Fribourg : un Kosovar expulsé après… 13 condamnations dont un viol !

Arrivé en Suisse à l’âge de 10 ans, un Kosovar a commencé à garnir son casier judiciaire bien avant sa majorité. Vingt-six ans, quatre avertissements et un viol plus tard, il est expulsé.

Né en 1982 et arrivé en Suisse le 1er avril 1992 pour y rejoindre son père, un Kosovar au casier lourdement chargé va devoir retourner au pays. Le Tribunal cantonal fribourgeois (TC) a en effet rejeté le recours qu’il avait formé contre la décision, prise par le Service de la population et des migrants (SPoMi), de ne pas renouveler son permis de séjour. Avant d’en arriver à une telle mesure, ledit service lui avait adressé, entre 2002 et 2009, pas moins de quatre avertissements en raison de ses fréquents démêlés judiciaires. Sa condamnation à 4 ans de prison pour le viol d’une adolescente aura été celle de trop.

C’est à l’âge de 15 ans que l’homme a commencé à garnir son casier judiciaire: brigandages, vols, infractions à la loi sur les stupéfiants et à la circulation routière (...)

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Fribourg : procès en appel d’un Kosovar et d’un Macédonien pour assassinat.

Les deux hommes, originaires respectivement de Macédoine et du Kosovo, avaient été condamnés début 2016 en première instance à la prison à vie pour assassinat.

Le crime commis était une vengeance dans le cadre d'un long conflit sanglant entre des familles suspectées de trafic de stupéfiants, qui a fait de nombreuses victimes au Kosovo, dont plusieurs enfants.

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Fribourg : Armé d’un couteau, le requérant d’asile avait agressé à deux occasions. Déclaré schizophrène, sa peine est réduite, sans expulsion.

Christian Hofer : A noter que pour ces deux condamnations portant clairement sur la sécurité de notre population, il n'est même pas fait mention d'expulsion, contrairement aux promesses de la socialiste Sommaruga.

Quant à être "requérant d'asile" alors que le Maroc n'est nullement en guerre, cela démontre à quel point le Maghreb se débarrasse de ses criminels en Europe, en pompant nos ressources sociales. Il faut vraiment faire preuve d'une stupidité abyssale pour se laisser faire à ce point.

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Un jeune Marocain de 28 ans condamné en 2012, puis 2016, à 7 ans de prison au total pour deux attaques de noctambules a pu obtenir une remise de peine devant la justice fribourgeoise, rapporte «La Liberté» de mercredi.

En 2012, le Tribunal de la Sarine avait condamné l'homme à 3 ans de prison pour avoir poignardé un noctambule sans raison apparente. Le Marocain, dit s'être senti provoqué alors qu'il se trouvait sous l'emprise d'alcool et de drogue. De retour en liberté en 2015, il a attaqué une nouvelle fois un inconnu au couteau.

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Fribourg : Violente bagarre au port de Portalban. Il s’agirait d’un règlement de comptes entre Albanais.

Une violente bagarre a eu lieu le mardi 8 mai au port. Deux frères albanais qui travaillaient sur un bateau ont été attaqués par des assaillants.

Au stade actuel, il existe deux pistes: celle d’une guerre entre deux clans ou un règlement de comptes lié à une affaire de drogue.

«L’attaque a été commanditée par un grossiste du canton de Fribourg qui accuse les deux frères de lui avoir volé 50 kg de marijuana», signale un homme bien introduit dans ce milieu. Il s’étonne de la présence d’un des frères en Suisse: «Il a déjà été condamné pour trafic de stups. Officiellement, il vit en Macédoine.»

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Suisse: Un Roumain obligeait sa femme à se prostituer. Il la frappait régulièrement et dépensait son argent.

Un jeune Roumain sera expulsé de Suisse pour avoir contraint son épouse à se prostituer entre Fribourg et Genève. Il dilapidait les revenus de madame en jouant en casino.

L’accusé a admis avoir organisé l’exploitation sexuelle de son épouse d’un an sa cadette, et mère de ses trois enfants. Une compatriote illettrée, «achetée» en 2008 à sa belle-famille – par le paiement d’une dot –, qu’il admet avoir régulièrement frappée.

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Pendant que les dealers restent intouchables à Lausanne, on taxe les citoyens: 655 francs pour avoir fumé une clope dans son bistrot

A comparer avec le traitement des dealers à Lausanne où le responsable de la police prétend que sa marge de manœuvre est limitée car "ils sont titulaires de titres de séjour européens".

Voilà ce qu'est devenue la Suisse sous les coups de boutoir de la gauche.

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La justice fribourgeoise a infligé 300 francs d'amende et 355 francs de frais à la patronne d'un café gruérien.

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Fribourg: Une Tunisienne sera expulsée pour abus d’aide sociale. Entrée avec ses 4 enfants, elle avait reçu près de 300’000.- et refusait de travailler.

Entrée en Suisse en 2002, avec ses quatre enfants, pour rejoindre son époux dont elle s’est séparée en 2009, une Tunisienne de 58 ans a bénéficié, depuis, de près de 300 000 francs d’aide sociale.

Versé par sa commune de domicile dans le canton de Fribourg, ce montant en croissance régulière a fait tiquer le Service de la population et des migrants ­(SPoMi), qui a fini par révoquer son permis d’établissement en janvier 2017, après plusieurs avertissements.

La quinquagénaire a notamment été invitée, en vain, à trouver un emploi et à emménager dans un appartement au loyer plus modeste.

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Christian Hofer: Je tiens à remercier en particulier Info pour tous les articles qu'il nous transmet.

Fribourg. Chevrilles: Le centre pour requérants d’asile voit le jour malgré l’opposition de la population.

Lorsqu'un journaliste de la RTS justifie le totalitarisme de gauche où les droits du peuple autochtone n'existent plus:

"La communauté locale s'est fait une raison."

 

 

 

Rappels:

Sommaruga refuse d’écouter le peuple: «Pas de retour en arrière pour le Centre d’asile de Chevrilles»

Ce sera 300 requérants d’asile pour un village de 1’500 habitants

Fribourg: Désacralisation d’une chapelle pour y héberger des requérants d’asile

 

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Fribourg. Marsens: Un requérant d’asile afghan met le feu à son lit pour passer dans les médias

Marsens »   Soigné à l’hôpital psychiatrique de Marsens, un requérant d’asile afghan de 30 ans a bouté le feu à son lit. Rapidement maîtrisé, cet incendie a causé des dégâts mineurs au lit, au matelas et aux rideaux de la chambre.

Interrogé sur son geste, l’homme a déclaré, dans un discours dont la cohérence n’était pas le point fort, avoir voulu s’immoler par le feu. Mais aussi avoir voulu être libéré de l’établissement (ce qui est peu utile quand on est mort). Et enfin prendre contact avec les médias pour faire connaître à la population sa situation personnelle pénible.

Il n’a fait qu’ajouter une couche à son malheur en se faisant condamner à six mois de jours-amende avec sursis et une amende ferme de 900 francs pour incendie intentionnel peu grave. Antoine Rüf.

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Nos remerciements à Info

Fribourg. Bulle: Une voleuse Erythréenne saccage une Migros et agresse les employés (Vidéo)

Une femme qui volait à l'étalage dans un commerce de la gare a causé des dommages et s'en est pris au personnel.

Esclandre dans un commerce près de la gare de Bulle jeudi vers 18h00. Le personnel a interpellé une femme, une Erythréenne de 20 ans, qui tentait de voler des victuailles. Elle a été placée en arrestation provisoire par la police cantonale fribourgeoise, indique celle-ci dans un communiqué.

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Fribourg, cathédrale St Nicolas : un texte à la gloire d’allah

Témoignage d'un lecteur :

Je vous écris afin de vous relater la découverte que j'ai faite à Fribourg, dimanche à l'aube, alors que je passais devant la cathédrale Saint-Nicolas. Il s'y trouvait sur la porte d'entrée un texte à la gloire d'Allah, collé à l'aide d'adhésif rouge sang, sans menaces, truffé de fautes d'orthographe, rédigé sur un ton dithyrambique.

Dans le contexte actuel, je considère cet acte comme particulièrement indécent et provocateur.

Je dispose encore de ce papier, ainsi que d'une photographie où, hélas, on devine difficilement la porte de la cathédrale. A cet instant, particulièrement en colère, je n'ai pas eu la présence d'esprit de m'appliquer à photographier la chose en l'état...

Je garde ces preuves à votre disposition.

Y. A. (nom connu de la rédaction)

Un Centre islam et société ambigu

Ci-dessus : L'équipe du centre. A droite son co-directeur et fondateur, Hansjörg Schmid

Par Mireille Vallette

Texte paru dans la lubrique "Opinion" du Temps, le 17 novembre 2017, versions papier et électronique.

Le Centre suisse islam et société (CSIS) de l’Université de Fribourg propose de multiples formations pour les acteurs des mosquées et encourage leur présence dans les institutions profanes. Mais est-ce bien le rôle de l’Etat? interroge l’essayiste Mireille Vallette.

Jusqu’où favoriser l’islam et ses propagateurs au nom de l’intégration? Le Centre suisse islam et société (CSIS) de Fribourg donne ses réponses. Elles mériteraient pour le moins un débat.

Le CSIS propose de multiples formations pour les acteurs des mosquées et encourage leur présence dans les institutions profanes. Ses partis-pris oscillent entre orthodoxie et modernisme.

Le Centre ne semble voir aucun radicalisme en Suisse. Qu’elles soient albanaises, turques ou bosniaques, toutes les associations islamiques manifestent un formidable dynamisme, offrent de multiples activités qu’il importe de renforcer. Le CSIS ignore la discrimination sexuelle de ces lieux dans les prières, cours de religion, débats, conférences ou encore l’obligation du foulard et l’intense endoctrinement des enfants.

Dans un rapport sur les besoins en formation continue, il énumère un nombre saisissant d'activités à mettre en œuvre, financées par les pouvoirs publics. Et le rapport annuel 2016 montre un processus en plein essor.

Dans les mosquées, les enseignants de religion et de langues, les imams, les animateurs de groupes de jeunes, les animatrices de groupes de femmes, etc. profitent de formations telles que communication, pédagogie, didactique des langues et de l'enseignement de l'islam, gestion de conflits ou management associatif.

Est-ce le rôle de l’Etat de financer des méthodes modernes d’enseignement de l’arabe, de l’islam, des manières plus dynamiques d’animer les activités des mosquées?

A l'extérieur, l'aumônerie dans les prisons, les hôpitaux, les foyers pour réfugiés représente un bassin d'emplois prometteur. Mais avant d’officier, les futurs aumôniers ont aussi besoin de multiples formations. Plus généralement, tous les secteurs à forte minorité musulmane (écoles, Centres de loisirs, aide sociale, etc.) auront besoin d’experts musulmans.

Le CSIS favorise aussi la prise en charge des réfugiés (enseignement de la langue d’origine, formations, services administratifs divers) par les mosquées. Peut-on les considérer comme un moyen d’intégration des immigrés musulmans alors que selon deux livres récents, le radicalisme -salafisme et Frères musulmans- les imprègnent en réalité profondément?* N'est-ce pas aux services profanes de l’État d’assumer cette tâche?

Le CSIS forme aussi des professionnels en contact avec des musulmans (policiers, soignants, enseignants, etc.). Il se veut le moteur d’un islam moderne. Mais il invite son public à accepter les revendications religieuses. Il annonçait son premier séminaire par la photo d'une musulmane avec ordinateur et foulard. Deux collaboratrices portent le couvre-chef islamique. Mallory Schneuwly Purdie, spécialiste de la formation, se félicite de la décision du Tribunal fédéral d'autoriser le foulard des fillettes à l'école. Elle pense que la religion n'est pas une affaire privée. Halal à l’école ou congés pour le ramadan, par exemple, sont «des aménagements» qui peuvent favoriser le vivre ensemble. Une membre du Conseil consultatif du CSIS se déclare favorable aux salles de prières dans des établissements scolaires.

D’un organisme de niveau universitaire, on attendrait quelques recherches scientifiques: sur la fabrication du Coran et la production des hadiths passées au filtre de l’archéologie, de l’épigraphie, de la linguistique, et l’organisation débats contradictoires. Récemment, le CSIS a choisi d’être la caisse de résonance de la victimisation des adeptes du prophète. Son colloque consacré à «l’hostilité envers les musulmans» a réuni une quinzaine d’intervenants: tous ont défendu le même point de vue et dénoncé l’islamophobie. Association suisse vigilance islam a envoyé au Centre une pétition munie de près de 800 signatures qui demande l’organisation de colloques critiques.

Question textes, le Centre ne distingue pas science et foi conformément à l’orthodoxie islamique. Ses étudiants planchent sur les «disciplines scientifiques de l’islam», soit l’exégèse du Coran, ou sur la «science des hadiths».

La Suisse doit-elle engager des moyens financiers aussi élevés pour renforcer une religion et ses pratiques, et les faire infuser dans ses institutions profanes?

*A lire: «La Suisse, plaque tournante islamiste» (en allemand) de Saïda Keller Messahli  et «Le radicalisme dans les mosquées suisses» de Mireille Vallette.

Mireille Vallette, essayiste et journaliste

 

Fribourg: Un Kosovar de 35 ans a pris la poudre d’escampette dans la nuit de vendredi à samedi.

Dans la nuit de vendredi à samedi, un détenu s’est évadé depuis sa cellule à la Prison centrale, à Fribourg. Il s’agit d’un des auteurs de l’assassinat de Frasses.

Les investigations et recherches entreprises n’ont pour l’heure pas permis son interpellation, indique un communiqué de la police cantonale fribourgeoise, mardi.

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Suisse. Fribourg: Un Macédonien attaque un policier avec un couteau. “Il souffre de troubles psychologiques.”

Un homme souffrant de troubles psychologiques a agressé un agent de police avec un couteau de cuisine dans la nuit de samedi à dimanche au poste de police de Granges-Paccot. Indemne, le policier a été protégé par le vitrage du guichet.

L'homme, un Macédonien âgé de 31 ans, s'est présenté à la réception du poste de police de Granges-Paccot dimanche, vers 1 h du matin, pour soit-disant déposer plainte. Il a soudainement sorti un couteau de cuisine de 11 centimètres de long et a tenté de blesser l'agent qui se trouvait au guichet. L'agresseur a ensuite été interpelé et maîtrisé par les agents présents au poste. Personne n'a été blessé.

Déjà connu des services de police pour des violences envers les fonctionnaires par le passé, l'homme a reconnu les faits. Souffrant de troubles psychologiques, il a été consulté par un médecin, qui a ordonné son placement dans une institution, à des fins d'assistance.

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Islamisation: le Centre islam et société en pleine phase de conquête!

Ci-dessus : Les collaborateurs du centre. A droite, le directeur Hansjörg Schmid

 

Par Mireille Vallette

Le Centre islam de Fribourg étend son influence avec un succès fulgurant sur la sphère islamique et sur la société profane. En mêlant allègrement science, prosélytisme et croyance.

Pour éviter de s’égarer, voyons d’abord comment le Centre suisse islam et société (CSIS) contre lequel j’avais déjà mis en garde ici et ici, se présente:

«Son objectif est d’apporter, au travers de ses activités, une contribution au vivre-ensemble dans notre société plurielle, en soulevant les questions centrales de l’auto-interprétation religieuse des musulmans et en développant des solutions pour répondre aux défis sociétaux. D’une part, le CSIS encourage l’articulation scientifique de l’islam dans la société suisse. D’autre part, tenant compte des savoirs islamiques, il favorise la discussion académique d’une perspective musulmane sur les questions sociétales.»

Cette éclairante entrée en matière étant faite, voyons comment elle s’illustre dans le rapport annuel 2016 du centre. Il témoigne d’une activité débordante qui enthousiasme médias et autorités, et attire de plus en plus d’imams et d’acteurs des associations islamiques (qui gèrent les mosquées et leurs diverses activités). Le CSIS possède deux atouts maîtres pour séduire ces derniers: l’assurance d’un financement croissant de leurs activités par le contribuable, et une maîtrise parfaite du discours qu’apprécient médias et autorités, une maîtrise de la communication que les prosélytes de l’islam désirent tous ardemment posséder.

Les experts du CSIS ont commencé des coopérations avec les universités et les Hautes écoles, noué des liens avec tous les organismes qui s’occupent d’islam en Suisse, organisé des cours, conférences et colloques. Et proposé des ateliers de formation continue «de Lugano à Bâle et de Genève à Saint-Gall». Quelque 450 participants ont goûté à ces prestations gratuitement offertes aux musulmans (ce n’est pas précisé, mais c’était une demande du centre auquel les autorités ne peuvent rien refuser).

Les ateliers traitent notamment des «associations comme acteurs sociaux», de la sexualité et de la santé, de la prévention de la radicalisation (qui ne concerne bien entendu pas seulement l’islam), des jeunes. Et un thème récurrent: les aumôneries dans les hôpitaux et les prisons… qui représentent un bassin d’emplois très prometteur. Surtout qu’il va s’étendre: le CSIS évalue un projet-pilote d’aumônerie musulmane dans les centres fédéraux pour requérants d'asile. Il examinera la possibilité d’introduire cette aumônerie «à grande échelle». Soit une mine d’or pour le futur si l’on pense à tous les foyers susceptibles d’utiliser ces services, puisque les musulmans y logent en grand nombre et que les flux issus de sociétés déliquescentes, à la démographie insensée et aux conflits religieux millénaires ne sont pas près de tarir.

Injecte-t-on autant d’argent pour expliquer les attraits laïques de notre société? Le réfugié marocain Kacem Ghazzali n’en a rien vu.

Le contribuable finance son islamisation 

Le CSIS étend son pouvoir sur les 250 à 300 centres islamiques de Suisse, qu’ils soient wahhabites, turcs ou albanais, de même que sur la formation des professionnels en contact avec les musulmans: policiers, travailleurs sociaux, soignants, enseignants, personnel des prisons, collaborateurs des services de population et d'intégration, etc. Tous apprennent les bienfaits de l’islam sauce CSIS. Et les musulmans qui y participent s’initient aux moyens d’ouvrir des espaces religieux dans les domaines où travaillent tous ces professionnels.

L’on ne demande pas au contribuable s’il est d’accord de financer ces prosélytes afin qu’ils deviennent les rois de la communication tout en s’abstenant soigneusement de dire ce qu’ils enseignent de ces versets et hadiths qui indignent et inquiètent tant d’entre nous. La lutte contre l’islamophobie fait partie du kit proposé, mais pas, bien sûr, les raisons légitimes de cette hostilité. Le prosélytisme par le foulard et la dissimulation du corps est partout.

CSIS, rapport annuel, Fribourg

Esma Isis, diplômée et doctorante en «sciences islamiques» et collaboratrice du centre, illustre parfaitement que le fait de porter le foulard islamique va bien au-delà d’un simple signe d’identité religieuse. Elle témoigne aussi de la difficulté d’être croyante et de faire preuve d’un minimum d’objectivité. Selon elle, par exemple, on ne trouve nulle part dans le Coran, une discrimination entre hommes et femmes ou une hiérarchie entre les sexes! Il s’agirait là de normes et de valeurs culturelles.

Minona, dans son site Brisons le Mythe, donne une liste des versets sexistes du Coran, de même que les très nombreuses paroles de Mahomet qui les renforcent. Ils montrent l’inanité de cette obsession de musulmans modernistes non pas de rejeter ce que le Coran contient d’inacceptable, mais de lui faire dire ce qu’il ne dit pas et qu’ils aimeraient tant qu’il dise! On imagine qu’Esma Isis ne trouve pas non plus dans sa vision du Coran le moindre verset qui condamne au feu éternel tous les non-musulmans.

Notre croyante peut donc fièrement parler femmes musulmanes à un forum d’entrepreneurs, femmes et violence dans l’islam à une paroisse réformée, introduire l’islam à des élève d’un cycle d'orientation bernois. Et faire en sorte que son public se demande pourquoi il avait tant de préjugés à l’endroit de cette belle religion.

Par ailleurs, les chrétiens sont très utiles à ces activistes pour laisser croire qu’islam et christianisme, c’est du pareil au même. Quelques thèmes de l’année glanés ici ou là: «Pour ou contre la croix dans les écoles? Pour ou contre la burqa?» «Quel rôle la religion doit-elle jouer dans l’espace public? «Critique, contradiction, blasphème: questions au christianisme et à l’islam»…

Islamisation du radicalisme ?

Entre la thèse de Gilles Kepel et celle d’Olivier Roy, le CSIS a choisi: Roy soutient que la radicalité des candidats au djihad préexiste à l’islam, c’est «l’islamisation de la radicalité». Une analyse qui exonère cette religion de sa violence intrinsèque. Roy a été l’un des invités du CSIS en 2016.

Gilles Kepel défend la thèse inverse: il faut partir de l’islam, de l’hégémonie du discours salafiste pour comprendre les terroristes. Pour lui, le terme «radicalisation» comme celui d’«islamophobie» empêchent de mener le débat sur cette religion dont il rappelle par ailleurs que depuis le Xe siècle chez les sunnites, «la porte de l’interprétation du Coran est fermée, et les salafistes s’en emparent pour tenter d’imposer leur interprétation aux autres musulmans.» Kepel ne connait pas encore le CSIS qui à lui tout seul a secrètement rouvert la porte de l’interprétation du livre saint et essaie subrepticement d’en faire passer le seuil à son public.

Les bâtisseurs de pont ont besoin de passeurs

Selon le centre, les imams sont des «bâtisseurs de ponts», des médiateurs, des passeurs culturels. Il reste cependant à ces religieux quelques passerelles à franchir. Presque tous ont appris l’islam orthodoxe et ne parlent pas une des langues du pays. Les bâtisseurs de ponts ont donc un fort besoin d’intégration. Voilà encore une lourde tâche dont se charge le CSIS qui par ailleurs ne verrait pas d’un mauvais œil qu’on lui confie une formation d’imams.

Le centre est un institut interfacultaire: théologie, droit et lettres, dédié «à la formation de la relève scientifique et à la formation continue dans le domaine islam et société». Les doctorants sont des croyants musulmans. Ils acquièrent «des connaissances dans le canon classique des disciplines scientifiques islamiques». Ce doux mélange de croyances et de science est permanent. Et vu qu’il y a partout des néophytes profanes à éclairer et des musulmans à intégrer, former, rendre conscients de leurs capacités, le savoir de ces experts prosélytes sera très apprécié. Pour eux, l’avenir professionnel est radieux. Le programme souligne ces opportunités.

Commentaires

Les dirigeants du CSIS ont une approche plutôt novatrice l’islam. De quoi donc nous plaignons-nous? A vrai dire de pas mal de choses.

De ce centre «interfacultaire» de niveau universitaire, on attendrait quelques recherches réellement scientifiques: sur la nature de l’islam, la fabrication du Coran, la production de ses hadiths, l’empire croissant de la littéralité des textes dans le monde musulman et en Europe et ses dramatiques conséquences, la fidélité des exégètes depuis un millénaire à cet islam fossilisé et intolérant.

La présentation du centre citée en tête de cet article montre à quel point ses responsables entretiennent la confusion entre sciences et religion. Dans un premier article, le directeur du centre Hansjörg Schmid m’expliquait la signification de l’expression «sciences islamiques»: «Il s’agit de l’exégèse du Coran, des Hadiths, du droit islamique, de la mystique et de la théologie systématique, donc une pluralité de disciplines, comme dans les théologies chrétiennes.» Soit aucun fondement scientifique. Et si l’on passe le récit musulman au filtre de l’histoire, de l’archéologie, de l’épigraphie ou de la linguistique, il ne reste pas grand-chose de ces «sciences».

Autre étrange expression: «l’auto-interprétation scientifique islamique». «C’est l’idée de la modernité, me précisait Hans-Jörg Schmid, de la réflexion critique que des penseurs musulmans pourront mener dans notre centre.» Je maintiens ma remarque à ce propos: «Alors que les Occidentaux réfléchissent, critiquent et interprètent, les musulmans évolués «auto réfléchissent» et «auto interprètent»… Pour ne pas donner l’impression qu’ils remettent en cause l’orthodoxie de leur religion?»

Selon la vision du centre, la Suisse doit engager des moyens financiers extraordinairement élevés pour renforcer une religion déjà en pleine phase de conquête et d’occupation de l’espace public, et rendre plus efficaces ses zélateurs.

Les chrétiens (auxquels on n’a jamais appris gratuitement à mieux communiquer et à rendre leurs actions plus efficaces) se laissent instrumentaliser dans cette opération-suicide avec une complaisance qui laisse pantois.

Le CSIS, qui veut amadouer ses cibles, fait comme si les centres islamiques étaient préservés du radicalisme et du littéralisme, alors que les deux y sont présents en force (cf. mon livre, « Le radicalisme dans les mosquées suisses »). Comme d’ailleurs dans son «Conseil consultatif».

Le CSIS détruit doucement mais sûrement le caractère séculier de notre société. Sous couvert d’intégration, il forme des travailleurs sociaux «musulmans», des animatrices «musulmanes», des éducateurs «musulmans», des chercheurs «musulmans». Nous souhaitons nous, dans tous les domaines, des professionnels profanes, comme c’était le cas jusqu’à l’arrivée de cette immigration. Et ne pas verser un kopek pour rendre plus efficace le bourrage de crâne que pratiquent les mosquées, et en partie… le CSIS.

L’implicite de ce vaste dispositif, c’est que contrairement à ce que pourraient laisser penser les atrocités et les sociétés liberticides qu’il produit, l’islam n’est que peace and love. Nous sommes en pleine ère de l’imposture.

Le pire, c’est que toutes les autorités étant entrainées dans ce mouvement, on ne peut compter sur personne pour surveiller les activités de ce centre. Jusqu’à maintenant, pas le moindre contre-pouvoir, pas de vision contraire, pas d’examen critique. La Suisse s’islamise discrètement, dans l’enthousiasme des politiques et l’ignorance des populations.

csis,rapport annuel,fribourg

Source : blog de Mireille Vallette

Opération intox sur le voile à Fribourg

Par Mireille Vallette

 

Ce texte a été publié ce mardi par Le Temps. Il met en évidence cet extraordinaire renversement: les services d'intégration n'ont pas pour but d'intégrer les femmes musulmanes à nos valeurs, mais d'intégrer le reste de la population aux leurs. 

 

«L’exposition sur le voile accueillie par l’Université de Fribourg n’est qu’une vaste campagne d’intoxication au foulard, dénonce la présidente de l’Association suisse «vigilance islam» Mireille Vallette.

Comment les responsables cantonaux de l’intégration en sont-ils venus à considérer que faire accepter le foulard islamique est un de leur rôle-clé? Et qu’il est légitime dans ce but de financer des expositions fort onéreuses avec débats, conférences, visites guidées, films, etc.

Fribourg est le dernier en date à proposer (jusqu’au 27 mai) l’exposition «Voile et dévoilement», prétexte à organiser une vaste campagne d’intoxication au foulard. L’exposition tourne dans les organismes d’intégration depuis 2012.

Pourquoi ceux, et ils sont nombreux, qui condamnent ce couvre-chef et la dissimulation du corps qui l’accompagne sont-ils interdits de parole ?

Un article de La Liberté l’explique. Pour Ula Stotzer, déléguée à la cohésion sociale, ces festivités sont censées «diminuer les préjugés et les amalgames, ainsi que la peur et le rejet des femmes voilées et des musulmans», «déconstruire ces préjugés».

Tout est dit: amalgames, peur, rejet, préjugés… Il est impensable que l’on s’oppose au foulard au nom d’idéaux, de valeurs, d’une conception égalitaire des relations entre hommes et femmes.

Pourtant, parmi les opposants au foulard, beaucoup sont de culture musulmane. Sont-elles islamophobes et racistes, ces intellectuelles féministes? Joumana Haddad pour qui le voile est un outil de discrimination religieux, puisqu’imposé aux femmes seulement. L’Helvético-Yéménite Elham Manea qui le voit comme une idéologie où la femme est «source de vice dont il faut protéger l’homme en la rendant responsable de la séduction qu’elle exerce sur de pauvres êtres faibles». Et la menace de l’enfer fait de la liberté de choix une imposture. Pour Monia Sanekli, l’idée du voile suppose l’existence «d’un mâle soit incapable de contrôler ses instincts, soit sexuellement impuissant». Et Saïda Keller Messahli: «Si on veut mener un débat substantiel sur le voile, il est indispensable de parler de sexualité. Les djihadistes, dont la première cible est le corps des femmes, le confirment. C’est un symptôme de notre temps, ces tabous qu'on n'ose pas discuter, ces sujets refoulés (…) Cette injonction à se couvrir est un terrain propice à la régression.»

Après l’esclavage, les croisades et la colonisation, voici que nos islamophiles ont trouvé… le voile chrétien! Extrait de la présentation de l’expo: «Aujourd’hui essentiellement assigné à l’islam, le voile était tout d’abord imposé aux femmes par les arguments religieux du christianisme.» Constatons en tout cas que les chrétiennes s’en sont libérées depuis longtemps, alors que les musulmanes sont de plus en plus nombreuses à le porter. Et pas que lui: niqab et  burkini ont fait leur apparition. La ségrégation sexuelle règne dans les mosquées.

Muriel Besson, responsable du service égalité de l’université affirme dans le même article de la Liberté: «Le grand préjugé » est de croire que le voile est imposé, que ces femmes sont soumises. «Autant de stéréotypes à combattre …» Sauf que chacun sait que le foulard est porté volontairement comme facteur majeur de la conquête culturelle de nos sociétés. Et comme l’affirme Chahdortt Djavann: «La servitude n’est ni moins haïssable ni moins condamnable quand elle se dit ou se croit volontaire. (…) porter le foulard, ici, est un appui aux dictatures islamistes qui imposent la burqa là-bas. Le voile est l’emblème même du dogme islamiste.»

Comment les musulmanes en sont–elles venues à prendre pour symbole de leur religion celui de la servitude des femmes, de leur exclusion de l’espace public, de leur rôle de répulsif de la libido masculine?

Une table ronde aura lieu le 4 mai pour débattre du sujet. Toutes les intervenantes sont en faveur du foulard. Vous n’y entendrez donc pas Abnousse Shalmani, Franco-Iranienne: «…dans l’espace musulman, le corps de la femme est obsessionnel. Dès que des barbus prennent le pouvoir, la première loi qu’ils votent est le port du voile obligatoire. » « Le voile (…) sous-entend une série de convictions qui sont incompatibles avec la République et la démocratie.»

Le Centre islam et société est de la partie. Il a délégué une de ses collaboratrices pour dialoguer avec Agnès de Féo à propos de son film où témoignent des femmes en niqab. Pour elle, «… leur démarche, en refusant la jouissance du regard masculin sur leur corps, se rapproche davantage d’une revanche féministe et d’une forme de castration symbolique des hommes. Idem pour le hijab, le jilbeb (réd: longue robe informe) et le burkini.»

Sauve-qui-peut!

Mireille Vallette, essayiste, présidente de l’Association suisse vigilance islam.»

Article paru en premier sur le site de Mireille Vallette

 

Fribourg: Un Africain, hyperviolent et au casier judiciaire très chargé, brise le tibia d’un policier d’élite

La troupe d'élite de la police fribourgeoise était à Bellechasse à cause d'un Ivoirien violent en août 2016. Un caporal a quitté les lieux avec un tibia cassé.

Un détenu ivoirien a donné bien du fil à retordre aux autorités pénitentiaires à Bellechasse, l'été passé. Selon le quotidien «La Liberté», l'homme dont le casier judiciaire comporte une douzaine de condamnations est devenu furax à cause d'une sanction disciplinaire en prison. L'Africain âgé de 34 ans a agressé trois collaborateurs de l'établissement pénitentiaire.

«Le récalcitrant s'est débattu, bousculant les agents, leur crachant dessus, les injuriant, menaçant le directeur et le personnel de la prison», énumère le quotidien fribourgeois.

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Fribourg: Un projet de milice pour le centre fédéral de requérants de Chevrilles

Un groupe de citoyens veut mettre sur pied une milice pour surveiller les environs du futur centre fédéral pour requérants d'asile de Chevrilles (FR), rapporte mardi La Liberté. Un appel a été lancé sur Facebook.

"Le centre de requérants est situé au coeur d'une région appréciée des promeneurs. Elle doit pouvoir être utilisée sans crainte", explique au quotidien fribourgeois le cofondateur du groupe William Aeby.

La milice serait constituée de huit personnes atteignables via un numéro de téléphone que les Fribourgeois pourraient composer en cas de problème. L'action serait "préventive" et "sans violence", selon la page Facebook "Communauté d'intérêts de la Gouglera".

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