« L’Occident a intérêt à partager sa puissance avec Pékin », selon le diplomate Kishore Mahbubani (12:31)

"Le Jour où la Chine va gagner" : tel est le titre du dernier livre du diplomate et philosophe Kishore Mahbubani, dont le propos "nous perturbe autant qu’il nous stimule", comme le résume l’ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine dans une préface.
Notre invité prend en effet à contre-pied l’approche confrontationnelle que l'Occident – et en particulier les États-Unis – entretient vis-vis de la Chine.
Kishore Mahbubani prône lui la coopération avec Pékin : le "dialogue" serait selon lui l'unique moyen d’"obtenir des résultats" avec cette puissance émergente.

Les Frères musulmans vers le califat mondial – L’analyse d’Alexandre del Valle

Alexandre Del Valle 22 déc. 2019
Alexandre del Valle était l'invité de TV Libertés dans le cadre de la promotion de son ouvrage Le Projet co-écrit avec Emmanuel Razavi.

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Alexandre del Valle sur le même sujet:

Quand les islamistes pro-nazis anti-juifs s'allient aux "antifascistes" pour dénoncer les "islamophobes" occidentaux

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Suisse : 43% des jeunes musulmans sont contre l’Occident

Une enquête menée en Suisse sur plus de 8 000 jeunes entre 17 et 18 ans témoigne d’une cassure parmi les adolescents et d’une « radicalisation » dans leur sphère. L’intégration des musulmans est au point mort.

Selon cette étude réalisée par l’Institut pour les problèmes de délinquance et prévention de la criminalité de l’École universitaire professionnelle de Zurich de Sciences appliquées (Zhaw) en collaboration avec la Haute École de travail social de Fribourg (Hets-Fr), 43% des 17-18 ans musulmans qui vivent en Suisse ont une perception négative de la société occidentale, avec presque 30 % d’entre eux hostiles aux musulmans « non-traditionels ». De l’autre côté 45 % de leurs camarades se définissent ou xénophobes ou nationalistes. Presque la moitié des jeunes se déclarent hostiles au capitalisme et 21,7 % sont contre l’État et les forces de l’ordre.

Dans la population musulmane, 2,7 % des jeunes peuvent être considérés « extrémistes » : ils refusent la culture occidentale, et 5,4 % ont envisagé la réalisation d’attentats terroristes ou un voyage djihadiste sur un des théâtres de guerres de Daesh ou de Al Qaida.

Du côté des jeunes Suisses de souche, 5,9 % sont catalogués selon le langage correct ‘d’extrême-droite’, 25,1 % se disent xénophobes, 21,1 % nationalistes, et 4,8 % retiennent juste la violence contre les étrangers, tandis que 5,4 % promeuvent l’idée d’une dictature. 7 % de tous les interrogés ont les caractéristiques des partisans de l’extrême-gauche avec 8,1 % favorables à la violence contre les forces de l’ordre.

En substance, les jeunes musulmans ne s’intègrent pas. Quant à la jeunesse suisse, elle est en rébellion dans son ensemble face au système capitaliste et immigrationniste actuel. Ni les uns ni les autres ne croient plus vraiment aux sirènes lancinantes du « vivre-ensemble ».

Source

Suisse. Zidane Meriboute : « l’extrême droite est responsable des tensions entre l’islam et l’Occident. »

Christian Hofer : L'islam discrimine de manière claire les chrétiens et les juifs, même dans ses prières. Encore une fois, l'autochtone non musulman est prié de se faire éduquer par un musulman qui va militer exclusivement pour sa communauté, avec l'aide de nos médias.

Combien de manifestations y a-t-il eu de la part des musulmans en soutien aux chrétiens d'Orient génocidés par des musulmans? Qui a soutenu l'Etat islamique en Irak? Qui est responsable du génocide arménien? Qui se trouvait aux côtés des nazis pendant la seconde guerre mondiale?

Mais on comprend bien le but de la manœuvre: victimiser les musulmans, leur offrir une place de choix dans nos sociétés et ainsi profiter de leur position pour favoriser les leurs (alors que la discrimination est explicite à l'égard des minorités dans leurs pays), prétendre que les attentats n'ont rien à voir avec l'islam et accuser l'UDC de tous les maux.

Pour ceux qui veulent vraiment savoir ce qu'est l'islam, l'histoire nous l'a appris plus d'une fois:

Liban: « L’immigration musulmane a détruit un pays chrétien prospère et tolérant »

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Des malentendus dangereux se développent entre l’Europe et ses minorités musulmanes. Au risque d’aboutir à une confrontation, selon le spécialiste genevois (sic!) Zidane Meriboute.

Selon vous, les discriminations à l’égard de ces communautés n’ont jamais été aussi vives qu’aujourd’hui. Comment l’expliquez-vous?

Des groupes politiques d’extrême droite surinvestissent sur l’islam et la confrontation, au détriment du dialogue. Ce qui provoque une méfiance et une stigmatisation de l’ensemble des musulmans, à cause des agissements de 0,1% d’entre eux qui appartiennent à des sectes terroristes.

Source et article complet

Nos remerciements à  Λlex Λ

Baisse inquiétante du QI en Occident, selon plusieurs études

Christian Hofer: A noter que ces "spécialistes" n'ont bien entendu pas évoqué une autre piste puisqu'elle pointe du doigt le problème de l'immigration et son potentiel intellectuel.

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C'est un phénomène inquiétant. Depuis un siècle, notre quotient intellectuel avait tendance à toujours s’élever dans nos sociétés au fil des générations. Mais voici que plusieurs études récemment réalisées montrent un recul généralisé du QI moyen en Occident. Certains mettent en cause les pollutions chimiques, d'autres, notrve monde hyper connecté. Mais ces problèmes sont présents aussi en Asie et n'empêchent pas là-bas le QI moyen de progresser.

Notre enquête commence à la Faculté de psychologie de l'ULB. Laurence y réalise ce qu'on appelle un test de QI. Ces tests évaluent notre logique, notre raisonnement, notre rapidité d'action. En gros, nos facultés intellectuelles. Elles ne tiennent pas compte de notre socialisation ou encore de notre intelligence émotionnelle.

"Cerveaux Google"

Depuis la fin de la guerre jusque récemment, les tests de QI montraient que notre cerveau évoluait plutôt bien. Mais au tournant des années 2000, plusieurs études attestent un recul généralisé du QI moyen en Occident. Certains incriminent notre monde hyper connecté. Pour Axel Cleeremans, responsable du centre de recherche cognitive à l’ULB, ces technologies que sont internet et les iPhones ont pris une telle place dans notre environnement que notre mémoire s’externalise.

Nous avons fait un test sur un campus universitaire. Tous les étudiants interrogés étaient bien en peine de nous citer un seul numéro de GSM de leurs proches. Tout est dans leur smartphone. Lorsque nous leur demandons à quoi correspond la date de 1515, ils s’empressent de faire une recherche sur Google pour nous répondre enfin: "Bataille de Marignan ".

Sommes-nous devenus paresseux? Pour Emmanuel De Becker, chef du service pédiatrie infanto-juvénile à l’hôpital universitaire Saint-Luc, nous sollicitons simplement d'autres zones de notre cerveau. Le fait d’être devant un écran stimule certaines zones cérébrales et pas d’autres.

En fait, la "génération Google" a tellement intégré les nouvelles technologies que son cerveau s'est transformé. Son hippocampe, la zone de la mémoire s'est atrophiée alors que les lobes préfrontaux- les zones de la synthèse se sont développés.

Pour Emmanuel De Becker, les tests de QI devraient prendre en compte désormais ces transformations de notre environnement et mieux intégrer les nouvelles technologies. Mais comment expliquer, dans ce cas, les performances étonnantes réalisées en Asie alors qu'eux aussi sont hyper-connectés. A Hong Kong et Singapour, le QI moyen est de 108, la Corée du Sud 106. Le premier pays européen à se hisser à la 5ème place, c'est l'Italie avec 102.

Pour Laurent Alexandre, prospectiviste également à la tête d’une entreprise de haute technologie : "Les petits Singapouriens nous dépassent dans tous les domaines. Ce n’est pas qu’ils nous dépassent, ils nous écrasent. Probablement avons-nous renoncé à notre leadership technologique, éducatif et scientifique tel que nous l’avions il y a encore 50 ans. A l’inverse, en Asie, des sommes considérables sont investies dans l’enseignement. "

Améliorer notre enseignement, c'est ce que prône ce spécialiste convaincu que c'est la manière d'intégrer le monde de demain. Un monde où nos jeunes devront rivaliser avec l'intelligence artificielle.

Source

L’islam, un semblant de religion marqué par le djihadisme et que les ingérences de l’Occident contribuent à radicaliser

Par Mahin Nezam.

Les six croyances fondamentales de l’islam, copiées-collées du judaïsme, sont: croire en Allah, aux anges, aux écritures « sacro-saintes » de l’islam-idéologie, aux apôtres, au jour du jugement et à la prédestination. Ces six croyances existent parce que, un jour au VII ème siècle, à une certaine heure et dans un certain endroit, Mahomet le messager d’Allah aurait affirmé que ces six croyances étaient fondamentales, ce qui a été reporté, par la suite, dans un des très très nombreux « hadith » ou dires de Mahomet.

Depuis cette époque lointaine, le seul choix « religieux » offert aux jeunes hommes musulmans qui ne sont pas fortunés est soumission à l’islam-idéologie et révolte ou razzias contre les non-musulmans, tout particulièrement contre tout envahisseur du monde musulman; ce qui empêche toute évolution et intégration équilibrées et sereines, tout humanisme, toute réforme, tout débat et toute avancée. Comme Albert Einstein avait raison de dire que « La vie c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre. »

Les cinq piliers ritualistes musulmans pour éviter d'aller en enfer et s'ouvrir les portes du paradis ou « djina », rites dont tout musulman estime sacrilège de questionner le sens, sont rappelés ci-après; il s’agit plutôt de bonnes manières musulmanes pratiquées généralement par tous les musulmans, que de pratiques religieuses.

Réciter les prières, ou plutôt les suppliques prescrites, en nombre prescrit, cela aux moments prescrits et dès la petite enfance, sous peine de châtiment corporel. Mahomet aurait ordonné « enseignez à vos enfants à prier dès l’âge de 7 ans et battez-les si à 10 ans ils ne prient pas ». Les fréquentes prières quotidiennes que Mahomet et ses successeurs exigeaient transformèrent la foi des musulmans en mode de vie. Mahomet et surtout les premiers califes insistèrent à associer le pouvoir politique au pouvoir « religieux » pour enlever à leur expansionnisme guerrier son caractère impérialiste et pour faire de l’islam-idéologie une obligation sacrée de tous. Dès l’époque de Mahomet, le musulman fait le « djihad » qui est une obligation imposant aux musulmans la propagation de leur foi par la résistance et la lutte, soit « par son cœur, par sa langue, par ses mains ou par l’épée ». Comme le rappelle Sami A. Aldeeb Abu-Sahlieh dans son ouvrage « La fatiha et la culture de la haine. Interprétation du 7e verset à travers les siècles »: « en droit musulman, celui qui nie l’obligation de prier est considéré comme apostat et passible de la peine de mort. Et celui qui ne prie pas par paresse est considéré comme un pécheur, et doit être contraint de prier. Puis, s’il refuse, il peut être mis à mort ».  De plus, toujours selon le droit musulman, les cinq prières quotidiennes que doit réciter tout musulman ne sont valides que si la « fatiha » y est récitée. La « fatiha » est la sourate d'ouverture du coran qui comprend sept versets, dont les 6e et 7e versets comportent l’invocation haineuse suivante: «Dirige-nous vers le chemin droit. Le chemin de ceux que tu as gratifiés, contre lesquels (tu n’es) pas en colère et qui ne sont pas égarés », les gens contre lesquels Allah est en colère étant les juifs, et les gens égarés étant les chrétiens. Comme le confirme l’étude de Sami A. Aldeeb Abu-Sahlieh, ces versets priés tels qu’ils sont « compris par la quasi-totalité des exégètes musulmans, y compris Mahomet, sèment la haine ... »

Ces versets sont « loin de constituer la seule composante discriminante de la prière musulmane. On n’a à cet égard qu’à écouter les prêches du vendredi, qui comportent souvent des invocations demandant à dieu de détruire les mécréants, de rendre veuves leurs femmes, et orphelins leurs enfants, et de les frapper par des maladies incurables. De tels prêches sont entendus et diffusés non seulement dans les pays arabes et musulmans, mais parfois aussi dans les lieux de culte des pays occidentaux ». Pour tout bon musulman le minimum obligatoire est de 17 récitations de cette «fatiha» haineuse par jour. La tradition veut que les musulmans sachent, en arabe classique, au moins une sourate par cœur. Comme la « fatiha » est courte et indispensable pour la prière (« salat »), elle est en général apprise par coeur dès l'enfance dans les écoles coraniques (« madrasas ») et dans le milieu familial. Elle est récitée au début de chaque unité (« rak’ah ») de prière; en fin de prière est ajouté le terme « amin » (amen).

Charité, mais pour les musulmans exclusivement, et pas pour accueillir des réfugiés syriens musulmans, à proximité en Arabie Saoudite et au Quatar. La charité est une arme de combat bien commode, dès lors qu’on l’emploie à sens unique. On se demande pourquoi le chrétien (?), récemment marié à une Druze, George Clonney donnerait au Darfour ses revenus publicitaires de Nestlé. L’objectif de l’aumône légale est de permettre de développer les activités caritatives avec lesquelles les musulmans riches contrôlent les populations musulmanes pauvres et déshéritées, avant tout en finançant le prosélytisme et le «jihad». Le pape Francois, adepte de la théologie de la libération et leader lui d’une religion authentique, que des musulmans menacent d’assassiner alors qu’il leur a apporté son soutien, a mis en garde les chrétiens contre ce travers malfaisant de tout don.

Pèlerinage ou « hadj » à la Mecque ou « Mekke » en Arabie Saoudite.

Actions accomplies conformément à des règles traditionnelles et faisant partie d'un cérémonial comme par exemple le jeûne du « ramadan ».

Et surtout, déclarer Mahomet comme le seul et unique messager de Allah le seul dieu de tout l’univers.

Ces rituels musulmans sont fondés sur les modèles juifs; prière rituelle, jeûne, abattage rituel, forme de la « shahada » ou profession de foi, étaient pratiqués par les juifs, cela bien des siècles avant la naissance de Mahomet. Pas étonnant puisque, avant d’être messager de Allah et de l’islam, Mahomet fut un propagandiste judéo-nazaréen.

Pèlerinage ou «hadj», aumône légale ou «zakat» et quelques autres actions traditionnelles contraignantes, tels que fêtes musulmanes, «ramadan», jeûne, «halal», ont tous comme objectifs de faire peser sur la société musulmane une chape dominatrice infaillible de communautarisme et d’entrisme, (stratégie d’organisation et arme favorite des musulmans dit modérés), communautarisme et entrisme qui ont pour but de renforcer le pouvoir de contrôle et de coercition du groupe sur l’individu et d’empêcher la société d’évoluer, tout comme dans la chrétienté de l’inquisition. Ces traditions contraignantes de l’islam enseignent à l’homme « le droit chemin », ainsi qu’il est écrit dans la première sourate du coran, c’est-à-dire les bonnes manières musulmanes.

A ces cinq rituels, il ne faut pas oublier d’y inclure le devoir de prosélytisme et de « jihad » ou guerre « sainte » musulmane qui est l’acte de dévotion suprême et qui a comme objectif d’écraser les mécréants et de reconquérir le monde que selon l’islam-idéologie, Allah avait créé, à l’origine, entièrement musulman. « Ils aimeraient vous voir mécréants, comme ils ont mécru : alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez » (coran, sourate 8, verset 65). "Celui qui quitte la religion de l’islam, tuez-le."(Hadith Bukhari, volume 9, livre 84, numéro 57). Pour Allah, les associateurs sont « les pires » de toute la création tandis que les musulmans, eux, sont « les meilleurs de toute la création ».

Tant que ce n’est pas par la guerre dont des actes terroristes et en détruisant notre civilisation occidentale et nos démocraties, il n'y a rien de condamnable à ce que l’islam et l’impérialisme des USA désirent prendre la première place dans le monde. C’est une aspiration que l’on peut comprendre. Les Chinois, qui eurent un passé glorieux, désirent, eux aussi, reprendre cette position qui fut la leur. Mais les Chinois n’ont pas choisi la voie de la destruction de la civilisation occidentale; ils imitent notre civilisation, nos progrès et nos valeurs, avec l'intention de parvenir à nous surpasser. Avec une vision à long terme, les Chinois se tournent vers l’avenir alors que les musulmans ne parviennent pas à surmonter leur passé et font au monde une guerre asymétrique, idéologique, archaïque et barbare, pendant que les Américains et les Français font des guerres illégales ou fondées sur leurs mensonges. C’est très dangereux.

Différentes prescriptions impératives du coran font clairement obligation à tout musulman de pratiquer le «jihad». Cette obligation ne souffre d’aucune dérogation. Dans son Petit livre vert, l’Ayatollah Khomeini affirme haut et fort: « La guerre sainte signifie la conquête des territoires non-musulmans ». Se battre et se faire tuer pour l’islam-idéologie est, depuis le VII ème siècle, un point fondamental et considéré comme incontestable de l’islam-idéologie. Pourquoi les musulmans crient-ils à la nécessité du sacrifice et à la fatalité de l’hécatombe? L’islam-idéologie promet aux jihadistes leur part du butin et à ceux qui meurent au combat, des récompenses éternelles au paradis. Lors de ses raids et razzias, Mahomet avait droit au cinquième du butin qu’il partageait avec Allah, affirmait-il. Admirable répartition pour que tous les autres, même si ils étaient très nombreux ne se plaignent pas de ne se répartir que quatre cinquièmes.

Au XXI ème siècle, la guerre consiste en des rapports conflictuels qui se règlent par une lutte armée, en vue de défendre un territoire, un droit ou de les conquérir, ou encore de faire triompher une idée. Le droit international humanitaire classe les conflits armés en deux catégories:

1. Le conflit armé international qui se caractérise par des opérations de guerre entre deux ou plusieurs États souverains.

2. Le conflit armé non international qui survient lorsque des groupes opposés s'affrontent à l'intérieur du territoire d'un même pays.

Il y a toujours situation de guerre quand les agresseurs entreprennent des actions afin d’imposer aux agressés un système politique, un système de gouvernement, une invasion, une religion, une idéologie, une loi fondamentale, en totale contradiction avec leur volonté et leurs valeurs. Normalement, mais plus en UE et aux USA, en réaction et légitimement, les agressés font que leur armée et leurs citoyens s’opposent aux agresseurs et évidemment ils ne les accueillent pas chez eux.

Une guerre asymétrique est une guerre qui oppose la force armée d'un État à des combattants matériellement « insignifiants », dont les stratégies se servent des points faibles de l’adversaire et utilisent des armes et des tactiques non-
conventionnelles pour parvenir à un but souvent ethnique, politique ou idéo-
religieux. Les guerres asymétriques englobent notamment terrorisme, guérilla et razzia et se distinguent des guerres conventionnelles classiques entre États.

Traditionnellement, une guerre est un état de droit avec ses lois, un espace et un temps bien définis et des belligérants identifiés; dans ce cadre, une guerre asymétrique est celle du faible au fort. L’attaquant et l’attaqué possèdent des ressources militaires plus ou moins de même nature, mais dont les puissances et les capacités belliqueuses et financières sont inégales et, surtout, dont les stratégies sont fort différentes.

Une guérilla urbaine est une guerre asymétrique qui consiste en actions entreprises par des groupes violents constitués sur des bases ethniques, idéo-religieuses ou mafieuses. Elle consiste en des incendies de véhicules, de commerces, de cages d’escaliers, d’édifices publiques, d’agressions répétées à l’égard de résidents de la zone urbaine, de caillassages, d’attaque des transports en commun, d’embuscades tendues aux services de polices, de pompiers et de secours, de razzias dans les supermarchés et les centres commerciaux, etc, et d’actes terroristes.

Le jihadisme musulman est une guerre asymétrique, totale, multiforme, de type révolutionnaire, irrégulière, de guérilla et subversive qui utilise tant des armes dites par nature (fusils, canons, armes chimiques, biologiques et atomique, etc,) que les armes dites par destination, c’est-à-dire tout objet ou technique qui peut servir à blesser quelqu’un ou à détruire quelque chose, même si ce n’est pas son usage premier ou principal (sciences humaines, guerre psychologique, manipulation, persuasion, contrainte, chantage, technologies de l’information et de la communication, stratégie indirecte, affreuses mutilations et tortures comme celles de victimes du Bataclan en 2015, etc). Cette guerre de type asymétrique est une confrontation entre une ou des armées régulières d’Etats et des groupes armés pour lesquels les lois de la guerre et les conventions de la Croix-Rouge n’ont ni sens, ni valeur et que ces groupes armés ne respectent évidemment pas. Guerres irrégulières et de guérilla, donc « jihad", sont toujours intensément politiques et idéologiques. L’objectif de toute stratégie de guerre asymétrique, comme par exemple celle des talibans (étudiants sunnites en religion) ou de DAESH (état islamique), est de durer plus longtemps que les forces qui s’y opposent, de ne jamais faire la paix et d’avoir toujours l’intention de vaincre.

Pour les wahhabistes, la stratégie du «jihad» consiste habituellement en une islamisation ou une re-islamisation par la force et la violence alors que pour les frères musulmans, la stratégie consiste d’abord en une infiltration des états et des nations afin d’assurer à la fraternité musulmane une prise de pouvoir plus ou moins en douceur, en infiltrant des agents de subversion et des terroristes. Les chiites iraniens, qui ne sont pas des arabes mais des perses, ne sont pas des djihadistes envahisseurs mais réagissent premièrement par des déclarations puis ensuite par des actes aux agressions de l’Occident en particulier celles des USA.

Quelque soit l’orientation des diverses stratégies du «jihad» l’objectif est toujours, comme au VII ème siècle, la vengeance, l’envahissement, la mise sous contrôle des citoyens occidentaux, la neutralisation des opposants à la fraternité musulmane et à son islam-idéologie, l’établissement d’une complicité du silence, par exemple avec des assassinats spectaculaires de braves gens musulmans ou non-musulmans, la menace d’attentats ou d’attaques avec par exemple des armes bactériologiques ou atomiques, le contrôle psychologique des citoyens occidentaux et des musulmans accueillis en Occident en les manipulant et en les intoxiquant, la mobilisation de tous les musulmans vivants en Occident et la démobilisation des citoyens des pays occidentaux. A cela il faut ajouter les déclarations de dirigeants occidentaux déconnectés des réalités et des aspirations des peuples européens et/ou islamo-collabos, peuples qu’ils ne consultent même pas, tout cela pour que, premièrement, le pouvoir islamique s’oppose aux ingérences et aux agressions guerrières illégales de l’Occident et, secondairement, pour qu’il s’implante en Occident et que les musulmans augmentent leur emprise sur l’Occident.

Winston Churchill l’avait bien déclaré en 1938, à Londres, à la Chambre des communes, au Premier Ministre alors en exercice Neville Chamberlain et en impliquant aussi le français Daladier, à propos des Accords de Munich: «Vous avez eu à choisir entre la guerre et le déshonneur. Vous avez choisi le séshonneur. Et vous aurez la guerre tout de même. » (The Official Report, House of Commons (5th Series), Hansard, 13 May 1940, vol. 360, c. 1502). Comme Chamberlain, Daladier, Pétain et d’autres face au nazisme, nombre des élus européens actuels, confrontés à l’islam-idéologie sont ambigus; ils sont incapables de dire, clairement et fermement aux musulmans que, à l’exemple de l’Arabie Saoudite, on ne veut pas qu’ils s’ingèrent chez nous (principe de réciprocité). Pour ne pas offenser les musulmans, ils croient sauver la paix en reculant devant leurs exigences et leurs attaques, quand ce n’est pas en les décorant de la légion d’honneur ou en nommant l’Arabie Saoudite à la présidence du comité des droits de l’homme de l’ONU, etc.

Alors que, pour un Occidental au XXI ème siècle, la guerre asymétrique et la violence n’ont rien à faire dans une religion, l’islam compte classiquement cinq types de « djihad » : par le cœur, par la langue, par la main, par le sexe et par l'épée. Le djihad par le cœur invite les musulmans à résister et à "combattre afin de s'améliorer ou d'améliorer la société". Le terme «djihad» aurait deux significations dans l’islam, la première: guerre «sainte» et résistante; la deuxième guère différente: dépassement de soi, soit une qualité qu’un guerrier kamikaze musulman se doit de posséder. Ces dernières définitions du terme « jihad» sont les définitions politiquement correctes francophones. En réalité, selon le coran «jihad» signifie toujours combat et résistance, combat qui est impérativement qualifié d’acte «religieux». «Ô Prophète, incite les croyants au combat. » (coran, sourate 4, verset 89). Le terme de «jihad» n’aurait été introduit en islam que vers l’an 1000. Le frère de Tariq Ramadan, un guide musulman de Genève disciple des frères musulmans, Hani Ramadan a prêché une troisième signification, plus acceptable pour apitoyer les calvinistes et socialistes genevois: « une aide humanitaire destinée à soulager les souffrances des victimes palestiniennes », aide humanitaire qui est, avant toute chose, transformée en effort de guerre contre les peuples du livre, c’est évident.

Beaucoup de citoyens occidentaux ne perçoivent pas cette guerre «sainte» qui leur est faite, en particulier parce que tant la «taqiya» musulmane que les «useful idiots» les manipulent et les trompent. Quand à la majorité des élus, par manque d’imagination, de culture historique et de clairvoyance, ils sont incapables de comprendre les barbaries de fervents musulmans et supposent que leurs discours et actes extrémistes sont des métaphores voir des arguments de négociation.

De nos jours il y a plusieurs variétés ou pratiques de la guerre sainte musulmane qu'est le «jihad».

Le «djihad» militaire ou guerrier, en particulier le terrorisme musulman qui représente toujours une déclaration de guerre à une population ou à une nation, laquelle, quoi qu’en disent les angéliques, se doit alors de se défendre. Il est impossible de trouver un terrain commun d’entente tant que des pays occidentaux comme les USA et la France multiplient leurs ingérences dans des nations étrangères, déclenchent des guerres préemptives illégales contre des pays comme la Libye ou la Syrie et que les terroristes musulmans continuent de croire qu’ils peuvent gagner. Nos gouvernants angéliques ou «buenisimos » comme le disent les Espagnols, font tous les mêmes erreurs stratégiques (ou plutôt n’ont pas de stratégies mais que des tactiques) avec les terroristes qu’ils soient musulmans, FARC, ETA, etc, mais aussi « petits » terroristes qui sévissent partout en Europe, même dans nos petites villes. Ces élus et les angéliques malfaisants, le plus souvent «useful idiots» de gauche, ont une vision candide et historique de la colonisation musulmane et de la lutte des classes et interprètent le terrorisme musulman pas comme une guerre déclarée mais comme une rébellion de pauvres peuples ignorants soumis dans la pauvreté et blessés par la colonisation européenne passée et par la confrontation entre leur triste réalité et le monde des riches en particulier l’impérialisme américain. Ces élus, ces «useful idiorts» et toute la bien-pensance sont en complet décalage avec la réalité; d’une part ingérences de l’Occident en pays musulmans et d’autre part déni de réalité, minimisation et sociologisme sont leur crédo, alors que l’on sait depuis une génération qu’il y a, par exemple en France, 700 quartiers violents que l’on dénomme maintenant « sensibles » alors qu’ils sont en réalité de non-droit, ce qui est intolérable pour une nation démocratique. De plus on sait que nombre des ingérences guerrières de l’Occident sont fondées sur des mensonges. Dans ces conditions ces élus ignorent complètement les raisons, la nature et l’étendue réelle des problèmes que cause le terrorisme musulman dans le monde et n’ont pas de stratégies contre le terrorisme. D’une part, ils continuent à agresser les pays musulmans et, d’autre part, envoient aux terroristes dont les attentats sont de plus en plus meurtriers, des messages de faiblesse en faisant croire à la population que ces terroristes partagent avec eux une aspiration à faire la paix, alors même que ces terroristes n’envoient aucun vrai signal qu’ils sont disposés à abandonner les armes, bien au contraire. De plus, même si il y a des musulmans opposés au radicalisme, ces musulmans et les angéliques de tout poil fuient toutes polémiques et confrontations avec les musulmans radicaux, à cause des connotations « religieuses » que ces radicaux font valoir. En effet les radicaux leur affirment s’appuyer sur une interprétation dévote et stricte des textes musulmans « sacro-saints » ou plutôt idéologiques pour justifier le «jihad» contre l’Occident dont ils craignent et haïssent l’hégémonie. Leur guerre sainte ne permet ainsi aucun dialogue, même avec les musulmans dits modérés. Le « jihad» barbare et aveugle de califats du XXI ème siècle est comme une sorte de psychopathologie endogène; il se nourrit de lui-même de la haine; haine des juifs, des chrétiens, des athées, des femmes, de la société démocratique, de l’humanisme, des USA, de la France et de la modernité de l’Occident. Face à cette haine musulmane éprise de vengeances et de victoires, qui convertit le suicide de ses propres terroristes en martyrs «religieux», les prises de position des angéliques et leurs mass-médias contribuent à ce que la haine idéologique, ethnique et nationaliste de cette lutte armée musulmane divinise et ritualise les comportements criminels de musulmans.

Encore actuellement, ce «djihad» militaire n’est pas plus dangereux pour nos démocraties occidentales et leurs citoyens que les autres «djihad» mais il ne mobilise pas seulement des soldats mais aussi une partie des forces de police et de justice européennes contre les menaces d’attentats dans leurs propres pays et ces forces ne peuvent pas se consacrer aux autres tâches indispensables, tel le contrôle des frontières. Tout acte terroriste consiste à frapper des braves gens de la population civile afin de les couper de leur dirigeants, de les monter contre eux quand ce n’est pas de les faire voter pour un autre plus islamo-collabo. Par une action tactique, tout acte terroriste veut atteindre des objectifs stratégiques. Il n’en reste pas moins que depuis le 9 septembre 2011 les musulmans ont conduit plus de 30.000 attaques terroristes, soit environ 5 par jour; 5 par jour, cela représente des pressions fortes et répétées de la fraternité musulmane pour liquider les islamolucides. Cette liste d’attaques terroristes, signalée dans le site www.religionofpeace.com, est incomplète parce que les mass médias internationaux se gardent de citer tous les actes terroristes conduits. Il en est de même des cartes des méfaits commis par les réfugiés militants ou économiques: https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?mid=z12D0zt-V4iI.kXGfjpzjOS1Q.

Le « jihad » dit civil, en réalité une forme de guérilla urbaine, soit:

- Les intolérables violences et le vandalisme des espaces publics tels que voitures brûlées, boutiques pillées, profanation de tombes et d’églises chrétiennes, attaques de commissariats de police barricadés, plaques d'égouts de routes enlevées et vendues comme vieux fer. A noter que si il s’agit d’une mosquée, les médias parlent bien de profanation mais si il s’agit d’une église ou d’une tombe catholique, les médias parlent de dégradation, voir de vandalisme.

- Les déprédations des logements.

- La délinquance.

- Les agressions.

- Les razzias et les raids.

- Les émeutes et la guérilla urbaines.

- Les insultes.

- Les intimidations.

- Le harcèlement sexuel.

- Les viols.

- Le pouvoir islamo-mafieux des trafiquants de drogues.

- La joie de détruire, de casser, de raider, de se battre, et autres comportements asociaux.

Soit toutes ces intolérables incivilités (en novlangue) systématiques et quotidiennes qui sont de fait une guérilla urbaine permanente et des raids violents contre les autorités (services sociaux, assurance chômage, ambulances, police, pompiers, armée, lieux de cultes chrétiens, bâtiments publics, etc.) et la propriété privée. Les médias et des élus parlent pudiquement d’incidents alors que se sont des violences intolérables. De plus sans ce «jihad» civil, il y aurait beaucoup plus de places dans les prisons, beaucoup moins de bénéficiaires des diverses prestations sociales, de diverses allocations et de l’assurance chômage, des prestations considérées comme une nouvelle version des razzias du XXI ème siècle dans l’esprit de très nombreux musulmans.

Le «djihad» civil est perpétré par de nombreux musulmans qui, la plupart du temps, ne sont même pas perçus comme des musulmans par les non-musulmans des pays occidentaux. Ce «djihad» civil est encouragé par les guides religieux musulmans, les écoles coraniques, le milieu familial musulman qu’il soit radical ou dit «modéré» et le laxisme des autorités policières, juridiques, morales, religieuses et militaires. Les traditions et les textes de l’islam-idéologie contiennent tout ce qu’il faut pour inciter subtilement à l’agression anti-occidentale et anti-démocratique, sans pour autant recourir à des discours idéologiques ouvertement incendiaires ou incivils. Ainsi pour les immigrés musulmans, il est légitime de transgresser les lois d’un pays d’accueil mécréant quand c’est pour la bonne cause religieuse» musulmane.

Le «djihad» politique de victimisation, soit les revendication ininterrompues de privilèges et de concessions sans cesse plus nombreux, qui étendent l’emprise de tous les musulmans, tant territoriale que dans la société, qui augmentent de facto leur poids politique bien au-delà de ce qui découle de nos lois, de nos valeurs et vertus démocratiques et surtout de leurs apports à la société, et qui se transforment sournoisement en autant d’obligations et de restrictions imposées aux non-musulmans comme par exemple:

- Port du voile.

- Ramadan.

- Alimentation « halal », sans porc, ni boudin, etc, et préparées par des musulmans.

- Prière ou plutôt supplique dans les lieux publics, dans les entreprises et dans les établissements d’enseignements.

- Interdiction de l’alcool.

- Tribunaux islamiques.

- Finance islamique.

- Occupation autoritaire ou illégale d’espaces publiques.

- Refoulement progressif dans nos villes des non-musulmans au-delà des zones occupées, par les musulmans.

- Maîtrise de leurs quartiers par les musulmans et expulsion de la police.

- Zones de non-droit dans les villes; les médias appellent pudiquement ces zones de non droit « quartiers populaires » ou « quartiers sensibles ». Ces zone de non-droit aussi appelées pudiquement «zone islamique» se peuplent majoritairement de personnes d’origine immigrée. Un nouveau droit d’origine tribale ou idéologique (« charia ») s’y impose.

- Place de la femme et des enfants dans notre société.

- Harassants et coûteux contrôles de sécurité dans les aéroports et ailleurs.

- Infiltration des organes de pouvoir : police, armée, services publics, postes d’élus municipaux, organisations communautaires, services sociaux, enseignement, etc.

Le « djihad » politique est perpétré par des musulmans que les non-musulmans perçoivent, souvent à tort, comme “modérés”, mais aussi, à l’évidence, par des musulmans radicaux.

Le «djihad» juridique soit le dépôt de plaintes pour n’importe quel motif contre n’importe qui émettant la moindre critique contre l’islam-idéologie, son messager Mahomet et des musulmans, afin de contraindre les non-musulmans à perdre temps et argent pour se défendre, tout en grignotant notre démocratie et notre liberté d’expression. Ce qui, entre autre et inévitablement, amène certains non-musulmans à être condamnés pour erreurs de procédure ou parce qu’ils tombent sur des juges censeurs ou talibans aux idées peu claires sur ce qu’est la liberté d’expression, voir l’humour, et qui cherchent à donner des gages de dhimmitude aux musulmans en condamnant des non-musulmans.

Cet djihad juridique antidémocratique amènent les moins courageux des chrétiens et des athées à s’autocensurer, ou à n’oser s’exprimer qu’en privé, alors qu’ils devraient débattre de la réciprocité et dire fermement ce qu’ils ne veulent pas tolérer. Le «djihad» juridique permet aussi aux musulmans dits « modérés » de désigner les cibles à abattre aux musulmans radicaux, crimes d’honneur inclus, cela sous le couvert du respect de leurs « droits ».

Le « jihad » du sexe soit comme l’a admis par exemple, en septembre 2013, le Ministre de l’intérieur tunisien que des femmes et des adolescentes avaient réussi à quitter la Tunisie pour se rendre en Syrie pour y assouvir les désirs sexuels des combattants djihadistes. Il faut ajouter que l’agression sexuelle, dont le viol punitif, est une arme de guerre musulmane et l’enfantement par le nombre est le «djihad» des épouses bonnes musulmanes et soumises.

Ces cinq modes de « djihad » sont tous dangereux et se renforcent mutuellement. Vu que la menace d’attentats terroristes du « djihad » militaire n’est jamais partiellement anticipée, écartée et combattue mais fait surtout les scoops des médias, le « djihad » civil, le « djihad » politique, le « djihad » juridique et le « djihad » du sexe rencontrent bien trop peu de résistance de la part des démocraties, de leurs tièdes dirigeants et de nos médias, à l’exception de sites de réinformation comme par exemple www.lesobservateurs.ch, http://newobserveronline.com/, www.thedailybell.com, ou  www.ripostelaique.com. De tels sites de réinformation qui, jour après jour, remettent en question le politiquement correct et dénoncent les ingérences en pays musulmans de gouvernements occidentaux, sont les piliers de la « réforme due à l'Internet» soit comment l'information révélée sur l'Internet est en train de changer la façon dont fonctionne notre société du XXI ème siècle. Seul un site de réinformation ose souligner que le pays musulman le plus démocratique est la Tunisie et cela justement parce que ni les USA, ni la Grande Bretagne ni la France n’y sont entrés avec leurs armées pour s’y ingérer. Le choix de ces sites de réinformation est devenu énorme comme le prouve à chacun une recherche en français sur Google « site web de réinformation » qui donne plus de 70.000 résultats.

Le danger et le vrai risque de la politique en démocratie sont l’endormissement d’élus dans leur médiocrité abyssale et du peuple Souverain dans sa passivité alors qu’un pays « associé » déclare une guerre illégale à un pays, par exemple la Syrie. Trop de tièdes dirigeants et de journalistes sont intimidés, ne s’opposent pas aux gouvernements occidentaux qui s’ingèrent illégalement mais cèdent aux musulmans qu’ils croient « modérés » alors que tous les musulmans ont un rôle dans cette guerre de prosélytisme et de conquête de l’islam-idéologie. A part quelques modernistes, ces dits musulmans « modérés » sont tant un paravent pour leurs condisciples musulmans radicaux qu’une cinquième colonne dans nos démocraties.

Les journalistes tant de la presse écrite que de la radio et de la télévision sont devenus, pour la grande majorité, de pâles copistes de la propagande de l’UE, des USA, de la fraternité musulmane et des communiqués de presse des gouvernants. Sans imagination, répartie, culture historique et stratégie, à l’image de trop d’élus ils sont médiocres, bâclent leur travail et concoctent tous le même article ou exposé politiquement correct. Le métier de journaliste n’est plus d’enquêter puis de décrire le vrai mais de recommander le « bien » et le « vivre ensemble », de faire acte d’allégeance au système, d’empêcher les citoyens de percevoir la réalité et de rendre impossible toute pensée déviante (crime par la pensée) ou dissidente, cela par la munition linguistique fumigène du politiquement correct. Ces journalistes bannissent les mots tabous. Ainsi le terme « élitiste » est devenu un injure; ce n’est que chez des skieurs et des gymnastes artistiques que le politiquement correct permet de parler d’une élite. Pour désinformer, élus et journalistes inventent de nouvelles expressions et de nouveaux sens à de nombreux mots. Comme nombre d’élus, ces journalistes abusent des mots sidérants, des mots trompeurs, des mots marqueurs et des mots subliminaux. Ils s’obligent à écrire dans la presse et à parler à la radio et à la télévision en novlangue, pour obliger les gens à penser conformément à la ligne des dirigeants politiques au pouvoir et au politiquement correct. Ce terme de novlangue inventé par Georges Orwell dans son roman prophétique « 1984 », publié en 1949 déjà, est une tromperie, sur et par le langage, devenue réalité avec le politiquement correct. Les journalistes pratiquent le politiquement correct aussi pour empêcher que les citoyens conceptualisent leurs pensées dissidentes, débattent et réfléchissent par eux-mêmes. Ces journalistes partiaux et soumis ont grand succès parce que la majorité souvent invisible des citoyens occidentaux ne cherchent pas à savoir ce qu’ils pensent vraiment; ils répètent ce que leurs politiques et leurs médias politiquement corrects disent qu’ils pensent! Leur nouvelle idéologie n’est pas plus religieuse que l’islam-idéologie, le salut et la fraternité par l’euro la sainte monnaie unique et par les immigrants, la rédemption des nationalismes et des colonisations occidentales culpabilisés et repentants, la solidarité des consommateurs compulsifs et manipulés par la publicité, la nouvelle religion du saint marché mondialisé à la sauce américaine, la fraternité avec les musulmans et la soumission à l’islam-idéologie. Considérer, comme la gauche, que le nationalisme est un faux visage trompeur du racisme et du militarisme, alors que la globalisation et l’interventionnisme humanitaire ne sont pas simplement la politique à la mode mais sont sanctifiés, est non seulement une absurdité antidémocratique mais un mensonge manipulateur tout comme la « reductio ad hitlerum » des partis de droite. Un député au Parlement européen n’est plus le représentant de son pays à Bruxelles et le défenseur de son pays mais un représentant bruxellisé des eurocrates de Bruxelles dans son pays. On ne raisonne plus. On inverse les valeurs. On accomplit. On se soumet, d’une part à l’UE, aux USA et à leurs mensonges et, d’autre part, aux exigences de la fraternité musulmane.

Il faut toujours inclure dans les cinq rituels musulmans le devoir de prosélytisme qui est un des piliers de l’islam et la colonne du « jihad". Contrairement à ce que croient les musulmans contemporains, comme l’était et l’est encore la religion juive, l’islam du premier siècle musulman n’était pas une religion prosélytique mais une alliance entre tribus. Depuis Médine sa cité refuge en Arabie, Mahomet réussit à rallier les tribus d’Arabie, non par la puissance de la parole mais par des razzias et des raids victorieux, barbares et surtout enrichissants pour sa tribu.

On pourrait aussi rajouter à ces cinq rituels l’hédonisme purement matérialiste et consumériste qui fleurit entre autres en Arabie Saoudite et au Qatar, où faire du shopping plusieurs fois par jour est le nouveau piétisme affairiste. Ce consumérisme des centres d'achat qui sont les cathédrales de la nouvelle religion de la consommation et la consommation en général ressemblent trait pour trait à l’addiction. Un drogué ne peut pas s’empêcher d’augmenter les doses et de rapprocher les prises. Un client consommateur, c’est la même chose. Parents et société, évitons de plonger nos enfants occidentaux dans la logique musulmane du manque. Plus on a une vie intérieure riche, plus on est structuré par de vraies valeurs, non seulement humanistes, morales et éthiques, mais aussi culturelles et spirituelles, plus on a de sens critique, moins on éprouve le besoin de consommer à tout propos et plus on protège l’environnement. Plus les valeurs traditionnelles sont inexistantes ou disparaissent, plus on est dans l’addiction, plus on s’adonne sans défense à la logique de la consommation, plus on est manipulé par la publicité et plus on détruit la nature. Selon notre culture judéo-chrétienne et greco-romaine, qui veut tout avoir s’expose à tout perdre, qui ne veut vivre que pour soi et sur soi n’arrive qu’au dépérissement et à l’hébètement.

Bien qu’il y ait eu, avant l’islam, une culture arabe qui s’exprime en langue arabe classique, il n’y a pas de culture islamique. L’héritage arabe d’avant la colonisation musulmane n’a rien à voire avec l’héritage musulman. L’islam n’est qu’une idéologie envahissante née au VII ème siècle et peaufinée par les califes les siècles suivants pour asseoir fermement leur pouvoir et leur domination sur le peuple. Pour arriver à leurs fins et nous islamiser, les musulmans ont inventé récemment une soit-disante culture islamique; pour nous faire croire que l’islam est la « religion » de paix qui nous fait cruellement défaut et qui va éliminer le mal dans le monde, ils tentent de transformer leur idéologie totalitaire en culture dominante (pour des nuls?). Des politiciens occidentaux ignorants et/ou collabos comme Barack Hussein Obama, des « useful idiots », croient facilement ces mensonges et les propagent. Ainsi par exemple, Ibn Ruchd ou Averroes, le traducteur d’Aristote, n’est pas un musulman cultivé qui a influencé la culture européenne, comme le raconte maintenant des guides musulmans qui veulent nous faire croire qu’il existerait une culture islamique. La vérité est que les leaders idéologiques musulmans de l’époque ont exilé Averroes, avaient fait brûler ses livres, ont interdit tant ses enseignements que ceux d’Aristote et de toute la science gréco-sassanide en langue arabe. Du reste à ce jour, Averroes n’a jamais été réhabilité en pays musulmans. L’islam a toujours persécuté la science et la philosophie, puis il a fini par les étouffer. A partir de 1275 environ, deux mouvements apparaissent dans le monde: d’une part les pays arabes musulmans plongent dans la plus triste décadence intellectuelle et culturelle, de l’autre l’Europe occidentale se passionne avec résolution et courage pour la recherche scientifique de la vérité.

Autre exemple, le « ramadan » n’est pas une pratique culturelle libre mais une pratique idéologique imposée par l’islam-idéologie. Le jeûneur du ramadan, si il reste confiné chez lui, il ne gêne personne, malgré le nombre important de ceux qui, déshydratés et épuisés, s’évanouissent le jour et vomissent ou souffrent d’indigestion la nuit quand ils se goinfrent bruyamment pour compenser leur jeûne diurne. Par contre, si le jeûneur sort de chez lui, c’est comme avec les drogues, il y a incompatibilité, par exemple faiblesse au volant, irritabilité à l’égard des autres, improductivité au travail, inattention et irritabilité à l’école et au volant, incivilités dans les immeubles locatifs, etc, entre ce rituel idéologique et les activités humaines, qu’elles soient professionnelles ou autres.

Selon l’islam-idéologie l’animal qui doit être égorgé (boucherie « halal » ou abattage rituel) doit être bien conscient, soit en possession de tous ses moyens. Dans le coran, Allah ordonne impérativement, à tous les musulmans, de ne pas consommer la viande de porc qui leur est interdite (sourate 2, verset 173) ni le vin, « abominable péché», (sourate 2, verset 219). Dieu merci dans le cochon tout est bon et production non « halal » et consommation de porc augmentent dans le monde. Ce type d’interdit alimentaire est un héritage des religions polythéistes qui existaient avant le judaïsme, le christianisme et l’islam-idéologie. L’abattage rituel, lui, n’est ni un rituel religieux, ni une valeur culturelle, mais une sauvagerie incompatible avec nos valeurs occidentales, puisque en Europe depuis une génération, on exige des bouchers d’insensibiliser l’animal avant de le tuer. L’abattage rituel, c’est-à-dire égorger et saigner les animaux alors qu’ils sont conscients et les laisser mourir d’hémorragie, ce qui prend, par exemple, un bon quart d’heure ou d’avantage de souffrances pour un bovin, est aussi la cause d’un problème d’hygiène sanitaire: tout particulièrement la contamination de la viande par une redoutable Eschérichia coli (bactérie présente dans les intestins de l’animal) qui est un danger pour les consommateurs, tout particulièrement les enfants.

Quelle valeur ont la liberté et la responsabilité de chacun dans une communauté dans laquelle il y a des interdictions à foison comme dans la fraternité musulmane? Si une religion ou une idéologie prescrit à ses adhérents tout ce qu’il doivent faire et manger, alors ces personnes ne sont plus considérées comme des personnes responsables qui répondent de leurs actes et raisonnent. Dans une telle communauté, moins la responsabilité individuelle est mise en avant, plus il faut créer de nouveaux interdits et plus il faut investir dans de coûteuses mesures préventives, ce qui est à l’opposé des Lumières, de la Réforme et de l’innovation.

L’islam-idéologie est donc principalement une anti-religion moyenâgeuse; ceci rapproche l'islam du communisme, du nazisme, du maoïsme et d’autres idéologies totalitaires. Ce qui est important pour l’islam-idéologie, c'est que le peuple obéisse à la tribu, à l’état musulman, au calife le lieutenant de Allah, à la « charia », etc, tout en pratiquant accessoirement les commandements ritualistes rappelés ci-dessus, pour lui donner un semblant de religion. Le nazisme allemand avait aussi ses rituels « religieux », comme le rappelle Milton Mayer dans son livre « They Thought They Were Free: The German 1933-1945 ». Tout comme l'islam-idéologie, le marxisme et toutes les idéologies cohérentes et structurantes, le socialisme-national nazi avait pour objectif de fonctionner comme une « religion ». Ainsi, non sans raison, on parle de vulgate nazie, de vulgate marxiste, etc. Le communisme international fut en quelque sorte l'église matérialiste dont le Saint-Siège était à Moscou. On a même dit que le marxisme était devenu une nouvelle religion, « un opium des intellectuels ». Déjà en 1928, Joseph Goebbels qui était fanatiquement dévoué à Hitler qu'il considérait comme le sauveur de la nation allemande, écrivait dans son journal: « Le socialisme-national est une religion. Il ne lui manque que le génie religieux... Il nous manque le rite... Il faudrait que le socialisme-national devienne un jour la religion d’Etat des Allemands... Mon Parti est mon Eglise, et je crois servir le Seigneur...». Toutes les idéologies, même les plus absurdes, inutiles et barbares, ont leurs partisans.

L’islam-idéologie est très proche du communisme par la manipulation du langage. Pendant plusieurs générations, le communisme s’est maintenu en URSS et se maintien encore avec fermeté et violence à Cuba et ailleurs, parce que certains mots y étaient ou y sont encore interdits; et voilà que nous en Occident nous n’osons plus maintenant prononcer certains mots sans être accusés d’islamophobie et/ou d’europhobie. Nous sommes bien enferrés dans cette situation en Europe puisque pour nombre de juges européens, l’islamophobie n’est plus une opinion, c’est un délit et du racisme; mais la christianophobie, la cathophobie, l’antisémitisme et la démocratiophobie restent, elles, des opinions! Même poser une question ou débattre sur l’islam, est poursuivi pour islamophobie; poser une question ou débattre de l’UE est une europhobie alors qu’un europhobe est lui plus réaliste que naïf idéaliste. L’islamisation de l’Europe se fait en douceur dans l’eurobéatitude. L’UE cache ainsi aux citoyens que l’immigration n’est plus une immigration de travail mais une fort coûteuse invasion migratoire économique et militante de peuplement. Les terroristes musulmans ont déclaré ouvertement une guerre asymétrique aux pays de la coalition occidentale alors que les USA, l’Angleterre, la France, etc, sont entrés en guerre contre l’Iraq, la Libye, la Syrie, etc.. Quoiqu’en disent les angéliques multiculturalistes, il n’en reste pas moins que cette islamisation et son terrorisme musulman sont déjà une guerre asymétrique généralisée et bientôt mondiale; en Occident c’est encore une guerre d’intimidation et d’exigences, en Orient c’est une guerre d’élimination. C’est la guerre. Elle n’a pas été évitée. Elle se généralise et fera rage dans tout l’Occident. L’avenir de notre monde occidental est sinistre.

Question guerres, les Occidentaux ont-ils été, jusqu’à ce jour, opérationnellement et moralement meilleurs que les musulmans? Au lecteur de juger lui-même. Malgré d’énormes dépenses (plus de 5 trillions d’USD pour la lutte contre le terrorisme), vu leur manque de stratégies les USA ont des capacités opérationnelles limitées, inefficaces et guère efficientes. De plus, ils n’ont pas compris dans quel type de guerre ils se sont engagés successivement de l’Afghanistan à la Syrie. Contrairement à la Russie, leur armée croit taper fort, préemptivement, avec une stratégie limitée et peu de résultats. De plus, depuis bien trois générations, les USA sont toujours entrés en guerre après en avoir créé, au préalable, eux-mêmes les conditions, le plus souvent en appliquant la doctrine du 1% de Dick Cheney et en exigeant de leurs services de renseignement non pas de renseigner et d’éclairer les décisions stratégiques des gouvernants américains mais de fournir des arguments aux décisions tactiques de politiciens et de conduire pas seulement des engagements mais aussi des opérations « sous fausse bannière ». Les USA ont ainsi imaginé dangerosité de l’adversaire, menace, légitimité et consensus euro-atlantique en culpabilisant les pays qui ne participent pas à leurs guerres préemptives et à leurs boycotts. Habituellement, de tels gouvernements qui déclenchent des conflits et des boycotts sont des gouvernements affaiblis qui cherchent à se consolider, ou plutôt à renforcer et rendre plus populaires leurs dirigeants, tout en distrayant leurs électeurs, par exemple à l’approche d’élection, comme la France de Hollande et les USA de Obama.

Ni les USA, ni leurs satellites européens n’ont respecté la souveraineté des états et l’interdiction du crime d’agression soit l’article deux de la Charte des Nations Unies: « Interdiction de la menace ou de l’emploi de la force dans les relations internationales » et le principe six des « Principes du droit international consacrés par le tribunal de Nuremberg » émis en 1950 suite au procès soit:

« Les crimes énumérés ci-après sont punis en tant que crimes de droit international.

a. Crimes contre la paix:

i) Projeter, préparer, déclencher ou poursuivre une guerre d'agression ou une guerre faite en violation de traités, accords et engagements internationaux;

ii) Participer à un plan concerté ou à un complot pour l'accomplissement de l'un quelconque des actes mentionnés à l'alinéa i.

b. Crimes de guerre:

Les violations des lois et coutumes de la guerre qui comprennent, sans y être limitées, les assassinats, les mauvais traitements ou la déportation pour les travaux forcés, ou pour tout autre but, des populations civiles dans les territoires occupés, l'assassinat ou les mauvais traitements des prisonniers de guerre ou des personnes en mer, l'exécution des otages, le pillage des biens publics ou privés, la destruction perverse des villes ou villages ou la dévastation que ne justifient pas les exigences militaires.

c. Crimes contre l'humanité:

L'assassinat, l'extermination, la réduction en esclavage, la déportation ou tout autre acte inhumain commis contre toutes populations civiles, ou bien les persécutions pour des motifs politiques, raciaux ou religieux, lorsque ces actes ou persécutions sont commis à la suite d'un crime contre la paix ou d'un crime de guerre, ou en liaison avec ces crimes. »

Ces violations ne sont-elles pas les raisons pour lesquelles, depuis 2001, les USA perdent beaucoup plus de vétérans par suicide que de soldats au combat? Leurs soldats ont un problème de motivation, d’indication à ces guerres dites préemptives, d’éthique guerrière, de confiance dans leur pays et leurs dirigeants, d’insatisfaction et de pénible remise en question. De plus on se demande à quoi servent les 60 milliards annuels dépensés pour le renseignement pour des politiciens qui sont devenus aussi revanchards que les terroristes musulmans et qui, de plus, abandonnent leurs propres vétérans.

Au lieu de lutter contre le terrorisme, les USA et leurs satellites ont encouragé le terrorisme et adopté de nombreuses mesures simplistes si ce n’est rocambolesques, coûteuses et inefficaces pour tenter d’intercepter les terroristes mais n’ont pas appliqué de vraies stratégies pour lutter avec succès contre le terrorisme et éviter sa légitimité. Les USA n’ont rien appris de leurs erreurs commises dès l’été 1979 quand le Président Carter (de gauche évidemment) a donné (indépendamment du gouvernement afghan!) l’autorisation à la CIA d’aider les moudjahidines islamistes afghans (Opération Cyclone des USA qui força l’URSS à intervenir en décembre de la même année), puis en 1998, en 2001, etc. La France, dès 2015, répète à souhaits les erreurs des USA de 2001; avec arrogance la France prétend exporter par ses vaillants soldats et ses avions de combat l’idéologie droit de l’hommiste, la « religion » de l’Autre, la mondialisation sans frontières et la démocratie décadente de l’UE et des USA.

Comme dans tout conflit asymétrique, au lieu de contribuer à la lutte contre le terrorisme musulman, les faibles succès tactiques obtenus, par exemple dernièrement par les USA et la France en Syrie ont renforcé et nourri les avantages stratégiques des terroristes musulmans, leur ont donné légitimité et, avec l’aide des mass-médias occidentaux, ont facilité et avantagé le recrutement des djihadistes dans le monde entier. De plus comme dans toute combat asymétrique, les pertes des djihadistes apportent des victoires à tous les musulmans. La force des frappes américaines et leurs effets collatéraux n’ont pas eu d’effet dissuasif mais renforcent le djihadisme et ses réponses guerrières et terroristes. Même les actions humanitaires en pays musulmans, comme celle de la Suisse en Iraq, et la mondialisation représentent pour les musulmans des ingérences qui ne compensent pas, ni ne font pardonner les invasions guerrières et l’ingérence des USA mais ont mis la Suisse dans le groupe de la coalition qui agresse et menace la Syrie et l’Iraq. La formation d’imans, prévue à à l’Université de Fribourg et ailleurs en pays chrétiens, ne fera qu’attiser encore plus le sentiment des musulmans que l’Occident veut tout décider pour eux et les tyranniser.

L’islam-idéologie tout comme l’impérialisme USA avec l’UE son satellite se sont mis tous deux dans un contexte mondialisé sans frontières et ne peuvent dès lors que s’affronter partout dans le monde. D’autant plus que pour les musulmans le « djihad » cherche à défendre leur foi absolue en l’unique Allah. Ce qui fait qu’il est devenu encore plus difficile que les citoyens et leurs gouvernants d’un pays occidental énoncent clairement leurs conditions strictes et impératives d’acceptabilité et de réciprocité dans leur propre pays pour toute pratique « religieuse », idéologique ou culturelle introduite par des immigrants qui veulent s’établir dans ce pays. Il ne s’agissait pas d’attendre que ces immigrants soient installés chez nous pour les punir et les domestiquer mais d’anticiper les problèmes, de communiquer avec clarté et fermeté nos exigences et nos vertus et d’appliquer le principe de réciprocité dès le début des années septante. Malheureusement, début des années septante, les gouvernants européens, en particulier les français ne rêvaient que de favoriser la création de la grande Eurabia qui allait être plus puissante que les USA et la Russie..

Mahin Nezam

 

 

 

 

Islamophobie: Comment la critique de l’islam a été interdite en Occident

Vidéo qui date de plusieurs années. Avec le recul, on perçoit à quel point nos gouvernements sont complices alors que la tactique de ces musulmans était claire, visible et reconnaissable.

Ils ne peuvent en aucun cas dire "On ne savait pas.". Le gouvernement suisse a docilement suivi les soubresauts pathétiques de ses voisins, spécifiquement la France.

On perçoit ici à quel point "l'antiracisme" a été une excellente base pour imposer l'islam dans nos pays.

Mieux, ce sont des officines financées par nos propres impôts qui procèdent à la police de la pensée contre les peuples européens.

Évidemment, cet "antiracisme" n'est pas effectif dans les pays musulmans lorsqu'il s'agit d'humilier le mécréant et de lui restreindre ses droits.

https://youtu.be/I4dp-WkI_8s

Orlando: « Les vrais musulmans n’accepteront jamais les manières dégoûtantes de l’Occident »

Omar Mateen, le terroriste qui a attaqué le club gay Pulse à Orlando, a échangé des textos avec sa femme durant la fusillade. Aux alentours de 4 heures du matin, dimanche, soit deux heures après le début de l'attaque sanglante qui fera 49 morts et 53 blessés, l'assaillant a envoyé un message à Noor Salman, lui demandant si elle avait vu les informations, ont indiqué les autorités.

► Le témoignage trouble de son épouse
Ce à quoi sa femme lui a répondu qu'elle l'aimait, avant de tenter de l'appeler à plusieurs reprises, sans réponse, rapporte ce jeudi CNN. Selon la chaîne, Noor Salman a donné des informations contradictoires au sujet de ce qu'elle savait des intentions de son mari quelques heures avant son passage à l'acte. Elle a notamment indiqué aux enquêteurs que le terroriste avait dépensé des milliers de dollars les semaines précédant la nuit tragique du 12 juin, notamment pour acheter des armes qui ont servi lors de l'attaque. Selon la police, Omar Mateen était armé d'un fusil semi-automatique Sig Sauer, ainsi que d'un pistolet lorsqu'il a pénétré dans le club d'Orlando.

Il aurait aussi posté un message affirmant que «les vrais musulmans n'accepteront jamais les manières dégoûtantes de l'Occident» et que «dans les prochains jours il y aura d'autres attaques de l'Etat islamique aux Etats-Unis».

Source1 Source2

« Frapper les civils en Occident « : c’est le prochain ramadan de sang !

De l’État Islamique arrive un appel à tous les musulmans d’accomplir des attaques dans « la terre des Croisés »« il ne faut pas préserver le sang parce que personne n’est innocent. »

Les égorgeurs de Daesh lancent à nouveau leurs attaques contre « les États-Unis et l’Europe ». Leur porte-parole, Abu Muhammad al Adnani, dans un message audio d’une trentaine de minutes diffusé samedi 21 mai 2016, appelle aux attaques et aux menaces contre , en particulier pendant le mois du Ramadan, qui commencera le 7 juin prochain. Il invite les militants au drapeau noir à « combattre, combattre, combattre. »

« Le ramadan est le mois de l’invasion et du djihad (guerre sainte) (…)

Faites de ce mois, avec la volonté de Dieu, un mois de malheurs pour les infidèles partout où ils se trouvent. Cet (appel) s’adresse spécialement aux soldats et aux partisans du califat de l’État islamique en Europe et en Amérique.

Serons-nous défaits si nous perdons Mossoul, ou Syrte, ou Raqa, ou toutes les villes, pour retourner là où nous étions auparavant? Non. Car la défaite c’est perdre le désir et la volonté de se battre« .

Le prochain Ramadan risque d’être de sang en Europe !

Source

L’intégration de la population musulmane est impossible en Occident [vidéos]

Note de Voxnew :

Deux vidéos à voir pour comprendre que jamais aucune intégration de la population musulmane, même rêvée par certains, ne sera possible en Occident.
La bonne volonté n'est qu'une perte de temps, d'énergie et de moyens.

Revenons sur la récente apparition télévisée de Najat Vallaud-Belkacem.
Au cours de cette émission, la Ministre avait refusé de se désolidariser ouvertement des propos tenus par l'imam présent sur le plateau.
Oubliés, la laïcité, plutôt le laïcisme dévastateur prôné par le Gouvernement qu'elle représente, et, ses probables serments d'allégeance à la GLFF (grande loge féminine de France).
Aucune réaction de la Ministre lorsque l'imam  n'avait pas condamné l'EI. Silence gêné, soumis de l'intéressée...

Dans les deux vidéos, ci-dessous, Boris Le Lay décrypte les mécanismes psychologiques profonds, ataviques, qui ont neutralisé la moindre riposte de la part de Najat vallaud-Belkacem.
Cette personne est ministre d'un pays durement frappé par des actes terroristes, est-il utile de le rappeler ?
Que pèsent donc 132 morts, plus de 350 blessés (dont certains sont restés lourdement handicapés), face aux poids des traditions maghrébines et de l'ouma ?
Pourquoi ce mutisme face à un islamiste convaincu ?
La prestation télévisée de la Ministre prouve le degré d'échec avéré de ce que les politiques nomment "intégration". En effet, quelques soient le niveau d'études, de réussite sociale, les musulmans seront toujours réfractaires à toute forme d'assimilation à notre civilisation européenne.
La Ministre de l'Education Nationnale l'a démontré publiquement à des millions de Français qui regardaient la télévision ce jour-là.
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Partie I

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Partie II

 

Honteux : Le philosophe Jacques de Coulon met sur le même pied les djihadistes et ceux qui veulent protéger la civilisation européenne

Extrait :

"Islamisme et droite dure ont une base commune : le refus de l’autre. Refus de l’étranger pour l’extrême-droite qui glorifie les racines blanches et chrétiennes de l’Occident. Refus de l’Occident idolâtre pour les islamistes qui absolutisent le premier pilier de l’Islam : pas de dieux hors de Dieu, seule vraie Réalité."

Article complet  (Paru dans La Liberté du 21 décembre 2015)

Merci à Cenator

L’apport de la civilisation arabo-musulmane à l’Occident ? C’est de l’humour ?

L’apport de la civilisation arabo-musulmane à l’Occident se résume à peu de choses. Le mythe de l’âge d’or scientifique de l’islam bat de l’aile, tout comme celui de l’âge d’or Andalou.

L’extrait ci-dessous, rédigé par un intellectuel palestinien, à priori objectif, vient confirmer.

« la civilisation arabe s’est éteinte avec la chute de Bagdad en 1258 »

« Non, l’Occident ne doit rien aux Arabes », tel était le titre d’une page du Courrier international du 29 juillet 2004 qui traduisait un texte de l’intellectuel palestinien Saqr Abou Fakhr tiré d’«Ad Safir» à Beyrouth. On y apprend que « la civilisation arabe s’est éteinte avec la chute de Bagdad en 1258 », à la suite de laquelle les arabes cessèrent de créer et d’innover, excepté dans certains domaines limités et disparates.

« Or, la civilisation occidentale a été portée par trois innovations : l’imprimerie, la boussole et la poudre donnant la suprématie militaire ». Et ces innovations sont venues de Chine, dit l’auteur.

Le génie de l’Europe a toujours été d’intégrer et de développer des apports extérieurs. La pensée occidentale est ouverte sur l’innovation, contrairement à la pensée arabo-musulmane (autre constat de l’auteur précité).

Dès lors, qu’ont apporté à la civilisation occidentale les Avicenne (980-1037), Averroès (1126-1198) et Ibn Khaldun (1332-1406) ?

Eh bien l’Europe n’a pas eu besoin de ces penseurs arabes pour avancer sur la voie du progrès, conclut Saqr Abou Fakhr. Il explique :

« Sinon, on serait en droit de se demander pourquoi les principes énoncés par Averroès auraient été un facteur décisif de la Renaissance en Europe alors qu’ils n’ont eu, à la même époque, aucune influence sur la civilisation arabe ». Et il donne cette explication: « En fait, Averroès, Ibn Khaldun et Avicenne se trouvaient en quelque sorte en dehors du courant dominant d’une culture arabe qui les a d’ailleurs refusés et rejetés. Une culture qui, déjà à l’époque, sombrait tout comme aujourd’hui, sous le poids des fatwas, des oulémas, des théologiens et récitants du Coran, du même acabit qu’Al Ghazali, Ibn Taymiya, Al Chafei et Al Achaari »

Pourtant, les arabo-musulmans et certaines élites intellectuelles et politiques occidentales, continuent à affirmer que sans les Arabes, l’Europe n’aurait jamais pu sortir de l’obscurantisme du Moyen Age, les premiers par esprit de revanche sur l’Occident, les seconds dans le but de faire accepter l’islamisation de nos pays.

Essayer de nous faire croire que c’est grâce à l’apport des arabo-musulmans que l’Occident a pu se développer et progresser relève de la pure fantaisie, inspirée par la méconnaissance de l’histoire de l’islam et de l’Occident.

L’islam a-t-il été créatif ou innovateur ?

Difficile à prouver, mais guerrier et envahisseur, certes oui. Les armées arabo-musulmanes se sont distinguées par leur soif de conquête et l’invasion de nombreux pays, dans le seul but d’y apporter l’islam par la force du sabre. Lors de leurs invasions barbares, les arabo-musulmans ont soumis les habitants et se sont appropriés leurs inventions et découvertes, puis les ont « arabisées » par le truchement du vocable.

Les musulmans ont importé les chiffres dits arabes — qui remplacent les chiffres romains — la numération positionnelle et le zéro ? Ce sont des inventions d’origine indienne. L’inventeur du zéro de position s’appelle Brahmagupta, grand astronome et mathématicien indien. Et c’est un mathématicien perse qui inventa l’algèbre.

L’imprimerie, la boussole et la poudre à canon furent inventées par les chinois. De nombreux savants du mythique « âge d’or arabe » n’étaient pas tous des arabes d’ailleurs, mais furent arabisés et assimilés, comme le savant Perse Avicenne, des savants Ouzbeks, et des savants Berbères d’Andalousie.

Un autre mythe de l’âge d’or de la civilisation arabo-musulmane qui a la vie dure et resurgit de plus belle, comme une légende, est celui de la transmission du savoir grec à l’Occident, à l’origine du siècle des Lumières, par les arabo-musulmans.

Si la civilisation arabo-musulmane a pu, effectivement, briller pendant deux siècles, elle le doit, en quelque sorte, aux érudits arabes qui firent traduire tous les textes qui présentaient un intérêt scientifique quelconque. Les textes grecs furent traduits par des Chrétiens d’Orient, à partir du syriaque ou directement du grec, et non par des Arabes. Toutefois, Il y avait aussi une filière parallèle, constituée par des moines copistes, qui traduisaient directement du grec en latin.

Le rôle des Arabes dans la transmission du savoir grec à l’Occident est un mythe

Al-Fârâbî, Avicenne et Averroès ne lisaient pas un mot des textes originaux, mais seulement les traductions en arabe faites par les Araméens chrétiens.

Cette transmission du savoir et de la science des Grecs à l’Occident se fit surtout grâce aux Chrétiens d’Orient et aux moines d’Occident, une vérité que certains de nos islamophiles essayent de gommer en réécrivant l’histoire du Moyen Age. Décidément, la réécriture de notre histoire devient le passe temps favori de nos dhimmis intellectuels, au service de l’islamisation de l’Occident.

L’Occident d’ailleurs ne rompit jamais ses liens avec les enseignements des anciens grecs, grâce aux traductions des Chrétiens d’Orient et des Moines d’Occident, et les Arabes ne jouèrent aucun rôle dans le développement de l’Occident, qui progressa au fil de siècles, et l’amena à la position dominante actuelle.

Ces érudits, dévoués corps et âme à la cause de l’islam, semblent oublier que la civilisation européenne résulte d’un métissage entre la pensée hellénistique et judéo-chrétienne, et cette civilisation a des racines qui remontent au Ve siècle avant Jésus-Christ. Elle existait bien à avant l’invention de l’islam ! Par contre, la civilisation arabo-musulmane ne dura que deux siècles, et depuis le 13ème siècle, elle n’a guère progressé.

Nos intellectuels et politiques islamophiles se plaisent à nous rabattre les oreilles avec une contrevérité flagrante, affirmant que les racines de l’Europe sont autant chrétiennes que musulmanes, dans le but de diluer notre civilisation judéo-chrétienne, voire la faire disparaître dans les abysses de l’islam.

A ce sujet, dans son livre « Aristote au Mont Saint Michel »* Sylvain Gougenheim réfute cette thèse mensongère.

Son livre lui a d’ailleurs valu de nombreuses critiques, car il a eu l’audace de prouver que la transmission du savoir grec en Occident ne devait rien à l’islam, ce qui est à contre courant de la « bienpensance » actuelle, qui veut à tout prix voir dans l’islam toute la beauté du monde, l’islam des lumières, l’islam qui illumina le Moyen Age, plongé dans un affreux obscurantisme. C’est à l’Orient Chrétien que l’Occident est redevable et non au monde musulman.

« Les images biaisées d’une chrétienté à la traîne d’un ‘Islam des Lumières’ relèvent plus du parti pris idéologique que de l’analyse scientifique », écrit Gougenheim.

Finalement, le seul mérite des arabo-musulmans de l’âge d’or de l’islam fut de faire traduire par les Chrétiens Syriaques les textes grecs, qui leur apportèrent toutes les connaissances qui leur faisaient défaut, et ce dans tous les domaines, car ils étaient, avant tout, des guerriers et des marchands. Ils ne profitèrent de ces connaissances que pendant deux siècles, puis la culture musulmane sombra à nouveau dans l’obscurantisme sous l’influence des fatwas, des oulémas, des théologiens du coran, du salafisme, au nom du retour aux valeurs des ancêtres, pour qui le rationalisme équivalait à l’athéisme, punissable de la peine de mort.

Enfin, le dernier mythe de l’âge d’or arabo-musulman, celui de la grande tolérance de l’islam, imaginé par les islamophiles, pour nous faire accepter l’islam, s’effrite également.

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Pour accepter l’islam, l’Europe a forgé le mythe de l’Andalousie tolérante

Merci à Anne Marie Delcambre et à Bat Ye’Or pour leur lucidité et leur contribution à la vérité :

« Pour accepter l’islam, l’Europe a forgé le mythe de l’Andalousie tolérante qui aurait constitué un âge d’or pour les trois religions. Tout ce qui concerne les combats, le statut humiliant du non musulman, ou dhimmi, a été soigneusement gommé. Il s’agit d’une véritable falsification de l’histoire réelle » Anne Marie Delcambre.

« Les dhimmis connaissaient de terribles contraintes, ils étaient assassinés pour des peccadilles et leur témoignage ne comptait pas. L’interdiction de porter des armes les rendait très vulnérables. Il leur était interdit de construire ou de réparer leurs lieux de culte. Leurs vêtements discriminatoires, obligatoires, les exposaient à la vindicte et aux insultes dans la rue. C’est d’ailleurs là l’origine de la rouelle imposée aux juifs en 1215 par le Concile de Latran. Dans la rue, les dhimmis devaient marcher rapidement, les yeux baissés, passer à gauche des musulmans, c’est à dire du côté impur, et enterrer leurs morts en courant. Leur culte devait être silencieux et les processions étaient interdites.

Ils vivaient dans des ghettos dont on fermait les portes le soir. Le mariage d’un dhimmi avec une femme musulmane et le blasphème contre l’islam étaient évidemment punis de mort (…). Souvent accusés de collaborer avec les chrétiens de l’extérieur, les dhimmis chrétiens tentaient de détourner la colère islamique contre les juifs (…).

Cette histoire, qui a affecté une si large proportion de l’humanité, n’est même pas étudiée dans les universités. Elle est ignorée, alors qu’elle exige d’être examinée dans sa globalité et sa complexité.

C’est une histoire de violence, d’esclavage, de souffrance, de viols, de déportations, d’humiliation. Cette histoire a été occultée à l’époque de la colonisation, puis plus tard quand l’Europe a fondé ses relations avec le monde arabo-musulman, sur le partenariat ». Bat Ye’or

Cette « tolérance » islamique de l’âge d’or andalou sévit encore de nos jours en terre d’islam, et risque de se répandre en Occident, si nos gouvernements persistent dans leur politique d’islamisation.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

L’Afrique du Nord était encore plus judéo-chrétienne que l’Occident mais l’islam a tout détruit

Par  Salem Ben Ammar

Nous Nord-africains nos origines se perdent dans la nuit du temps. Nous sommes les enfants de la Kahena, Didon, Hannibal, Koceila, Saint-Augustin, Saint Cyprien, Sainte Monique, et des 3 papes berbères:
– Victor Ier était berbère, né dans l’actuelle Tunisie, il fut évêque de Rome et à ce titre gouverna l’Église romaine1 à partir de 189 et ce durant une dizaine d’années

Suite

Appel du chef d’Al-Qaïda à attaquer l’Occident

Le chef d'Al-Qaïda, Ayman al-Zahawiri, a appelé à l'unité des djihadistes en Irak et en Syrie en dépit de son rejet du califat proclamé par le chef du groupe Etat islamique (EI) Abou Bakr al-Baghdadi, dans un message audio diffusé dimanche. Le chef djihadiste, appelle en outre, dans cet enregistrement, les musulmans à «passer à l'acte» en menant des attaques dans les pays occidentaux, en particulier aux Etats-Unis.

Source

Discours de Geert Wilders à Washington le 29.04.2015

 Discours prononcé devant un groupe de parlementaires américains.

Chers amis,

C’est un honneur d’être ici, parmi autant de collègues parlementaires. Merci Steve pour ton invitation à la Conservative Opportunity Society.

Je suis un politicien attaqué. Depuis maintenant dix ans, je vis sous protection policière 24 heures sur 24. Je suis sur la liste des cibles d’Al Qaeda. Les Taliban pakistanais veulent aussi ma mort et les terroristes de l’état islamique en Syrie ont émis des menaces similaires. Pour notre sécurité, ma femme et moi vivons dans une maison sécurisée et avons dû séjourner dans des casernes de l’armée et même dans des cellules en prison, en fait les même cellules où ont été enfermés aux Pays-Bas les suspects de l’attentat de Lockerbie. Je dois me déplacer en voiture blindée et je dois même porter un gilet pare-balles pendant les débats télévisés dans mon propre pays. Les militants gauchistes me traitent de xénophobe et de raciste et l’extrême droite me traite de sioniste et d’agent du Mossad en raison de mon amour pour Israel.

Et qu’ai-je donc fait pour mériter tout cela?
La raison en est que je m’exprime contre l’islamisation de l’Occident. La raison en est que je dis la vérité sur cette idéologie totalitaire appelée islam et que je dirige néanmoins l’un des principaux partis politiques des Pays-Bas. Un sondage national indiquait même hier que mon parti, le Parti pour la Liberté, est en ce moment le plus important des Pays-Bas.

Mais assez parlé de moi. Ce n’est pas le sujet. Je ne suis pas le seul à être attaqué. Mon pays est attaqué. Mon continent est attaqué. Votre pays et votre continent sont attaqués. Nous sommes tous attaqués. Notre civilisation occidentale basée sur le christianisme et le judaïsme est attaquée. L’ensemble du monde occidental est attaqué.

Et rappelez-vous, nous avons déjà été attaqués. Il se trouve que nous sommes réunis ici ce matin en un jour symbolique. Il y a exactement 70 ans, le 29 avril 1945, deux divisions de la 7ème armée américaine libéraient le camp de concentration de Dachau, le plus ancien des camps de concentration nazis. Un des libérateurs américains écrivit alors: « Lorsque nous avons vu ce camp, nous avons compris que nous n’étions pas engagés dans une guerre contre des soldats et des officiers, mais dans une guerre contre des criminels. »

Après la deuxième guerre mondiale, nos dirigeants ont fait ce serment: « Plus jamais ça! ». Plus jamais nous ne tolérerons l’antisémitisme, les assassinats politiques, les meurtres de masse, l’oppression, et l’esclavage. Et ils ont fait le serment qu’ils n’oublieraient jamais et qu’ils retiendraient toujours les leçons de l’histoire.

Et voici l’une de ces leçons:
Lorsque vous êtes en face du mal, ne mettez pas votre tête dans le sable, mais agissez avant qu’il ne soit trop tard.

Dans les années 30, la plupart des politiciens européens ont regardé ailleurs. Ils ont essayé d’apaiser le mal, espérant qu’il réagirait à l’apaisement en devenant modéré. Quels fous! Et quel terrible prix le monde a-t-il dû payer pour cette folie. La neutralité en face du mal est aussi du mal. Mais tenter l’apaisement est carrément du suicide.

Et nous en sommes là aujourd’hui. En dépit des promesses que nous ne referions pas la même terrible erreur encore une fois, c’est pourtant exactement ce que font de nombreux dirigeants occidentaux. En regardant ailleurs et en essayant d’apaiser le mal.

Je me demande souvent quelle est la partie du Coran que nos dirigeants trouvent si difficile à comprendre.
Est-ce la sourate 47:4? « Lorsque vous rencontrez les mécréants frappez-les au cou jusqu’à ce vous les réduisez à merci »? Ou est-ce la sourate 4:89 « Saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez »? Ou la sourate 8:60, « Et insufflez la terreur dans le coeur des ennemis d’Allah »? Ou bien est-ce l’un des 150 autres versets coraniques qui appellent au jihad contre les non-musulmans? Ou l’un des nombreux versets qui appellent à l’assujettissement des chrétiens et des juifs, ou au meurtre des apostats?

Nous avons un énorme problème avec l’islam en Occident aujourd’hui. Tout d’abord, regardons quelles en sont les causes, puis les conséquences, et enfin les moyens de résoudre ce problème.

Le processus d’islamisation a été causé par l’immigration, couplée à notre impuissance à exiger que les immigrants adoptent nos valeurs. Il y a cinquante ans, il y avait un millier d’immigrants musulmans aux Pays-Bas. Aujourd’hui nous en avons un million, soit 6% de notre population.
Aux Pays-Bas, Mohamed est actuellement le second prénom le plus populaire parmi les nouveaux-nés de sexe masculin au niveau national, et le plus populaire dans nos trois plus grandes villes, Amsterdam, Rotterdam et La Haye. C’est aussi le cas à Bruxelles la capitale belge, Oslo la capitale norvégienne, Londres la capitale britannique, et même en réalité dans toute la Grande-Bretagne.

Nous avons échoué à exiger que les immigrants adoptent nos valeurs judéo-chrétiennes et s’assimilent dans notre société. Et en voici quelques conséquences: il y a peu de loyauté envers nos patries.
Un sondage de novembre dernier parmi les jeunes Turcs vivant aux Pays-Bas a indiqué que 80% d’entre eux considéraient comme légitime la violence de groupes tels que l’état islamique à l’encontre des non-croyants. Un sondage antérieur a montré que 73% des musulmans de mon pays considèrent que les Néerlandais musulmans qui partent combattre en Syrie sont des héros. Vous m’avez bien entendu: des héros!

Bien sûr, et je le répète partout où je vais, je n’ai rien contre les musulmans. Avant les menaces de mort dont je suis l’objet, je me suis rendu dans pratiquement tous les pays musulmans et j’y ai rencontré beaucoup de gens sympathiques. Je sais qu’il y a de nombreux musulmans modérés qui ne vivent pas selon les préceptes violents du Coran. Les musulmans peuvent être modérés. Mais l’islam modéré n’existe pas. L’islam a changé l’Europe au point qu’on ne peut plus la reconnaître.

Je vous invite à venir en Europe et à visiter certaines de nos villes. Je vous ferai faire la visite. Nous vous conduirons un peu partout. Vous pourrez le voir de vos propres yeux. Vous n’en croirez pas vos yeux.
De nombreux quartiers de villes européennes ne paraissent plus européens. Nous sommes confrontés à des voiles, à des burqas, à la polygamie, et à une énorme sympathie pour les buts et les pratiques de groupes terroristes tels que l’état islamique et Al Qaeda.

Les vannes de l’immigration sont grandes ouvertes.
L’année dernière, un nombre record de 218000 immigrants a traversé la Méditerranée en bateau.
Ceux qui ont atteint l’Europe sont les plus chanceux. Beaucoup de ces bateaux coulent et les immigrants se noient.
Une catastrophe humanitaire se déroule sous nos yeux. La Méditerranée est en train de devenir une Mer de la Mort.
En ce moment même, il y a environ un million d’immigrants, la plupart musulmans, en train d’attendre en Afrique du Nord de pouvoir traverser la Méditerranée dans des bateaux pourris. Ils prennent le risque de se noyer parce qu’ils savent que l’Europe ne les renverra pas une fois qu’ils auront traversé. C’est pourquoi de plus en plus de gens essayent de traverser. Cette situation doit prendre fin.

L’Union Européenne a décidé d’envoyer des bateaux de guerre pour recueillir les immigrants et les transporter en Europe. Cette politique est stupide. Elle va encourager encore plus de gens à tenter la traversée. L’Europe devrait suivre l’exemple de l’Australie. La marine australienne repousse les bateaux d’immigrants au-delà de ses eaux territoriales. Si ces bateaux sont vraiment pourris, les Australiens leur fournissent de bons bateaux avec de l’eau et de la nourriture, mais ils ne laissent pas un seul immigrant rentrer dans leur pays. Les résultats des Australiens sont excellents: de moins moins de gens essayent de rentrer en Australie par bateau, de moins en moins de gens se noient, et les criminels qui organisent ce trafic sont en train de perdre leur revenu.

Ces bateaux constituent en outre un risque énorme de sécurité. L’état islamique les utilise comme porte d’entrée en Europe. L’EI a récemment claironné depuis la Libye: « Nous conquerrons Rome avec la permission d’Allah ». La British Quilliam Foundation a vu un document de l’EI révélant que des jihadistes sont sur le point de traverser la Méditerranée en se faisant passer pour des immigrants auprès des passeurs. Ils veulent attaquer ce qu’ils appellent « les états croisés » d’Europe.

Le plan des Nations-Unies de donner asile à un million d’immigrants dans des pays occidentaux donnera l’opportunité aux jihadistes d’infiltrer ces pays, y compris les Etats-Unis. Il donnera aux terroristes la possibilité de s’installer dans nos pays sans les vérifications requises pour l’obtention d’un visa ou d’un permis de résidence.

Nous ne devrions pas faire cela. Une grande majorité de citoyens Européens désapprouvent la façon dont leurs dirigeants gèrent l’immigration. De plus, il y a de nombreux pays sûrs où les immigrants à destination de l’Occident pourraient aller, y compris les riches états du Golfe qui n’hébergent pratiquement aucun demandeur d’asile aujourd’hui.

L’immigration, et tout particulièrement l’immigration islamique, a des conséquences dévastatrices. Elle a rendu nos pays moins sûrs. Ce que cela signifie, nous l’avons vu l’été dernier dans ma ville, La Haye. Des sympathisants de l’état islamique ont paradé dans les rues. Ils ont brandi des croix gammées et le drapeau noir de l’EI. Ils ont crié « Mort aux juifs ». C’était vraiment une vision effrayante, qui nous a rappelé les périodes les plus sombres de notre histoire.

Cela indique à quel point une société autrefois si paisible et tolérante comme celle des Pays-Bas a changé suite à l’immigration islamique de masse.

Dans chaque nation occidentale, il y a des jihadistes autochtones, prêts à se livrer à la violence. L’EI les appelle les « loups des villes ». Nos media préfèrent parler de « loups solitaires », mais ils ne sont pas solitaires: ils sont des milliers. D’après l’office de police européen Europol, 5000 jihadistes autochtones ont quitté l’Europe pour aller se battre en Syrie et en Irak.

La situation est extrêmement sérieuse. En janvier dernier, un responsable de l’EI a déclaré que son organisation avait déjà envoyé 4000 combattants en Europe. 4000 loups des villes sont lâchés en Europe. En Allemagne, le renseignement militaire a même prévenu que des jihadistes avaient infiltré l’armée.

Notre devoir est clair. Pour résoudre ce problème, nous devons arrêter en Occident l’immigration de masse en provenance des pays islamiques. Et nous devons nous débarrasser du relativisme culturel.

Les autorités européennes et américaines ont essayé d’empêcher des jihadistes de partir pour la Syrie ou l’Irak.
Mais je dis: Ne faites pas cela. Laissez-les partir s’ils veulent partir. Mais ne les laissez jamais revenir.

Empêcher le départ de ceux qui veulent aller porter le Jihad ailleurs sans les emprisonner est de la pure stupidité. Peut-être vous rappelez-vous que les jihadistes qui ont assassiné des soldats au Canada à l’automne dernier étaient des gens que les autorités avaient empêché de partir pour la Syrie et qui n’avaient pas été arrêtés mais au contraire laissés libres dans la nature.

Nous devons précipiter leur départ plutôt que de l’empêcher. Mais nous devons jamais les laisser revenir. Si vous partez faire le jihad, vous perdez votre droit à notre nationalité et nous ne vous laisserons jamais revenir. C’est comme ça que ça devrait être.

Dans mon pays et dans les autres états de l’Union Européenne, nous avons signé le soi-disant Accord de Schengen, nous avons supprimé toutes les contrôles frontaliers entre les 26 états membres de l’espace Schengen. Cela signifie que les jihadistes d’un état peuvent librement voyager dans les autres états et y commettre leurs crimes. Et cela est déjà arrivé. L’année dernière, un jihadiste de France, qui rentrait juste de Syrie, est allé en Belgique et a assassiné 4 personnes au Musée Juif de Bruxelles.

Sans frontières une nation ne peut pas garantir la sécurité de ses citoyens. Elle ne peut pas non plus préserver son identité et sa culture nationales. Je crois que l’une des choses les plus vitales que nous autres Européens devons faire est d’oublier Schengen et de rétablir des contrôles frontaliers nationaux.

Mes amis, nous sommes dans le même bateau.
Et nous devons faire notre devoir.
Nous devons dire la vérité sur l’islam, afin que nos électorats soient au fait du danger.
Nous devons protéger notre civilisation judéo-chrétienne, pour que nous enfants connaissent la paix et la prospérité.
Nous devons défendre nos frontières, pour que nos familles soient en sécurité et l’identité de nos nations préservée.
Nous devons nous tenir aux côtés d’Israel et de toutes les nations libres menacées par l’islam.
Et par dessus tout, nous devons faire preuve de courage.
Comme l’a dit le grand Ronald Reagan: « Le futur n’appartient pas aux âmes sensibles »

Merci.

Geert Wilders

Nos remerciements à Riposte Laïque