L’université de Cambridge soutient l’universitaire qui affirme que « les vies des Blancs ne comptent pas » – et la promeut professeure

Priyamvada Gopal, universitaire en littérature postcoloniale à la faculté d'anglais, a été promue à la chaire professorale malgré une pétition sur change.org qui demandait son retrait de l'université. Cette pétition, recueillant déjà plus de 13'000 signatures, a été lancée après que Priyamvada Gopal a affirmé sur les médias sociaux que "les vies des Blancs ne comptent pas" et a appelé à "abolir la blancheur".

La nouvelle de la promotion survient après que Mme Gopal a déclaré avoir été brièvement suspendue de Facebook et de Twitter. [...]

 

 

 

Jeudi après-midi, Priyamvada Gopal a déclaré dans un tweet : "Merci à tous ceux qui ont écrit à @Twitter : l'interdiction ridicule a été levée. Je suis donc ravie de partager avec vous, que la nuit dernière, Cambridge m'a promue à un poste de professeure titulaire. Les commentaires haineux et les menaces arrivent sans cesse, mais @CambridgeCops y donne suite".

Nicolette Zeeman, présidente du conseil de la faculté d'anglais, a expliqué que la promotion de Priyamvada Gopal, qui prendra effet à partir du 1er octobre, a été "décidée au cours des six derniers mois par la procédure normale de promotion de l'université".

La faculté d'anglais a également publié une déclaration plus tôt dans la journée : "La faculté d'anglais soutient pleinement tous nos membres dans notre engagement en faveur de la liberté d'expression. Les membres devraient pouvoir exprimer légalement des points de vue contestés sans craindre le manque de respect ou la discrimination" [NDLR : Le racisme anti-Blanc est magiquement considéré comme de la liberté d'expression pour cette faculté. Pire, les messages anti-Blancs sont couverts par "le combat contre la discrimination".]

 

"Nous abhorrons le langage raciste et les menaces reçus par notre collègue, le professeur Priyamvada Gopal".

 

 

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Varsity.co.uk / Dailymail.co.uk / Theguardian.com / Swarajyamag.com

 

 

 

Cambridge : Une professeur de philosophie prône l’arrêt de la natalité pour préserver le climat

"C'est une idée vraiment fondamentale : en termes d'empreinte carbone, la pire chose que vous puissiez faire est d'avoir un enfant", explique Patricia MacCormack, professeur de philosophie à l'université Anglia Ruskin de Cambridge, à Yahoo Lifestyle. "Et c'est le seul tabou dont personne ne veut parler".

L'argument de MacCormack se focalise sur la surpopulation - si les êtres humains provoquent le changement climatique en créant des gaz à effet de serre, alors davantage d'êtres humains signifie davantage d'émissions.

Par exemple, une étude a montré que l'"héritage carbone" d'un seul enfant crée 20 fois plus de gaz à effet de serre que ce que l'on peut économiser en recyclant ou en conduisant une voiture électrique. C'est quelque chose que de nombreuses familles prennent en considération depuis des années. Même le prince Harry, qui a récemment déclaré que lui et Meghan Markle auraient deux enfants "au maximum" pour le bien de la planète: "Nous sommes la seule espèce sur cette planète qui semble penser que cet endroit nous appartient, seulement à nous.

 

 

Il s’agit toutefois d’une position controversée, et MacCormack affirme que depuis la publication de son livre, The Ahuman Manifesto, l’enseignante et chercheuse a reçu « des courrier haineux et des menaces de mort », ajoutant qu’un média italien l'a qualifiée de "délirante". D’autres ont exhibé des photos d’elle en tenue gothique, « pensant que c’est insultant. »

C'est une position controversée, cependant, et MacCormack dit que depuis la sortie de son livre, The Ahuman Manifesto, l'enseignante, chercheuse et DJ "old-school goth" de Londres a reçu "des courriers haineux, des menaces de mort, 'allez vous suicider', des choses comme ça", dit-elle, ajoutant qu'un média italien l'a qualifiée de "délirante". D'autres ont déterré des photos d'elle en tenue gothique, "pensant que c'est insultant".

Maccormack, qui se tient éloignée des médias sociaux, affirme qu’elle a trouvé la réaction de colère intrigante. « Je propose simplement aux gens de ne pas se reproduire, et cela se traduit automatiquement par des actes de violence », affirme-t-elle. « Donc, d’une certaine façon, je veux tuer des enfants, ce qui est ridicule. [...] Et cela en dit beaucoup plus sur les gens qui ne lisent pas le livre et qui ne font que reprendre le message. »

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(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

News.yahoo.com / Cambridge-news.co

Sexisme et mots interdits à l’université : Oxford et Cambridge contre le génie

L’université de Cambridge part en guerre contre certains mots interdits, tel génie, qui perpétueraient une « inégalité de genre ». Même souci d’éradiquer le « sexisme » à Oxford, y compris par la destruction des examens. Aujourd’hui, c’est l’académisme qui mène la révolution.

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