Suisse : Un couple de requérants syrien voulait encore profiter davantage de la Suisse en faisant venir leur neveu

Le Tribunal administratif fédéral rejette le recours d’un couple de requérants contre le refus opposé par le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) à leur demande de regroupement familial. Ils voulaient faire venir un neveu qu’ils ont élevé comme leur fils.

Dès juin 2016, les recourants ont adressé plusieurs demandes de regroupement familial fondées sur les mesures du Conseil fédéral en faveur des victimes du conflit syrien. [...]

Avec l’aide du Service social international et de la Croix-Rouge suisse (CRS), les époux ont organisé le départ du jeune homme qui vivait chez ses grands-parents pour Erbil, dans le Kurdistan irakien.

[...]

En mars 2019, l’ambassade a refusé la demande de visa, indiquant que le jeune homme ne se trouvait pas dans une situation d’urgence.

[...]

20min.ch/fr

Nos remerciements à Wilhou

Osterhofen (All.) : un demandeur d’asile syrien avait déposé des blocs de béton sur la voie ferrée pour faire dérailler le train

La police fédérale, la police et le ministère public ont annoncé mardi que le jeune homme de 15 ans est en garde à vue pour tentative de meurtre. "Je suis heureux que nous ayons pu appréhender aussi rapidement l'auteur présumé de ce crime", a déclaré le procureur général Rudolf Helmhagen.

Selon les enquêteurs, le 25 avril près d'Osterhofen (district de Deggendorf), un train ICE a roulé sur les plaques de béton. Heureusement, le train n'a pas déraillé, personne n'a été blessé à ce moment-là. Selon Rudolf Helmhagen, des témoins avaient observé le jeune homme.

Quelques jours plus tard, il a été arrêté. Selon les déclarations, le mineur a largement admis le crime. Son motif n'est toujours pas clair.

Selon les informations du journal BILD, le jeune homme de 15 ans est un demandeur d'asile originaire de Syrie. Il aurait vécu dans un centre pour réfugiés à proximité.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de / Frankenpost.de

France : un demandeur d’asile soudanais tue deux personnes et en blesse sept autres aux cris d’Allahu Akbar

Romans-sur-Isère. L'homme a porté des coups de couteau ce samedi matin à plusieurs personnes sur les boulevards dans le centre-ville avant d'être arrêté. Deux personnes sont mortes, sept autres sont blessées dont deux pour lesquelles le pronostic vital est engagé.

L'homme interpellé est un Soudanais, demandeur d'asile âgé d'une trentaine d'années. Selon les premiers éléments, il n'était pas connu des services de police et de renseignement. Selon des témoins, il aurait crié Allahu Akbar en se précipitant sur ses victimes.

[...]

Parcours meurtrier d'un commerce à l'autre

D'après les premiers éléments reconstituant le parcours du tueur, l'homme aurait d'abord agressé un habitant de la rue Guillaume un peu avant 10h45. Le Romanais d'une quarantaine d'années venait de sortir de chez lui pour une petite promenade avec sa compagne et son fils. Il a été égorgé devant eux. L'assaillant aurait ensuite poursuivi son chemin en direction de la place Gailly où il pénètre dans un bureau de tabac, il agresse les deux gérants et un client.

[...]

20min.ch / Francebleu.fr

 


Rappels :

Méditerranée : l’ONG Sea Eye annonce la reprise des opérations de secours de migrants au large de la Libye

Suisse : une Hongroise forcée à se prostituer par un Irakien qui profitait de notre aide sociale

L’ONG Sea-Watch demande à l’UE d’aller chercher les migrants de Grèce avec des bateaux de croisière

Dresde (All.). 30 crimes en 4 mois : un Tunisien, demandeur d’asile débouté, terrorise les témoins et les victimes

Un demandeur d'asile débouté commet des crimes en permanence. Il a été arrêté par la police à plusieurs reprises, mais il est systématiquement relâché. Lors du procès devant le tribunal pour mineurs de Dresde, l'accusé garde le silence. Les victimes et les témoins s'expriment. Ils décrivent le Tunisien comme un homme violent, au tempérament vif, qui aime sortir le couteau. Certaines des parties lésées éprouvent encore aujourd'hui de graves craintes.

La peur. Au tribunal pour mineurs de Dresde, ce mot est utilisé à maintes reprises durant le procès à l'encontre du Tunisien Amine. Ses victimes ont peur, mais les témoins de ses crimes ont également peur. Ils ont peur de l'agressivité et de la violence du délinquant multirécidiviste âgé de 20 ans. De ses menaces. De sa vengeance.

En Allemagne depuis avril 2019, en détention depuis août

Amine J. est venu en Allemagne en avril 2019 et aurait commis 30 crimes en quatre mois seulement. Il se trouve en détention préventive depuis le mois d'août de l'année dernière. Il est considéré comme dangereux. Ce n'est que dans la salle N 1.07 que les huissiers de justice lui enlèvent ses menottes.

[...]

Vol aggravé, agression dangereuse, insulte, menace, cambriolage, violation de domicile - il s'agit seulement d'un extrait des délits du Nord-Africain, qui avait d’abord tenté sa chance en Italie et en France. Après son échec là-bas, ses copains lui ont dit : "Va en Allemagne, au moins tu auras un toit." En principe, ils avaient raison, même s’il s’agit désormais du toit d’un établissement pénitentiaire.

30 délits en peu de temps : les victimes et les témoins s'expriment

Amine fait face au Tribunal depuis la fin du mois de janvier. Ce mardi, la juge Susanne Burbach-Wieth a entendu plus d'une douzaine de témoins. Des policiers, des contrôleurs, des employées de maisons closes, un vigile d'un magasin, une victime d'agression, un agent de sécurité d'un centre d'accueil pour demandeurs d'asile à Dresde.

Les témoins décrivent Amine comme un homme dangereux et émotionnellement froid dont il faut se méfier. Un autre élément émerge : Les autorités étaient suffisamment conscientes des problèmes posés par le demandeur d’asile. 

Dans les transports publics, il a été enregistré comme fraudeur notoire. Il a également craché sur un contrôleur. La police l’a arrêté pour délit, mais l’a relâché. Rien d’étonnant à ce qu’il ait déclaré à une femme qui voulait porter plainte que la police ne ferait rien contre lui.

La police a arrêté Tunisien mais l’a relâché

Compte tenu de sa longue liste de délits, les autorités policières n’auraient-elles pas dû arrêter Amine plus tôt? Son premier délit dans la ville d’Eisenhüttenstadt, au Brandebourg, atteste de sa forte propension à la violence.

Le 13 avril 2019, immédiatement après son arrivée en Allemagne, Amine est entré dans un supermarché et a tenté de voler une paire de baskets Puma. Le détective du magasin, Frank J., l'a pris sur le fait et l'a emmené au bureau.

Au tribunal, Frank J., 71 ans, a déclaré à propos de l'accusé : "Il est devenu violent très rapidement, il m'a attaqué. Ma main droite saignait, et j'ai encore un doigt enflé suite à l'accrochage". Le délinquant a tenté à maintes reprises de prendre le butin et de s’enfuir.

"Ses actes ont pris une telle ampleur qu'il a cassé la poignée de l'intérieur et a tenté de s'échapper par la fenêtre." Même après l'arrivée de la police, "il a voulu s'enfuir".

Dans une certaine mesure, le détective a su faire face à cette situation délicate. D'autres n'ont pas réussi.

Par exemple, deux femmes hongroises qui travaillaient dans un centre Eros et ont été gravement menacées par Amine. Il aurait poursuivi les deux prostituées sur le chemin de leur travail, les aurait gravement insultées et aurait sorti un couteau. "Après le crime, les femmes étaient terrifiées à l'idée d'aller en ville.

Toni K., qui était responsable de la sécurité des prostituées témoigne au tribunal : "Pendant longtemps, elles ont été bouleversées et n'osaient guère sortir". Uwe G., le gestionnaire du Centre Eros, explique : "Les femmes ont entre-temps quitté l'Allemagne et ne veulent pas y retourner à cause de l'incident".

[...]

Le policier Markus S. est également conscient du comportement très agressif de l'accusé. Le fonctionnaire de 29 ans a été appelé pour une intervention devant un bar de Dresde. Selon le ministère public, Amine avait menacé un groupe de personnes avec un couteau. Certaines personnes avaient considéré que la situation était "très dangereuse" - et ont pu désarmer le délinquant à un moment opportun. [...]

Les souffrances que l'accusé a apparemment causées à certaines de ses victimes ressortent clairement du témoignage de Paul H.

Paul H. est un homme à l'allure très féminine, très maquillé, qui se définit comme drag queen. Bien que le crime ait été commis il y a plus de sept mois, il semble très esquinté. "Je suis épuisé à cause de l'incident. Je vais bientôt aller à l'hôpital à cause de mon état psychologique", explique-t-il pendant le procès.

[...]

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Focus.de

Langenhagen (All.) : Condamnation avec sursis pour le réfugié afghan qui a abusé sexuellement d’une fillette de 11 ans

Nous parlions de ce crime déjà ici.


Langenhagen - Elle attendait avec impatience un rendez-vous avec son béguin rencontré sur Internet, il cherchait du sexe violent : Un réfugié afghan a rencontré une jeune fille âgée de 11 ans, il en a gravement abusé.

Mercredi, le tribunal régional a rendu un verdict léger à l'encontre de Khudai R. (âgé de 22 ans) : deux ans de détention pour mineurs avec sursis !

Khudai R. (arrivé en Allemagne en 2015) a avoué avoir pratiqué des relations sexuelles vaginales et anales avec l'écolière lors de trois rencontres durant l'automne 2018.

Lors de la dernière rencontre, Ezatullah, l'ami de Khudai, était également présent. Il a aussi abusé de l'enfant. Cependant, la procédure à son encontre a été abandonnée précipitamment car Ezatullah n'aurait pas été au courant du véritable âge de la fille.

Le juge Stefan Lücke a déclaré : "Une façon de faire répugnante. La fille a été rabaissée à un objet de plaisir. Des crimes graves qui ne sont pas sans conséquences."

Après ces paroles lapidaires, Khudai R. (qui a été détention préventive durant 3 mois) a quitté la salle en homme libre.

Le procureur avait requis une peine de prison de deux ans et demi.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

Hanovre : Trois réfugiés afghans violent une fillette de 11 ans ayant des difficultés d’apprentissage

Une élève de onze ans recherchait la tendresse, la proximité, l'approbation. Mais les sentiments innocents de la jeune fille ont été exploités par les jeunes hommes : ils ont abusé de l'enfant!

L'auteur de l'infraction se trouve face au tribunal régional de Hanovre depuis lundi. Au cours du procès, l'accusé Khudai R. (22 ans) a fait des aveux.

Lors de la toute première rencontre à Langenhagen (région de Hanovre), début septembre 2018, le réfugié d'Afghanistan (venu en Allemagne en 2015, utilisant quatre pseudonymes et qui vit en Hesse) a clairement indiqué ce qu'il attendait de l'écolière amoureuse, qu'il avait rencontrée quelques semaines auparavant par le biais de messageries instantanées. R. déclare : "Je lui ai simplement demandé si elle voulait faire l'amour avec moi." Elle a donné son consentement. Il l'a agressée dans un bosquet de la station de train de Langenhagener.

Trois autres rencontres sexuelles ont eu lieu, dont deux avec Ezatullah N. et Siya A., des amis de Khudai (tout deux âgés de 19 ans à l'époque). La dernière fois, Khudai et Ezatullah se sont relayés pour prendre des photos pornographiques avec leurs téléphones portables. [...] L'un d'entre eux lui aurait jeté une pierre.

[...]

L'élève en difficulté d'apprentissage s'est adressée à sa conseillère d'éducation. Sa mère (36 ans, infirmière gériatrique, monoparentale) a déclaré au juge : "Avant, c'était une fille qui riait. Plus maintenant.". Sa fille serait devenue suicidaire, se mutilerait et vivrait à présent dans un groupe de vie thérapeutique.

Les poursuites pour abus contre les deux autres Afghans ont été abandonnées par le ministère public. Ils ne connaissaient pas l'âge réel de la fille, a déclaré une porte-parole au BILD.

Le procès se poursuivra mercredi.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Autriche : Un réfugié tchétchène de 17 ans rackette des enfants “Il a mis un couteau sous la gorge de mon petit-fils”

"Nos deux petits-fils étaient pâles et grincheux depuis l'été, ils sortaient à peine de la maison et avaient de mauvaises notes. On s'est dit qu'ils allaient devenir pubères. Ce n'est que lorsque ma femme a parlé au plus jeune que nous avons compris ce qui se passait. Pendant des mois, un Tchétchène de 17 ans avec un casier judiciaire a fait pression sur nos petits-enfants", déclare le grand-père : "Le Tchétchène a mis un couteau sous la gorge de notre petit-fils aîné et a menacé de le poignarder s'il ne payait pas. Mon petit-fils lui a donné 700 euros par peur", explique le jeune homme de 62 ans.

Liste complète des infractions

Le Tchétchène fait l'objet d'une enquête pour vol, extorsion aggravée, lésions corporelles graves intentionnelles, menaces dangereuses et coercition aggravée, confirme Reinhard Steiner, porte-parole du ministère public à Linz : "Les enquêtes sont en cours. Pour des raisons de tactiques, nous ne pouvons en dire plus".

La famille des victimes se sent totalement impuissante

"Le pire, c'est que vous vous sentez complètement impuissant. Le Tchétchène bénéficie du statut de réfugié, on ne s'en débarrassera jamais. Et il est membre d'un gang. Nos petits-fils n'osent plus guère quitter la maison. Nous les emmenons aussi à l'école tous les jours et nous allons les chercher là-bas. Nous avons le sentiment que personne ne peut vraiment nous aider", affirme le grand-père.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Krone.at

 

Offenburg (All.) : un Somalien jugé irresponsable après avoir tabassé et blessé grièvement un retraité

Le 16 mai à Offenburg, un retraité a été frappé à tel point qu'il est depuis dépendants de soins constants. Un Somalien de 26 ans est responsable de cette agression. Depuis le 15 octobre, il est jugé devant le tribunal régional d'Offenburg. Aujourd'hui, vendredi, le verdict a été prononcé.

Selon le verdict, le Somalien sera hébergé dans un hôpital psychiatrique. La durée de ce placement n'est pas claire et dépend du processus de guérison. Au moment du crime, l'accusé souffrait d'une maladie mentale, comme l'un des psychiatres l'a déclaré au cours de la procédure. L'accusé est donc considéré comme irresponsable.

[...]

Le tribunal s'est finalement prononcé contre le traitement ambulatoire et a décidé de placer le patient dans un service psychiatrique. Théoriquement, il se pourrait que le Somalien n'en sortent jamais.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bo.de

 

A lire à ce sujet : Stuttgart (All.) : un retraité tabassé presque à mort par un demandeur d’asile. Personne ne veut lui payer les soins.

 

Linz (Autriche) : un demandeur d’asile afghan abusait sexuellement de jeunes femmes en exploitant leur dépendance à la drogue

A Linz, un Afghan de 34 ans aurait exploité la dépendance à la drogue de deux jeunes femmes (17 ans et 18 ans) à des fins sexuelles.

Le 21 octobre, des policiers ont arrêté le demandeur d'asile afghan dans son appartement.

L'homme de 34 ans est soupçonné d'avoir fourni de la marijuana à plusieurs sous-traitants afghans et d'avoir également donné du Crystal meth à plusieurs jeunes filles mineures.

Une adolescente de 17 ans mariée dans une mosquée

Toutefois, il est accusé de quelque chose de bien plus dégoûtant. Il aurait exploité la toxicomanie des deux jeunes femmes (17 ans et 18 ans) pour du sexe.

Il a même épousé l'adolescente de 17 ans dans une mosquée de Linz, conformément à la loi islamique, afin d'être en mesure d'accomplir des actes sexuels légitimes sur le plan religieux. Selon la police, les parents de la fille ne savaient rien du mariage.

L'accusé aurait fait circuler plusieurs kilos de marijuana et 90 grammes de Crystal meth.

L'homme de 34 ans s'est comporté de manière très peu coopérative lors des interrogatoires. Il se trouve actuellement en détention.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Heute.at

 

Munich : Une étudiante de 18 ans frappée puis violée par un réfugié afghan récidiviste

A Munich, une agression contre une jeune étudiante provoque la consternation et la colère : dans la nuit de dimanche, une jeune femme de 18 ans a été sauvagement frappée et violée.

Comme la police l'a déclaré mercredi, la Munichoise traversait le centre-ville vers 1h45 lorsqu'elle a parlé avec un homme qu'elle ne connaissait pas.

Le réfugié afghan a proposé à l'étudiante assoiffée, qui ne possédait pas d'argent sur elle, de lui acheter quelque chose dans une station-service à proximité. Il lui a demandé d'attendre un instant et a tenté d'embrasser la jeune femme.

L'individu a également tenté de toucher l'étudiante sous son t-shirt et d'ouvrir son pantalon. Face à la résistance de l'étudiante, l'agresseur l'a frappée au visage.

Il a ensuite baissé le pantalon de la victime jusqu'aux genoux et a violé la femme sans défense qui criait de douleur. Ces cris ont attiré l'attention des passants.

Alors que les passants alertaient la police, le suspect a pu s'enfuir. Les policiers ont immédiatement lancé une chasse à l'homme, tandis que la jeune femme a été emmenée dans une clinique après avoir reçu les premiers soins sur place.

Lundi, vers 14 heures, l’Afghan de 29 ans a finalement pu être appréhendé.

Selon les informations recueillies par le journal BILD, l’Afghan fait actuellement l’objet d’une enquête pour abus sexuel dans une autre affaire. Il est connu pour avoir commis des infractions liées à la drogue.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Wize.lifeTag24.de / Bild.de

 

Allemagne : Mohammad, un réfugié afghan, jugé pour avoir battu à mort sa voisine, une dame de 87 ans

Allemagne – Elle avait bon cœur, mais a fait confiance à la mauvaise personne ! Ursula († 87 ans) de Iéna (Thuringe) aidait le réfugié Mohammad A. (24 ans) d’Afghanistan en lui donnant de petites sommes d’argent. Par sympathie, parce que son voisin s’était toujours montré charmant.

Mais lorsque le jeune homme de 24 ans a demandé à la vieille dame  7 000 euros – y compris un billet d’avion pour son pays d’origine – Ursula a refusé, ce qui lui a valu la mort.

Mohammad A. est arrivé en Allemagne en 2011 en tant que mineur étranger non accompagné. Il est aujourd’hui devant le tribunal.

« L’accusé a asséné des coups sur la tête de la victime, ainsi que sur la poitrine, les bras et les jambes de la retraitée. Il a terminé par un coup de couteau », déclare Horst Sauerbaum (52 ans), procureur de la République. « Il a enveloppé le corps dans un drap, l’a mis dans une valise noire et l’a rangé dans un placard dans la cave ».

BILD

Via Fdesouche

Munich (All.) : Un demandeur d’asile accusé d’avoir abusé sexuellement d’une fillette de 5 ans

Chidubem M. (32 ans) originaire du Nigeria doit répondre de cet acte dégoûtant devant le tribunal de district de Munich II.

Le 23 mai 2018 à 11 heures, le demandeur d'asile se serait adressé à la petite fille (âgée de 5 ans) qui se trouvait sur un terrain de jeux et l'aurait attirée dans le centre d'accueil de la Parzivalstrasse à Karlsfeld.

Selon l'accusation, il aurait déshabillé la fillette dans sa chambre et lui aurait enlevé sa culotte. Ensuite, le réfugié aurait commencé à toucher la fillette entre ses jambes et à l'agresser sexuellement.

Au tribunal, le Nigérian est resté silencieux face à ces graves accusations. Pour le moment, le procès a été interrompu. [...]

Bild.de

Autriche : un réfugié afghan poignarde à mort deux personnes

Nous parlions déjà de cette tragédie ici.

A ce jour, il n'est fait nulle mention de ce double meurtre dans la presse romande, comme si les victimes des migrants n'avaient aucune importance pour les journalistes.

**********

A présent, l'Afghan qui a assassiné un agriculteur de 63 ans à Leopoldschlag, est responsable de la mort d'un deuxième homme.

L'employé de la Croix-Rouge âgé, qui était également son conseiller pour les réfugiés, est décédé vendredi des suites de blessures.

Le "Wochenblick" l'a appris de sources policières. L'Afghan, qui a été arrêté à Linz lundi soir, fait actuellement l'objet d'une enquête pour deux meurtres.

[...]

Wochenblick.at

 

Autriche : un réfugié afghan blesse grièvement son conseiller et tue dans sa fuite un agriculteur

Selon la police, une tentative de meurtre et un meurtre se sont produits lundi après-midi [14 octobre] en Basse-Autriche dans un secteur voisin de la frontière tchèque. Dans un foyer pour demandeurs d’asile de Wullowitz (arrondissement de Freistadt), un Afghan aurait très grièvement blessé au couteau un conseiller et, dans sa fuite, il aurait poignardé un automobiliste. Lundi soir, la police a pu arrêter cet homme dans la région de Linz.

[…] La victime, âgée de 32 ans, a reçu lors de l’agression des coups de couteau potentiellement mortels et elle a été transportée en hélicoptère dans un hôpital de Linz. Dans un premier temps, le suspect s’est enfui à bicyclette.

Il a remarqué, près d’une maison située non loin du foyer, une voiture dans laquelle était assis un homme […]. L’Afghan (33 ans) s’est précipité sur cet homme de 63 ans et l’a frappé avec un objet pointu. Les secours n’ont rien pu faire pour sauver ce vieil agriculteur. C’est avec sa voiture […] que le meurtrier présumé a poursuivi sa fuite.

[…]

(Traduction Fdesouche)

Source

Autriche : un réfugié menace un contrôleur de train puis s’en prend à la police “Allah va tous vous tuer”

Sa demande d'asile avait été rejetée. Toutefois, l'Autriche a accordé à Abdelwasil E. une protection subsidiaire. En remerciement, il a attaqué et menacé un contrôleur de train et les agents de police.

Lors d'un voyage en train vers le Burgenland [NDLR : Land d’Autriche le plus oriental], un contrôleur lui a demandé son titre de transport. Comme le jeune homme de 26 ans n'avait pas de billet, le contrôleur a exigé sa carte d'identité et en a informé la police.

Puis l'Afghan est devenu fou. Il a menacé et insulté l'employé des chemins de fer. Il ne s'est pas calmé lorsque trois fonctionnaires sont intervenus.

Le réfugié enragé a menacé à haute voix qu'"Allah allait tous les tuer". Il a également blessé l'un des fonctionnaires.

Lors de son procès à Eisenstadt, le réfugié ne s’est même pas présenté. Son avocat commis d'office était complètement perdu. Le jugement rendu en son absence : six mois de prison avec sursis.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Krone.at

Berlin : L’expulsion des demandeurs d’asile rendue politiquement impossible par la gauche

En théorie, les demandeurs d'asile déboutés doivent quitter l'Allemagne. S'ils ne partent pas volontairement, l'État doit les expulser. Dans ce cadre, la police est envoyée pour faire appliquer l'expulsion. En premier lieu, elle se rend dans les foyers de ces requérants déboutés.

En mai de cette année, la sénatrice Elke Breitenbach (Die Linke - La Gauche) a mis fin à cette pratique de son propre chef. Elle a ordonné que les agents de police ne soient plus autorisés à entrer dans les locaux d'hébergement des demandeurs d'asile à moins que les résidents ne l'autorisent expressément. Et qui permettrait à un policier d'accéder à son logement s'il était expulsé ?

Mme Breitenbach a affirmé que la police n'était autorisée à entrer dans les logements qu'avec une ordonnance du tribunal.

Le 10 septembre, un jeune Guinéen a refusé d'ouvrir. La police a défoncé la porte et l'a amené à l'aéroport de Tegel. A ce moment, il a refusé de monter à bord de l'avion pour l'Italie.

L'expulsion a finalement été interrompue. Le jeune Guinéen est retourné à Köpenick (un quartier de Berlin). Les avocats lui ont conseillé d'intenter des poursuites parce que la police était entrée dans son foyer sans autorisation. L'affaire sera tranchée par le tribunal et pourra aller jusqu'à la Cour constitutionnelle.

[...]

Tout cela ressemble à un scénario: d’abord, la sénatrice de gauche a refusé l'accès aux logements d'asile à la police. Puis, la faction de gauche au Bundestag a émis un avis juridique. Enfin, un demandeur d’asile débouté intente une action en justice.

Que va-t-il se passer ensuite? Si systématiquement la police doit d'abord appeler un juge, l'expulsion sera retardée ou contrecarrée. La police devrait intercepter les demandeurs d'asile déboutés dans la rue et les emmener dans une prison dédiée à l'expulsion. Une telle prison n'existe plus à Berlin.

Quelle que soit l'issue de ce cinéma, une chose est certaine : le droit d'asile allemand sera sapé et l'État paralysé.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bz-berlin.de

 

 

 

 

 

 

Saxon (Suisse) : Déçu par la police, un réfugié boute le feu à son appartement. Plus de 500’000 francs de dégâts.

Un homme vient d’être condamné à titre définitif par le Tribunal de Martigny à trois ans de prison pour l’incendie d’un appartement. A cause de ses troubles psychiques, ce réfugié turc a vu sa peine transformée en traitement dans un établissement de soins fermé.

Le faits remontent à 2016. Un soir à Saxon, après minuit et avec quelques verres dans le nez, un réfugié atteint de troubles psychiques a appelé la police pour dénoncer un vol. [...]

Peu de temps après le départ des policiers, l'homme a mis le feu à son appartement. Mais s'il n'y a pas eu de victime, les dégâts sont toutefois estimés à plus d'un demi-million de francs. Lorsque l'incendiaire, qui était resté dans les parages, a été interpellé, il a souri aux policiers et leur a dit: «Maintenant police travaille!».

20Min.ch / Le Nouvelliste

Nos remerciements à Dany Riviera et Victoria Valentini

Hambourg (All.) : Deux Syriens arrêtés après une fusillade dans un lycée. L’un d’eux n’a que 15 ans.

Après la fusillade au lycée d'Allermöhe, les enquêteurs ont arrêté un autre suspect - il n'a que 15 ans !

Il s’agit du frère du jeune Syrien de 23 ans, arrêté jeudi dernier après la chasse à l’homme.

Un juge a émis des mandats d'arrêt contre les deux suspects. Deux autres hommes arrêtés, un Allemand de 20 ans et un Syrien de 22 ans, ont été libérés.

Le jeune homme de 27 ans, qui a été blessé par trois balles vers 23 heures, n'est plus en danger de mort.

Aucune information n'a encore été fournie sur le contexte du crime.

(Traduction libre Christian Hofer pour Les Observateurs.ch)

Bild.de

 

Aarau : Un réfugié érythréen poignarde sa femme enceinte pour la faire avorter et tente de la tuer

Un homme de 40 ans a essayé d'avorter un bébé et de tuer sa femme. Le tribunal d'Aarau a rendu son jugement : "Tentative de meurtre".

"Peut-on encore être davantage sans scrupules?" Par cette question, la procureure générale Carmen Laffranchi a résumé le point de vue de l'accusation. L'accusé, Josef (nom modifié), un Erythréen de 40 ans, s'est présenté devant le tribunal de district d'Aarau.

Le déroulement des événements, tel qu'il est décrit dans l'acte d'accusation, n'a pas été contesté. D'autre part, l'accusé a nié avoir l'intention de tuer. Josef se trouve en détention provisoire depuis que le crime a été commis il y a environ deux ans.

Couteau coincé à l'arrière du cou

Dans le logement commun de la banlieue d'Aarau, Josef avait d'abord enfoncé un couteau à désosser dans le bas-ventre de sa femme enceinte, puis il a poignardé la tête et le torse à plusieurs reprises. Finalement, le couteau est resté coincé dans le cou de la victime. Josef a frappé le dos de sa femme avec une bouteille remplie de whisky. Selon l'acte d'accusation, il a finalement recouvert la tête de la victime d'un oreiller "pour qu'elle puisse à peine respirer". Puis il a appelé sa sœur pour lui demander de qui sa femme était enceinte. Par la suite, il a téléphoné au centre d'appels d'urgence et a déclaré qu'il se battait avec sa femme, qu'elle était enceinte d'un autre homme et qu'elle était maintenant morte.

Mais la femme était encore en vie. Elle a été transportée par hélicoptère à l'hôpital universitaire de Zurich. Elle a été sauvée par une opération d'urgence. Son enfant a également pu survivre au coup de couteau. [...]

Pour comprendre la dispute qui a précédé l'acte, il faut savoir un certain nombre de choses sur l'histoire de Joseph et sur son mariage. Joseph est né en 1978 en Erythrée. Il y est allé à l'école pendant 11 ans, puis a servi dans l'armée pendant plusieurs années jusqu'à son départ. Il est arrivé en Suisse par la Libye il y a cinq ans, où il a été reconnu comme réfugié. [...]

Le mariage a été célébré en 2015 à Addis-Abeba, où le couple s'est rencontré pour la première fois. Au printemps 2017, l'épouse a été autorisée à se rendre en Suisse. En mai, il s'est avéré qu'elle était enceinte - à la 15e semaine. Joseph a calculé, puis, il s'est mis à soupçonner que sa femme avait été mise enceinte par un autre homme avant son arrivée en Suisse. Il ne voulait apparemment pas comprendre que les semaines de grossesse sont comptées à partir de la dernière période menstruelle. Lorsque l'enfant est né en décembre 2017, il a été prouvé sans équivoque que Joseph était son père.

[...]

Joseph a été très bavard, mais n'a guère répondu à une seule question précise. Il a également confirmé devant le tribunal qu'il avait infligé à sa femme des blessures mettant sa vie en danger. "Je suis possédé par le démon," explique-t-il, "c'est pour ça que je lui ai fait ça." [...]

15 ans d'emprisonnement et 15 ans d'expulsion du pays

Le tribunal, présidé par Reto Leiser, a suivi à l'unanimité les requêtes de l'accusation : il a déclaré Josef coupable de tentative de meurtre et de tentative d'avortement.

Pour qu'une tentative de meurtre soit commise, déclare Reto Leiser, il faut trois choses : Le manque de scrupules, un mépris flagrant pour la vie d'autrui et un égoïsme pur. Ces conditions étaient remplies dans le cas de Josef. Une peine d'emprisonnement de 15 ans est appropriée. Il en va de même pour les 15 ans d'expulsion.

(Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch)

Aargauerzeitung.ch

 

Nos remerciements à Victoria Valentini

France : un réfugié syrien écroué pour le viol et le meurtre de Johanna, il avait écopé de 8 mois de prison début 2019

Le principal suspect du meurtre de Johanna Blanes a été mis en examen et écroué samedi 13 juillet pour le meurtre et le viol de Johanna Blanes, a annoncé le parquet de Mont-de-Marsan. 

L’homme de 32 ans, réfugié politique originaire de Syrie, a été présenté à un juge d’instruction ce samedi pour meurtre précédé, accompagné ou suivi d’un viol.

(…) Les trois autres personnes interpellées dans le cadre de l’enquête, qui vivaient au même endroit que lui, ont été remises en liberté. Aucune charge n’est retenue contre elles. Les investigations et examens techniques n’ont pas permis de les relier au crime.

Ces hommes, de nationalité marocaine, tunisienne et algérienne, en situation irrégulière, devront quitter le territoire français. Ils ont été placés en centre de rétention.

Franceinfo / Sud Ouest


(…) L’hypothèse d’un viol collectif n’est pas exclue et trois autres hommes sont en garde à vue, précise le parquet.

(…) Dans la foulée, jeudi, trois autres hommes ont été interpellés : tous habitent le même logement que cet homme syrien, à Saint-Pierre-du-Mont. Le procureur de la République de Mont-de-Marsan a refusé de dévoiler ce vendredi la nationalité, l’âge et le profil de ces trois suspects.

Selon les informations de France Bleu Gascogne, ces trois hommes sont de nationalités étrangères et se trouvent sur le territoire français en situation irrégulière.

(…)

France Bleu

Via Fdesouche.com