Lire Houellebecq pour entrevoir une France islamisée

Par Charles Terrade

Une piqûre de rappel pour les retardataires: il faut absolument, lire «Soumission» de Michel Houellebecq. Dans ce livre plein d’ironie philosophique, l’auteur se penche sur le rôle que pourrait assumer l’islam dans le renouveau moral d’une France accablée par 50 ans de déconstruction nihiliste. Incontournable.

France, 2022. François, le narrateur, est professeur d’université à la Sorbonne. Sa spécialité
la littérature du XIXe siècle, et tout particulièrement Huysmans, écrivain tourmenté et converti sur le tard au catholicisme. François a la quarantaine mais vit seul. Il n’a plus de contacts depuis longtemps avec ses parents divorcés qu’il déteste. Les créatures féminines passent dans sa vie comme les plats tout prêts dans son micro-onde. Une relation amoureuse durable lui est impossible. Il fornique de préférence avec des prostituées. Il ne fréquente que des relations de travail dont il se lasse vite. Cet antihéros relativiste, néo-Meursault universitaire, ne croit en rien et est indifférent à tout : autrui, la société, la politique, l’histoire. Mais son nihilisme n’est pas radieux. François s’ennuie et ressent la vacuité de son être avec une angoisse croissante. Il se méprise lui-même. La dépression le guette.

Les élites de la société française dans laquelle François traîne sa lamentable existence sont atteintes de la même fatigue de vivre et rongées par la même haine de soi. Dans le sillage des idéologues
soixante-huitards, elles ont pourtant parachevé avec jubilation la destruction des anciens repères religieux, moraux, familiaux, identitaires. Mais la société libérale-libertaire, que ces
apprentis sorciers ont contribué à engendrer, n’a pas produit la nouvelle humanité épanouie
qu’ils attendaient. La disparition des valeurs traditionnelles a conduit à un vide existentiel qui
sape la cohésion sociale. La volonté de vivre ensemble s’est réduite à tel point que l’intégrité
même de l’Etat est menacée. En réaction, l’exigence de sens de la population déboussolée
revient en force, comme un boomerang, à la figure des élites désemparées. C’est toute la
société qui réclame ardemment la fin du chaos ontologique.
La nombreuse communauté
musulmane est la plus active en termes de revendications d’un retour à un ordre moral, lequel
devrait selon elle s’aligner sur ses dogmes religieux.

L’incapable François Hollande a réussi à se faire réélire en 2017 grâce à ses manipulations de
l’opinion publique. Le début du roman coïncide avec les dernières semaines de son deuxième
quinquennat, encore plus désastreux que le premier, et les élections présidentielles de 2022.
Le contexte est extrêmement tendu: économie en déroute, mécontentement social au paroxysme. Les attentats islamistes le disputent aux affrontements entre musulmans et
identitaires. Le PS et l’UMP n’ayant pas réussi à se qualifier pour le deuxième tour de
l’élection présidentielle, les Français devront choisir entre Marine Le Pen, infatigable
présidente du Front National, et Mohammed Ben Abbes, habile et retors président de la
Fraternité Musulmane qui se présente comme un islamiste modéré et démocrate.
Afin de faire barrage au FN qui en 2022 incarne toujours pour l’oligarchie politico-médiatique
le Mal absolu, tous les autres partis ont appelé à voter pour Ben Abbes au deuxième tour. Ce
ralliement leur a permis d’obtenir des promesses de ministères clés. Le candidat islamiste est facilement élu, une majorité d’électeurs ayant été séduits par son boniment d’un islam
fédérateur à visage humain comme solution au mal-être français.

Ben Abbes islamise alors doucement mais sûrement la France, avec le soutien de la plupart
des élites masculines. L’islamisation ne déclenche pas de protestation d’envergure. Avant tout
marquée par un retour à un ordre moral rigoureux, elle se calque sur les règles de vie des
sociétés musulmanes. Seuls les juifs se montrent ouvertement inquiets en quittant le pays pour
Israël.

Pour commencer, les femmes voient leur place dans la société radicalement modifiée. Le
nouveau pouvoir les incite à quitter le marché du travail, notamment au moyen d’allocations
familiales très fortement revalorisées. Grâce à leur retour à la maison, la famille traditionnelle
gagne en stabilité. Elle redevient la cellule centrale et respectée de la société.
Les femmes cédant leur place aux hommes inactifs, le chômage disparait. Le retour au plein
emploi, ainsi que l’activisme social des imams salafistes des banlieues, massivement soutenus
par l’Etat, font disparaître la violence et les trafics illicites des nombreux territoires
auparavant considérés comme perdus par la République.
L’enseignement public voit ses missions drastiquement revues à la baisse. Il se concentre
principalement sur le premier degré. Le nouveau ministre – musulman –  de l’éducation prend
des mesures qui découragent fortement les filles de poursuivre leurs études au-delà du
primaire. Ces dernières sont orientées vers l’apprentissage pratique de leurs futurs rôles de
mère et de ménagère. Suite à la privatisation des enseignements secondaires et supérieurs, les
établissements musulmans poussent comme des champignons et deviennent les plus prisés
grâce aux très généreux dons des pétromonarchies du Golfe. Leurs cours y sont compatibles
avec le Coran. L’Arabie saoudite finance et gère la Sorbonne qui n’accueille dorénavant que
des professeurs musulmans de sexe masculin. La baisse drastique du budget de l’Education
Nationale permet aux comptes de l’Etat de retrouver l’équilibre. L’augmentation inexorable et
incontrôlée de la dette publique française s’arrête enfin.

Un nouvel ordre moral, social et économique s’établit qui renoue avec certaines des anciennes valeurs traditionnelles de la France tout en y ajoutant, en surplomb, des préceptes spécifiquement islamiques. La plupart des gens y trouvent leur compte. La
confiance en l’avenir revient. Le Produit Intérieur Brut croit à nouveau. La France islamisée renaît de la France déconstruite.
François, comme presque tous les autres professeurs d’université, choisit de se convertir à
l’islam. Par motivation pratique : la conversion est nécessaire pour garder son poste.
Egalement pour des raisons financières : son traitement est très nettement revalorisé, ce qui lui
permet de vivre beaucoup plus confortablement. Par ailleurs, sa nouvelle situation enviable de
professeur dans une prestigieuse université islamique lui donne droit à quatre jeunes et
ravissantes épouses. Ses futures femmes l’attendent, ravies de se soumettre socialement et
sexuellement au maître que l’ordre nouveau leur a désigné. Quant à lui, il est soulagé de se
soumettre intellectuellement et spirituellement à l’islam car celui-ci le libère enfin de ses tourments existentiels.

Ce livre est incontournable pour qui s'intéresse à l'islamophilie de notre élitocratie politique, médiatique et intellectuelle, et à ses conséquences ultimes pour la France. Houellebecq met en outre malicieusement en évidence les avantages que pourrait apporter l'islamisation de la France à ses élites masculines ayant perdu tout repère et s'enfonçant inexorablement dans le nihilisme. Leur besoin inavoué mais désespéré de sens dans un monde anomique pourrait les
entraîner vers une soumission totale à un nouvel ordre politico-religieux viril leur apportant la
tranquillité de l’âme. La soumission à l'islam est pensée par l'auteur comme délivrance
d'une liberté radicale finalement insupportable.
Allah est ironiquement pressenti comme
rédempteur divin d'une élite plongée dans la déréliction du fait de sa propre déconstruction.
Mais le Très Miséricordieux est aussi entrevu comme pourvoyeur de félicités sexuelles. Le
nouveau pouvoir islamique veillerait à la stimulation libidinale du mâle des classes
supérieures.
Celle-ci serait assurée par la diversité du cheptel de femelles à disposition et son
renouvellement permis par la polygamie et la speed-répudiation.

Michel Houellebecq n’a eu qu’à observer, d’une part l’essor de l’islam en France, et d’autre
part les mœurs du monde musulman, pour inventer cette fiction cauchemardesque. Si celle-ci
se réalisait, les femmes paieraient au prix fort la régression monumentale induite par
l'islamisation de la société. Mais la dégradation des relations hommes-femmes ferait aussi des hommes les perdants du nouvel ordre. L’égalité entre les sexes n’est-elle pas au cœur de notre civilisation? Réduire la femme à ses fonctions d’objet sexuel, d’utérus et de ménagère, ne ferait pas que l’humilier et l’inférioriser. En bridant l’entendement et la créativité d’une moitié de l’humanité, l’homme provoquerait un appauvrissement intellectuel et culturel généralisé. Et il se châtrerait d’une des plus belles dimensions de sa vie : la communion avec son égale dans le sentiment amoureux.

 

Charles Terrade

 

 

Veni, vidi, vici !

Ci-dessus : Matteo Salvini, Piazza del Popolo, Rome le 28.02.15

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Veni, vidi, vici, c'est ainsi que le journal romain IL TEMPO a titré dimanche son article sur la manifestation conduite par Matteo Salvini à Rome.

Le slogan de ce rassemblement était "Renzi, a casa !".

Ce samedi 28 février, sur une Piazza del Popolo baignée de soleil, une foule bigarrée et pacifique (contrairement aux antifas ayant manifesté contre Salvini voir ici et ici) est venue assister aux discours de plusieurs politiciens de La Lega et de Fratelli d'Italia, mais aussi pour écouter les témoignages d'agriculteurs et de pêcheurs qui, grâce à la main mise de l'UE sur les lois, n'arrivent plus à s'en sortir.
Drapeau-européen-barréDes dizaines de milliers d'Italiens portaient des drapeaux de toutes les régions d'Italie, des drapeaux Italiens, mais aussi de nombreux drapeaux de l'UE barrés de rouge.
Matteo Salvini et d'autre intervenants ont évoqué les problèmes d'immigration-invasion, de chômage, des retraites (loi Fornero) et ont demandé la démission d'un gouvernement Renzi à la botte de Bruxelles.
Marine Le Pen quant à elle, avait envoyé une vidéo de soutien au peuple italien, vidéo que tous ont pu visionner Piazza del Popolo.

Ci-dessous, M. Le Pen

Pour tous nos lecteurs italophones et pour les autres aussi, pour qu'ils puissent se rendre compte de l'ambiance qui régnaient à Rome ce jour là, voici une partie de la vidéo de l'évènement :

Matteo Salvini, outre les problèmes spécifiquement politiques, a également parlé des livres incontournables d'Oriana Fallaci, qui, avant tout le monde, avait pressenti le grand danger de l'islamisation et avait tenté de nous prévenir avec "La rage et l'orgueil" et "La force de la raison" sans oublier "Un uomo" où elle raconte l'histoire de son compagnon Alexandros Panagulis qui fut un héro de la résistance grecque. Il a aussi rappelé l'existence de ce magnifique livre que tous devraient lire sur le génocide arménien "La Masseria delle allodole" d'Antonia Arslan pour pointer du doigt l'éventuelle entrée de la Turquie dans l'UE alors qu'elle n'a jamais reconnu le génocide arménien (1.200.000 morts).

 

En voyant cette foule rassemblée samedi à Rome, Piazza del Popolo, on se rend compte que les peuples d'Europe, lentement, mais sûrement, se réveillent et réalisent que le rêve européen s'est transformé en cauchemar et qu'ils assistent, comme le dit depuis plusieurs années, l'écrivain Renaud Camus, à leur grand remplacement par une immigration-invasion complètement incontrôlée et que Bruxelles leur confisque progressivement leurs libertés, leurs droits et leurs lois nationales.

 

Quelques heures avant que cette manifestation ne se déroule, s'était tenu dans la même ville, un forum sur l'islamisation et l'immigrationisme avec, entre autres,  René Marchand auteur d'un texte très fort que nous avions publié vendredi sur notre site.

Parmi les participants de ce forum, se trouvaient l'organisateur Armando Mannochia, rédacteur en chef du quotidien en ligne http://www.imolaoggi.it/ et président de l'association Una Via per Oriana Fallaci, Mireille Vallette, journaliste suisse, Mélanie Dittmer, responsable de Pegida Düsseldorf, Pierre Cassen de Riposte Laïque, Christine Tasin de Résistance Républicaine, un médecin italien spécialiste de la tuberculose, qui nous a parlé du risque toujours plus important d'une flambée de tuberculose en Italie, puisque aucun dépistage n'est prévu quand les migrants arrivent en Italie....et, grand honneur pour nous Suisses, Mario Borghesio, l'homme qui, au lendemain de la votation du 9 février, avait brandi le drapeau suisse au parlement européen. Souvenez-vous :

Ces différentes personnes se sont exprimées sur le thème du forum, (des interventions vidéo filmées que nous vous mettrons en ligne ces prochains jours sur le site).

Ce forum a été une riche occasion de créer des liens avec plusieurs personnes de différents pays européens.

D. Borer

France : l’islamisation des consciences s’accélère

Nos lecteurs nous écrivent :

Les manifestations du 11 janvier après l’attentat de Charlie Hebdo ont été les plus massives depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Cette mobilisation pourrait laisser croire que les Français sont prêts mordicus à défendre la liberté d’expression contre l’intolérance et la violence. C’est tout le contraire!

Suite à la trahison de nos élites islamophiles et à la passivité de nos concitoyens, la liberté d’expression telle que les manifestants du 11 janvier se la représentaient, c'est-à-dire sans tabou, n’existe plus en France depuis bien longtemps. L’islamisation des consciences l’a considérablement restreinte. Cette situation révoltante est due à trois phénomènes observables depuis plusieurs décennies et qui se sont mutuellement renforcés: l’immigration musulmane de masse, l’hégémonie idéologique du relativisme culturel, et l’imposition de lois de censure étouffant tout débat visant à nommer les deux premiers phénomènes pour ce qu’ils sont : des calamités nationales.

L’immigration musulmane à grande échelle a été, à l’origine, organisée par la droite pour servir les intérêts du patronat. Son but était de mettre les travailleurs français en concurrence directe avec des miséreux issus du tiers-monde, afin de maintenir une pression sur les salaires pour augmenter les profits des entreprises.

L’idéologie du relativisme culturel et son corollaire, le multiculturalisme, ont été utilisés par la gauche comme vecteurs de déconstruction de l’identité culturelle française traditionnelle. Une identité honnie qu’il s’agissait d’anéantir comme toutes les superstructures de l’Etat bourgeois oppressif dénoncé par Marx et les théoriciens du socialisme. Au nom du multiculturalisme, l’exigence séculaire de respect des valeurs démocratiques et laïques françaises a été progressivement abandonnée. La multitude d’immigrés issus du monde musulman a été encouragée à faire prospérer chez nous son mode de vie islamique, opposé pourtant à nos valeurs essentielles. Quant aux Français de souche, on ne leur a pas demandé leur avis sur le changement de peuple et de civilisation. Mais on a exigé d’eux qu’ils s’adaptent à la culture des nouveaux venus.

Islamo-lucides condamnés par les lois de censure

Parallèlement, des lois de censure scélérates, à commencer par la fameuse loi Pleven de 1972 votée à l’unisson par la droite et la gauche, ont, en introduisant la notion d’incitation à la haine, dégradé considérablement la loi sur la liberté de la presse et la liberté d’expression de 1881, comme l’a très bien documenté Philippe Nemo dans son livre « La régression intellectuelle de la France ». Pour la première fois depuis presqu’un siècle, le législateur a violé le principe fondamental de tout Etat démocratique moderne selon lequel ne doivent être punis par la loi que les appels explicites à la violence qui portent ou peuvent porter préjudice à autrui, et non l’expression de sentiments ou d’opinions ne visant aucunement à être traduits en actes violents. Cette judiciarisation abusive de la pensée critique a très fortement limité le droit des Français à exprimer leur opposition face à l’immigration incontrôlée et à l’essor concomitant de l’islam sur leur territoire. Depuis plus de quarante ans, la justice pourchasse inlassablement les authentiques patriotes et démocrates qui se dressent contre l’islam.

Ces trois fléaux ont été infligés à la société par la mince couche politique, médiatique, intellectuelle et économique qui dirige le pays depuis les années 1970. Ils ont produit ce qu’ils devaient immanquablement engendrer : l’islamisation rampante de la France, laquelle est aujourd’hui malheureusement très avancée. L’islam structure déjà de nombreux domaines de notre vie, du fait de la collaboration de nos élites, très majoritairement sous le charme d’une illusion d’un islam à visage humain. Une vision totalement détachée de la réalité liberticide et inhumaine de cette religion, mais cependant rigoureusement non discutable. Sous leur impulsion, notre société s’est conformée aux exigences de Mahomet. Les dogmes, boniments, interdits et superstitions des musulmans sont devenus implicitement les nôtres.

La classe politique courtise les musulmans

Immédiatement après la tuerie de Charlie Hebdo, les leaders du PS, des Verts, de l’UMP, de l’UDI et du Modem ont répété sans relâche que la violence des attentats contre l’hebdomadaire satirique n’avait rien à voir avec l’islam, celui-ci étant une religion de paix et d’amour. Ce message était précisément celui que voulaient faire passer les dignitaires musulmans auprès de la population française, afin de détourner l’attention de la violence intrinsèque à l’islam. Nos élites politiques l’ont relayé servilement, en dépit des motivations des assassinats pourtant criées sur le lieu du crime par les terroristes eux-mêmes, à savoir venger, par le sang et au nom d’Allah, l’affront que représentait pour eux les caricatures de leur prophète. En dépit aussi des incessantes brutalités des islamistes envers les non-musulmans et les musulmans dans de très nombreux pays, violences répertoriées méthodiquement sur le site « The religion of peace» (http://www.thereligionofpeace.com). En dépit encore des nombreux écrits haineux et violents du Coran à l’égard de ceux que Mahomet désignait comme mécréants, apostats, hérétiques, et autres catégories d’individus ne partageant pas sa vision du monde.

Comme l’a très clairement montré Joachim Véliocas dans son livre Ces maires qui courtisent l’islamisme, beaucoup d’élus des partis politiques traditionnels français ne cessent, depuis le début des années 2000, de contourner la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat. Ils facilitent et même financent la construction de mosquées. Une mosquée par semaine est construite dans la France de 2015. Le poids démographique à présent considérable de la communauté musulmane a grandement influencé les partis classiques qui lui déroulent le tapis rouge afin d’obtenir ses précieux votes. Le désir de notre classe politique d’aller au-devant des revendications islamiques par calcul électoraliste de court terme ne s’arrête pas là : menus halals dans les écoles, horaires réservés aux femmes dans les piscines, célébration des fêtes religieuses musulmanes à la mairie de Paris, complaisance vis-à-vis de la polygamie, des mariages forcés et des mutilations génitales féminines, sont là pour signaler que la France officielle exauce les voeux de sa communauté musulmane en plein essor.

L’économie s’adapte

Dans son numéro du 22 décembre 2014, le journal L’Opinion nous signale qu’un nombre croissant d’entreprises privées et d’administrations publiques répondent favorablement aux exigences des musulmans concernant la création de salles de prières sur les lieux de travail, les plannings adaptés aux contraintes des prières, les arrêts maladie au moment du ramadan, les tenues vestimentaires, l’absence de contacts avec les femmes et le refus de liens de subordination vis-à-vis de celles-ci. La finance elle aussi s’adapte à l’islam en embrassant l’investissement, l’assurance et le financement charia-compatibles, nouvelles sources de profits juteux. C’est ainsi que la prestigieuse Université Paris Dauphine organise depuis 2009 un Master en Principes et Pratiques de la Finance Islamique. Quant aux banques françaises, elles proposent depuis plusieurs années des fonds de placement et des polices d’assurances islamiques.

Les médias officiels se couchent devant l’islam

Quant à la classe médiatique, son islamophilie et son islamo-couardise sont totales. Les journalistes des médias officiels mentent à longueur de journée sur la monumentale régression civilisationnelle que constitue l’islamisation de notre pays. Ils veulent nous faire accroire que l’islam est une religion comme une autre et qu’il n’y a donc pas lieu de s’inquiéter de sa progression en France. L’absence de liberté de conscience et de droit à l’autonomie, la soumission des femmes, l’infériorisation juridique de droit ou de fait des non-musulmans en terre d’islam, ne sont jamais évoquées. Quand la classe médiatique s’exprime sur l’islam, elle travestit systématiquement la réalité pour empêcher le public d’être réellement informé sur ce qu’il est vraiment: un effroyable totalitarisme politico-religieux. Quant aux caricatures provocantes de Mahomet, un seul journal osait encore les montrer jusqu’au 7 janvier: Charlie Hebdo. La liquidation physique de ses journalistes emblématiques a été un tournant. Il faut s’attendre à ce que plus aucun journal ne reprenne à l’avenir les caricatures irrévérencieuses de Mahomet que l’hebdomadaire avait osé publier. Lui-même a décidé d’arrêter les provocations et de jouer l’apaisement. Sa Une du 14 janvier montre bien une caricature de Mahomet. Mais il s’agit d’un Mahomet sympathique, pleurant sur le sort de Charlie, un Charlie qui semble pardonner aux tueurs. Le journal a décidé de s’autocensurer, s’alignant ainsi sur la lâcheté observable depuis longtemps dans le reste de la presse hexagonale. La véritable résistance de Charlie Hebdo à l’obscurantisme musulman, incarnée par son numéro spécial Charia Hebdo de novembre 2011, avec ses caricatures mordantes du prophète de l’islam, est bien morte. Les défilés du 11 janvier étaient en fait la cérémonie d’enterrement de notre liberté d’expression. La terreur islamique a gagné.

Classe intellectuelle islamo-séduite

Il n’y a d’ailleurs pas que les journalistes qui pratiquent la désinformation concernant l’islam. La grande majorité des intellectuels, universitaires et enseignants font de même. Ainsi, l’esclavage généralisé pratiqué par les musulmans, dans tous les pays qu’ils ont conquis ou provisoirement envahis, en particulier en Afrique noire et en Europe, est passé sous silence dans le but scandaleux de fallacieusement présenter l’esclavage comme réductible à la traite transatlantique, c'est-à-dire comme une monstruosité uniquement européenne.

Cette honteuse réécriture de l’Histoire a même été validée par la loi mémorielle Taubira de 2001, une autre loi de censure qui, selon Philippe Nemo «empêche de rapprocher ces agissements [des Européens] d’autres pourtant parfaitement comparables, à savoir la traite négrière des Arabes et la traite intra-africaine qui se sont pratiquées à la fois antérieurement et postérieurement à la traite européenne». Par ailleurs, la contribution du monde musulman à l’élaboration et à la transmission des savoirs scientifiques et philosophiques est grandement exagérée dans les milieux intellectuels. Il existe ainsi un consensus parmi les universitaires français pour affirmer que le savoir gréco-romain a été principalement transmis aux Européens par les musulmans grâce à la conquête de l’Espagne par les armées des Omeyyades au 8e siècle. Ce qui est de la pure propagande islamophile comme l’a démontré Sylvain Gouguenheim dans son remarquable ouvrage Aristote au Mont Saint-Michel.

Les programmes de l’Education Nationale présentent aujourd’hui l’invasion et l’occupation musulmanes de l’Espagne entre les 8e et 15e siècles comme une période positive sur le plan de la liberté de culte, du dialogue interreligieux, et des avancées des sciences. Il s’agit, bien entendu, d’une reconstruction mensongère de l’impitoyable joug islamique subi par les Espagnols pendant sept siècles.

Et pour ne pas froisser les écoliers musulmans, à présent majoritaires dans de nombreux établissements, l’histoire sanglante des fréquentes invasions et incursions musulmanes dans le Sud de la France et dans la vallée du Rhône entre les 8e et 10e siècles n’est plus enseignée. De même, la Shoah est de plus en plus occultée par les professeurs des collèges et lycées pour ne pas provoquer la colère des élèves haineux des juifs et convaincus de la véracité des thèses négationnistes les plus grossières.

La France se soumet

Il faut se rendre à l’évidence: la France a renié ses valeurs de liberté et d’égalité pour se plier aux exigences de l’islam. Cet état de fait est le résultat de la veulerie et de la félonie de nos élites islamo-béates. L’oligarchie indigne et fatiguée de vivre qui nous gouverne a signé un pacte de soumission avec ses nouveaux maitres, à l’instar des populations chrétiennes et juives submergées et conquises par les armées d’Allah pendant la période d’expansion militaire de l’islam. Nous croyons être Charlie. Nous ne sommes que dhimmis.

Auteur connu de la rédaction, 17 février 2015

Rome, 28 février : Stop islamisme ! Stop immigrationnisme !

STOP ISLAMISME ! STOP IMMIGRATIONNISME ! FORUM SUR L’ISLAMISATION ET SUR L’IMMIGRATION CLANDESTINE

Rome le 28 février 2015

Ce Congrès a pour but de transmettre des connaissances, de partager des expériences,  d’informer, de former, d’étudier, d’analyser et de faire des recherches sur les questions inhérentes à l’islamisme, l’islamisation, l’immigrationnisme, l’immigration clandestine, le djihad et le terrorisme islamique, ceci en regard des conflits politico-culturels, ethnico-religieux et du conflit de civilisation que nous sommes en train de vivre avec la présence des très nombreux migrants sur le sol italien, européen et occidental, problème dont personne ne veut prendre acte.

Cette rencontre a pour but de mettre sur pied des activités et des initiatives afin de favoriser et de perfectionner des méthodologies de recherche et d’instaurer une collaboration systématique entre les pays occidentaux, pour améliorer nos connaissances et élaborer des solutions concrètes dans le domaine de la gouvernance de la société multiculturelle et face au système politique des pays islamiques, spécialement dans l’aire euro-méditerranéenne.

Une vision d’ensemble sur les grands problèmes et paradoxes que notre société est contrainte de subir en raison d’une politique immigrationniste mise en oeuvre par l’empire du mal, qui cherche à répandre une idéologie tyrannique et arrogante, intolérante et criminelle,  engagée sur tous les fronts,  afin de manipuler les idiots utiles et les convaincre que cette immigration est éthiquement et culturellement positive et avantageuse également d’un point de vue économique  pour l’Europe (colonisation), s’impose. On sait pourtant que l’immigration (invasion) d’un nombre élevé de personnes extra-communautaires, en majorité musulmanes, va altérer de façon permanente la nature même de notre société et la culture européenne (colonisation).

Dans ce Congrès, interviendront des intellectuels, des écrivains, des journalistes, des activistes et des politiciens de toute l’Europe, du Canada, d’Israël et des Etats-Unis. Ils partageront leurs idées sur les provocations du monde islamique sur le monde occidental. C’est un défi qui concerne le futur de notre Pays, de l’Europe et de l’Occident, mais qui concerne aussi et surtout notre avenir, celui de nos enfants et notre Identité.

Le Forum se propose d’offrir des points de réflexions aux médias, aux policy makers, aux institutions et, surtout, à la société civile, afin de leur montrer la réalité du mal-être diffus et insoutenable des citoyens italiens, européens et occidentaux en raison de l’incompatibilité désormais criante, de notre société avec l’islam et l’immigration clandestine.

Ce Forum sur l’islamisation et l’immigration clandestine en Italie et en Europe est un évènement  dont l’idée a été initiée par le quotidien en ligne http://www.imolaoggi.it/  et qui est organisé par l’association « Una Via Per Oriana Fallaci », en collaboration avec « thankyouoriana.it ».

Pour toute information, contacter :

Una Via Per Oriana Fallaci (0039) 339 870 407 1

Soit: [email protected]

Soit : [email protected]

Une conférence de presse européenne historique : ensemble pour désislamiser nos pays

Ci-dessus, de gauche à droite : Pierre Renversez (Belgique), Mélanie Dittmer (Allemagne), Christine Tasin (France), Pierre Cassen (France), Renaud Camus (France), Armando Manocchia (Italie), Jean-Luc Addor (Suisse).

 

Nous étions tristes pour tous nos amis qui attendaient fébrilement le 18 janvier afin d’avoir enfin d’autres discours que ceux véhiculés sur les ondes par l’islamiquement correct depuis 10 jours mais nous sommes heureux de dire que la conférence de presse qui s’est tenue à la place a été un franc succès et qu’elle demeurera un témoignage essentiel des analyses et propositions des différents intervenants à propos de la crise, gravissime, que nous traversons.

Vous en trouverez à partir de mardi 20 les images intégrales via les videos que nous avons tournées, sur les sites de Résistance républicaine et Riposte laïque.

En attendant, nous tenions à redonner un peu de baume au cœur à tous  les militants de la cause anti-islam. En effet, la salle où nous tenions la conférence de presse était comble, avec au moins une quinzaine de journalistes, photographes ou équipes de télé, françaises, comme Présent, TV libertés, France 4, Radio France, Le Monde… et étrangères, venues qui d’Allemagne, qui d’Italie, qui d’Angleterre, sans parler de journalistes américains. Un grand absent, l’AFP, qui voulait savoir au téléphone quelles révélations nous allions faire mais n’a pas cru bon devoir participer…

Chacun des intervenants présents à la tribune a présenté son combat, les limites de la liberté d’expression dans son pays et expliqué comment il voyait la suite de la lutte, dans une idée d’indispensable coopération européenne entre les différents mouvements de Résistance. La tribune en a constitué une belle ébauche avec Renaud Camus, le théoricien du Grand remplacement, Pierre Renversez qui vient de lancer le mouvement Pegida en Belgique, Jean-Luc Addor qui appelle de ses vœux un rapprochement entre son parti, l’UDC et Pegida suisse qui vient de se créer, Mélanie Dimmler, responsable Pegida à Cologne et Düsseldorf qui a annoncé qu’elle continuait la lutte malgré l’annonce des responsables de Pegida à Dresde d’annuler la manifestation de ce soir, Armando Manocchia prêt lui aussi à lancer en Italie un mouvement populaire du même genre, Pierre Cassen et moi-même qui avons insisté sur l’indispensable liaison de tous les mouvements, partis et associations opposés à l’islamisation de la France pour mener des actions régulières, informer nos compatriotes et Résister, pas à pas, au rouleau compresseur qui voudrait nous faire disparaître.

melanie-dittmerCi-dessus : Mélanie Dittmer et Christine Tasin

Après les interventions de nos invités, les journalistes multiplièrent les questions, donc certaines étaient de toute évidence des chausse-trappes dans lesquelles aucun des orateurs n’est tombé,  parce que les choses sont simples, les solutions sont simples et que si nous avons tous la haine de l’islam, aucun de nous n’a la haine des hommes. Avec calme, mais surtout beaucoup de pédagogie, les orateurs élaborèrent un véritable programme de désislamisation de nos pays, multipliant des arguments qu’on n’entend nulle part ailleurs. On comprend mieux, quand on les a entendus, et qu’on sait que leurs propos sont majoritaires dans l’opinion, la panique qui atteint tous les gouvernements européens, et le rouleau compresseur politico-médiatique qui se met en branle.

C’est en effet un véritable rouleau compresseur qui s’avance face à nous, partout, à Paris où, parce que nous sommes anti-islam on voudrait nous interdire la liberté de manifester. Nous y reviendrons là aussi demain avec une analyse des arrêtés d’interdiction et des référés. Partout, à Bruxelles, et même en Suisse, où,  malgré un modèle unique, la démocratie recule aussi peu à peu comme nous l’a expliqué Jean-Luc Addor, et même en Allemagne malgré les apparences.

En effet, Melanie Dittmer nous a confirmé que Pegida Dresde a annoncé qu’en raison de menaces de l’EI contre un des organisateurs de leur mouvement ils renonçaient à la manifestation de ce soir.

Fort heureusement, notre invitée d’honneur, Mélanie Dimmler, n’est pas de ceux qui renoncent et grâce à elle et ses pairs, le peuple allemand va continuer de descendre dans la rue, n’en doutons pas.  Et les Italiens, les Suisses, les Espagnols, les Français vont eux aussi apprendre à faire trembler tous ceux qui veulent restaurer le délit de blasphème et, avec, nous imposer la charia.

Nous avions donné un rendez-vous à des adhérents de Résistance républicaine et des lecteurs de Riposte laïque  dans un café proche de la Bourse, et nous avons eu  la surprise, après une conférence de deux heures trente, suivie de nombreuses interviews, de retrouver près d’une centaine d’entre eux, ce qui a permis des retrouvailles pleines d’émotion et d’amitié.

Finalement, je me demande si je ne vais pas remercier Boucault de son interdiction, car je me demande si nous aurions eu autant de journalistes, si notre rassemblement avait été maintenu  !

Christine Tasin

Les parents d’élèves turcs contre l’islamisation forcée des écoles

Manifestation de parents d'élèves à Istanbul, le 15 septembre.

Extraits :

"Votre enfant enregistre des résultats scolaires insuffisants à la sortie du collège ? Il a de forte chance d’être placé dans une école religieuse islamique pour la suite de sa scolarité. C’est une des nouvelles mesures appliquées en cette rentrée dans le système éducatif turc. Furieux de voir leurs enfants contraints de suivre une éducation religieuse contraire à leurs valeurs, des familles se mobilisent. 

Depuis une réforme de 2012, le système turc est divisé en trois cycles de quatre ans. En 2014, une nouvelle loi est entrée en vigueur. Pour passer du deuxième au troisième cycle, les élèves doivent se présenter à un examen. Ils peuvent choisir ensuite leur lycée en fonction de leurs notes. "Ceux qui ont les meilleurs résultats feront le choix d’un lycée technique ou normal parmi les plus côtés. Mais en dessous d’un certain nombre de points, les élèves sont désormais directement envoyés dans une école, selon une décision de l’État. Or, nous réalisons que c’est systématiquement dans des écoles de l’imam Hatip, bien que ce ne soit pas inscrit clairement dans la loi", s’insurge Yasemin Zeytinoglu, avocate et membre de l’association de parents d’élèves Okuluma Dokumna.  

Destinés à l’origine à former les imams d’État, les écoles de l’imam Hatip sont des lycées religieux qui accueillent aujourd’hui tout élève qui souhaite suivre un enseignement en grande partie axé sur l’islam sunnite. S’il est majoritaire en Turquie, le sunnisme n’est pas partagé par l’ensemble de la population. Sur les 1,2 million d’élèves qui ont passé leur examen en juin dernier, 40 000 auraient ainsi été inscrits d’office dans ces écoles religieuses. Or, pour certain d’entre eux, cette affectation n’est pas acceptable. Lire la suite sur France 24

Via islamisation.fr

Notre responsabilité devant l’islamisation de l’Occident

meylan-françoisPar François Meylan

Nous avons oublié notre responsabilité politique devant l’islamisation progressive et sournoise de nos démocraties. En premier lieu, nous avons pour mission de veiller à ce que les individus qui naissent sous nos contrées ou qui y trouvent accueil soient au bénéfice – sans compromis aucun – des libertés fondamentales inscrites dans nos constitutions

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Comment l’Etat Islamique entraine des enfants-djihadistes

http://youtu.be/9iHa-hueADg

Dans un reportage exclusif de Vice, des enfants de moins de 10 ans expliquent ce qui les motive à poursuivre le djihad au sein de l'Etat Islamique.

Medyan Dairieh, journaliste pour le magazine américain Vice News, est allé, en exclusivité mondiale, à la rencontre des insurgés. Le site a commencé à mettre en ligne les premiers reportages réalisés au cœur de l'organisation, montrant notamment l'endoctrinement d'enfants d'une dizaine d'années à peine (ci-dessus), et l'établissement du «Califat» (ci-dessous).

http://youtu.be/bsCZzpmbEcs

Source

Australie : non au multiculturalisme et à l’islamisation

Australie : des patriotes disent non au multiculturalisme et à l’islamisation de leur pays

Comme en France et en Europe, l’Australie subit une islamisation rampante avec l’immigration musulmane provenant du Moyen-Orient et d’Asie. La société civile australienne est peu à peu envahie par le halal, le ramadan, les mosquées et les centres islamiques dans certaines banlieues des grandes villes comme Melbourne (voir ici et ici).

Suite et vidéo

 

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La pieuvre verte a déclaré la guerre à l’Occident

 

L'impression générale est que l'islam est partout. Nous voyons les mosquées pousser comme des champignons vénéneux, les musulmans défiler dans les rues avec des drapeaux étrangers à dominante verte, insulter les Juifs et agresser les synagogues, dernièrement celle de la rue de la Roquette à Paris, menacer les Français en représailles d'une lointaine colonisation que ni les uns ni  les autres n'ont pour la plupart vécue, commettre des attentats partout dans le monde et être la cause et les acteurs de la plupart des guerres.

Auteur : Maurice D.

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Danemark : les politiques évitent l’inauguration de la mosquée

La plus grande mosquée du Danemark vient d'ouvrir ses portes à Copenhague. Peu de personnalités seront présentes à l'inauguration.

Bien que la famille royale, les ministres du gouvernement et des députés aient été invités, seul le maire de la ville a accepté de participer à la cérémonie d'ouverture. Le porte-parole du "Conseil musulman danois" déplore ce fait et déclare que "cela rendra l'intégration plus difficile".

La mosquée a été financée à hauteur de 150 millions de couronnes par le Qatar.

Copenhaguen Post (en anglais)

La crise de la charcuterie française est liée à l’islamisation

Les industriels de la charcuterie ont connu en 2013 une année noire, avec 1.100 emplois supprimés et une production en repli pour la première fois depuis trois ans

"Nous connaissons vraiment un coup de frein, c'est la pire crise de notre histoire. Le bannissement de la charcuterie en restauration collective pour des raisons confessionnelles ces trois / quatre dernières années pèse, et on n'arrive pas à redresser la barre"

L'indépendant

Danemark : boulangerie vandalisée après une remarque “islamophobe”

Au Danemark, à Nørrebro (banlieue de Copenhague), une boulangerie a été vandalisée et un employé agressé à la suite d'une remarque jugée désobligeante par une femme voilée.

Louiza Friis Kadach a estimé qu'elle avait été accueillie par une "attitude dédaigneuse" et n'a pas apprécié la remarque du propriétaire sur le voile qu'elle portait. Peu après, la vitrine du magasin a été défoncée, et un employé de la boulangerie a été violemment agressé par deux hommes.

Le propriétaire a dit "regretter sa remarque et n'avoir rien contre les musulmans". Il a reconnu "avoir des difficultés avec les symboles religieux" et avoir été gêné par le voile de la cliente. Après avoir reçu une avalanche d'insultes et de menaces, il a dû fermer sa page Facebook. Il dit ajourd'hui craindre pour sa vie.

L'événement a entrainé une vive réaction de Pia Kjærsgaard, présidente du parti Parti populaire danois (lire ici en danois). Elle y réaffirme vigoureusement son droit à critiquer l'islam.

Source : en danois ici et ici. Traduction : Les Observateurs