Eglise et immigration – Un discours matérialiste ?

   
Michel Garroté - Pierre Selas, sur Info Catho, signale que des dizaines d'affiches protestant contre le Pape François et son action sont apparus un peu partout sur les murs de Rome. On peut y voir une photo en gros plan du Pape fronçant les sourcils avec une expression particulièrement sombre.
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Au bas de l’affiche, sur un fond violacé, on peut y lire en italien mâtiné de dialecte romain : « Hé, François, tu mets sous tutelle des Congrégations, tu chasses des prêtres, tu décapites l’Ordre de Malte et les Franciscains de l’Immaculée, tu ignores des Cardinaux, elle est où ta miséricorde ? ».
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Le affiches sont anonymes et ne contiennent ni signature, ni symboles, mais on peut facilement faire le lien avec les milieux conservateurs qui manifestent chaque jour davantage leur opposition au magistère, aux mesures et à la ligne pontificale du pape Bergoglio, ajoute Pierre Selas, Info Catho.
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Un autre événement a été très brièvement évoqué sur Les Observateurs sous le titre : "Le pape et le suicide de la civilisation européenne". Ci-dessous, j'y reviens plus en détail.
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Ce qui est frappant dans le discours du pape et des chrétiens de gauche sur l'immigration, selon Laurent Dandrieu (sur Le Rouge & Le Noir), c’est son matérialisme sous-jacent (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : les conditions de vie matérielles sont toujours mises en avant, et jamais mises en balance avec la déperdition culturelle subie par le candidat à l’émigration en raison de l’arrachement à sa patrie. Et de la même façon, le fait qu’une immigration massive puisse bouleverser les fragiles équilibres d’une identité nationale n’est pas réellement envisagé.
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Dans son message pour la Journée mondiale du migrant 2011, Benoît XVI innove bien en stipulant que « les immigrés ont le devoir de s’intégrer dans le pays d’accueil, en respectant ses lois et l’identité nationale » – cette mention de l’identité nationale est inédite dans ce genre de documents –, mais on a l’air de croire qu’il s’agit seulement d’une question de bonne volonté, que l’identité nationale ne peut pas être sérieusement mise en danger par la seule présence massive d’immigrés d’une autre culture et d’une autre religion. Or, dans le même temps, l’Église condamne inlassablement les politiques d’assimilation, que Jean-Paul II renvoie même dos à dos avec les politiques d’apartheid, au nom du droit de l’immigré de garder sa culture d’origine.
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Donc, l’Église minore ou ignore le danger que l’immigration de masse fait peser sur l’identité culturelle et spirituelle d’un pays, en même temps qu’elle accroît ce danger en interdisant à ce pays de s’en prémunir par une politique d’assimilation. Il y a à la fois un fantasme d’une conversion massive des musulmans en Europe qui serait prophétiquement préparée par le discours d’accueil tous azimuts de l’Église et des gestes comme celui du pape François ramenant de Lesbos, dans son avion, trois familles de clandestins musulmans, et une réticence concrète d’une grande part de cette même Église à accueillir les musulmans qui veulent se tourner vers le Christ.
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Les témoignages abondent de musulmans découragés par un prêtre de se convertir au christianisme, leur conseillant plutôt de rester fidèles à l’islam. Quand le pape lui-même ne cesse de faire l’éloge de l’islam et dit à de jeunes musulmans, comme il l’a fait en 2014 : « La foi que vos parents vous ont inculquée vous aidera toujours à avancer », il est difficile d’y voir une démarche d’évangélisation très affirmée.
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De fait, s’il existe un petit mouvement de conversions de l’islam au catholicisme sur le continent européen, massivement c’est le contraire qui se passe : ce sont des prédicateurs musulmans radicaux qui sont en train, non seulement de conduire les masses musulmanes issues de l’immigration vers un islam de plus en plus rigoriste, mais aussi de convertir à cet islam radical nombre d’Européens de souche privés de tout repère spirituel par la laïcisation de la société, ajoute Laurent Dandrieu, sur Le Rouge & Le Noir (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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https://www.infocatho.fr/une-premiere-historique-des-manifestes-contre-le-pape-sur-les-murs-de-rome/
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https://www.lerougeetlenoir.org/opinions/les-inquisitoriales/laurent-dandrieu-les-souffrances-des-europeens-sont-sorties-du-champ-de-vision-de-l-eglise
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Le mépris envers les “catholiques populaires”

   
Michel Garroté - En France, le problème des "migrants" divise l'Eglise en deux blocs : d'une part, le bloc des catholiques de gauche qui, dans le sillage du pape François, voient l'afflux massif de migrants musulmans comme une bonne chose ; et d'autre part, le bloc des catholiques populaires et identitaires, qui voient cet afflux migratoire comme une mauvaise chose. Deux blocs donc : le bloc des fidèles méprisables (les catholiques populaires et identitaires) et le bloc des gentilles élites (les catholiques de gauche), élites censées "guider" (en toute modestie...) ces mêmes fidèles, trop bêtes pour comprendre par eux-mêmes, que le Christ était dès le commencement, demeure et restera à jamais, un militant de la CGT, un messie mélenchonnique.
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A ce propos, sur Aleteia, Laurent Dandrieu écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Dans les années 1970, le père Serge Bonnet, sociologue et dominicain, était parti en guerre contre un certain clergé [gauchisant] qui faisait la chasse au catholicisme populaire, cette religiosité un peu trop basique aux yeux de ce même clergé [gauchisant] ; catholicisme populaire indigne du bel édifice théologique en lequel ce clergé [gauchisant]   avait caricaturé le catholicisme. Au nom de ce mépris du catholicisme populaire, on fit la traque aux processions, à la communion solennelle, aux dévotions mariales, à tout un tas de pratiques suspectées de transformer la religion en « opium du peuple ».
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Le père Serge Bonnet, lui -- dont plusieurs écrits ont été récemment réédités aux éditions du Cerf, sous le titre "Défense du catholicisme populaire" -- rappelait que quand l’Église ne répondait plus à ces besoins populaires de voir reconnu et exprimé « le sacré, la crédulité, le goût du merveilleux, la superstition, la peur », ces besoins populaires allaient se satisfaire ailleurs, dans toutes sortes de fausses religiosités et d’idoles néo-païennes. Et il dénonçait, avec une vigueur de polémiste, « l’abandon religieux dans lequel est laissé le grand nombre parce qu’une petite caste impose une conception élitiste, sectaire, politicarde et cléricale de la religion ». Au nom d’une « foi adulte », l’Église des années 60 et 70 a tourné le dos au peuple, méprisant au passage, comme le notait déjà le père Bonnet, le « patriotisme populaire ».
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Aujourd’hui, au nom d’une foi vide de tout attachement à sa communauté naturelle, attachement dénoncé comme un communautarisme et comme une « crispation identitaire », un certain cléricalisme [gauchisant], laïc ou religieux, d’ailleurs beaucoup mieux représenté au sommet de la hiérarchie ecclésiale qu’à la base, l’Église semblant souffrir de la même coupure que le reste de la société entre les fidèles et les élites censées les guider, ce cléricalisme [gauchisant] veut poursuivre cette stratégie suicidaire, aboutissant à se couper du peuple au nom d’un mépris du « catholicisme culturel », regardé de haut, ajoute Laurent Dandrieu (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://fr.aleteia.org/2017/01/25/la-nouvelle-tentation-cathare/
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Laurent Dandrieu est l'auteur de "Église et immigration : le grand malaise", paru aux éditions Presses de la Renaissance en 2017.
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Allemagne : profanation dans une église de Sarrebruck par un “artiste”

L’affaire remonte au tout début de l’année dernière. Les autorités ecclésiastiques du diocèse catholique de Trier furent informées, en février 2016, d’une vidéo, diffusée lors d’une exposition artistique, montrant Alexander Karle, un “artiste” de 38 ans, entrant dans la basilique Saint-Jean de Sarrebruck, franchissant la balustrade séparant la nef du sanctuaire de l’église, grimpant avec ses chaussure sur l’autel et y accomplissant 27 pompes…

Le curé de la paroisse porta plainte pour profanation d’un lieu de culte. Le procès s’est tenu à Sarrebruck mardi 17 janvier dernier, et notre “artiste”, niant tout offense et excipant de la liberté d’expression artistique, n’a été condamné qu’à une amende de 700 €…

Source : Catholic News Agency, 19 janvier Via Christianophobie.fr

 

Italie. La crèche multiculturelle de l’église: Marie avec un voile musulman et un bateau rempli de migrants

Dans la ville de Potenza en Italie, une crèche avec une embarcation remplie de réfugiés, le drapeau arc-en-ciel (LGBT) et Marie voilée telle une femme musulmane.

À chacun sa crèche, par charité. A Naples on insère Maradona, à Potenza on s'efforce de la faire ressembler à une "scène de la nativité islamique": la Vierge avec le voile, Saint-Joseph qui ressemble plus à un imam qu'à un charpentier, une tente bédouine à la place d'une étable et une bannière arc-en-ciel remplaçant l'étoile du berger.

 

Qui sait ce qu'aurait pensé saint François en voyant "son" berceau réduit à cet état dans la paroisse de Sainte-Anne à Potenza. Quand la ville de Greccio a mis en scène pour la première fois la nativité (voir la vidéo), Jésus, Joseph et Marie avaient des visages et des aspects occidentaux. Les bergers aussi. Les moutons aussi. Et il n'y avait pas d'autre intention que de raconter à la population la grandeur de la naissance du Christ, le Sauveur.

 

Aujourd'hui, cependant, entre ceux qui décident de ne pas le faire et ceux qui l'utilisent à d'autres fins, la crèche est en train de devenir la caricature de ce qu'elle était.

Inutile de tourner autour du pot: il est étonnant de voir la Vierge Marie qui couvre son visage avec un voile islamique. Certains d'entre vous diront qu'à cette époque les femmes étaient couvertes. Même si c'est le cas, sur les images sacrées de la tradition occidentale, Marie porte certes un voile léger, mais son visage est découvert.

La Vierge Marie selon la tradition chrétienne.

Celle de Potenza est une exagération (délibérée?). Comme le sont la tente bédouine au lieu de la grotte et l'inscription "Bâtissons des ponts, pas des murs" au-dessus de la Sainte Famille. La barque des réfugiés détonne aussi en substitution des bergers.

En publiant les premières photos de la crèche de Potenza dans Imola Aujourd'hui, Marialuisa Bonomo souligne à juste titre que l'Eglise ne peut pas tomber dans l'erreur d'échanger la piété chrétienne et le respect envers les musulmans en légitimant la foi islamique. Car si croire en Mohammed ou en Jésus devient «la même chose», alors les racines mêmes de l'Eglise s'effondrent, le sens profond de la foi qui doit nécessairement reconnaître le Christ comme le seul sauveur du monde.

 Les musulmans reconnaissent Jésus comme un prophète et la Vierge Marie est mentionnée dans le Coran? Vrai. Mais pour eux, Marie n'a jamais donné naissance au Fils de Dieu et le Nazaréen a indiqué Mohammed comme le «sceau des prophètes." Un chrétien peut-il justifier cela? Non, il ne devrait pas. Mais si nous ne sommes pas en mesure de faire un berceau "traditionnel", imaginez défendre les principes fondamentaux de la foi.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

“Thriller” au Vatican ?

   
La papauté de François a créé au Vatican une atmosphère très différente de celle de Jean-Paul II et de Benoît XVI, sous lesquels Rome était un lieu considérablement plus accueillant pour les fidèles en visite, laïcs et religieux. Très médiatisé (très aimé des médias et lui-même adorant se faire interviewer...), le Pape François, selon de nombreux témoignages, n'en reste pas moins un homme autoritaire ne supportant pas la moindre "critique" à son endroit au sein de l'Eglise. Des médias catholiques commencent à évoquer ce problème de "communication", médias catholiques tels que "Lifesitenews", "LifeSite Faithful Insight", "OnePeterFive" et "Reginamag.com", tous cités par le site catholique français "Le Salon Beige" (voir lien vers source en bas de page).
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"Lifesitenews" :
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Tout cela est notamment confirmé par cet article de "Lifesitenews" dont voici quelques extraits : Notre visite (ndmg - récente) à Rome a été la plus dramatiques des nombreuses visites bisannuelles que nous y avons faites au cours de ces dix dernières années. Après avoir rencontré des cardinaux, des évêques et d'autres membres des dicastères et institutions vaticanes, John-Henry Western, notre nouveau journaliste à Rome, Jan Bentz et moi-même avons observé une tendance générale et omniprésente à l'anxiété et à une peur bien réelle chez les fidèles serviteurs de l'Eglise. Beaucoup redoutaient de perdre leur position, d'être licenciés de leurs emplois dans les institutions vaticanes ou bien de souffrir de graves réprimandes publiques ou d'accusations personnelles de la part de l'entourage du pape ou même de François lui-même.
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Ils ressentent également un grand stress et de la peur devant les dommages occasionnés à l'Eglise, dommages qu'ils sont incapables d'arrêter. Vers la fin de notre visite, un clerc de haut rang a confirmé nos observations. Il a ajouté "On peut sentir la peur. Elle est tangible." Un autre, qui avait toujours été disponible pour aborder les crises difficiles, nous a immédiatement prévenu qu'il ne discuterait pas, même hors micro, des controverses actuelles. Il nous a été demandé de ne lui poser aucune question sur ces sujets. Vers la fin de notre visite nous avons pu aborder l'une de ces controverses et l'ampleur des informations qui lui étaient inconnues a pu être évaluée. La publication des lettres "dubia" par ceux que nous savons maintenant être six courageux cardinaux, silencieusement soutenus par 20 à 30 cardinaux, a très clairement initié une atmosphère accrue de peur et d'intimidation au Vatican.
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Le journaliste de LifeSiteNews, Pete Baklinski, a rapporté que l'évêque Athanasius Schneider (évêque auxiliaire d’Astana au Kazakhstan) a raconté avoir ressenti une "grande stupéfaction" devant ce qu'il a appelé la nature "inhabituellement violente et intolérante" de la réaction à ces lettres, ajoutant qu'une telle réaction est contraire à l'appel du Pape pour le "dialogue et l'accueil d'une légitime pluralité d'opinions". La papauté de François a créé à Rome une atmosphère très différente de celle des papes Saint Jean-Paul II et Benoît XVI, sous lesquels Rome était un lieu considérablement plus accueillant pour les guerriers de la Culture Catholique de la Vie que nous sommes.
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Un autre billet du 23 novembre informait que les cardinaux Burke et Pell ont été officiellement exclus de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements et que "la composition de la Congrégation a récemment été saignée, tandis que de nombreux progressistes ont été nommés en remplacement". Ceci a efficacement neutralisé et rendu silencieux le très orthodoxe Cardinal Sarah, dirigeant de la Congrégation.
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Le Cardinal Ouellet, chef de la Congrégation des Evêques, n'a également plus d'autorité réelle, alors que des exécutants nommés par François ont maintenant la haute main sur la nomination des évêques. Les évêques nommés actuellement sont pour la plupart tenants des vues les plus radicalement libérales, tels que les désormais cardinaux Cupich et Farell ou encore l'évêque de San Diego Robert McEltoy. Et bien entendu, il a été fait interdiction au Cardinal Pell de poursuivre sa pourtant nécessaire réforme des institutions et procédures financières du Vatican, toujours minées par la corruption (cette information provient d'une source indiscutable).
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L'Académie pontificale pour la vie, à l'origine fondée personnellement par le pape Saint Jean-Paul II et le non moins saint Professeur Jérôme Lejeune, a été transformée en profondeur et l'archevêque kasperite Vincenzo Paglia a été choisi par le pape François pour en prendre la tête. La condition originelle établie par Saint Jean-Paul II et par le Professeur Lejeune selon laquelle les membres de l'Académie devaient signer une déclaration affirmant qu'ils défendaient l'enseignement pro-vie de l'Eglise a été supprimée ; le mandat de l'Académie a été changé en un assortiment harmonieux se concentrant désormais sur les questions environnementales. L'appartenance à vie de beaucoup des éminents membres originaux de l'Académie a été révoquée. Ce n'est sans doute pas une coïncidence qu'un nombre significatif de ces membres d'origine, amis chers à Jean-Paul II et au Professeur Lejeune, ont été permis les critiques les plus sévères et les plus pointus du pape François.
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Claire Chretien a rapporté que le pape François a encensé le théologien moral allemand Bernard Häring, l'un des plus importants opposants à l'encyclique Humanae Vitae du Pape Paul VI en 1968, pour sa nouvelle moralité, dont le pape a affirmé qu'elle aidait "la théologie morale à prospérer". Pouvez-vous imaginer l'impact de cette déclaration de François sur tous ceux à la curie et dans les institutions vaticanes, et sur tous les pasteurs du monde entier, qui tous ont reçu des papes Saint Jean-Paul II et Benoît XVI la consigne de défendre fermement Humanae Vitae ? Que va-t-il advenir d'eux désormais, dans le climat actuel de grave intimidation, s'ils poursuivent ce qui a pour eux été naturel durant des décennies en union avec les enseignements magistraux Catholiques sur le sujet de la contraception, enseignements qui courent depuis l'extrême origine de l'Eglise ?
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"LifeSite Faithful Insight" :
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Dans son éditorial du prochain numéro du magazine de "LifeSite Faithful Insight", John-Henry Westen expose d'autres choses qu'il a découvertes : Les universités catholiques de Rome sont observées et les enseignements des professeurs sont examinés pour s'assurer de ce qu'ils sont en conformité avec l'interprétation libérale d'Amortis Laetitia. Les clercs sont dénoncés à leurs supérieurs si on les a entendus exprimer quelque inquiétude au sujet du pape François. Beaucoup ont peur de parler ouvertement, même ceux qui, par le passé, étaient toujours prêts à le faire. Des journalistes du Vatican nous ont dit avoir été avertis de nombreuses fois de ne pas avoir à parler des lettres dubia.
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C'est comme si la Rome catholique s'était changée en un état religieux policier en raison de ce que les lettres dubia sont perçues comme une grande menace pour certains agendas politiques.
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"OnePeterFive" :
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Dans un article sur le site "OnePeterFive", le vaticaniste Maike Hickson a écrit : J'ai entendu des témoignages selon lesquels le Vatican est comme un Etat occupé. Certaines des sources avec qui j'ai parlé craignent que les communications avec des officiels du Vatican soient espionnées ; certains ont même rapporté d'étranges anomalies lors de certaines conversations téléphoniques, lesquelles, après une interruption de l'appel, se poursuivaient par une boucle audio répétée encore et encore des derniers instants de la conversation. Certaines personnes qui travaillent au Vatican conseillent à leurs contacts extérieurs de ne pas partager d'informations sensibles par mail ou via les téléphones mis à disposition par le Vatican.
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"Reginamag.com" :
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Hickson poursuit en citant la réponse de l'estimé correspondant vaticaniste Ed Pentin à l'occasion d'une longue interview au site "Reginamag.com", interview intitulée "Y a-t-il un règne de la terreur au Vatican ?" : La réaction du pape, qui est allé jusqu'à mettre en cause la santé mentale des quatre cardinaux, a été interprétée comme une manifestation de sa propre colère d'avoir son agenda politique perturbé. Et au lieu de prendre les quatre cardinaux au mot (lesquels ont dit avoir agit avant tout par devoir de charité envers le Saint Père, par équité et par une profonde inquiétude pastorale), ceux-ci sont vus comme des adversaires.
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A ce que je sais, le Pape a également travaillé derrière la scène pour s'assurer de ce que son agenda politique ne serait pas contrarié. A partir d'article publiés stratégiquement dans l'Osservatore Romano ou par des réponses ambigües à ceux qui l'interrogent si ceux qui critiquent publiquement les dubia l'ont fait à sa demande, François se comporte, ainsi qu'un observateur a pu le dire, comme "un lobbyiste politique en coulisse". Dans les trois semaines qui ont suivi la publication des dubia, le pape a donné trois interviews aux médias planétaires, toutes ayant pour objectif de légitimer sa position et dénigrer ses critiques.
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Enfin, il est important de noter qu'en juxtaposant simplement les déclarations du pape et de ses alliés il est clair qu'il y a de considérables mensonges et tromperies à l'oeuvre en ce moment, ainsi que des calomnies et des atteintes à la réputation de ceux qui sont étiquetés "à droite" simplement parce qu'ils ont ouvertement critiqués Amoris Laetitia, ou même simplement évoqué ces critiques. Cela me peine sincèrement de dire tout ceci, parce qu'en tant que journaliste catholique l'on ne souhaite aucunement porter atteinte au ministère de Pierre, mais je pense que j'ai une obligation de rapporter ce qui est en train de se produire".
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Grèce : profanation d’une église en Crète par un musulman

Hier, vendredi 16 décembre, un musulman (ou plusieurs), a pénétré dans l’église orthodoxe Saint-Michel-Archange proche de Lagoliou en Crète (Grèce), un lieu de pèlerinage vénéré des orthodoxes grecs. Il l’a vandalisée, profané et incendié l’iconostase et d’autres endroits de l’église, et il a tracé sur les murs des Allahou Akbar (dieu est le plus grand).

 

 

Source : Protothema.gr, 17 décembre (merci M. M. P. de ce signalement) Via Christianophobie.fr

Egypte: l’attentat dans une église copte ciblait les femmes et les enfants (MàJ: Deux autres vidéos)

Toutes les victimes, à une exception près, étaient des femmes et des enfants. La bombe, probablement introduite dans une poussette, a en effet été placée dans la section de l’église réservée aux femmes et aux enfants.

Selon l’enquête préliminaire, la bombe pesait près de douze kilo et contenait des fragments métalliques destinés à déchiqueter les victimes. Des scènes de colère se sont déroulées aux abords de la cathédrale. La foule a verbalement agressé des célèbres présentateurs de télévision ainsi qu’un haut responsable de la police.

Malgré leur soutien au président Sissi, un nombre croissant de coptes pense que l’Etat ne les défend pas assez contre les agressions des islamistes. Depuis le début de l’année les coptes ont subi une vingtaine d’agressions perpétrées par des salafistes. Des chrétiens ont été chassés de leur village et leurs biens ou chapelles incendiés sans qu’aucune condamnation ne soit prononcée par la justice.

RFI via Fdesouche.com

 

Suède : des migrants défèquent et se masturbent dans une église et y perturbent les cérémonies

Voici ce que le site Breitbart, reprenant un article du Kristianstadsbladet, nous apprend…

« Les chrétiens ont désormais peur de se rendre à l’église [luthérienne] de la Sainte-Trinité [de Kristianstad] car les nouveaux arrivants [entendez : les “migrants”] viennent y hurler et briser des bouteilles d’alcool pendant les services, s’y masturbent, urinent et défèquent dans l’église […] Pendant les baptêmes [a signalé Bengt Alvland, administrateur de l’église], ils ont essayé d’arracher des enfants des bras du prêtre ou des parents alors que la cérémonie était en cours […] ».

La police a autorisé l’église à recruter des agents de sécurité pour protéger ses services religieux et les cérémonies de mariages et de baptêmes…

Sources : Breitbart, 9 décembre ; Kristianstadsbladet, 8 décembre Via Christianophobie.fr

Egypte: Attentat à la bombe dans une église en pleine célébration d’une messe! Au moins 25 chrétiens morts!

Au moins 25 personnes ont été tuées dimanche, et 31 blessées, dans un attentat à la bombe en pleine célébration à l'intérieur d'une église copte orthodoxe au Caire. L'explosion, entendue dans tout le quartier, a eu lieu vers 10H00 (08H00 GMT) dans l'église Saint-Pierre et Saint-Paul, contiguë à la cathédrale copte Saint-Marc, siège du pape de l'église copte Tawadros II selon le ministère de la Santé. Selon la télévision d'Etat qui citait des responsables de la sécurité, la bombe était constituée de TNT.

Il s'agit de l'attentat le plus meurtrier contre la communauté chrétienne dans un passé récent. Le 1er janvier 2011, un attentat non revendiqué avait fait 23 morts et 79 blessés à la sortie d'une église copte après la messe du Nouvel An à Alexandrie, deuxième ville du pays.

Source

Allemagne: La visite d’une église est interdite pour des écoliers, mais celle de la mosquée est obligatoire

Une classe de troisième a été interdit de visiter une église catholique dans le cadre d'une excursion. Dans le même temps, les parents d'un élève qui refusaient que leur enfant visite une mosquée ont reçu une amende. La liberté de religion en 2016.

Pendant des années, l'excursion pour la Communion à l'Eglise catholique locale des élèves de troisième année de l'école élémentaire de Ebersberg a été une tradition chère à la municipalité. Cependant, au printemps prochain, cette excursion sera annulée. Le directeur interdit la visite de l'église durant les heures de cours et justifie son interdiction en déclarant qu'il n'est pas admissible d'amener des élèves et des parents, qui ne font pas partie de la foi catholique, à subir, à cause de cette visite, un dilemme de conscience personnel et de détresse.

Toutefois, toute la thématique devient absurde, avec la décision simultanée d'une école dans le nord de l'Allemagne à Rendsburg. Il y avait là, dans le cadre de l'enseignement de la géographie (!) une visite d'une mosquée. Un écolier de 13 ans a refusé de participer à la visite pour des «raisons idéologiques». Même ses parents ont refusé de se soumettre à la pression de la direction scolaire. Ils craignent un «endoctrinement religieux» de leur enfant. Ils refusent le paiement de l'amende qui s'élève à 300 euros.

Cette mosquée gérée par une association, laquelle est surveillée par les services secrets allemands, n'est pas inquiétante pour le Département. De plus; même la participation de l'étudiant à un cours de remplacement dans une autre classe ne doit pas être acceptée selon le Département.

Dès lors, pendant que les visites dans les églises catholiques conduisent les personnes à "des dilemmes de consciences et de détresse", les visites des mosquées sont par contre forcées et sous la contrainte.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

(la photo utilisée n'est qu'une illustration et provient de l'article source)

 

Cathédrale orthodoxe de Paris : Mohamed Sifaoui critique « Poutine qui vient planter ses merdes »

Mohamed Sifaoui qui est un journaliste, écrivain et réalisateur franco-algérien installé en France.

On rappelle la loi sur l'incitation à la haine contre un groupe religieux en France.

 

mohamed

 

via Fdesouche.com

Calais : rixe géante, les migrants afghans musulmans voulaient attaquer l’église des Érythréens

Ce mardi, aux alentours de 18 heures, une rixe a éclaté sur la partie sud du campement de la Lande de Calais entre plus d’une centaine de migrants mineurs érythréens et afghans.

fdesouche

Les forces de l’ordre sont intervenues immédiatement pour séparer ces deux groupes et le dispositif de sécurité a été renforcé au sein du CAP. Il sera maintenu toute la nuit. Les quelque 1500 mineurs isolés qui vivent dans les conteneurs du Centre d’accueil provisoire (CAP) situés sur l’ancienne « jungle » de Calais seront évacués à partir de ce mercredi [...]

Le Dauphiné

via Fdesouche.com

Avec François le Vatican s’est soumis à l’islam

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Michel Garroté - Le pape Benoît XVI a mis en doute publiquement la capacité d'adaptation de l'islam à une société pluraliste et il a pris ses distances avec le programme de dialogue inter-religieux des moines franciscains d'Assise. Il a fait sien le point de vue des modérés et conservateurs italiens qui estiment que le dialogue inter-religieux doit avoir pour principe directeur la réciprocité. Il a par exemple trouvé naïf que soit permise à Rome, la construction d'une mosquée financée par des capitaux saoudiens, - la plus grande d'Europe -, alors que les pays musulmans interdisent la construction d'églises et de missions. Dans sa conférence de Ratisbonne, Benoît a fait ce que le monde islamique interdit : discuter librement de la foi. Il a déclaré que Dieu est différent d'Allah.
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A ce propos, Giulio Meotti, rédacteur culturel à Il Foglio, journaliste et auteur italien, écrit notamment : Depuis, les excuses sont devenues la politique officielle du Vatican en direction du monde islamique. François a nié que l'Islam soit violent en soi et affirmé que toutes les religions ont un potentiel de violence, y compris le catholicisme. Auparavant, François a affirmé qu'« une guerre mondiale » était en cours, mais a nié que l'Islam y joue un rôle quelconque. « Il est clair que les musulmans ont un but ultime : la conquête du monde ... Mais il nous est difficile de reconnaître cette réalité et d'y répondre par une défense de la foi chrétienne. J'ai entendu plusieurs personnes émettre cette idée islamique : « là où, dans le passé, les armes ont échoué, nous réussirons aujourd'hui avec le taux de natalité et l'immigration ». La population est en train de changer. Si cela continue ainsi, des pays comme l'Italie auront une population qui sera en majorité musulmane. Et quelle peut être la plus belle conquête ? Rome ».
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Le 11 septembre a marqué le début du djihad contre l'Occident, mais le 12 septembre demeurera la plus belle génuflexion culturelle de l'Occident envers l'islam. Le 12 septembre 2006, le Pape Benoît XVI (Joseph Ratzinger) a atterri en Bavière ou il est né et a commencé d'enseigner la théologie. La conférence qu'il a donné devant la communauté universitaire de Ratisbonne est aujourd'hui considérée comme le discours papal le plus controversé de ce dernier demi-siècle. En ce dixième anniversaire de la conférence de Ratisbonne, les mondes occidental et islamique auraient dû présenter leurs excuses à Benoit. Mais c'est le contraire qui a eu lieu : le Vatican a présenté ses excuses aux musulmans.
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A Ratisbonne, le pape Benoît a énoncé les contradictions internes de l'Islam contemporain, mais a également proposé un terrain de dialogue avec le christianisme et la culture occidentale. Le Pape a parlé des racines juives, grecques et chrétiennes de la foi de l'Europe, expliquant en quoi elles différaient du monothéisme islamique. Le pape a cité l'empereur byzantin, Manuel II Paléologue : « montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau. Tu ne trouveras que des choses mauvaises et inhumaines, comme le droit de défendre par l'épée la foi qu'il prêchait ».
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Ce baril de dynamite était adouci d'une citation des sourates de jeunesse de Mahomet : « Il n'y a pas de contrainte en religion ». Une sourate écrite à une époque où « Mahomet était sans pouvoir et menacé » a précisé Benoit. Le discours du pape Benoît XVI n'a pas surpris. « L'inquiétude du pape envers l'islam n'était pas un secret » a écrit Christopher Caldwell dans le Financial Times. « Il a mis en doute publiquement la capacité d'adaptation de l'islam à une société pluraliste. Il a rétrogradé l'un des principaux conseillers de Jean-Paul II sur le monde islamique et a pris ses distances avec le programme de dialogue inter-religieux des moines franciscains d'Assise. Il a fait sien le point de vue des modérés et conservateurs italiens qui estiment que le principe directeur du dialogue inter-religieux doit être la réciprocité. Autrement dit, il trouvait naïf qu'on permette à Rome, la construction d'une mosquée - financée par des capitaux saoudiens -, la plus grande d'Europe, alors que les pays musulmans interdisent la construction d'églises et de missions ».
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Dans sa conférence de Ratisbonne, Benoît a dressé les tréteaux du drame de notre temps et, pour la première fois dans l'histoire de l'Eglise catholique, un pape a parlé de l'Islam sans recourir aux habituelles platitudes. Il a fait ce que le monde islamique s'interdit : discuter librement de la foi. Dieu est différent d'Allah a-t-il dit. Des choses que l'on n'a plus jamais entendues. La citation de Manuel II Paléologue a fait le tour du monde, secouant la oumma [la communauté musulmane], qui n'a pas manqué de réagir violemment. Bien entendu, la presse internationale a unanimement condamné « l'agression du pape envers l'islam ». La réaction au discours du pape montre qu'il a eu raison. Des dirigeants musulmans au New York Times, le monde entier a exigé que le Pape présente des excuses et se soumette. Les grands médias ont fait de lui un incendiaire digne du « Choc des civilisations » de Samuel Huntington. Dans les zones sous contrôle de l'Autorité palestinienne, des églises ont brûlé et des chrétiens ont été attaqués. Les Islamistes britanniques ont appelé à « tuer » le pape, mais Benoît les a mis au défi.
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En réaction, en Somalie, une religieuse italienne a été abattue. En Irak, Al-Qaïda a décapité et mutilé un prêtre orthodoxe syrien faute d'avoir obtenu que l'Eglise catholique présente ses excuses. La Fraternité musulmane égyptienne a promis au pape des représailles. Un dirigeant pakistanais, Shahid Shamsi, a accusé le Vatican de soutenir « l'entité sioniste ». En Turquie, Salih Kapusuz, numéro deux du parti de celui qui était à l'époque Premier ministre (et qui est aujourd'hui président) Recep Tayyip Erdogan, a comparé le pape Benoît XVI à Hitler et Mussolini. En Iran, le Guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, a affirmé que les paroles du Pape Benoît prouvaient sa participation à « la conspiration américano-israélienne » et témoignaient de son appartenance à la « conspiration des croisés ».
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Le dispositif de sécurité autour de Benoît fut immédiatement renforcé. Deux ans plus tard, le pape fut interdit de parole à La Sapienza, la plus importante université de Rome. Après Ratisbonne, Benoît ne sera plus le même. Islamistes et conciliateurs occidentaux se sont entendus pour lui clouer le bec. Quelques jours après la conférence, épuisé et effrayé, le pape Benoît a présenté ses excuses. « Je suis profondément désolé des réactions de certains pays concernant quelques passages de mon adresse ... propos jugés offensants pour la sensibilité des musulmans », a déclaré le pape à des pèlerins qui le visitaient dans sa résidence d'été de Castel Gandolfo. La citation « n'exprimait en aucune façon mes pensées personnelles. J'espère que cela apaisera les cœurs ».
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Ces propos du Pape ont sans doute eu pour but d'apaiser la violence. Mais depuis, les excuses sont devenues la politique officielle du Vatican en direction du monde islamique. « Les positions par défaut vis-à-vis de l'islam militant ne vont pas sans rappeler malheureusement les positions par défaut de la diplomatie vaticane vis-à-vis du communisme tout au long des 25 dernières années de la guerre froide », a écrit George Weigel, un éminent spécialiste américain. Dans son nouvel agenda, le Vatican cherche « des accommodements politiques avec les États islamiques et renonce à toute condamnation publique des islamistes et de l'idéologie djihadiste ».
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Dix ans après une conférence de Ratisbonne plus pertinente que jamais après les attaques de l'Etat islamique sur le sol européen, un autre pape, François Ier, a multiplié les tentatives de séparer musulmans et violence, tout en évitant systématiquement de mentionner le mot interdit : islam. Sandro Magister, l'un des journalistes italiens les plus compétents sur les questions catholiques, analyse la situation ainsi : « Face à l'offensive de l'islam radical, l'idée de François est que « nous devons apaiser le conflit. Et oublier Ratisbonne ». Pas un représentant de la diplomatie vaticane aujourd'hui qui n'évite soigneusement toute référence à l'« islam » et aux « musulmans », ni ne dénie qu'un choc de civilisations soit en cours. De retour de la Journée Mondiale de la Jeunesse en Pologne, en août dernier, François a nié que l'islam soit une religion violente en soi. Il a affirmé que toutes les religions, y compris le catholicisme, disposent d'un potentiel de violence. François a certes reconnu l'existence d'une « guerre mondiale », mais a nié que l'islam y joue un rôle quelconque.
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En 2006, le pape Benoit XVI a déclaré ce qu'aucun pape avant lui n'avait osé dire, à savoir qu'il existe un lien entre violence et islam. Dix ans plus tard, le pape François n'a jamais osé nommer les responsables des violences anti-chrétiennes et n'a jamais mentionné le mot « islam ». En mai, François a expliqué que l'« idée de conquête » était partie intégrante de l'islam religieux, mais il a rapidement ajouté que cela revenait à interpréter le christianisme comme la religion de l'autre joue tendue. « L'islam authentique et la bonne lecture du Coran sont opposés à toute forme de violence », a proclamé le pape en 2013. Un an plus tard, François a déclaré que « l'islam est une religion de paix, compatible avec le respect des droits de l' homme et la coexistence pacifique ». Il a affirmé que ce sont les maux de l'économie mondiale, et non l'islam, qui inspirent le terrorisme. Voilà quelques jours, le Pape a ajouté que « les gens qui se disent chrétiens mais ne veulent pas de réfugiés à leur porte sont des hypocrites ».
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Le pontificat de François laissera ainsi la marque d'une mise en équivalence morale entre le christianisme et l'islam, équivalence qui dissimule les crimes commis par les musulmans contre d'autres musulmans, contre les chrétiens d'Orient et contre l'Occident. Mais de courageux cardinaux existent encore qui tiennent un discours de vérité. Raymond Burke, un des leaders du catholicisme américain, est de ceux-là. A l'occasion d'un récent entretien accordé à des médias italiens, il a déclaré : « Il est clair que les musulmans ont un but ultime : conquérir le monde. L'islam veut imposer la charia, leur loi, au monde et autorise la violence contre les infidèles, notamment chrétiens. Reconnaître cette vérité et élaborer une défense de la foi chrétienne nous est difficile. J'ai entendu plusieurs personnes défendre cette idée islamique : « là où dans le passé, nos armes ont échoué, nous réussirons aujourd'hui avec notre taux de natalité et notre immigration ». La population est en train de changer. Si cela continue, dans bien des pays comme l'Italie, la majorité de la population sera musulmane. l'Islam se réalise dans la conquête. Et quelle peut être sa réalisation la plus importante ? Rome ! ».
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Malheureusement, le premier évêque de Rome, François, parait sourd et aveugle à ces vérités importantes. Benoît XVI a mis cinq jours pour présenter des excuses après sa courageuse conférence. Mais il a ouvert une longue saison d'excuses vaticanes - dix ans - au terrorisme islamique. La visite de François à l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray, où le père Jacques Hamel a été assassiné par des islamistes se fait toujours attendre. Ce meurtre, dix ans après la conférence de Ratisbonne, prouve de la plus tragique manière que Benoît avait raison et François a tort, conclut Giulio Meotti.
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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https://fr.gatestoneinstitute.org/9158/vatican-soumet-islam
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Dans la plus vieille église de Paris, on chante la capitulation des infidèles devant Mahomet

Une vidéo récente montre des fidèles de l’église Saint-Julien-le-Pauvre, située Rive gauche de la Seine à Paris dans le Quartier latin, en train d’interpréter un chant traditionnel arabe chanté au prophète Mahomet lors de son arrivée à Médine (autrefois Yathrib) pendant l’Hégire.

« La pleine lune s’est levée, de la colline des adieux. Rendons-lui grâce, c’est une obligation, toute la vie à notre Dieu. Toi, Son apôtre, parmi les tiens ; nous t’accueillons avec ferveur ! Médine grandit de ton destin. Bienvenue au meilleur prêcheur ! »

Cette chanson a été composée et chantée en juillet 622 pour accueillir le prophète qui a fondé les bases du premier État islamique (Califat) à partir de cette ville.

https://youtu.be/iW4LxklNlGA

Les circonstances de la création de cette chanson renvoient à la capitulation des infidèles d’Arabie devant Mahomet.

Le 23 juin 622 à Aqaba, sur les bords de la mer Rouge, les représentants de Yathrib (une ville pré-islamique à 400 kilomètres au nord de La Mecque) signent avec Mahomet un pacte officiel de soumission et acceptent d’accueillir les disciples mecquois, au total 70 personnes.

Peu après, le prophète s’installe à Médine en compagnie de son compagnon de guerre Abou Bakr, pour fonder les bases du premier État islamique de l’histoire.

La chorale chante « Tala al-Badru Alayna » (La pleine lune s’est levée), l’un des plus anciens Nasheeds (poèmes musicaux musulmans) qui n’a aucune raison d’être repris dans cette Église (à moins bien sûr que les fidèles de l’église Saint-Julien-le-Pauvre approuvent l’objectif islamiste consistant à transformer la France en un État islamique). C’est ce à quoi on doit s’attendre, avec la montée croissante des communautés musulmanes du pays.

Pour les musulmans, en tout cas, ce chant évoque indiscutablement la soumission des non-musulmans. Comme il y a 1400 ans en Arabie.

Le fait de faire reprendre ce chant dans cette église équivaut à la capitulation devant l’Islam.

L’Église Saint-Julien-le-Pauvre, qui a été fondée en l’an 507, est la plus ancienne église de Paris, dont l’histoire ne s’est pas interrompue jusqu’à ce jour.

Au XIIIe siècle, après la création de l’Université de Paris toute proche, l’église Saint-Julien-le-Pauvre devint le lieu de réunion et de réflexion à la mode. Dante et Thomas d’Aquin l’ont fréquentée.

Et elle se transforme en un lieu dédié aux chants classiques islamiques du Califat ?

Peut-être que dans quelques siècles — ou moins — le destin de Paris sera comparable à celui de Médine, et la situation des Parisiens comparable aux polythéistes de l’Arabie…

Quel que soit le futur, les croyants doivent savoir aujourd’hui ce qui se chante dans leurs églises. Ce n’est pas le magazine La Croix qui va le leur dire : il est trop occupé à défendre l’islam.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Souhail Ftouh pour Dreuz.info.

Source

Suède : Les églises aident les migrants déboutés à se cacher

Les églises suédoises ont admis aider les migrants qui ont été déboutés en les cachant des autorités.

De nouveaux chiffres montent que plus de 12'000 migrants déboutés sont recherchés par la police après avoir disparu.

Et étonnamment, les églises soutiennent la fuite des migrants en leur donnant nourriture et médicament selon le journal SVT.

Deacon in Linköping, Anna Ramén, said she estimated that 500 to 1000 failed asylum-seekers have gone under ground in her area alone.

Anna Ramén, diacre de Linköping, estime qu'entre 500 et 1'000 migrants déboutés sont passés dans la clandestinité dans sa seule zone.

(...)

"L'aide que nous apportons n'est pas assez importante parce qu'ils sont trop nombreux"

Elle déclare: "Nous avons des lois et des règlements qui [sont en place] pour aider, mais parfois ces lois et ces règlements font aussi tomber les gens.

"Le fait que les gens perdent leur dignité humaine n'est pas en accord avec notre foi chrétienne."

Les Églises à Malmö et Göteborg ont également fourni une aide aux migrants qui se cachent pour échapper à l'expulsion.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Jeune Athéna

Allemagne: L’Iranien bénéficie de l’asile d’une église et abuse d’une fillette de 6 ans

Un Iranien de 34 ans aurait abusé d'une fillette de 6 ans samedi après-midi dans l'église de Schönhausen, située dans l'arrondissement de Stendal (Allemagne).

D'après les indications du ministère public de Stendal, l'homme au bénéfice de l'asile de l'église a été arrêté au moment du crime dans la maison de Dieu. L'enfant y était en visite.

La police judiciaire a relevé les traces et a arrêté provisoirement le suspect le soir même. L'homme de 34 ans se trouve actuellement en détentions préventives, déclare le ministère public.

Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Rappel: Foire du Valais: Les Eglises sensibilisent les visiteurs à la situation des requérants d’asile “L’accueil des étrangers est une exigence chrétienne”

Kosovo-et-Métochie : des étudiants albanais exigent la destruction d’une église à Pristina

Un groupe d’étudiants en mathématiques et sciences naturelles de l’Université Hasan Pristina, a fait parvenir un courrier à un média local de Pristina pour exiger que l’église du Christ-Sauveur, en construction depuis les années 1990 et qui se trouve désormais sur le campus de l’Université, soit détruite ou affectée à une autre destination comme une « bibliothèque », précisent-ils. Il est troublant que les autorités de la République autoproclamée du Kosovo n’aient point doté cette Université fondée en 2004, d’une bibliothèque…

Les étudiants mettent en garde : « Nous estimons que la construction n’a été entreprise que pour créer des tensions interethniques. Pour cette raison, nous nous sommes abstenus d’agir mais si la construction reprenait ces prochains jours, nous réagirions comme ont toujours réagi les Albanais du Kosovo ».

Pour ceux des lecteurs qui ignoreraient ce que cela veut dire, ils pourront parfaire leur instruction ici… Ces étudiants s’empressent de préciser qu’ils n’ont rien contre la religion – fondamentalement la religion musulmane… – ou des bâtiments religieux – des mosquées pensera-t-on… –, mais ils sont violemment opposés à la « dégradation » de leur campus… Sur la « dégradation » du bâtiment lui-même, ils demeurent curieusement muets. Je rappellerai aux lecteurs de L’Obs que cette église en cours de construction, sert habituellement de latrines pour les étudiants ou d’autres ressortissants de la République autoproclamée du Kosovo, et qu’on a tout récemment tenté de l’incendier… L’Église orthodoxe serbe avait entrepris, jeudi dernier, de nettoyer cette églises de tous les immondices qui s’y étaient accumulés et d’effacer les stigmates du récent incendie. Ce nettoyage a été immédiatement arrêté par les autorités municipales de Pristina au motif que l’Église n’avait pas reçu d’autorisation d’y procéder…

Source : Balkan Insight, 16 septembre via christianophobie.fr

Espagne : à peine relâché, le musulman incendiaire commet un nouveau forfait dans une église

Il y a tout de même, en Espagne, un laxisme judiciaire qui n’a rien à envier à celui que nous connaissons en France… Le même musulman d’origine marocaine, – âgé de 20 ans et répondant au prénom de Naoufal –, qui avait incendié, le 8 septembre dernier, l’église de Fontellas (Navarre), et avait été relâché quelques jours plus tard avec une simple interdiction de ne plus circuler à moins de 10 m de lieux de culte catholiques ( !), vient de récidiver…

Dans la soirée du mardi 13 septembre, il s’est introduit dans l’église de San Blas de Ribaforade (Navarre), a renversé l’antique Croix de pierre sur l’autel et décapité une statue saint Bartholomée, le saint patron de la commune. Il a été arrêté par la Guardia Civil. Il a reconnu être un adepte du djihadisme et en être à son cinquième forfait contre des lieux de culte catholiques… Espérons que, cette fois-ci, on ne le relâchera plus !

Sources : Navarra.com, 14 septembre ; Diario de Navarra, 14 septembre ; La Vanguardia, 16 septembre via christianophobie.fr

Espagne : un musulman incendie une église en Navarre

On nous dit que les musulmans sont respectueux de Jésus – enfin de celui qu’ils nomment Issa –, le fils de Marie (īsā ibn Maryam). Mais certains n’hésitent pas à en détruire ou à en profaner les effigies en Irak, en Syrie, en Égypte et même en… Italie (voir ici et ). On nous dit aussi que les musulmans sont respectueux de Marie, mère de Jésus. Mais ses effigies sont systématiquement profanées ou détruites en Irak, en Syrie et ailleurs (trop d’occurrences pour j’en mette les liens : on en retrouvera bien des cas sur ce blogue en cherchant un peu).

ACI Prensa vient de nous en signaler un tout dernier exemple en Espagne. Le 8 septembre dernier, jour où les catholiques fêtaient la naissance de Marie, un pyromane marocain musulman a incendié trois effigies de la Vierge Marie et un très ancien retable du XVIIe siècle, dans l’église de Fontellas (diocèse de Pampelune-Tudela) en Navarre. Sans l’intervention rapide des pompiers, alertés par le curé, c’est tout l’édifice qui aurait été ravagé par les flammes. Le jeune homme d’origine marocaine a été interpellé, il a reconnu les faits et les a même revendiqués estimant avoir, par son geste, gagné le paradis… Il est soupçonné d’être l’auteur d’autres attaques contre des églises catholiques autour de la ville de Ribera (Navarre) où il réside.

Source : ACI Prensa, 10 septembre ; La Gaceta, 10 septembre ; Navarra.com, 10 septembre

via christianophobie.fr

Génocide des chrétiens et lâcheté de l’Eglise

   
Michel Garroté - Les Etats-Unis ont dénoncé cette semaine les crimes de génocide perpétrés par le groupe Etat islamique (EI) contre les minorités de chrétiens, chiites et yézidis, dans leur "Tableau annuel des libertés religieuses dans le monde", dressé par le département d'Etat américain (Affaires étrangères). L'EI a poursuivi sa stratégie du massacre, que le secrétaire d'Etat John Kerry qualifie - à juste titre - d'être une stratégie de génocide depuis 2015, notamment contre les yézidis et chrétiens, dans les territoires qu'il contrôle.
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L'emploi du terme de génocide avait déjà été utilisé par Kerry et par des experts des Nations Unies pour qualifier les crimes perpétrés par les jihadistes du groupe EI en Irak et en Syrie. Dans ces deux pays en guerre, où l'organisation islamiste armée contrôle encore des pans de territoires, les jihadistes sont responsables d'actes barbares, comme des tueries, des actes de torture, de traite d'êtres humains, de viols et autres crimes sexuels contre des minorités religieuses et ethniques, a confirmé le Département d'Etat américain dans son rapport.
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L'EI et Boko Haram (le groupe terroriste islamiste au Nigeria) continuent de se ranger parmi les plus monstrueux auteurs d'abus contre la liberté religieuse dans le monde, a précisé la diplomatie américaine. A noter que de son côté, l'Eglise catholique -- contrairement aux courageuses églises orthodoxes et évangéliques -- fait preuve de lâcheté face à l'islam violent et conquérant.
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A ce propos et après les attentats, la volonté de l'Eglise catholique de pacification est inquiétante, estime Schmuel Trigano. Pour le philosophe, ce positionnement laisse une marge de manoeuvre à l'islamisme, notamment aux Frères musulmans. Pour mémoire, Schmuel Trigano -- qui est professeur émérite des Universités -- est philosophe, sociologue ainsi que spécialiste de la tradition hébraïque et du judaïsme contemporain.
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Schmuel Trigano  (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : La réaction de l'Eglise de France comme du Vatican à l'assassinat pour motif religieux du prêtre de Saint-Etienne-du-Rouvray est étonnante et pour tout dire extrêmement inquiétante, en tout cas du point de vue d'un observateur juif, autant sur le plan théologico-politique que sur celui de l'Etat et de la citoyenneté républicaine. Certes, la réaction officielle et celles que nous donnent à voir (sélectivement, comme on s'en doute) les médias ne recouvrent pas tout ce que pensent les catholiques et on ne peut pas préjuger de l'énorme pression que le pouvoir socialiste a dû exercer sur ses représentants pour adopter ce que l'on peut définir comme la posture du martyr et non celle du citoyen.
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Schmuel Trigano : Sublimer ce meurtre, en sortir par le «haut» - cette posture vertueuse et pleine de hauteur morale, stoïcienne en un mot - fournit, effectivement, à (très) court terme, le moyen d'éviter une cassure et un clash dans la société française. L'assistance en signe de solidarité de quelques musulmans (et Juifs) à la messe dominicale, a été construite par les médias comme l'expression d'une concorde irénique. Cependant, si on pensait dans les termes de René Girard on constaterait qu'elle s'est nourrie du «sacrifice» du père Hamel, un sacrifice au propre, par la mort rituelle qui lui a été donnée, et au figuré : mort pour la « paix ». Sur sa mort, sur sa dépouille, le lien social se serait ressoudé. C'est ce que les médias veulent nous faire croire, selon un schéma anthropologique on ne peut plus classique.
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Schmuel Trigano : Cet état de fait est marqué néanmoins par un télescopage de la morale chrétienne et de la raison politique. Appliquée à la situation actuelle, cette morale s'avère effectivement problématique sur le plan de la Cité. J'ai entendu un ecclésiastique aborder l'événement sur le mode du « nous sommes tous coupables » (explicitement formulé de la sorte) et appris qu'une prière avait été dite, dans l'Eglise même du drame, pour les deux assassins. Nous avons entendu le pape déclarer que ce n'était pas cela l'islam (étrange qu'il puisse parler en son nom) et que le christianisme était aussi violent que l'islam, en disant donc une chose et son contraire). Qui est coupable ? Qui est innocent ? On ne le sait plus.
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Schmuel Trigano : Nous retrouvons, certes, là le discours du « politiquement correct » qui déresponsabilise le monde musulman au lieu de le pousser à se confronter à la maladie qui le ravage et met en danger la paix, un discours qui brise aussi la capacité morale et intellectuelle à la combattre, en accusant les victimes d'être à la source de la violence qui les frappent. Nous croyions que cette « morale » sans réciprocité relevait de l'idéologie dominante de notre temps, le post-modernisme, mais nous découvrons qu'elle peut aussi se développer dans l'Eglise.
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Schmuel Trigano : On comprend que le signal qu'envoie l'Eglise puisse trouver un écho favorable dans les milieux islamistes et je pense avant tout aux Frères Musulmans qui en sont la vitrine distinguée et « politique », interlocuteur du Pouvoir en France. Un écho dont nous pouvons mesurer la portée dans la tribune publiée par des « intellectuels musulmans », ainsi définis par eux-mêmes, dans le Journal du Dimanche du 3/7/2016. Je me réfère au fait que cette quarantaine de personnalités a tout simplement « oublié » les victimes juives dans les actes terroristes commis au nom de l'islam, qu'elles condamnent par ailleurs.
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Schmuel Trigano : C'est comme si la « pacification » consécutive au meurtre du père Hamel se faisait sur la base du refoulement des effets de la haine principale des islamistes : les Juifs. C'est gros! Et c'est encore plus affligeant de voir les critiques de cet oubli ne mentionner que le massacre de Merah et de l'Hyper casher, en « oubliant » eux aussi, les centaines d'agressions antisémites commises depuis 2001, et sur lesquelles eux-mêmes avaient gardé le silence. Depuis 2001, en tout cas, nous n'avons entendu aucune condamnation claire et institutionnelle des agressions antisémites commises, si ce n'est celle de quelques individus (comme l'imam Chalgoumi ou l'Algérien Boualem Sansal).
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Schmuel Trigano : La condamnation quand elle existe «équilibre» souvent la reconnaissance du caractère antisémite des actes avec l'accusation d'Israël, rendu responsable de cet état de fait, argument dont s'est prévalu en somme Mérah, vengeant (dixit) « les enfants de Gaza ». C'est comme si la condamnation des actes antisémites ne pouvait se faire qu'au prix du « dédouanement » que permet un antisionisme de rigueur. Or, cette tournure rhétorique devient de moins en moins possible, au regard de ce que révèle la réalité.
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La façon dont les signataires de la lettre en question tentent de rendre compte de leur silence abyssal jusqu'à ce jour est ainsi plutôt spécieuse. « Nous musulmans étions silencieux parce que nous avions appris qu'en France la religion est une affaire privée ». On se demande s'il faut rire ou pleurer. Agresser des concitoyens relèverait de la sphère privée ? La burka dans l'espace publique, une affaire privée ? L'antisémitisme n'est pas un aspect marginal de la crise actuelle. Il en fut le vecteur originel et structurel. L'abnégation de l'Eglise fait miroiter la possibilité d'une « pacification » sociale, mais c'est aux dépens d'un tiers et de la confrontation avec le problème central auquel doit faire face l'Etat et lui seul, conclut Schmuel Trigano (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.cicad.ch/node/21072/
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http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/08/10/31003-20160810ARTFIG00132-le-discours-moral-de-l-eglise-peut-il-fonctionner-face-a-l-islamisme.php
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