Attitude anti-UDC dans nos médias: Blocher compare les médias aux nazis

Dans une interview, l'ancien conseiller fédéral a estimé que l'attitude des médias envers l'UDC lui rappelait les méthodes nazies envers les juifs. Embarras jusqu'au sein du parti.

Interrogé sur les raisons qui le poussent à plaider pour que l'UDC lance à l'avenir moins d'initiatives, Blocher a eu d'abord ces mots: «Si tous les médias et les autres partis ne font que calomnier, discriminer et descendre en flèche l'UDC, alors il n'est plus possible de voter sur les questions de fond.» Voilà pour la partie classique de la critique. Mais il ne s'en est pas tenu là et a continué: «La campagne contre l'initiative de mise en oeuvre (ndlr: sur le renvoi des criminels étrangers) a atteint un pic sans précédent. La fronde contre l'UDC, du Blickà la NZZ, m'a rappelé, dans sa radicalité, les méthodes des nazis contre les juifs.»

Source

Rappels:

UDC bashing et mépris des chrétiens persécutés : la grosse artillerie médiatique

Dessins anti-UDC: Le 20 Minutes.ch les « offre à ses lecteurs ».

Neutralité des médias: One FM invite un « humoriste » anti-UDC

Propagande anti-UDC dans nos médias: « Si l’on pense aux victimes, il faut voter non. C’est l’initiative UDC qui est criminelle. »

La RTS jubile après l’échec de l’UDC au référendum

Comment la RTS traite de manière totalement inégale Maurer et Sommaruga

Affaire corse: L’inversion immonde est en marche dans nos médias

Lu sur le site duTemps à propos de l'affaire d'Ajaccio:

 

"Vendredi en fin de journée, plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées dans une cité populaire de la ville où, la nuit précédente, deux pompiers et un policier avaient été blessés dans des échauffourées."

Alors qu'il s'agit clairement d'un guet-apens d'une extrême violence, totalement gratuit comme l'ont indiqué les pompiers et nullement d'une bagarre. Le Temps prend donc sciemment la décision de biaiser l'information. La vérité issue directement du témoignage des pompiers, témoignage que Le Temps se garde bien de diffuser:

Dans la nuit du réveillon de Noël, plusieurs pompiers ont été attirés dans un véritable guet-apens à Ajaccio en Corse. Appelés pour un incendie volontaire, ils ont été littéralement agressés par des individus cagoulés dans un quartier populaire de la ville. 

En tentant de rebrousser chemin, ils se sont trouvés dans un "guet-apens d'une vingtaine de personnes". Armés de pierres, parpaings et battes de baseball, leurs attaquants s'en sont pris violemment au camion et ont réussi à briser les vitres. "On a vraiment frôlé la catastrophe, il aurait pu y avoir des morts"

On notera que les attaques contre les pompiers, les médecins, la police sont tellement nombreuses en France dans "les quartiers à forte concentration d'immigrés", que cela est devenu banal.

Bien entendu, nos médias passent systématiquement sous silence ces agressions. A contrario, ils en feront leur première page si les autochtones osent réagir, jusqu'à biaiser les faits pour mieux victimiser ceux qui sont à l'origine du problème.

 

Terrorisme: “Les politiques et les médias ont une écrasante responsabilité” selon Malika Sorel

Ancienne du Haut Commissariat à l’Intégration (HCI) avant sa dissolution par François Hollande qui jugeait ses rapports trop politiquement incorrects, Malika Sorel-Sutter vient d’écrire “Décomposition française, comment en est-on arrivé là ?” (Fayard,2015) , suite de ses travaux sur la désintégration de la France par le multiculuralisme. Emission de Radio Notre-Dame.

“Sur la base des personnes signalées, l’Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) révèle que 67% des jeunes candidats au djihad sont issus de classes moyennes, 17% sont même issus de catégories socioprofessionnelles supérieures. L’Uclat vient d’éclairer d’une lumière crue la monstruosité des accusations portées contre les Français depuis plus de 30 ans, opération qui n’a de cesse de semer les graines du ressentiment contre la France” Malika Sorel-Sutter, Figaro Magazine du 27 novembre 2015.

Islamisation.fr

Pendant que la RTS détient un quasi monopole, notre administration promeut le pluralisme dans les médias au… Maroc

Promotion du pluralisme et de la diversité des opinions dans les médias au Maroc

La DDC finance, au Maroc, un projet impliquant des professionnels des médias et des décideurs politiques dans le but de promouvoir la liberté de la presse et la diversité des opinions dans les médias. Né du processus de réforme constitutionnelle en 2011, cette initiative a fait ses preuves lors de la dernière période législative en septembre et octobre 2015.

En 2011, l’organisation Media Diversity Institute (MDI) s’est engagée avec des décideurs politiques, des représentants du monde des médias et divers acteurs de la société civile pour promouvoir la liberté d’expression au Maroc. Initié en pleine période de réforme constitutionnelle, le projet de MDI s’est donné pour objectif que le système politique et les législations offrent un cadre favorable à la diversité des opinions dans les médias marocains.

Source

Des terroristes parmi les migrants: Quand les médias et les “spécialistes” dénonçaient un « fantasme » de “l’extrême droite”

[APPEL AUX LECTEURS] Signalez-nous en commentaire les autres articles qui avaient dénoncé l’infiltration de terroristes parmi les migrants comme un hoax, un fantasme ou une rumeur.

Source Fdesouche.com

 

Rappel: 

 

Deux terroristes ont été enregistrés comme migrants plus tôt dans l’année, a indiqué la police grecque

L’un des kamikazes de l’attentat perpétré vendredi soir détenait un passeport syrien. Il est arrivé le 3 octobre dernier sur l’île de Leros et a pu obtenir un statut de demandeur d’asile.

L’information a été publiée sur le site Internet du très sérieux quotidien i Kathimerini puis a été confirmée par le vice -ministre de la protection civile, Nikos Toskas: un des terroristes de Paris est passé par la Grèce en octobre. [...]

Deux autres noms de suspects ont également été transmis aux autorités pour vérification, mais ces dernières restent très discrètes sur leurs investigations.

Source

Le gouvernement veut priver Valeurs actuelles et Minute d’aides à la presse

 

Explications :

Stories_virtuemart_product_2744_page_01nsp_106"Charlie Hebdo, Le Monde diplomatique, Society ou encore Le 1 : ces titres ne touchent pas de fonds publics au titre des aides au pluralisme de la presse, contrairement à leurs confrères des quotidiens L'Humanité, La Croix ou Libération. Une anomalie pour Fleur Pellerin, qui a lancé une réforme destinée à élargir l'attribution de ces subsides, qui représentaient un total de 9 millions d'euros en 2014. Mais la ministre de la Culture veut filtrer. Pas question d'être accusée de financer des hebdomadaires comme le très droitier Valeurs actuelles ou l'extrémiste Rivarol.

Pour cela, Fleur Pellerin a un plan. Elle l'a livré succinctement le 2 novembre, au détour d'une intervention devant la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale, comme l'a relevé la Correspondance de la presse. Evoquant l'extension des aides au pluralisme aux périodiques, Fleur Pellerin a indiqué que cette réforme serait "mise en œuvre avec une condition qui est l'absence de condamnation pénale pour incitation à la haine raciale" - contacté pour des précisions, son cabinet n'a pas encore répondu à nos sollicitations (...)

Sans-titreParmi les titres visés par cette mesure, on trouve d'abord Valeurs actuelles, connu pour ses couvertures controversées. Le patron de l'hebdomadaire, Yves de Kerdrel, a été condamné en mars dernier à 3.000 euros d'amende pour "provocation à la discrimination, à la haine ou la violence" et pour diffamation. En cause, une couverture d'août 2013 sobrement intitulée : "Roms : l'overdose".

Contacté par Marianne, Yves de Kerdrel ne se dit "pas surpris" par la décision de Fleur Pellerin. "C'est la première fois dans l'histoire de la Ve République qu'un gouvernement s'attaque à la presse de manière aussi frontale", tempête-t-il, affirmant que "la liberté d'expression est menacée en France" (...)

Autre titre dans le collimateur : l'hebdomadaire d'extrême droite Minute. Sa condamnation à 10.000 euros d'amende pour "injure à caractère racial" a été confirmé par la cour d'appel de Paris en septembre, après sa couverture de novembre 2013 comparant Christiane Taubira à un singe (...)"

Pour vous abonner à Minute, c'est ici. pour Valeurs actuelles, c'est ici.

 

Extrait de: Source et auteur

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Nos médias vomissent le « populisme « , ils vous endoctrinent !

Nos médias belges et français ne ratent aucune occasion pour transformer le sens des mots afin de les diaboliser. Nous le voyons hélas, tous les jours. C’est du matraquage.

C’est une méthode abjecte pour culpabiliser et lobotomiser le citoyen en travestissant la perception des mots.

Qu’est que le « populisme » au sens premier du terme ?

Clairement, c’est une politique menée par un pouvoir, afin de répondre aux demandes, aux besoins et au bien-être de son peuple. Cela nous semble d’une légitimité absolue et parfaitement noble.
Il est totalement clair que les politiques doivent écouter et « entendre » les vœux de leurs citoyens. Cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas de propositions complémentaires de la part des élus pour améliorer encore les solutions à appliquer.

Au fil des années le mot « populiste » a reçu de la part des écolos-bobos-socialos une connotation extrêmement péjorative. A tel point que dans tous les débats à la TV ou à la radio, on vous clouera au pilori en vous traitant de « populistes », si vous ne déclinez pas vos idées, selon la doxa bienpensante……

« Populiste » est une insulte du 1er niveau, un crachat qui arrive juste avant l’injure « d’extrême droite » ou de « fasciste ». Cela s’applique à tous ceux qui ne pensent pas en terme de « dogmes » des partis existants.

Certains médias franchissent allègrement le pas en amalgamant les « populistes » avec les xénophobes, les racistes et nous en passons.
Contrairement à ce que les médias essaient de vous faire croire, le peuple sait aussi que le bonheur global ne se construit pas sur le malheur des minorités, mais que cela n’implique pas un dénigrement des valeurs acquises durant des millénaires.

Nos médias sont tellement soumis, inféodés, contraints par les partis existants qu’ils en sont les esclaves serviles. Des robots de la pensée unique. Et ils veulent faire de même avec vous.

Il est tellement plus facile d’omettre des informations capitales ou de raconter des mensonges à l’opinion publique afin de recevoir des subsides distribués pour leur obéissance au pouvoir en place.
Il nous semble évident que nos médias répondent à des mots d’ordre et qu’une façon de penser leur est imposée.

Nous allons prendre un exemple qui montre toute la bassesse d’esprit de ces médias censés nous informer.
Vous allez vous-même conclure sur l’abjection du procédé.

La Suisse, ce pays magnifique est une des plus belles démocraties dans le monde. Ce pays se gère grâce une politique populaire et participative, où tous les grands enjeux sociétaux passent par des référendums. C’est la voix du peuple suisse qui décide directement.
Les Suisses sont donc des populistes ?

Il y a quelques jours, nous avons vécu une victoire intéressante, lors des dernières élections suisses : l’UDC (L’union Démocratique du Centre) a fait une percée considérable.

Les médias chez nous se sont déchaînés en crachant leur venin. Nous avons vu ou entendu : « Victoire des populistes en Suisse », ou d’autre « Les populistes se barricadent chez eux » ou encore : « Les populistes ont surfé sur la peur des migrants ».
Un radio trottoir nous a montré deux Suisses interrogés qui comme par hasard n’adhéraient pas tellement à ce système dit « populiste ».

Vous aurez compris que tous les autres Suisses interrogés seront passés à la trappe au montage. C’est cela l’impartialité de nos médias. Ils vont jusqu’à vous démontrez que les Helvètes n’ont pas bien voté !

C’étaient des élections pourtant parfaitement démocratiques respectueuses des citoyens suisses.

Quand les citoyens s’expriment sous le joug de la particratie, alors les résultats sont des triomphes de la gauche ou du progrès !
Nous avons compris que pour les médias, lorsque le peuple gagne sur ses idées, c’est le triomphe du populisme.

Nous n’avons plus besoin de ce genre de médias Ouste, du balai ! Nous ne voulons plus être manipulés.

Nous rêvons de vivre une vraie démocratie, comme en Suisse !

JACQUES D’EVILLE

Source

Attaques à la voiture bélier durant Noël 2014 : Europol confirme que juges et médias ont menti

Vous vous souvenez des attaques à la voiture bélier à Nantes et Dijon durant la période de Noël 2014 ?

Contrairement à ce qu’ont raconté juges et journalistes, Europol confirme qu’il s’agissait bien d’attaques terroristes…

Source via Fdesouche.com

 

A relire sur Les Observateurs.ch:

Le temps se couvre en France

Décryptage. Ce qui se cache derrière les drames terroristes de Roussillon, Joué-lès-Tour, Dijon, Nantes

Trois musulmans en voiture fauchent onze piétons à Dijon en hurlant «Allah Akbar !»

La communication, le point faible de la nouvelle stratégie russe

Les interventions militaires russes en Crimée et en Syrie ont démontré que l'armée russe a bel et bien tourné une page de son histoire.

Les réformes mises en place par Vladimir Poutine depuis quelques années, et cela malgré la résistance de certains haut gradés russes, semblent désormais porter leurs fruits. L'époque d'une armée russe sous-équipée basant sa puissance sur les vestiges de ses forces mécanisées issues de l'Armée Rouge, semble aujourd'hui révolue. En diminuant les effectifs de son armée, la Russie est désormais capable d'aligner une force de plus en plus professionnelle et de mieux en mieux équipée, conçue non plus pour assurer la défense de son territoire mais tournée vers les opérations extérieures. La volonté d'acquérir des navires de type mistral, c'est-à-dire des bâtiments de projection et de commandement, sorte de base avancée idéale pour mener des opérations loin de ses frontières, démontre une nouvelle approche stratégique pour ce pays qui se conçoit non plus comme une puissance régionale mais comme une puissance mondiale.

Or il existe un domaine dans lequel la Russie souffre toujours d'un important retard par rapport aux autres puissances, notamment occidentales, c'est celui de la communication. Il faut dire qu'en Russie, la « maskirovka », c'est-à-dire l'art de la dissimulation, est une véritable tradition ancestrale dans le domaine militaire. Afin de leurrer leurs ennemis sur leurs véritables intentions, les Russes ont pour habitude d'utiliser de nombreuses ruses pour désinformer et maintenir le doute chez l'adversaire. Une approche tout a fait compréhensible pendant des siècles mais qui pose aujourd'hui problème car elle n'intègre pas un changement majeur dans l'évolution des sociétés. Ces dernières se sont transformées depuis quelques décennies en véritables sociétés de consommation de l'information.

Souvenez-vous, durant la guerre du Vietnam, les familles américaines pouvaient voir quasiment tous les soirs les images des dernières batailles à la télévision. En janvier 2013, lors de l'intervention française au Mali, les internautes ont quasiment pu suivre en direct le saut des parachutistes français sur la ville de Tombouctou. Cette stratégie de la communication ne concerne pas seulement les grandes puissances, l'exemple le plus flagrant étant bien sûr le cas de l’État Islamique qui a opté pour une approche très offensive et particulièrement morbide pour diffuser son image. Un choix stratégique marqué par un certain succès, à tel point que désormais Daesh est devenu aux yeux de l'opinion publique mondiale, le seul et unique groupe jihadiste en Syrie, transformant ainsi les autres groupes (dont Al Qaïda) en de simples « rebelles ».

Mais du côté de la Russie, rien de tout cela. Lors de son intervention en Crimée, la Russie a volontairement fait passer ses troupes comme des rebelles opposés au nouveau pouvoir ukrainien alors que n'importe quel observateur ayant un minimum de connaissance sur l'armée russe, pouvait très bien voir que ces soldats n'avaient rien de « rebelles ». En Syrie, rebelote. La Russie a laissé planer le doute jusqu'au bout. Et si depuis, les russes abreuvent les médias de communiqués et de déclarations souvent difficilement vérifiables, les images restent rares. Une stratégie de communication qui semble volontaire puisque lorsqu'ils le souhaitent, les russes savent très bien communiquer comme le démontre la vidéo montrant le lancement de 26 missiles depuis des navires dans la mer Caspienne le 7 octobre dernier.

Cette absence de communication peut certes se justifier par des raisons de sécurité, mais elle reste un frein au développement de l'image de la Russie dans l'opinion internationale. Se taire c'est aussi laisser la parole à ses adversaires qui ne vont pas se priver de vous rabaisser. Or dans le cas de la Russie, les adversaires ne manquent pas et ils savent profiter de ses faiblesses. Il suffit de voir comment les médias occidentaux présentent systématiquement une communication officielle russe comme suspecte avec un emploi immodéré du conditionnel alors que les communications émanant de Washington et des différentes capitales européennes sont généralement traitées comme des vérités. On pourrait bien sûr crier à la malhonnêteté des médias occidentaux mais ce serait oublier trop vite les véritables carences de Moscou dans ce domaine. Certes, des efforts ont été fait avec le lancement de Russia Today en 2005 puis du site Sputnik plus récemment. Mais c'est très loin d'être suffisant, d'autant plus que ces deux médias plongent parfois, voire même souvent, dans une propagande assez grossière.

En choisissant une nouvelle stratégie en terme de politique internationale, la Russie doit s'en donner les moyens. En faisant abstraction de l'importance cruciale de la communication, elle choisit elle-même de maintenir cette image de « méchant agresseur » qui lui colle à la peau.

Jordi Vives, 17 octobre 2015

Le 24H et la TdG au service de la gauche française : “Les dix belles idioties proférées par Nadine Morano”

ND Ch. H. Reprenant un article du Monde, journal de gauche... on appréciera la pertinence de nos médias qui ne cachent même plus leurs "références".

Bêtises, bourdes et fausses affirmations n'ont certes pas manqué au fil des années. Le quotidien Le Monde s'en amuse d'ailleurs, en proposant un outil pour générer de vraies déclarations de Nadine Morano, baptisé Le «Moranator». (...) Une candidature populiste qui mordrait sur l'électorat potentiel de Nicolas Sarkozy.

Source Source2

L’image du jour: La propagande du journal Le Matin en faveur des clandestins

"Émus par les enfants des migrants": Vieille technique de culpabilisation, avec des enfants en première page, afin de bien faire larmoyer l'Européen devant une invasion qui ne se cache plus.

Désormais, si vous ne laissez pas ces immigrations de masse s'imposer chez vous, vous êtes un "salaud".

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Via le facebook du PNS - Parti Nationaliste Suisse

 

Un pays où la quasi totalité des médias ne pensent que d’une manière est-il encore un pays démocratique ?

Ci-dessus : dessin de Mix & Remix

Entretien avec Robert Ménard

Nous savons que le ministère de l’Intérieur est friand de notes et d’informations à notre sujet. Quoi de plus normal alors que les médias, qui comme chacun le sait sont libres en France, nous observent également avec la même attention.

Suite

François Boespflug, historien des religions, est partisan d’une « autocensure amicale » pour pouvoir vivre ensemble.

La liberté absolutisée qui ne tiendrait plus compte de comment le propos est reçu n’est plus applicable dans une société multi-ethnique et multi-culturelle. On ne peut pas tout dire, partout, tout le temps. Ça me paraît être du bon sens.

Pour l’actualité qui nous intéresse, l’islam est un cas à part. On ne peut pas demander aux musulmans la même indifférence à l’égard de leur religion. En comparaison, juifs et chrétiens ont appris à faire le gros dos depuis des siècles.

Aujourd’hui, force est de constater que nous sommes les seuls à vouloir continuer à pouvoir nous moquer de Dieu impunément, et dans une certaine indifférence. L’insolence anti-religieuse est assez bien portée en France.

Mais il semble évident que nous allons devoir mettre de l’eau dans notre vin car nos sociétés deviennent de plus en plus multiculturelles et multi-religieuses. C’est peut-être la fin de la tolérance molle qui s’auto-justifie au nom de la liberté d’expression exaltée comme un absolu intouchable. [...]

Tant que la société française ne comportait qu’une religion dominante, la question ne se posait pas mais elle est aujourd’hui posée de toute évidence. La plupart des Nations ne comprennent pas que l’on puisse pratiquer le dessin provocateur.

Pour vivre ensemble, il me semble qu’il va falloir introduire une prudence citoyenne et s’appliquer une autocensure pacifiste, même quand on chérit la liberté d’expression. C’est d’ailleurs une question de bon sens.

Nous avons un mal fou à accepter le fait qu’une relation supporte voire exige, pour rester viable, l’autocensure et que c’est un moindre mal. L’humain se contrôle partout. En famille, au travail, il compose avec les autres. [...]

Nouvel Obs via Fdesouche

La priorité pour la presse : Cacher les crimes des étrangers afin de ne pas stigmatiser

On notera l’inversion des faits propre à la manipulation où la surreprésentation des naturalisés devient un « sentiment » stigmatisant des « pauvres Suisses de deuxième zone ». Évidemment, il n’y aurait pas à « répéter » si cela n’était pas vrai. Mais cette simple logique semble hors d’atteinte pour Daniel Cornu. De plus, le fait que notre Confédération naturalise des criminels ne semble aucunement gêner la police de Genève ou les médias.

En 2007 déjà, Daniel Cornu, médiateur pour les publications d’Edipresse-Tamedia, relevait sur son blog que, « à rappeler de manière régulière (sic !) dans les affaires criminelles les origines de Suisses naturalisés », il pouvait y avoir un « risque sérieux de créer dans le public le sentiment qu’existeraient des Suisses de deuxième zone ».

C’est précisément ainsi que Christian Humbert, pigiste à 20 Minutes, justifie ses écrits sur le meurtrier présumé de Lausanne – qu’il a simplement caractérisé de « Suisse naturalisé ». « Je voulais écarter la thèse d’un crime raciste ». « Si j’avais su qu’il venait des Balkans, je ne l’aurais peut-être pas précisé » (sic !)

Au sein de l’Agence télégraphique suisse (ATS), le responsable de la rédaction est plus partagé. D’après lui, dans le cas lausannois, on peut légitimement se demander si la mention « balkanique » ne relève pas de la généralisation et ne s’avère pas stigmatisantes.

A Genève, les directives sont très claires, les communiqués officiels (de la police) donnent uniquement la couleur du passeport. « Nous n’avons pas à jouer un jeu déplacé et dangereux » juge le responsable de la communication Eric Grandjean. Si une personne obtient la nationalité suisse c’est qu’elle a été jugée apte pour la recevoir. (NDR Ch. H. Faux puisque le tueur de Menznau par exemple présentait des antécédents).

Source

Voici des informations jugées "à risques":

Le tueur de Menznau, un Albanais naturalisé

Le Gambien naturalisé suisse avait tué l’amant sénégalais de sa femme

Un Suisse d’origine mauricienne étrangle à mort son amie Suissesse

Un Serbe naturalisé, escroc multirécidiviste, condamné pour exercice illégal de la médecine

 

Suisse : La plupart des médias ont opté pour un système de « modération a priori »

« La haine est devenue normale ». Début août, la présidente de la commission fédérale contre le racisme, Martine Brunschwig Graf, faisait part de sa préoccupation quant à l’augmentation des commentaires racistes et antisémites sur les réseaux sociaux et sur Internet de manière générale.

Un exemple est venu illustrer ce phénomène la semaine passée dans le canton de Neuchâtel. Les reportages diffusés sur les requérants d’asile logés provisoirement dans l’abri PC des Perveuils, à La Tène, ont suscité de nombreuses réactions anti-étrangers sur les sites des médias régionaux et sur les réseaux sociaux.

Le Service de la cohésion multiculturelle (NDLR sic!), qui recueille certaines plaintes pour racisme, observe lui aussi une recrudescence de propos virulents sur la toile. Selon sa cheffe, Céline Maye, la liberté d’expression semble prendre le dessus depuis une dizaine d’années sur la discrimination raciale, l’incitation à la haine, l’antisémitisme ou encore la diffamation, qui tombent sous le coup de la loi. Pour Céline Maye, ce climat s’explique par la forte présence, dans le monde politique et dans les médias, de propos stigmatisant les étrangers, ce qui encourage la population à exprimer aussi ce type de pensées. Selon elle, la population tend également à déshumaniser les différents groupes d’étrangers, tels que les requérants d’asile ou les Roms.

[...] Le contrôle est tout particulièrement difficile sur les réseaux sociaux où la modération est assez restreinte. Il est compliqué de trouver un responsable et d’éventuellement le poursuivre en justice. La procédure s’avère généralement longue et coûteuse puisqu’un délit sur Internet dépasse souvent les frontières nationales.

Les choses sont plus claires en ce qui concerne les sites des médias romands qui sont responsables, au même titre que l’auteur, des commentaires postés sur leur plateforme. Dès lors, la plupart des médias ont opté pour un système de « modération a priori ». Cela signifie que les messages sont relus et validés avant d’être mis en ligne afin de filtrer les commentaires les plus virulents. Ce système est notamment appliqué par Le Matin, 20 Minutes, Le Temps et Arcinfo. Ainsi, tout message discriminatoire, diffamatoire, raciste ou incitant à la haine passe normalement à la trappe. [...]

Source

"Système de modération" qui a favorisé les commentaires d'extrémistes musulmans et anti-UDC comme nous l'avons remarqué plus d'une fois.

Exemples à l'appui (cliquez sur les images pour les agrandir):

Sami

JCS