Un symbole LGBTQ sur les agendas scolaires vaudois fait réagir élèves et corps enseignant

Cenator: Après la distribution de l'agenda portant le drapeau arc-en-ciel, il y a eu des réactions d'hostilité inattendues parmi les élèves.

Les 24 heures consacrent une page entière à expliquer le point de vue de la Cheffe du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture sous le titre: "L'agenda scolaire vaudois est-il un outil de propagande?"

La réponse de la journaliste, Simone Honegger, est Non.

Et soyons rassurés, la ministre et son staff vont éduquer la jeunesse pour que ce genre de réaction n'arrive plus.
Cesla Amarelle va mettre en place un plan d'action pour lutter contre l'homophobie et les inégalités, car "c'est la mission de l'école", rappelle la ministre.

Le logo LGBT signifie quels sont les valeurs et les principes de l'école, car celle-ci vise la réduction des inégalités.
Le vivre-ensemble est la condition de base de l'enseignement public.

La ministre socialiste a introduit la lutte contre la précarité menstruelle, comme si, avant elle, les jeunes filles de Suisse romande avaient eu du sang qui coulait le long des jambes faute de pouvoir s'acheter des moyens de protection.

Cesla Amarelle transpose ses favelas fantasmées sur la Suisse, où les marxistes distribuent la pilule et les protections hygiéniques pour gagner des partisans.

Cette femme a également supprimé les devoirs à domicile pour mettre tous les élèves à égalité, car certains parents ne peuvent pas aider leurs enfants. Le nivellement par le bas, c'est bien cela le socialisme.

Puis, toujours au nom du féminisme marxiste, elle a instauré des classes à part pour des filles pour les leçons de mathématiques, les garçons obtenant de meilleurs résultats : la non-mixité au nom de l'égalité des chances va résoudre ces différences.

Cesla Amarelle est allée jusqu'à diriger des écoles entières pour se rendre aux manifestations communistes, que ce soit les grèves du climat ou la grève des femmes. Et tout cela a passé comme une lettre à la poste, car tout ce que la guerre culturelle justifie fait désormais partie de la mission de l'école.

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Le nouvel agenda scolaire des classes vaudoises de 9, 10 et 11ème [Katia BITSCH - RTS]
Un symbole LGBTQ sur les agendas scolaires vaudois fait réagir élèves et corps enseignant / La Matinale / 1 min. / mercredi à 06:00
Le symbole arc-en-ciel LGBTQ qui figure au dos du nouvel agenda scolaire vaudois suscite des réactions parmi les élèves. Le département n'y voit aucun militantisme, mais entend défendre les valeurs de respect. Le corps enseignant s'estime démuni pour ouvrir le débat sur l'homophobie.

Ce discret pictogramme aux couleurs de l'arc-en-ciel figure sur la couverture du nouvel agenda scolaire vaudois des élèves de 9, 10 et 11ème, un logo parmi d'autres symboles comme l'égalité hommes/femmes ou le développement durable. Mais c'est ce symbole arc-en-ciel qui interpelle certains élèves du collège d'Aigle.

"Pour moi la question de la sexualité relève du domaine privé, et c'est un sujet qui n'a rien à faire sur un agenda scolaire", estime l'un des élèves. Si certains n'y voient rien à redire, d'autres ont rayé le drapeau. Le sujet a en tout cas créé des débats auxquels les professeurs n'étaient pas préparés.

Plusieurs enseignants du canton ont d'ailleurs contacté la Société pédagogique vaudoise à ce sujet. Gregory Durand, son président, reconnaît un manque d'information: "Il n'y a pas eu d'indication donnée aux enseignants lors de la distribution de cet agenda et certains ont pu être surpris et n'ont pas su répondre. Cela montre bien qu'il faut aborder cette thématique dans le contexte scolaire."

>> L'interview complète de Gregory Durand dans La Matinale

Gregory Durand, pdt de la Soc. pédagogique VD, à propos du pictogramme LGBT sur les agendas / La Matinale / 1 min. / mercredi à 06:00

Aucun militantisme

Le Département de la formation, de la jeunesse et de la culture (DFJC)  vaudois affirme lui qu'il n'y a aucun militantisme pour la cause LGBTQ et que ce pictogramme véhicule les valeurs de respect de la diversité et de l'orientation sexuelle et affective.

Ce pictogramme s'inscrit dans un plan cantonal d'action contre l'homophobie, il représente les valeurs de l'école comme le respect de la diversité

Caroline Dayer, spécialiste de la prévention des violences. [RTS]

Caroline Dayer, déléguée départementale aux questions d'homophobie et de transphobie

La question de l'homophobie figure d'ailleurs au programme scolaire et le sujet fait partie des priorités du DFJC au même titre que l'égalité des genres, souligne Caroline Dayer, déléguée départementale aux questions d'homophobie et de transphobie. Que l’école doit communiquer sur ces valeurs est inscrit dans la loi sur l’enseignement obligatoire.

Un plan d'action qui prévoit des formations a par ailleurs été mis en place pour mieux outiller le corps enseignant face à ces questions. Dans la posture enseignante, il s'agit de faire passer le message que "chaque élève a le droit d'être qui il est ou qui elle est à l'école", rappelle Caroline Dayer.

>> Ecouter aussi l'interview de Cesla Amarelle dans Forum:

Un pictogramme sur les agendas vaudois fait débat: interview de Cesla Amarelle (vidéo) [RTS]
Un pictogramme sur les agendas vaudois fait débat: interview de Cesla Amarelle / Forum / 5 min. / hier à 18:00

Julie Rausis/kb

source: https://www.rts.ch/info/regions/vaud/12456975-un-symbole-lgbtq-sur-les-agendas-scolaires-vaudois-fait-reagir-eleves-et-corps-enseignant.html

Cesla Amarelle,socialiste, veut moins de notes : pour plus d’égalité, elle choisit le nivellement par le bas

Cenator : Les notes à l’école, c’est un problème qui froisse les gauchistes depuis longtemps, car elles vont à l’encontre de la religion de l’égalitarisme. Il suffirait alors de les supprimer et les élèves seront tous égaux. Nous avons appris qu’à Genève 50% des élèves n’ont plus du tout d’origine suisse, et à Lausanne la proportion est certainement encore plus élevée. Ces classes métissées rassemblent des enfants provenant de milieux socioculturels si disparates qu’il n’est plus possible de cuire une soupe potable dans un tel melting pot.

Les uns acquièrent la lecture et le calcul sans difficulté, apprennent hors école à jouer d’un instrument de musique, etc., et sont encadrés par leurs parents dans leur développement mental et leur épanouissement personnel.

D’autres parents, venant de cultures incompatibles avec la nôtre, pour parler pudiquement, continuent à élever leurs enfants selon les normes de leurs pays d’origine. Les uns vont de toute évidence faire des études supérieures ou exercer un métier avec passion et seront des adultes équilibrés et accomplis. Les autres seront à la traîne, ils présenteront à cause de ce décalage de plus en plus de problèmes de comportement, d’absences scolaires, de redoublement, et prendront un retard toujours plus difficile à combler par rapport aux bons élèves.

Face à ce problème, insoluble pour un marxiste qui a par essence de la peine avec la réalité, la solution qui s’impose est de supprimer les notes pour rendre le monde plus juste.

Seulement voilà, la vie est terriblement injuste car inégalitaire. Il y a des beaux et des laids, des petits et des grands, des stupides et des intelligents, etc.  Être né dans une famille saine qui a des valeurs justes à transmettre, qui prend soin de l’éducation et du développement de ses enfants, va toujours avantager ceux qui viennent d’un milieu « défavorisé ».

Apprendre à gérer cette réalité depuis le tout jeune âge est une des bases indispensables de la vie. Refuser cette loi crée au pire des personnes atteintes de troubles de la personnalité, au mieux des névrosés complexés, et de ces deux groupes va se former la masse des décervelés manipulables qui se rueront dans toutes les causes du marxisme culturel croyant pouvoir réparer l'injustice du monde.

Des notes scolaires permettent de dire aux enfants défavorisés qu’en se challengeant, ils peuvent surmonter la fatalité et défier leur destin malgré tout. Ces  enfants deviendront alors des adultes solides qui refuseront de dépenser leur énergie à envier les mieux lotis.

La Suisse romande a laissé les marxistes prendre le pouvoir dans l’enseignement de A à Z.
L'enseignement, le système juridique et les médias sont totalement noyautés par l'idéologie du marxisme culturel. L'enseignement est un de ces volets les plus importants où ces forces agissent contre la Suisse démocratique et prospère.

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Rappel : Cesla Amarelle est une conseillère d’État vaudoise socialiste, cheffe du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture (DFJC).

Elle est née à Montevideo, en Uruguay. Le prénom « Cesla » est donné par ses parents, militants de gauche, comme acronyme de « Communauté des États socialistes latino-américains »..

Fuyant la dictature, ses parents viennent travailler pour des organisations internationales à Genève. (source)

Comme tous les sujets qui touchent à la vie politique, la notation des élèves est également relatée de manière biaisée par Wikipedia/Wikidébats (voir l'article Wikipedia orientée). Le nombre des arguments contre les notes dépasse largement le nombre des arguments en faveur de celles-ci :

arguments pour:

Les notes sont biaisées
Les notes sont une source de stress et de mal-être
Les notes sont injustes
Les notes renforcent la compétition entre les élèves
Il existe de meilleurs systèmes d'évaluation
Les notes sont un fétichisme à dépasser
Une note ne dit pas ce qu'elle évalue (contrairement aux compétences)
Une note quantifie sur une échelle unique de multiples qualités pas toujours quantifiables

arguments contre:

Les notes permettent de situer les élèves
Les notes motivent les élèves à travailler
La notation est un système juste et précis
La notation est le moins mauvais des systèmes

source : https://wikidebats.org/wiki/Faut-il_supprimer_les_notes_à_l%27école_%3F

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Un grand projet de refonte du système d’évaluation des élèves vaudois est prévu d’ici à 2022. Non consulté puisque la loi n’est pas modifiée, le PLR critique cette nouvelle direction.

De nombreuses voix, d’élèves comme d’enseignants, s‘élevaient depuis des années pour dénoncer un système de notes trop dense et trop quantitatif dans l’école vaudoise. Mardi, la Conseillère d’Etat en charge de l’éducation a annoncé une réforme de ce système. «L’objectif est de se concentrer sur la qualité des évaluations et non plus sur leur quantité», décrit-elle dans «Le Temps». Moins de tests (ou TS), fin des Épreuves cantonales de référence (ECR) dès la 10e année Harmos, allègement du poids de l’examen de certificat de fin de scolarité obligatoire: les mesures annoncées sont conséquentes.

De quoi faire grincer des dents le PLR, ajoute «24 heures». Pour le parti, qui s’en émeut dans un communiqué de presse mercredi, il s’agit d’un «virage dogmatique à 180 degrés» faisant craindre que la ministre veuille «sonner la fin de la paix scolaire» en vigueur depuis la votation sur la Loi sur l’enseignement obligatoire (LEO) en 2012. Pour les libéraux-radicaux, cette annonce rouvre le débat sur les notes et sur le système de progression de l’élève.

[...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/cesla-amarelle-veut-moins-de-notes-le-plr-grince-des-dents-399321979268

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voir aussi: Evaluations allégées pour les élèves vaudois

extrait: [...] Le DFJC entend poursuivre ses «grands chantiers», dont la pertinence s’est retrouvée renforcée à ses yeux par cette période de crise, comme la revalorisation de la formation professionnelle, le renforcement de l’éducation numérique (dont la première phase du projet a reçu le soutien du Grand Conseil fin 2019 sous la forme d’un crédit d’investissement de 30 millions de francs sur trois ans) et le concept 360 visant à une école plus inclusive. [...]

[...] «La pandémie ne pose pas seulement la question de la réactivité de l’école face à la crise. C’est un bouleversement puissant, un changement de paradigme, au même titre que l’urgence climatique, qui implique de remettre en question certaines de nos habitudes, et d’aller plus loin», plaide encore Cesla Amarelle. [...]

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Serait-ce le moment de repenser l’évaluation à l’école? Raphaël Pasquini revient sur la problématique des Épreuves cantonales de référence.

Raphaël Pasquini, 20.06.2019

Le stress qu’engendrent les Épreuves cantonales de référence (ECR) en 8e année chez les élèves («24 heures» du 18 mai 2019) revient sur le devant de la scène: une récente interpellation au Grand Conseil pourrait conduire à faire évoluer leur statut. Ce serait une bonne nouvelle. En effet, outre la pression qu’elles suscitent, on observe que certaines de leurs caractéristiques influencent les pratiques d’évaluation des enseignants au quotidien, d’une manière dommageable.

[...] On constate d’abord le développement d’un effet appelé par la recherche «enseigner pour le test». Les enseignants, soucieux de voir leurs élèves réussir le mieux possible, préparent ces derniers ardemment à l’épreuve, tentant de combler l’hypothétique écart entre ce qu’ils ont enseigné et ce que le test va évaluer. Dans ces situations, l’enseignement se réduit aux contenus supposés de l’épreuve et a donc pour effet de diminuer et d’affaiblir l’apprentissage. Ce surentraînement démotive les élèves et augmente leur anxiété.

[...] L’existence de ces tests, plébiscités voire parfois imposés par des conseils de direction, soutenus par certains enseignants qui y voient un gain de temps, s’appuie sur une croyance forte, très probablement issue des épreuves cantonales: les tests communs traitent tous les élèves de la même manière. Or cette croyance est pédagogiquement erronée. L’égalité de traitement revient à donner à tous les élèves les mêmes enseignements, opportunités d’apprentissage et modalités d’évaluation, elles-mêmes en lien avec ce qui a été enseigné et appris. Ce que les tests communs ne permettent pas.

Enfin, une forme de standardisation des évaluations en classe est en marche, avec l’utilisation de barèmes de notation chaque fois identiques, qui ne tiennent pas compte de la matière évaluée, des élèves, ou de la difficulté du test. Parfois même, les notes sont élaborées par rapport à la moyenne de classe, ce qui, entre autres, pénalise les élèves obtenant un score médian.

Le stress des élèves n’est donc probablement pas dû uniquement aux ECR, mais plutôt à une évaluation omniprésente à forts enjeux dont les fondements pédagogiques sont parfois difficiles à saisir et qui, régulièrement, poursuit d’autres finalités que la certification des apprentissages.[...]

[...]

article complet : https://www.24heures.ch/signatures/reflexions/seraitce-moment-repenser-evaluation-lecole/story/27910214

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Dans la même logique égalitariste et de nivellement par le bas :

Sciences Po a supprimé son concours d'entrée, plus personne n'en parle

Depuis trente ans, les élites françaises ont détruit méthodiquement tout ce qui faisait le génie national, estime Éric Zemmour du Figaro. Le bac est donné à tout le monde et les mentions TB fleurissent à tous les coins de rue ; et Sciences Po supprime son concours écrit, le seul qui assurait, avec l’anonymat, la garantie d’une sélection honnête.

Cela fait trois semaines et déjà plus personne n’en parle. Plus le moindre article, pas la moindre polémique. Frédéric Mion a réussi son (mauvais) coup. Le patron de Sciences Po a supprimé les épreuves écrites de son concours d’entrée et tout le monde s’en moque. Il a expliqué que désormais tous les étudiants de l’école seraient recrutés sur dossier, et tout le monde — ou presque — a gobé son discours lénifiant, mélange de rêve américain (les universités anglo-saxonnes agissent ainsi) et de lutte des classes (il faut lutter contre l’entre-soi). Au moins, lorsque le prédécesseur de Mion, le « disruptif » Richard Descoings, avait imposé la discrimination positive à l’entrée de l’école, il y a quinze ans, la polémique avait été énorme. On s’était étripé au nom de la République, de la méritocratie, de l’égalité des chances.

Cette fois, rien. Ou presque rien. Pourtant, Mion finit le (sale) boulot de Descoings. Le prestige séculaire de l’ancienne École libre des Sciences politiques reposait sur un concours d’entrée fort sélectif, et en particulier une épreuve écrite d’histoire exigeante. La renommée de toutes les grandes écoles françaises, de l’X à l’ENA, était fondée sur le même patron. Qui lui-même reposait sur un enseignement secondaire de haut niveau. C’était la vraie différence avec le modèle anglo-saxon.

Tous les thuriféraires du modèle anglo-saxon font semblant de ne pas voir que l’extraordinaire renommée des universités américaines tient avant tout à leurs moyens financiers énormes qui leur permettent de payer les meilleurs profs du monde et d’attirer les meilleurs étudiants du monde entier.

Depuis trente ans, les élites françaises ont détruit méthodiquement tout ce qui faisait le génie national.
Le secondaire est d’une rare médiocrité ; le bac est donné à tout le monde et les mentions TB fleurissent à tous les coins de rue ; et Sciences Po supprime son concours écrit, le seul qui assurait, avec l’anonymat, la garantie d’une sélection honnête.

Désormais seront privilégiées non la culture et le travail, et l’intelligence du candidat, mais les valeurs que l’école veut promouvoir : altruisme, générosité, énergie. Bref, Mion veut des étudiants à sa main, soumis à son idéologie bien-pensante. Il veut pouvoir prendre tous les élèves de banlieue qu’il souhaite puisque ceux-ci s’obstinent à ne pas avoir le niveau scolaire de l’épreuve écrite. Entre le mérite personnel et l’endoctrinement idéologique, la direction de Sciences Po a choisi. Tout cela au nom de la République qu’on renie et de la méritocratie qu’on méprise.

Le nihilisme de nos classes dirigeantes est sans limites. Et il se pare de surcroît des atours de la vertu.

Suisse : L’Illustré au service d’un regroupement familial, avec l’aide de la socialiste Cesla Amarelle

Il y a trois mois, 7700 kilomètres les séparaient encore. L’illustré avait soutenu avec succès en automne 2018 les démarches de la Vaudoise Marie-Elise Delattre pour faire venir d’Haïti la sœur de son premier fils adoptif. La décision est enfin devenue réalité.

[...]

Marie-­Elise Delattre avait lancé une pétition et avait choisi de rendre publique son affaire dans L’illustré. L’émotion devient ainsi collective et la conseillère d’Etat Cesla Amarelle décide, après avoir rencontré Marie-Elise Delattre et étudié le dossier, de donner raison à la maman adoptive.

[...]

Illustre.ch

Nos remerciements à Victoria Valentini 


Rappels :

Médias. Savary Géraldine , socialiste démissionnaire, et les « petits cadeaux » du milliardaire. L’Illustré lui consacre 9 pleines pages dithyrambiques et veut rapidement son retour.

Médias. L’illustré : idiot utile de l’antitrumpisme primaire et milliardaire?

Christopher Blocher interviewé et corrigé par le journal l’Illustré !

Médias. Le scoop incomplet du magazine  L’Illustré !

Elections vaudoises: Cesla Amarelle a de l’avance sur l’UDC

La socialiste devancerait nettement Jacques Nicolet dans la course au Conseil d’Etat, selon le sondage RTS. Les ministres sortants font la course en tête.

 

cesla

 

 

Une socialiste après une socialiste. Cesla Amarelle devrait succéder à Anne-Catherine Lyon au Conseil d’Etat vaudois. Et la majorité du gouvernement cantonal rester en mains roses-vertes. C’est en tout cas ce que prédit le sondage RTS, réalisé par l’institut Sotomo et publié ce mercredi. Cesla Amarelle y est créditée de 41% des intentions de vote, selon l’opinion de 1890 personnes, qui ont répondu à des questions en ligne entre le 10 et le 12 avril. Son rival Jacques Nicolet (UDC) accuse un retard avec 34% des intentions de vote. La marge d’erreur de cette enquête serait de 3,38%.

 

Source et article complet

La trahison du vote contre l’immigration de masse va toujours plus loin: Pas besoin de justifier son refus d’employer un Suisse

Parlement :Au grand dam des élus UDC, le Conseil national a adouci les mesures de mise en oeuvre de l'initiative sur l'immigration.

Les patrons souhaitant recruter à l'étranger devraient parfois être obligés de convoquer d'abord des chômeurs de Suisse, mais pas de justifier leur refus. Le National a préféré lundi adoucir la copie des sénateurs, malgré la résistance de l'UDC.

Certains employeurs devraient être obligés d'annoncer les postes vacants aux services de l'emploi et de convoquer des chômeurs inscrits en entretien.

Mais par 139 voix contre 54, le National a refusé d'obliger les patrons à justifier leur refus éventuel, en cas de recrutement d'un étranger, comme le veut le Conseil des Etats. La majorité a préféré une solution plus souple qui évite un excès de bureaucratie, a expliqué Cesla Amarelle (PS/VD).

Seules les professions qui ont un taux de chômage supérieur à la moyenne seraient concernées. Soit, au plus, 1% des procédures de recrutements annuels.

Source et article complet via le Facebook du PNS

Pour Cesla Amarelle, la nouvelle loi sur la naturalisation est anti-démocratique…

Par contre, lorsqu'il s'agit d'imposer des migrants dans nos villages suisses, cela ne pose aucun problème démocratique... n'est-ce pas Cesla?

Pour cette socialiste, notre passeport doit être offert au premier venu alors même que les pays d'émigration ne bradent en aucun cas leur nationalité, alors même que leurs ressortissants ne se privent pas pour violer nos lois. Tout ne doit se faire que dans un seul sens pour la gauche.

Enfin on rappellera que pour cette personne, le parlement peut invalider une initiative populaire: la démocratie n'est agitée que lorsqu'il s'agit d'étrangers, jamais des Suisses. Une hypocrisie totale mais tellement banale.

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cesla

 

Source

Le PS veut révolutionner le processus d’intégration

Maintien de l'ouverture des frontières et renforcement de l'intégration sur le marché du travail: tels sont les principaux axes de la politique migratoire prônée par le PS suisse.

[...]

Le PS appelle à changer fondamentalement la façon d'envisager l'intégration, que ce soit par le biais de la formation ou de l'emploi. Il s'agit de lever les obstacles à l'intégration en permettant aux requérants de travailler, mais aussi d'accéder à des cours de langue dès le premier jour, a notamment plaidé la conseillère nationale Cesla Amarelle (VD).

[...]

Article complet ICI

Attentat islamiste en Suisse: Sommaruga ne veut même pas expulser les terroristes!

Christian Hofer: A noter que le seul réflexe de la socialiste Cesla Amarelle est de rappeler la décision immonde de la Cour européenne, allant à l'encontre de la sécurité des Européens, c'est-à-dire l'obligation de garder dans nos pays des gens qui veulent nous tuer! Lorsque vous avez un Conseil fédéral qui va systématiquement dans le sens d'une Cesla Amarelle, c'est que ce CF est totalement sous la botte du PS!

De même, Sommaruga agite les "droits de l'homme" pour des assassins qui ont, on le rappelle, bénéficier de notre asile et pour qui nous ne sommes bons qu'à être décapités. Pour Sommaruga et Cesla Amarelle, les droits des terroristes passent donc avant nos droits, de manière claire!

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Que faire des trois Irakiens condamnés en mars dernier pour avoir participé à des activités en lien avec l’Etat Islamique (EI) au terme de leur peine? C’est la question posée lundi par le conseiller national Fabio Regazzi (PDC/TI) à Simonetta Sommaruga.

Rien, lui a répondu en substance la ministre de Justice et Police.

Source et article complet ici

 

Libre circulation avec la Croatie: Comment les Suisses sont trompés par leurs politiciens

Christian Hofer: On notera la stupidité de ces élus qui pensent naïvement que Bruxelles va tenir compte d'une libre circulation offerte sans aucune garantie en retour. Quant à Cesla Amarelle, elle frétille de joie à chaque fois que la Suisse se laisser ainsi gruger. Tout ce qui peut détruire notre pays ou l'asservir sous une immigration de masse est bénéfique pour les socialistes. Tout n'est affaire que de tournure de mots: ces gens peuvent s'asseoir sur la volonté du peuple par une simple pirouette. Le terme "démocratie" n'a plus guère qu'une carcasse vide qu'ils agitent pour mieux nous manipuler lorsque cela leur sied.

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Il s’agit d’un virage à 180 degrés. Au lendemain du vote sur l’immigration du 9 février 2014, le Conseil fédéral avait gelé ce dossier, l’estimant contraire à la volonté populaire.

Mais ce qui était juridiquement impossible hier ne l’est plus aujourd’hui. L’argumentaire a évolué. «On ne considère plus qu’il s’agit d’un nouvel accord, mais de l’élargissement d’un accord existant», relève la conseillère nationale Cesla Amarelle (PS/VD). Une pirouette du gouvernement qui vise surtout à sauver Horizon 2020, le fructueux accord sur la recherche.

Si elle acceptait cette extension, la Commission de politique extérieure parerait au plus pressé. Pour de nombreux élus, ce serait aussi un gage envers Bruxelles, un signe de bonne volonté avant de discuter de ce qui fâche vraiment, la mise en place de quotas de travailleurs étrangers.

Source

Cesla Amarelle (PS): “Le texte de l’UDC instaurerait un climat de peur… pour les étrangers”

Christian Hofer: Effectivement, pour une fois la situation serait peut-être inversée, ce qui est naturellement inadmissible pour une socialiste.
On relèvera toute l'hypocrisie de cette personne qui invente des cas où "le pauvre étranger serait coupable malgré lui", tout en passant sous silence les très nombreuses situations où ce sont les Suisses qui paient le prix du laxisme des juges très à gauche et qui ont peur!
On a très bien vu sur quoi débouchait "l'appréciation du juge" dans de nombreux faits divers, jusqu'au sursis pour du viol! C'est exactement ce que fait la Cour européenne des droits de l'homme en donnant la priorité aux étrangers criminels car "ils ont des enfants" tout en méprisant totalement nos victimes alors qu'ils viennent de briser la vie de l'une des nôtres! On ne compte plus les récidives scandaleuses dont la propagande socialiste est pleinement responsable. On notera encore que pour ce genre de personne, il n'y a eu que "Cologne" alors que de tels actes se sont déroulés dans de nombreux autres endroits. C'est dire par quoi nous sommes dirigés: des incompétents et des ignares!
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Pour la conseillère nationale Cesla Amarelle (PS/VD), l'initiative de mise en oeuvre de l'UDC instaurerait un climat de peur au sein de la population étrangère du pays. Elle estime que le texte est disproportionné et n'apporte aucune solution.

Cinq ans après l'adoption de l'initiative "Pour le renvoi des étrangers criminels", l'UDC revient à la charge avec un second texte strict et détaillé, lancé en 2012 et soumis à votation le 28 février prochain.

Le Parlement a adopté en mars dernier une loi d'application de la première initiative, laissant une marge de manoeuvre aux juges prononçant les renvois. Si le peuple refuse le second texte de l'UDC, la loi élaborée par les élus s'appliquera.

RTSinfo: L’UDC affirme que l’initiative sur laquelle le peuple se prononcera en février constitue une réponse proportionnelle au problème des criminels étrangers, car elle prend en considération la gravité des actes et la présence d’antécédents. Que répondez-vous à cela?

Cesla Amarelle: L’initiative ne respecte pas le principe de proportionnalité en ce sens qu'elle décrète que certaines infractions, dont des infractions mineures, conduisent à un renvoi automatique. L'UDC fait une confusion entre la sanction et l’expulsion. Il y a des personnes qui doivent être sanctionnées. Mais quand l’infraction est de faible gravité, cela ne devrait pas conduire à une expulsion parce que c’est disproportionné. Par exemple, une insulte à fonctionnaire suivie dans une séquence de dix ans d’un tag sur un mur ou du vol d’une bouteille de schnaps dans la caravane du voisin, cela suffit pour provoquer l’expulsion automatique.

Des infractions graves sont également mentionnées dans le texte de l'UDC...

Dans le catalogue des infractions graves, il y a notamment l’abus à l’aide sociale. Dans ce domaine, un simple oubli suffit à provoquer l'expulsion automatique. Prenons l'exemple de quelqu'un qui perçoit des allocations familiales et qui oublie de déclarer un changement de situation, disons son enfant n’est plus en apprentissage car il a pris une année sabbatique. Cet oubli sur plusieurs mois est constitutif d’un abus à l’aide sociale et conduit à une expulsion automatique. Ce texte instaurerait un climat de peur permanent au sein de la population étrangère de Suisse !

Selon l'UDC, le Parlement a refusé de respecter la volonté du peuple en laissant une marge de manoeuvre aux juges dans la loi d'application de la première initiative. Qu'en pensez-vous?

C’est totalement faux ! Le Parlement avait le mandat du peuple de faire une loi et c'est ce qu'il a fait. C'était lui qui était tenu de proposer quelles infractions étaient concernées, puisque la première initiative était très vague à ce sujet. Le Parlement a choisi la manière forte, c'est-à-dire un catalogue d'infractions extrêmement fourni.  Par ailleurs, il a comme mandat de respecter la Constitution. Et c'est ce qu'il a fait en intégrant la clause de rigueur. Il nous paraissait essentiel de donner une marge de manoeuvre aux juges dans les cas exceptionnels, et seulement les cas exceptionnels, en particulier pour les personnes qui sont nées en Suisse ou qui ont toujours vécu en Suisse. Le juge pourra ainsi mettre en balance l'intérêt public de renvoyer une personne avec son intérêt individuel à pouvoir rester, parce que par exemple cette personne a ses enfants en Suisse ou parce qu'elle ne connaît même pas la langue du pays dans lequel elle va être renvoyée.

N'est-ce au fond pas un débat de juristes face à des préoccupations concrètes et pleines d'émotion de la population (sécurité, immigration…) ?

Mais ce que j'explique est plein d'émotion ! Nombreux sont ceux qui connaissent une mère de famille étrangère qui pourrait être concernée. Près de la moitié des Suisses ont une personne étrangère dans leur propre famille. Veut-on vraiment que les gens de notre propre famille vivent à long terme dans une peur permanente de se faire expulser ?

Il y a également l'argument économique. La détention des criminels étrangers dans les prisons suisses a un coût. Que répondez-vous à cela ?

L'UDC n’apporte aucune réponse. Si cette initiative est acceptée, le 29 février, il n'y aura pas de résolution des problèmes majeurs qui existent dans le pays concernant l'expulsion des vrais criminels. Le problème aujourd'hui, c’est l'exécution des renvois. Avec ce texte, nous allons créer un désordre social majeur en Suisse avec une augmentation du nombre de décisions de renvoi qui est évalué à plus de 10'000 par an. Ces personnes ne seront pas toutes expulsées de fait, parce que si elles proviennent de certains pays comme l'Algérie ou le Maroc, l'Etat d’origine refuse le retour au pays. La Suisse ne peut pas faire de vols spéciaux avec des ressortissants algériens parce qu'elle n'obtient pas les laissez-passer pour poser l'avion sur la piste. C’est la même chose au Maroc, car le pays n'a pas d'intérêt majeur à collaborer avec nous sur cette question.

La campagne a débuté dans un contexte particulier après les agressions du Nouvel An à Cologne. Craignez-vous que cela porte préjudice au camp du « non » ?

C'est évident. Je suis encore sous le choc de toute cette affaire. C'est absolument affreux ce qui s’est passé à Cologne. C'est un enjeu majeur de faire en sorte que cela ne se reproduise plus.

Comprenez-vous que les Suisses se sentent concernés et fassent le lien avec cette initiative ?

Oui, mais le rôle du politique est de trouver des solutions et dans le domaine des migrations, les choses sont très différentes les unes des autres. Il semblerait (sic!!!) qu'à Cologne les principaux suspects soient d’origine maghrébine selon les éléments connus, sans vouloir les stigmatiser. Et de nouveau, le problème c'est que nous n'arrivons pas à renvoyer ces personnes. L'UDC peut continuer à taper sur la chaise contre laquelle nous nous cognons tous, mais le parti n'apporte aucune solution.

Source

Petit rappel pour cette socialiste: La violence des Balkaniques dans notre pays. Violence importée par le PS!

https://www.youtube.com/watch?v=mhanYbXgAcs

Les menaces de mort à l'encontre de nos inspecteurs de l'AI:

En 2009, le Conseil fédéral avait décidé de ne plus reconduire l'accord de sécurité sociale avec le Kosovo, qui expirait en avril 2010. Des enquêteurs chargés sur place de débusquer des abus avaient été menacés de mort.

Céline Amaudruz : Agressions sexuelles à Nouvel-An, l’analyse pertinente de Cesla Amarelle.

Elle nous manquait.

Après sa fameuse sortie sur la personne en danger de mort dans son pays que nous n'avons pas le droit de renvoyer même si c'est un terroriste, Cesla Amarelle avait hélas fait preuve d'une certaine retenue.

Le 11 novembre 2015, elle nous avait tout-de-même proposé son appréciation sur la situation en matière d'asile s'agissant d'un éventuel déclenchement du plan d'urgence prévu par le Conseil fédéral.

Dans sa grande sagesse, l'intéressée nous recommandait de regarder la situation de manière très objective et de voir à quel moment il y aurait lieu de mettre en place des situations d'urgence. Elle ajoutait que pour l'instant on ne savait pas si ces mouvements qui arrivaient de manière importante sur la Suisse orientale allaient se pérenniser. D'une manière générale, rien ne semble indiquer que le flux est sur le point de se tarir et on se réjouit d'entendre cette professeure de droit nous livrer ses prochaines réflexions sur la question.

L'asile la tarabuste pourtant grandement, elle et ses consœurs des Femmes socialistes suisses. Ces dames font savoir dans un communiqué du jour que "L'Europe ne s'est pas réveillée le 1er janvier avec un nouveau problème : le sexisme et la violence sexuelle dans les espaces publics sont malheureusement eux aussi ancrés depuis longtemps dans nos mœurs" et déplorent donc la récupération raciste des agressions survenues à Cologne et d'autres villes européennes. Elles s'appuient pour leur démonstration sur une étude menée au niveau européen montrant que 33% des femmes de plus de 15 ans ont été victimes de violence physique ou sexuelle au moins une fois dans leur vie. Les intéressées n'en restent pas là, accusant les autorités de ne pas prêter toujours une attention suffisante à la sécurité des femmes. Ces dames un peu sur les nerfs évoquent ces viols, ces brimades et ces violences de rue en tous genres commis dans l'espace urbain, en plein jour et à des heures d'affluence. Diantre !

Complètement hors sujet comme d'habitude, ce texte mérite tout de même une lecture attentive. On relève donc que viols, brimades et violences sont régulièrement commis dans l'espace urbain sans la moindre réaction du public. Au vu de cette situation, on peut se demander ce qui peut bien provoquer une telle inaction de la part de notre Ministre de la Justice Simonettta Sommaruga, femme socialiste s'il en est. On s'étonne pareillement que le résultat de cette étude menée en 2014 ne suscite des cris d'orfraies qu'aujourd'hui seulement. N'aurait-il pas été bon de s'indigner immédiatement ou cette étude n'a-t-elle été rendue publique qu'aujourd'hui ?

Les femmes socialistes avouent qu'il n'a pas fallu attendre le 1er janvier pour connaître pareil phénomène. Y aurait-il donc un lien entre le 1er janvier et les faits évoqués ? Pourquoi déplorent-elles une récupération raciste si les auteurs ne sont pas dans leur immense majorité venus d'ailleurs ?

En fait, la réalité est nettement plus simple. Comme le disait un de leurs devanciers, les faits sont têtus et les Femmes socialistes sont bien contraintes de constater que pour l'essentiel, les auteurs nous viennent de pays arabes où la triste coutume du "taharrush gamea" a cour. A ce sujet, la police allemande, aux premières loges, reconnait que ce phénomène d’agressions sexuelles collectives lors de grands rassemblements est tellement répandu dans le monde arabe qu’il existe un terme spécifique pour le désigner.

Confrontées à la vague sans précédent, ces dames inversent comme à leur habitude le rapport auteurs-victimes et font savoir que la chose est déjà bien connue chez nous. On s'étonne qu'une pratique aussi habituelle n'ait de nom qu'en arabe et non en français. Si d'aventure ce que les femmes socialistes dénoncent était aussi fréquent qu'elles le prétendent, nous aurions nous aussi trouvé un vocable pour désigner la chose.

On s'étonne aussi d'apprendre que ces égéries autoproclamées de la condition féminine soutiennent l'idée de donner des cours aux migrants afin de les informer qu'ici, il est d'usage de solliciter l'accord de la personne désirée avant de passer à l'acte. Pourquoi réserver ces cours de respect élémentaire aux seuls migrants si la population autochtone était aussi vile que ces dames le disent ? Il faudrait au contraire astreindre toute la population masculine du pays à ce genre d'initiation.

Pour le reste, on se souvient que les plus violents adversaires de l'initiative pour l'internement des criminels dangereux et non-amendables étaient précisément à chercher dans les rangs du parti socialiste alors que la clientèle visée était constituée pour l'essentiel de délinquants sexuels. Parler de protection des femmes après avoir défendu leurs agresseurs est pour le moins audacieux.

On se rappelle également que lors du dépôt de la motion 09.4017 le 25 novembre 2009 visant à améliorer la protection des femmes battues par le biais du bracelet électronique, on ne trouvait qu'une seule femme socialiste parmi les 65 cosignataires. Etonnant de la part de ces dames que la question préoccupe ces temps-ci. La provenance peut-être ?

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Le National veut retirer la nationalité aux terroristes. La socialiste Cesla Amarelle s’y oppose!

La mesure devrait être automatique, selon la décision votée lundi par le Conseil national, donnant suite à une initiative parlementaire UDC.

Un peu plus de trois semaines après les attentats de Paris, la Chambre du peuple a donc souhaité un tour de vis en approuvant le texte du président de l'UDC Toni Brunner (SG). Sa commission, qui avait siégé à la mi-janvier, proposait de justesse, par 13 voix contre 11 et 1 abstention, de ne pas y donner suite. Les récents attentats ont peut-être fait pencher la balance en plénum.

La mesure proposée est purement symbolique et ne saurait dissuader un djihadiste de réaliser ses projets criminels ni renforcer la sécurité du pays, a plaidé en vain Cesla Amarelle (PS/VD) au nom de la commission. Au contraire, le retrait de la nationalité suisse pourrait conduire à ce qu'une personne ayant commis des délits en Suisse ou à l'étranger ne soit plus extradée vers la Suisse.

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Selon l'administration, seules quatre personnes pourraient aujourd'hui potentiellement perdre leur passeport à croix blanche, avec cette initiative.

Le Conseil fédéral s'est déjà prononcé sur une motion PDC en ce sens. En novembre 2014, il a rejeté l'idée, l'estimant disproportionnée et superflue.

La disposition permettant le retrait du passeport remonte à 1953 et n'a encore jamais été appliquée, relevait l'exécutif.

Ce sera au tour, maintenant, de la commission des institutions politiques du Conseil des Etats de se prononcer sur l'initiative parlementaire de l'UDC.

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Rappel: Cesla Amarelle, Socialiste “Nous n’avons pas le droit de renvoyer un terroriste dans son pays”

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Cesla Amarelle naît le 14 septembre 1973 à Montevideo, Uruguay, trois mois après le coup d'état de juin 1973. Le prénom "Cesla" est donné par ses parents, militants de gauche, comme acronyme de "Communauté des États Socialistes Latino-Américains".

Fuyant la dictature, ses parents viennent travailler pour des organisations internationales à Genève, et la famille s'installe à Yverdon en 1977, où elle reste jusqu'à la fin de ses études secondaires.

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Asile, rester ferme, version PS

Pour la conseillère nationale socialiste Cesla Amarelle, la situation est certes tendue mais reste sous contrôle. Déclencher le plan d'urgence enverrait un mauvais signal à la population, estime la Vaudoise qui craint une récupération politique. "Il faut regarder la situation de manière très objective et voir à quel moment il y a lieu de mettre en place des situations d'urgence. Mais pour l'instant on ne sait pas si ces mouvements qui arrivent de manière importante sur la Suisse orientale vont se pérenniser."  RTS.CH, mercredi 11.11.2015/10:06.

Voici en quelques lignes le service après-vente de Schengen-Dublin assuré par le parti socialiste.  Les camarades n'ont bien sûr pas oublié que c'est l'une des leurs, la Conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey, qui avait vendu au bon peuple les mérites de l'un et de l'autre. Sécurité renforcée, maîtrise de l'asile au niveau du continent, le soleil et la lune, tout nous avait été promis. Un peu sceptique quand même, l'UDC avait vivement combattu ces accords au Parlement puis par référendum. Hélas, le parti à la rose avait emmené bien d'autres formations dans son sillage, à telle enseigne que nous sommes maintenant membres de plein droit de cet espace de "liberté et sécurité". Nous nous souviendrons au passage que le coût avancé durant la campagne était de 7 millions, brusquement passé à 100 après le visa populaire. Placée en première ligne, la police a eu la délicate mission d'essuyer les plâtres, sans grand enthousiasme si l'on en juge par les déclarations du président de la Fédération suisse des fonctionnaires de police, le Genevois Jean-Marc Widmer, le 22.06.2012 :"Nous les policiers, nous nous sommes faits avoir. On nous a vendu le fait que nous pourrions accéder à la banque de données des policiers européens. Mais on a complètement occulté les problèmes de l'ouverture de la frontière." Ce spécialiste ajoute que la frontière est devenue une passoire. La Messe est dite.

Les premiers concernés confirmaient ainsi ce que nous avancions depuis 2005, à savoir que Schengen-Dublin serait un échec, mais hélas, en politique, on ne se trompe jamais, surtout à gauche. Nos autorités ont donc persévéré dans l'erreur avec un zèle à la hauteur de l'enjeu, à savoir tout faire pour que l'UDC ne puisse se prévaloir d'avoir eu raison trop tôt. La situation a donc continué à se dégrader même si lors du Printemps arabe, nous avions appelé le gouvernement à se préparer à une éventuelle vague de réfugiés. C'eût été encore une fois admettre que nous avions eu raison, chose insupportable pour les camarades. Il était ainsi urgent de ne rien faire et on n'a rien fait effectivement. Aujourd'hui, plusieurs cantons demandent la mise en œuvre du plan d'urgence afin de faire face à la catastrophe, démontrant clairement l'état d'impréparation qui est le nôtre.

Cela suffirait-il à déciller les yeux aveugles ? Pas encore, malheureusement. Comme nous l'avons vu en introduction, pour la conseillère nationale PS vaudoise Cesla Amarelle, la situation est sous contrôle, il faut  juste éviter une récupération politique. En clair, le PS a toujours et encore raison.

Fort heureusement, le peuple a réagi le 18 octobre dernier et montré par son vote ce qu'il pense de la situation, infligeant un vif désaveux à la rose bonbon. Le signal n'est pas suffisant manifestement. Combien de temps faudra-t-il encore attendre ?

 

Information : Céline Amaudruz, présidente et conseillère nationale (079 / 874 83 97)

Genève le 11 novembre 2015

 

Berne: Manifestation pro immigré. “La Suisse peut accueillir plus de 50’000 réfugiés, comme lors de la guerre au Kosovo”

Quelque 300 personnes ont répondu à l'appel de l'Alliance pour une Suisse ouverte et solidaire, samedi en fin d'après-midi à Berne. La manifestation visait à demander à la Confédération de mener une politique d'asile plus généreuse, ainsi que la création de voies d'exil sûres et légales.

«Une catastrophe humanitaire se joue actuellement aux frontières de l'Europe, comme en son sein. La Suisse ne peut pas fermer les yeux», écrit l'Union syndicale suisse dans un communiqué. L'USS fait partie de l'Alliance pour une Suisse ouverte et solidaire qui réunit, outre les syndicats, les partis du camp rose-vert et des organisations d'aide aux migrants.

L'USS estime que la Suisse doit répondre aux aspirations de sa population, qui n'a cessé d'exiger des mesures rapides et efficaces en faveur des réfugiés. «Genève, Lausanne et bientôt toute la Suisse sort dans la rue pour faire montre de solidarité avec ces femmes, ces hommes et ces enfants qui ont dû tout quitter», précise l'organisation faîtière.

Des milliers de ménages sont prêts à accueillir des réfugiés chez eux, a déclaré Vania Alleva, coprésidente du Syndicat Unia. Et d'appeler la présidente de la Confédération à dire une fois pour toutes et clairement que la Suisse peut accueillir plus de réfugiés.

«Nous avons besoin de ponts et non de murs», a renchéri le conseiller national Balthasar Glättli (Verts/ZH). Selon lui et les organisateurs de la manifestation, la Suisse peut tout à fait accueillir plus de 50'000 réfugiés, comme lors de la guerre au Kosovo.

Berne doit notamment à nouveau autoriser les réfugiés à déposer une demande d'asile déjà à l'ambassade suisse dans leur pays. Cela aura le mérite de rendre les voies de l'exil plus sûres et légales, a ajouté la conseillère nationale Cesla Amarelle (PS/VD).

Non aux discours populistes

L'USS s'oppose au discours populiste haineux et raciste qui a cours en cette période préélectorale. La Suisse doit aussi s'engager dans les pays voisins des conflits pour y apporter des moyens financiers, médicaux et logistiques. En aucun cas cette aide ne doit se faire sur le dos des crédits de l'aide au développement.

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Afflux de requérants au Tessin: Le 20 Minutes fait appel à un expert de gauche pour “informer ses lecteurs”

"La demande du canton n'est pas justifiée" selon Alberto Achermann.

De quelles autres solutions le canton dispose-t-il alors pour mettre un frein au flux des migrants?

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Violer les accords de Schengen et de Dublin n'est pas la bonne solution. (ND Ch. H. Alors que divers pays refusent l'application de quotas, voilà que ces accords deviennent sacro-saints, sans parler des nombreux cas que l'Italie refuse de reprendre en violation même de ces accords!)

Le Tessin pourrait intensifier de manière ponctuelle ses contrôles, sans pour autant effectuer des contrôles d'identité systématiques. Car si la Suisse se remet à contrôler les gens lorsqu'ils passent la frontière, notre pays risque des sanctions de la part de l'UE.

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Alberto Achermann a travaillé à la rédaction d'un ouvrage traitant du droit de la migration en collaboration avec... la socialiste Cesla Amarelle: "Annuaire du droit de la migration".

via PNS Suisse

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