Migrants : l’ONU appelle à ne pas pénaliser les navires humanitaires

L'ONU a appelé jeudi à ne pas pénaliser les navires humanitaires portant secours aux migrants en détresse en Méditerranée.

Dans une déclaration commune, le Haut-Commissaire de l'ONU pour les réfugiés, Antonio Grandi, et le directeur général de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), Antonio Vitorino, soulignent le "rôle crucial" des navires des ONG en Méditerranée.

Ils "ne devraient pas être pénalisés pour avoir sauvé des vies en mer", estiment-ils, alors que l'Italie, sous l'impulsion de son ministre de l'Intérieur d'extrême droite Matteo Salvini, a fermé ses ports à ces navires, que celui-ci considère comme des complices des passeurs.

MM. Grandi et Vitorino demandent aussi que les navires commerciaux ne soient "plus renvoyés en Libye pour débarquer les passagers qu'ils ont sauvés" et l'arrêt de la détention des migrants renvoyés en Libye.

"Toute aide et toute responsabilité à allouer aux entités libyennes concernées devraient être subordonnées à la condition que plus personne ne soit arbitrairement arrêté après avoir été secouru et que le respect des normes relatives aux droits humains soit garanti, affirment-ils, ajoutant que, dans le cas contraire, "ce soutien devrait être interrompu".

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Lorientlejour.com

Suisse : Une Alliance composée de 120 ONG, dont Amnesty International, veut s’opposer à notre autodétermination.

L'Alliance de la société civile a choisi le Cheval de Troie pour illustrer ce qu'est à ses yeux l'initiative de l'UDC « pour l'autodétermination».

Amnesty International Suisse, qui est partenaire de l'Alliance, a lancé sa propre campagne lundi. L'organisation appelle les citoyens à glisser un «non» dans les urnes le 25 novembre.

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Tribune de Genève

 

Rappels :

Amnesty International: « les jihadistes de l’Etat islamique ne doivent pas être exécutés. »

Amnesty Suisse: « La Suisse doit accepter les requérants responsables d’enfants, ceux qui ont des problèmes médicaux et ceux qui ont de la famille dans le pays. »

Amnesty International s’attelle à la propagande auprès de nos filles: « Amir et Marlène, coup de foudre en 6è »

La Suisse encore pointée du doigt par Amnesty International. Et qui retrouve-t-on derrière Amnesty? George Soros!

Amnesty International: « L’accord avec la Turquie est une tache sur la conscience de l’Europe »

Le Danemark devient le cinquième pays d’Europe à bannir la burqa et le niqab. Amnesty International fustige la loi.

Suisse : Douze ONG insistent auprès du Conseil fédéral pour que l’Aquarius puisse battre pavillon suisse.

«Accorder le pavillon suisse à l’Aquarius n’est pas seulement un geste d’humanité. Il s’agit également de marquer l’opposition de la Suisse à une forme inquiétante de criminalisation des organisations humanitaires, dans le but de les empêcher d’accomplir leur mission auprès des populations.»

Ainsi s’expriment douze ONG dans une lettre ouverte adressée jeudi au Conseil fédéral. Parmi lesquelles Amnesty International (section suisse), Caritas, EPER (Entraide protestante suisse), Médecins du monde, l’Organisation suisse d’aide aux réfugiés et Terre des hommes.

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24 Heures

Motion de Claude Béglé : encore le sanglot de l’homme blanc

Cenator: Un nouveau fil de la toile d’araignée destinée à capturer les entreprises suisses performantes se dessine grâce à la motion susmentionnée.

 

Avec l’égalité des salaires homme-femme (notion tellement facile à appliquer chez des fonctionnaires hyper normalisés, tellement plus difficile ailleurs et par conséquent tellement plus sujette à des chicanes sans fin), d’éventuels quotas de femmes dans les conseils d’administration (pourquoi pas aussi des quotas d’homosexuels, d’hétéros ?), les entrepreneurs ne vont bientôt plus savoir où donner de la tête. De leur côté, les Chinois se tordent les côtes en prenant connaissance de telles directives, allez savoir pourquoi.

 

Grâce à ces nouvelles « perles », l’administration, par nature improductive, s’étend comme une pieuvre de plus en plus tentaculaire et insatiable (toute nouvelle fonction génère son lot de chefs, sous-chefs, etc.), les socialistes adorent cela.

Claude Béglé milite pour la Fondation R20 écologiste d’Arnold Schwarzenegger. Il se dit humaniste. Il veut inciter le secteur privé à s’impliquer dans la reconstruction d’hôpitaux, de canalisations, de logements dans le Tiers monde.

Nous savons ce que signifie la présence de l’Etat dans des domaines hors de son ressort (la simple gestion des caisses de retraite de ses employés est un fiasco récurrent).

Résultat des courses : les entreprises pouvant déménager sous des cieux plus propices le feront peu à peu… tandis que le nombre des entreprises ayant renoncé à s’installer en Suisse du fait de ces entraves, restera à jamais inconnu.

 

Petit à petit, la Pologne, la Hongrie, etc., deviendront des Etats plus prospères et mieux lotis en termes de sécurité intérieure, alors que la Suisse continuera de s’enfoncer dans la direction opposée… merci la gauche (en Suisse, il n’y a plus que deux partis, la Gauche et l’UDC).

 

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http://www.pdc-vd.ch/demultiplier-laide-humanitaire-grace-au-secteur-prive-motion-de-claude-begle-acceptee-par-le-conseil-nat-ional/

15.03.2018 / Article

Démultiplier l’aide humanitaire grâce au secteur privé?

Motion de Claude Béglé acceptée par le Conseil national

Cette motion, qui a été acceptée par le Conseil fédéral, est très importante car elle pourrait profondément changer le mode de fonctionnement de l’aide humanitaire.

Car accepter cette motion permettrait à l’aide humanitaire d’obtenir plus de moyens financiers, sans augmenter les dépenses publiques, ceci grâce à un effet de levier et de gagner en efficacité opérationnelle, le travail étant effectué par des professionnels.

L’intention générale de ma motion est de démultiplier l’effet de l’aide publique en incitant des entreprises privées à investir, même dans des contextes à priori précaires, en établissant les conditions nécessaires pour y parvenir.

Le contexte international actuel n’est plus celui du début des années 2000. Aujourd’hui, en plus des souffrances sur place, les moyens de communication font que les conséquences de ces crises s’exportent à des milliers de kilomètres. Et la différence est de moins en moins nette entre la phase de crise aiguë et celle de reconstruction qui devrait lui succéder (« procrasted conflicts »). Toutes deux s’enchevêtrent. D’où la nécessité de combiner aide humanitaire d’urgence et activités de développement à plus long terme.

Il faut donc de nouveaux instruments pour aider les pays fragiles à se stabiliser et à se reconstruire. Cela dépasse les moyens et les compétences de la seule aide publique.

1. L’idée centrale est de solliciter le secteur privé pour démultiplier les moyens à disposition

Le message sur la coopération internationale 2017-2020 adopté par le Conseil fédéral et le Parlement prévoit déjà d’intensifier la collaboration avec le secteur privé en matière d’aide humanitaire et de développement. La présente motion veut accélérer la concrétisation de cette intention.

Mais pour que les entreprises investissent, il faut réduire les risques potentiels qu’elles encourent.

C’est pourquoi on doit trouver des solutions où l’argent public sert à réduire les risques et les ressources du secteur privé à investir dans des projets de reconstruction d’infrastructures de première nécessité.

. La Confédération pourrait par exemple contracter l’assurance MIGA de la Banque mondiale. Celle-ci couvrirait les futurs investisseurs contre des risques politiques de type: destruction, nationalisation, réglementations arbitraires, perte de change… Cette assurance permettrait de rassurer les investisseurs du secteur privé et de les inciter à investir dans des projets du type : reconstruction d’hôpitaux, canalisations, logements, cela pour un montant bien supérieur à la prime d’assurance initiale. On le voit, l’effet de levier serait considérable.

. On pourrait aussi recourir à des instruments tels que ceux de l’«innovative/blended finance», cherchant à créer un point de convergence entre l’action humanitaire et la logique des investisseurs.

2. L’autre idée clé est d’introduire des critères d’efficacité motivants pour les investisseurs privés.

Les « humanitarian bonds » lancés par le CICR en 2017 vont dans ce sens. [Ils permettent à des individus de placer une partie de leur épargne dans des
projets humanitaires. D’une part, le projet humanitaire peut bénéficier de ressources financières accrues tant que des personnes sont d’accord de leur prêter de l’argent. Mais d’autre part, le projet humanitaire doit prouver son efficacité pour convaincre les investisseurs de continuer à lui confier leur argent.] cela implique la mise en place des critères de mesure de l’efficacité.

La manière dont a été géré le tremblement de terre en Haïti en 2010 montre que l’aide humanitaire a parfois besoin d’un cadre d’action plus rigoureux.

Des investissement financés par le secteur privé et dont la conduite opérationnelle sont en même temps assumés par des entrepreneurs privés ont plus de chance d’être réalisés avec succès. Beaucoup de nos entreprises ont à la fois les moyens financiers, la capacité technologique, le « know how » opérationnel et des équipes compétentes pour mener à bien de tels projets. Cela peut constituer un « plus » notoire pour les bénéficiaires desdits projets sur place, ainsi que pour notre économie.

3. Enfin, pour qu’aide humanitaire publique et secteur privé puissent agir ensemble, il convient d’établir un cadre précis d’intervention, notamment :

. Définir quels risques politiques devraient être couverts par l’assurance MIGA.

. Déterminer des modèles économiques public / privé et des règles d’engagement pour les entreprises concernées du secteur privé. Par ex: quelles conditions une entreprise doit-elle respecter si elle est mandatée pour construire des logements pour réfugiés?

. Prévoir comment les entreprises pourraient intervenir dans des régions complètement désorganisées suite à une guerre, sans administration locale, avec des risques sécuritaires, d’arbitraire (corruption), de sécurité juridique, d’approvisionnement, etc..

. Identifier les interlocuteurs locaux / étatiques de référence pour l’entreprise.

On voit aujourd’hui que le monde économique est de plus en plus soucieux d’éthique. Cela étant, nos entreprises sont particulièrement bien placées pour jouer un rôle actif et démultiplier les efforts du secteur public. C’est donc le bon moment, pour la Suisse, de lancer cette réflexion sur des partenariats public / privé dans le domaine de l’humanitaire.

À cet effet, si ma motion était approuvée, il s’agirait pour un groupe de travail multipartite d’analyser comment :

. Coordonner les actions entre acteurs publics, humanitaires et du développement, financiers, privés et ceux de la société civile;

. Assurer la neutralité de l’aide aux victimes;

. impliquer d’autres pays dans une approche semblable.

 

Claude Béglé, Conseiller national

Motion acceptée par le Conseil national le 15 mars 2018

Texte : https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20173848

La plupart des 73 femmes de l’Aquarius auraient été victimes d’abus avant d’être secourues: elles n’osent toujours pas quitter le centre d’accueil

Alors que leurs compagnons font les premières sorties, les femmes qui étaient à bord de l'Aquarius n’osent toujours pas sortir. Elles ont été informées de leurs droits en Europe. Un avocat de la Croix-Rouge leur a expliqué comment elles peuvent signaler tout type d'abus.

 

 

Dans un centre de Cheste, il y a 402 hommes, neuf enfants et 42 femmes. «Il est essentiel d’obtenir les ressources nécessaires pour qu’elles puissent avoir accès à un téléphone portable, à des chargeurs…», explique Israel Blanco, travailleur social de la Croix-Rouge.

"Nous leur disons comment réagir, ce qui peut être fait et ce qu'elles ne devraient pas subir car ce sont des femmes qui ont l'habitude de ne pas dire non", déclare Pino Díaz, porte-parole de la Croix-Rouge.

Selon les médecins qui les ont accompagnées dans leur voyage, de nombreuses femmes à bord du bateau l'Aquarius pourraient avoir été victimes d'agression sexuelle. (...)

Beaucoup de migrants vont s'installer dans différentes municipalités à travers l'Espagne. 342 communes se sont proposées, mais on ne sait pas quand est-ce que cela sera effectué.

 

Lasexta.com

Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

 

Nos remerciements à Victoria Valentini et à Cyril.

Nyon : le Paléo Festival en partenariat avec l’ONG SOS Méditerranée, organisation pro-migrants (Audio)

Le Paléo festival de Nyon va enchaîner 280 concerts en six jours et accueillir dès mardi plus de 230'000 spectateurs. Cette année, le partenaire caritatif est l'ONG SOS Méditerranée, qui fait beaucoup parler d'elle. Interview du directeur de Paléo Daniel Rossellat.

 

 

 

Source

 

A noter que Daniel Rossellat est évidemment de gauche : Il a été élu comme indépendant proche des Verts au poste de syndic de Nyon le 30 novembre 2008. Visiblement cet individu ne sait pas que les ONG sont étiquetées comme étant criminelles.

Nos remerciements à Wilhelm's Back

 

Rappels :

SOS Méditerranée, importateur de migrants

Salvini interdit à l’ONG « SOS Méditerranée » de débarquer des migrants en Italie

Aide publique au développement: « Plus les autorités africaines faillissent, plus l’argent coule à flot. »

Sexe contre nourriture: 15 ONG impliquées. Le responsable du HCR avait qualifié ces accusations de « rumeurs ».

Italie: Un navire de sauvetage de migrants séquestré. L’ONG est soupçonnée d’association de malfaiteurs.

ONG complices des passeurs : Bayrou avait été informé depuis longtemps par le gouvernement italien. Les identitaires avaient raison sur tout.

BFMTV | Bourdin Direct | 28-06-2018

 

 

 

Sexe contre nourriture: 15 ONG impliquées. Le responsable du HCR avait qualifié ces accusations de “rumeurs”.

Selon ce rapport, certains membres de ces organisations «utilisaient souvent l'aide humanitaire et les services destinés à bénéficier aux réfugiés comme un outil d'exploitation». De la nourriture, mais aussi du carburant ou même l'accès à des services éducatifs pouvaient être échangés contre des faveurs sexuelles.

Des «listes confidentielles», rassemblant les noms de 67 personnes supposément impliquées, avaient été élaborées, mais sans que cela n'aboutisse à des poursuites, d'après «The Times».

Parmi les organisations impliquées, le journal cite plusieurs agences de l'ONU ou les ONG International Rescue Committee (IRC) et Norwegian Refugee Council (NRC). (...) A l'époque, Ruud Lubbers, alors à la tête du HCR, avait qualifié les accusations présentées dans le rapport de «rumeurs».

(...)

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Aide publique au développement: “Plus les autorités africaines faillissent, plus l’argent coule à flot.”

Article de décembre 2015 qui éclaire d'un jour nouveau ce qui se passe aujourd'hui, notamment toute l'hypocrisie des Ong et autres opportunistes qui se gargarisent de notre argent tout en se présentant en étalon de valeurs morales.

A lire également sur ce sujet:

Italie : L’experte de l’Afrique remet les Ong à leur place « Les jeunes Africains pensent qu’il suffit d’arriver en Europe pour faire fortune. »

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Pour notre chroniqueur Laurent Bigot, l’aide internationale fait d’abord vivre des dizaines de milliers de fonctionnaires étrangers et nationaux et une myriade de consultants.

L’aide publique au développement, aide-t-elle vraiment l’Afrique? En 2009, l’économiste zambienne Dambisa Moyo répondait par un non catégorique dans son livre L’Aide fatale : les ravages de l’aide inutile et de nouvelles solutions pour l’Afrique. A la lumière de mon expérience de diplomate, je dois avouer que je ne suis guère plus optimiste. Selon Dambisa Moyo, l’Afrique aurait bénéficié de plus de mille milliards de dollars d’aide depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Le débat n’est pas de discuter les chiffres car l’ordre de grandeur est de toute façon impressionnant quel que soit le montant réel.

L’efficacité de l’aide publique au développement a fait l’objet de nombreux ouvrages et études sans que jamais la question de la fin de l’aide ne soit posée. Les objectifs sont toujours quantitatifs, les fameux 0,7 % du PIB (produit intérieur brut). Mais quels sont les résultats ? Cet objectif en lui-même révèle le regard que pose la communauté internationale sur l’Afrique, un regard de commisération.

L’Afrique ne mérite-t-elle pas un objectif plus ambitieux, à savoir la fin de l’aide ? N’est-ce pas la vocation de l’aide publique au développement que de s’arrêter, signe qu’elle aura atteint ses objectifs ? Il est temps qu’une grande conférence internationale fixe le terme de l’aide, adressant au monde un message clair : l’Afrique peut soutenir son propre développement sans être assistée. Pour cela, il faudra changer les mentalités et ce ne sera pas une mince affaire.

Irresponsabilité généralisée

L’aide publique au développement est d’abord un business qui fait vivre des dizaines de milliers de fonctionnaires internationaux et nationaux mais aussi une myriade de consultants. Ils ont tous en commun un objectif : ne pas scier la branche sur laquelle ils sont assis et sur laquelle ils vivent grassement. J’ai toujours été fasciné par l’irresponsabilité que génère l’argent de l’aide publique au développement. C’est l’argent de personne. Tout le monde se comporte comme si c’était de l’argent créé ex nihilo.

Les bailleurs sortent pourtant ces sommes de la poche de leurs contribuables mais n’ont aucune exigence sur l’utilisation. Les bénéficiaires n’ont guère plus de considération pour ces sommes (parfois folles) qui tombent dans leur escarcelle sans grand effort (on se demande d’ailleurs s’il n’y a pas une prime au mauvais élève…).

Le Mali est à cet égard le meilleur (ou le pire ?) des exemples. Plus les autorités faillissent, plus l’argent coule à flot. Cette irresponsabilité généralisée est bien illustrée par l’Union européenne puisque le seul critère qui compte, c’est le taux de décaissement de l’aide. L’efficacité ? Peu importe. Je n’évoquerai pas les frais de fonctionnement de tous ces programmes (salaires, logements et protection des expatriés, flotte de véhicules 4x4…) ni la course effrénée aux per diem, ces indemnités journalières que versent les bailleurs aux fonctionnaires locaux pour participer aux missions, ateliers, séminaires et autres joyeusetés. Il y a même des ministres qui réclament leur per diem pour inaugurer tel ou tel équipement financé par l’aide internationale.

L’aide publique au développement vide les administrations locales de leurs meilleurs éléments qui sont recrutés par les agences des Nations unies et autres bailleurs pour gérer localement leurs programmes offrant des salaires plusieurs fois supérieurs à ceux servis dans la fonction publique du pays en question. Je ne m’étendrai pas non plus sur la course à la création d’ONG pour capter cette manne internationale.

Programmer la fin de l’aide

L’effet le plus pervers de l’aide publique au développement concerne la classe politique des pays bénéficiaires. L’aide est en effet une assurance tous risques pour leur incurie. Pourquoi s’efforcer d’établir des politiques publiques et assainir les finances publiques quand la communauté internationale vole toujours au secours des mauvais élèves ? Les dirigeants de nombre de ces pays ne sont plus comptables devant personne, ni devant les bailleurs qui ne leur demandent aucun compte, ni devant leur propre peuple à qui ils font croire que c’est la faute des entreprises étrangères, des grandes puissances et de la communauté internationale.

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Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

Italie: Un navire de sauvetage de migrants séquestré. L’ONG est soupçonnée d’association de malfaiteurs.

L'ONG «Open Arms» est soupçonnée d'association de malfaiteurs pour avoir favorisé l'immigration clandestine. Son bateau a été séquestré par la justice.

La justice italienne a placé dimanche soir sous séquestre le navire d'une ONG espagnole engagée dans le secours aux migrants, soupçonnée d'association de malfaiteurs en vue de favoriser l'immigration clandestine, a-t-on appris lundi auprès de l'ONG.

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Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Les organisations des droits humains réclament que les Etats européens empêchent l’exécution des sentences à l’encontre des jihadistes.

Que faire des ressortissants européens qui ont combattu dans les rangs du groupe Etat islamique? La question est épineuse pour tous les pays concernés, notamment la Suisse, d'où sont originaires près de 90 "voyageurs du djihad".

En ce qui concerne la Suisse, 93 djihadistes (dont 52 ayant la nationalité helvétique) sont partis combattre à l'étranger depuis 2001, selon les derniers chiffres du Service de renseignement de la Confédération (SRC).

La grande majorité de ces "voyageurs du djihad" (78) se sont rendus sur la zone irako-syrienne au cours des trois dernières années. Une vingtaine d'entre eux ont été tués, une quinzaine sont rentrés, ils seraient donc encore une quarantaine sur place.

De nombreux djihadistes étrangers faits prisonniers au cours des derniers mois risquent la peine de mort. L'Irak est l'un des pays au monde où les exécutions sont les plus fréquentes.

Cette situation met la plupart des pays européens face à leurs contradictions (voir encadré). Officiellement opposés à la peine capitale, ils s'illustrent en l'espèce surtout par leur absence de prise de position claire.

Politiquement, il leur est difficile de se démener pour voler au secours de ces combattants, largement honnis et redoutés dans l'opinion publique. Certains responsables politiques s'en cachent à peine, cela les arrangerait que les djihadistes soient neutralisés sur place.

Mais les organisations de défense des droits humains ne l'entendent pas de cette oreille. En Suisse, la FIDH et Human Rights Watch réclament ainsi que les Etats fassent pression pour empêcher l’exécution de la sentence.

Reste que du point de vue du droit international, la Syrie et l'Irak sont souverains pour juger et faire exécuter les peines liées à des exactions commises sur leur sol, y compris par des combattants mineurs. Juridiquement, rien n'oblige non plus ces Etats à livrer les prisonniers à leur pays d'origine.

La Suisse pourrait demander l’extradition de certains individus seulement si des infractions graves, voire un attentat, avaient été commis sur son sol. Ce n'est pas le cas, et le Ministère public de la Confédération (MPC) confirme n'avoir formulé aucune demande d'extradition de djihadiste.

Finalement, la seule solution pour qu’un combattant suisse soit jugé sur le territoire helvétique serait qu’il rentre clandestinement et se livre à la justice suisse.

Source

Afghanistan. l’Etat islamique revendique l’attaque au siège de l’ONG Save the Children

Le siège de l’ONG britannique, à Jalalabad en Afghanistan, était ce mercredi matin la cible d’une attaque terroriste. Des explosions ont retenti, et des hommes armés ont pénétré dans le complexe. Au moins deux morts et 14 blessés sont à déplorer. Le groupe État islamique a revendiqué l’attaque un peu plus tard.

Une attaque a eu lieu, mercredi, contre le siège de l’ONG britannique Save the Children à Jalalabad, capitale de l’est de l’Afghanistan et fief de nombreux insurgés, quatre jours après l’assaut d’un grand hôtel à Kaboul.

L’attaque a commencé peu après 9 h (5 h en France) par un attentat à la voiture piégée dans la rue devant le complexe qui abrite l’ONG, permettant à plusieurs assaillants, deux ou trois selon les sources, de pénétrer à l’intérieur de l’enceinte. Alors que les autorités annonçaient la fin de l'attaque, l'ONG Save the Children a fait savoir que des assaillants étaient toujours présents dans ses locaux.

Cette attaque a fait au moins un mort et 14 blessés, a indiqué le porte-parole provincial. Le groupe État islamique a revendiqué cette attaque, un peu plus tard, dans la journée, via son organe de communication Amaq.

Trois autres attaques visant les intérêts des gouvernements britannique, suédois et afghan ont également été menées simultanément à Jalalabad, ajoute Amaq.

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Source

Nos remerciements à Victoria Valentini

Italie. Le cadeau de Noël des Ong: Un bateau rempli de migrants.

Les migrants ont été pris en Méditerranée centrale, dans trois opérations de sauvetage distinctes

Deux cent cinquante-cinq personnes ont été sauvées entre la nuit de Noël et Santo Stefano (le 26 décembre), en Méditerranée centrale, dans trois opérations de secours coordonnées par le Centre des opérations de la Garde côtière à Rome, du ministère de l'Infrastructure et des Transports.

Les immigrants, qui étaient à bord d'un canot et de deux bateaux, ont été secourus par une unité du dispositif Eunavfor Med et par un navire d'une ONG.

Source Traduction libre Les Observateurs.ch

 

 

 

Twitter: Le gouvernement français fait la promotion d’une ONG qui transfère des clandestins en Europe

En l’espace d’un mois, le compte twitter officiel du gouvernement français a fait la promotion de l’ONG SOS Méditerranée et de son bateau l’Aquarius à 4 reprises.

Ce bateau participe aux opérations de transfert de migrants clandestins depuis les côtes libyennes vers l’Europe.

 

 

Frnace

 

France2

 

 

 

France3

 

 

France4

 

Source via Fdesouche.com

Le terroriste Abdeslam aurait profité de l’aide d’une ONG humanitaire à Budapest pour convoyer des djihadistes

Le terroriste présumé des attentats du 13 novembre 2015 aurait bénéficié de l'aide involontaire d'une organisation humanitaire venant en aide aux migrants, alors qu'il se rendait en Hongrie pour ramener des islamistes en France.

Alors que le seul membre en vie du commando djihadiste des attentats de Paris du 13 novembre 2015, incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis (Essonne), refuse toujours de parler aux juges, de nouvelles informations concernant le parcours du terroriste présumé ont été révélées le 14 août par le journal hongrois pro-gouvernemental Magyar Idök.

La publication explique qu'entre l'été 2015 et le printemps 2016, Salah Abdeslam aurait convoyé pas moins de treize terroristes formés par l'Etat islamique (EI) depuis Budapest. Il aurait eu pour tâche de récupérer des complices aux abords de la gare internationale de Budapest. Parmi eux, selon le journal hongrois, trois membres du commando du Bataclan de nationalité française : Omar Ismaël Mostefaï, Mohamed Foued-Aggad et Samy Amimour. Venus des terres irako-syriennes du djihad, ces derniers auraient été récupérés le 17 septembre 2015, après avoir réussi à pénétrer dans l'espace Schengen dissimulés au sein du flot de migrants.

Dans le cadre de cette besogne, Salah Abdeslam aurait été aidé par de nombreux bénévoles venant en aide aux migrants. Il aurait même séjourné à deux reprises dans l'appartement d'un membre d'une organisation humanitaire, selon Magyar Idök.

L'enquête du contre-terrorisme hongrois (TEK), effectuée à la demande des autorités françaises, avait déjà révélé que pendant l'été 2015, Salah Abdeslam s'était rendu en Hongrie à trois reprises, quelques mois avant les attentats de Paris.

Source

L’ONG Save the children envisage à son tour de suspendre ses opérations en Méditerranée

"C'est avec un profond regret que nous avons été contraints de suspendre temporairement nos opérations de recherche et de sauvetage en Méditerranée", écrit dans un communiqué publié sur son site dimanche l'ONG internationale Save the children.

Elle explique avoir pris sa décision en raison de la création par la Libye d'une zone le long de ses côtes interdite sauf autorisation aux navires étrangers. L'association emboîte ainsi le pas à Médecins sans frontières (MSF) et à l'ONG allemande Sea Eye. Son navire, le Vox Hestia, se dirige actuellement vers Malte, où il restera à quai tandis que les équipes de l'ONG évalueront les conséquences de la situation en termes de sécurité.

L'intention libyenne de contrôler des eaux internationales, dans lesquelles Save the children mène des opérations de recherche et de sauvetage, "est très préoccupante pour la sécurité de notre personnel, de notre navire et la possibilité de mener notre mission efficacement", poursuit le communiqué.

"Notre équipe à bord s'inquiète du fait que, dans cette situation, les bateaux seront soit renvoyés vers la Libye, soit les migrants mourront avant de quitter" la nouvelle zone au large de la Libye, explique Rob MacGillivray, directeur des opérations. "Ces personnes effectuent la traversée sur des bateaux en caoutchouc fragiles, qui prennent l'eau et ne contiennent pas assez de carburant", ajoute-t-il.

Obtenir des garanties quant à la sécurité des équipes

L'ONG se dit prête et désireuse de déployer tout de même son navire dans la zone libyenne, mais elle doit d'abord obtenir des garanties quant à la sécurité de ses équipes et la viabilité de la mission. "La sécurité de notre personnel et de l'équipage est primordiale. Sans ces garanties, nous devrions envisager la possibilité d'une suspension, ce que nous ne souhaitons pas".

L'ONG allemande Sea Eye a annoncé plus tôt dans la journée la suspension de ses opérations de secours en Méditerranée, invoquant également des problèmes de sécurité. Samedi, MSF avait fait une annonce similaire pour les mêmes raisons.

Source

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

 

Tir d’avertissement contre un navire d’une ONG espagnole au large de la Libye “Nous sommes fatigués des ONG!”

La marine libyenne a tiré deux coups d’avertissement en l’air, lundi (7 août), alors qu’un navire de secours de migrants, Open Arms, appartenant à l’ONG espagnole ProActiva, patrouillait non loin des eaux libyennes.

Selon les Libyens, le navire était dans les eaux territoriales. Un point que nie l’ONG espagnole, soulignant que son navire était à 1,5 miles des côtes. Interrogé par CNN, par téléphone mardi, le brigadier libyen Qassem a estimé Nous sommes capables de mener des opérations de sauvetage. Notre présence annule leur présence. »

Et d’ajouter : « Nous sommes fatigués de ces organisations. Ils ont augmenté le nombre d’immigrants et les passeurs autorisés. Pendant ce temps, ils nous critiquent pour ne pas respecter les droits de l’homme ».

Source 

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet