Italie : submergée par les arrivées de migrants, l’île de Lampedusa veut se mettre en “grève générale”, les habitants manifestent

La petite île italienne de Lampedusa, dont le principal centre d’accueil est saturé en pleine pandémie, a accueilli dans la nuit de samedi à dimanche près de 370 nouveaux migrants qui voyageaient sur un vieux bateau de pêche, tandis que le navire humanitaire Sea-Watch 4 transportant désormais 350 personnes attend un port de débarquement.

Les migrants dont la nationalité n’est pas connue, ont été débarqués par petits groupes au petit matin et se sont soumis à des contrôles de température, avant d’être acheminés vers un centre géré par une paroisse. Ils avaient été accueillis dans le port par une manifestation organisée par La Ligue (parti d’extrême droite). […]

 

 

 

Le centre d’accueil d’urgence de Lampedusa est pour sa part plein à craquer avec 1160 migrants, soit dix fois sa capacité maximale. Depuis vendredi, avant ce débarquement exceptionnel, une trentaine de petites barques, venues majoritairement des côtes tunisiennes, avaient déjà rejoint l’île en y débarquant quelque 500 migrants, recense la presse italienne. «Lampedusa ne réussit plus à tenir face à cette situation. Ou le gouvernement prend des décisions immédiates ou bien toute l’île se mettra en grève. Nous n’arrivons pas à gérer l’urgence et la situation est désormais vraiment insoutenable», a déclaré le maire de Lampedusa, Totò Martello, joint par Ansa.

Le Figaro

Italie. Le dégoût des migrants à Lampedusa : « Je fais caca dans la rue car les toilettes sont sales… »

Le menu pour les migrants "dégoûte" et ils se servent donc ailleurs. Il en va de même pour les salles de bain du hot spot (centre de tri pour les migrants) : "Elles sont sales, je fais caca dans la rue" explique un migrant accueilli dans le centre de Contrada Imbriacola, à Lampedusa.

Il parle italien et il déclare au site d'information Libero qu'il n'est pas difficile de rejoindre l'Italie, mais que son objectif est d'aller en France.

"Il a dépensé 1 500 euros pour la traversée. Les reporters du Libero l'interceptent alors qu'il fait ses courses : "Je vais acheter une saucisse, faite de dinde" car il ne peut pas manger de porc, explique-t-il sans trop de conviction.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Iltempo.it

 

Lampedusa : « Les migrants ont mangé mes poules, mes chèvres et mes 4 chiens. Il ne me reste que les porcs. »

Une Lampédusienne raconte l’enfer vécu sur l’île avec les débarquements de migrants qui ne s’arrêtent jamais : « Regardez ce qu’ils font ici… ».

« Ce n’est plus possible de continuer comme ça ! » : Rosy Matina est une Lampédusienne dont le terrain, acheté par son père en 1967, borde le hotspot de Cala Imbriacola. Elle n’en peut plus.

 

 

La nuit, les immigrés montent chez elle et campent, boivent de l’alcool, se saoulent. L’air autour de la maison délabrée, dont le toit a été renversé par Rosy elle-même et son compagnon parce que les migrants isolaient des femmes et avaient des relations sexuelles à l’intérieur, est irrespirable. Il y a une odeur d’urine et d’excréments, éparpillée tout autour, semblable à celle perçue près d’un purificateur. Par terre, couvertures prélevées sur le hotspot, vaisselle, restes de nourriture, matelas.

 

 

«Un soir, nous sommes arrivés – dit-elle – et nous avons trouvé des gens qui campaient. Ils nous ont offert du haschich. Une autre fois, je suis venu avec ma fille et 14 d’entre eux étaient ivres et nous ont harcelées sexuellement. J’ai glissé le long de la falaise vers le hotspot. Ma petite fille m’a couru après. Nous avons demandé de l’aide à la police. Ils nous ont dit que les migrants sont intouchables. Ils font ce qu’ils veulent ».

La raison ? «Il y a ceux qui gagnent beaucoup de leur présence», explique-t-elle. Rosy est exaspérée par la situation. Elle a présenté de nombreuses plaintes aux carabiniers, a porté plainte, mais personne n’est jamais intervenu. «Ils ont dit qu’ils viendraient nettoyer – précise-t-elle -, mais rien, ils ne sont plus jamais revenus. Le maire Totò Martello doit avoir honte. Il devrait simplement quitter son fauteuil et disparaître. Je vous le dis : si je trouve encore un migrant sur ma propriété, je lui tire dessus. Si mon père avait été là, il aurait utilisé le fusil de chasse ».

Rosy vivait des récoltes de sa terre, de ce qu’elle gagnait en élevant des moutons et des poulets. «Je n’ai plus que les porcs – poursuit-elle -. Ils ne les mangent pas car pour les Arabes c’est interdit. Mais ils ont mangé quatre de mes chiens ». Elle dit cela en nous montrant les restes d’un petit chien. «Ils l’ont dépecé – dit-elle – et ils l’ont fait sur le gril. Vous voyez, juste là, où sont les couvertures ».

Il Giornale

Via Fdesouche

Italie : Toutes les heures, un bateau de « réfugiés » atteint Lampedusa

L'île italienne de Lampedusa reçoit actuellement en moyenne un navire avec des réfugiés par heure. Le centre d'accueil de 100 places est surpeuplé avec près de 1000 personnes.

Le cargo italien "Cosmo" a secouru environ 110 réfugiés dont le canot pneumatique s'était retrouvé en détresse dans la zone de sauvetage maltaise. Selon l'organisation Alarm Phone sur Twitter, samedi soir, un autre bateau avec 56 réfugiés attendait toujours de l'aide après que les autorités maltaises ont été alertées.

[...]

L'île italienne de Lampedusa reçoit actuellement en moyenne un bateau de réfugiés par heure. Selon le service d'information en ligne italien "Mediterraneo Cronaca", le centre d'accueil de 100 places est surpeuplé avec près de 1000 personnes.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Welt.de

Nos remerciements à Para bellum

Pendant que Sainte-Sophie devient une mosquée, le Pape prie pour… les migrants : « C’est le Christ qui frappe à notre porte. »

Il s’agit d’un péché dont, nous chrétiens d’aujourd’hui, nous ne sommes pas immunisés. « La culture du bien-être, qui nous amène à penser à nous-même, nous rend insensibles aux cris des autres, nous fait vivre dans des bulles de savon, qui sont belles, mais ne sont rien ; elles sont l’illusion, illusion du futile, du provisoire, illusion qui porte à l’indifférence envers les autres, et même à la mondialisation de l’indifférence » (Homélie à Lampedusa, 8 juillet 2013).

[...]

Cette rencontre personnelle avec Jésus Christ est aussi possible pour nous, qui sommes les disciples du troisième millénaire. Dans notre recherche du visage du Seigneur, nous pouvons le reconnaître dans le visage des pauvres, des malades, des abandonnés et des étrangers que Dieu met sur notre chemin. Et cette rencontre devient aussi pour nous un temps de grâce et de salut, en nous investissant de la même mission confiée aux Apôtres.

Aujourd’hui, c’est la septième année, le septième anniversaire de ma visite à Lampedusa. A la lumière de la Parole de Dieu, je voudrais répéter ce que je disais aux participants à la rencontre "Libérés de la peur " en février de l’année dernière : « La rencontre avec l’autre est aussi une rencontre avec le Christ. Il l’a dit Lui-même. C’est Lui qui frappe à notre porte affamé, assoiffé, étranger, nu, malade et prisonnier, en demandant qu’on le rencontre et qu’on l’assiste, en demandant de pouvoir accoster. Et si nous avions encore quelque doute, voici sa parole claire: "En vérité je vous le dis, dans la mesure où vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait" (Mt 25, 40) ».

[...]

Vatican.va

Élections municipales en Italie : la maire immigrationniste de Lampedusa a subi une lourde défaite

« Merci, vous avez éradiqué le cancer de Lampedusa », pouvait-on lire sur les murs  de plusieurs rues de la petite île peuplé de seulement 6 000 habitants après que les électeurs aient évincé la maire Giusi Nicolini.

La native de  Lampedusa a fini à la troisième place lors des élections municipales dimanche dernier en Italie, les habitants ont élu l’homme d’affaire Salvatore « Totò » Martello, qui a déclaré lors de la campagne qu’il « ne peut pas supporter que les migrants grouillent partout ».

Depuis son entrée en fonction en 2012, la maire sortante a transformé l’île en une porte d’entrée vers l’Europe, s’occupant du traitement des migrants pour permettre au centre d’accueil de Lampedusa d’abriter 700 demandeurs d’asile à la fois.

Nicolini, qui a utilisé son statut de personnage public pour promouvoir de manière répétée les frontières ouvertes et l’acceptation des migrants en Europe, a été récompensé il y a deux mois du Prix de la paix de l’UNESCO pour son «humanité sans bornes et son engagement inébranlable pour la gestion et l’intégration des réfugiés».

À la suite de la défaite de Nicolini, «les activistes conservateurs ont affiché avec joie des images modifiées représentant l’ancienne maire en immigrée illégale expulsée du pays et des memes affirmant qu’elle est une agent de George Soros», selon le Washington Post, qui décrivait le milliardaire hongrois comme «Le magnat que les théoriciens du complot accusent d’être derrière la vague d’immigration africaine en Europe « .

Il Giornale Via Fdesouche.com

Crise migratoire : ce que le pape François dit réellement

Nous autres catholiques avons l’habitude de voir les médias déformer systématiquement les propos du Saint Père. Ce n’est pas un phénomène nouveau. Chacun sur ce site sait ce qu’il en est du gauchisme journalistique : une manière de faire prête à toutes les malhonnêtetés pour arriver à ses fins.

 En revanche, l’accueil favorable assez systématique fait au pape François par la presse est quelque chose de plus surprenant. A l’époque de Benoit XVI, les médias avaient tôt fait de le prendre pour un vieux sénile qui vit dans un autre temps et ne sait plus ce qu’il raconte. Mais pour François, la donne est complètement différente. La presse ne cesse d’en vanter les louanges. Et même lorsque celui-ci tient des propos que certains considéreraient comme insupportables comme ceux ayant trait au mariage homosexuel, les journaux ne le descendent pas en flamme. Certes, il est évident que si on devait classer ce pape sur l’échiquier politique, il serait, semble-t-il, plus à gauche que son prédécesseur. Mais il est grotesque et hors de propos d’abaisser le pape au statut de vulgaire politicien même si sa fonction de chef d’état lui fait automatiquement endosser tout du moins en partie ce rôle. Mais de là à en faire celui qu’on tente de présenter ces jours, il y a un pas infranchissable. Voyez plutôt.

 En fait, la stratégie médiatique de dénigrement du pape semble avoir évolué. Au lieu de tenter de le faire passer pour un vieux grincheux hors de propos, ce qui n’a plus grande influence puisque l’ensemble des gens pouvant être sensibles à ce genre de propos ont déjà plus ou moins largué les amarres du catholicisme, aujourd’hui c’est le clan conservateur que la presse essaie de déraciner de l’Eglise catholique. Tout est fait pour faire croire que François est un parfait bisounours complètement ahuri qui ne mérite pas sa position. La crise migratoire en est la plus parfaite illustration. Démonstration.

 En 2013, alors en visite à Lampedusa, les médias ont prêté au pape des propos qui ont pu faire croire qu’il prônait l’accueil de tous les migrants. En fait, ce n’est pas ce que le Saint Père a dit. Son propos a consisté à dénoncer l’indifférence vis à vis des malheurs des autres[1]. Se joindre à la souffrance d’autrui ne passe pas forcément par l’ouverture de toutes les frontières et peut tout aussi bien prendre la forme de l’aide sur place.

 A ce propos et pour renforcer le nôtre, le Saint Père a dit à la radio portugaise Renascenca en ce mois de septembre qu’il fallait agir sur les causes et non sur les effets, que l’idéal était que les migrants puissent rester chez eux et que pour combattre cet exil provoqué par la faim (= migration économique), il fallait créer du travail et investir dans les pays d’origines.[2] Afin d’être totalement correct au sujet des propos tenus par le pape sur la migration à cette occasion, il convient d’ajouter que, selon lui, les gens s’engouffrent là où il y a des vides pour les combler et que des taux de natalité aussi bas que sont ceux d’Europe occidentale peuvent être considérés comme un vide. En d’autres termes, une meilleure démographie dans les pays occidentaux fait partie de la solution globale à atteindre.

Toujours en ce mois de septembre, la presse a relevé que le pape avait appelé chaque paroisse à accueillir une famille de réfugiés[3]. Là aussi, quelques éclaircissements s’imposent. Le pape n’est pas quelqu’un de stupide, il connaît parfaitement la différence entre un migrant, un requérant d’asile et un réfugié. Personne ne peut sérieusement s’opposer à ce qu’un véritable réfugié, traqué chez lui, soit accueilli dans nos sociétés. Mais ce n’est de loin pas là le principal statut accordé à ce jour sous nos latitudes.

 En fait, cette idée du pape François est tout à fait incroyable puisque, si elle est mise en pratique par les diverses paroisses, elle contribuera à faire descendre le coût supporté par l’état pour le logement des réfugiés. De même, le fait de les dispatcher sur un vaste territoire comme peut le faire l’église catholique, permettra d’éviter leur concentration dans certaines zones, concentration dont on sait pertinemment qu’elle contribue généralement à faire dégénérer la situation et augmenter la criminalité. Enfin, il faut également relever que si les paroisses se chargent de cet accueil, alors l’intégration des réfugiés dans un mode de vie chrétien se verra facilitée. Et qui sait, même si sa confession est différente, peut-être le réfugié dont il est question se laissera-t-il toucher par la grâce…

 Enfin, pour clore ce sujet, je signale également que la nouvelle ayant ré-émergé ces jours-ci et prêtant au pape François d’avoir parlé du coran comme d’un « livre de paix » est particulièrement malhonnête puisque, dans son propos, la phrase exacte a consisté à dire que des musulmans disent que le coran est un livre de paix[4]. Ce qui, vous le conviendrez, n’est pas tout à fait la même chose !

 Ne me reste plus qu’à traiter de l’audience générale du 17 juin 2015 où le pape aurait déclaré qu’il faut demander pardon à ceux qui ferment la porte aux migrants. Là aussi, la déformation du propos, subtile, change complètement le sens des dires du Saint Père. Celui-ci a en fait invité à demander pardon pour ceux qui ferment la porte à ceux « qui cherchent une famille, qui cherchent à être protégés »[5] et non à ceux qui viennent pour d’autres raisons !

 En ce qui me concerne, exception faite des propos tenus au sujet du réchauffement climatique, je ne vois pas de quoi blâmer en quoi que ce soit le pape François. Pour le reste, la manipulation est totale et cela ne doit surprendre personne tant nous savons tous que les médias font systématiquement tout ce qui est en leur pouvoir pour salir la personnalité du Saint Père aux yeux de ses ouailles. Ce qui est beaucoup plus décevant, en revanche, c’est qu’un site comme les Observateurs participe à ce phénomène de dénigrement en relayant ces propos malhonnêtes. J’ose croire qu’il ne s’agit là que d’une petite faiblesse passagère et appelle de tous mes vœux la rédaction a être plus vigilante par le biais de vérifications systématiques.

Pour les Observateurs, Cain Marchenoir, le 28 septembre 2015

[1] http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/homilies/2013/documents/papa-francesco_20130708_omelia-lampedusa.html

[2]http://rr.sapo.pt/noticia/34088/pope_i_trust_the_young_politicians_corruption_is_a_global_problem

[3] http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/angelus/2015/documents/papa-francesco_angelus_20150906.html

[4]http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/speeches/2014/november/documents/papa-francesco_20141130_turchia-conferenza-stampa.html

[5] http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150617_udienza-generale.html

Vidéo choc montrant l’ampleur du mouvement migratoire !

De Melilla jusqu'en Hongrie en passant par Malte, Lampedusa ou la Grèce.

Réduire les Européens, c'est à dire les Blancs, à l'état de minorité dans leurs propres pays ou les faire disparaître de la surface de la terre grâce à l'immigration massive, l'apologie permanente du métissage et la "diversité" imposée par la loi, et ce contre leur volonté, c'est un génocide en vertu des lois internationales !

Source Facebook

https://www.youtube.com/watch?v=WVMf6eJyeao

L’immigration, principale préoccupation des Européens

Pour la première fois dans cette enquête bisannuelle publiée par la Commission, l'immigration passe devant les thèmes économiques, pour devenir le principal défi de l'Union européenne aux yeux des citoyens.

Pour les citoyens européens, l'immigration est désormais le principal défi auquel doit s'atteler l'Union européenne, devant les questions économiques et le chômage, selon un baromètre réalisé fin mai dans les Etats membres de l'Union européenne et les pays candidats, et rendu public fin juillet par la Commission européenne. C'est la première fois, depuis que cette enquête bisannuelle est posée dans ces termes à l'automne 2010, que les thèmes économiques ne sont plus en tête. L'immigration est désormais le sujet le plus cité dans 20 des Etats membres.

ue

Records d'inquiétude à Malte et en Allemagne

En novembre dernier, la situation économique, l'emploi et les déficits publics faisaient partie des inquiétudes numéro un des citoyens européens, selon le précédent baromètre.L'immigration était alors en quatrième position (à 24%). Elle est aujourd'hui à 38%. Une hausse de 14 points en l'espace de six mois. En mai 2015, l'immigration devance de loin la situation économique (27%, -6 points), le chômage (24%, -5 points) et les finances publiques (23%, -2 points) comme sujets de préoccupation. Elle est l'inquiétude la plus fréquemment citée dans 20 États membres, avec des records à Malte (65%), confronté à l'arrivée massive de migrants, ainsi qu'en Allemagne (55%).

En Italie, où des dizaines de milliers de migrants affluent après de périlleuses traversées de la Méditerannée, l'immigration est la principale préoccupation des personnes interrogées (43%). En France, ce sujet est une préoccupation pour 34% de la population interrogée, avant l'économie (30%).

Calais, comme Lampedusa, sont devenus les symboles de cette impuissance de l'Union européenne à bâtir une politique commune pour gérer des flux migratoires de plus en plus pressants à cause d'un contexte géopolitique très déstabilisé. Depuis janvier 2015, 150.000 migrants sont arrivés en Europe via la Méditerranée, et 1900 personnes ont trouvé la mort lors de leur traversée.

Autre préoccupation qui gagne du terrain: le terrorisme, dont les craintes ont également augmenté de manière significative depuis novembre 2014 dans l'ensemble de l'Union européenne (17%, +6 points).

Source

Côme, une seconde Lampedusa aux portes de la Suisse

Alors que les migrants déferlent sur la Sicile, il existe désormais une "Lampedusa du Nord" à la frontière tessinoise: la ville de Côme, qui fait office de gare terminus pour des milliers d’entre eux.

Ecoutez cet extrait du journal du matin, RTS - 20.05.2015 :

 En savoir plus

Lampedusa: L’accueil des migrants continuera malgré la menace djihadiste

La présence des terroristes de l’Etat islamique sur les côtes libyennes n’empêchera pas Lampedusa de poursuivre l’accueil de ceux qui fuient, laisse entendre la maire de Lampedusa, Giusi Nicolini, dans une interview à Radio Vatican, après l’arrivée de centaines de migrants sur son île et après les menaces des djihadistes de « conquérir Rome ».

AFP2434103_Articolo

«  Les migrants sont en train d’arriver, ils sont déjà arrivés. Ce qu’il faut, c’est un accueil : même en dehors de la Sicile, les régions du nord doivent ouvrir leurs portes. C’est la réponse que doit donner l’Italie ; nous ne pouvons pas la déléguer. Et l’Europe doit arrêter de nous considérer comme une périphérie ou une frontière parce que c’est inutile ; cela ne sert qu’à créer de la souffrance, à causer des naufrages en mer, à compter les morts et à provoquer de la souffrance sur des territoires qui sont exposés en première ligne comme Lampedusa.

La présence des djihadistes de l’État islamique en Lybie vous préoccupe ?

Nous cherchons à rester humains et rationnels. Les terroristes islamiques ont frappé Paris, n’oublions pas les Tours jumelles. Nous savons que n’importe qui peut devenir la cible de ces actions. Etre plus près ou plus loin ne change rien. Cela ne changera sûrement pas notre accueil. »

Source

Damien Rieu (Génération identitaire) à la rencontre des clandestins en Sicile

Damien Rieu, porte-parole de Génération identitaire, est allé en Sicile et à Lampedusa. Là, notamment dans un centre, il a rencontré et interrogé des clandestins. Damien Rieu reviendra sur ces rencontres dans le livre qu’il est en train de rédiger.

Zakaria, clandestin malien à Lampedusa : "la vraie face de l’Europe ne se dit pas en Afrique. Nous ne voyons que les bons coté à la télévision, la belle vie..."

«Moi je conseille aux Africains de rester chez eux et de continuer à espérer et à travailler en Afrique»

http://youtu.be/kyB448bNG-g

Source Novopress.info

Grillo : « Vols low cost de Lampedusa pour les immigrés ! »

(...)

« Les migrants amènent des maladies »

Le bouche à oreille sur l’entrée des maladies infectieuses venant d’Afrique et la contagion de la tbc de 40 agents de police, est tombé dans l’oubli : « Comme si cela n’était pas un problème national, le retour en Italie de maladies écrasées depuis des siècles ! "

(...)

Il explique que l’Europe nous aidera à importer plus de migrants que maintenant, qui tâcheront inévitablement de fuir vers les autres nations européennes.

(...)

"Vols low cost de Lampedusa pour toute l’Europe, la destination est choisie par le clandestin, comme il se doit"!

(...)

Article complet