Pendant que l’Algérie envoie 100 imams en France, le gouvernement algérien réprime tout acte de conversion au christianisme. « Deux à cinq ans de prison pour qui convertit un musulman. »

Le gouvernement algérien, qui envoie 100 imams en France pour le Ramadan, réprime tout acte de conversion au christianisme. Des chrétiens algériens lancent un appel pour plus de liberté religieuse.

 

 

Il s'appelle Nourdine. Il habite à Tiaret, près d'Oran, en Algérie. De nationalité algérienne, il a juste le malheur d'être… chrétien. Ou plutôt de ne pas être musulman, religion d'État dans ce pays. Cet homme d'une trentaine d'années, père de deux enfants, est totalement découragé. Lors d'un jugement prononcé le 16 mai, il a évité, certes, deux ans de prison ferme, mais à quel prix! 100.000 dinars d'amende. Soit cinq fois le salaire de base mensuel en Algérie. Son méfait? Avoir été arrêté lors d'un barrage routier, non pas avec 3 kg de drogue dans sa voiture mais trois… bibles! Lors de l'interrogatoire de police qui a suivi, cet homme honnête a refusé de mentir. À la question: «Si un musulman vous avait demandé une bible, la lui auriez-vous donnée?» il a répondu oui.

Des exemples similaires pleuvent.

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Une formation d’imams… pour gérer l’afflux de musulmans?

Par Mireille Vallette

L’Université genevoise va entamer le deuxième chapitre de sa formation: la démocratie suisse, son histoire et ses attraits. L’Alma mater espère devenir une référence européenne entre autres pour un accueil harmonieux des millions de réfugiés qui s'annoncent.

 

La formation continue d’imams organisée par l’Université de Genève va entrer dans sa phase 2. Le professeur d’éthique François Dermange était récemment invité par Alumni UNIGE à dessiner les contours de cette nouvelle prestation. Adoubée par les autorités, elle a déjà été vertement contestée au nom de la laïcité, mais aussi « par des chrétiens qui craignaient que l’islam devienne trop attractif… », nous apprend l’orateur.

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Comment a germé cette idée ? Par la conjonction de trois souhaits : celui d’une communauté albanophone, de Pierre Maudet et de Yadh Ben Achour, l’un des artisans de la constitution tunisienne, la plus progressiste du monde musulman. Avant de mettre au point leur programme, les organisateurs ont réuni à huis clos une quinzaine de « grands savants ». (sic!) Que faire? leur a demandé l’Université. La réponse: d’abord enseigner le français. L’architecture de la formation a ensuite pris forme.

Le premier semestre était donc consacré au module « Langue française et décodage socio-culturel». «L’enseignement a permis de traiter certains fondements de notre société», explique François Dermange. On s’est longuement penché par exemple sur le terme de laïcité. Les étudiants-imams ont sué : 13 heures de cours par semaine et une trentaine d’heures de travail personnel. Ce qui ne les a pas empêchés de demander des cours supplémentaires durant les vacances de Noël ! L’université exige le niveau B2 pour intégrer le deuxième semestre et ne transigera pas : « C’est difficile. Pour plusieurs d’entre eux, ce n’est pas gagné! Deux ou trois risquent d’échouer.» Il en resterait une douzaine.

Anecdote cocasse : les organisateurs avaient oublié que le dogme islamique exige cinq prières par jour, dont trois durant les heures de travail, fixées à la minute près (qui change). « Il n’était pas question qu’on prie à l’université », commente François Dermange. La solution s’est révélée ardue. La mosquée la plus proche est chiite. Les responsables ont accepté de la prêter aux étudiants sunnites. Mais les coupures prenaient beaucoup trop de temps … Une majorité des religieux a donc décidé de regrouper ses prières le soir. Mais une voix a résolument contesté cette concession, celle d’une enseignante d’instruction religieuse, la formation visant aussi ce public-cible: « Cette femme qui enseigne aux adolescents s’est effondrée. Elle considérait qu’une fois de plus, les hommes imposaient leur loi. » Un motif féministe ne peut être ignoré. On a revu la copie et trouvé des locaux hors de l’université avec salle de prière annexe.

Les cours ont été agrémentés par quelques expériences originales: musée, théâtre, concert. « Nous voulions montrer ce qui a du prix pour nous. » Au semestre prochain, ce sont les imams qui montreront ce qui a du prix pour eux. Durant cette période, un photographe sera de la partie, de même que le metteur en scène Omar Poras à propos de textes littéraires.

Ce second semestre sera consacré à cinq thèmes liés à la naissance de la société libérale par le passage du statut de communauté à celui de société pluraliste marquée par les divergences. Les cours seront donnés gracieusement par les professeurs : 1.Politique et droit suisse, dont les droits humains. 2. Histoire politique et religieuse de la Suisse et de Genève. 3. Comment dialoguer ? Entre musulmans, avec des croyants, des agnostiques, des athées… 4. Éthique, par des analyses de cas, par exemple aide au suicide, mères porteuses, avortement.

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Yadh Ben Achour

Un cinquième thème traitera des théologies de l’islam (pluralité des courants). Le Français Eric Chaumont en sera le responsable. Vous ne le connaissez pas? Remédiez à cette lacune, il en vaut la peine… Ou assistez à ce volet de la formation : il sera public! Seront aussi de la partie Khairy Shaarawy, professeur d’Al-Azhar, et Nadjet Zouggar, spécialiste d’origine algérienne qui enseigne à Marseille.

Une auditrice demande si l’université pourra remettre en question le statut du Coran (incréé, parole directe de Dieu): « L’histoire du Coran doit être étudiée comme nous le faisons pour la Bible. Nous nous efforcerons de montrer ce qu’apporte de positif une approche scientifique et académique du religieux. »

Certains imams ont regretté de ne pas avoir été associés à l’élaboration du contenu comme le fait le Centre suisse islam et société de Fribourg. Les initiateurs avaient une autre idée de leur mission. Mais on a de la peine à imaginer le passage d’une formation d’universités d’Arabie saoudite ou de Médine à celle d’un système académique de modules, crédits, évaluations orales et écrites (notées), mémoire de fin de cursus.

Pour indiquer la nature de cette formation, François Dermange se réfère à la décision qui a suivi la séparation de l’Église et l’État : « Qui a voulu maintenir cette faculté de théologie ? Ce sont les radicaux. Et pourquoi ? Ils estimaient plus intelligent de former les pasteurs à l’esprit critique. Travailler la compatibilité entre foi et raison, c’est aussi ce que nous voulons faire avec les imams. Ils sont demandeurs. »

L’initiative se veut modeste, mais rêve de grandir et d’essaimer. « Nous nous demandons s’il ne serait pas utile de créer un centre de compétences financé par une fondation de droit public. » Elle serait alimentée par des mécènes du cru. L’an prochain, la formation s’ouvrira peut-être aux cantons voisins, voire à la France voisine. L’Allemagne, la France et la Belgique, de même que le commissaire européen de la sécurité ont, se félicite François Dermange, manifesté un vif intérêt.

Les organisateurs ne manquent ni d’ambition, ni d’anticipation. « Pourquoi ce projet est-il important ? Outre la démographie interne, nous devons nous attendre à une immigration à côté de laquelle celle de la Syrie aura été insignifiante. L’Égypte, par exemple, sera invivable le jour où le Nil s’assèchera.  Elle compte 100 millions d’habitants qui vont migrer, car ils auront faim. Et la population d’Afrique va doubler. Il faut donc absolument préparer un islam compatible avec nos valeurs. »

En plein nombrilisme

Faire financer par le contribuable la formation de ministres du culte quels qu’ils soient, est contraire à la laïcité. Et discriminant. Mais pour l’avenir de notre société, on aurait pu l’accepter. Une telle initiative lancée il y a deux ou trois décennies aurait peut-être eu un sens. Aujourd’hui, alors que le voile du radicalisme obscurcit le monde musulman en général et la Suisse en particulier, il est bien trop tard. Et imaginer insuffler en six mois un sens critique à des religieux fixés sur une pratique mimétique millénaire de leur religion est bien audacieux. On s’est laissé dire qu’un des experts de cette formation estime à 10% sa probabilité de réussite… Alors que tous ces imams sont volontaires.

Cette innovation donne raison aux contempteurs de cette religion, seule à nécessiter ce genre de dispositifs (innombrables), seule à être si difficilement compatible avec la démocratie, à combattre l’irruption d’un peu de raison dans sa doxa, à idolâtrer un prophète que l’Histoire ignore, à vouloir couvrir le corps des femmes des pieds à la tête, etc., etc. François Dermange l’a dit lui-même : « Quel que soit le sujet abordé, nous sommes sur un champ de mines. »

Les universitaires sont des ambitieux et des naïfs. L’oiseau gazouille à peine que l’université l’imagine en phénix capable de contrecarrer les immenses dégâts que commettent les dogmatiques bergers et leurs soumises ouailles. C’est comme si grâce à modeste ce blog, je pensais rendre lucides tous les soutiens de l’islam et de ses prosélytes en Suisse.

Un exemple de cette vaine tentative : le module consacré aux courants islamiques modernistes, qui ont historiquement tous échoué. Aujourd’hui, aucun groupe structuré de quelque importance ne demande une lecture critique de ces textes, seuls des individus le font. Toutes les universités islamiques réputées en sont encore à ânonner leur Coran et leurs Hadiths comme il y a des siècles. A l’heure qu’il est, et si le prince héritier d’Arabie saoudite ne se fait pas assassiner, c’est de là que pourrait venir un espoir. Mais quelle énergie il faudra pour réparer ce que son pays a pourri!

La douche glaciale que nous inflige François Dermange est cependant l’annonce de la future immigration musulmane… que l’Occident, c’est une évidence pour nos académiciens, devra tout naturellement accepter. Cet Occident qui possède tant de milliards superflus, tant de logements et de jobs sous-qualifiés à distribuer. Cette perspective prend bien sûr pour acquis qu'on ne va pas demander aux populations concernées si elles auraient un avis sur la question.

Cent millions d’Egyptiens, des dizaines de millions d’Africains à la recherche de leur subsistance… sans compter les réfugiés climatiques. Et des guides spirituels en nombre qui répondront avec enthousiasme à la proposition de formations susceptibles de leur faire renoncer à leurs fondamentaux.

Mieux vaut en rire...

Mireille Vallette

Suisse: des jeunes musulmans sont encouragés par leurs imams à haïr.

Depuis des années, des imams radicaux incitent à la haine chez les jeunes musulmans en Suisse. Le résultat: Un monde parallèle qui est difficile à contrôler par les autorités.

Dix jours après l'attentat terroriste perpétré à Barcelone, l'enquête menée par la police espagnole se concentre sur Abdelbaki Il Satty († 45). L'imam aurait endoctriné secrètement un groupe de jeunes radicaux: onze Marocains, qui ont grandi en Espagne, prêts à tuer.

Les prédicateurs fanatiques qui empoisonnent les jeunes migrants de deuxième génération avec leur haine sont également actifs en Suisse.

Souvent, les islamistes viennent de Turquie, du Kosovo, de Bosnie ou de Macédoine. Ils entretiennent des contacts étroits avec les gestionnaires des mosquées locales et alimentent l'hostilité à l'égard des autres religions.

Résultat: Une partie des musulmans s'isole. Dans les coulisses de Bâle à Brigue, de Genève à Appenzell, un monde parallèle se crée, lequel est difficile à contrôler pour les autorités.

La Turquie contrôle et finance près de 50 Imams ultraconservateurs

La Turquie a étendu un réseau dense de fauteurs de trouble. Le Ministère des affaires religieuses à Ankara contrôle et finance près de 50 imams ultraconservateurs dans toute la Suisse via la Fondation islamique turque Diyanet. On ne sait pas de combien d'argent la fondation dispose.

Cependant, la mission de Recep Tayyip Erdogan est claire. En 1998, l'actuel président a cité un poème: "La démocratie n’est que le train dans lequel nous montons jusqu’à ce que nous parvenions à notre but. Les mosquées sont nos casernes, les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles sont nos casques, et les fidèles sont nos soldats."

Même les plus petits doivent devenir des soldats. Dans les camps de vacances, on leur transmet de la propagande islamique en provenance de la Turquie et l'idée d'un nouveau grand empire ottoman.

Aux côté des imams turcs, des prédicateurs des Balkans exercent leur influence en Suisse. Eux aussi visent les plus jeunes: Dans une école coranique bosniaque à Oberentfelden (Argovie) des enfants de six ans apprennent déjà le Coran par cœur.

La Bosnie-Connexion

Des prédicateurs militants provenant de Bosnie arrivent sans cesse. L'invité le plus important: Bilal Bosnic.

Comme le montrent des vidéos YouTube, il a donné des conférences à plusieurs reprises dans une mosquée à Wallisellen.

Dans ses discours, l'homme au visage étroit et à la longue barbe appelle à la destruction des Etats-Unis et chante des chansons comme: « Avec des explosifs sur notre poitrine, nous préparons le chemin pour le paradis. »

Aujourd'hui Bosnic est en prison. La raison: Il a publiquement appelé à des activités terroristes et a recruté des combattants pour l'Etat islamique (IS) en Syrie et en Irak.

Dans la mosquée de Wallisellen (ZH) également, le Kosovar Idriz Bilibani, alias Abu Usama, a pris part à des séminaires. Lors des conférences, il appelait à se dresser contre les "ennemis d'Allah" et conseillait à ses adhérents en Suisse de ne fréquenter que les musulmans croyants. 

Les deux islamistes ne sont pas des cas isolés. De nombreuses mosquées albanaises sont étroitement liées à des salafistes des Balkans. Ces dernières années, plusieurs dizaines de prédicateurs radicaux se sont manifestés en Suisse - particulièrement souvent à Zurich-Altstetten, Regensdorf ZH et Aarburg AG.

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Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Un prêcheur de haine financé par l’argent des contribuables à Bienne: qu’est-ce qu’on attend pour réagir?

Par Adrian Amstutz, conseiller national, Chef du Groupe UDC, Sigriswil (BE)

Des affaires de ce genre commencent à se multiplier en Suisse. Les terroristes de Berlin et, plus récemment, de Barcelone semblent avoir eu des contacts en Suisse: des imams qui prêchent la haine des chrétiens et des juifs, qui critiquent la dépravation de l'Occident tout en vivant confortablement du droit d'asile et de l'assistance sociale. Et tout cela sous la couverture de la protection des données qui lie les mains des autorités encore capables d'agir et avec la complicité d'autorités lâches et incompétentes qui donnent carte blanche aux assistants complaisants et naïfs du système d'asile et social.

Dans l'affaire de l'imam biennois Abu Ramadan découverte par le journaliste Kurt Pelda et l'équipe de l'émission "Rundschau", les services sociaux auraient versé à cet individu quelque 600 000 francs d'aide sociale ces dernières années et lui auraient même payé les frais d'un voyage à la Mecque. Arrivé comme requérant d'asile en Suisse, l'imam est au bénéfice d'un permis d'établissement alors qu'il ne parle aucune langue nationale et qu'il n'a aucun moyen de subsistance. Il prêche la haine des chrétiens et des juifs, demande à Allah de les détruire – et cela en plein milieu de la Suisse et sans que les autorités n'y trouvent rien à redire.

Le scandale est si énorme qu'on a du mal à y croire. Je me frotte les yeux et je me demande pourquoi il faut des journalistes et une émission radiophonique pour dénoncer pareils méfaits alors que nous avons un service de renseignement qui est censé s'occuper d'individus aussi dangereux. Quelle autorité aura enfin la force et le courage d'assécher ce marécage malodorant? Et où sont tous ces défenseurs patentés des droits de l'homme qui hurlent à la moindre incartade et qui déposent plainte en invoquant la loi contre le racisme? Silence assourdissant.

Le Conseil fédéral et, plus particulièrement ses trois membres de la Délégation pour la sécurité (Simonetta Sommaruga, Didier Burkhalter, Guy Parmelin) doivent répondre dans les plus brefs délais aux questions et constats suivants et veiller à une application rigoureuse des lois, voire combler les éventuelles lacunes dans le système légal:

  • Le nouveau Service de renseignement de la Confédération a reçu des compétences supplémentaires pour la prévention et la surveillance. 86 nouveaux postes ont été créés en 2015 pour la lutte contre le terrorisme. Qu'a-t-on obtenu jusqu'ici? Cet imam était-il sur la liste du Service de renseignement et comment a agi ce dernier?
  • Tous les voyageurs du jihad qui reviennent en Suisse ou qui sont déjà revenus doivent être immédiatement placés en détention pour des motifs de sûreté.
  • Tous les requérants d'asile qui sont sur le "radar" du Service de renseignement doivent recevoir un refus et doivent être immédiatement renvoyés pour des motifs de sécurité. Si cela n'est pas possible, ils doivent être internés jusqu'à nouvel avis. Quelle est la pratique du secrétariat d'Etat aux migrations dans ce domaine? Quelles mesures sont envisagées à ce niveau?
  • Il faut expliquer clairement à tous les étrangers et plus particulièrement aux musulmans vivant en Suisse les règles et valeurs qui doivent être respectées dans notre pays. Il s'agit en particulier de faire comprendre que la loi du Coran, la sharia, n'a absolument pas sa place dans le régime légal suisse. Toutes les communautés musulmanes de Suisse doivent être explicitement invitées à dénoncer aux autorités les extrémistes, les prêcheurs de haine ainsi que les hommes et les femmes radicalisés. Ces individus doivent être placés sous examen et rigoureusement expulsés.
  • Toutes les étrangères et tous les étrangers ainsi que toutes les Suissesses et tous les Suisses qui se trouvent sur le "radar" du Service de renseignement doivent être activement surveillés. La loi sur la protection des données doit être modifiée à cet effet. Les corps de police des cantons doivent être renforcés et spécialement formés pour agir à cet effet.
  • Les mosquées et les imams, voire les prétendus imams, doivent être placés sous une surveillance particulière. Le contenu des prêches des imams doit être ponctuellement examiné et toute attitude contraire aux dispositions légales doit entraîner l'intervention immédiate des autorités. Le prétendu "ministère pastoral" des imams dans les prisons doit être strictement contrôlé.
  • Les contrôles systématiques de personnes dans les villes doivent être intensifiés afin que le nombre de clandestins puisse enfin être déterminé (voir les résultats des contrôles de personnes renforcés en Allemagne avant le sommet G-20 à Hambourg) et que l'on puisse ensuite intervenir sur la base de données précises. Les partis cantonaux de l'UDC sont invités à déposer des interventions dans ce sens dans les cantons.
  • L'immigration illégale notamment de jeunes hommes musulmans sans aucune perspective économique, donc représentant un important potentiel de frustration et de radicalisation, doit être stoppée. Les requérants d'asile refusés doivent être immédiatement renvoyés. La conclusion d'accords de réadmission avec les pays d'origine de ces personnes doit devenir une tâche prioritaire du DFAE.
  • Les vols de toutes sortes, les cambriolages, menaces, etc. doivent être systématiquement dénoncés et poursuivis afin que l'on se rende à nouveau compte de l'ampleur réelle de la criminalité et qu'on puisse la contrôler. La police doit être soutenue dans son travail. Elle doit remplir strictement sa mission et encourager les victimes à déposer plainte.
  • Les jeunes délinquants doivent être condamnés au plus tard dans les six mois suivant leur délit afin qu'ils se rendent compte que leur comportement malfaisant à des conséquences.
  • Les contrôles de personnes aux frontières doivent être immédiatement rétablis et le Corps des gardes-frontière doit être soutenu aux points névralgiques par des forces militaires spécialement formées pour renvoyer les immigrants clandestins.

Pour l'UDC, il est évident que les autorités concernées au niveau cantonal et surtout national doivent assumer leurs responsabilités. Ils sont responsables de la sécurité des Suissesses et des Suisses. Des hauts fonctionnaires et membres d'exécutifs bien payés qui sont incapables ou qui n'ont pas la volonté d'accomplir cette mission pour la sécurité du pays doivent quitter leur poste.

Adrian Amstutz

France – Islam sous influence étrangère

   
Michel Garroté - Je l'ai récemment encore écrit : la France est déjà musulmane. Elle a pris se virage dans les années 1990. Elle a gardé, depuis, ce mauvais cap. Ce qui se passe aujourd'hui n'est que le prolongement de ce qui a été mis en place il y a vingt ans. C'est aussi le prolongement des accords conclus dès les années 1970 par les pays européens avec des organisations arabes (la Ligue Arabe), puis islamiques (l'Organisation de la Coopération Islamique).
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La mission d’information sénatoriale sur l’organisation, la place et le financement de l’islam en France et de ses lieux de cultes a rendu public son dernier rapport. Une synthèse est en ligne (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page). La principale préoccupation concerne la dépendance de l’islam de France à l’égard de l’Algérie, du Maroc et de la Turquie. D'une part concernant la provenance et la formation des imams. D'autre part concernant le financement des mosquées. La mission d’information s’est rendue au Maroc et en Algérie pour visiter les centres de formation.
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Conclusion du rapport : « la formation à l’étranger de futurs imams français doit cesser ». Concernant les financements, la mission sénatoriale estime que les ressources existent en France, notamment à travers les dons des fidèles. « Un imam de la région parisienne nous a confié que la zakat (l’aumône) récoltée pendant le mois de ramadan s’élevait à plus d’1 million d’euros dans sa mosquée ». Quant au Conseil français du culte musulman (CFCM), il vit « coupé de sa base ». La sénatrice Nathalie Goulet estime que la loi de 1905 ne favorise pas une implantation réussie de l’islam en France (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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http://www.senat.fr/rapports-senateur/goulet_nathalie07004j.html
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La Suisse laissait des imams extrémistes prêcher sur son territoire

La police kosovare a arrêté une quinzaine d'imams proches des milieux extrêmistes. Et parmi eux, deux hommes qui se sont souvent rendus en Suisse pour y prêcher discrètement.

Les forces de l'ordre au Kosova ont arrêté mardi dernier une quinzaine de personnes qui prêchaient la haine religieuse, et plus spécialement des imams actifs dans les principales mosquées des plus grandes villes du pays révèle le site Albinfo.ch. Et deux noms ont retenu l'attention du Tages-Anzeiger dans son édition du vendredi 19 septembre: Shefqet Krasniqi et Mazllam Mazllami.

trahsion

Le premier, imam à la grande mosquée de Pristina, a été invité à deux reprises, en 2011 et en 2013, par le Conseil central islamique suisse (CCIS) lors de sa conférence annuelle. Shefqet Krasniqi s'est ainsi rendu en Suisse à plusieurs reprises avec un visa Schengen.

Contre l'assimilation en Suisse

Il a prêché dans de discrètes mosquées albanaises, comme celle de Liestal (BL) où a également été repéré Mazllam Mazllami, qui officie comme imam à la mosquée «Jeni Mahallës» à Prizren.

Ce dernier a mis en ligne plusieurs de ses sermons dans lesquels il appelait entre autres les Kosovars musulmans à ne pas laisser leur fille épouser des hommes d'autres religions. Il s'est également opposé à l'assimilation des Albanais en Suisse.

Source