Des journalistes italiens ont enquêté sur la condition dans laquelle vivent de nombreuses personnes âgées à Milan, à l'ère de la politique de l'"accueil".
Voici l'enquête de Claudio Bernieri* en italien (résumé en français sous la vidéo) :
Comment donc survivent les anciens à l'ère de l'accueil à tout va ?
Voici un exemple parmi tant d'autres : Pour entretenir les clandestins et payer les 7 centres d'accueil "en or" qui fournissent aux pseudos réfugiés gîte et couvert, la commune de Milan a enlevé des subsides aux retraités.
Allons dans un marché milanais, par exemple celui de la rue Papiniano où l'on voit toujours plus de retraités et de chômeurs miséreux fouiller dans les légumes pourris.
La commune (de gauche) est arrivée à nourrir environ 90.000 (soi-disant) réfugiés depuis 5 ans : parmi les 77.000 arrivés l'an passé, seuls 270 étaient de vrais réfugiés, les autres étant des immigrés clandestins.
Outre les 7 centres d'accueil "en or", spécialisés dans le business de l'asile, les 77.000 clandestins arrivés cette dernière année à Milan disposent d'ordinateurs, du wifi, de skype, d'internet, d'une infirmerie, d'une nurserie, de cantines et de bons de restauration.
Qui paye ? Et bien, ce business est à la charge des Milanais pour lesquels les taxes ont augmenté de 130%.
Mais ce sont surtout les personnes âgées, que la commune de gauche a privé de subsides et de repas chauds, qui payent pour le logement et les repas des clandestins, ce sont elles les premières victimes de ce business.
Le Christ ne s'arrête plus à Milan...nous voyons nos anciens dans les marchés, contraints de glaner des fruits et des légumes à moitié pourris pour survivre.
Beaucoup d'historiens nomment ça "le grand remplacement" : on fait venir en Italie 60 millions d'Africains et les Italiens, réduits à la misère, sont contraints d'émigrer....on substitue une population à une autre, plus malléable, plus docile...
Ces personnes rencontrées au marché nous ont parlé des différentes solutions qu'ils ont trouvé pour s'en sortir...un vrai manuel de survie. Réduits à la pauvreté, ces retraités (non seulement à Milan mais également dans toute l'Italie) doivent recourir aux organisations caritatives. Mais, en même temps, ces associations voient leurs ressources disponibles fondre puisque leurs fonds sont principalement distribués aux migrants.
A qui doit-on dire merci pour tout ça ? Au Partito Democratico, à la gauche, aux centres sociaux, à la Boldrini, aux Jésuites qui commandent au Vatican...et à la culture de la bien-pensance !
Pendant ce temps, les clandestins séjournent dans des hôtels.
Les retraités de Milan nous ont expliqué tous les trucs qu'ils utilisent pour survivre, à l'ère de la politique d'accueil. Les services pour les anciens sont de plus en plus mauvais...
Allons voir (à 13'15'' de la vidéo) ce qui se passe au domicile d'un retraité dont la femme est sous dialyse, Armando, ancien chauffer de taxi. (...) Les repas pour les indigents de Milan étaient, depuis des années, apportés à domicile par des entreprises spécialisées. Mais maintenant les repas fournis sont d'une qualité alimentaire extrêmement basse, alors que les clandestins jouissent de plats cuisinés avec des produits frais, bien cuits et bien assortis.
...Sur les marchés, les scènes sont toujours plus triste et avilissantes...
Nous assistons à un épisode douloureux : une multinationale alimentaire, qui produit du bouillon en boîte, a décidé d'en distribuer aux personnes âgées, par charité, puisque la commune n'offre plus de repas qu'aux clandestins. Cette vision d'une cohue de retraités pauvres se pressant pour obtenir une boîte de bouillon fait penser qu'une guerre a éclaté.
Ceci est la ènième preuve du grand remplacement...et cette théorie explique sûrement beaucoup de choses...Nos anciens seront les premiers à devoir fuir l'Italie...
Pour finir, nous avons rencontré Anna, une veuve avec deux fils à charge (ils ne trouvent pas de travail). Son mari, malade, était submergé par les taxes; il avait un étalage de fruits et légumes. Mais sur les marchés, les extra-européens sont favorisés : ils ne payent pas de taxes durant les deux premières années, alors que les marchands ambulants italiens sont poursuivis par le fisc. C'est pour cette raison qu'Anna a dû céder son étal à deux Pakistanais pour pouvoir payer les soins médicaux de son mari. Maintenant qu'il est mort, tous les samedis, au marché où elle avait été un jour propriétaire d'un étal, Anna doit aller fouiller dans les fruits et légumes invendables pour trouver quelque chose de comestible afin de pouvoir nourrir sa famille.
...Adieu, Anna, qui sait si aujourd'hui tu trouveras un chou ou une salade mangeable pour toi et tes deux fils. Toi aussi tu es une de ces victime de la politique d'asile, qui héberge des pseudo-réfugiés dans des hôtels étoilés et qui oublie ses pauvres, coupables d'être Italiens.
Le grand remplacement t'obligera bientôt à t'exiler, peut-être en Amérique du Sud...dans des bidonvilles pour Italiens.
Source Imola oggi / Enquête de Claudio Bernieri / Traduit par D. Borer)
*Claudio Bernieri a travaillé en tant que correspondant de guerre pour l'hebdomadaire “L’Europeo” sur les fronts de l’Irak, de la Somalie, du Mozambique et de l'ex Yougoslavie. Actuellement, il écrit et produit des documentaires pour les télévisions Rete 7 et Stream.