La communauté LGBT aura son expert à l’ONU

Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU a décidé de créer le premier poste d'expert indépendant sur les droits de la communauté LGBT.

Le vote s'est déroulé jeudi soir après des heures de débat. «C'est une étape importante» pour la communauté LGBT, a déclaré vendredi le porte-parole du Conseil des droits de l'Homme, Rolando Gomez, lors d'un point de presse.

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LGBT: Un conte pour enfants avec deux princes qui s’aiment afin de banaliser l’homosexualité

Pour banaliser l'homosexualité, le Youtubeur et militant LGBT Olly Pike a crée "Prince Henry", une histoire d'amour gay sous forme de conte pour enfants. "La meilleure manière de tordre le cou aux discriminations chez les générations futures est de commencer par s'adresser aux enfants. Nous avons le devoir de leur apprendre la tolérance, l'amour et le respect", explique-t-il sur son site.

La perception de la sexualité chez les plus jeunes est un vieux débat. Aujourd'hui, l'homosexualité reste un sujet tabou à l'école. Pourtant, les insultes et le rejet peuvent en faire une grande source de mal-être, qui conduit parfois jusqu'au suicide. Alors que le racisme est désormais une problématique discutée sans mal en classe, l'amour entre personnes de même sexe semble être encore un thème délicat à aborder.

Non, l’attentat d’Orlando n’est pas homophobe !

De la communauté au communautarisme il n'y a qu'un pas que l'on franchit souvent de manière naturelle sans s'en rendre compte. Aujourd'hui, contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'esprit communautaire est très fort et on définit les gens non par les caractéristiques qui les unissent mais par celles qui les différencient des autres. Origines ethniques, orientations sexuelles, catégories socio-professionelles... autant de marqueurs identitaires qui expriment ce que l'on est par rapport à l'autre.

Alors quand un attentat islamiste vise une boite de nuit gay à Orlando et fait cinquante victimes, c'est toute la communauté LGBT à travers le monde qui s'indigne. Un reflexe communautaire naturel que l'on peut difficilement blâmer. Mais quand une personne n'appartenant pas à cette communauté et, qui plus est, un opposant au lobby LGBT, s'indigne également de cette attaque terroriste à Orlando, celle-ci est jugée comme déplacée voir hypocrite. C'est ce qui est arrivé à Christine Boutin. Il est de notoriété publique que la présidente d'honneur du Parti Chrétien Démocrate et les LGBT entretiennent des relations plus qu’exécrables. Aussi quand Christine Boutin exprime sur Twitter sa compassion avec les victimes d'Orlando, la communauté LGBT crie au scandale.

Pourtant, ceux qui considèrent les propos de Christine Boutin comme étant une « honte » oublient une chose. Que l'on soit Christine Boutin ou un militant LGBT, l'espérance de vie face aux tueurs de l’État Islamique est des plus limité. Les terroristes islamistes ne font, eux, aucune distinction entre un chrétien pratiquant et un homosexuel, si ce n'est peut être dans la façon de les massacrer. De même qu'ils ne font pas de distinction entre des jeunes bobos qui vont à un concert au Bataclan et des prolos qui vont voir un match de football au Stade de France.

La guerre que mène l’État Islamique dépasse très largement notre perception du monde actuel. La démarche de cette organisation terroriste s'inscrit dans une guerre qui est à l'échelle des civilisations. Ce qu'ils veulent c'est, au mieux, nous convertir de force à l'Islam, au pire, nous exterminer. C'est donc un véritable défi que nous impose l’État Islamique. Un défi qui est, non pas technique ou militaire, mais quasi-philosophique pour nos sociétés occidentales. Nous qui rejetons par universalisme la réalité même des civilisations, comment pouvons nous être armés moralement face à cet ennemi ?

Aussi il est nécessaire de revoir notre copie et ne plus penser le monde comme un vaste ensemble indéfini. Notre civilisation occidentale marquée par un fort esprit de liberté et donc forcément diverse, n'est pas universel. Le monde entier ne rêve pas de vivre selon notre mode de vie. A l'inverse, à l'intérieur même de notre civilisation, il est, plus que jamais, nécessaire de faire abstraction de nos mésententes. Face à un islamisme conquérant, nous ne pouvons faire preuve de faiblesse. Evidemment nous pouvons nous quereller entre nous sur des sujets loin d'être insignifiants mais lorsque notre civilisation est attaquée, notre riposte se doit de ne souffrir d'aucune division. Alors les militants LGBT et Christine Boutin n'ont pas le choix, s'ils veulent pouvoir continuer à se taper dessus demain, ils doivent, aujourd'hui, s'unir pour continuer à exister.

Propagande homosexuelle du Temps: “Adoption de l’enfant du conjoint: une victoire pour les familles arc-en-ciel”

Les sénateurs ont ouvert ce mardi matin une porte vers l’adoption par les couples homosexuels. Avec une confortable majorité, le Conseil des Etats a adopté une révision du code civil très attendue par les associations LGBT et les familles arc-en-ciel. Quelques minutes avant ce vote global, les sénateurs avaient adopté par 25 voix contre 14, l’article le plus controversé: il ouvre la possibilité d’adopter l’enfant du conjoint ou du partenaire, que le couple ait conclu un partenariat enregistré ou fasse ménage commun depuis au moins trois ans.

RTS : pub pour le mouvement “Queer Rap” militant de la cause des lesbiennes, gays, bisexuels et trans (LGBT).

Nos lecteurs nous prient de publier (merci à Claude)

 

Le Festival Antigel de Genève accueillait cette semaine deux figures emblématiques du mouvement queer rap qui milite pour la cause des lesbiennes, gays, bisexuels et trans (LGBT).

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Obama opte pour l’homosexualité



Barack Hussein Obama a posé en couverture du mensuel américain « Out 100 », le mensuel de la communauté homosexuelle, le numéro étant consacré aux cent personnes les plus influentes dans le milieu gay. Barack Hussein Obama est ainsi, à la fois, le premier président américain et le premier néo-musulman américain à poser pour la ‘Une’ de ce mensuel LGBT (lesbienne, gay, bisexuel et transgenre). Tout ces faits sont rigoureusement exacts et je ne plaisantes pas.

L’Arabie saoudite a déjà riposté en condamnant - par contumace - Obama à cent coups de fouet sur le cul (non ce n'est pas vrai et oui je plaisante). L’épouse du président, Michelle Obama, demande le divorce et déclare : « j’ignorais qu’il était un trou de balle » (non ce n'est pas vrai et oui je plaisante encore).

Michel Garroté, 11 novembre 2015


Les LGBT et la drogue

 

Un administrateur de AIDES (peu suspect d'être homophobe) est fier d'avoir assisté à une rencontre européenne, et de publier les résultats d'une étude sur les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HSH) menée chez 180 000 hommes HSH de 38 pays, soit une moyenne de 4 736 HSH par pays.

Le résultat de l'étude concernant la consommation de drogues (poppers, cocaïne, etc...) fait froid dans le dos : certains drogues sont utilisées par 80 % des HSH. Pour rappel : ce sont les mêmes qui déclarent vouloir adopter un enfant quand il sont en couple.

Unknown-47"Le docteur Dirk Sanders nous a présenté en primeur une étude menée dans 44 villes d’Europe relative à la consommation de drogues par les HSH en général, comparativement à la population générale, et en essayant de faire le focus sur le phénomène chemsex (consommation de produits dans le cadre de relations sexuelles : GHB, méphédrone, crystal, kéta, poppers, viagra, etc). Cette étude a recueilli des données sur 180 000 hommes répartis dans 38 pays et en 25 langues. [...] Au global, voici quelques données :

- Il ressort que près de 80 % des HSH ont été ou sont fumeurs de tabac, avec une prépondérance plus forte dans les capitales des pays dits de l’Est. L’alcool est consommé par 100 % des personnes HSH dans les six derniers mois, par plus d’un tiers d’entre eux dans les 24 dernières heures.

- Concernant le chemsex, l’usage reste relativement limité : dans une ville comme Brighton, par exemple, plus de 10 % des HSH y ont eu recours dans les quatre semaines précédant l’enquête, à Sofia, moins de 8 %.

- Plus de 50 % des HSH ont utilisé du viagra dans les cinq dernières années et 15 % dans les 7 jours précédant l’enquête.

- Le poppers est utilisé par 50 à 80 % des HSH, selon la géographie, dans les cinq dernières années, environ 35 % dans le dernier mois, et 20 % l’utilisent quotidiennement.

- La cocaïne a été utilisée par 20 à 50 % des HSH dans les cinq dernières années, par 15 % dans le dernier mois. Le crystal est bien plus utilisé en Grande-Bretagne et en Espagne, par près de 20 % des HSH dans les cinq dernières années, que dans les autres pays d’Europe (moins de 10 %).

- De même pour la méphédrone utilisée par près d’un britannique sur cinq alors que le reste de l’Europe reste en dessous des 10 %."

Question subsidiaire : combien de ces HSH sont journalistes ou députés ?

 

Extrait de: Source et auteur

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Heidi doit rester une fille : cessez la confusion de genre

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En Août 2015, le trailer prometteur pour le nouveau film suisse Heidi, qui sortira à Noël, a été rendu public. L'intrigue du film est très similaire à la célèbre histoire pour enfants du monde de Johanna Spyri, Heidi, et raconte l'histoire d’ « une petite fille avec un grand cœur qui est à la recherche de sa vraie maison ». Simultanément, un second film « Heidi » est en cours de création, qui a un message radicalement différent : le court métrage « limina » de Florian Halbedl et son partenaire transgenre Joshua Ferguson présente l'histoire d’Alexandra, 8 ans, dont le sexe est non déterminé.

Ce film pour enfants, qui est considéré comme une réinterprétation de Heidi sous la perspective de l’idéologie du genre, veut exprimer - comme son titre « limina », qui est le pluriel du mot latin « Limen » (frontière), prédit - une vague démarcation de la notion de genre. La narration surréaliste devant le magnifique paysage alpin vise à susciter plus de sympathie pour la « diversité sexuelle », selon les auteurs. Le film veut encourager les parents à cesser d’imposer un sexe particulier à leurs enfants. La commission de la promotion culturelle de Oberwald (Suisse) est très intéressée pour le co-financer, comme indiqué par le journal local. Ils tentent même de se faire aider par la commission de la culture de Nidwald. La campagne de crowdfunding sur le web est par exemple soutenue par Dominique Gisin, un ancien champion olympique de ski et camarade de classe de Halbedl.

Comme le dit Corrispondenza Romana, cette tentative de normaliser la transsexualité et le transgendérisme, « est un assassinat de l'enfance qui entraîne des conséquences psychologiques et sociales dévastatrices ». La classification internationale actuellement valide des maladies CIM-10 par l'OMS rapporte que les nombreuses formes d'identification inadéquates de son sexe appartiennent aux troubles de l'identification du sexe (SIG), qui font partie des troubles de la personnalité et du comportement.

Le lobby LGBT et les créateurs de « limina » ont déclaré la guerre à l'existence de genres binaires. D'une part, ils veulent dissiper le « mythe » qu'il n'y a que deux sexes, et d'autre part, ils affirment que le rôle social de genre (sexe) n'a rien à voir avec le sexe biologique (le sexe).

Une étude de 2011 de la Suède montre également que le taux de suicide chez les personnes transgenres après une opération de changement de sexe est près de 20 fois plus élevé que dans la population générale. Pourtant, l'idée fausse de la Trans-normalité est maintenant appliquée dans un film, qui est explicitement destiné aux enfants et à leurs parents. Et même avec un soutien gouvernemental !

Article complet et pétition

Pays Bas : Une nouvelle famille LGBT

Trois hommes, deux femmes et un couffin

Depuis déjà quelques décennies, le concept de « famille nucléaire » avec les deux parents hétéros, la maison en banlieue et les trois enfants en prend pour son grade.

Ceux de « belle-mère », « demi-frère » et même de famille homoparentale ne nous choquent plus. Mais, récemment, une forme de structure familiale moins connue a fait son apparition : la multiparentalité, soit le fait d'élever des enfants qui auraient plus de deux parents. C'est ce que se préparent à vivre un couple lesbien et un couple gay des Pays-Bas.

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Bari : Spectacle gay obligatoire à l’école, dans le dos des parents

Ce témoignage nous vient de Bari : comme d'habitude l'idéologie "gender"  avance masquée au travers d'événements culturels tout à fait innocents et cela dans le dos des parents.

Par Daniele Cassano

Il m'est arrivé, en attendant le bus, d'entendre deux jeunes de seize ans se plaindre d'être obligés de participer à un "spectacle de théâtre contre l'homophobie" et de devoir en plus le payer de leur poche (6 euros).

"Si tu n'y vas pas - disait l'un d'eux - la prof te donnera une interro comme punition".

En tant que membre de la section de Bari de La Manif Pour Tous Italie, cette discussion avait immédiatement attiré mon attention, étant au courant que, sous couvert de lutte contre l'homophobie, les objectifs poursuivis étaient tout autres.

Dans la discussion, j'ai appris que l'école que fréquentent ces jeunes garçons est le lycée scientifique G. Salvemini, établissement chef de file d'un projet Erasmus qui jouit d'un financement européen de 220.000 euros. On peut le lire dans la brochure publiée par l'école. Elle illustre le projet "LeGoP – Learning good practices in European countries". Ce projet a sans doute une grande valeur culturelle : elle offre aux étudiants des séjours à l'étranger très constructifs. Mais, dans les dédales de la présentation, bien camouflés au milieu d'objectifs éducatifs irréprochables, comme c'est toujours le cas,  on trouve l'habituelle contribution idéologique pour une "rupture" des stéréotypes sur le "genre". Le  Corriere di Puglia e Lucania (30.09.2014), reprend les termes de la brochure ci-dessus mentionnée : elle définit le projet comme "un travail qui contribuera à éliminer les barrières de toutes sortes, architecturales, linguistiques, physiques, sociales et sexuelles".

En approfondissant les objectifs du programme (toujours en se référant  à l'article du Corriere), on peut lire que, "en partenariat avec le lycée Salvemini ed Elpendù - spécialisé dans l'intégration de personne ayant des exigences spéciales - plusieurs établissement scolaires travailleront ensemble dont Azular Lizeoa en Espagne et que seront étudiées des expériences faites dans le privé (GUREAK en Espagne et GALE en Hollande, pour les activités contre l'homophobie entreprises en particulier dans les écoles). Quand on continue la lecture de l'article, on remarque qu'un des objectifs principaux est de détruire les discriminations basées sur l'orientation sexuelle et de promouvoir l'acceptation et le respect à l'égard des personnes LGBT

En théorie, je n'y voit rien de mal. Mais en pratique, on se rend compte que le GALE est une organisation d'activistes gays qui ont pour but d'inclure du  matériel LGBT dans l’éducation sexuelle à l'école.

Et puis, et puis, il y a eu ce spectacle de théâtre, organisé à l'insu des parents, sans que rien ne soit publié : on n'en trouve trace ni sur le site de l'école, ni sur sa page Facebook. Cette façon d'agir dans l'ombre semble être devenu une constante pour les activistes LGBT.  Le père d'un garçon que je connais et qui fréquente cette école, ne savait rien de ce qui se tramait : il m'a avoué que, s'il avait été au courant, il serait allé le lendemain au lycée pour avoir de plus amples informations et qu'il m'aurait averti. Grâce à ses investigations, on a pu mettre en évidence que l'organisation de ce "spectacle" n'a été communiqué à aucun parent, spectacle qui se déroulait dans l'auditoire pendant les heures de classe et que même la secrétaire de l'école ne possédait aucune information détaillée, puisque l'initiative venait personnellement de la directrice.

Quel était ce "spectacle" ? Si on peut appeler "spectacle" une représentation où on voit des gay s'embrasser, suivie de questions où on demande aux lycéens de parler des sensations, des émotions et des sentiments qu'ils ont éprouvé à la vue de cette scène (une espèce de "chasse à l'homophobe") ?

[...]

A la lumière de tout cela, il est légitime de se demander si on est vraiment en train de lutter contre la discrimination et l'intolérance (et en plus dans une région où il ne semble pas y avoir vraiment de problèmes à ce sujet) ou alors si l'on n'est pas en train de se conformer aux exigences du lobby gay qui voudrait convaincre nos enfants que les rapports homosexuels sont absolument normaux, qu'il n'y a pas de différence entre les sexes féminins et masculins et qu'on peut continuellement changer de genre (donc qu'il faut ignorer son sexe biologique qui doit s'effacer face à la perception que l'individu a de sa propre sexualité). En plus, ce lobby gay pousse au commerce des enfants (sacrifiant leurs droits fondamentaux aux désirs égoïstes de certains adultes) et veut nous convaincre que, pour un enfant, il est égal d'avoir deux pères ou deux mères et que ce qui compte, c'est l'amour.

Indignés face à une telle propagande idéologique, nous déclarons que nous sommes disponibles pour rencontrer les responsables scolaire de ce projet et que nous prendrons soin de démontrer les conséquences négatives qui vont se répercuter inévitablement sur les jeunes gens contraints d'assister à des spectacles de ce type.

Nous continuerons à nous opposer dans chaque ville à ces projets, à cette idéologie qui s'insinue en silence,  [...] sans que les parents puissent ou non l'approuver en toute connaissance de cause, des parents qui ne sont jamais mis au courant de ces thématiques.

Daniele Cassano – La Manif Pour Tous Bari

Source en italien (trad. Danielle Borer)

Allemagne : manifestation contre l’endoctrinement “gender” à l’école

Mille personnes environ se sont rassemblées dans le centre de Stuttgart pour protester contre la décision du gouvernement qui prévoit d'introduire des cours sur les droits LGBT.

Les participants, pour la plupart des parents, s'étaient munis de ballons roses et bleus sous le slogan "Stop à l'endoctrinement". Ils accusent le gouvernement de promouvoir la "sexualisation des enfants" à l'école.

Source en italien

Padoue : la communauté gay proteste contre le congrès “Défendre la famille”. C’est homophobe !

Ci-dessus : Manifestation le 17 mars 2015 devant la mairie de Padoue pour protester contre le congrès "Défendre la famille"

Padoue est la première ville à accueillir le congrès sur "Défendre la famille pour défendre la communauté". C'est un projet mis sur pied par diverses associations pour la vie qui soutiennent la famille naturelle; en font partie "La manif pour tous Italia" et les cercles "Je veux maman". D'ici la fin de l'année, elles espèrent qu'une centaine de communes accueilleront l'évènement. [...]

Soutenu par la commune d'Euganeo sous l'impulsion de la Lega, ces rencontres de promotion de la famille avaient déjà attiré les foudres d'Alessandro Zan, député du Partito Democratico (PD), partisan des "Pacs à la mode de Padoue". Il les avait qualifiées de "congrès homophobes".

Hier soir, vers 19 heures, la communauté LGBT et des associations d'étudiants se sont réunis sur la petite place de Garzeria, devant le bâtiment Moroni, pour une manifestation de protestation. Les forces de l'ordre s'étaient déployées devant l'édifice pour le protéger.

Arguments des manifestants : les organisateurs de ce sit-in pointent du doigt un "congrès intégriste qui non seulement alimente les discriminations, les préjugés et les vexations,[...] mais qui, en plus, fait reculer le progrès. Nous croyons, ajoutent-ils, que Padoue est différent, nous croyons que son histoire depuis des dizaines d'années, avec ses associations, ses groupes et ses citoyens qui s'expriment sur leurs droits est une richesse précieuse et qu'on doit manifester notre opposition chaque fois que quelqu'un essaie de mettre en danger notre dignité et nos droits. Nous pensons qu'il est normal que, au coeur de cette ville [...]  on refuse cette initiative et que l'on retire le soutien [à ce congrès] qui embarrasse la ville et offense une partie importante des ses citoyens et de ses citoyennes"

padovaoggi.it

Via (trad. D. Borer)

La ville de Genève s’associe au festival LGBT Everybody’s Perfect

Le Service Agenda 21 – Ville durable s’est associé avec le festival du film lesbien, gay, bi, trans, intersexe, queer et allié-e-s (LGBTIQ&A) de Genève pour un programme Genre et sports.

Lancé en 2010, Everybody’s Perfect fêtera sa troisième édition du 19 au 28 septembre aux Cinémas du Grütli. Le Service Agenda 21 – Ville durable s’est associé avec l'équipe d'organisation pour proposer un débat et des projections dans le cadre de son programme «Genre et sports 2014».

La pratique sportive est en effet un véritable enjeu pour les personnes LGBTIQ, tant l’univers du sport, pourtant porteur de valeurs de tolérance et de respect, est aussi un lieu d’expression de l’homophobie et de stéréotypes de genre marqués. Les films, courts et longs, documentaires ou de fiction, permettent de questionner ces stéréotypes et de donner des réalités différentes, qu'elles viennent d'ici ou d'ailleurs.

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homme-tutu

Description du festival par Le Temps:

Le festival genevois Everybody’s Perfect explore cette année la galaxie «queer», l’homophobie d’Etat et la sexualité du corps sportif.

Combien d’orientations sexuelles existe-t-il chez les humains? Ben… deux: hétéro ou homo. Ah, non, minute, on peut aussi être bisexuel: donc trois. Mais… les transsexuels et intersexes entrent-ils dans ces trois cases? Probablement pas… Et les queer, où se placent-ils? «Ils jouent avec tous les signes de l’identité sexuelle. Ils adoptent ces codes, qu’ils mélangent à souhait, de manière personnelle. Ils parlent d’un continuum qui s’étend entre les deux extrêmes de la polarité sexuelle», explique Agnès-Maritza Boulmer, coprésidente d’Everybody’s Perfect – Festival de cinéma LGBTIQ & A, dont la troisième édition se tiendra à Genève du vendredi 19 au dimanche 28 septembre.

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La dictature LGBT s’insinue même dans les enterrements

Italie, 23/8/14.

Suite à son décès, la famille d'un(e) transsexuel(le) l'habille en homme dans son cercueil..

Les gens de l'association Lgbt et les amis de "Nicole", une trans décédée à l'âge de 37 ans, originaire d'Avenza, sont fâchés contre la famille de la (le) mort(e) qui a préféré habiller son parent en homme avant de l'enterrer. Diverses associations (Consultorio transgenere, Mit, mondo Arcobalenno LBT, entre autres) se sont mises ensemble pour écrire une circulaire disant ceci :

"La famille n'a même pas été capable, dans ce douloureux moment de deuil, de respecter "Nicole", pour ce qu'elle était, pour ce qui a toujours été sa façon de vivre, de reconnaître que son être, femme jour après jour, n'était pas un caprice mais quelque chose de plus fort qu'elle, et que c'était son genre. Elle a vécu ses vingt dernières années avec orgueil et détermination. Etre trans lui a donné cette dignité qui était la sienne. Nicole, à 37 ans, vivait son identité de genre à la lumière du soleil. Le besoin d'être femme n'était pas un caprice mais une priorité depuis toujours. Nous sommes mortifiés, déçus, gênés de savoir que l'on ne respecte pas notre volonté, même morts. Nous regrettons vivement que Nicole ait été habillée en homme dans ce triste cercueil, avec un veston et une cravate pour le voyage vers l'au-delà"

[...]

 

Source en italien (trad. D. Borer)

Québec: Lectures LGBT pour les écoliers et les plus jeunes

Papa porte une robe, La fille qui voulait être un garçon, Mademoiselle Zazie a-t-elle un zizi ? Voici quelques-unes des suggestions de lecture que la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) veut proposer aux centres de la petite enfance (CPE) et aux écoles primaires.

Cette initiative vise d’abord à lutter contre les préjugés à l’égard des LGBT, mais aussi à aider les enseignants et les éducatrices à en discuter avec les enfants en leur proposant des outils et une série de questions à leur poser. « Si on veut être en mesure de développer cette ouverture à la diversité, il faut briser le mythe de l’hétérosexisme dès le plus bas âge.

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« Les gens qui s’opposent au respect de la diversité humaine, qu’ils soient racistes, sexistes ou homophobes, ils ont droit à leur opinion. Mais la société québécoise et canadienne a fait, par ses lois et ses Chartes, d’autres choix », tient-il àrappeler. M. Pétrin compte également la soumettre aux bibliothécaires dans les institutions scolaires et des démarches seront éventuellement entamées auprès des syndicats des éducatrices en garderies et des enseignants avant d’approcher le ministère de l’Éducation.

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