Algérie : le tournage d’un film historique interrompu à cause d’un drapeau français

Plusieurs dizaines d’habitants de la commune algérienne d’El Malah ont refusé que le drapeau algérien trônant au fronton de leur mairie soit remplacé par le drapeau français pour les besoins du tournage d’un film historique.

Le passé tumultueux entre la France et l’Algérie hante encore de nombreux esprits de part et d’autres de la Méditerranée. Dans son édition du 16 avril, la chaîne algérienne Ennahar TV a rapporté que des dizaines d’habitants de la commune d’El Malah, située à 520 kilomètres à l'ouest d'Alger, s'étaient rassemblés devant leur mairie pour bloquer le tournage d’une scène où le drapeau français devait être hissé en lieu et place du drapeau algérien.

«Tournez la scène ailleurs, où personne ne vous voit, il n'y a pas de problème ! Mais ici, c'est le siège de la mairie qui représente le peuple !», s’est emporté un manifestant devant la caméra. Un autre a expliqué son refus de voir hisser le drapeau tricolore en raison de la présence de combattants ayant participé à la guerre d'Algérie.

 

 

Face à ces protestations, le maire de la ville, Mustapha Rahmouni, s'est adressé à ses concitoyens à la faveur d'une intervention le 18 avril sur la même chaîne. «Les incidents que raconte le film, même moi, je ne les connais pas dans les détails ! […] J'en appelle aux habitants d'El Malah, connus pour être des gens civilisés et hospitaliers, pour comprendre que c'est un film racontant les événements du 8 mai 1945 que l'on doit connaître», a déclaré l’élu.

Intitulé Héliopolis, le film raconte les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata perpétrés par l’armée française lors de manifestations organisées par des indépendantistes algériens le 8 mai 1945. Afin de coller au mieux à la réalité historique, le réalisateur, Djâafar Gacem, a décidé de tourner dans cette ville agricole en raison de la présence de nombreux édifices datant de l’ère coloniale.

Selon le site d'information AlgeriePart, le cinéaste a néanmoins pu «ruser pour tourner discrètement cette scène "controversée"» malgré la désapprobation de certains habitants.

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Algérie: 6 mois de prison pour un chrétien accusé «d’ébranler la foi d’un musulman »

Un chrétien algérien originaire de la wilaya de Tiaret située au sud-ouest de la capitale Alger, arrêté par les services de sécurité en possession de livres évangéliques, a comparu devant le Tribunal de Frenda de la même wilaya. Il est accusé d’avoir « ébranlé la foi d’un musulman ».

Le procureur de la république a requis la peine de 6 mois de prison ferme et une amende de 50 000 Dinars Algériens. Cités par Algérie Part, les responsables de l’église protestante d’Oran ont exprimé leur incompréhension vis-à-vis de l’accusation portée contre l’un des fidèles de leur église.

Le Prosélytisme est interdit en Algérie depuis la signature de l’ordonnance du 06 mars 2006 par le chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika « fixant les conditions et les règles de l’exercice des cultes autres que musulmans ». L’ordonnance en question prévoit des sanctions pénales : « Sous réserve de peines plus graves, est puni d’un emprisonnement de deux à cinq ans et d’une amende de 500 000 à un million de dinars algériens quiconque incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion, ou en utilisant à cette fin des établissements d’éducation, de santé, à caractère social ou culturel, ou institutions de formation, ou tout autre établissement, ou tout moyen financier ; fabrique, entrepose ou distribue des documents imprimés ou montages audio-visuels, ou tout autre support ou moyen qui visent à ébranler la foi d’un musulman » (art. 11).

Les chrétiens d’Algérie dénoncent une vague de fermetures d’églises

Le World Watch Monitor a dressé un rapport peu élogieux de l’Algérie et ses chrétiens qui subissent, selon l’organisme, «des pression liées à leurs croyances». En effet, dans un rapport publié le 1er mars, le WWM rapporte la ferméture de deux églises à l’Oranie et deux autres en Kabylie en mettant en exergue une «vague de fermeture injustifiée».

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Nos remerciements à 

Gérard Depardieu s’installe en Algérie : « C’est un peuple d’une grande intelligence qui a été bousculé par une armée d’analphabètes en 1830 »

Gérard Depardieu s’en va vers de nouveaux horizons, de l’autre côté de la Méditerranée. Pourtant, le 13 février dernier, l’acteur avait fait parler de lui sur les réseaux sociaux après une interview sur le plateau de Quotidien. « Les Algériens qui vivent à Marseille ne pourraient pas se comporter comme ils se comportent à Marseille en Algérie », avait-il lancé.

Dans le journal La Provence, l’acteur, actuellement en promotion pour la saison 2 de la série Marseille dans laquelle il joue, a pu répondre à cette polémique. Et au passage, il a annoncé qu’il déménagerait prochainement pour s’installer dans la capitale algérienne.

« Cela a peut-être été mal compris. Je vais bientôt habiter en Algérie, comme Éric Cantona d’ailleurs, qui habite à Oran. J’ai choisi Alger. C’est un pays splendide. Ce que j’ai voulu dire, c’est que les Algériens de Marseille n’oseraient pas dire le quart de ce qu’ils disent, en Algérie. Le sens du respect se perd. Il est beaucoup plus marqué là-bas. Je me suis intéressé à l’histoire de l’Algérie. C’est un peuple d’une grande intelligence qui a été bousculé par une armée d’analphabètes en 1830 », a-t-il indiqué.  (…)

Algérie. Migrants clandestins: Extrader les hommes et placer les femmes et les enfants dans des centres d’accueil

Le Premier ministre Abdelmadjid Tebboune, a instruit ses ministres de l’Intérieur Noureddine Bedoui et des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel pour travailler conjointement afin d’extrader vers sept pays d’Afrique les immigrés clandestins présents sur le territoire national. Ce plan d’extradition de masse concerne les individus de sexe masculin se livrant à la mendicité et ceux ayant des antécédents judiciaires. Les femmes et les enfants bénéficieront, pour leur part, d’un statut spécial.     

Les autorités ont décidé de passer à l’action en reconduisant aux frontières tous les migrants clandestins de sexe masculin en provenance d’Afrique noire, présente illégalement sur le territoire national, a révélé le quotidien El Khabar, ajoutant que ladite mesure ne concerne pas les réfugiés fuyants les zones de conflits.

Cette mesure concerne tout particulièrement les individus se livrant à la mendicité et ceux ayant des antécédents judiciaires. Les femmes et les enfants parmi ces migrants seront placés dans des centres d’accueil.

Dans le même ordre, des négociations ont été entamées avec les autorités maliennes, nigérianes, burkinabé, béninoises, tchadiennes, camerounaises et guinéennes pour permettre à l’Algérie d’extrader les ressortissants de ces pays représentants envieront 95% des migrants clandestins présents sur le territoire algérien. L’objectif étant de réduire de moitié, le nombre de cette population dont le nombre est estimé à 50 000.

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Nos remerciements à Victoria Valentini

Le chef de cabinet du président algérien : « L’immigration africaine est source de crime et d’autres fléaux »

Ahmed Ouyahia n’est pas favorable à l’accueil des migrants en Algérie, comme le souhaite le gouvernement. Et il le fait savoir. « Premièrement, ces gens-là sont venus de manière illégale », a rappelé, samedi 8 juillet, le secrétaire général du RND qui est également chef de cabinet du président Bouteflika.

« Deuxièmement, a-t-il ajouté sur Ennahar TV, la loi algérienne n’autorise pas le recours à la main d’œuvre étrangère. Aujourd’hui, nous avons des travailleurs chinois qui exercent dans le cadre des contrats conclus avec des entreprises chinoises. Mais ils ont des contrats de travail renouvelables ».

Mais l’accès à l’emploi n’est pas le seul problème que soulève Ouyahia. Le chef du RND va plus loin, en accusant les migrants d’être à l’origine de plusieurs fléaux dont le crime et la drogue. « Ces étrangers en séjour irrégulier sont source de crime, de drogue et de plusieurs autres fléaux », a affirmé le chef de cabinet de la présidence de la République.

« On ne dit pas aux autorités : jetez ces migrants à la mer ou au-delà des déserts. Mais le séjour en Algérie doit obéir à des règles. On ne laissera pas le peuple algérien souffrir de l’anarchie », a-t-il ajouté. « Et quand on me parle de droits de l’Homme, je dis : nous sommes souverains chez nous ».

Tsa-Algérie Via Fdesouche.com

Algérie: Trois jeunes convertis au christianisme arrêtés pour prosélytisme et déstabilisation de la foi musulmane

Rappel:

Le ministre allemand des Finances: « L’islam, c’est la tolérance et l’hospitalité. Les Chrétiens doivent apprendre des musulmans. »

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Trois jeunes convertis au christianisme ont été arrêtés, mercredi, dans la wilaya El Bayadh pour «vol et prosélytisme ayant pour objectif de déstabiliser la foi musulmane». Selon le rapport de la police judiciaire, les trois individus ont subtilisé des livres religieux et des croix pour se livrer à du prosélytisme sur les réseaux sociaux.

La section économique et financière du service de police judiciaire de la wilaya d’El Bayadh, a arrêté trois jeunes hommes âgés de 28 à 32 ans, pour vol et prosélytisme, rapporte le quotidien El Khabar.

Selon la même source, la police a saisi cinq livres religieux, dont un évangile, ainsi qu’un certain nombre de croix qui leur servaient à faire du prosélytisme, notamment sur Facebook. Les trois individus ont été inculpés pour «association de malfaiteurs, vol et dissimulation d’objets volés et tentative de déstabilisation de la foi musulmane». Le lieu où ces objets ont  été volés n’a été précisé.

Après un bref répit consécutif aux innombrables critiques émises par les  ONG de défense des droits de l’homme quant à la traque méthodique des ahmadis, les autorités renouent avec leurs vieilles pratiques dignes de l’inquisition. Les motifs invoqués ont, comme de coutume, trait à de supposées tentatives de  déstabilisation de la foi musulmane.

Convaincu de la nécessité de telles pratiques, le gouvernement algérien n’a pas hésité à défendre leur bien fondé devant les instances onusiennes. Intervenant en effet, en mai dernier, à l’occasion de la 27ème session du Mécanisme d’examen par les pairs du Conseil des droits de l’Homme, l’ex-ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra, s’est justifié en invoquant  le principe saugrenu de «singularité». Selon lui, «l’universalité des droits de l’homme ne doit aucunement signifier unicité et/ou uniformité du modèle d’organisation sociale ou politique». Une façon de demander un droit le réprimer les libertés. Sans commentaire!

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Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Le spectre de la Terreur islamique plane aussi sur l’Algérie

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Michel Garroté - "La tentative d’attentat à la ceinture d’explosifs, déjoué, dimanche, par un policier à Constantine, a été revendiquée hier par le groupe terroriste Daech" (EI), rapporte le site d’information 'Algérie Focus' (voir lien vers la source, RFI, en bas de page). Dans un texte posté sur Internet, le groupe terroriste affirme que le "kamikaze Abou El Hassan Ali a réussi à atteindre le commissariat de police de Bab El Kantara à Constantine et à y faire détoner son sac piégé".
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Cette revendication du groupe terroriste intervient au même moment, note encore le site algérien, qu’un communiqué du ministère de l’Intérieur annonçant que cet attentat a pu être déjoué 'grâce à la vigilance et à l’intervention courageuse d’un agent de police en faction qui a pu repousser le terroriste kamikaze l’obligeant à enclencher sa ceinture explosive à l’extérieur du bâtiment abritant le siège du commissariat' ». L’attentat a donc pu être déjoué. Le kamikaze est mort. Il n’a fait que deux blessés, des policiers (voir lien vers la source, RFI, en bas de page).
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Une violente alerte :
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Sur RFI, Frédéric Couteau écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : En tout cas, pour L’Expression, à Alger, il s’agit là d’un sérieux avertissement en direction des gouvernants. « Ce coup de tonnerre dans un ciel serein sonne comme une violente alerte à l’adresse de la classe politique bercée par une relative accalmie.
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Une classe politique qui semble, dans sa globalité, évacuer le péril terroriste. Grave erreur tactique, s’exclame L’Expression. A deux mois des législatives, cette réalité interpelle et responsabilise davantage ces acteurs politiques face à l’islamisme violent qui met en péril la vie des personnes, leurs biens et le processus démocratique.
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Les annonces quasi quotidiennes par le ministère de la Défense nationale de saisies de stocks d’armes, de casemates détruites suffisent pour affirmer que la vigilance doit être de mise. Si l’on ajoute, poursuit L’Expression, le contexte régional explosif avec le chaos libyen, l’anarchie qui règne dans la plupart des pays du Sahel et la fragilité en Tunisie, on est tenté de dire que la guerre contre le terrorisme a encore de beaux jours devant elle.
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Ce qui oblige et les services de sécurité et les citoyens à maintenir un degré de vigilance élevé, à concentrer leurs efforts sur le renseignement et à adapter les méthodes de lutte au nouveau mode opératoire avec lequel procède cette nouvelle faune de terroristes ».
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Il faut écraser le serpent dans l'oeuf :
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Le quotidien Aujourd’hui à Ouagadougou s’interroge : « l’Algérie est-elle en train d’être revisitée par les islamistes ? Ali Benadj et Abass Madani auraient-ils fait de petits qui, presque trente ans après, veulent reprendre le flambeau de l’islamisme ? Même si cette attaque n’a pas fait de mort, elle sonne néanmoins, comme un tir de semonce qui doit être pris au sérieux.
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S’agit-il d’un retour des Frères musulmans ou plutôt du réveil de cellules dormantes qui estiment que le moment est propice à leur retour ? En tous les cas, l’armée algérienne dont on sait qu’elle ne badine pas avec les terroristes est prévenue. Les têtes chercheuses des services de renseignement algériens doivent se mettre en branle pour écraser le serpent dans l’œuf, car les anges gardiens comme le policier sauveur de Constantine, risquent de ne pas toujours être là au bon moment ».
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Le dictateur malade et corrompu Bouteflika "out" ou pas "out" :
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Et puis Le Pays, toujours au Burkina, s’interroge lui sur l’état de santé du président Bouteflika et ses capacités à gouverner. « Le pouvoir algérien dans un fauteuil roulant », titre le quotidien ouagalais. « Le cinquième président de la République algérienne, porté au pouvoir depuis un certain 27 avril 1999, fête ses 80 ans dans deux jours.
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Mais c’est peu de dire qu’il n’a plus la réalité du pouvoir depuis 2013. Grabataire depuis maintenant quatre ans, même pouvoir honorer les audiences est devenu un pari aléatoire. La chancelière allemande, Angela Merkel, l’a appris à ses dépens, la semaine dernière. Cette situation n’est pas sans troubler davantage les Algériens qui commencent à se poser des questions sur ce que tout cela va donner ».
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Enfin, le quotidien Liberté à Alger ironise sur le « diagnostic » établi hier par le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbes : « le président Bouteflika poursuit ses activités normalement », a-t-il soutenu. « Djamel Ould Abbes se plaît visiblement à confondre sa position et fonction de chef de parti et sa qualité de médecin, pointe Liberté.
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S’agissant de l’état de santé du chef de l’Etat, il n’en est d’ailleurs pas à sa première, rappelle le quotidien algérien, puisque, dans les jours qui avaient suivi sa cooptation à la tête du FLN, il avait émis un avis “médical” que les médecins traitants de Bouteflika s’étaient interdits de rendre, à savoir que le président allait bientôt se remettre à marcher.
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Il faut vraiment avoir manqué des modules, voire tout un cursus, s’exclame Liberté, pour gager ainsi sa crédibilité et prendre le risque que l’opinion, prise à témoin, doute de sa science », ajoute Frédéric Couteau sur RFI (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.rfi.fr/emission/20170228-algerie-le-spectre-islamisme-algerie-bouteflika
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Quel est le réel génocide perpétré en Afrique du Nord ?

Berbères-2

   
Michel Garroté - Le réel génocide perpétré en Afrique du Nord, fut commis, par les arabo-musulmans, contre les Berbères (photo ci-dessus), n'en déplaise à Macron-l'ignare. Lorsque j'écris "Quel est le réel génocide perpétré en Afrique du Nord ?" (titre du présent article), cela n'exclut pas tous les autres génocides perpétrés en Afrique, simplement, celui qui est évoqué ci-dessous (le génocide des Berbères juifs et chrétiens notamment par les armées conquérantes arabo-musulmanes venues de la péninsule arabique), est une réponse (de l'excellent Gérard Brazon), aux allégations mensongères (du dandy pommadé Maqueron au menton proéminent) sur le soi-disant "génocide", qui, selon lui - et c'est faux - aurait été perpétré, par les Français, en Algérie, lors de la période coloniale, et, que, l'on agite en période électorale (pour draguer les voix franco-musulmanes en général et les voix  franco-algériennes en particulier).
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A propos du génocide des Berbères par les arabo-musulmans, le chroniqueur Gérard Brazon écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : On ne peut qu’être stupéfait d’entendre certains de nos politiques qui, partant à la pêche aux voix musulmanes et immigrées, n’hésitent même plus à insulter leur propre pays. Emmanuel Macron prétend diriger un pays qu’il accuse de « crime contre l’humanité ». Au même titre que les nazis, les communistes. Il balaie d’une main légère et surtout criminelle, une décision de Charles X faite sur une demande du Congrès de Vienne (ONU de l’époque), afin que cessent les pillages et les mises en esclavage des Européens par les Barbaresques ayant leur siège à Alger, Tunis et Tripoli.
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1830 fut, avant toute chose, une mission civilisatrice, une occupation des lieux où s’exerçait le pire des crimes contre l’humanité qu’était la mise en esclavage de milliers de femmes et d’hommes. Les unes vendues, violées, assassinées pour désobéissance à leurs maîtres musulmans, les autres transformés en bétail humain la plupart du temps ou torturés pour le plaisir d’un spectacle (L’État islamique n’a rien inventé).
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Il faut que les Algériens d’ici et d’Algérie comprennent également, que dans leurs ancêtres, il y avait aussi cette engeance criminelle. Le savoir ne veut pas dire assumer la culpabilité. De même, les Français d’aujourd’hui ne sont coupables en rien de ceux d’hier. Mes ancêtres, paysans de la Sarthe et du Perche, n’ont jamais vu un Noir, ni même entendu parler de quoi que ce soit sur l’esclavage (ils l’étaient eux-mêmes en quelque sorte), pas même de la colonisation. Qu’ils sachent aussi, ces Algériens, que le premier génocide sur ces terres d’Afrique du Nord, fut commis par les arabo-musulmans sur leurs ancêtres Berbères.
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Cette conquête de la ville esclavagiste d’Alger fut poursuivie par Louis Philippe, Napoléon III et les différentes Républiques. Des radicaux-socialistes à la droite conservatrice qui suivirent. À noter que les socialistes de l’époque furent les pires à ce jeu de la colonisation des terres, en y ajoutant la notion de races inférieures (de Jules Ferry à Léon Blum), tandis que la droite de l’époque voulait se concentrer sur la revanche contre l’Allemagne et récupérer l’Alsace et la Lorraine.
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Emmanuel Macron trahit la France en accusant son propre pays et entérine la haine d’une Algérie très appauvrie en 55 ans d’indépendance. Un pays construit de toutes pièces sur des marécages par la sueur et par le sang des colons. Un territoire qui put voir, grâce à la France, des villes se construire, des voies ferrées, des ports, et des puits de pétrole. Qu’un hommage soit rendu à ces Français, aux Arabes Français de cœur, à l’intelligence, aux instruits, aux courageux, aux mains rudes qui, en asséchant les marécages, en irriguant et en cultivant la terre, ont fait de ces terres arides, un pays digne de ce nom. Ce ne sont pas les Barbaresques qui l’on fait, mais les Français.
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Cette Algérie, au bout de 55 ans d’indépendance, reste incapable de donner à manger à son propre peuple malgré la manne pétrolière et gazière qu’a laissée la France. Un peuple qui pourtant continue à vouloir immigrer, et vouloir vivre chez l’ancien « colonisateur, criminel contre l’humanité ». Cette nouvelle Algérie vit dans le mensonge permanent de ses dirigeants qui refusent de devoir se justifier de leur incapacité à gouverner et à offrir une espérance à leur peuple.
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Emmanuel Macron insulte ceux qui ont fait cesser les crimes des esclavagistes et qui ont fait de cette terre un pays qui n’existait pas avant eux. Au prix fort. Ceci n’est pas pardonnable.-Emmanuel Macron est donc le pur produit d’une inculture historique qui détruit tout ce qu’elle ne comprend pas et mord la main qui lui donne à manger. Ce personnage semble ignorer les raisons de la prise d’Alger en 1830, et donc ignore tout des Barbaresques, y compris, bien sûr, les désastres commis sur les côtes d’Italie, de France, d’Espagne et même d’Irlande. Il semble ignorer que la Navy, créée aux USA pour protéger son commerce en Méditerranée, bombarda Tripoli pour y calmer les esclavagistes qui pillaient cette mer.
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Esclaves ? Esclavagistes ? Il est vrai que selon Christiane Taubira, l’esclavage n’est sans doute pas un crime quand ce sont les Blancs qui en sont les victimes. Emmanuel Macron est disqualifié pour rassembler les Français. Il ne peut pas être le Président d’un peuple qu’il qualifie de criminel. Il n’est pas seulement un imbécile par ignorance, mais un traître de fait par sa représentation médiatique. La portée de sa parole confirme les mensonges, les oublis, la mauvaise foi et donne l’impression que la France est venue occuper un pays avec un projet d’extermination.
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Notons que l’Algérie porte son nom depuis une décision française. C’est le 14 octobre 1839 que la circulaire de Schneider, Ministre de la Guerre, donna le nom définitif d’Algérie. Ainsi donc, même son nom est une création française. L’historien Jean Sévillia explique pourquoi qualifier la colonisation de crime contre l’humanité est un non-sens historique, estimant que l’on ne peut pas jeter ainsi « l’opprobre sur les Européens d’Algérie, les Harkis, et leurs descendants ». Emmanuel Macron, enfant de la chronologie bafouée, doit confondre Vercingétorix avec Abd el-Kader.
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Le plus grave est qu’Emmanuel Macron a, dans un pays étranger, en Algérie, dénoncé le peuple de France qu’il prétend un jour gouverner. On peut lui rappeler au passage que ce sont des millions de jeunes Algériens, tous assoiffés de visas, qui veulent rejoindre une France de « criminels contre l’humanité ». Sont-ils masochistes ces jeunes Algériens ou savent-ils que la France est une terre promise pour s’assurer le gîte, le couvert, grâce aux APL, AME, RMI, RSA, ATA, ASTA et autres allocations si diverses et variées, sans oublier de faire venir leur famille par le jeu du regroupement familial. Pour eux, ce n’est pas la France, c’est Allah qui pourvoit, n’est-ce pas. Nous sommes, en France, progressivement occupés par l’Afrique du Nord et subsaharienne, et, nous devons en plus, nous excuser, encore et encore, ajoute Gérard Brazon (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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Source :
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http://eurolibertes.com/evenements/premier-genocide-afrique-nord/
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Macron assimile-t-il la colonisation à la Shoah ?

Macron-1

   
Michel Garroté - Je ne suis ni "franco-français", ni "colonialiste". Cependant, je souhaite signaler, qu'alors que le "révisionniste" de gauche Emmanuel Macron qualifie la colonisation de "crime contre l'humanité" (il ose en effet dire que la colonisation est un "crime contre l'humanité"), l'historien Jean Sévillia, dans Le Figaro, réagit, clairement, à ces propos macroniques et démagogiques, en déclarant (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : "Qualifier la colonisation d'acte de barbarie ou de crime contre l'humanité est un non-sens historique, un jugement sommaire, manichéen, qui passe sous silence la part positive de l'Algérie française. L'histoire a pour but de faire la vérité et non de jeter de l'huile sur le feu, mais, s'agissant de barbarie, on pourrait rappeler que, dans les événements tragiques de la fin de l'Algérie française, des Européens d'Algérie ou des musulmans [harkis] ont été victimes d'actes aujourd'hui constitutifs du crime contre l'humanité. Si on veut vraiment faire de l'histoire, il faut tout mettre à plat".
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Jean Sévillia poursuit : "Je laisse les commentateurs de l'actualité analyser les balancements contraires d'Emmanuel Macron, spécialiste du rien-disant destiné à contenter tout le monde afin d'attirer un maximum de voix. Je rappellerai seulement que l'histoire électorale française, depuis un siècle et demi, a vu régulièrement surgir du paysage politique des personnages de ce type et jouer les hommes providentiels dont de braves citoyens attendaient tout. La société du spectacle y ajoute une dimension où il faut avoir la gueule de l'emploi: être jeune et beau. Ce sont des phénomènes sans enracinement dans la société, et par-là éphémères", ajoute Jean Sévillia (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). Je signale, juste en passant, que de son côté, François Fillon estime, je cite, que "la colonisation est une abomination"...
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De son côté, Gérard Longuet, Sénateur LR, sur le Huffington français, écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : En Algérie, Monsieur Macron a fait le choix invraisemblable de soutenir un pouvoir déclinant et paralysé au détriment du respect que nous devons tous à l'histoire de notre pays, la France qu'il prétend pouvoir présider. Présider, c'est rassembler. On ne rassemblera jamais les Français à l'aune de jugements parfaitement anachroniques. Ou alors il nous faudra errer de repentance en repentance, sans cesser de nous flageller de tous les péchés du monde.
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Gérard Longuet : Déclarer que la colonisation est un crime contre l'humanité c'est surtout mépriser les Algériens et les Français qui en 130 ans ont construit les bases d'une nation nouvelle selon les règles et les usages de leurs temps, en effet aujourd'hui révolus, mais qui constituaient autant de progrès. C'est volontairement que le fils de l'émir Abd el Kader combattit aux cotés des Français en 1870 contre les Prussiens. Mais, sans doute le jeune Monsieur Macron ne l'a jamais su, ou il l'a oublié.
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Gérard Longuet : C'est surtout mépriser la souffrance du million de déracinés, chrétiens ou musulmans, juifs ou athées, Européens, berbères ou arabes qui firent le choix de la France car le choix en 1962 était alors la valise ou le cercueil, choix qui s'imposaient à ceux qui aimaient la France. Crime contre l'humanité qui voit notre pays être librement choisi par des centaines de milliers d'Algériens qui a ma connaissance n'y ont pas été forcés par quiconque après 1962.
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Gérard Longuet : Pour comprendre son pays, Monsieur le candidat, il faut l'aimer comme on aime ses parents, avec bienveillance ce qui n'exclut pas la lucidité. Cela s'appelle le patriotisme et je l'attends d'un Président. Vous l'avez sacrifié dans une expression torturée. Vous avez choisi sans doute ce que vous pensiez être l'intérêt de votre image médiatique dans la pensée convenue. Vous avez marqué votre mépris pour ces générations modestes et laborieuses qui ont su construire dans les épreuves comme dans les pages de gloire, en métropole comme en outremer. Le désamour de la France n'est pas digne de votre ambition, ajoute Gérard Longuet (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction & Adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/02/15/31001-20170215ARTFIG00355-jean-sevillia-la-colonisation-et-le-non-sens-historique-d-emmanuel-macron.php
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http://www.huffingtonpost.fr/gerard-longuet/emmanuel-macron-algerie-crime-humanite/?xtor=AL-32280680
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Allemagne: Malgré l’attentat, la Tunisie ne veut toujours pas reprendre ses clandestins

«La Tunisie doit cesser de freiner les expulsions des sans-papiers, en particulier s’agissant de personnes liées à la mouvance salafiste», avait souligné la chancelière samedi dernier.

L’Algérie sommée par l’administration Trump de reprendre ses ressortissants émigrés clandestinement aux États-Unis

L’Algérie a été mise en garde par la nouvelle administration Trump dans le cadre de sa politique de la lutte contre l’émigration clandestine. Refusant d’accueillir ses ressortissants émigrés clandestinement aux États-Unis, l’Algérie a été classée dans une liste contenant 23 pays sommés de reconsidérer leur position.

L’Algérie ainsi que 23 autres pays, dont l’Afghanistan, la Chine, l’Iran, l’Irak, la Libye, la Somalie et le Zimbabwe,  ont été mis en garde par la première puissance mondiale considérant indiscutable le fait que ces pays doivent accepter d’accueillir leurs ressortissants présents illégalement sur le territoire américain, a rapporté jeudi le Los Angeles Times.

Comme promis durant sa campagne électorale, le président américain œuvre actuellement à «nettoyer» les États-Unis des étrangers en situation irrégulière qu’il a d’ailleurs qualifié de « vermine ».  Pour que sa nouvelle politique de lutte contre l’immigration clandestine, s’apparentant de plus en plus à une opération d’épuration ethnique d’un nouveau genre, soit optimale, le président américain a mis en place un système qui élargit la liste des individus destinés à l’expulsion. En Plus de ces 23 pays, l’administration américaine a ajouté d’autres critères susceptibles de toucher un maximum d’émigrés clandestins. Ainsi, les individus accusés de crimes et délits  peuvent être tout simplement expulsés sans procès.

Mettant en avant les impacts négatifs sur la sécurité des États-Unis, la nouvelle administration a souligné que «la justice américaine a affirmé que les ressortissants étrangers accusés de crimes ne peuvent être détenus indéfiniment», pour l’administration Trump, ces gens doivent tout simplement renter dans leur pays d’origine.

La nouvelle administration américaine  n’a, pour l’instant, pas apporté de détails quant aux mesures qui vont être prises pour contraindre ces pays à reconsidérer leur position. Cependant, une nouvelle proposition de loi introduite au Congrès américain par le parti républicain conforte l’idée d’une déportation massive des émigrés clandestins. Cette loi vise en somme, à retirer l’aide américaine et les visas de voyage vers les États-Unis aux pays «refusant ou retardant de manière déraisonnable» la réception de leurs immigrés clandestins expulsés du territoire américain.

Source

Pendant ce temps, la Suisse attend patiemment que l'Algérie et le Maghreb en général, veuillent bien reprendre leurs racailles:

Genève: Ivre, un Algérien poignarde un passant et tente de frapper un agent

Vaud. Yverdon-les-Bains: L’Algérien abuse d’une femme déficiente. Il n’est pas expulsé.

Lucerne: Un Algérien attaque un Suisse au couteau, le blesse et le vole

Lausanne: Un requérant d’asile algérien multirécidiviste attaque au couteau deux noctambules. Il ne sera pas expulsé.

Renvois des criminels étrangers: Comment les pays du Maghreb se moquent de la Suisse

Déferlement de racisme pendant le match Algérie-Zimbabwe de la part des Algériens: “Bande de singes de merde”

A l’occasion du match Algérie-Zimbabwe de la Coupe d’Afrique des Nations 2017, les supporters de l’Algérie ont multiplié les attaques racistes sur le réseau social Twitter ce dimanche soir, contre les joueurs de l’équipe africaine. Extraits:

 

Algérie: Une adolescente sur deux trouve normal qu’un homme frappe sa femme. «Un homme qui ne frappe pas sa femme n’est pas un homme»

Des brimades, des gifles, des coups : un homme qui frappe son épouse, cela peut s’expliquer et même se justifier.

Elles sont près de 800 000 jeunes filles algériennes à le penser. «Un homme qui ne frappe pas sa femme n’est pas un homme» ou «un homme frappe sa femme parce qu’il l’aime», ou encore «si un homme frappe sa femme, c’est qu’elle l’a mérité !»

Ce genre de justifications des actes de violence conjugale est courant dans la société. Sur le million et demi d’adolescentes âgées de 15 à 19 ans que compte l’Algérie, 55% croient qu’il est justifié qu’un homme batte sa femme.

C’est ce que révèle un récent rapport de le Fonds des Nations unies pour la population) qui a traité des données nationales (chiffres de l’ONS et du ministère de la Santé) pour appeler l’Algérie à «investir dans la jeune fille adolescente».

Source et suite de l'article

Mes remerciements à @islamicide

Suisse : vol Genève-Alger annulé en raison de heurts entre passagers agressifs

Le vol aura été de courte durée pour les quelque 110 passagers du Genève-Alger de samedi soir. Des passagers se sont violemment disputés, alors que l’avion était prêt à partir à 18h10. L’attribution des sièges, pourtant correcte, était au cœur du conflit. Le ton est monté, les braillards se sont levés et n’ont pas obéi aux injonctions du personnel de bord. Contactée, la compagnie Swiss confirme l’incident rapporté par des médias algériens. «Un groupe de passagers était agressif. L’équipage a jugé qu’il n’était pas raisonnable de continuer avec eux», indique la porte-parole Evelyne Lozeron Gentile

L’appareil a donc fait demi-tour et la police est intervenue. Six adultes et trois enfants ont été débarqués. Certains sont sortis menottés. Les autres voyageurs ont été contraints de prendre leur mal en patience. (...)

Les six fauteurs de trouble ont été entendus et relâchés, précise la police genevoise. L’affaire est en main du Ministère public de la Confédération. Selon nos informations, l’Algérie a demandé à la Suisse de lui transmettre l’identité des personnes interpellées. La compagnie ne communique pas le montant du préjudice. Elle indique se réserver le droit de poursuivre les deux familles concernées, qui ont depuis rejoint Alger. (...)

20 Minutes via Fdesouche.com

Algérie : un imam appelle à fermer les églises et à les transformer en mosquées

Une information de SIWEL, Agence Kabyle d’information du 10 mai dernier…

« Après les appels au meurtre dont il est devenu le spécialiste, l’imam [islamiste] algérien, Abdelfettah Hamadache, appelle à fermer les rares églises qui n’ont pas déjà été fermées en Algérie. Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, cet imam demande à “transformer les églises Notre-Dame d’Afrique d’Alger, Santa Cruze [sic pour Cruz] d’Oran et Saint-Augustin d’Annaba en mosquées” ».

Source : SIWEL, 10 mai via christianophobie.fr/

Santé du président Bouteflika : inquiétude pour lui et pour nous

Hier, la présidence algérienne annonçait par communiqué l’arrivée du chef d’Etat Abdelaziz Bouteflika à Genève pour effectuer un contrôle médical qualifié je cite : « De périodique ». Cette annonce relance les inquiétudes sur la santé du président algérien de 79 ans qui se déplace déjà en fauteuil roulant et ne parle plus que difficilement.

Même si les proches de Bouteflika détiennent la réalité du pouvoir, celui ci n’étant plus qu’une marionnette, sa santé est un enjeu crucial pour l’Algérie

Depuis la crise pétrolière, l’Algérie traverse une crise sécuritaire sans précédent, les revenus tirés du pétrole ne permettant plus de refréner les aspirations révolutionnaires et islamistes de la population. La mort du président Bouteflika dans un tel contexte d’instabilité entrainerait certainement le régime vers un destin à la Libyenne.

En cas de renversement du régime, quelles seraient alors les conséquences pour la France ?

L’Algérie est un pays de plus de 40 millions d’habitants. Se souvenir de l’exode ayant suivi le Printemps Arabe de 2010, et la complaisance avec laquelle il a été accueilli en Europe, permet d’imaginer l’ampleur du flux migratoire que pourrait générer une crise algérienne. En plus d’être sans précédent celui ci serait également dirigé tout particulièrement vers la France, dont les Algériens partagent la langue et le passé selon les enjeux. Notre avenir proche est donc lié à l’avenir de l’Algérie, lequel dépend de la santé du président Bouteflika. Souhaitons lui un bon rétablissement.

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Alors que l’Algérie persécute les chrétiens, ce pays dénonce “le racisme contre les musulmans en Europe”

Christian Hofer: On notera qu'il y a en France environ 5 millions de musulmans, et en Europe plus de 53 millions de musulmans, dont la liberté de foi n'est pas entravée pendant que l'Algérie persécute les 25'000 chrétiens qui sont établis sur son territoire.

Qui plus est, l'Algérie est un pays qui recense extrêmement peu d'étrangers (environ 1%). L'Algérie sait pertinemment que de nombreux Algériens profitent allègrement de l'Europe, de son système social, déversant ainsi son chômage et sa criminalité chez nous, puis refusant de reprendre ses ressortissants délinquants (comme c'est le cas avec la délinquance algérienne en Suisse).

Enfin, l'Algérie a été épinglée pour son racisme à l'encontre des travailleurs chinois, alors que ces derniers ne profitaient aucunement d'une quelconque prestation sociale. C'est dire l'hypocrisie immonde de ce pays.

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L’Algérie rejette toute tentative visant à attribuer le phénomène du terrorisme à un espace géographique, civilisationnel ou religieux précis, a déclaré le président du Conseil de la nation (Sénat) Abdelkader Bensalah ce jeudi à Istanbul en Turquie.

« Nous suivons avec une profonde préoccupation la recrudescence des actes et slogans hostiles en direction des musulmans notamment dans les pays occidentaux à cause de groupes et individus extrémistes animés par les sentiments de haine et de rancœur et guidés par une intention préméditée d’entamer nos valeurs religieuses et civilisationnelles », a affirmé M. Bensalah dans une allocution lors des travaux du 13e sommet de l’Organisation de coopération islamique (OCI) représentant le président de la République, Abdelaziz Bouteflika.

Et d’ajouter : « Nous dénonçons ces agissements et rejetons toute tentative visant à attribuer le phénomène de terrorisme à un espace géographique, civilisationnel ou religieux précis d’autant plus que les peuples musulmans ont été et sont la première victime de ce fléau ».

L’Algérie salue « les efforts soutenus que ne cesse de consentir l’OCI pour contrecarrer les campagnes d’islamophobie et ce, en donnant la véritable image de notre religion et de son apport à l’éradication de la fitna entre les composantes de la religion et à la promotion du dialogue entre les civilisations et les religions », a assuré Bensalah.

« La crise d’exil vers l’Europe et tout ce que cela induit comme drames humanitaires vient nous rappeler la situation des communautés musulmanes dans les pays d’accueil et ce qu’elles endurent parfois comme pratiques racistes et exactions au lieu de garantir le droit à la protection et l’aide dans le cadre de la concertation et la coopération avec les pays concernés », a dénoncé encore le président du Sénat.

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Rappel: Les Chrétiens persécutés en Algérie :

Un classement mondial pointe du doigt le manque de tolérance en Algérie à l’égard des croyants catholiques et protestants. 

Alors que la communauté internationale se soucie particulièrement du sort des chrétiens du Moyen-Orient, l’association d’obédience protestante Portes Ouvertes révèle que leur situation n’est pas meilleure au Maghreb, notamment en Algérie. Selon le dernier classement de Portes Ouvertes, l’Index Mondial de Persécution 2013, l’Algérie est le 29ème pays au monde où les chrétiens sont le plus persécutés.

Les quelques 25 000 chrétiens résidant en Algérie vivent dans la peur constante. Et pour cause,  assumer sa foi non-musulmane peut parfois être risqué en Algérie, où l’on peut facilement être accusé de prosélytisme, délit passible d’une amende, voire d’une peine de prison. C’est ce qui est exactement arrivé à Ibouène Mohamed, employé par une multinationale basée à Tindouf, dans le sud du pays. Dénoncé par un collègue de travail, qui avait estimé qu’Ibouène Mohamed voulait le “convertir” en lui faisant part de sa foi chrétienne, le jeune homme a échappé à la prison de peu. Mais le verdict de Cour de la wilaya de Béchar, dans l’ouest du Sahara algérien, rendu le 13 février, n’est pas clément pour autant. Ibouène Mohamed a vu le montant de son amende doublé, passant de 50 000 à 100 000 dinars !

Et ce n’est pas l’ordonnance 06-03, adoptée en février 2006, qui va arranger les affaires des chrétiens d’Algérie. En vertu de cette ordonnance, l’impression, le stockage ou la distribution de littérature chrétienne entraîne une condamnation à cinq ans de prison. Les lieux de cultes chrétiens ont aussi reçu des ordres de fermeture au nom de cette loi. Mais la plupart ont décidé de les ignorer. “Il s’agit d’une loi inacceptable qui doit être abrogée”, dénonce Mustapha Krim, président de l’Eglise protestante d’Algérie.

Face à la montée de l’anti-christianisme en Algérie, l’association Portes Ouvertes s’organise. Elle a récemment mis en ligne une pétition appelant à “défendre la liberté de croyance et d’expression des chrétiens algériens”.

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Panama Papers et la France algérienne

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Le quotidien gauchiste français "Le Monde" aurait-il subi des pressions de l'Algérie ? (voir lien vers source en bas de page). La couverture du scandale "Panama Papers" par le quotidien "Le Monde" n'aurait pas plu au clan Bouteflika. Et Abdelaziz Bouteflika aurait fait pression sur Paris suite au traitement que lui a réservé "Le Monde" dans son édition de lundi.
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Au point que le quotidien gauchiste français "Le Monde" a pondu le rectificatif suivant pour dédouaner le chef de l'Etat : "Précision : contrairement à ce que la photo en ‘une’ du Monde daté du 5 avril (édition imprimée) a pu laisser croire, le nom du président algérien, Abdelaziz Bouteflika, n’apparaît pas dans les «Panama papers». Ce sont des proches du chef de l’État qui sont soupçonnés d’avoir détourné une partie des ressources du pays, comme le relève l’article ci-dessus, paru en page 7 du quotidien".
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Le quotidien gauchiste français a mis dans sa première page la photo d'Abdelaziz Bouteflika à côté les chefs d'Etat directement cité par les révélations du scandale Panama Papers. Pourtant au coeur de l'article, le quotidien ne cite que des "proches" du chef de l'Etat comme Farid Bedjaoui, Chakib Khelil, Omar Habour, réfugié en France.
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A l'heure actuelle des révélations (d'autres informations seront publiées, selon le Consortium international des journalistes d'investigations (ICIJ), le chef de l'Etat ou sa famille directe n'est pas touchée par ce scandale. Cependant, il est manifeste que les proches du clan éclaboussés par des scandales financiers comme Abdeslam Bouchouareb, Chakib Khelil, Amar Ghoul, Amar Saadani, demeurent intouchables pour la justice en Algérie (voir lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté
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http://www.lematindz.net/news/20365-le-monde-aurait-il-subi-des-pressions-dalger.html
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