ont harcelées sexuellement. J’ai glissé le long de la falaise vers le hotspot. Ma petite fille m’a couru après. Nous avons demandé de l’aide à la police. Ils nous ont dit que les migrants sont intouchables. Ils font ce qu’ils veulent ».

La raison ? «Il y a ceux qui gagnent beaucoup de leur présence», explique-t-elle. Rosy est exaspérée par la situation. Elle a présenté de nombreuses plaintes aux carabiniers, a porté plainte, mais personne n’est jamais intervenu. «Ils ont dit qu’ils viendraient nettoyer – précise-t-elle -, mais rien, ils ne sont plus jamais revenus. Le maire Totò Martello doit avoir honte. Il devrait simplement quitter son fauteuil et disparaître. Je vous le dis : si je trouve encore un migrant sur ma propriété, je lui tire dessus. Si mon père avait été là, il aurait utilisé le fusil de chasse ».

Rosy vivait des récoltes de sa terre, de ce qu’elle gagnait en élevant des moutons et des poulets. «Je n’ai plus que les porcs – poursuit-elle -. Ils ne les mangent pas car pour les Arabes c’est interdit. Mais ils ont mangé quatre de mes chiens ». Elle dit cela en nous montrant les restes d’un petit chien. «Ils l’ont dépecé – dit-elle – et ils l’ont fait sur le gril. Vous voyez, juste là, où sont les couvertures ».

Il Giornale

Via Fdesouche

Migrants bloqués en mer : sans immunité, Salvini sera jugé pour… séquestration

Alors que les traversées de la Méditerranée par les migrants sont de plus en plus fréquentes ces dernières semaines, la décision des sénateurs italiens pourrait rebattre les cartes, indique RFI. Ils ont en effet décidé de lever l’immunité de l’ancien ministre de l’Intérieur. Matteo Salvini est accusé par le tribunal de Palerme (Sicile) de « séquestration de personnes » dans l'affaire de l’Open Arms. Ce navire avait été affrété par l'ONG espagnole Proactiva Opens Arms, en août 2019, avec 80 migrants à bord. A l’époque, Matteo Salvini avait refusé leur débarquement.

[...]

Un peu plus tôt devant la Chambre, il avait réaffirmé le bienfait de son action. « Je suis fier d'avoir défendu l'Italie et je le referai », lançait-il.

[...]

Valeurs Actuelles

Luciana Lamorgese, ministre de l’intérieur : “L’Italie a un problème sanitaire avec les migrants et le coronavirus”.

Un nombre sans fin de débarquements de migrants clandestins frappe les côtes de la Sicile. Le maire de Pozzallo Roberto Ammattuna le dénonce depuis des mois "il y a un risque d'épidémie, les gens ont été obligés de vivre à l'intérieur des maisons pendant des mois et maintenant ils ont peur de sortir".

Hier - lundi 27 juillet - le gouverneur de la Sicile Nello Musumeci a lancé un appel : "Ils nous ont abandonnés". Finalement, la ministre de l'Intérieur Luciana Lamorgese s'est fait entendre : Pour le gouvernement, il est nécessaire d'avoir des motifs pour prolonger l'état d'urgence.

Il s'agit de flux incontrôlés qui créent de graves problèmes liés à la sécurité sanitaire nationale qui se répercutent inévitablement sur les communautés locales concernées par les centres d'accueil, dans lesquels, entre autres, les migrants tunisiens en particulier tentent de partir par tous les moyens avant la fin de la période de quarantaine obligatoire.

 

 

C'est ce qu'a déclaré la ministre dans une interview au journal Il Corriere della Sera. "En Tunisie, nous assistons à une crise économique très grave, sans précédent. Une crise qui touche également de près l'Italie car elle a des retombées immédiates avec des flux exceptionnels de débarquements de migrants. La situation doit être constamment sous contrôle - souligne Madame Lamorgese. Gérer des flux migratoires de cette ampleur est difficile en temps normal, mais à présent, avec les problèmes liés à la propagation de Covid-19, la situation est devenue très complexe. La crise tunisienne risque d'avoir des conséquences très graves pour tout le monde. J'ai pu rencontrer le président tunisien Kais Said et le ministre de l'intérieur, Hichem Mechichi, et j'ai reçu l'assurance qu'ils sont prêts à faire face ensemble".

"D'ici demain, nous viderons le centre de Porto Empedocle et celui de Lampedusa - assure Madame Lamorgese - j'ai assuré au gouverneur Musumeci que nous nous engageons à soutenir de toutes les manières possibles la Sicile en ces temps difficiles. La plupart des migrants qui ont fui le centre de Porto Empedocle ont été retrouvés, mais il s'agit d'un épisode inacceptable et c'est pourquoi nous prenons des mesures".

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Liberoquotidiano.it

Nos remerciements à Victoria Valentini


Rappels :

Malte : Plus de 60 migrants testés positifs au coronavirus.

En Sicile, des dizaines de migrants transgressent la quarantaine

Cavaglià (Italie) : Un migrant embrasse un enfant de 6 mois sur la bouche et se moque des parents.

Les parents déclarent : "Il s'est caché dans le centre d'accueil." Le petit n'a que six mois : il doit faire un test pour le Covid-19.

Nous sommes à Cavaglià, une petite ville de 3 500 habitants dans la province de Biella. La mère est encore secouée. La voix tremble. Dans l'histoire qu'elle raconte à Giornale.it, on peut sentir la "colère" et le "dégoût" pour ce qui s'est passé. C'est dimanche soir. Un jeune couple, dont les noms ne seront pas révélés pour protéger la vie privée de leur nouveau-né, vient de terminer une pizza à la maison avec des proches et, profitant de la belle soirée d'été, décide d'aller prendre un café au Bar 500 de via Vercellone.

Tout se déroule normalement. Jusqu'à ce que l'imprévisible se produise.

"Assis à côté du bar, il y avait trois hommes noirs. Nous étions en train de dire au revoir à des amis quand l'un d'eux s'est approché, j'ai cru qu'il voulait entrer dans le bar, mais au lieu de cela il s'est jeté sur la petite fille et l'a embrassée sur les lèvres".

Le père du nouveau-né veut une explication. Qu'avez-vous fait au bébé ? "Le migrant a ri avec ses autres amis. Il a ignoré mon compagnon et l'a ensuite attaqué", se souvient la femme. Le migrant crie, il tient une bouteille de bière à la main. Ils en viennent presque aux mains.

"Continuant à crier en anglais, il m'a attrapé par la chemise et l'a déchirée." raconte le père aux militaires [NDLR : Il s'agit sans doute des carabiniers qui sont des militaires et non comme des policiers.]

[...]

Pendant que la femme appelle les carabiniers, le migrant s'en va et se réfugie dans le centre d'accueil qui se trouve à quelques pas de là. "Quand il se trouvait au rond-point situé tout près, le migrant a fait semblant de nous jeter des bouteilles de bière." raconte la femme.

Une voiture de patrouille intervient sur les lieux. Le citoyen non européens est à présent enfermé dans le centre de réfugiés, mais il est identifié. Toutefois, la tension ne retombe pas. Peu de temps après, le beau-père de la femme arrive et se met à crier contre le migrant. L’homme est furieux : "Les carabiniers ne l’ont pas pris", dit-il à Giornale.it. "Pourquoi n’a-t-on pas arrêté immédiatement?".

Les militaires de Cavaglià, qui ont été interrogés, ne sont pas autorisés à divulguer des informations.

[...]

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Ilgiornale.it

Nos remerciements à Victoria Valentini


Rappels :

Italie : Toutes les heures, un bateau de « réfugiés » atteint Lampedusa

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

Amnesty cible la Suisse : « Ne plus criminaliser la solidarité avec les réfugiés »

Pendant que Sainte-Sophie devient une mosquée, le Pape prie pour… les migrants : « C’est le Christ qui frappe à notre porte. »

 

 

 

Italie : Toutes les heures, un bateau de “réfugiés” atteint Lampedusa

L'île italienne de Lampedusa reçoit actuellement en moyenne un navire avec des réfugiés par heure. Le centre d'accueil de 100 places est surpeuplé avec près de 1000 personnes.

Le cargo italien "Cosmo" a secouru environ 110 réfugiés dont le canot pneumatique s'était retrouvé en détresse dans la zone de sauvetage maltaise. Selon l'organisation Alarm Phone sur Twitter, samedi soir, un autre bateau avec 56 réfugiés attendait toujours de l'aide après que les autorités maltaises ont été alertées.

[...]

L'île italienne de Lampedusa reçoit actuellement en moyenne un bateau de réfugiés par heure. Selon le service d'information en ligne italien "Mediterraneo Cronaca", le centre d'accueil de 100 places est surpeuplé avec près de 1000 personnes.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

Nos remerciements à Para bellum

Italie : Ils veulent faire taire les journalistes qui ne soutiennent pas l’immigration de masse

L'Ordre des journalistes a signé un nouveau protocole avec l'Association Carta di Roma, un organisme qui reçoit le soutien des fondations Open Society du financier George Soros.

L'immigration devra être traitée et faire l'objet de reportages journalistiques selon les diktats et les règles du politiquement correct. Ces derniers jours, comme le rapporte La Verità, qui cite le communiqué officiel, un protocole d'entente a été signé à Rome, au siège du Conseil national de l'Ordre des journalistes, par le président du Cnog Carlo Verna, par le directeur de l'Unar Triantafillos Loukarelis et par le président de l'Association Carta di Roma Valerio Cataldi, qui vise à "collaborer à des activités de formation nationales et internationales afin d'actualiser et d'enrichir la préparation professionnelle des membres de l'Ordre des journalistes et des professionnels de la communication sur les questions de racisme, de xénophobie et de discrimination".

Les promoteurs de l'initiative expliquent : La nouvelle saison qui nous attend après la pandémie sera un défi pour tous, "convaincus que veiller à la justesse et à l'exactitude des informations produit un lent effondrement des préjugés, des généralisations et des discriminations". Les journalistes, les experts dans le domaine de l'information, les représentants des principales organisations nationales et internationales pourront ainsi "participer à des initiatives d'étude et de recherche, à des cours et à des séminaires de formation organisés conjointement par la Cnog, l'Unar et l'Association Carta di Roma". Les réunions d'étude "pourront promouvoir l'élaboration d'analyses, de rapports et d'études approfondies sur des sujets spécifiques d'intérêt commun".

Le problème est que ce protocole est un fil conducteur pour le moins partisan, compte tenu du contexte politico-idéologique de la l'Association de Rome. Fondée en décembre 2011 pour "mettre en œuvre le protocole déontologique pour une information correcte sur les questions d'immigration", signé par le Conseil national de l'Ordre des journalistes (Cnog) et par la Fédération nationale de la presse italienne (FNSI) en juin 2008, le partenariat, qui "travaille pour devenir un point de référence stable pour tous ceux qui travaillent quotidiennement sur les questions de la Charte, les journalistes et les travailleurs de l'information en premier lieu", collabore avec le monde des associations orientées à gauche et pro-immigration : Arci, Association 21 juillet, Asgi - Association pour les études juridiques sur l'immigration, Article 21, Centre Astalli, Conseil italien pour les réfugiés, Rédacteur social.

Après tout, la Charte de l'Association de Rome elle-même confirme qu'elle reçoit le soutien des Fondations Open Society, l'organisation philanthropique fondée par le financier et spéculateur George Soros, l'un des plus importants donateurs du Parti démocrate américain, un opposant politique et ennemi juré de la souveraineté dans le monde entier.

En bref, on ne peut pas être plus "partisan" que cela sur une question aussi complexe et délicate que l'immigration. Donc, si ce sont les prémisses et les organes concernés, quand on parle de "justesse" et d'"exactitude" des informations, que veut-on dire ? Pas besoin d'être détective pour le savoir : il suffit de suivre les règles imposées par le politiquement correct en vigueur et une idéologie omniprésente qui impose sa vision "sans frontières" du monde et qui considère l'immigration de masse comme une chose bonne et juste.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Ilgiornale.it

Nos remerciements à Victoria Valentini


Rappels :

ONU – Pacte sur la migration : Pour garder leurs subventions, les médias vont devoir écrire des articles positifs sur l’immigration.

Il faut montrer ‘l'impact positif’ des migrations pour changer la perception de l'opinion publique, selon l'ONU

La RTS clame l’innocence de… Soros !

Comment George Soros a infiltré la Cour européenne des droits de l’homme

Amnesty international : « La Suisse doit accueillir des réfugiés de Grèce »

 

 

Italie : un islamiste remercie “Allah pour le coronavirus”. Les infidèles ne peuvent plus boire ni fumer.

Nicola F.* , un Italien de 38 ans, a été arrêté mercredi par la police italienne. La justice lui reproche d’avoir fait l’apologie de l’Etat islamique et d’avoir incité des mineurs à rejoindre ce groupe terroriste. Fin mars, les enquêteurs ont intercepté certaines de ses conversations.

Dans l’une d’elles, on peut l’entendre dire que la crise sanitaire liée au coronavirus est «une bonne chose voulue par Allah» car «les gens deviennent fous». Il se réjouissait notamment du fait que tout ce qui est «haram» (interdit au sens du Coran) était de plus en plus «difficile à faire». Autrement dit, les «infidèles» ne peuvent plus boire, fumer, prendre de la drogue aussi facilement qu’auparavant.

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20min.ch

Bologne. Projet d’art urbain féministe : “La norme hétéro est un concept colonial”

NdLR : la photo d'article clame que "la norme hétéro est un concept colonial médiocre"

A Bologne "La lotta è fica" ("la lutte est un vagin") avec l'initiative artistique féministe, antiraciste, body et sexe-positive promue par le collectif Cheap :

25 affiches collées sur les murs et les arcades de la rue Indipendenza pour donner une touche de couleur aux combats menés par les femmes, pour les femmes, à travers des œuvres créées par des auteurs et des artistes de rue qui dénoncent la discrimination de genre et la violence domestique.

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Corps et esprit, physique et nu, tabous transgressés, yeux ouverts sur l’univers transgenre dans un ensemble créatif, aux couleurs de l'arc-en-ciel.

 

"Comme ça (si j'ai envie)."

Vingt-cinq dessinateurs, graphistes, peintres, illustrateurs et artistes, utilisant différents supports issus de leur parcours professionnel et personnel, racontent sous différents points de vue les luttes socioculturelles pour la conquête des droits. Tous liés par le trait d'union du transféminisme. Il s'agit de la première exposition en plein air dans la ville après le confinement forcé dicté par Covid-19, conçue et organisée par l'association d'art public "Cheap", née sous la forme d'un festival et fondée par 6 femmes dans la capitale de l'Emilie-Romagne il y a 7 ans.

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Selon l'association "Cheap", "repartir du féminisme n'est qu'un acte de bon sens" pour lutter contre le sexisme et le masculinisme rampants, ainsi que contre le fléau xénophobe."

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

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