lslamo-gauchisme. Nicolas Beytout : «Des facs sont en train de passer sous contrôle de ces prophètes de l’exclusion, qui commencent à interdire toute expression divergente de la leur»

Nicolas Beytout, le directeur du journal “L’Opinion” revient sur la polémique provoquée par la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal avec sa sortie récente sur “l’islamo-gauchisme”. Nicolas Beytout estime que la ministre a raison de persévérer.

Malgré la polémique qu’elle avait déclenchée, Frédérique Vidal a décidé de maintenir sa demande d’enquête sur l’islamo-gauchisme à l’université…

[…] Sa faute ? Avoir dit tout haut ce que nombre de témoignages affirment déjà depuis des mois : dans les facs françaises, la liberté de pensée est menacée. Et elle l’est par ceux-là mêmes qui vocifèrent contre la ministre. A l’université, un courant de plus en plus puissant propose de regarder tout l’enseignement sous l’angle de la remise en cause du colonialisme, avec un prisme de races, auquel s‘ajoute la question du genre. L’intersectionnalité fait des ravages…

L’intersectionnalité ?

Oui, c’est le fait d’analyser le monde et toutes les matières par le biais de la race, du genre et de la classe sociale. Ca donne un regard très partial sur les sciences et sur l’enseignement. C’est ce que dénonce Frédérique Vidal et c’est ce qu’elle veut analyser. Sauf que la Conférence des présidents d’université l’a mal pris : elle rappelle “que la recherche n’est pas responsable des maux de la société, mais qu’elle doit les analyser”.

Ce qui est parfaitement exact. Mais à condition que ceux qui enseignent les théories du genre ou de la race n’empêchent pas les autres enseignants et chercheurs de continuer à voir le monde comme ils l’entendent. Or c’est là toute la question : des facs sont en train de passer sous contrôle de ces prophètes de l’exclusion, qui commencent à interdire toute expression divergente de la leur. C’est d’ailleurs un clivage très politique, très tranché gauche-droite. La gauche, en particulier l’extrême-gauche, est souvent islamo-gauchiste : elle voit l’islam comme la religion d’une minorité opprimée par la classe et la religion dominantes. Et elle pactise souvent, sur le plan électoral, avec leurs représentants. On voit beaucoup ça chez certains maires, comme à Trappes, par exemple.  […]

Europe 1

Via Fdesouche

“Jolis ramassis de minables…” : des étudiants de droite de l’Université de Rouen insultés par une professeure d’université

L’association de la droite étudiante a été prise pour cible par une enseignante se présentant comme “Anarcho-pédago-gaucho-punk-à-chat”.

Comme le relaye le compte Twitter UNI Rouen, l’association de la droite étudiante a été la cible d’insultes lancées sur le réseau social par une professeure en Histoire-Géographie. « Jolis ramassis de minables. C’est bon, on voit bien vos tronches », a lancé l’enseignante en réagissant à une photo de l’UNI. La réponse de l’association ne s’est pas fait attendre. « Fichage ? Menaces ? La syndicaliste et prof Mila Saint Anne montre à quel point le monde de l’éducation est gangrené par l’extrême gauche qui ne supporte pas la contradiction », écrit l’UNI sur Twitter.

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Valeurs Actuelles

Une enquête visant une professeure d’université accusée d’avoir comparé l’islam à une MST

Une professeure de droit de l’université d’Aix-Marseille est accusée d’avoir tenu des propos “antisémites et islamophobes”.

Une enquête va être ouverte après une plainte de la Ligue des droits de l’Homme qui dénonce des propos “antisémites et islamophobes” d’une professeure de droit de l’université d’Aix-Marseille, a-t-on appris jeudi auprès du parquet d’Aix-en-Provence. L’enquête sera ouverte pour “injures publiques en raison d’appartenance à des religions”, a précisé à l’AFP le parquet.

Dans un court extrait diffusé par Mediapart de son cours enregistré sur Zoom le 27 octobre, cette professeure de droit assure notamment qu'”on n’a aucune liberté de conscience en islam”. “Si on naît d’un père musulman, on est musulman à vie. Une sorte de religion sexuellement transmissible, je n’ai jamais compris. On dirait du judaïsme, c’est pareil, c’est par la mère. Une sorte de MST, de RST, de religion sexuellement transmissible”, ajoute-t-elle ensuite.

Ladepeche.fr

Via Fdesouche

Professeure d’histoire à l’université américaine George Washington, elle ment durant des années en se faisant passer pour… une Noire

Professeure d'histoire à l'université américaine George Washington, Jessica Krug a menti durant de longues années en se faisant passer pour noire. Elle est en fait une femme blanche et juive, originaire de Kansas City. «J'ai construit ma vie sur un violent mensonge anti-noir» a-t-elle avoué dans un billet de blog c, alors que des étudiants semblaient sur le point de découvrir le pot-aux-roses. Connue sous le pseudo Jessica La Bombalera, Jessica Krug prétendait jusqu'à présent avoir des racines africaines et latino-américaines.

«J'ai pris différentes identités que je n'avais aucun droit de revendiquer : une identité noire avec des origines d'Afrique du Nord, une identité noire-Américaine puis une identité du Bronx et des Caraïbes», a-t-elle révélé.

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Actu.orange.fr / BBC.com

Les recommandations de lecture de Sciences Po : « Fragilité Blanche », « Comment être un antiraciste », « Pourquoi je ne parle plus aux Blancs de race »…

Entrer à Sciences Po en tant que blanc à l'été 2020, c'est tendre les bras pour recevoir 10 bouquins dont 5 vous expliquent à quel point vous êtes raciste, fragile, l'horreur, quasiment le nazisme...

 

 

 

Instagram

 

Via Fdesouche

États-Unis : le ministère de la justice accuse Yale de discriminations démesurées envers les Blancs et les Asiatiques

« L’usage de la race [dans le processus d’admission] à Yale est tout sauf limité », accuse le ministère, pour lequel « la race est le facteur déterminant dans des centaines d’admissions chaque année ». « Les Asiatiques et les Blancs ont de quatre à dix fois moins de chances d’être admis, à dossier comparable, que des candidats afro-américains ». « Les bonnes formes de discrimination raciale, ça n’existe pas », a déclaré l’adjoint du ministre de la Justice Eric Dreiband.

[…]

L’enquête sur Yale a été ouverte par le gouvernement Trump il y a deux ans, à la suite d’une plainte par des groupes d’étudiants asiatiques. Cela pourrait avoir un impact sur les politiques de discrimination positive mises en place pour favoriser les minorités, comme les Noirs américains

[…]
Le Point

Via fdesouche

L’université de Cambridge soutient l’universitaire qui affirme que « les vies des Blancs ne comptent pas » – et la promeut professeure

Priyamvada Gopal, universitaire en littérature postcoloniale à la faculté d'anglais, a été promue à la chaire professorale malgré une pétition sur change.org qui demandait son retrait de l'université. Cette pétition, recueillant déjà plus de 13'000 signatures, a été lancée après que Priyamvada Gopal a affirmé sur les médias sociaux que "les vies des Blancs ne comptent pas" et a appelé à "abolir la blancheur".

La nouvelle de la promotion survient après que Mme Gopal a déclaré avoir été brièvement suspendue de Facebook et de Twitter. [...]

 

 

 

Jeudi après-midi, Priyamvada Gopal a déclaré dans un tweet : "Merci à tous ceux qui ont écrit à @Twitter : l'interdiction ridicule a été levée. Je suis donc ravie de partager avec vous, que la nuit dernière, Cambridge m'a promue à un poste de professeure titulaire. Les commentaires haineux et les menaces arrivent sans cesse, mais @CambridgeCops y donne suite".

Nicolette Zeeman, présidente du conseil de la faculté d'anglais, a expliqué que la promotion de Priyamvada Gopal, qui prendra effet à partir du 1er octobre, a été "décidée au cours des six derniers mois par la procédure normale de promotion de l'université".

La faculté d'anglais a également publié une déclaration plus tôt dans la journée : "La faculté d'anglais soutient pleinement tous nos membres dans notre engagement en faveur de la liberté d'expression. Les membres devraient pouvoir exprimer légalement des points de vue contestés sans craindre le manque de respect ou la discrimination" [NDLR : Le racisme anti-Blanc est magiquement considéré comme de la liberté d'expression pour cette faculté. Pire, les messages anti-Blancs sont couverts par "le combat contre la discrimination".]

 

"Nous abhorrons le langage raciste et les menaces reçus par notre collègue, le professeur Priyamvada Gopal".

 

 

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Varsity.co.uk / Dailymail.co.uk / Theguardian.com / Swarajyamag.com

 

 

 

USA : Sous couvert d’antiracisme, l’Université d’Evergreen a instauré un régime de la terreur discriminant les Blancs.

Mis en ligne le 8 juillet 2019 sur YouTube, le documentaire de 52 minutes intitulé «Evergreen et les dérives du progressisme» a déjà été consultée quelque 80'000 fois à l'heure où nous écrivons ces lignes.

La vidéo en question:

 

Des professeurs humiliés

Dans la vidéo, on aperçoit notamment des scènes d'enseignants humiliés par des étudiants les encerclant et les insultants en les empêchant de se défendre de l'accusation de racisme proférée à leur encontre. [...]

Les Blancs coupables par nature

On apprend aussi que des pratiques discriminantes, comme le fait de réserver la nourriture, les tables et les chaises, en priorité pour les «personnes de couleur», étaient tolérées.

Parallèlement, des enseignants de plus en plus radicaux étaient invités à dispenser des cours à Evergreen, notamment la sociologue Robin DiAngelo (dont le livre best-seller est ici présenté par Slate.fr en français), affirmant en substance que toute interaction sociale est teintée de racisme, que tous les Blancs sont par nature complices d'une supposée «suprémacie blanche», ou encore que la question n'est pas de savoir «si c'était raciste» mais «comment ça l'était».

[...]

Tribune de Genève

La conquête des universités occidentales par la gauche fête ses 50 ans

Les syndicats d’étudiants ont fêté leurs 50 ans en France. À l’occasion  de cet anniversaire, Olivier Vial s’est exprimé ainsi: « Tout ce qui fait l’actualité du combat culturel, nous l’avons vu se mettre en place dans les chapelles de la gauche étudiante. La théorie du genre, le communautarisme radical, les délires antispécistes, les utopies égalitaristes, tout a été fomenté dans les universités… » Hélas, des voix comme la sienne sont encore absolument minoritaires et dans les universités de Suisse romande même carrément inaudibles.

Partout dans le monde occidental, jadis appelé « libre », des syndicats et associations d’étudiants se sont formés, tous acquis aux modèles marxistes. Cela fait donc cinquante ans d’instrumentalisation de générations de jeunes dans le but de servir l’idéologie de la gauche. Une fois leurs études terminées, ces jeunes font partie de l’establishment et forment à leur tour de futurs endoctrinés.

Sur les anciennes modes gauchistes, de nouvelles idéologies, de plus en plus cinglées, se sont greffées. La lutte des classes a été remplacée par la lutte contre les « Blancs ». L’idéologie de la haine de soi est partout, les théories du genre se développent sous prétexte de lutte contre le patriarcat ; au divorce avec le christianisme ont succédé les épousailles avec le monde musulman.

Durant ces 50 ans, les universités occidentales ont formé des générations d’intellectuels, de fonctionnaires, de chercheurs, de politiciens, de journalistes, d’enseignants, tous mentalement conditionnés par la pensée unique. C’est de là que le pourrissement de l’Occident a débuté et c’est aussi de là que le changement devrait venir si nous voulons que notre civilisation survive, pour autant qu’un changement fondamental puisse encore avoir lieu.

En Suisse Romande, comme dans les universités d’Europe occidentale et des États-Unis, tous les étudiants sont embrigadés par les gauchistes (profs, politicards, associations, ONG…) pour être formatés à leur idéologie. Chez nous, la situation s’aggrave d’année en année : les facs de droit ou de médecine n’étaient pas aussi orientées il y a vingt ans.
Les premiers germes qui ont infesté le monde académique sont partis des Etats-Unis avec les manifestations contre la guerre du Viet-Nam et les mouvements « peace & love », suivis en Europe par Mai 68. Aux Etats-Unis, dès les années 60, il y a eu une contre-culture égalitariste et gauchisante des minorités contre les Blancs. Ce courant se répand en Europe à la fin des années 70. Dans les milieux intellectuels et universitaires, un consensus soixante-huitard, libéral, mondialiste, féministe, multiculturaliste se généralise, avec toute la litanie du politiquement correct, et le discours des élites bien-pensantes, qui domine encore aujourd’hui tout le paysage intellectuel médiatique et académique en Suisse Romande.

Auparavant, la déconstruction des fondements de la société, de la famille, les attaques contre les fondements de nos sociétés n’étaient pas à l’ordre du jour. Actuellement, toutes les facultés sont touchées, même les facultés traditionnellement de droite. Dans sa récente interview, Yves Nidegger évoque le problème venant de nos juges qui ne servent plus le peuple suisse mais des idéologues gauchistes et mondialistes.

Il suffit de regarder dans les noms des cours et des diplômes délivrés pour voir ce qui se passe dans les universités.

Et lors des votations sur une initiative qui attaque les intérêts de la gauche, des militants prennent d’assaut les auditoires. Des conférences orientées se succèdent, qui répandent toujours la même pensée unique.

En Suisse, les ONG sont très actives lors des votations grâce au support indéfectible des médias et elles ont pris un poids politique. A cela s’ajoutent depuis quelques années les milieux de la « recherche ».

Cerise sur ce gâteau déjà bien fourni : actuellement des mécènes sont en campagne contre l'initiative pour l'autodétermination. L’émission RTS/Forum du 30.10.2018 discute de cette merveilleuse nouvelle : « Les mécènes de la recherche universitaire, qui dirigent des fondations comme Leenaards, Sandoz ou Arditi, se lancent dans la bataille contre l'initiative de l'UDC pour l'auto-détermination. » En fait, il ne faut pas se leurrer : tous ces mécènes luttent pour leurs privilèges et leur statut social, tout comme les ONG et l'écrasante majorité de la classe politico-médiatique.

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Sur ces questions, voir aussi ces vidéos en anglais :
Des personnes dangereuses enseignent à vos enfants
Pat Condell : Nivellement par le bas à l’université
Les universités sont-elles devenues des centres d’endoctrinement gauchiste ?
Jordan Peterson : Des f*** néo-marxistes ont envahi les campus

Tout récemment, Alice Weidel, leader de l’AfD, le principal parti d’opposition en Allemagne, était invitée pour donner une conférence à Oxford, mais des étudiants, des professeurs et des anciens étudiants ont fait pression pour que l’invitation soit annulée, et finalement Alice Weidel a renoncé :
1.11.2018 : Oxford University Union facing growing pressure to 'no-platform' far-right AfD leader Alice Weidel
1.11.2018 : Alice Weidel soll an englischer Elite-Uni sprechen - dort ist man 'not amused'
2.11.2018 : Head of Far-Right German Party Cancels Oxford Trip

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Cenator, 3 novembre 2018

Scandale universitaire : Des professeurs américains ont réussi à duper des revues scientifiques en usant de mots-clés tels que : homme blanc/hétéro /privilège des blancs

Des chercheurs ont réussi à faire publier dans plusieurs revues de référence aux Etats-Unis des essais aux thèses absolument délirantes, prônant par exemple le développement de l’usage anal de sex-toys chez les hommes pour lutter contre la transphobie et faire progresser le féminisme.
Quand un homme se masturbe en pensant à une femme sans lui avoir demandé son consentement, c’est une agression sexuelle. Il existe une culture systémique du viol chez les chiens. L’astronomie est une science sexiste et pro-occidentale qui doit être remplacée par une astrologie indigène et queer. Ces thèses vous semblent loufoques, invraisemblables ? Elles le sont. Elles ont néanmoins été considérées avec le plus grand sérieux, et parfois même publiées, par des revues académiques de premier plan aux Etats-Unis, victimes de l’un des canulars universitaires les plus ambitieux jamais mis en œuvre…

Helen Pluckrose, James Lindsay et Peter Boghossian sont trois chercheurs américains, persuadés que quelque chose cloche dans certains secteurs du monde académique outre-Atlantique. « Le savoir basé de moins en moins sur le fait de trouver la vérité et de plus en plus sur le fait de s’occuper de certaines ‘complaintes’ est devenu établi, presque totalement dominant, au sein de [certains champs des sciences sociales] », écrivent-ils dans le magazine Areo, et les chercheurs brutalisent de plus en plus les étudiants, les administrateurs et les autres départements qui n’adhèrent pas à leur vision du monde ». Se désolant de ce tournant idéologique en cours dans les facs américaines, notre trio d’universitaires établit une liste des disciplines les plus gravement touchées : il s’agit des matières communément regroupées dans l’enseignement supérieur américain sous le terme de « cultural studies » ou « identity studies », « enracinées dans la branche ‘postmoderne’ de la théorie qui a émergé à la fin des années soixante ». On y trouve donc les fameuses « gender studies », les « queer studies » mais également la « critical race theory », les « fat studies » (sic) ou des pans entiers de la sociologie critique. Le point commun de ces branches universitaires, requalifiées en « grievance studies » (qu’on pourrait traduire par « études plaintives ») ? D’après les trois chercheurs, elles produisent des travaux très souvent « corrompus » par l’idéologie, qui renoncent à toute honnêteté intellectuelle dès lors qu’il s’agit de dénoncer les oppressions de toutes sortes : sexistes, raciales, post-coloniales, homophobes, transphobes, grossophobes…

(…) Marianne

 

 

 

 

Trois universitaires américains ont réussi à publier SEPT articles de « grieving studies » dans des revues dites sérieuses. C’est un canular organisé par ces trois universitaires pour montrer à quel point les études de genre/race/identité/ etc. sont devenues une simple orthodoxie de langage. Ils ont réussi à faire publier des horreurs par des revues en casant les mots-clés genre/cis/hommes blanc/ cisheterosexual/ etc. à tour de bras

Entre autres :

– un qui propose d’interdire aux garçons blancs de parler en classe, et de les enchaîner à leur chaise dans une optique pédagogique d’expérimentation de la réparation.

– un qui explique que les messieurs pratiquant l’onanisme en pensant à quelqu’un sans lui avoir demandé avant sont des prédateurs sexuels

-un autre qui explique que l’astronomie occidentale devrait être remplacée par quelque chose de plus féminin (je vous laisse lire l’extrait dans le fil, qui parle d’insérer de la mythologie, de la danse et conclut sur la nécessité d’une science alternative).

– Un article qui est une traduction en anglais, mutatis mutandis d’extraits de Mein Kampf

– une étude de la culture du viol chez les chiens

La seule différence avec l’époque Sokal, ce sont les mots clés à utiliser pour publier des foutaises sous couvert d’études académiques. Maintenant, c’est, indéniablement, « Genre, Races, Identités ».

 

 

 

 

 

 

Via Fdesouche.com

Trump met fin à la discrimination positive dans les universités, un système crée par Obama qui attribuait des bonus ou des malus en fonction de l’ethnie

Donald Trump met fin à la discrimination positive, une directive mise en place par Barack Obama, qui attribuait des bonus ou des malus en fonction de la couleur de peau. Pour un examen d’entrée à Harvard par exemple, les Blancs partaient sans bonus ni malus, les Asiatiques partaient avec un handicap de 140 points tandis que les Afro-Américains partaient avec un bonus de 310 points.

– France 2, 4 juillet 2018, 20h26

 

 

 

Suisse : 40% d’étrangers à l’EPFL. On évoque des quotas pour les élèves étrangers.

Genève, notamment la faculté de médecine, se trouve également dans la même situation. Mais l'on peut craindre que les accords de libre-circulation provoquent des problèmes et interdisent tout quotas.

A noter que les universités françaises sont surchargées, notamment par le nombre d'étrangers extra-européens qui viennent y étudier. Les problèmes de la France deviennent les nôtres par le biais de la libre circulation.

 

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L'école est victime de son succès. Plus de 40% des étudiants viennent de filières hors Suisse, et les auditoires sont bondés.

Comme l'explique «Le Temps», cette démographie galopante n'est pas sans poser de problème. Pour certains cours, les auditoires sont bondés, au point que certains élèves les suivent assis par terre. Et, en période de révision, la bibliothèque ouvre à 7 h. Dix minutes plus tard, toutes les places sont prises.

Ainsi, l'une des solutions envisagées est celle de limiter le nombre d'admissions d'étudiants étrangers.

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20Minutes.ch

Trump met fin à la discrimination positive dans les universités, un système qui attribuait des bonus ou des malus en fonction de la couleur de peau

– France 2, 4 juillet 2018, 20h26

Donald Trump met fin à la discrimination positive, une directive mise en place par Barack Obama, qui attribuait des bonus ou des malus en fonction de la couleur de peau. Pour un examen d’entrée à Harvard par exemple, les Blancs partaient sans bonus ni malus, les Asiatiques partaient avec un handicap de 140 points tandis que les Afro-Américains partaient avec un bonus de 310 points.

 

 

 

L’Université de Lausanne reste un foyer pour les marxistes: “Certains enseignants se réclament du marxisme révolutionnaire.”

L’Université de Lausanne (Unil) a toujours été réputée accueillante pour les foyers marxistes par les autres académies. Les intellectuels inspirés par le théoricien de la lutte des classes ont occupé un certain nombre de chaires de l’université où l’œuvre du philosophe est toujours analysée comme grille de lecture sur les inégalités sociales (...).

Dans la faculté d’à côté, au département d’histoire, le professeur Sébastien Guex reconnaît qu'«il n’y a aujourd’hui plus aucun problème à se déclarer marxiste», et que certains enseignants, comme certains groupes d’étudiants de l’UNIL, «se réclament d’un marxisme révolutionnaire vivant, sans être dogmatiques».

(...)

Source et article complet

France. L’extrême gauche saccage l’Université de Paris 8: “Frappez vite, frappez fort, un bon flic est un flic mort.”

Nous parlions déjà de ces extrémistes ici.

Quelques jours après la mort du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, voici comment l'extrême gauche procède.

Photos via Marc Ferracci, Professeur d'économie à l'Université Panthéon Assas. Conseiller spécial auprès de la Ministre du Travail.

 

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Source: 

Genève: Un musulman demande une salle de prière à l’Université

«Il ne s’agit pas de créer un lieu de culte déguisé pour y faire du prosélytisme», jure Yousuf Qurashi. Ce Genevois en 2e année d’économie et management, musulman pratiquant, a lancé il y a une semaine une pétition en ligne qui compte aujourd’hui plus de mille signatures.

Elle demande l’ouverture d’une salle de méditation à Uni Mail, pour permettre aux étudiants «quelle que soit leur confession et croyance, de se ressourcer et de profiter d’un lieu apaisant sur le plan spirituel». Une lettre et les paraphes devraient être envoyés au rectorat dès lundi prochain.

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Source et article complet

 

 

Suisse: 30% d’étudiants étrangers dans les universités suisses

La part des femmes et des étrangers a nettement augmenté parmi les étudiants. Dans les HEU, une courte majorité (51%) sont des femmes. Leur part est de 47% dans les HES et même de 74% dans les HEP.

Le nombre le plus élevé d'étrangers est observé dans les HEU, avec 30% (contre 20% il y a 18 ans, en 2000/01).Au sein des HES, leur part est de 19%, et dans les HEP de 10%. Des 46'000 étudiants immatriculés dans les HEU suisses, presque un quart sont allemands. Les étudiants de France représentent 16%, les Italiens 11% et ceux venus de Chine 4%

Source et article complet

Tariq Ramadan a obtenu sa thèse en menaçant et en criant au racisme.

Le prédicateur a bien obtenu un doctorat de lettres en islamologie arabe à l’université de Genève… En menaçant et en criant au racisme.

« Spécialiste de la philosophie arabe médiévale (il a fait sa thèse sur Averroès), Charles Genequand demande en 1994 à Tariq Ramadan d’apporter de multiples corrections à son mémoire de pré-doctorat. Mais ce dernier refuse.

Mieux, « il harcèle les membres du jury pour obtenir [sa thèse] au plus vite » (1). L’étudiant va même jusqu’à menacer un autre membre du jury, Ali Merad, professeur émérite à l’université de la Sorbonne Nouvelle Paris-III. Résultat, trois membres du jury démissionnent. Que fait Tariq Ramadan ? Il se lance dans la théorie du complot : c’est parce qu’il est arabe que l’université lui refuserait sa thèse !(…)Face à une mobilisation de la gauche (elle est minoritaire dans le canton, mais majoritaire en ville de Genève), l’université prend peur, elle craint le scandale. La Cité de Calvin n’aime pas les polémiques autour de l’islam, d’autant qu’elle accueille beaucoup de riches Saoudiens, Koweïtiens et Émiratis. En catimini, la faculté décide de constituer un second jury afin de donner « une nouvelle chance » à Tariq Ramadan. »

Source

Analyse du résultat de No-billag par un professeur de l’université de Neuchâtel

Un lecteur neuchâtelois nous prie de publier et constate que l'endoctrinement des jeunes est garanti avec de tels professeurs.

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Source : Arcinfo du 09.03.2018, page 16

 

Ndlr. En opposition à cette phraséologie gauchiste j'ajouterai ma propre analyse du résultat de cette votation sur "No Billag" en précisant que j'ai dû aller en France pour pouvoir effectuer cette analyse.

Le plus grave : si les étudiants ne répètent pas les affirmations idéologiques de ce genre  d'universitaires gauchistes lors des examens, ils ont en général peu de chance de réussir.

Et encore plus grave : une fois ce genre de personnes nommées elles n'engageront que d'autres personnes  "pensant" comme elles. Ce qui n'est pas le cas des universitaires libéraux ou "de droite" beaucoup plus ouverts et tolérants. 

Uli Windisch

Lien vers ma propre analyse, en ce moment aussi sur notre site LesObservateurs.ch, En Prime, ici